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Journal articles on the topic 'Peinture et nature'

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Saint-Martin, Fernande. "La vie et la mort en peinture." Études littéraires 31, no. 1 (April 12, 2005): 59–74. http://dx.doi.org/10.7202/501224ar.

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Abstract:
L'abstraction visuelle ne constituerait pas d'abord une réflexion sur la nature du beau en soi, mais une approche cognitive renvoyant aux épistémologies et aux idéologies des époques où elle se manifeste. L'étude de différents discours tenus sur l'abstraction picturale au XIXe et au XXe siècles permet de suivre les valeurs attribuées à cette notion, notamment autour de l'opposition entre le vitalisme et la mort à partir des réflexions d'A. Riegl et W. Worringer. La différenciation entre l'abstrait et le concret, le sujet et l'objet se voit ainsi constamment relancée, dans la possibilité de leur réversibilité.
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Szkopiński, Łukasz. "Une peinture sombre de l’amour dans Les Ombres sanglantes." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 16 (May 19, 2021): 251–60. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.16.23.

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Abstract:
La présente étude a pour objectif de se pencher sur le thème de l’amour dans Les Ombres sanglantes (1820) de J. P. R. Cuisin. Quatre histoires de ce recueil seront analysées dans ce but : La demeure d’un parricide, ou le triomphe du remords ; L’Infanticide, ou la fausse vertu démasquée ; La guérite de la religieuse, ou la vestale prévaricatrice ; et Niobé, ou l’élève de la nature. On s’intéressera particulièrement aux crimes décrits par l’auteur dans chacun de ces récits : le parricide, l’infanticide, la rupture des vœux religieux et l’inceste. La manière violente, corrosive et parfois caricaturale dont les différentes relations sentimentales, souvent de nature illicite, voire pathologique, sont peintes dans Les Ombres sanglantes diverge considérablement de la vision de l’amour typique du roman noir tel qu’il se pratique en France à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe, et marque clairement l’avènement du genre frénétique de plus en plus présent dans la littérature française de cette période.
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3

Gharbi, Farah Aïcha. "Femmes d’Alger dans leur appartement d’Assia Djebar : une rencontre entre la peinture et l’écriture." Études françaises 40, no. 1 (June 21, 2004): 63–80. http://dx.doi.org/10.7202/008476ar.

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Abstract:
Résumé Femmes d’Alger dans leur appartement d’Assia Djebar est un recueil de nouvelles qui entretient un rapport dialogique avec la peinture puisqu’il emprunte son titre aux tableaux de Delacroix et de Picasso et qu’il s’en inspire pour élaborer un parcours narratif racontant l’histoire des femmes d’Alger. C’est la rencontre entre la peinture et l’écriture, la nature, le fonctionnement et les conséquences d’un tel échange qu’analyse cet article, et ce, plus précisément à travers la première longue nouvelle du recueil, récit éponyme composé en 1978 qui présente une réécriture au féminin des Femmes d’Alger romantiques et cubistes de l’histoire de l’art. En lisant les tableaux et en déchiffrant les codes picturaux qu’ils mettent en oeuvre, Djebar se les approprie et les médiatise dans le cadre de sa nouvelle à même deux espaces diégétiques, celui du rêve et celui de la mémoire, au sein desquels les Femmes d’Alger prennent vie, parole et se dévoilent. Ce projet entraîne, de ce fait, l’exercice et le déploiement de procédés d’écriture particuliers, à la croisée du texte et de l’image.
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Gyss-Vermande, Caroline. "Démons et merveilles : vision de la nature dans une peinture liturgique du XVe siècle." Arts asiatiques 43, no. 1 (1988): 106–22. http://dx.doi.org/10.3406/arasi.1988.1239.

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5

Vilar, Pierre. "Un pantalon cousu de fil blanc : Beckett et l’épreuve critique." Études françaises 42, no. 2 (October 25, 2006): 85–102. http://dx.doi.org/10.7202/013865ar.

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Abstract:
Dans Le monde et le pantalon, publié pendant l’hiver 1945-1946 dans les Cahiers d’art dirigés par Christian Zervos, Samuel Beckett propose une présentation largement paradoxale des oeuvres de Gerardus et Abraham van Velde à l’occasion de deux expositions parisiennes parallèles. À partir d’une réflexion directement issue de la courte histoire drôle qu’il place en exergue, Beckett dispose en effet un discours savant constamment contredit par les sautes de langue, les effets de dialogue fictif et une dialectique serrée méthodiquement paradoxale. Notre étude voudrait montrer comment s’articulent dans ce texte — tenu trop souvent pour métapoétique ou programmatique, entre la rédaction de Watt et celle de Mercier et Camier — une énigmatique et une rhétorique qui ont bel et bien affaire au discours sur la peinture, et à la nature complexe de ce type de discours. Cela ne peut se faire sans situer le cadre de la publication, éclairer certaines de ses références et certains présupposés, sans décrire enfin la structure surprenante de cet article foisonnant, en apparence disparate mais fondé sur des dispositions curieusement précises et précisément agencées. En un mot, on voudrait en souligner la dimension délibérément rhétorique, établie sur les ruines de la rhétorique.
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Gasse-Houle, Magali. "Les natures mortes de Chardin : l’échec de l’écriture dans les Salons de Diderot." Études françaises 40, no. 3 (December 20, 2004): 151–65. http://dx.doi.org/10.7202/009741ar.

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Abstract:
Résumé Dans les Salons de Diderot, il y a quelques tableaux où se bute l’écriture, où la parole est mise en échec. Il y a un peintre, un peintre très admiré, devant les oeuvres duquel la verve de Diderot se tarit. Et ce peintre est Chardin. Certes on peut affirmer que Diderot a développé tout un savoir pictural grâce à Chardin, le tapissier, savoir qui aura enrichi les Salons. Mais qu’a dit, en vérité, Diderot sur les natures mortes de Chardin, presque rien. En fait, ses commentaires, partant de la simple énumération des choses représentées sur la toile, puis de l’étude de la singulière manière du peintre, de son « faire », se révèlent impuissants à expliquer la véritable beauté des oeuvres. C’est donc ce mouvement de l’écriture vers un inévitable silence de la peinture qu’il s’agissait de tracer, mouvement qui passe des objets au « technique », et qui se perd, enfin, dans l’homme, l’homme Chardin…
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7

Lombardo, Patrizia. "Tendresse et pudeur chez Stendhal." Philosophiques 35, no. 1 (June 25, 2008): 57–70. http://dx.doi.org/10.7202/018235ar.

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Abstract:
Résumé Cet article traite de l’ironie comme valeur esthétique, et donc affective, chez Stendhal. Les phénomènes affectifs varient en nature et en intensité, et une même émotion peut être colorée différemment (les adjectifs indiquent ses nuances, comme « douce nostalgie » ou « nostalgie désespérée »). L’ironie implique une gamme complexe d’aspects et de degrés : elle peut être satirique, comique, tragique, nihiliste, paradoxale, etc. Je considère d’abord les types d’ironie que Stendhal a évités. Il rejetait à la fois la satire tragique de Chateaubriand et l’ironie romantique nihiliste. Je considère ensuite la théorie stendhalienne du rire, suggérée par plusieurs de ses écrits dans lesquels il réfléchit sur diverses formes de comédie tout en développant son propre idéal tel qu’il apparaîtra dans ses romans principaux (voir Journal littéraire, Histoire de la peinture en Italie, Racine et Shakespeare, et Correspondance). Tout en se référant à Hobbes et à sa définition du rire comme sentiment de supériorité, il ne semble pas tout à fait convaincu par sa théorie et insiste sur les deux conditions indispensables de l’effet comique : la clarté et la rapidité. Ces deux éléments deviennent essentiels dans son style littéraire. Stendhal n’a pas de doute sur la supériorité affective des modernes sur les anciens : il ne revient qu’aux modernes, formés par la sensibilité chrétienne, de ressentir des émotions tendres. La tendresse doit colorer tout, et le roman doit atteindre l’idéal de l’opéra-bouffe, où le comique est « un mélange de gaieté et de tendresse », tandis que l’écrivain masque sa propre tendresse par une douce ironie envers ses personnages préférés.
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8

Abdel El-Rawas, Nisrine. "Espaces narratifs: l’expression du temps dans l’image fixe." Hawliyat 14 (October 20, 2018): 141–64. http://dx.doi.org/10.31377/haw.v14i0.141.

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Abstract:
Nous ne sortirons point d'un sentier battu en avançant que la narration par l'image est un phénomène aussi ancien que l'homme, et en réaffirmant que la première expression de la civilisation humaine était iconique avant d'être linguistique. Le potentiel narratif que possède l'image nous semble une telle lapalissade, peut-être inhérente à nos souvenirs d'enfance quand nous nous délections en regardant les copieuses illustrations d'un livre pour en comprendre l'histoire avant de lire le texte, que nous nous soucions peu d'en analyser les techniques. Dépassant ce stade d'un plaisir infantile sans pour autant le supprimer, notre objectif devient donc bien plus sémiotique que philosophique, psychanalytique ou historique, quoique nous devions nous référer quelque peu à l'Histoire de la peinture; il consiste à passer en revue les procédés techniques élémentaires par lesquels l'image, essentiellement monstrative par sa nature, raconte une histoire. Au moyen de l'étude de quelques images ayant une intention narrative (images uniques d'une part, et bande dessinée d'autre parti ), cet article tentera d'expliquer comment un récit chronologique linéaire se trouve généré par un espace représentatif tabulaire.
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Lemaire, Nathalie. "Écrire, traduire, réviser les textes expographiques." FORUM / Revue internationale d’interprétation et de traduction / International Journal of Interpretation and Translation 16, no. 1 (September 27, 2018): 76–102. http://dx.doi.org/10.1075/forum.00006.lem.

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Abstract:
RésuméCet article s’appuie sur notre révision française unilingue argumentée d’un corpus de panneaux de salle et des cartels prédicatifs d’expositions internationales de peinture. Les anomalies détectées dans ces textes expographiques (cibles et sources) ont fait l’objet d’un triple classement – par nature, par effet produit sur le visiteur-lecteur et par origine (présence/absence de l’anomalie considérée dans le texte de départ et association ou non de l’anomalie à une erreur de traduction). L’examen de la corrélation entre la correction (ou l’incorrection), la cohérence (ou l’incohérence), l’efficacité (ou l’inefficacité) d’un même passage dans le texte de départ et le texte d’arrivée livre, en effet, des indications sur les points critiques – remédiables – mais aussi sur les lignes de force – exploitables – du processus de coconstruction de la qualité rédactionnelle par les intervenants de la chaine éditoriale. Nous illustrons notre propos par des exemples tirés des trois cas de figure modélisés : (1) transfert, dans la traduction française, d’anomalies observables dans le texte de départ ; (2) dégradation, dans la traduction française, de la qualité rédactionnelle observée dans le texte de départ ; (3) amélioration de la qualité rédactionnelle du texte d’arrivée par rapport à celle du texte français de départ. Ces exemples sont ensuite mis en lien avec les bonnes pratiques d’assurance qualité rédactionnelle émergentes en édition multilingue. La combinaison de ces bonnes pratiques, adaptée aux caractéristiques du texte expographique informatif, forme l’essentiel de nos recommandations aux responsables de la communication plurilingue dans les musées soucieux de mieux contrôler les risques de l’édition multilingue et de tirer profit des synergies de la qualité rédactionnelle assurée à six mains (et plus).
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Beyaert-Geslin, Anne. "De la texture à la matière." Hors dossier 36, no. 2 (October 1, 2008): 101–10. http://dx.doi.org/10.7202/019026ar.

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Abstract:
Si la sémiotique a montré l’importance de la texture dans la signification, la dimension de la matière a été largement négligée. L’article s’efforce de distinguer ces deux dimensions et de caractériser la matière de façon à en montrer l’intérêt pour la sémiotique. En première approximation, la texture se laisse concevoir relativement à la pratique de la peinture alors que la matière nous situe généralement en dehors des pratiques ; mais, en certains cas, elle peut caractériser la peinture et décrit alors une épaisseur du tableau, une tridimensionnalité. Nous partirons de ce constat pour décrire, au travers des oeuvres de Joseph Beuys, la matière comme un actant pouvant régir, au-delà de la forme énoncée, la signification dans son acception la plus large. Décrire ces oeuvres telles des natures mortes nous permettra de montrer que la matière est une structure narrative imposant dès l’abord une axiologie.
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Lecompte, Jérôme. "Le génie de Néron : l’hypotypose comme subversion de la rhétorique dans Britannicus de Racine." ACTA UNIVERSITATIS LODZIENSIS. FOLIA LITTERARIA ROMANICA, no. 11 (April 24, 2016): 175–85. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.11.13.

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Abstract:
Depuis le XVIIIe siècle, la critique a souvent célébré la peinture et l’harmonie dans les vers de Racine. Les sédiments de la littérature, avec le déclin de la rhétorique, ont vite recouvert ce qui dépendait de l’art de parler. La subversion de la rhétorique, dans l’hypotypose de Britannicus, a pu contribuer à ce phénomène. En mauvais orateur, Néron porte sur Junie un regard sans attention. Le iudicium se laisse déborder par l’ingenium : négligeant les signes d’un èthos naturel et modeste, Néron adopte la sophistique et ses charmes.
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Germain, Nathan. "La forêt comme « tremplin pour s’élever plus haut » : composition et représentation de la forêt de Fontainebleau entre réel et imaginaire chez Théodore Rousseau et Gustave Flaubert." Voix Plurielles 16, no. 2 (November 29, 2019): 5–21. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v16i2.2306.

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Abstract:
Théodore Rousseau, peintre paysagiste, et Gustave Flaubert, écrivain, ont tous les deux pensé la division entre le réel et l’imaginaire et ont travaillé dans la forêt de Fontainebleau, dont Rousseau a fait la renommée dans plusieurs tableaux, et où Flaubert situe un épisode important de son roman L’Éducation sentimentale (1869). Chez les deux artistes, l’importance du travail documentaire et de la composition d’après-nature est capitale. Or, ils ne pouvaient jamais se passer de la (re)composition, étape cruciale qui permet de « s’élever plus haut » afin de dévoiler les « virtualités secrètes » d’une existence qui se propage au-delà des surfaces des êtres. Cette étude se propose d’analyser des œuvres essentielles des deux artistes traitant de la forêt de Fontainebleau, pour voir quelles techniques picturales ou littéraires leur ont permis de construire une vision d’une forêt dynamique, en perpétuel devenir, qui nous fait entrevoir un monde naturel profond, caché, et dont la puissance dure « jusque par-delà le tombeau ».
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Gauchon, Christophe. "Les gorges de l’Ardèche et la grotte Chauvet." Téoros 28, no. 1 (May 6, 2014): 80–92. http://dx.doi.org/10.7202/1024839ar.

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Abstract:
Depuis les années 1950, les gorges de l’Ardèche, à l’ouest de la vallée du Rhône, sont devenues une destination majeure du tourisme de nature dans le sud de la France : la navigation en canoë s’est imposée comme une pratique massive, une route ouverte sur la rive nord offre de nombreux points de vue et une réserve naturelle a été créée en 1980. En décembre 1994, la découverte de la grotte Chauvet et de ses magnifiques ensembles de peintures rupestres datées de plus de 30 000 ans a modifié radicalement le paysage touristique : la grotte Chauvet s’ouvre en effet juste en face du célèbre pont d’Arc, à l’entrée même des gorges, là où la concentration des touristes était déjà la plus grande et la plus problématique. Certes, la grotte elle-même n’est pas ouverte aux visiteurs et elle ne le sera peut-être jamais pour des raisons de conservation. Mais on est passé de façon tout à fait inopinée et imprévisible d’une destination touristique dominée par la perception d’un patrimoine naturel, avec tous les problèmes de gestion afférents, à la prise de conscience que la région recelait aussi un formidable trésor d’ordre culturel. Comment se réorganise l’activité, comment se repositionnent les acteurs du tourisme face à une telle redéfinition des enjeux ?
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Lacroix, Jean. "La paix ailée de l’évangéliaire de Saint Francois d’Assise (les oiseaux du franciscanisme)." Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 14 (December 3, 2001): 153–72. http://dx.doi.org/10.1075/rein.14.11lac.

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Abstract:
I. Le bestiaire de Saint François est marqué au sceau de la non-agressivité d’une part et caractérisé, d’autre part, par des animaux qui appartiennent en général à l’univers familier et domestique des humains. II. Parmi ces créatures priment les oiseaux, trait d’union “naturel” entre ciel et terre, entre Dieu et les hommes, faits aussi bien les premiers que les seconds “à l’image de la Divinité”. III. Dans les écrits de Saint François d’Assise comme dans ceux de ses successeurs, héritiers ou épigones, l’oiseau “accompagne” la geste des frères mineurs, comme encore les peintres du XIIIè siècles et des XIVesiècles l’ont représenté sur leurs tableaux ou sur leurs fresques. L’oiseau de Saint François et des ses disciples est un emblème supplémentaire à un idéal de paix, de charitée et de pauvretée.
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CHIRA, Rodica-Gabriela. "Sophie Hébert-Loizelet and Élise Ouvrard. (Eds.) Les carnets aujourd’hui. Outils d’apprentissage et objets de recherche. Presses universitaires de Caen, 2019. Pp. 212. ISBN 979-2-84133-935-8." Journal of Linguistic and Intercultural Education 13 (December 1, 2020): 195–200. http://dx.doi.org/10.29302/jolie.2020.13.12.

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Abstract:
l s’agit d’un volume paru comme résultat de l’initiative d’Anne-Laure Le Guern, Jean-François Thémines et Serge Martin, initiative qui, depuis 2013, a généré des manifestations scientifiques, des journées d’études organisées autour des carnets de l’IUFM, devenu ESPE et actuellement l’INSPE de Caen. Les carnets édités par la suite sont devenus un espace de réflexion, et un outil d’enseignement-apprentissage, un espace de recherche. Qu’est-ce qu’un carnet en didactique ? Les trois axes de recherche du volume Les carnets aujourd’hui… l’expliquent, avec de exemples des pratiques en classe ou dans le cadre d’autres types d’activités à dominante didactique. Un carnet peut être un objet en papier de dimensions et textures diversifiées, utilisé en différentes manières afin de susciter l’intérêt et la curiosité de l’apprenant. Parmi ses possibilités d’utilisation en classe : au lycée, qu’il s’agisse du lycée de culture générale ou du lycée professionnel, pour créer des liens entre littérature et écriture (« Lecture littéraire, écriture créative », avec des articles appartenant à Anne Schneider, Stéphanie Lemarchand et Yves Renaud) ; en maternelle et à l’école primaire (« Pratiques du carnet à l’école primaire », les articles liés à ce sujet appartenant à Catherine Rebiffé et Roselyne Le Bourgeois-Viron, Dominique Briand, Marie-Laure Guégan, Élise Ouvrard ; le carnet peut également passer du format papier à des adaptations modernes comme le téléphone mobile, le blog... (« D’une approche anthropologique à une approche culturelle », des recherches en ce sens venant de la part d’Élisabeth Schneider, Magali Jeannin, Corinne Le Bars). Sophie Hébert-Loizelet et Élise Ouvrard, ouvrent le volume avec le texte intitulé « Le carnet, une matérialité foisonnante et insaisissable », où elles partent de l’aspect physique d’un carnet vers ses contenus, tout en soulignant que, « depuis une quarantaine d’années » seulement, des spécialistes en critique génétique, des théoriciens des genres littéraires et des universitaires lui accordent l’importance méritée, dans la tentative de « répondre à cette simple question "qu’est-ce qu’un carnet" », parvenant ainsi à en démultiplier « les pistes intellectuelles, théoriques autant que pratiques » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 9). La diversité des carnets détermine les auteures à souligner, et à juste titre, que le carnet « incarne matériellement et pratiquement une certaine forme de liberté, n’ayant à priori aucune contrainte à respecter et pouvant dès lors recevoir n’importe quelle trace », permettant ainsi « à son détenteur, de manière souvent impromptue, indirecte […], de se découvrir, par tâtonnements, par jaillissements » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 10). Le premier contact avec un carnet étant d’ordre esthétique, on comprend bien la « magie » qu’il peut exercer sur l’élève, l’invitant ainsi, en quelque sorte, à sortir de la salle de cours, à se sentir plus libre. Le carnet est en même temps un bon aide-mémoire. Ses dimensions invitent à synthétiser la pensée, à la relecture, une « relecture à court terme » et une « relecture à long terme » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 15), toutes les deux enrichissantes. Le carnet devient effectivement outil d’apprentissage et objet de recherche. Les contributions présentes dans ce livre, soulignent les auteures par la suite, représentent des regards croisés (du 23 mars 2016) sur « l’objet carnet, en proposant des recherches académiques, anthropologiques ou didactiques mais également des comptes rendus d’expériences sur le terrain » dans le but de « prendre en considération l’utilisation des carnets dans leur grande hétérogénéité de la maternelle à l’université pour rendre compte des voyages, mais aussi de lectures et d’apprentissage dans les disciplines aussi variées que le français, l’histoire, les arts visuels, ou les arts plastiques, et ce dans différents milieux institutionnels » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 17). Prenons le premier axe de recherche mentionné plus haut, celui de la lecture littéraire et de l’écriture créative. Se penchant sur d’autorité de différents spécialistes dans le domaine, tels Pierre Bayard et Nathalie Brillant-Rannou, les deux premiers textes de cet axe insistent sur la modalité d’intégrer « l’activité du lecteur et son rapport à la littérature » par le carnet de lecture dans le cadre de la didactique de la littérature. Le troisième texte représente une exploitation du carnet artistique qui « favorise un meilleur rapport à l’écriture » et modifie la relation que les élèves de 15 à 17 ans du canton Vaud de Suisse ont avec le monde (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 19). Nous avons retenu de l’article d’Anne Schneider, l’exploitation de la notion de bibliothèque intérieure, telle qu’elle est vue par Pierre Bayard, bibliothèque incluant « nos livres secrets » en relation avec ceux des autres, les livres qui nous « fabriquent » (Schneider 2019 : 36). Ces livres figurent dans les carnets personnels, avec une succession de titres lus ou à lire, commentaires, dessins, jugements. Pour ce qui est de l’expérience en lycée professionnel (l’article de Stéphanie Lemarchand), on souligne l’attention accordée au « sujet lecteur » par le biais du carnet de lecture, plus exactement la réalisation d’une réflexion personnelle et les possibilités d’exprimer cette réflexion personnelle. Ici encore, il faut signaler la notion d’« autolecture » introduite par Nathalie Brillant-Rannou, l’enseignant se proposant de participer au même processus que ses élèves. En ce sens, la démarche auprès des élèves d’une école professionnelle, moins forts en français et en lecture, s’avère particulièrement intéressante. On leur demande d’écrire des contes que leurs collègues commentent, ou de commenter un film à l’aide du carnet de lecture qui devient carnet dialogique, non pas occasion du jugement de l’autre, mais d’observer et de retenir, devenant ainsi « un embrayeur du cours » (Lemarchand 2019 : 45). Le passage aux textes littéraires – des contes simples aux contes plus compliqués et des films de science-fiction aux livres de science-fiction – devient normal et incitant, permettant petit à petit le passage vers la poésie. L’utilisation du carnet dialogique détermine les élèves à devenir conscients de l’importance de leur point de vue, ce qui fait que ceux-ci commencent à devenir conscients d’eux-mêmes et à choisir des méthodes personnelles pour améliorer leur niveau de compétences, la démarche de l’enseignant devenant elle aussi de plus en plus complexe. Le premier article, du deuxième axe, celui visant les pratiques du carnet à l’école primaire, article signé par Catherine Rebiffé et Roselyne Le Bourgeois-Viron, présente le résultat d’une recherche qui « s’appuie sur les liens entre échanges oraux et trace écrite, mais aussi sur la dimension retouchable, ajustable de l’objet carnet réunissant dessins, photographies et dictée, afin d’initier les élèves à l’écrit » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 19). Pour ce qui est de l’enseignement de l’histoire à des élèves du cycle 3, avec une pensée critique en construction et une difficulté de comprendre un vocabulaire plus compliqué et les langages spécialisés, Dominique Briand propose le carnet Renefer, un choix parfait à son avis, vu que « l’artiste qui réalise les estampes sur le conflit [de la Grande Guerre] s’adresse à une enfant [de huit ans], sa fille » (Briand 2019 : 97), appelée par Renefer lui-même « Belle Petite Monde ». Un autre aspect important est lié au message transmis par l’image envisagée dans cette perspective. Il s’agit en effet de filtrer l’information en sorte que la violence et la souffrance soient perçues à des degrés émotionnels différents, pour laisser à l’élève la possibilité de débats, de réflexions. Les textes qui accompagnent les images du carnet Renefer, succincts mais suggestifs, s’adaptent également au niveau d’âge et implicitement de compréhension. Les élèves sont sensibilisés, invités à voir le côté humain, le brin de vie et d’espoir qui peuvent se cacher derrière une situation réaliste. Le carnet Renefer didactisé amène les élèves « à apprendre l’histoire dans une démarche active et clairement pluridisciplinaire qui laisse une place importante à l’histoire des arts » (Briand 2019 : 105). Le carnet d’artiste comme instrument didactique, plus exactement celui de Miquel Barceló qui a séjourné en Afrique et dont les carnets d’artiste témoignent de ses voyages et de l’utilisation des moyens locaux pour peindre ou même pour faire sécher les peintures est proposé par Marie-Laure Guégan. En passant par des crayons aquarelles, Miquel Barceló va ajouter du relief dans les pages peintes de ses carnets (« papiers d’emballage, billets de banque [par leur graphisme ils peuvent devenir le motif textile d’une robe de femme, par exemple], paquets de cigarettes, boîtes de médicaments » qui sont collés ou bien collés et arrachés par la suite). Pour réaliser des nuances différentes ou une autre texture, il y rajoute des « débris de tabac ou de fibre végétale agrégés de la terre, du sable ou de pigments » (Guégan 2019 : 117). Il est aidé par l’observation profonde de la nature, des changements perpétuels, du mélange des matières qui se développent, se modifient le long des années. Ainsi, il intègre dans ses peintures « le temps long (des civilisations), le temps moyen (à l’aune d’une période politique), le temps court (à la dimension de l’individu) » (Guégan 2019 : 121), aussi bien que l’espace, la lumière, l’ombre, les matières, le corps, l’inventivité. Toutes ces qualités recommandent déjà l’auteur pour l’exploitation didactique dans le primaire, il y vient avec un modèle d’intégration de l’enfant dans le monde. L’article de Marie-Laure Guégan parle de l’intégration du travail sur les carnets de l’artiste dans la réalisation de la couverture d’un carnet de voyage par les élèves du cycle 3 en CM2, (cycle de consolidation). D’où la nécessité d’introduire la peinture ou les carnets d’artistes « non comme modèles à imiter, mais comme objets de contemplation et de réflexion » (Guégan 2019 : 128). Dans l’article suivant, Élise Ouvrard parle d’un type de carnet qui permet l’exploitation des pratiques interdisciplinaires à l’école primaire, domaine moins approfondi dans le cadre de ces pratiques ; le but spécifique est celui de la « construction de la compétence interculturelle » qui « s’inscrit plus largement dans l’esprit d’une approche d’enseignement-apprentissage par compétences » (Ouvrard 2019 : 132). L’accent mis sur la compétence est perçu par Guy de Boterf, cité par Élise Ouvrard, comme « manifestation dans l’interprétation », à savoir la possibilité de « construire sa propre réponse pertinente, sa propre façon d’agir » (Cf. Ouvrard 2019 : 132 cité de Le Boterf 2001 :40) dans un processus qui vise la création de liens entre les éléments assimilés (ressources, activités et résultats pour une tâche donnée). Le professeur devient dans ce contexte, la personne qui traduit des contenus en actions qui servent « à mettre en œuvre, à sélectionner des tâches de difficulté croissante qui permettront aux élèves de gagner progressivement une maîtrise des compétences » (Ouvrard 2019 : 133). Cette perspective fait du carnet « un outil permettant de tisser des liens entre la culture scolaire et les expériences hors de la classe, mais aussi de décloisonner des apprentissages, de s’éloigner de l’approche par contenus-matière » (Ouvrard 2019 : 133). C’est un cadre d’analyse qui intègre la perspective didactique du français aussi bien que l’anthropologie de l’écriture. L’activité pratique consiste dans le travail sur des carnets de voyage avec des élèves en CM1 et CM2, venant de deux écoles différentes et qui préparent et effectuent un voyage en Angleterre. Les étapes du parcours visent : - entretiens individuels pré- et post-expérimentation des quatre enseignants concernés ; - fiche de préparation des séances autour du carnet ; - questionnaire pré- et post-expérimentation soumis aux élèves ; - entretiens collectifs post-expérimentation des élèves ; - photographies des carnets à mi-parcours de l’expérimentation et à la fin du parcours. L’analyse des documents a prouvé que les élèves ont réagi de manière positive. Ils ont apprécié le carnet comme plus valeureux que le cahier. Le premier permet un rapport plus complexe avec le milieu social, avec la famille, avec la famille d’accueil dans le cadre du voyage, même des visioconférences avec la famille. À partir des carnets de voyage on peut initier le principe des carnets de l’amitié qui permet au carnet d’un élève de circuler dans un petit groupe et s’enrichir des ajouts des autres collègues. On peut avoir également l’occasion de découvrir des talents des élèves, de mieux les connaître, de mettre l’accent sur leur autonomie. Différentes disciplines peuvent s’y intégrer : le français, l’anglais, l’histoire, les mathématiques, la géographie, la musique, les arts. Important s’avère le décloisonnement des disciplines par le choix de créneaux distincts pour l’utilisation-exploitation des carnets de voyage. Le dernier groupement d’articles, axé sur le passage d’une approche anthropologique à une approche culturelle, tente d’envisager un avenir pour le carnet. En tant que spécialiste des pratiques scripturales adolescentes, partant de la théorie de Roger T. Pédauque pour le document, Elisabeth Schneider se concentre dans son article sur le téléphone mobile par ce qu’on appelle « polytopie scripturale qui caractérise l’interaction des processus d’écriture, des activités et des déplacements avec le téléphone mobile » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 21), celui-ci s’encadrant du point de vue épistémologique, dans les catégories « signe », « forme » et « médium », tridimensionnalité qui permet de « comprendre les enjeux actuels concernant l’auctorialité, la structure du document, par exemple, mais aussi d’en revisiter l’histoire » (Schneider 2019 : 164). L’importance du blog pédagogique comme carnet médiatique multimodal, résultat du travail avec des étudiants sous contrat Erasmus ou type Erasmus venus à l’ESPE de Caen pour mettre en lumière l’expérience interculturelle, est démontrée par Magali Jeannin. Son article prend comme point d’encrage les notions d’« hypermobilité » pour les individus avec une identité « hypermoderne », en pleine « mouvance » et « liquidité » (Jeannin 2019 : 169), qui, des fois, dans le cas des étudiants, pourrait se concrétiser en « expérience interculturelle » et « tourisme universitaire ». L’intérêt de l’auteure va vers l’interrogation, « les enjeux et les moyens d’une didactique de l’implication du sujet en contexte interculturel » par un « blog pédagogique des étudiants étrangers » lié au cours sur les compétences interculturelles. Ainsi, parmi les enjeux du « blog pédagogique des étudiants à l’étranger » comme carnet multimodal comptent : donner à l’expérience culturelle la valeur subjective qui évite la réification du sujet en investissant « la langue et la culture cibles comme des faits et pratiques sociaux (inter)subjectifs » (Jeannin 2019 : 171) et même transsubjectifs d’après le modèle du blog libre ; le blog-carnet devient un espace de rencontre entre carnet de voyage et carnet de lecture, carnet d’expérience, carnet d’ethnographie (avec un mélange entre langue cible et langue source) ; il s’inscrit « dans une tradition de l’écriture de l’expérience en classe de FLE » (Jeannin 2019 : 173). Les écrits en grande mesure programmés du blog pédagogique sont ensuite exploités ; ils répondent en même temps « à des besoins personnels » et à des « fins universitaires » (Jeannin 2019 : 174). Par ce procédé, le réel est pris comme un processus non pas comme une simple représentation. Toujours avec une visée interculturelle, le dernier article de cette série fait référence à l’Institut régional du travail social Normandie-Caen, dont le but est de former « les futurs travailleurs sociaux » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 21), par une recherche franco-québécoise qui concerne l’implication des mobilités internationales pour études. Ce volume représente un outil particulièrement important en didactique, un outil que je recommande chaleureusement en égale mesure aux enseignants et aux chercheurs spécialisés. Si je me suis arrêtée sur quelques articles, c’est parce qu’il m’a semblé important d’insister sur des côtés qui sont moins exploités par les enseignants roumains et qui mériteraient de l’être.
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Rajavee, Holger. "Kaks geeniust. Lomazzost Diderot'ni." Baltic Journal of Art History 11 (November 30, 2016): 67. http://dx.doi.org/10.12697/bjah.2016.11.04.

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Abstract:
The goal of the article is to examine the theoretical and aesthetical views related to art and concerning painters, mainly in the French tradition, from the early 17th to the mid-18th century, starting with works by Gian Paolo Lomazzo and ending with the viewpoints of Denis Diderot. Using different examples from the texts of the key authors of their day, the article’s aim is to show how, starting in the early 17th century, the type of painter who can be described as a “learned genius” starts to develop; and from the beginning of the next, 18th century, this type gradually starts to transform into the subject that can be called a “mad genius” with all the main features of a modern artist.With the introduction of the neo-Platonic Mannerist doctrine of Lomazzo and Federico Zuccari the “learned genius” is now in its embryonic stage of development, differing greatly from the Renaissance painters of an earlier era. The “painter-mystic” is a self-centred person, whose “inner eye” is directly connected through contemplation with the Divine. In the middle of the 17th century, Charles Alphonse du Fresnoy, and especially Giovanni Pietro Bellori, by synthesizing Platonic and Aristotelian ideas, introduce us to the painter who possesses genius. He is freed from Mannerist mysticism and his main goal is to improve the imperfect Nature created by God through mind and reason. And to produce the perfect version of it in art – la belle nature – to achieve the result the artist has constantly developed himself – to learn and observe. The neo-classicist doctrine gradually burdens the genius with certain strict rules to follow; a process that is referred to here as “taming the genius”. So by the end of the 17th century, it is possible to talk about the “learned (but tamed) genius” – a noble, well-taught, reasonable and aesthetically high-minded artist.At the beginning of 18th century changes start occurring in the theoretical art paradigm, starting with Jean-Baptiste Du Bos and his Reflexions critiques sur la poësie et sur la peinture, written in 1719. This marks a new beginning in the development of the painter-genius figure and undoubtedly has significant influence on the writings that will follow on same subject. Du Bos starts to depart from the “reason-centred” painter, emphasizing the moment of sensory perception as the main criteria in the art of painting. There are two main differences from earlier times. Firstly, the author is now talking about a person who already is genius rather than possessing genius, as was the understanding earlier. Secondly, the person is already born a genius, which means that this quality is no longer taught. There aren’t any strict rules to harass the individual inventiveness and creativity of the artist.In the middle of 18th century many theoreticians, such as Jean le Rond d’Alembert, Etienne de Condillac, Voltaire etc, emphasized such important and very individualistic qualities of the painter as inventiveness, imagination, originality, enthusiasm. And they started to connect these to the centuries-old Platonic idea of poetic fury – furor poeticus – a state of mind in which the artist is almost maddened, insane and fully spontaneous while creating art. Denis Diderot is the first author who says outright that a painter-genius “is mad” (qu‘il est fou) and in doing so summons up the ideas of his predecessors.One could say that the different qualities mentioned above have guided the theoretical art narrative to the point where we can talk about the “mad genius”, who is recognized as the creator of art and this is the point where the modern painter-genius, whom we know today, comes to life.
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Nachtergael, Magali. "La Photographie plasticienne: une question française?" Nottingham French Studies 53, no. 2 (July 2014): 139–54. http://dx.doi.org/10.3366/nfs.2014.0082.

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Abstract:
En France, le débat théorique sur les frontières entre art et photographie a connu son point culminant au début des années 1980 et s'est cristallisé à l'occasion de l'exposition Ils se disent peintres, ils se disent photographes… au Musée d'art moderne de la ville de Paris. Lorsque la philosophe et critique Dominique Baqué suggère la notion de « photographie plasticienne » une décennie plus tard pour concilier des pratiques hybrides, elle rencontre l'opposition d'une partie des historiens de la photographie qui tentaient pour leur part de légitimer la photographie en tant qu'art à travers les principes modernistes de l'esthétique picturale. Mais les pratiques et usages de la photographie par les artistes contemporains mettent en œuvre une évidente plasticité du médium qui brouille les anciennes catégories formelles de l'art. Cette reconfiguration conduit également à réévaluer la nature même de la photographie, à l'aune d'une multiplicité formelle et contextuelle qui s'inscrit à l’ère numérique dans une économie esthétique globale.
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Yalouns, Nikolaos. "La contribution des jeux au développement des lettres et des arts en Grèce Ancienne." Classica - Revista Brasileira de Estudos Clássicos 1, no. 1 (November 20, 1988): 79–92. http://dx.doi.org/10.24277/classica.v1i1.645.

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Abstract:
L'importance de l'athlétisme dans la vie courante n'a jamais été aussi forte qu'en Grèce ancienne, à cause de son rapport avec la religion et du poids de l'idéologie de la compétition, de l'agonistique. Les concours sportifs non seulement prenaient place lors des fêtes religieuses, mais leur siège se trouvait auprès des temples et des grands sanctuarires. Les diverses modalités de compétition étaient censées avoir été instituées par les dieux eux-mêmes. D'autre part, les rapports avec les jeux funéralres sont évidents, alnsi qu'avec d'autres rituels, tels le choix de l'époux ou la sucession au thrône. L'émulation, par ailleurs, était a la racine du concept d'excellence. L'idéal de plénitude de i'homme grec, l'exploit (physique et intellectuel) était capable de distinguer l'homme rationnel de la nature sauvage et illogique. Agon (combat) et Nike (victoire) ont été personnifiés de bonne heure. L'agon était la sève de l'activité des athiètes mais également des poètes, orateurs, musiciens, sculpteurs, peintres, céramlstes etc. Les lieux d'entraînement (palestres et gymnases) sont vite devenus de vérltables centres d'éducation générale. Enfin, le milieu sportif a fourni à la littérature et à l'art grec l'inspiration, les sujets et les modèles dont ils se sont nourris pendant toute leur histolre.
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Montiel, A., and B. Welté. "Les progrès dans la mise en évidence d'éléments traces dans les eaux - avenir des techniques." Revue des sciences de l'eau 11 (April 12, 2005): 119–28. http://dx.doi.org/10.7202/705334ar.

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Abstract:
L'évolution des techniques analytiques est, la plupart du temps, liée à l'apparition de nouvelles normes concernant l'environnement ou l'eau potable. En ce qui concerne les micropolluants minéraux, si dans le passé une attention toute particulière avait été apportée à la connaissance des formes sous lesquelles ils étaient dans les eaux, toutes les normes proposées depuis n'ont pas repris cette approche, et toutes concernent l'élément total non différencié. Les méthodes de spéciation ne seraient donc plus à l'ordre du jour. Il n'en est rien, car les limites fixées étant de plus en plus basses, la connaissance des formes, des valences sous lesquelles se trouvent ces éléments est de plus en plus importante pour l'optimisation des traitements curatifs. C'est le cas par exemple, du fer, de l'arsenic, du sélénium et du chrome. L'arsenic, par exemple, ne peut être éliminé de façon convenable, que s'il se trouve à la valence V. Une oxydation préalable peut donc être nécessaire. Pour le chrome, c'est le contraire, à la valence VI, cet élément n'est pas éliminable, il faut donc le réduire pour le faire passer à la valence III. Une autre évolution de l'analyse concerne les possibilités offertes par les couplages ICP-MS. En effet, la connaissance pour un élément des rapports isotopiques peut être primordial pour retrouver l'origine d'une pollution. Deux cas sont présentés : 1. Un élément lourd, qui ne connaît pas ou très peu de ségrégations isotopiques, c'est le cas du plomb. - Lors d'enquête sur la plombémie des enfants, il peut être mis en évidence des plombémies importantes (> 150 µg/l de sang). L'origine de ce plomb pouvant être multiple : pollution atmosphérique (naturelle, pollution automobile), les peintures anciennes (poussières), l'eau de boisson ayant transité dans des canalisations en plomb, seule l'analyse isotopique permettra de prendre position et de mettre en évidence une origine prépondérante. Des exemples sont présentés dans le texte. 2. Un élément léger, qui normalement devrait conduire à des ségrégations isotopiques, mais qui ne précipite pas et ne s'adsorbe pas ou très peu, c'est le cas du bore. - Le bore peut aussi avoir plusieurs origines. Les produits lessiviels dont le bore ne provient que de Californie pour la plus grande partie et de Turquie pour le reste. Ce bore a une signature isotopique différente de celle du bore trouvé en France. Cette méthode nous permet donc de distinguer le bore utilisé pour l'agriculture ou le bore naturel, du bore utilisé dans les formulations de produits de nettoyage.
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Cressier, Patrice, Pedro Gurriarán Daza, Samuel Márquez Bueno, María Antonia Martínez Núñez, and Abdelaziz Touri. "Un cas unique d’épure d’architecture en Occident islamique. La représentation de l’arc et du décor de la grande porte mérinide de Šālla (Rabat)." Arqueología de la Arquitectura, no. 18 (May 10, 2021): e116. http://dx.doi.org/10.3989/arq.arqt.2021.008.

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Abstract:
La muralla meriní de Šālla conserva en su cara interior los vestigios de un boceto inciso y pintado en el tapial todavía fresco. Contemporáneo de la construcción de la puerta de aparato que da acceso al recinto, representa una versión preliminar, y ligeramente distinta, de su fachada actual principal. Se trata de un documento único en la arquitectura islámica occidental. El estudio de este boceto pasa por la comprensión y la puesta en evidencia de la importancia y de la naturaleza del papel dado a la puerta misma, siendo también ella un monumento excepcional tanto por sus cualidades estéticas como por el mensaje que tenía que trasmitir. Por ello, era imprescindible establecer un estado pormenorizado de los aparejos constructivos y de la ornamentación de las dos fachadas monumentales de la puerta y analizar escrupulosamente el contenido de las inscripciones que se desarrollan en ellas. A este respecto, los documentos elaborados a partir de los levantamientos fotogramétricos y presentados en este artículo no tienen equivalente, por su grado de precisión, en el campo de los estudios de la arquitectura meriní. El estudio epigráfico muestra, además, cómo –en una dinámica de expansión del šarīfismo– el sultán meriní, Amīr al-muslimīn, sacraliza su persona y su poder adoptando el título de Mawlà y diversos laqab-s en “Allāh”. El hecho de que esta puerta dé acceso a un ribāṭ adquiere así pleno sentido, mientras que se confirma que el boceto estaba destinado al propio sultán, constructor por excelencia. [fr] La muraille mérinide de Šālla conserve sur sa paroi intérieure les restes d’une épure, peinte et incisée dans le matériau (ṭābiya) encore frais. Contemporaine de la construction de la grande porte d’apparat, elle représente une version initiale, quoique légèrement différente, de la façade principale de celle-ci. Il s’agit là d’un document jusqu’ici pratiquement unique dans l’architecture islamique d’Occident. L’étude de cette épure passe par la compréhension et la mise en évidence de l’importance et de la nature du rôle tenu par la porte elle-même, monument exceptionnel lui aussi, tant par ses qualités esthétiques que par le message qu’il était censé transmettre. Pour cela, il était nécessaire de dresser un état le plus détaillé possible des appareils et des décors des deux façades monumentales de la porte et d’analyser de façon scrupuleuse le contenu des inscriptions qui s’y déploient. À ce titre, les documents élaborés à partir des relevés photogrammétriques présentés dans cet article constituent, par leur précision, une première pour l’architecture mérinide. L’étude épigraphique montre par ailleurs comment, dans une dynamique d’expansion du šarīfisme, le sultan mérinide, Amīr al-muslimīn, sacralise sa personne et son pouvoir, en adoptant le titre de Mawlà et divers laqab-s en « Allāh ». Que cette porte monumentale donne accès à un ribāṭ prend alors tout son sens tandis que se confirme que l’épure était bien destinée au propre sultan, bâtisseur par excellence.
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Streicher, Corinne. "Le sublime de Burke. Transpositions : une assignation par la peinture française." Le Monde français du dix-huitième siècle 4, no. 1 (September 10, 2019). http://dx.doi.org/10.5206/mfds-ecfw.v4i1.8281.

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Abstract:
C’est le passage d’une notion philosophique, celle du sublime dans l’espace anglais qui s’offre en perspective dans la peinture française. Lorsqu’il s’agit de la tentative de peindre le sublime c’est le peintre Joseph Vernet (1714-1789) qui élabore une visualité picturale, suivie par toute une école de paysagistes qui se détournent de l’organisation classique d’une belle Nature. Les peintures de paysage de tempête s’inscrivent en effet dans un esprit très différent qui renverse les rapports de pouvoir entre l’homme et la nature. La représentation du paysage chez Vernet est plus intense que ce qu’on trouve chez tous ses contemporains. Le paysage est réinventé, la lumière est sublimée, les ciels sont tourmentés et les mers sont déchaînées. Le sublime peut être abordé par des images (les peintures) et dans le cadre d’un dialogue avec le texte de Burke (Recherches philosophiques sur l’origine de nos idées du sublime et du beau). Les mêmes variations accompagnent le peintre et le philosophe et nous renvoient à un souci de parler de plusieurs espaces culturels dans leur difficile transposition, à la fois par leur altérité, mais aussi par leur curieuse objectivation. Il s’agira ici d’analyser les écarts entre ce qui est représenté et ce qui est dit, en prenant comme fil conducteur l’analyse du motif de la tempête dans son croisement avec ce qui est aussi l’irreprésentable de la peinture si l’on se réfère à sa genèse avec le texte de Pline.
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Weiss, Ledice Fernandes de Oliveira. "Le rapport entre théâtre, musique et arts plastiques dans Lorenzaccio et Nuovo scenario da Lorenzaccio de Sylvano Bussotti." Dramaturgias, no. 11 (September 30, 2019). http://dx.doi.org/10.26512/dramaturgias.v0i11.27399.

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Abstract:
Lorenzaccio et Nuovo scenario da Lorenzaccio sont des œuvres situées à mi-chemin entre l’opéra traditionnel et un théâtre musical qui nierait cette tradition. L’écriture musicale de Bussotti obéit à un idéal esthétique fantastique; les œuvres acquièrent une dimension visuelle et picturale, leurs composantes (qui sont de toute nature, musicale ou extra-musicale) fonctionnant comme des couleurs. Sylvano Bussotti invente ainsi un style sui generis, qui cultive le hasard, l’indéterminé et le syncrétisme stylistique. En transitant par différents systèmes musicaux sans se fixer sur aucun, l’art de Bussotti est construit d’éléments en principe antithétiques, comme le mélodrame et le happening, la tonalité et l’atonalité, la peinture et le collage. L’entremêlement de genres artistiques — danse, peinture, théâtre, musique — témoigne d’une démarche artistique exubérante tout en construisant une forme intrinsèquement théâtrale, mais aussi développant une profonde réflexion métalinguistique au sujet du rôle de l’art pour l’humanité.
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Imbert, Anne-Laure. "Terres de Sienne. Problèmes de représentation de la nature et du paysage dans la peinture siennoise (1270-1480)." Bulletin du Centre d’études médiévales d’Auxerre, no. 8 (August 15, 2004). http://dx.doi.org/10.4000/cem.991.

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Roussel, Stéphane. "« Articles intrépides » : le journalisme hybride d'Hervé Guibert." @nalyses. Revue des littératures franco-canadiennes et québécoise, April 16, 2012. http://dx.doi.org/10.18192/analyses.v7i2.359.

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Abstract:
Cet article a pour objectif de montrer que les Articles intrépides ne sont pas le simple commentaire des œuvres d’art dont Hervé Guibert a choisi de rendre compte — peinture, cinéma, danse, etc. —, mais aussi, et surtout, l’expression, par effet de correspondance, de toute la conception esthétique de l’écrivain. En outre, l’article de presse lui-même, dans sa forme, témoigne d’une écriture qui ne connaît aucune frontière générique, justifiant sans doute son caractère intrépide et qui applique au texte les procédés, cinématographique ou photographique mis au jour dans les œuvres de prédilection.AbstractThis article aims to show Articles intrépides is not the simple explanation of works of art he has chosen to report - painting, film, dance ... but also and above all the expression, effect correspondence, all the aesthetic design of Hervé Guibert. In addition, the press release itself, in its form, which reflects a write knows no generic, perhaps justifying his fearless nature, and applies to the text processes, film and photography, brought to light in the works of choice.
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Urquhart, Steven. "Entre l’exil et l’asile : l’inter-dit silencieux dans Le Pavillon des miroirs de Sergio Kokis." Voix Plurielles 4, no. 2 (September 1, 2007). http://dx.doi.org/10.26522/vp.v4i2.488.

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Abstract:
Lorsqu’on parle du premier roman de Sergio Kokis, Le Pavillon des miroirs, on souligne à juste titre le caractère autobiographique du roman manifeste par le va-et-vient narratif entre le présent du narrateur/peintre au Québec et le souvenir de sa jeunesse au Brésil ainsi que les enjeux de son exil et la nature vive et grotesque des images qui hantent son imagination. Francine Bordeleau résume ce dernier aspect en disant que « les images sont puissantes, l’écriture brûlante, et certains passages, paroxystiques atteignent une sorte de fureur. Kokis n’est pas un tiède » (10). Cependant, on constate également au cours d’une analyse détaillée du roman l’importance de la question du silence et la place considérable qu’il occupe dans la pensée du narrateur.
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"TAMERLAN ET L’ITALIE." Philology matters, June 20, 2019, 3–9. http://dx.doi.org/10.36078/987654340.

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Abstract:
L’article analyse les ouvrages d’auteurs italiens consacrées à la vie et l’oeuvre de Amir Timur. Ce sont les oeuvres de différents genres comprénant les mémoires et chroniques des voyageurs et histoiens, les peintures, les drameset opérettes. L’auteur donne leur natures brèves,suivit le développement de l’image de Timur dans les arts et la littérature italiens. Les catalogations des manuscrits persans et turcs conservés en Italie ont apporté une contribution très importante aux études dans ce sens. On ne peutpas négliger les recherches qui sont réalisées récemment: La civiltà timuride come fenomeno internazionale, publiée par l’Instituto per l’Oriente de Rome en 1997 et Europa e Islam trai secoli XIV e XVI, publié par l’Istituto Universitario Orientale de Napoli en 2002 dont la volume II est consacré à Ulugh Beg et se base sur letravaux d’astronomes, philologues, architèctes et archéologues.
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Lucciardi, Jacques. "Terrain négatif, terrain positif." 34, no. 1 (July 28, 2010): 183–95. http://dx.doi.org/10.7202/044203ar.

Full text
Abstract:
À partir d’un travail d’enquête en Corse, au sujet des rapports entre la construction des discours politiques et la lecture de la presse quotidienne régionale, j’aborde la question de la nature du « terrain » à l’aide de la métaphore de la main positive et négative dans les peintures pariétales. Ainsi, le terrain est perçu comme un champ de dualités qui structurent chaque niveau de l’enquête, de la délimitation d’une population aux dynamiques de construction des discours politiques qui la concernent. Afin de mettre en évidence ces dualités, j’effectue des entretiens et des observations au sein d’une population d’origine insulaire : élus de la région, journalistes de la presse quotidienne régionale, lecteurs originaires d’un même village. Il s’agit d’étudier les rapports entre les « événements », tels qu’ils apparaissent dans la presse quotidienne régionale, et les discours des divers acteurs impliqués dans et par ces événements. Les dynamiques à l’oeuvre dans la production des événements et des discours peuvent alors être comprises comme des effets de la coexistence de consensus contradictoires qui émergent dans le cadre d’une société d’interconnaissance.
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