Academic literature on the topic 'Péché originel – Dans l'art'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Péché originel – Dans l'art.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Péché originel – Dans l'art"

1

Franceschini, Baptiste. "« Qui sème peu récolte peu » : Chrétien de Troyes au champ romanesque." Études littéraires 40, no. 2 (September 14, 2009): 69–77. http://dx.doi.org/10.7202/037964ar.

Full text
Abstract:
Résumé Chrétien de Troyes ouvre son Conte du Graal sur une étonnante métaphore de l’écrivain semeur en train de répandre ses graines romanesques. Cette représentation paysanne d’un auteur qui travaille le texte comme on travaillerait la terre permet alors de légitimer une écriture littéraire toujours susceptible, au Moyen Âge, de constituer un affront aux Écritures. En se peignant dans l’effort rustique, Chrétien de Troyes choisit donc de reconduire sa soumission, tant à l’ordre divin (le labeur est bien le destin de tout bon chrétien depuis le péché originel) qu’à la hiérarchie féodale où le fruit de l’activité n’est qu’une exigence du fief que le travailleur ne saurait réclamer.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Winling, Raymond. "Péché originel et rédemption dans l'œuvre de N.S. Bergier : contribution à l'histoire des idées au XVIIIe siècle." Revue des Sciences Religieuses 66, no. 3 (1992): 297–317. http://dx.doi.org/10.3406/rscir.1992.3202.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Agbodjan, Hervé Prince. "Le droit international économique face aux défis des subventions à l’exportation." Études internationales 39, no. 4 (April 27, 2009): 587–610. http://dx.doi.org/10.7202/029599ar.

Full text
Abstract:
Résumé L’encadrement juridique des subventions à l’exportation dans le cadre des négociations commerciales multilatérales est entaché par le péché originel de l’impunité et du traitement juridique différencié entre les subventions à l’exportation des produits primaires et des produits autres que primaires. De ce fait, bien que le principe de leur prohibition soit aujourd’hui admis, l’élimination totale de ces pratiques jugées déloyales par le droit de l’omc reste encore un voeu pieux. La preuve en est que les efforts en vue de leur démantèlement sont sans impact substantiel sur les politiques des États membres. Cet article décrit l’évolution de ce processus et lève le voile sur les critères qui fondent la prohibition des subventions à l’exportation par une analyse essentiellement juridique d’une mesure de distorsion habituellement commentée par des économistes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Deproost, Paul-Augustin. "La mise en scène d'un drame intérieur dans le poèmeSur le péché origineld'Avit de Vienne." Traditio 51 (1996): 43–72. http://dx.doi.org/10.1017/s0362152900013362.

Full text
Abstract:
Le deuxième livre de laGeste de l'histoire spirituellepubliée par l'évêque gallo-romain Avit de Vienne au début du VIesiècle apparaît, en réalité, comme le cœur d'une trilogie hexamétrique consacrée aux premiers instants bibliques de l'histoire du monde et des hommes, et que l'on a parfois comparée auParadis perdude Milton. Dès le premier vers de ce livre, le poète prend soin de rattacher le sujet du péché originel à la longue méditation initialeSur le début du monde, jusque dans l'emploi d'un adverbe temporel de transition qui marque le début du récit,interea. Par ailleurs, comme l'a observé Michael Roberts, la longue digression finale sur l'épisode de la femme de Lot et de la destruction de Sodome et Gomorre, qui occupe quatre-vingt-un vers du deuxième livre, assure la transition entre le sujet majeur de ce livre, à savoir la lutte qui oppose Ève au serpent, et le problème de la culpabilité d'Adam, qui sera débattu au troisième livre: la femme de Lot est, comme Ève, une autre «fouineuse de malheurs», mais à l'inverse de la première femme, elle n'est pas parvenue à séduire son «propre Adam». Un peu à la manière des décors simultanés en usage dans le drame médiéval, le récit principal se double ici d'un récit secondaire qui annonce recentrage au livre III sur l’évaluation de la complicité d’Adam et Ève dans la faute. Parmi d'autres détails qui confirment le lien entre cet épisode adventice du livre II et le livre III, la malédiction de Dieu contre le sol des deux cités condamnées est un exemple particulier de cet espace de punition et d'illusions qu'est devenue la terre depuis la sentence de Dieu contre Adam; du reste, le châtiment de Sodome réapparaît explicitement au livre III comme une figure du feu éternel qui attend les damnés à la fin des temps.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Josefson, Åsa. "La peinture, source d’inspiration du fantastique belge. L’exemple du Péché originel d’Hugo van der Goes dans l’œuvre de Thomas Owen." Études Germaniques 286, no. 2 (2017): 287. http://dx.doi.org/10.3917/eger.286.0287.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Ndiaye, Christiane. "Récits des origines chez quelques écrivaines de la francophonie." Études françaises 40, no. 1 (June 21, 2004): 43–62. http://dx.doi.org/10.7202/008475ar.

Full text
Abstract:
Résumé Se situant à la croisée du mythe, du conte, de l’histoire et du romanesque, plusieurs des écrivaines de la francophonie procèdent à une réécriture des récits d’origine pour inventer un nouvel imaginaire où la femme est à la source du renouveau social plutôt que de porter le poids du péché originel. Ainsi, chez Calixthe Beyala, la femme, ayant pour ancêtre l’étoile qui s’efforce en vain de sauver l’homme de l’autodestruction, se tient désormais à distance de ce « soleil » par trop ardent. De la même manière, les personnages féminins du roman de Simone Schwarz-Bart s’écartent du chemin de l’homme, pour ne pas être entraînés dans sa course folle sur la voie des malheurs sans fin. Constatant que la « guerre des sexes » s’est ainsi inscrite dans les récits les plus anciens comme dans le langage du quotidien, Assia Djebar remonte à l’époque des anciens empires des Berbères, des Phéniciens et des Romains en quête de la langue perdue du dialogue entre « ennemis ». De manière analogue, le roman de Marie-Célie Agnant interroge l’histoire (dans ce cas celle de l’esclavage) afin de déceler le point de rupture et pour renouer le dialogue avec un Autre qui inspire méfiance depuis « l’origine ». À travers ces diverses réécritures s’esquisse alors un imaginaire de la (re)naissance où la langue perdue du coeur émerge du langage non verbal du corps.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Debruche, Anne-Françoise. "L’équité judiciaire, de l’ombre à la lumière : archéologie d’une exception singulière aux règles de la publicité immobilière." McGill Law Journal 55, no. 4 (February 16, 2011): 819–67. http://dx.doi.org/10.7202/1000786ar.

Full text
Abstract:
Québec (P.G.) c. Développements de demain soustrait la concession tacite de la propriété superficiaire à l’article 2938 C.c.Q., qui exige en termes pourtant non équivoques que la constitution de tout droit réel immobilier soit soumise à la publicité. Or, la propriété superfi-ciaire est indéniablement un droit réel immobilier puisque l’article 1009 C.c.Q. la qualifie de modalité du droit de propriété. Comment expliquer alors cette singulière exception à la publicité immobilière ? L’auteure dévoile le caractère friable de la motivation proposée par la Cour d’appel et procède à son archéologie juridique. Elle remonte jusqu’à Delorme c. Cusson, une décision de la Cour suprême du Canada de 1897 qui est à l’origine d’une jurisprudence québécoise qui régularise certains empiétements immobiliers en constatant la création ou le transfert implicite de droits réels immobiliers principaux, tel le droit de superficie. C’est dans le contexte de ce mimétisme transsystémique contestable basé sur l’équité judiciaire que la propriété superficiaire concédée de manière tacite est affranchie des règles fondamentales de la publicité immobilière. Delorme c. Cusson est ainsi le péché originel commis contre le droit strict québécois au nom du serpent tentateur « équité » dans le jardin transsystémique de la Cour suprême du Canada, dont les juges québécois ont depuis recueilli les fruits.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Stoczkowski, Wiktor. "Race." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.042.

Full text
Abstract:
La notion de race est ancienne, et ses significations n’ont jamais cessé de se transformer. Dès le XVIe siècle, le mot race désignait les membres d’un lignage. Par conséquent, l’espèce humaine devenait une race puisque la Bible lui donnait pour ancêtres communs Adam et Ève. Un peuple se réclamant d’un ancêtre mythique pouvait également être qualifié de race : on disait par exemple que les Juifs étaient de la race d’Abraham. Le terme a parfois été synonyme de dynastie royale, elle aussi dotée d’un ancêtre commun. L’Encyclopédie utilise le terme principalement dans ces trois acceptions, parlant aussi bien de race humaine que de race d’Abraham ou de race des Capétiens (L’Encyclopédie 1777 et 1778). Parallèlement, le XVIIIe siècle voit se répandre l’usage zoologique de la notion de race, employée pour désigner les variétés infra-spécifiques d’animaux, surtout des animaux domestiques, tels les chiens, les chevaux ou les bovins (Buffon 1749a et 1755). En même temps, les naturalistes étendent son application aux variétés de l’espèce humaine. On considère alors que les différences biologiques entre groupes humains géographiquement séparés sont solidaires de leurs différences culturelles, les unes et les autres engendrées par l’influence conjointe du sol, du climat et de la nourriture (Buffon 1749b). En accord avec la théorie humorale alors en vogue, on pense que le sol, le climat et la nourriture influencent les quatre humeurs physiologiques (bile jaune, sang, bile noire, pituite), dont l’interaction détermine le degré d’un tempérament (mélancolique, flegmatique, bileux, sanguin), lequel décide à son tour à la fois de l’anatomie des hommes et de leur caractère, mentalité, mœurs et organisation sociale (Greenwood 1984). Aucun consensus n’existait en revanche quant au nombre de races d’hommes, tantôt porté à plusieurs dizaines, tantôt réduit à trois et dont chacune était assimilée à la descendance d’un des trois fils de Noé. Les races humaines étaient disposées sur les échelons supérieurs de la Grande Échelle des Êtres, qui menait des formes animales les plus simples jusqu’à l’homme le plus perfectionné, identifié invariablement au Blanc. Le Noir, et plus particulièrement le Hottentot, occupait la limite inférieure de l’humanité, où il côtoyait l’Orang-outang placé au sommet du monde animal (Dictionnaire des sciences médicales, 1819, Sebastani 2013). Si la plupart des Européens du XVIIIe siècle croyaient à la supériorité des Blancs, tous n’en déduisaient pas les mêmes conclusions. Certains estimaient que les autres races pouvaient éventuellement acquérir la civilisation et devenir, avec le temps, à la fois égales aux Blancs et blanches de peau, blanchies sous l’effet de la civilisation. D’autres restaient convaincus que la supériorité des Blancs était un immuable fait de nature, ce qui condamnait les autres races, surtout les Noirs, à une éternelle soumission, faisant d’eux ce que Aristote avait appelé les esclaves par nature. Les débats raciologiques du XIXe siècle consacrèrent l’opposition plus ancienne entre le monogénisme et le polygénisme (Blanckaert 1981). Les monogénistes clamaient qu’il n’y a qu’une seule espèce humaine, différenciée à partir d’un type originel ; les polygénistes soutenaient qu’il existe depuis toujours plusieurs espèces humaines invariables, pourvues de propriétés spécifiques, aussi bien biologiques que mentales. La théorie darwinienne (1859) n’a modifié que modestement les grandes lignes de ce débat : les degrés de l’Échelle des Êtres seront désormais considérés comme les étapes consécutives de l’évolution, tandis que les races inférieures se verront identifiées aux races moins évoluées. Les polygénistes darwiniens pouvaient renoncer à l’axiome de l’invariabilité des races dans la très longue durée préhistorique, mais ils s’accordaient avec les monogénistes darwiniens à établir une hiérarchie linéaire des races selon leurs formes anatomiques, auxquelles on croyait pouvoir associer une gradation de facultés morales, intellectuelles et civilisatrices, tenues pour héréditaires et difficilement modifiables dans la courte durée historique. Dès la fin du XVIIIe siècle, des mesures anthropométriques variées ont commencé à être proposées, dans l’espoir de quantifier le degré d’avancement moral et mental des races à partir d’indices anatomiques : ce fut l’un des fondements de l’anthropologie physique du XIXe siècle. La théorie darwinienne de la sélection naturelle a contribué à légitimer la vieille idée de la lutte des races pour la survie. On s’est mis à redouter que les races inférieures, réputées plus fertiles, n’en viennent à bout des races supérieures. Le XIXe siècle fut particulièrement marqué par la hantise du mélange racial, censé conduire à la contamination de la « substance germinative » des races supérieures et à leur dégénérescence consécutive. Dans la première moitié du XXe siècle, l’idéologie nazie offrit l’un des aboutissements extrêmes de cette conception. On y trouve une combinaison de nombreuses composantes des théories raciologiques antérieures : une classification raciale rigide, la hiérarchisation des races en supérieures et inférieures, la conviction que les différences anatomiques correspondent aux différences culturelles, l’idée d’une inégalité morale, intellectuelle et civilisatrice des races, la crainte d’une dégénérescence raciale par le métissage qui altère le « sang » de la race supérieure, la croyance qu’une menace pèse sur la race supérieure du fait de la fertilité plus grande des races inférieures, la doctrine de la lutte entre les races comme force motrice du progrès. L’idéologie nazie fut une sinistre synthèse d’au moins deux siècles de développement de la pensée raciale. Lorsque la Deuxième Guerre prit fin, l’Occident tenta de faire le procès à son héritage intellectuel. L’UNESCO exprima une conviction alors inédite en inscrivant dans sa constitution l’idée selon laquelle les atrocités de la récente guerre avaient été rendues possibles par la croyance à l’inégalité des races. Pour rendre impossibles de nouveaux Auschwitz, on décida alors de faire disparaître la notion de races humaines, source présumée de l’horreur suprême. Dans leur déclaration de 1950, les experts de l’UNESCO affirmèrent l’unité fondamentale de l’espèce humaine et reléguèrent la diversité biologique des hommes à un second plan, en tant qu’épiphénomène de divers mécanismes évolutifs de différentiation. La Déclaration de l’UNESCO portait les marques de la toute récente théorie synthétique de l’évolution, dont les principes ramenaient la « race » à un résultat éphémère de la circulation des gènes entre les populations, seules entités réellement observables (UNESCO 1950, Stoczkowski 2008). La conjonction du contexte politique et de l’émergence de la génétique des populations conduisit, à partir des années 1950, à l’abandon progressif de la notion de race, surtout en sciences sociales. Les humanités multiples des théories raciologiques se muèrent en l’Homme universel de l’UNESCO. Pourtant, la génétique des populations n’a pas tenu les promesses dont on l’avait initialement investie en espérant que la recherche allait démontrer l’inexistence des races humaines, ce qui devait invalider toute possibilité de rabattre les différences de culture sur les différences de nature, selon le subterfuge séculaire qui avait maintes fois servi à justifier les inégalités, les discriminations et les oppressions. N’étaient pas moindres les attentes suscitées ensuite par l’exploration du génome humain : elle devait porter le coup de grâce au concept de race et aux préjugés que ce concept implique. En juin 2000, lors des célébrations qui marquèrent la publication de la première esquisse de la carte du génome humain, J. Craig Venter, directeur de l’entreprise de recherche génétique Celera, répéta que « la notion de race n’a aucun fondement génétique ni scientifique » (Marantz Henig 2004). Aujourd’hui, les résultats de la recherche sur le génome humain semblent moins univoques (Stoczkowski 2006). Il est certes réconfortant de savoir qu’aucun doute ne subsiste sur l’unité génétique de l’espèce humaine. Pourtant, après une première période consacrée à la description des similitudes génétiques, les travaux actuels s’orientent de plus en plus vers l’exploration de la diversité de notre espèce. Plusieurs études publiées récemment tendent à démontrer que des données génétiques permettent bel et bien de faire la distinction entre les individus originaires d’Europe, d’Afrique et d’Extrême-Orient, c’est-à-dire entre les populations traditionnellement réparties par la pensée ordinaire entre les trois grandes « races » : blanche, noire et jaune (Bamshad et al. 2003, Rosenberg et al.,2002, Watkins et al. 2003). Ces travaux dérangent et inquiètent. Ils dérangent car on s’attendait à ce que la génétique rende définitivement illégitime toute classification biologique des humains. C’est le contraire qui semble advenir sous nos yeux. Au lieu de prouver que l’ordre du phénotype, privilégié par la pensée ordinaire, s’écarte de l’ordre du génotype étudié par la science, les travaux récents suggèrent que certaines classifications « raciales » – pour autant qu’elles soient fondées non sur la seule morphologie, mais plutôt sur l’origine géographique – peuvent refléter approximativement une partie de la diversité humaine établie par la génétique moderne (Bamshad et al. 2003; Rosenberg et al. 2002; Watkins et al. 2003). Ces travaux inquiètent aussi, car nul n’ignore que l’étude des différences entre les hommes peut fournir des arguments à ceux qui veulent diviser l’humanité, porter les distinctions à l’absolu, les juger scandaleuses et insupportables. Les généticiens ne manquent pas de souligner que les groupements formés à partir de leurs modèles diffèrent des anciennes catégories raciales, puisque les écarts entre les classes génétiques sont statistiques, relatifs, mouvants, soumis aux vicissitudes de l’histoire faite non seulement de séparations, mais aussi de migrations et de croisements. Il n’en demeure pas moins que le risque existe que les résultats de ces travaux nourrissent à nouveau le phantasme de divergences insurmontables inscrites dans le corps des humains. Les controverses sur la classification infra-spécifique des humains sont loin d’être closes. Quelles que soient les conclusions qui remporteront finalement le consensus de la communauté scientifique, il est probable que la pensée antiraciste soit confrontée dans un avenir proche à une nouvelle légitimité scientifique des classements des humains à partir de critères biologiques, cette fois dans un contexte social où l’aspiration à l’égalité ne passe plus par l’effacement des différences biologiques mais, au contraire, par leur revendication de la part des dominés. Après l’expérience du nazisme, dont l’intérêt exacerbé pour les différences biologiques déboucha sur l’abomination de la Shoah, on était enclin à considérer que toute théorie de la différence biologique devait nécessairement conduire au racisme. On en est moins sûr de nos jours, en observant que les minorités auparavant opprimées cherchent à adosser leur combat contre les inégalités à une théorie de la différence biologique (Oak Ridge National Laboratory). Hier, désireux d’expier le péché de racisme, l’homme blanc fit appel à la science pour rendre insignifiantes les différences biologiques entre les humains ; aujourd’hui, réclamant le droit à l’égalité, l’homme de couleur emploie la science pour donner aux différences biologiques une signification nouvelle. Cette résurgence de l’intérêt de la recherche pour la diversité de l’espèce humaine, en dépit du danger bien réel d’un détournement idéologique de ses résultats, encore très provisoires, peut devenir un antidote contre les spéculations naïves sur la race, qui ne manqueront pas de foisonner dans la culture populaire tant que les chercheurs seront incapables d’expliquer pourquoi les hommes, appartenant tous à la même espèce biologique, n’ont pas pour autant tous la même apparence.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Péché originel – Dans l'art"

1

Wajeman, Lise. "La parole d'Adam, le corps d'Eve : les "premiers parents" et le péché originel dans les textes et les images au XVIe siècle, en France, Allemagne et Italie." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2003PA040165.

Full text
Abstract:
La représentation d'Adam et Eve connaît au XVIe siècle une actualité particulière : le renouveau des traductions bibliques, l'importance des débats théologiques où s'affrontent Réforme et Eglise romaine imposent de reprendre entièrement la lecture du texte sacré ; plus particulièrement, l'histoire des premiers parents suscite l'intérêt d'un siècle fasciné par la question de l'origine et offre à la peinture la précieuse possibilité de représenter des figures humaines nues dans un cadre religieux. Le récit du péché originel, en Genèse, 3, cristallise une série d'oppositions fondamentales. La faute entraîne la chute vers notre humanité, c'est-à-dire qu'elle marque le passage de l'éternité à un temps arrêté par la mort, mais elle constitue aussi le moment de la naissance des corps, souffrants et jouissants, marqués par la différence sexuelle, et opère le basculement d'un monde régi par la transparence des signes, du langage, vers un monde marqué par l'opacité, le brouillage entre la vérité et le mensonge. Dès lors, la représentation du péché originel semble offrir à toute œuvre un miroir où réfléchir aux moyens dont elle dispose pour dire la vérité (chrétienne) et pour la transmettre au lecteur/ spectateur. Tandis que les textes opèrent d'avantage par la contrainte, imposent une lecture, les images ont tendance à rejouer le trouble de la faute initiale, déployant les charmes d'une séduction ambigue͏̈
The representation of Adam and Eve arouses particular interest during the sixteenth century. The renewal of Bible translations, the importance of the theological debate between the Reformation and the Roman Church lead to a plethora of entirely new readings of the Holy Book ; the story of the first genuine couple raises questions in a century fascinated by the problem of origins and makes it possible to represent naked figures in a religious context. Original sin, as recounted in Genesis 3, crystallises a series of fundamental oppositions. It induces the fall, i. E. The change from eternal life to a lifetime measured by death, but it also brings life to the body, as a source of pain and pleasure, marked by the differences of gender, and turns a world in which clear signs and language reign into a world of darkness, where the line between truth and falsehood blurs. The representation of original sin seems then to become a mirror in which a work of art can contemplate itself and reflect upon how to bring (christian) truth to the reader/ viewer. While the written word tends to restrict the reader's freedom and force a certain interpretation upon him, pictures tend to reenact the confusion brought about by original sin and make full use of their ambiguous seduction
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Bacha, Lilia. "Le regard en-péché." Paris 1, 2012. http://faraway.parisnanterre.fr/login?url=http://www.harmatheque.com/ebook/9782343058085.

Full text
Abstract:
La femme qui m'est arrivée. Redéfinir la femme à travers le regard qu'on lui porte. S'intéresser dans ce cas au regard qui va se promener sur son corps : coupable, interdit, voyant, magique, unique, second, aveugle. . . S'intéresser aussi au corps regardé : son troisième œil, son obscénité, sa monstruosité, sa duplicité, son androgynie, sa dominante féminine. . . Proposer ici une nouvelle conception de la 'awra, ce terme arabe dont un sens est « borgne », et qui désigne à la fois les parties qu'il faut cacher, le corps et la femme. Mieux comprendre l'attitude ambivalente face au corps regardé, c'est-à-dire cette voix de l'oeil qui dit : « ferme les yeux et regarde à travers les paupières ». S'intéresser à la voix de l'oeil : interdit, et dépassement. Aborder la transgression par la question de l'intouché intouchable paradoxalement déjà touché, et celle du retouché. Hawa', une sorte de « troisième être » se dessine alors et se distingue de la femme. Prendre conscience de l'existence de cette autre femme qui arrive aux hommes et aux femmes, cette autre de l'autre, oscillant entre le sale et le sacré, l'inhumain et le surhumain, celle qui est tout ce qui n'est pas humain. . .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Bellec, Eugène. "La thématique de la dignité de l'homme en France dans la seconde moitié du XVIe siècle." Paris 12, 1998. http://www.theses.fr/1998PA120056.

Full text
Abstract:
La france, dans la seconde moitie du xvie siecle, vit une periode de troubles que l'on appellera plus tard "guerres de religion". Le catholicisme traditionnel et la reforme calviniste s'opposent violemment sur la difficile question de la dignite de l'homme. Pleinement d'accord sur la splendeur de la nature humaine sortant des mains de son createur, ils sont profondement divises sur l'ampleur du peche originel ses consequences et son caractere irremediable. Les catholiques considerent que le sacrifice du christ, qui les a rachetes, et le bapteme, qui les a laves du peche, leur ont redonne une "dignite humaine" suffisante pour qu'ils puissent, en agissant bien, gagner l'estime de leurs semblables ici-bas et meriter dans l'au-dela le salut eternel. Les protestants se reconnaissent indignes de nature et incapables de faire le bien. Ils s'en remettent totalement a dieu qui, en leur donnant la foi, les informe qu'il les a predestines au salut. Reconnaissants ils s'efforcent alors de manifester ici-bas non la dignite de l'homme mais la "dignite de l'elu"
In the second half of the 16th century france witnessed a period of strife that we will later identify as the "wars of religion". Catholics and calvinist reformers violently confronted each other over their opposing conceptions of the dignity of man. Even though they agreed on the glory of man as a special creation of god, the two groups were deeply divided over the significance of original sin, its consequences and its irremediable nature. The catholics believed that the sacrifice of christ which atoned for their sins and the baptism which washed away sin would, when acting according to god's laws, restore their human dignity which, in turn, would allow them to win the esteem of their fellow man in this world, and earn eternal salvation in the here after. The protestants recognized their natural impurity and their inability to do good. They gave themselves completely to god who, in giving them faith, revealed that they were predestined for salvation. Thankful protestants would endeavour to demonstrate in this world not the dignity of man but the dignity of man chosen by god
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Rousiers-Gonçalves, Cécile de. "Le péché dans l'oeuvre de Grégoire de Nysse." Dijon, 2008. http://www.theses.fr/2008DIJOL009.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Pewzner, Évelyne. "Le problème de la culpabilité dans la psychopathologie occidentale : essai d'élucidation théorique de l'expérience personnelle du mal et de la culpabilité en Occident : la mélancolie et la névrose obsessionnelle dans l'univers des symboles occidentaux." Rennes 2, 1989. http://www.theses.fr/1989REN20014.

Full text
Abstract:
Cette thèse recherche un rapport significatif entre la psychopathologie et la culture. En occident la culpabilité peut être considérée comme une notion clé, car elle influence l'expression de la souffrance psychique et les principales hypothèses interprétatives. L'étude des fondements culturels de la culpabilité occidentale conduit à une réflexion sur la spécificité de la problématique du mal dans les traditions grecque, juive et chrétienne. La doctrine chrétienne du péché originel favorise la culpabilité ontologique, difficilement concevable dans toute autre tradition. La différence entre la tradition gréco occidentale et la tradition juive est soulignée. L'étude historique, psychologique et anthropologique de la personnalité occidentale insiste sur la place de l'individualisme. On souligne les analogies entre la personnalité culturelle et la personnalité décrite dans la mélancolie et la névrose obsessionnelle. Ces deux entités font l'objet d'une étude historique et psychopathologique. L'amalgame entre la folie et la faute dans l'histoire de la psychiatrie occidentale est souligné. Toute perspective herméneutique requiert une connaissance de l'univers de sens qui, en occident, est centré sur le péché et la recherche du salut individuel. La pertinence de l'approche psychanalytique est rapportée à la place centrale faite par cette doctrine à la culpabilité. L'approche pluridisciplinaire est jugée nécessaire, car elle permet d'accéder à la connaissance du collectif mythico symbolique domine en Occident par les mythes orphique, adamique et prométhéen
This research tries to find a significative relation between psychopathology and culture. In the western world guilt appears as a key notion in the expression of the psychical pain and in the main interpretations of it. The study of the cultural foundation of western guilt leads to a reflexion on the specificity of the problem of evil in Greek, Jewish and Christian traditions. The Christian doctrine of original singives an exceptional place to ontological guilt. The difference between the graecowestern thought and the Hebraic thought is emphasized. The historical, psychological and anthropological study of the western personality insists on the importance of individualism. The analogy between the cultural personality and the personality described in melancholy and in obsessive compulsive neurosis is emphasized. An historical and psychopathological study of these two forms is proposed. The amalgation of madness and of fault in the western psychiatry is emphasized. Interpretation demands the knowledge of the world of meaning, centred, in the western tradition, on sin and on the research of the individual salvation. The pertinence of the psychoanalytical point of view is referred to the central place of guilt in the Freudian theory. The pluridisciplinary approach is required : it leads to the knowledge of the mythicosymbolic complex, dominated, in the western world, by the myths of Orpheus, Adam and Prometheus
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Frantz, de Spot Anaïs. "La pudeur au secret de la littérature : pour une autre lecture du "péché originel". Marguerite Duras, Violette Leduc." Thesis, Paris 3, 2010. http://www.theses.fr/2010PA030081.

Full text
Abstract:
La thèse rend compte d’une tentative de repenser le rapport entre la pudeur et la littérature : non pas la pudeur dans la littérature ou une littérature de la pudeur mais le geste littéraire comme un geste de pudeur. Pour cela, la première partie de la thèse s’emploie à découvrir la pudeur (en français, en Occident), c’est-à-dire à tomber le voile des discours dogmatiques qui forgèrent le mythe d’une « pudeur féminine » depuis l’interprétation canonique de l’épisode biblique du « péché originel », pour mettre en évidence la nudité textuelle du sujet auctorial (du latin augeo qui signifie « augmenter » et qui donne le nom d’« auteur » en français). L’hypothèse est que sous le couvert d’une interdiction sexuelle et du voile posé sur le « féminin », la « pudeur féminine » dissimule une complexité générique : il s’agit de l’articulation problématique dont la littérature transporterait le secret entre les genres biologiques (humain-animal), les genres grammaticaux (masculin-féminin) et les genres du discours (religieux ou philosophique-littéraire). Dans une deuxième partie, la thèse examine les effets de la pudeur auctoriale à partir d’un corpus constitué de textes de Marguerite Duras et de Violette Leduc relevant des genres littéraires de l’intime mais dont la reprise fictionnelle est assumée par les auteurs : l’autobiographie (La Bâtarde et, dans une certaine mesure, L’Amant de la Chine du Nord), le journal et la lettre (Aurélia Steiner et L’Affamée). Cette étude est sous-tendue par deux axes de lecture qui mettent en évidence la déconstruction de « l’intérieur » à laquelle œuvre la pudeur : une responsabilité poétique et une franchise littéraire
This thesis is an attempt to rethink the relationship between pudeur (a sense of shame) and literature : it is not about shame in literature or about the literature of modesty but about the literary act as an act of pudeur. The first part of the thesis is a discovery of modesty (in French, in the occident) ; in other words it is a dropping of the veil of the discourses which, since the canonical interpretations of « original sin » in the Bible, have forged the myth of a « female modesty ». This will highlight the textual nudity of the auctorial subject (« auctorial » : from the latin augere, meaning « to increase » which is at the root of the word for « author »). Under a covert sexual interdiction and a veil wrapped round the « feminine », female modesty dissimulates a generic complexity : the problematic articulation between species (human-animal), genders (male-female), and genres (religious or philosophical-literary) of which literature might hold the secret. In its second part the thesis examines the effects of pudeur auctoriale as revealed in a series of texts by Marguerite Duras and Violette Leduc. Among the intimate genres that these authors revisit in fiction there are : the autobiography (La Bâtarde and, to a certain extent L’Amant de la Chine du Nord), the diary and correspondence (Aurélia Steiner and L’Affamée). This study underlines the deconstruction from the inside towards which pudeur tends : a poetic responsibility and a literary honesty
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Perugino, Dominic. "Peut-on vouloir le mal pour le mal dans la pensée de Thomas d’Aquin?" Thèse, 2012. http://hdl.handle.net/1866/9768.

Full text
Abstract:
Ce mémoire propose une analyse de la théorie de la volonté en relation avec le mal dans la pensée de Thomas d’Aquin. Le mal est une privation d’être et l’être est identique au bien. La volonté est une forme intellectuelle d’appétit, ainsi que la gouvernante des puissances inférieures, mais aussi de la raison qui est à la fois son principe. L’appétit est un mouvement vers ce qui est le bien d’une nature, il est donc difficile d’accepter que la volonté puisse élire son contraire qui est le mal. La thèse de Platon selon laquelle le mal n’est désiré que par ignorance est écartée, puisque le propos de Thomas est d’expliquer le consentement en faveur du mal connu. Or, si le mal peut être voulu, on ne peut le vouloir sans le référer au bien. Ainsi, le libre arbitre, bien qu’ayant Dieu pour principe, est le principe du premier mauvais choix. La compréhension de la problématique passe par la division de ce qui appartient à l’extérieur de la volonté et ensuite à l’intérieur. De soi, un acte extérieur peut être immoral, comme le vol, mais la volonté d’une intention bonne qui choisit cet acte devient mauvaise, bien qu’elle garde le mérite de sa bonne intention. Son choix mauvais est parfois dû à une certaine ignorance, mais, puisque nous n’ignorons pas toujours le mal, il faut attribuer une faiblesse à la volonté, car elle n’accomplit pas pleinement sa nature. Quand elle répète ses actes de faiblesse à l’égard du mal, elle se dispose à accueillir l’habitus de la malice, et alors elle cherche d’elle-même le mal. Aucun de ces principes, cependant, ne peut s’appliquer à l’homme originel ni au diable. Ceux-ci n’auront pour principe de leurs choix que l’orgueil dans le libre exercice de la volonté.
This paper proposes to analyse the theory of will in interaction with evil in Thomas Aquinas’s thought. Evil is a privation of being, and being is identical to good. The will is an intellectual form of appetite, as well as the governor of lower faculties and of reason, which is also its principle. Appetite is a movement towards the good of a nature; it is therefore difficult to accept that will could elect its opposite, which is evil. Plato’s thesis consisting of attributing the will towards bad to ignorance is discarded, because Thomas’s explanation concerns the consent towards evil witch is known. Now, if evil can be wanted, we cannot want it without referring it to good. In that way, free will, though having God for principle, is the principle of the first bad choice. The comprehension of the problem has to go through the division of that which belongs to the will’s exterior and to it’s interior. In itself, an exterior act can be immoral, like stealing, but the good intentioned will that choses this act then becomes evil, keeping nonetheless the merit of its good intention. The bad choice is sometimes attributable to ignorance, but since we do not always ignore evil, we have to accuse a certain weakness in the will for not being able to fulfill its nature. When it repeatedly acts weakly towards evil, it makes itself available for the mischievous habitus, and it then, on its own, searches the evil act. None of these principles, though, can apply to the original man or for the devil. They will not have any other principle for their choice than that of pride in the free exercise of their will.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Book chapters on the topic "Péché originel – Dans l'art"

1

La Vergata, Antonello. "La bête dans l’homme : péché originel ou origine de la moralité ?" In L’animal symbole. Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, 2019. http://dx.doi.org/10.4000/books.cths.5134.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Valente, Luisa. "Adam et la nature humaine avant le péché originel dans le IIe livre des Sentences de Pierre Lombard." In Adam, la nature humaine, avant et après, 19–43. Éditions de la Sorbonne, 2016. http://dx.doi.org/10.4000/books.psorbonne.14369.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography