Academic literature on the topic 'Perception de soi – Aspect économique'

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Journal articles on the topic "Perception de soi – Aspect économique"

1

Betz, Hans-Georg. "Contre la mondialisation : xénophobie, politiques identitaires et populisme d’exclusion en Europe occidentale*." Articles 21, no. 2 (January 7, 2003): 9–28. http://dx.doi.org/10.7202/000477ar.

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Abstract:
Résumé Ces dernières années, la droite radicale populiste en Europe de l’Ouest a élaboré une position idéologique plus précise, laquelle est caractérisée par l’évocation du droit à la différence et une défense du particularisme culturel. Ces deux aspects sont employés afin de mobiliser un électorat contre la perception de deux grandes menaces externes à la culture et aux valeurs des sociétés européennes, soit la mondialisation et l’Islam. Par cette idéologie, la droite populiste a réussi à étendre sa clientèle au-delà des soi-disant groupes menacés par la modernisation économique, sociale et culturelle des sociétés occidentales. En raison de l’importance accrue des enjeux politiques de type culturel, notamment le thème de l’identité collective dans l’espace politique contemporain, l’idéologie populiste de droite constitue un défi de taille pour les démocraties pluralistes.
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2

Micollier, Évelyne. "De résonances phénoménologiques dans le monde chinois." Anthropologie et Sociétés 40, no. 3 (January 16, 2017): 161–85. http://dx.doi.org/10.7202/1038639ar.

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Abstract:
Des expériences taoïstes et duqìgōng(氣功, maîtrise, art duqì) – expériences du corps, du développement de la personne et de cultivation de soi, religieuses et thérapeutiques – résonnent avec des approches phénoménologiques, plus particulièrement avec la phénoménologie de la perception. Hérité de connaissances et de techniques à la croisée des chemins des arts martiaux, thérapeutiques et religieux dans le monde chinois, leqìgōngest une constellation d’expériences modernes (il a émergé au début XXe siècle) et contemporaines (se situant à l’ère de la réforme économique post-1979). Ses formes multiples aux variantes infinies dessinent une configuration complexe aux implications sociales et politicoreligieuses qui permettent de le définir aussi comme une pratique sociale. Situées entre théories de la connaissance et études d’expériences, comment les phénoménologies en anthropologie peuvent-elles nourrir la discussion sur les phénoménologies locales dans un échange réciproque transdisciplinaire entre philosophie, ethnologie et études aréales ? L’article est organisé en deux parties : l’une porte sur des aspects de la phénoménologie en philosophie et en anthropologie en lien avec des résonances dans le monde chinois ; l’autre se focalise sur ces résonances avec l’exemple d’expériences duqìgōngentrelacées à des expériences taoïstes.
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3

Landry, Véronique, Hugo Asselin, and Carole Lévesque. "Lien au territoire selon les générations chez les Anicinapek et les Cris." Revue Organisations & territoires 29, no. 1 (May 12, 2020): 125–38. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v29n1.1132.

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Abstract:
L’objectif de cette recherche exploratoire est d’aborder la triple occultation (ruralité, autochtonieet jeunesse) vécue par les jeunes autochtones en milieu rural en documentant les manifestations des troisaspects du lien au territoire (émotionnel, cognitif et fonctionnel) selon les générations dans deux communautésautochtones au Québec. L’appartenance au territoire (aspect émotionnel) est présente à tous les âges, maisselon une hiérarchie différente entre forêt, communauté et ville. Toutes les générations fréquentent la forêt,mais à des moments différents et pour y pratiquer des activités différentes. Le chez-soi des jeunes est la communauté, tandis que celui des aînés, la forêt. L’aspect cognitif se reflète par la perception de menace face à la dégradation du territoire, particulièrement chez les aînés. Quelques jeunes ont un faible lien au territoire, probablement parce que cette période de la vie est caractérisée par une quête identitaire. Toutes les générations pratiquent des activités traditionnelles (aspect fonctionnel), mais de façon différente.
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4

Tiaha, David-Le-Duc. "Genèse phénoménologique de la reconnaissance: La chair, l’autre et le corps propre." Études Ricoeuriennes / Ricoeur Studies 2, no. 2 (June 9, 2011): 146–70. http://dx.doi.org/10.5195/errs.2011.60.

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Abstract:
En amont des représentations collectives et des formes instituées de la vie sociale, cet article se propose d’étudier l’articulation de l’intersubjectivité et de l’incarnation dans la constitution du soi et de l’autre comme une genèse phénoménologique de la reconnaissance à travers la lecture ricoeurienne de la cinquième des Méditations cartésiennes publiée dans À l’école de la phénoménologie. Lors de la donation du sens ego dans l’intersubjectivité, la constitution de la reconnaissance sur le plan de la perception se fait grâce aux distinctions entre corps (Körper) et chair (Leib) d’une part, et, d’autre part entre chair (Leib) et corps propre (Leibkörper). L’analyse des textes sur "Le sentiment,” repris dans À l’école de la phénoménologie, et sur "La fragilité affective" dans L’homme faillible, propose une phénoménologie de la reconnaissance sur le plan de l’affection. Le désir est révélé par le "sentiment ontologique" comme la racine affective de l’intersubjectivité dont les modalités sont objectivées par les dimensions économique, politique et culturelle de l’espace social correspondantes aux requêtes affectives différenciées de la reconnaissance sociale telles que l’avoir, le pouvoir et le valoir.
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5

Goulet, Jean. "La propriété : la perception au figuré d’un droit pourtant bien réel." Revue générale de droit 21, no. 4 (March 21, 2019): 739–48. http://dx.doi.org/10.7202/1058215ar.

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Abstract:
L’auteur nous présente deux ouvrages qui analysent la propriété d’un point de vue historique d’où ressortent des notions non pas juridiques, mais plutôt culturelles et philosophiques. Le premier de ces ouvrages, Au propre et au figuré : histoire de la propriété, de Jacques Attali, constitue une réflexion sur le phénomène de la propriété et sur la raison d’être de cette institution. L’auteur nous y fait découvrir un aspect déconcertant de la propriété par sa relation avec l’homme et la mort. Par le deuxième ouvrage, Pourquoi la propriété, d’Henri Lepage, l’auteur montre plutôt la légitimité et le rôle créateur de richesses de la propriété. C’est donc sous un éclairage « économique » et s’apparentant parfois au droit naturel que la propriété y est alors présentée. Le droit moderne s’inspire t-il de ces différentes notions de la propriété ? Dans la dernière partie de son exposé l’auteur s’interroge ainsi sur le sort que les règles de notre droit réservent à la propriété en examinant tour à tour la position du législateur international (par le biais des conventions et traités internationaux) et celles du législateur constituant, tant canadien que québécois. Il appert alors que le droit de propriété moderne n’est plus un droit absolu, non plus d’ailleurs qu’un droit fondamental.
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Kovtoniuk, Valeriya. "A performing musician’s oeuvre through the prism of phenomenology." Problems of Interaction Between Arts, Pedagogy and the Theory and Practice of Education 50, no. 50 (October 3, 2018): 8–16. http://dx.doi.org/10.34064/khnum1-50.01.

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Abstract:
Background. Continuing trends dated back in the second part of XIX century music culture concentrate on a figure of performing musician. Commercialization an academic art: popularity of performance awards, media supporting for new formats of concert performance, etc. facilitates this largely. Objectives. Public interest conditioned an appearance a lot of scientific research inscribed to problems of musical interpretation. However, a performing oeuvre learning the product, fixation of which even taking to account modern recording capabilities are relative, warrants specific methods. In particular, engaging the conception of values for settlement of a question why performing art products are different with their significance: something becomes a culture phenomenon but something stays at self-actualization level. Methods. For comprehensive study the performing as separate kind of activity it is necessary to involve adjacent humanitaristics areas – psychology and philosophy, which problems of art and it’s osmosis are considered in. In particular, in philosophy art is understood as a kind of human activity aimed at creating new-look material and culture valuables. However, in our perspective more interesting and capacious definition is seem N. Berdyaev’s one: «Art is a human ability to create a new reality from valid material». That picturesque vision of the author’s work, which springs up during an interpretation, often has a wide public interest that let assign to interpretator a status of the creator. Such an understanding of performing musician’s figure significant we can find in foreign philosophers’ works (R. Ingarden, B. Croce) and native music scientists (B. Moskalenko, I. Sukhlenko). Such an understanding of performing musician’s figure significant we can find in foreign philosophers’ works (R. Ingarden, B. Croce) and native music scientists (B. Moskalenko, I. Suchlenko). Results. E. Husserl’s phenomenological conception had a great impact not only on XX th century philosophy but on many humanities science especially art history. It led to the fact that there are many definitions of phenomenon concept, which is interpreted as a reflection of world of ideas, an object that is accessible to the senses, a basic holistic unit of what can be isolated from consciousness, external properties and subject concern revealing its essence, etc. A unite part all of definitions is a sensorial perception as a base of human knowledge based on individual experience and ability of consciousness to self observation and reflection. Stickling example of this is a field of artistry, which individual sensorial perception takes such a big part in that identity of the creator, his feelings often become the centerpiece of work. In musical oeuvre, an outward subjectivization is an acoustic convergent thinking. However, musical thesaurus is enough for power of imagining wakening enabling reproducing and combination the phenomenal stored in composer-performer-hearer’s memory. Performing art based on searching the new acoustic and dramatic source material characteristics. Thereat performer’s work algorithm depends largely on personal intention based on world and mental outlook. The scale of performer identity, his internal conviction power whereby he creates the new acoustic reality is able to notably change all the elements of composer’s intention and affect our perception of musical composition. In that understanding, the special aspects of composer’s activities, its interconnection and correlation with his oeuvre are opened in other view. Brilliant performance reformatting an art space composer’s work frequently appropriates him «double authorship». As a result is a phenomenon of identification with the name of great composer: L. Beethoven’s 5th Symphony – G. Von Karajan / L. Stokowski; J. S. Bach’s Goldberg Variations – G. Gould / R. Tureck; F. Сhopin’s works – V. Sofronitsky / V. Horowitz; P. Tchaikovsky – M. Pletnev. Exactly this influence aspect of performing art on the musical culture interested B. Croce who confirmed that musical composition only exists at the time of execution. However, choice the pair «composer-performer» depends up our perception, our readiness to acceptance an alternative artistic concept. Herewith prescription, forming «set» of value orientation of some shared identity: from group of like-minded persons to mass convictions, has a great impact here. The latter’s impact differs under studying a creativity of famous musicians and soi-disant «second place» musicians who fall under external influence easier than others do. Even in the light of constant changes of public conscience, one can highlight some hard values in it that characterize certain social stratums. However, and these value systems undergo a review for a time and modern society reject what was topically a couple decades ago. The result is that fashion phenomenon on performers or performing style appears. Accordingly, to continue to be relevant performing musician needs to have a gust of latest tendencies in art and to able to save value bases of personal mental outlook. Conclusions. The phenomenological approach to the study of the creative activity of a musician-performer allows one to go beyond the theoretic analysis that is traditional for musicology. Acceptance that the product of performing creativity can be defined as a phenomenon, reflecting several vectors of personal communication (dialogue with oneself, with a composer, public, historical epoch), can help not only in understanding the “musical work of the performer”, but also in understanding the phenomenal significance of performers in modern musical culture.
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7

Karoline, Truchon. "Invisivilité et invisibilisation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.058.

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Abstract:
Au sein de nos sociétés contemporaines, le duo conceptuel de visibilité et d’invisibilité s’inscrit dans le lexique quotidien autant des individus, des organismes à but non lucratif que des organisations publiques et privées pour qui être visibles dans l’espace public et médiatique témoigneraient d’une acceptation sociale pour laquelle tout.e.s luttent (Aubert et Haroche 2011 ; Voirol 2005a ; Voirol 2005b). Peu théorisés, c’est comme si ces concepts « allaient de soi ». Or, comme le précisent Olivier Voirol (2005a, 2005b) et Andrea Brighenti (2010, 2007), la visibilité est une catégorie sociale qui permet de mieux comprendre les codes régissant les normes sociales et l’invisibilité sociale provoque, tel que le proposent Guillaume le Blanc (2009) et Axel Honneth (2005), une déshumanisation, voire un mépris social des personnes effacées par les regards de certains qui s’octroient, ou à qui on octroie, ce pouvoir de relégation sociale. Par ailleurs, la visibilité – et l’invisibilité – sont des résultats qui découlent de la visibilisation – de l’invisibilisation – qui constituent à leur tour des phénomènes également peu théorisés, mais pourtant féconds par leur opérationnalité et potentiellement générateurs de reconnaissance (Truchon 2016). La visibilité n’est pas synonyme de visualité ou de visible et ne peut être utilisée comme un concept descriptif qui tente uniquement d’expliquer ce qui serait perçu comme des pratiques défaillantes de différentes personnes ou divers groupes sociaux (Voirol 2009). D’emblée, la visibilité articule plutôt les relations de perception (aspect esthétique) et de pouvoir (aspect politique) (Brighenti 2007), relations qui forment des phénomènes ambigus car la production et la compréhension de la visibilité dépendent de contextes sociaux, techniques et politiques complexes parmi lesquels elle opère (Brighenti 2010). La visibilité, contrairement à une vision simpliste de celle-ci, n’est donc pas que composée d’éléments visibles : elle est également constituée par un amalgame subtil de relations qui mobilisent l’information, l’imagination et les intuitions des personnes et groupes présents pour lui donner chair autant dans un espace physique que psychique (Mirzoeff 2011). Ainsi, la visibilité est intrinsèquement une catégorie sociale car elle permet de mieux appréhender le social comme un phénomène autant matériel qu’immatériel (Brighenti 2010), catégorie sociale qui amène un défi théorique précisément parce que la visibilité (et l’invisibilité) sont utilisées comme des termes génériques pour rendre compte d’une multitude de situations (Voirol 2009). Cependant, quand la visibilité est théorisée, une des manières les plus courantes est de se saisir de celle-ci comme d’une exigence, voire d’une injonction, qui constituerait une nouvelle forme de pouvoir disciplinaire caractérisant la modernité. Si le modèle panoptique impliquant le regard du surveillant de prison qu’a popularisé Michel Foucault avec son ouvrage-phare Surveiller et punir (1975) est souvent évoqué pour marquer ce contrôle, le regard panoptique ne proviendrait plus que des personnes en pouvoir : il proviendrait également des personnes qui se soumettraient elles-mêmes à cette injonction de la visibilité, faisant de ces dernières des parties prenantes actives dans la construction de leur propose prison panoptique en permettant à cet impératif du voir/être vu de régir leur quotidien (Birman 2011). L’invisibilité sociale est un processus qui empêche de participer pleinement à la vie publique. Elle s’appuie sur une impression d’être relégué socialement et elle découle d’un sentiment d’inutilité et de la honte de se sentir ainsi (le Blanc 2009). Ultimement, la source de l’invisibilité sociale comme figure de désoeuvrement est l’exclusion, « car être exclus, c’est cesser de participer, ne plus avoir part à la multitude » (le Blanc 2009 : 186). Guillaume le Blanc décrit trois types de régimes d’invisibilité : 1) l’invisibilité de la mort par l’effacement définitif d’une vie souvent causée par des génocides ou meurtres ; 2) l’invisibilité par l’appropriation et la réification ou l’instrumentalisation en maintenant sciemment dans l’ombre des populations qui devraient être visibles afin d’exprimer leur désaccord avec le traitement qu’il leur est réservé ; et 3) l’invisibilité qui est un défaut de perception au sein duquel des personnes n’existent pas car jugés indignes d’être inclues dans le cadre de la perception. Chacun de ces trois régimes d’invisibilité possède ses logiques internes, mais celles-ci ne sont pas forcément inséparables l’une de l’autre (le Blanc 2009). S’inscrivant dans cette logique, Axel Honneth (2005) résume l’invisibilité par une propension à regarder « à travers » une personne, donc sans la voir, sans la reconnaître. Honneth distingue la connaissance (une identification cognitive) de la reconnaissance (une perception évaluative d’une personne, c’est à dire la représentation que l’on se fait de la valeur de cette personne). L’absence de gestes de reconnaissance suite à l’acte de connaissance résulte en une forme de mépris moral envers les personnes qui sont effacées du cadre perceptuel et relationnel. Bref, l’invisibilité se produit quand il y a absence de gestes qui « renvoient à un ensemble d’attentes normatives, dont dépend l’existence sociale des personnes dans des situations d’interaction. [Et] [c]ette absence signifie un déni de reconnaissance ou un mépris puisqu’elle nie aux sujets concernés toute affirmation de leurs qualités positives » (Voirol 2009 : 125). Plus précisément, « [ê]tre, c’est être perçu. Je ne suis rien si l’autre ne me perçoit pas. C’est l’autre qui, en me percevant, en me reconnaissant, me confère une existence » (Aubert et Haroche 2011 : 335). Au final, la visibilisation/l’invisibilisation sont des processus qui génèrent des résultats, la visibilité/l’invisibilité (Truchon 2016). Pour être efficace, la visibilité a donc besoin d’être elle-même visibilisée en imbriquant des aspects relationnels (entre individus, groupes et États), des aspects stratégiques (actions mises en place) et des aspects procéduraux (manières de concrétiser des actions tels que décidés par des individus, des groupes ou des États). La visibilité devient de ce fait même une catégorie « opérationnalisable » car la pratique de la visibilité est de facto un processus de visibilisation : la visibilité est le résultat de la visibilisation (Truchon 2014).
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Gagnon, Éric. "Vieillissement." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.062.

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Abstract:
L’anthropologie de la vieillesse a contribué à remettre en question des idées reçues et plusieurs préjugés tenaces, dont celle voulant que les sociétés modernes déconsidèrent la vieillesse et abandonnent leurs vieux, alors que les sociétés dites traditionnelles valorisent leur ainés et leur font une place honorable. Elle a écarté certaines images d’Épinal, comme l’Ancêtre trônant au milieu de sa famille, ou des clichés, comme le vieillard abandonné à l’hospice. Elle a appelé à se méfier de la mémoire toujours sélective et parfois enjoliveuse («Le bon vieux temps»). Elle a rappelé qu’il faut distinguer les représentations des comportements, que le prestige accordé à la vieillesse ne se traduit pas toujours en un véritable respect ou une réelle affection, et cache parfois des conditions de vie matérielle difficiles. Elle a surtout montré que le vieillissement n’est pas un phénomène purement biologique, partout identique, et qu’il est extrêmement variable d’une société, d’un groupe, d’une classe ou d’un genre à l’autre. Cette fonction critique, l’anthropologie a pu l’exercer au moyen de ce qui demeure son principal outil théorique et méthodologique : la comparaison. En comparant deux communautés au sein d’une même société, un même groupe avant et après des bouleversements historiques, deux culture très éloignées l’une de l’autre, la condition des ainés dans un pays avec celle des ainés originaires du même pays mais ayant migré dans un autre pays, ou encore différentes communautés au sein d’une même diaspora, elle a montré la diversité des conditions et des expériences, le poids des facteurs culturels, politiques ou économiques sur le vieillissement (Solokovski 1990). L’étude de cette diversité a non seulement permis de mieux comprendre le vieillissement, mais également de nourrir la réflexion touchant quatre grandes questions de l’anthropologie, que sont l’articulation du biologique et du social, les échanges familiaux, ce qui fait une communauté et le rôle des sciences et des techniques. Sur la première question, l’anthropologie du vieillissement a montré comment les transformations du corps sont étroitement déterminées par les conditions de vie, comment les changements biologiques, leur compréhension et leur perception, la manière dont les individus en font l’expérience et les réponses que les collectivité y apportent, sont façonnés par la culture, les normes sociales, l’organisation économique et les politiques publiques. L’étude de Margaret Lock (1993) sur la ménopause au Japon et en Amérique du Nord est à cet égard exemplaire. La sénescence, c’est-à-dire la dégradation des capacités générales de l’organisme biologique avec l’avancée en âge, connaît d’importantes variations. Non seulement la définition et les critères du vieillissement varient selon les milieux, les époques, les secteurs d’activité ou le genre (nombre d’années vécues, altérations physiques, incapacités, apparence physique, naissance de petits-enfants…), mais également ce qui est tenu pour un vieillissement normal ou souhaitable, le statut des personnes âgées, leurs obligations et leurs rôles. Si les conditions sociales d’existence ralentissent ou accélèrent le vieillissement biologique, elles donnent aussi à ce dernier une importance et une signification, qui font varier jusqu’aux formes d’expression de la douleur, de son histoire et de son identité (Keith 1985; Fry 2010). L’étude du vieillissement met en lumière la «biologie locale», le façonnement du corps propre à une culture ou un groupe. Sur la seconde question, l’étude anthropologique de la vieillesse s’est beaucoup intéressée aux échanges intergénérationnels, ainsi que le statut et la protection dont les personnes âgées bénéficient. Goody (1976) s’est efforcé de montrer comment les systèmes de parenté et de résidence, les modes transmission et le type d’économie favorisent ou non la dépendance des ainés envers les plus jeunes pour leur subsistance, le contrôle sur les biens, la possibilité de continuer d’habiter la demeure familiale et l’autorité qu’ils continuent d’exercer. La perspective permet non seulement la comparaison entre des sociétés d’aires culturelles très éloignées, mais l’articulation des questions anthropologiques touchant le vieillissement à celles liées à la famille et à l’économie, ainsi qu’à des enjeux politiques contemporains touchant les soins et la «prise en charge» des personnes vieillissantes (Buch 2015). Dans une perspective plus historique, on s’est intéressé aux impacts de l’allongement de la durée de vie, des transformation de l’économie (salariat, travail des femmes), des mutations de la famille, de l’essor des politiques de protection sociale (retraite, pension, allocation) et des migrations, sur les solidarités familiales, la sécurité et l’autonomie des ainés (Fry 2010). Les recherches sur les grands-parents et les transformations de leur rôle et statut (Attias-Donfut et Segalen 2007) ont alimenté l’étude des échanges et de la circulation des biens et des services au sein des familles, mais également de la transmission de la mémoire et du patrimoine familial, matériel et symbolique. Sur la troisième question, les anthropologues se sont intéressés à diverses communautés résidentielles d’ainés, que ce soit les grandes habitations et les foyers, les établissement de soins de longue durée (Hendersen et Vesperi 1995), ou encore les quartiers et villages sécurisés (gated communities), qui regroupent exclusivement ou en forte majorité des ainés. Ils se sont interrogés sur l’homogénéité de ces populations, le fonctionnement et les rites de passage propres à ces regroupements, les hiérarchies, les clivages et l’exclusion par delà le discours égalitariste, les relations avec le monde «extérieur» (les familles des résidents et la société dans son ensemble), en somme: la continuité et la discontinuité de ces communautés. Ces travaux ont nourri la réflexion sur ce qui fait une communauté en général (territoire, sentiment d’appartenance et organisation sociale), et sur la formation de communautés spécifiques de personnes âgées et le contexte dans lequel elles émergent (Keith 1985). Enfin, sur la question la place des savoirs scientifiques et techniques dans les sociétés contemporaines, les anthropologues ont porté une grande attention aux phénomènes de médicalisation et de professionnalisation du vieillissement. Celui-ci est en effet l’objet de savoirs et d’expertises qui en changent la signification et la réalité. Les transitions et transformations liées à l’âge sont devenues des problèmes, qu’il appartient à la médecine et à d’autres disciplines (la gérontologie au premier chef) de guérir, de soigner ou de «gérer» (Corin 1982). Ces interventions visent la préventions des maladies et des incapacités (gestion des risques), l’évaluation des «déficits» (physiques ou cognitifs) au moyen d’instruments diagnostics et de protocoles standardisés, pour déterminer les services ou l’aide dont la personne âgée a besoin, l’aménagement des espaces, la distribution des services spécialisés, les critères d’admission en institutions, etc. (Kaufmann 1994; Lock 1993). Ces interventions et les politiques qui les fondent, changent non seulement la façon dont le vieillissement est conçu et perçu dans une société, mais la manière dont les personnes le vivent (identité, image de soi, conduites, attentes). La vieillesse est redéfinie autour des catégories d’autonomie, de fragilité, d’activité et de dépendance – en Occident du moins – qui changent le statut de la personne âgée, sa place, ses relations aux autres, les critères culturels du vieillissement «normal» ou «réussi». Les personnes âgées sont largement considérées comme des patients et des usagers de services, mais aussi comme un marché pour les biotechnologies qui promettent un ralentissement du vieillissement. L’étude des savoirs et pratiques touchant plus spécifiquement les démences (ex : Alzheimer), du point de vue des savoirs et des pratiques professionnelles (Leibing et Cohen 2006) ou sous un angle plus expérientiel (Taylor 2008), est révélatrice de la manière dont une société conçoit la «personne», ce qui fait son «humanité» ou son identité, et comment, selon le contexte culturel et institutionnel, cette personne et cette humanité se défont ou se maintiennent. Ces travaux rejoignent une riche tradition de recherche sur la construction sociale de la «personne» et du «soi», particulièrement de la personne âgée (Lamb 1997 pour un exemple). Ces quatre grandes questions sont liées entre elles. La médicalisation et la professionnalisation renvoient à l’articulation du biologique et du social, ainsi qu’au soutien et à la prise en charge des personnes âgées; la question des communautés est indissociable des solidarités familiales. Le vieillissement est un phénomène aux multiples facettes, touchant toutes les dimensions de l’existence. Il n’est d’ailleurs compréhensible que mis en relation avec à un ensemble de réalités qui le débordent, et auxquelles, en retour, il apporte un éclairage : la famille, l’économie, la démographie, les soins de santé, les politiques, l’imaginaire social et les valeurs, la personne comme construit culturel. Si, comme le soutient Simone de Beauvoir (1970), on se découvre vieux dans le regard des autres, il reste à comprendre ce regard : les représentations, les normes, les savoirs et les pratiques qui le cadrent et l’orientent, ceux qui posent ce regard et les contextes dans lesquels il est posé, ainsi que les comportements et les expériences que ce regard induit.
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Laurent, Pierre-joseph, and Lionel Simon. "Ruse." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.037.

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Abstract:
En Occident, la ruse (en tant que raison raisonnée, délibérée, contextuelle) fut progressivement, et surtout depuis Descartes, reléguée aux oubliettes d’une rationalité calculatrice, économique, quantitative. La raison rusée semble survivre, dans nos sociétés, à la périphérie des rapports sociaux, de manière indicible, voir inaudible, car nous n’aurions plus les mots pour en saisir les vertus. Déclassée, bien souvent considérée comme suspecte face aux principes de la démocratie, nous en avons perdu la compréhension, à la suite d’un rapprochement analogique entre la ruse et l’idée de mal. Ainsi, dans la Grèce antique, la raison possédait à la fois un volet d’une intelligence pratique rusée, la Mètis (Detienne et Vernant 1974), considérée comme un support du politique, et un autre fait de rationalité calculatrice. Progressivement l’esprit de calcul triomphera du raisonnable et deviendra le mode de pensée hégémonique en Occident (Latouche 2004). La bonne ruse, soit celle qui était impliquée dans la gestion de la Cité (Vernant et Vidal-Naquet 1992) et donc dans la politique, a été considérée comme une pratique obsolète : floue et ambiguë, la ruse serait devenue indigne de la raison. Dès lors en Occident, les seules ruses reconnues seraient plutôt les fourberies. Celles-ci prennent la forme de calculs, de stratégies et d’abus. L’intelligence rusée se retrouve ici au service d’une efficacité sans principe éthique, c’est-à-dire sans discernement ni prudence. Dans ce sens, la fourberie a fréquemment rendez-vous avec la corruption et les pratiques maffieuses. Si la trajectoire du concept de ruse tend à dévoiler une tension entre deux types de raison, elle exprime aussi une tension entre deux épistémologies. Courtois-l’Heureux (2009) pointe dans les travaux de Certeau une manière particulière d’envisager les phénomènes sociaux. La ruse, en tant que concept analytique, rompt avec une épistémologie quantitative. Face aux approches statistiques et sociologiques de sociétés aux facettes supposées quantifiables, la ruse introduit le détournement, rompt la verticalité définissant l’axe de propagation d’une « culture » sur des individus. Si la ruse parait comme l’opposé et l’opposant de la rationalité, c’est que là où cette dernière veut encadrer les phénomènes, la première s’en joue et les déjoue. Elle introduit dans l’analyse le contextuel, le local, le particulier, la déclinaison. Elle focalise sur la manière dont les individus usent « d’arts de faire » au quotidien, détournent, se dérobent, se jouent, bricolent avec ce qui semble s’imposer à eux. Elle s’intéresse à toutes les distorsions que les locaux, en sourdine, font subir à tout ce qui leur échappe en apparence. La ruse rattache ainsi chaque phénomène au local, focalise l’attention sur les déclinaisons particulières ; elle se concentre sur le contexte, sur la vitalité et la créativité d’un détournement. La ruse enclenche une approche pragmatique des manières de faire et de dire (ou de ne pas faire et de ne pas dire). En cela, la ruse est un concept susceptible d’éclairer de multiples réalités. Cela parce qu’elle se niche dans de nombreuses pratiques, quotidiennes ou occasionnelles. Elle est l’art de jouer avec l’inattendu. Elle est dissimulée dans les rapports sociaux, et peut être explicite dans des récits cosmogoniques, reconnue comme le trait archétypique de certains animaux ou d’êtres mythologiques ; elle peut motiver une attitude particulière envers des divinités, voire encore opérer dans une relation maîtrisée et silencieuse avec la nature (Artaud 2013). Ainsi, si on ruse avec le fort (ou le plus fort que soi) – souvent pour tourner sa force contre lui-même – on ruse en général avec tout ce qui parait se passer de nous pour fonctionner et se mettre en place. Mais c’est sa dimension politique qu’elle évoque le plus spontanément, éclairant d’un jour singulier les usages populaires du pouvoir. La ruse se tisse en effet dans l’ombre des hiérarchies sociales et donc du pouvoir. À l’instar du don qui survit à l’échange marchand (sur le rapport entre don, dette et ruse, voir Laurent 1998), la ruse semble résister aux effets de la globalisation. La ruse populaire, de nature tactique, largement spontanée, indicible, voire parfois inconsciente, ne peut pas être assimilée tout de go à de la fourberie mal intentionnée. Il doit exister une différence irréductible entre l’idée de la ruse digne, comprise ici comme un détournement, dans le sens de « tourner dans une autre direction » et la corruption qui renvoie à un enrichissement personnel à partir d’une place d’autorité (Laurent 2000). La ruse populaire participe pleinement à la construction de l’identité des groupes dominés, comme une manière originale de traiter avec le pouvoir et d’accéder à des ressources. Ceci renvoie à une façon de se mouvoir dans un environnement qui n’est pas possédé en propre (de Certeau 1990, 1994) ; que fait-on, lorsque l’espoir d’accéder aux biens de consommation est grand, mais que ceux-ci resteront inaccessibles, dès lors qu’on participe à des mutations techniques, technologiques, sociales, culturelles, politiques, etc. comme derrière une vitrine ? La ruse est une arme au service du faible. Son efficacité est sa discrétion. L'ordre en place, abusé par l'universalité de son explication du monde, ne peut s'imaginer être joué par un sens pratique. Celui-ci demeure inaudible, invisible, indicible, inavouable pour qui, du dehors, ne partage pas le secret des "coups" et des bricolages. La ruse populaire appartient dans une forte mesure à des groupes situés à la marge de l'ordre établi. Elle troque l'absence de lieu propre, c'est-à-dire la possession d'un espace sur lequel imposer son autorité, son hégémonie, ses décisions, contre le temps, celui de l'occasion, du braconnage, de l'affût, de la dérobade (de Certeau 1990, 1994). La ruse synthétise trahison, intelligence, finesse, secret, subtilité, comédie, mensonge, discrétion. Les actions populaires rusent par une invention quotidienne qui se compose d'une pratique du "coup par coup", c'est-à-dire de l'acuité à se saisir de l'occasion et de la transformer en opportunité, d'un fort sentiment d'autonomie vis-à-vis de l'ordre institué qui peut s'exprimer par de l'indocilité, de la résistance et de l'élaboration de réseaux de relations institués à la faveur de dons, du recours et de la dépendance réciproque (dans le sens ici de prestations et de contre-prestations). La ruse, si elle procède d'un calcul évident, n'en demeure pas moins une élaboration caractérisée par une logique situationnelle. Elle constitue l’arme privilégiée des pratiques populaires, car elle est la manière la plus sûre de cadrer ou de parer au flux événementiel. Déploiement stratégique et anticipatif de plusieurs facteurs contextuels, elle devient une disposition, une manière de poser un regard teinté d’opportunisme sur les alentours pour y dénicher des opportunités (Simon 2012). Les Peuls, guidés par leurs troupeaux à travers les pâturages sahéliens, incarnent par excellence l'idée de "l'ailleurs dans le dedans" (de Certeau 1990, 1994). Le peuple peul ne possédant pas à proprement parler de lieux propres, opère sur le territoire de l'autre. Traversant des régions où vivent des agriculteurs sédentaires, les pasteurs se sentent toujours étrangers, c'est-à-dire extérieurs aux sociétés côtoyées, mais profitant de leurs pâturages. Le sommet de la ruse est atteint lorsque le grand génie Gaari-Jinne conseille au jeune couple peul de dérober chez les voisins ses premières vaches pour constituer son troupeau, avec certes une infinie prudence et avec toutes les formes requises (Le Pichon et Balde 1990). La notion de jamfa - traduit par le mot trahison - se trouve au cœur du pulaaku, c'est-à-dire de l'identité peul. Le jamfa constitue une éclatante démonstration de la capacité d'un peuple à se trouver toujours "ailleurs", c'est-à-dire jamais là où on croit le rencontrer. Il est ici question de survie. La notion de jamfa se situe au cœur du mythe fondateur de la société peul et comme le montre Vidal-Naquet à propos des éphèbes de la Cité, la ruse est consubstantielle aux cadets ou à ces groupes dominés (Vidal-Naquet 1992). Le pasteur peul ne s'oppose pas, le rapport de force ne penche pas en sa faveur, il ruse. Il traverse des espaces qui ne lui appartiennent pas en propre, mais dont il tire sa subsistance. Ceci illustre parfaitement en quoi consiste cet art du dominé, capable de se jouer d’un contexte a priori défavorable. Le champ de l’aide, des projets, de l’assistance, du bénévolat met par définition en contact des acteurs souvent étranger l’un pour l’autre. C'est par exemple le cas des paysans mossi du Burkina Faso et des offreurs d’aide de la coopération au développement. Pour comprendre les relations s’établissant entre ces deux groupes, il convient de s’écarter du discours officiel et du registre de la justification, pour prendre en considération l'informel des pratiques et apercevoir l'inédit qui se tapit au cœur de l'ordre institué par les dispositifs de l’aide (Laurent 1998). Le monde de l’aide, des projets, de la coopération, est aussi celui de la recherche de « la participation des populations bénéficiaires à la base » (souvent appelé dans le jargon de la coopération au développement « les partenaires »). Il est alors utile de se demander ce qui se passe lorsque deux « socio-logiques » se croisent (Latour 1989). Selon Hume « on ne peut établir des normes de justice abstraites et formelles qu’entre gens à peu près égaux. » (Hume 1993). Autrement dit, la négociation entre des partenaires issus de mondes différents, dont les uns aident et les autres reçoivent, sera généralement difficile à établir pour ne pas dire, a priori, impossible, sans autres artifices. Pour analyser le vaste secteur de l’aide, mieux vaut partir de l’absence d’un véritable partage des règles d’un jeu commun. Ceci conduit à la mise en spectacle, en forme de trompe-l’œil, des croyances (normes et valeurs) des donateurs par « les aidés ». La communication entre offreurs d’aide et bénéficiaires repose d’emblée sur une asymétrie qui peut conduire à des malentendus. Elle s'établit à l'insu des évidences, des stratégies et des "projets" des offreurs d'aide (Bourdieu 1980) et à la faveur de la perception du décalage, pour ne pas parler de l’inadéquation de l'offre, dans l'invisibilité, l'ambiguïté, la ruse, l'esquive, la tactique, l'occasion, le bricolage des bénéficiaires ou des « aidés ». Autrement dit, les offreurs d’aide, parfois abusés par l’évidence de leurs propositions d’actions, s’imaginent collaborer avec des partenaires, animés des mêmes perspectives qu’eux. Sachant que l’aide hiérarchise et subordonne, les donateurs n’entrevoient pas vraiment l’existence de l’autre scène régie par d’autres conventions. Cette situation conduit à des équivoques. Les acteurs locaux - à défaut de maîtriser par eux-mêmes le jeu - miment une adhésion aux conventions des offreurs d’aide, en vue d’accéder aux ressources offertes, sans pour autant partager les mêmes valeurs et avec le risque de les détourner à leurs propres fins, afin de les rendre compatibles avec leurs stratégies de survies.
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Dissertations / Theses on the topic "Perception de soi – Aspect économique"

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Rouvière, Huguette. "L'estime de soi, l'image de soi, les strategies de coping aux risques de la maladie, du cancer, du s. I. D. A." Toulouse 2, 1994. http://www.theses.fr/1994TOU20041.

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Abstract:
L'objectif de cette these est d'etudier d'une part l'effet de la maladie, du cander , du s. I. D. A. Sur l'estime de soi et sur l'image de soi; d'autre part, les strategies de coping utilisees par les malades pour gerer cette menace et s'y adapter. Dans un premier chapitre sont developpees les representations de la maladie, le mythe et la representation du cancer et du sida ainsi que leurs consequences chez les soignants. Sont abordes ensuite les effets des hemopathies et du sida sur l'identite personnelle et sociale, sur le schema et l'image corporels, sur la representation de soi, mais le malade reagit par des mecanismes defensifs, des conduites reactionnelles. Le s processus de coping, strategies cognito-comportementales de gestion du stress permettent l'ajustement du sujet a sa maladie, soit en se focalisant sur le probleme, action directe, soit en regulant son emotion, action indirecte. Estime de soi, image de soi, strategies de coping sont analysees statistiquement selon l'etat de sante (temoins, hemopathes, sideens), le sexe, l'age. La maladie agit positivement sur l'estime de soi, l'image de soi, les strategies de coping par un processus de surcompensation. Les femmes expansives, ouvertes, s'auto-evaluent positivement, controlent moins leurs emotions que les hommes stables, introvertis, gerant mieux les situations. Les adolescents impulsifs, combatifs dominent la menace. Les jeunes adultes stables, ouverts, controlent rationnellement les difficultes. Bien que stables les adultes introvertis sont destabilises par la maladie qu'ils gerent par le retrait plus que par le depassement
On the one hand, the thesis aims at analysing the effects of two diseases, cancer (hemopathy) and aids, on sel-esteem and self-image. On the other hand, we will see what are the coping strategies adopted by the patients to deal with the disease and adapt to it. In chapter one, we will develop different representations of the disease li ke myth, as well as the consequences of the representations of cancer and aids on personal and social identity, on body scheme and image, on self-representation. However the patient reacts opposing defence mecanisms or "reactional" behaviours. Coping processes, which are cognitivo behavioural strategies of stress management, enable the patien to adapt himself to his disease either by focusing on one problem, direct action, or by regulating his emotion, indirect action. Statistical analyses of self esteem, self-image and coping strategies are based on various parameters such as health (hemopathics witnesses), sex and age. The disease by means of over-adjustment process, has positive consequence on self-esteem, self image and coping strategies. Expansive, open-minded women evaluate themselves positively; they have less control on their feelings than steady introverted men who are more able to deal with situa tions. Impulsive and combative teenagers overcome threath. Young steady adults ratio nalize and control difficulties. The disease overwhelms introverted adults, even steady; they are more often reluctant to try to overcome it
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Dicko, Ahmadou Abdoulaye. "L'estime de soi chez les jeunes diplômés Maliens en quête d'emploi permanent." Dijon, 2001. http://www.theses.fr/2001DIJOL006.

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Abstract:
Hypothèse générale : Nous postulons que face à la situation de chômage de longue durée (six en moyenne) vécue par les Jeunes Diplômés Maliens, l’estime de soi est un régulateur dans les capacités d’ajustement à cette situation. Matériels et Méthodes : Notre recherche porte sur un corpus de 100 sujets répartis en deux groupes (30 Fonctionnaires sans aucun autre critère et 70 jeunes Diplômés avec comme critères : être jeune diplômé Malien, être le milieu rural, ne pas avoir eu de contrat de travail de cinq ans renouvelable, diplôme obtenu depuis trois ans). Nos hypothèses opérationnelles sont : 1) un score élevé d’estime de soi et /ou d’affirmation de soi chez le Jeune Diplômé est générateur d’une persévérance te de stratégies de quête d’emploi permanent : 2) le niveau du diplôme a un impact positif sur le niveau d’estime de soi : 3) le niveau d’estime de soi et/ou d’affirmation de soi est supérieur chez les Fonctionnaires. Pour ce faire, nous utilisons quatre outils : L’inventaire d’estime de soi-forme adulte de Coopersmith (1984), l’échelle d’affirmation de soi de Rathus (1979), le test de Rorschach en système intégré (1995) et un entretien semi-directif élaboré par nos soins. Notre méthodologie s’articule autour de quatre méthodes de traitement des données : comparatives intergroupes, intra-groupes, régressions multiples et analyses corrélationnelles. Résultats : les résultats montrent que l’hypothèse n°1 est subjectivement confirmée par l’entretien semi-directif dans les actions de recherche d’emploi ; les sujets affichent clairement leur volonté de réussir. Par contre, les liens possibles entre les stratégies mises en œuvre et l’estime de soi et/ou l’affirmation de soi l’infirment. La seconde hypothèse est infirmée. Le niveau du diplôme n’a pas d’impact sur le niveau d’estime de soi des Jeunes Diplômés. Par ailleurs, une épreuve de corrélations entre Coopersmith et Rorschach confirme le lien entre les variables perception de soi des deux outils. Au Rorschach, la centration sur soi et les représentations humaines réelles sont plus corrélées positivement avec le score total d’estime de soi chez les Fonctionnaires. Discussion : Nous obtenons des différences dans le fonctionnement psychologique entre Fonctionnaires et Jeunes Diplômés. Les Fonctionnaires ont moins de distorsions médiationnelles, s’impliquent moins dans les tâches de résolution de problèmes au contraire des Jeunes Diplômés qui ont plus de difficultés de médiation cognitive et de contrôle. Dans l’ensemble, les résultats confirment le lien entre l’estime de soi et la situation de chômage. Nous pensons que le fait de posséder un emploi permanent à niveau de diplôme à peu près égal à avantager les fonctionnaires.
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Levesque, Sylvie. "Valeur accordée à l'école, estime de soi et performance scolaire à l'adolescence." Toulouse 2, 2001. http://www.theses.fr/2001TOU20013.

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Abstract:
Le but de cette recherche est d'étudier les différentes relations entre la performance scolaire et l'estime de soi scolaire et l'estime de soi globale d'autre part. Evoquée il y a fort longtemps par James (1890), l'idée selon laquelle les aspirations et les valeurs humaines jouent un rôle essentiel dans l'évaluation de soi constitue une piste relativement peu explorée. Nous étudions donc ces relations en tenant compte de la valeur (scolaire, sociale et globale) que l'adolescent accorde à l'école. L'estime de soi étant composée de différentes dimensions, ce travail sera mené selon une approche multidimensionnelle (Shavelson et al. , 1976 ; Byrne, 1984 ; Marsh, 1986, Rosenberg, 1995 ; Harter, 1998). L'étude de ces différentes relations est enfin abordée selon une approche longitudinale. Conformèment à nos hypothèses : des relations positives entre performance et estime de soi scolaire ainsi qu'entre estime de soi scolaire et estime de soi globale ont été vérifiées ; la prédiction de l'évaluation de soi scolaire en fonction de la performance scolaire dépendant de la valeur accordée par le sujet à l'école est confirmée ; l'influence de l'estime de soi scolaire sur l'estime de soi globale ne dépend pas de la valeur accordée par le sujet à l'école. Toutefois, la valeur accordée à l'école prend part à la prédiction de l'estime de soi scolaire et globale. Notre population étant composée de 105 filles et 85 garçons âgés de 13-16 ans provenant de différents collèges toulousains, nos résultats se différencient selon le sexe des sujets et le type de collège fréquenté
The aim of this research was to study the relationship between academic achievement and academic self-esteem and also between academic self-esteem and global self-esteem. James (1890) suggested many years ago that human values and aspirations had a determining role to play in self evaluations, but not much has been done to test this hypothesis. How the adolescent personally values school is therefore taken into account to study these relationships. Self-esteem being formed of many specific self-evaluations, our research approaches it from a multidimensional perspective (Shavelson et al. , 1976 ; Byrne, 1984 ; Marsh, 1986, Rosenberg, 1995 ; Harter, 1998). Our results are also studied from a longitudinal perspective. 105 girls and 85 boys (13-16 years old) participated to this study. As we expected, a positive relationship was found between academic achievement and academic and academic self-esteem and also between academic self-esteem and global self-esteem. The relationship between academic achievement and academic self-esteem is a function of how school is academically valued, but the relationship between academic self-esteem and global self-esteem is not. It is also shown that school value takes part in the prediction of academic and global self-esteem. These results are the studied by taking into account the sex and the type of college the students attend
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Lévêque, Gwenaëlle. "Vivre avec le VIH. Face à la séropositivité ou au sida : estime de soi, stress et stratégies de coping." Toulouse 2, 2001. http://www.theses.fr/2001TOU20029.

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Abstract:
L'objectif de cette recherche est d'étudier le vécu de personnes contaminées par le Virus d'Immunodéficience Humaine. Il s'agit plus spécifiquement d'appréhender certaines conséquences psychologiques : l'estime de soi, le stress et les stratégies de coping, d'un même processus pathogène, à savoir l'infection par le VIH, en distinguant ces deux phases d'évolution : la séropositivité et le sida déclaré. Cette étude s'inscrit dans une conception transactionnelle des rapports entre l'individu et son environnement , modèle développé dans le champ de la psychologie de la santé. Nous considérons que l'infection par le VIH provoque une rupture biographique et remet en cause l'identité de la personne. Elle menace son bien-être, sa perspective temporelle et entraîne différentes pertes, par conséquent elle engendre du stress. Mais elle conduit aussi la personne à faire face et à se personnaliser, en utilisant des stratégies de coping. 61 séropositifs et 54 malades (adultes, hommes et femmes) ont participé à cette recherche. Les variables étudiées ont été appréhendées à l'aide d'un questionnaire, d'échelles d'estime de soi, de stress et de coping et par le biais d'entretiens semi-directifs de recherche. Les résultats obtenus montrent que le niveau d'estime de soi n'est pas directement influencé par le stade de l'infection par le VIH : les séropositifs ne s'estiment pas plus que les sidéens. Par contre, une évaluation positive de l'état de santé physique explique la meilleure estime de soi. Par ailleurs, il apparaît que les personnes séropositives sont moins stressées que celles qui sont en phase de sida déclaré. Elles sont moins tendues et confuses, elles se sentent moins menacées par leur infection et elles sont moins inquiètes face à leur avenir. Pour faire face à leur situation, les personnes utilisent des stratégies de retrait ou de contrôle, des stratégies de changement et de soutien social ; stratégies influencées par leurs niveaux d'estime de soi et de stress
The purpose of this research is to study the actual experience of HIV-positive people and in particular to understand some of the psychological consequences : self-esteem, stress and coping strategies of the same pathogenic process, that is the HIV infection while differentiating the two evolution phases : being HIV-positive and declared Aids. This study fits into a compromise concept of the relationships between the individual and the environment, a model developed in the field of health psychology. We think that HIV infection causes a rupture in one's life and leads to questioning one's identity. It threatens well-being, temporal prospects and leads to various losses and consequently generates stress. But it also leads the individual to cope and to develop his personality by using coping strategies. 61 HIV-positive people and 54 Aids patients (adult women and men) took part in this research. The assessed variables were acquired by means of a questionnaire, of self-esteem scale, stress and coping scales and by means of research semi-guiding discussion. The results show that the level of self-esteem is not directly influenced by the degree of HIV infection : HIV-positive people have no more self-esteem than Aids patients. On the other hand a positive assessment of one's physical health explains a greater self-esteem. HIV-positive people are not stressed as people with declared Aids. They are not so tense and confused, they feel less threatened by their infection and they worry less about their future. To cope with the situation, people use avoidance or control strategies, social support and change strategies ; strategies influenced by their levels of self-esteem and stress
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Vigne, Patricia. "Activité sportive, conflit et personnalisation à l'adolescence : place de l'autre dans la gestion stratégique en natation et en judo." Toulouse 2, 1999. http://www.theses.fr/1999TOU20108.

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Abstract:
Les aspects socio-culturel, pluri-dimensionnel du sport, sa logique également constituent des conditions d'expression et d'affirmation de soi. Ces conditions, référées au cadre qu'elles imposent, peuvent se révéler plus particulièrement constructives chez un sujet qui traverse une période conflictuelle telle que l'adolescence. En effet, cette rencontre est d'autant plus apte à favoriser, par les conflits qu'elle suscite, la mise en jeu de processus psychologiques en termes de stratégies de personnalisation. Ces processus sont différenciés dans la pratique de deux activités sportives, la natation et le judo, dont les définitions respectives ont permis de mettre en évidence un rapport spécifique à l'autre dans la pratique même. Notre hypothèse est que l'adolescent sportif fait référence, dans l'évaluation de lui-même, à des représentations concernant l'estime de soi, le locus of control, les compétences sociales et les stratégies de coping, différentes de celles de l'adolescent "tout venant" ; elles sont, de plus, différenciées selon l'activité sportive pratiquée qui implique, en natation et en judo, un rapport spécifique à autrui. La population de cette recherche est constituée de 140 adolescents sportifs, dont 70 nageurs et 70 judoka, et de 82 adolescents"tout venant". Les effets de la pratique sportive sont, en terme d'évaluation de soi, appréhendés à travers des questionnaires sur l'estime de soi, le locus of control, les compétences sociales et les stratégies de coping. Globalement, un adolescent engagé dans une pratique sportive témoigne de représentations positives à l'égard de lui-même, aptes à soutenir son processus de personnalisation. En ce qui concerne la natation et le judo, il convient de prendre en compte la différenciation de ces représentations, mais surtout la nature de leurs interactions.
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Aron-Michel, Anne-Marie. "La danse et la creation choregraphique : modes privilegies d'elaboration des representations de soi." Caen, 1992. http://www.theses.fr/1992CAEN1102.

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Abstract:
Au dela de sa dimension morphocinetique, la danse est un art qui doit gerer la dialectique expression impression, dans une eprspective de communication avec autrui, par la representation de creations choregraphiques. Elle inscrit le danseur choregraphe dans une demarche creative, qui sollicite toutes les dimensions de son identite, et revele les representations de soi mises en jeu, d'un point de vue diachronique et d'un point de vue synchronique. Dans les rapports entre la danse et le sujet qui danse, trois dimensions fondamentales se dessinent : les dimensions sexuee, sociale et personnelle. La dimension sexuee est mesuree au travers des relations entre l'identite de genre et les representations de la danse qui, par la mise en jeu du corps, expose au regard d'autrui, la feminite et la masculinite. La dimension sociale se concentre dans la confrontation entre l'image personnelle de soi et les images sociales, presumees chez autrui. La dimension personnelle apparait dans l'exploration du sentiment de soi tel qu'il est vecu dans l'action d'inventer et de danser sa danse. La danse se revele etre un mode privilegie de representations de soi, dans toutes les dimensions, personnelles et publiques, et exemplaire, car elle reactualise sans cesse le rapport au corps, active l'imaginaire et sollicite l'activite creatrice, privilegiant ainsi l'originalite, la divergence
Dance is a lot of morphicinecis skilles. But furthemore, it is an art dealing with impressive expressive dimension and communication between spectators and the dancers. So the dancer is viewed like a creator and dance is considered as revealing all parts of the dancers' individual and self representation. Between dance and dancers, we can emphasize three critical focuses : relations between dance and gender's dancer, relations between dancers and social environment, relations between dancer and himself herself. Gender dimension deals with the relation between gender and dance representations (male vs female self identity). Social dimension dealms with the relation between the personal model of oneself and social models of others. Personal dimension appears in researching self confidence, in dance discovering and dancing. Dance may be one of the best means to acquire self representation in all personal and social dimensions. It makes constantly actual the body relation, stimulates imagery and creation, and licenses originality and divergent thinking
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Kailani, Abdelaziz. "Immigration familiale et conflits identitaires : contribution à l'étude de la perception de soi chez l'adolescent d'origine étrangère." Toulouse 2, 1987. http://www.theses.fr/1987TOU20078.

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Abstract:
De par l'origine de leurs parents, et du fait de leur presence au sein de la societe francaise dans laquelle ils ont grandi et ou ils continuent toujours de vivre, les adolescents issus de l'immigration familiale marocaine sont confrontes a des conflits identitaires certains. Partant de la, le propos de notre these est d'analyser cette problematique sous ses differentes facettes: - dans un premier temps, et en se basant sur cette hypothese selon laquelle ces sujets sont dans l'incapacite de presenter une image d'eux-memes, coherente et distincte de celle d'autrui, nous nous sommes attaches a definir les modalites de la perception de leur "soi". -ensuite, nous avons tente d'analyser les rapports qu'ils entretiennent avec leurs proches copains migrants admis comme constitutifs de leur "nous". -enfin, et compte tenu de l'ambiguite identitaire qui caracterise leurs rapports a leurs pairs francais et marocains, nous nous sommes interesses a la maniere dont ils s'identifient aux uns et aux autres
Due both to their parents'origin and their actual presence in the french society wherein they have grown and are still living, the adolescents born of immigrated moroccan families have to cope with unquestionable identity conflicts. Starting from this, our thesis aims at the analysis of these problems examined under their various peculiar aspects: - in a first part, assuming the hypothesis that these subjects are utterly unable to present a true image of themselves nor a coherent and distinct one of other people, we have devoted our efforts to define the modalities of the ways they perceive their own self. - then, we have tried to analyse the relations they keep up with their closest immigrated friends, these latter included in the meaning of the word "we". -finally, taking into account their characteristic ambiguous relationships with their equals, french as well as moroccan, we have taken a special interest in the way they identify themselves to both
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Butera, Luigi. "Three essays on the economics of image motivation." Thesis, Lyon 2, 2013. http://www.theses.fr/2013LYO22011/document.

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Abstract:
Le premier essai utilise une expérience neuro-économique pour comparer l’effet de l’exposition sociale sur deux types de comportements pro-sociaux : faire le bien et éviter de faire le mal. Nous constatons que les gains d’image découlant des actes visibles de générosité sont calculés comme des récompenses dans les deux cas. Les décisions égoïstes sans conséquences d’images négatives sont calculées différemment : ne pas faire le bien (et économiser ainsi de l’argent) est corrélé avec les régions du cerveau liées à la récompense, alors que faire le mal (et donc gagner de l’argent) est corrélé avec les régions du cerveau liées à l’anticipation de la punition et au dégoût moral.Le deuxième essai étudie comment l’information sur la véritable efficacité des organismes de bienfaisance (et sa visibilité sociale) affecte les contributions des petits donateurs. Nous constatons que les individus ignorent les mauvaises performances des organismes de bienfaisance quand le don est couvert par l ?anonymat mais augmentent leurs contributions aux organismes de bienfaisance qui sont plus performants que prévu. Toutefois, lorsque le montant donné et l’efficacité du destinataire sont de notoriété publique, les donateurs motivés par des préoccupations d’image sociale traitent la quantité et la qualité de leurs dons comme des substituts.Le troisième essai étudie les effets du contrôle dans les relations de principal agent où les intérêts monétaires sont alignés. En comparant le contrôle direct avec des règles impersonnelles générales, nous montrons que le contrôle direct génère plus de coûts cachés du côté de l’agent que les règles impersonnelles. En même temps, les directeurs ont tendance à moins exercer leur autorité lorsque les règles sont impersonnelles, car cela les obligent à signaler leur cupidité même lorsque ce n' est pas nécessaire
This thesis contains two essays that assess the role of social image concerns in charitable giving decisions and one essay that explores the role of authority in hierarchical relationships characterized by aligned monetary interests.The first essay uses a neuro-economic experiment to compare the effect of social exposure on two types of pro-social behaviors: doing good and avoiding doing bad. We find that image gains deriving from visible acts of generosity are computed by the brain as rewards for both decisions. Differently, selfish decisions with no negative image consequences are computed differently: not doing good (and thus saving money) correlates with reward-related regions, while doing bad (and thus earning money) correlates with regions related to punishment’s anticipation and moral disgust.The second essay studies how information about real charities’ efficiency (and its social visibility) affects small donors contributions. We find that individuals disregard bad news about their own charities when giving happens under full anonymity, but do increase their contributions to charities that perform better than expected. Differently, when both the amount donated and the efficiency of the recipient are public knowledge, donors motivated by social image concerns treat the quantity and the quality of their donations as substitutes.The third investigates the effects of control in principal-agents’ relationships where monetary interests are aligned. By comparing direct control and general impersonal rules, we show that direct monitoring generates significantly more hidden costs of control from the agent side than impersonal rules.At the same time however, principals tend to exercise their authority less when restrictions are impersonal, as these force them to signal their greed also when unnecessary
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Rameau, Gérard. "Images de soi, regard de l'autre et vidéo dans les groupes de formation en expression-communication : la vidéoscopie en questions, enjeux et conditions d'emploi." Grenoble 2, 1992. http://www.theses.fr/1992GRE29028.

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Abstract:
L'autoscopie (observation de soi par soi) utilisant la video (videoscopie) ne pose pas seulement des problemes techniques et operatoires, elle pose egalement des problemes d'ordre psychologique. La confrontation d'une personne a son image met parfois en jeu une problematique personnelle dont la prise en compte depasse le cadre de l'intervention. Mais est-ce la la source principale de toutes les difficultes et interrogations que souleve cette pratique, et notamment des risques et des "dangers" auxquels s'exposent les praticiens ? de fait, les questions qu'ils posent directement ou indirectement ne se limitent pas a ce seul aspect, et leur discours permet en definitive de degager quatre "champs de questionnement": le premier se rapporte aux enjeux de la communication interpersonnelle, le second concerne les conditions intersubjectives du regard sur soi, le troisieme porte sur la specificite de l'image electronique et de la mise en oeuvre du dispositif, le dernier enfin nous interroge sur le sens meme de cette pratique. Le traitement de ces differents champs permet ainsi de mieux situer les veritables enjeux de l'utilisation de la videoscopie et d'en tirer un certain nombre d'enseignements concernant ses conditions d'emploi, tout en degageant des perspectives pour la formation des praticiens et la recherche qui reste a poursuivre en ce domaine
The self-observation experience using the videotape technique does not only raise problems of a technical and practical nature; it also poses psychological problems. When a person is confronted by his or her own image, a series of personnal problems occasionally arises whose consideration extends beyong the scope of the exercise itself. However, one may ask whether this is the main source of all the difficulties and uncertainties involved in the exercise, and principally of the risks to which those who use it lay themselves open. In practice the questions they put, either directly or indirectly, are not restricted to this aspect alone, and their observations allow us to identify four "areas of investigation": the first concerns the issues involved in interpersonal communication; the second, the intersubjective determinants of the self-image; the third concerns the specific nature of the electronic image itself and the use of the equipment; lastly, the fourth raises the question of the actual purpose of this technique. By considering the various areas in depth we are better able to identify the real issues involved in the use of closed-circuit tv and to draw a number of lessons on the requirements for their use, and at the same time to open up prospects for the training of those who use this technique and for the future research in this field
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Sordes-Ader, Florence. "Les conséquences psychologiques du cancer : anxiété, estime de soi, projets et stratégies de coping des adolescents." Toulouse 2, 1996. http://www.theses.fr/1996TOU20083.

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Abstract:
Au debut des annees 1980, rares etaient les cancers que l'on pouvait guerir. Aujourd'hui, le controle de ce mal est devenu possible dans de nombreux cas. Quoiqu'il en soit, cette maladie grave, accompagnee d'une forte representation negative, peut provoquer a travers la crise qu'elle entraine, des bouleversements personnesl profonds pouvant conduire a des situations de rupture. L'objet de notre etude est d'analyser les consequences psychologiques d'une telle maladie sur l'adolescent; celui-ci etant deja confronte a divers changements : image du corps, sentiment de competences intellectuelles,. . . Nous mettrons l'accent, dans notre recherche, sur l'intensite des emotions face au cancer, sur l'image de soi atteinte par les traitements et leurs effets, sur l'aspect temporel lie a la menace (de mort?), mais aussi sur les conduites de faire face, primordiales dans la gestion de cette situation stressante. La population de cette recherche est constituee de 51 adolescents atteints de cancer et de 51 adolescents dits "tout venant", ages de 14 a 20 ans. L'impact de la maladie est evalue au travers de questionnaires sur l'anxiete, l'estime de soi, l'horizon temporel et les projets et enfin sur les strategies de coping. Nous avons mis en evidence, contrairement a ce que nous attendions, une anxiete plus faible et une estime de soi plus forte chez les adolescents malades, essentiellement chez les filles. Ceci renvoie au deni, a la survalorisation ou encore a un effet de soutien social. Les projets de vie et les projets professionnels sont maintenus malgre l'incertitude liee a la maladie. La maladie jouerait un role d'accelerateur du futur (realiser plus tot les projets importants)
At the beginning of the eighties, scarce were curable cancers. Tooday, the control of this disease has become possible in numerous cases. However that may be, this serious illness, accompanied by a strong negative representation, through the crisis it brings about, may cause great personal distress, which may lead to a breaking point. Our purpose in making this study is to analyse the psychological consequences of such an illness on the adolescent who has already been confronted with various changes : the bodyfigure, the feeling of his intellectual competences,. . . In our research, we will put the stress on the intensity of emotions faced with cancer, on self-image affected by treatments and by their effects, on the temporal aspect linked to the threat (of death ?), and also on the course of action to take to face the problem, which is of the utmost importance in the management of the stressfull situation. The population of this research is composed of 51 adolescents suffering from cancer, and of 51 adolescents so-called "tout venant", aged from 14 to 20. The impact of the disease is evaluated by means of questionnaires on anxiety, self-esteem, temporal horizon and plans, and finally, on coping strategies. We have brought to the fore, contrary to what we had expected, weaker anxiety and stronger sel-esteem with sick adolescents, especially with girls. This refers to denial, to over self-actualization, even, to the effect of social support. Plans for the future, and occupational
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Books on the topic "Perception de soi – Aspect économique"

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Myrna, Ladouceur, D'Aspremont Isabelle, and Monbourquette Jean, eds. Stratégies pour développer l'estime de soi et l'estime du Soi. Ottawa: Novalis, 2003.

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Corak, Miles. Influences intergénérationnelles sur la perception de prestations d'assurance-chômage au Canada et en Suède. Ottawa, Ont: Direction des études analytiques, Statistique Canada, 2000.

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Le secret de la lampe d'Aladin, ou, Comment réaliser tous vos rêves. Montréal: Libre expression, 1990.

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Hildebrandt, Hans-Jürgen. Selbstwahrnehmung und Fremdwahrnehmung: Ethnologisch-soziologische Beiträge zur Wissenschaftsgeschichte und Theorienbildung. Mammendorf/Obb: Septem artes, 1996.

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Brewer, Marilynn B., Roderick Moreland Kramer, Geoffrey J. Leonardelli, and Robert W. Livingston. Social cognition, social identity, and intergroup relations: A festschrift in honor of Marilynn B. Brewer. Hoboken: Taylor & Francis, 2011.

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6

1932-, Krippner Stanley, ed. Personal mythology: The psychology of your evolving self--using ritual, dreams, and imagination to discover your inner story. Los Angeles: Jeremy P. Tarcher, 1988.

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7

Feinstein, David. Personal mythology: The psychology of your evolving self : using ritual, dreams, and imagination to discover your inner story. London: Unwin Paperbacks, 1989.

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1932-, Krippner Stanley, ed. Personal mythology: The psychology of your evolving self : using ritual, dreams, and imagination to discover your inner story. Los Angeles: J.P. Tarcher, Inc., 1988.

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Gurney, Peter W. Self-esteem in children with special educational needs. London: Routledge, 1988.

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10

Corson, John A. Stress, self-concept, and violence. New York: AMS Press, 1989.

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