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Diakité, M., S. I. Diawara, N. Tchiengoua Tchogang, D. B. Fofana, S. A. Diakité, S. Doumbia, K. Traoré, et al. "Connaissances et attitudes du personnel médical en matière de transfusion sanguine au Mali." Transfusion Clinique et Biologique 19, no. 2 (April 2012): 74–77. http://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2012.01.004.

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Bomba Di Masuangi, E., L. Bakaly Kisalu, A. Nkodila, and J. Nkondi Nsenga. "Connaissances, attitudes et pratiques du personnel soignant sur le risque de contamination par le virus de l’hépatite virale b a l’hôpital général de référence de l’institut médical évangélique (IME)/Kimpese." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 16, no. 2 (June 2, 2021): 46–51. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v16i2.1870.

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Abstract:
Contexte : L’hépatite virale B (HVB) est un problème de santé publique majeur dans plusieurs régions du monde et la République Démocratique du Congo est comptée parmi les pays les plus touchés. Objectif : Évaluer les connaissances, attitudes et pratiques du personnel soignant par rapport au risque de contamination par le VHB. Méthodes : Il s’est agi d’une étude transversale descriptive portant sur l’évaluation des connaissances, attitudes et pratiques du personnel soignant sur le risque de contamination par le virus de l’hépatite B à l’IME/KIMPESE à l’aide d’interview. Résultats : Au total, 91 personnes ont été interviewées dont 44 hommes (49,4%) et 47 femmes (51,6%), soit un sex ratio H/F de 0,94. L’âge moyen était de 30,2 ± 7,1ans. La plupart des soignants (94,5%) avaient reconnu le virus B comme agent pathogène de l’HVB et 89% avaient conscience que la vaccination restait le moyen de prévention le plus efficace quoique personne ne fût vacciné contre l’HBV. Plus de la moitié (53,7%, p=0,03) continuaient à recapuchonner les aiguilles après utilisation. Cinquante-quatre virgule neuf pourcent ont été victimes d’un accident d’exposition à risque de contamination par le VHB. Les expositions au risque les plus fréquentes étaient les piqûres avec les aiguilles creuses (40,7%), les projections des liquides biologiques sur les muqueuses (32,2%), le contact non protégé avec les plaies (27,5%), et les coupures (20,9%). Conclusion : La présente étude a montré que le niveau des connaissances du personnel
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Kouotou, E. A. E. A., A. D. Ngangue Engome, and A. C. Zoung-Kanyi Bissek. "Connaissances, attitudes et pratiques relatives à la dermatite atopique chez le personnel médical à Yaoundé." Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 142, no. 12 (December 2015): S576—S577. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2015.10.325.

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Schmidt, Ingrid K., Cecilia B. Claesson, Barbro Westerholm, and Lars G. Nilsson. "Physician and Staff Assessments of Drug Interventions and Outcomes in Swedish Nursing Homes." Annals of Pharmacotherapy 32, no. 1 (January 1998): 27–32. http://dx.doi.org/10.1177/106002809803200102.

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Abstract:
OBJECTIVE To describe the type and frequency of drug-related problems discussed in regular team meetings conducted in 15 Swedish nursing homes and report physician and staff assessments of these interventions and residents' outcomes. DATA SOURCES AND METHODS The data were collected within the context of a controlled trial with the primary aim of exploring the effects of regular team interventions on drug prescribing practices in Swedish nursing homes. In 15 experimental nursing homes, the residents' drug therapy was discussed regularly by a team consisting of a pharmacist, a physician, nurses, undernurses (similar to licensed practical nurses), and nurse's aides. The pharmacist documented problems, made changes, and observed outcomes. Following the intervention period, a questionnaire was sent to the medical staff that contained items regarding perceived outcomes, the intervention's impact on knowledge of drug therapy in the elderly, and attitudes toward the pharmacist's role. RESULTS Unclear indication and problematic choice of drugs were the most common drug-related problems discussed. In 19% of the situations, therapy changes were reported to have had a beneficial effect on the residents' clinical status; in 47% of the situations, staff reported no observable outcome from changes, suggesting that the changes had been appropriate. Finally, medical staff claimed in the follow-up survey that their knowledge about drug therapy had increased; they expressed an overall positive attitude toward this interactive collaboration. CONCLUSIONS Regular interventions conducted by a multidisciplinary team incorporating a pharmacist can effectively improve prescribing practices, increase staff knowledge about appropriate drug therapy in the elderly, and result in improved quality of care for nursing home residents. OBJETIVO: Describir el tipo y frecuencia de problemas relacionados a medicamentos discutidos durante las reuniones de equipo conducidas en 15 casas de convalecencias en Suecia. Reportar las evaluaciones de los médicos y otro personal de estas intervenciones y el resultado en los residentes. FUENTES DE INFORMACIÓN Y MÉTODOS: La información se recopiló dentro del contexto de un estudio controlado con el propósito primario de explorar el efecto de las intervenciones durante reuniones de equipo en las prácticas de prescripción en las casas de convalecencia en Suecia. En 15 casas de convalecencia, regularmente se llevan a cabo discusiones de la terapia de los residentes con la participación de un equipo compuesto por un farmacéutico, un médico, enfermeras, y asistentes de enfermeras. El farmacéutico documenta los problemas, cambios realizados, y resultados observados. Luego del período de intervención, se envió un cuestionario al personal médico que contenía aseveraciones sobre los resultados percibidos, el impacto de la intervención en su conocimiento sobre la farmacoterapia en el paciente de edad avanzada, y sus actitudes hacia el papel del farmacéutico. RESULTADOS: Los problemas relacionados a medicamentos más comunmente identificados y discutidos fueron falta de indicación y selección de fármaco inadecuada. En el 19% de los casos, los cambios en terapia resultaron de beneficio en el estatus clínico del residente; en el 47% de los casos, el personal reportó que no observaron resultados de los cambios, sugiriendo que los cambios fueron apropiados. Finalmente, el personal médico alegó en el cuestionario que sus conocimientos sobre la farmacoterapia en el paciente de edad avanzada aumentó y expresaron tener una actitud positiva hacia esta colaboración interactiva. CONCLUSIONES: Las intervenciones rutinarias conducidas por un equipo multidisciplinario que incorpora un farmacéutico puede efectivamente mejorar las prácticas de prescripción, aumentar el conocimiento del personal médico sobre la farmacoterapia en el paciente de edad avanzada y puede así resultar en una mejoria en la calidad del cuidado que se ofrece en las casas de convalecencia. OBJECTIF: Décrire le genre de problèmes reliés aux médicaments discutés lors des réunions d'équipe régulièrement tenues dans 15 centres d'accueuil Suédois. Rapporter l'évaluation que les médecins et le personnel soignant ont fait des résultats obtenus et du processus d'intervention. REVUE DE LITTÉRATURE ET MÉTHODES: Les données ont été collectées dans le cadre d'une étude contrôlée ayant pour objectif principal d'explorer l'effet d'interventions régulières sur les pratiques de prescription dans des centres d'accueuil Suédois. Dans les 15 centres à l'étude, des discussions concernant la thérapie médicamenteuse des résidents ont été tenues régulièrement par une équipe formée d'un pharmacien, d'un médecin, d'infirmières, de sous-infirmières, et d'aide-infirmières. Le pharmacien documentait les problèmes, les changements effectués, et observait les résultats de l'intervention. Après l'intervention, un questionnaire était envoyé au personnel médical. Ce questionnaire portait sur les résultats perçus, l'impact de l'intervention sur leurs connaissances de la thérapie médicamenteuse chez la personne âgée, et leurs attitudes envers le rôle du pharmacien. RÉSULTATS: Les problèmes les plus fréquemment discutés étaient le choix du médicament et les médicaments ayant une indication incertaine. Dans 19% des cas, les changements thérapeutiques ont eu un effet bénéfique sur l'état clinique du résident. Dans 47% des cas, le personnel n'a rapporté aucun changement à l'état du résident, suggérant ainsi que le changement était approprié. Finalement, le personnel médical reconnaît, par l'entremise du questionnaire, que leurs connaissances sur la thérapie médicamenteuse des personnes âgées se sont accrues et ils ont exprimés une attitude positive envers cette collaboration interactive. CONCLUSIONS Des interventions régulières conduites par une équipe multidiciplinaire incorporant un pharmacien peuvent effectivement améliorer les pratiques de prescription et la connaissance du personnel quant aux médicaments appropriés pour les personnes âgées. Ces interventions permettent ainsi d'améliorer la qualité des soins en centre d'accueuil.
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LeBossé, Yann, Francine Lavoie, and Geneviève Martin. "Influence du contexte de travail des professionnels et professionnelles de la santé en regard de leurs attitudes vis-à-vis des femmes violentées en milieu conjugal." Articles 4, no. 1 (April 12, 2005): 119–36. http://dx.doi.org/10.7202/057633ar.

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Abstract:
Malgré leur place prépondérante dans le réseau d'identification des femmes violentées, les médecins et les infirmières rapportent peu de cas de violence conjugale dans leur clientèle. Quinze médecins et cinq infirmières ont été interrogés dans le cadre d'une recherche portant sur les attitudes des professionnel-le-s de la santé envers la femme violentée. Il ressort de cette recherche que le contexte de travail contribue à la sous-identification des femmes violentées. Les auteur-e-s en concluent que cette situation, ajoutée à la présence d'attitudes défavorables du personnel médical à l'égard des femmes violentées, nécessite une mise en question de la pratique dans les services de santé.
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Monde, Aké Absalome, Jean-Claude Moundounga, Massara Camara-Cisse, Chantal Gauze-Gnagne-Agnero, Roland Nguetta, Dimitri Fogha, and Georges Tiahou. "Connaissances, attitudes et pratiques sur les valeurs nutritionnelles de l’huile de palme chez le personnel médical et paramédical de l’Institut de Cardiologie d’Abidjan." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 4 (November 8, 2019): 1969. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i4.5.

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St-Onge, Myreille, and Alexandre Lemyre. "Les variables associées à l’attitude du personnel enseignant du secteur collégial vis-à-vis des étudiantes et étudiants présentant un trouble de santé mentale." Éducation et francophonie 44, no. 1 (April 20, 2016): 173–94. http://dx.doi.org/10.7202/1036178ar.

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Abstract:
Dans cet article, nous traitons des variables associées à l’attitude du personnel enseignant à l’égard d’étudiantes et étudiants présentant un trouble de santé mentale (TSM) et fréquentant seize cégeps au Québec. Ces variables regroupent le sexe, l’âge, l’expérience en enseignement et la source de connaissances sur les TSM. Le questionnaire évaluant l’attitude du personnel enseignant est constitué d’échelles du Student Mental Illness Awareness Survey et de trois échelles construites par l’équipe de recherche. Les résultats obtenus auprès de 232 enseignantes et enseignants sont présentés. Des analyses de variance univariées et des tests a posteriori ont été réalisées. Certaines variables sont associées à une attitude plus positive à l’égard de ces étudiantes et étudiants : être une femme, être plus jeune, mais aussi enseigner depuis plus longtemps et avoir acquis des connaissances sur les TSM lors d’une formation universitaire ou en milieu de travail. En contrepartie, l’acquisition de connaissances sur les TSM par l’intermédiaire des médias est associée à une attitude plus négative. Ces travaux appuient l’efficacité des formations visant à améliorer l’attitude du personnel enseignant à l’égard des étudiantes et étudiants ayant un TSM et ainsi faciliter leur parcours scolaire. Les résultats éclairent l’effet potentiellement négatif des médias sur les attitudes. Nous proposons deux stratégies étudiées chez d’autres populations afin de contrebalancer cet effet.
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St-Arnaud, Pierre. "Pour une sociologie de la pratique médicale au Québec." Articles 9, no. 3 (April 12, 2005): 281–97. http://dx.doi.org/10.7202/055408ar.

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Abstract:
On discute beaucoup actuellement au Québec de la pratique médicale. Les nouvelles mesures de sécurité sociale ont remis en question ses modalités traditionnelles d'exercice. Mais là n'est peut-être pas le plus important: le statut du médecin a longtemps tenu à un contexte plus général d'occupations privilégiées qui se modifie radicalement. De plus des transformations profondes des attitudes viennent déplacer, sans qu'on le réalise encore très ouvertement, les attentes du malade par rapport au médecin. Il y a là, semble-t-il, un champ de recherche peu cultivé chez nous où se trouvent impliqués des problèmes décisifs pour une sociologie des occupations; mais est aussi en cause une sociologie de la connaissance soucieuse non pas seulement des origines idéologiques de la science, mais aussi de son insertion dans les pratiques sociales. Afin de poursuivre la recherche sur cette question, il faudrait pouvoir faire l'histoire de la pratique médicale dans notre pays. Pour l'instant, la documentation s'avère mince. Il nous a semblé qu'une large position du problème était d'abord nécessaire. N'est-il pas opportun de formuler au départ un ensemble cohérent d'interrogations ? C'est ce cadre d'analyse que nous exposerons ici : nos hypothèses pourront, dans des études subséquentes, faire l'objet de plus minutieuses investigations historiques et sociologiques. Présentons d'abord nos perspectives les plus générales. Talcott Parsons propose cinq éléments fondamentaux qui résument, à son avis, les traits caractéristiques du rôle professionnel du médecin dans la société moderne. Ce sont: 1. La compétence technique : le savoir du médecin dans la mesure où il se compose de connaissances scientifiques appliquées. 2. L'universalisme du rôle : le médecin traite tous ses patients d'une manière égale, en raison exclusivement de ce dont ils souffrent et non de ce qu'ils sont ou font dans la société. 3. Le rôle fonctionnel spécifique : tous les aspects du rôle du médecin, sa compétence, son autorité, ses privilèges, ses obligations ne sont limités qu'au domaine de la santé et de la maladie. 4. La neutralité affective : l'interdiction pour le médecin d'éprouver des sentiments personnels à l'égard de ses patients. 5. L'attitude désintéressée et altruiste : le médecin place le bien-être du malade au-dessus de ses intérêts personnels et exclut le mobile du profit. Nous croyons que ces cinq traits peuvent être logiquement reliés aux trois aspects suivants de la pratique médicale : 1. La définition interne de la médecine : la définition de la médecine par la dimension de la connaissance dans la mesure où celle-ci représente le noyau de son organisation interne. S'y joint la compétence technique du médecin. 2. Le cadre institutionnel de la pratique médicale : l'ensemble des facteurs sociaux, économiques, politiques qui déterminent concrètement la pratique de la médecine (l'Etat, les idéologies dominantes, le Collège des médecins, etc.). S'y joignent l'universalisme du rôle, la neutralité affective, le rôle fonctionnel spécifique. 3. Les valeurs médicales : essentiellement le désintéressement et l'altruisme. Elles demeurent constantes en tout lieu, à toute époque, et elles assurent la justification de la pratique médicale depuis Hippocrate. S'y joignent l'attitude désintéressée et altruiste, la neutralité affective. Marquons une seconde étape et lions nos éléments à ce qu'il est désormais convenu d'appeler les dimensions extrêmes de toute structure sociale: la culture, l'organisation socio-économique. Au pôle culturel, nous rattachons la définition interne de la médecine, les valeurs médicales ainsi que les traits de Parsons qui leur sont joints. Au pôle socio-économique, nous rattachons le cadre institutionnel de la pratique médicale et les traits de Parsons qui lui sont joints. Nous sommes ainsi devant une sorte de modèle. La systématisation qu'il suppose est essentielle pour bien apercevoir la liaison et les implications des facteurs sociaux en cause. Mais les sociétés, on le sait, ne fonctionnent jamais comme des mécanismes cohérents: aussi notre systématique devra nous permettre d'évaluer les décalages et même les contradictions qui marquent la structure de la pratique médicale. Pour nous donner une perspective historique, nous allons appliquer successivement notre modèle à la pratique traditionnelle de la médecine et à la pratique actuelle.
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Petrasso, Ylenia, Marco Straccamore, Edoardo Bottoni, Simone Cappelletti, Paola Antonella Fiore, and Costantino Ciallella. "Medical prescription vs defensive medicine: Results of a questionnaire answered by members of the Latina Board of Physicians, Surgeons and Dentists." Rivista di Psicopatologia Forense, Medicina Legale, Criminologia 22, no. 1-2-3 (December 27, 2017): 39–43. http://dx.doi.org/10.4081/psyco.2017.13.

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Abstract:
“Defensive Medicine” is intended as health practitioners’ behaviour aimed at limiting any medical - legal disputes and in addition to limiting a doctor’s responsibilities; specifically, DM is implemented by prescribing diagnostically useless tests, or by avoiding procedures that are potentially beneficial for the patient, but burdened by risk. The final effect of this medical conduct is to nullify the efficiency of health care, as well as increase times and costs. Our Group asked doctors registered with the Professional Board of Latina to answer a questionnaire aimed at investigating the perception of this issue and their behaviour in this regard, both in terms of prescriptions and insurance coverage. The results show a general attitude of distrust towards a disputed doctor and a series of behaviours aimed at avoiding such situations; the doctors interviewed asked for increased protection and less pressure in order to better carry out their work. ---------- Per “Medicina Difensiva” si intende una condotta, posta in essere dal personale sanitario, volta a limitare eventuali contenziosi medico – legali e finalizzata a limitare le responsabilità del medico; nello specifico, la MD si realizza attraverso prescrizione di esami inutili dal punto di vista diagnostico, ovvero tramite evitamento di procedure potenzialmente benefiche per il paziente, ma gravate da rischio. L’effetto finale di questa condotta medica è quello di vanificare l’efficienza dell’operato sanitario, aumentandone anche tempistiche e costi. Il Nostro Gruppo ha somministrato ai medici iscritti presso l’Ordine Professionale di Latina un questionario, volto ad indagare la percezione del problema esposto e il comportamento adottato a riguardo, sia in termini di prescrizioni che di copertura assicurativa. I risultati mostrano un atteggiamento generale di diffidenza nei confronti del contenzioso medico ed una serie di comportamenti volti ad evitare tali situazioni; i medici intervistati richiedevano una maggior tutela e una minore pressione, al fine di svolgere al meglio il proprio operato. ---------- “Medicina Defensiva” significa un comportamiento llevado a cabo por el personal de salud, dirigido a limitar cualquier disputa médicolegal y dirigido a limitar las responsabilidades del médico; específicamente, la MD se lleva a cabo prescribiendo pruebas innecesarias desde el punto de vista del diagnóstico, o evitando procedimientos que son potencialmente beneficiosos para el paciente, pero cargados por el riesgo. El efecto final de esta conducta médica es anular la eficacia de la atención médica, lo que también aumenta el tiempo y los costos. Nuestro Grupo ha entregado a los doctores inscritos en la Orden Profesional de Latina un cuestionario, dirigido a investigar la percepción del problema expuesto y el comportamiento adoptado al respecto, tanto en términos de prescripciones como de cobertura de seguro. Los resultados muestran una actitud general de desconfianza hacia el conflicto médico y una serie de comportamientos dirigidos a evitar tales situaciones; los médicos entrevistados requieren una mayor protección y menos presión, para realizar mejor su trabajo.
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Benseddik, Khedidja. "Genetic tests in oncology. A Swiss knife." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 2, no. 2 (December 30, 2012): 177–81. http://dx.doi.org/10.48087/bjmstf.2015.2217.

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Abstract:
En oncologie, les tests génétiques sont utilisés pour diagnostiquer des formes héréditaires et pour rechercher des mutations cancéreuses somatiques. Leurs fins sont multiples : dépistage, pronostic, diagnostic, monitoring et surveillance de la maladie résiduelle. L’intégration des tests génétiques dans la pratique médicale est un défi permanent que doivent relever les professionnels de la santé œuvrant dans le domaine de l’oncologie. Pour se faire, ils doivent être en permanence mis à jour sur les tests génétiques disponibles et sur les contextes dans lesquels ils peuvent être utilisés. Cet article comporte deux principaux objectifs : fournir une vue d'ensemble des tests génétiques en oncologie déjà dans la pratique clinique, avec des ressources en ligne, gratuites, dynamiques et évolutives ; et introduire les connaissances, compétences et attitudes en génétique dont les professionnels de la santé impliqués doivent disposer. Intégrer la prescription des tests génétiques en routine, au sein de nos structures de santé, est un parcours long jalonné d’obstacles. La mise en place des infrastructures et la formation de l’ensemble du personnel impliqué seront les premiers à franchir. L’intervention de professionnels en génétiques de tous les horizons : médecins, ingénieurs et techniciens est plus que jamais sollicitée.
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Kimmel, David, and Daniel J. Robinson. "Sex, Crime, Pathology: Homosexuality and Criminal Code Reform in Canada, 1949–1969." Canadian journal of law and society 16, no. 1 (April 2001): 147–65. http://dx.doi.org/10.1017/s082932010000661x.

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Abstract:
RésuméCet article examine les processus légaux, politiques et sociaux qui ont abouti à la décriminalisation de l'homosexualité au Canada, en 1969. Même s'il explore l'activisme gai, les développements internationaux, la libéralisation des attitudes sociales, et les anomalies du code criminel de l'époque, l'article se concentre surtout sur la reconceptualisation de la vision juridico-pénale de l'homosexualité vers une conception médico-scientifique et sur l'impact de ce changement sur l'éventuelle décriminalisation. Dans ce cadre, une approche foucaldienne est employée pour illustrer de quelle façon l'évolution du discours psychiatrique sur l'homosexualité a affecté la compréhension sociale et légale de l'attraction entre personnes du même sexe, de la Deuxième guerre mondiale jusqu'aux années 1970. Alors que psychiatres et psychologues étendaient leur expertise à la zone des pratiques et des identités sexuelles, ils ont fourni aux réformateurs et aux parlementaires un cadre interprétatif de l'homosexualité dissocié de l'aspect criminel. Malgré sa légalisation partielle, en 1969, l'homosexualité demeura longtemps associée à une activité pathologique, nécessitant une présence «gouvernante» continue dans les chambres à coucher de la nation, et ce pendant plusieurs années.
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Kouyaté, M. "Evaluation des connaissances, des attitudes et des pratiques des gargotiers de la commune III du district de Bamako par rapport à la contamination des aliments en 2017." Mali Santé Publique 10, no. 1 (July 24, 2020): 19–25. http://dx.doi.org/10.53318/msp.v10i1.1657.

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Abstract:
Introduction : Les personnes qui manipulent les aliments ne comprennent pas toutes le rôle qu'elles doivent jouer pour la protection de leur santé et celle des consommateurs. La présente étude visait à évaluer les connaissances, les attitudes et les pratiques des gargotiers (gargotières) sur la contamination des aliments afin de proposer des solutions d'amélioration de leurs compétences. Matériel et méthodes : C'est une étude transversale à visée descriptive, qui a allié la recherche quantitative et qualitative. Le questionnaire a été administré à 27 employés et 21 employeurs. L'entretien a concerné 20 employés et 20 employeurs. L'observation a porté sur 20 gargotes. Résultats : Notre étude a révélé que 55% des employeurs contre 90% des employés ignoraient l'existence des textes régissant la vente des aliments. Moins de 50% des enquêtés avaient le certificat médical. Au total, 59,3% des employés et 57,1% des employeurs ont affirmé que les aliments peuvent être contaminés à tout moment ; 67,5% des enquêtés disaient que la bonne conservation des aliments, le lavage des mains, l'entretien du matériel et des locaux protègent les aliments contre la contamination. Les aliments étaient conservés à l'air libre dans 45,0% des gargotes. Les 92,6% des employés et 90,5% des employeurs affirmaient que les troubles digestifs sont liés aux aliments contaminés suivis de la fièvre typhoïde pour 66,7% des employés contre 47,6% des employeurs. Les déchets étaient éliminés avant et après service dans 10% des gargotes. Conclusion : La plupart des enquêtés ignorait les textes régissant la vente des aliments, les maladies liées à l'alimentation. Les notions de contamination et de prévention n'étaient pas bien connues.
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Savadogo, Madi, Philippe Koné, Laibané Dieudonné Dahourou, Rosine Manishimwe, Adama Sow, Lalé Nébié, Nicolas Antoine-Moussiaux, Bernard Doulkom, and Rianatou Bada-Alambedji. "Epidémiologie de la rage et connaissance, attitudes et pratiques des communautés au Burkina Faso." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 2 (June 29, 2020): 133–40. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31863.

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Abstract:
La rage est une zoonose endémique dans les pays en développement et compte parmi les pathologies virales les plus virulentes et mortelles. Elle constitue une menace pour la sante publique et animale au Burkina Faso. La présente étude transversale a été conduite pour décrire l’épidémiologie de la rage et les connaissances, attitudes et pratiques (CAP) des populations à Ouagadougou. Elle a consisté en une collecte de données auprès des ménages et des structures techniques impliquées dans la prévention, le contrôle et la surveillance de la rage humaine et animale. L’enquête CAP a été réalisée auprès de 616 ménages. Elle a montré que la majorité des participants avaient entendu parler de la rage humaine (80,7 %) et animale (94,6 %), savaient qu’elle se transmettait essentiellement à la suite de morsure par un chien infecte (94,2 %) et étaient capables de citer correctement au moins deux voies de transmission de la maladie (65,7 %). En revanche, seuls 9,7 % des propriétaires de chiens affirmaient être capables de financer la vaccination antirabique canine annuelle. Les principaux canaux d’information et de communication sur la rage utilises par les participants étaient l’entourage (41,8 %), l’école (33,4 %) et les médias (24,8 %). Quant à l’étude épidémiologique rétrospective, qui s’est appuyée sur les documents disponibles au sein des structures nationales, elle a mis en évidence qu’en moyenne 4172 cas de morsures étaient enregistrées chaque année, que seules 31,7 % des personnes mordues avaient bénéficié d’une prophylaxie postexposition complète et que 68 % des animaux testes étaient positifs au virus rabique. Ces études confirment la présence du risque rabique dans le pays et montrent la nécessite de renforcer l’éducation et l’engagement communautaire ainsi qu’une étroite collaboration entre les secteurs de la santé animale et de la santé humaine pour une gestion intégrée des cas de morsures.
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Molénat, F., A. Morard-Dubey, and L. Roegiers. "Le sentiment de continuité en périnatalité. Concepts et outils : une élaboration progressive." Périnatalité 11, no. 4 (December 2019): 149–60. http://dx.doi.org/10.3166/rmp-2019-0068.

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Abstract:
Examiner les modalités actuelles de continuité périnatale dans l’organisation des soins amène à retrouver l’origine du concept « sentiment continu d’exister » à divers moments de l’histoire des idées, puis à celle des pratiques. Socle dans la construction de l’humain, les moyens de l’assurer chez l’enfant en construction mettent en jeu de multiples facteurs. La pénétration de la théorie de l’attachement dans la culture médicale et psychologique en a favorisé la diffusion. D’abord étudié au sein de la dyade mère–bébé, le cadre d’analyse s’est élargi à la place du père, et à l’environnement professionnel dans sa proximité avec les parents et l’enfant aux étapes précoces de la vie, marquées par la médicalisation des décennies précédentes. De ce fait, le monde obstétricopédiatrique s’est complexifié. Les nouvelles technologies de soins ont confronté les équipes à des charges émotionnelles incontournables. C’est dans le rapprochement des disciplines concernées par le devenir de l’enfant, tant sur le plan somatique que psychoaffectif, qu’ont pu se repérer les fossés au sein du monde professionnel. Ces écarts tiennent à la matérialité des organisations, aux conditions d’exercice fort distantes, aux cultures monodisciplinaires jusqu’alors exclusives, ainsi qu’aux langages et aux objectifs distincts. L’impact des attitudes et pratiques médicales et psychosociales en ces moments sensibles est devenu objet de recherche. Chaque terrain développe ses stratégies, aidé selon les sites par une politique de soins telle que la création des réseaux périnatals en France. Une étroite collaboration entre trois équipes française, suisse et belge a permis depuis deux décennies de coanimer l’analyse minutieuse des processus de changement psychoémotionnel chez les futurs parents, et leur retentissement sur l’enfant en devenir, à la lumière des nouvelles modalités d’accompagnement pluriprofessionnel dans la succession des étapes. Même si les politiques de santé diffèrent, un état d’esprit commun s’est dégagé, ménageant l’inventivité et le rythme de chaque site. Un effort de publication et d’enseignement s’est mené ensemble. Le schéma « APRC » (Accompagnement personnalisé en réseau coordonné), élaboré au fil des années grâce aux propositions de praticiens engagés, aux recommandations administratives, aux échanges entre régions et pays, dessine un ensemble de dispositifs légers qui organisent la communication au sein du réseau professionnel. Les éléments de discontinuité sont présents, nécessaires, et témoignent de la diversification des rôles au fil des étapes. Mais ils s’intègrent dans un contexte environnemental toujours en mouvement, formant une toile protectrice et souple autour des personnes qui pourront s’y appuyer. Mis en forme sur le site de Montpellier, l’APRC a bénéficié récemment d’une étude comparative qui en confirme l’efficacité. Il constitue une étape dans l’effort de prévention précoce, susceptible d’améliorations permanentes.
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Lévy, F. "(A302) Le Feu Dans Un Hôpital, De L'incident ô La Catastrophe." Prehospital and Disaster Medicine 26, S1 (May 2011): s85. http://dx.doi.org/10.1017/s1049023x1100286x.

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Abstract:
Le feu dans un hôpital ou une maison de retraite présente des caractéristiques de risque particulier. A propos de la combustion d'un mètre cube de couches culottes pour adulte au Centre hospitalier de Pfastatt dans le Sud de l'Alsace, ces risques particuliers seront montrés. Ce feu globalement insignifiant en terme de quantité de comburant a cependant entraîné quatre morts par inhalation des fumées et plusieurs intoxiqués ainsi que l'évacuation de tout une aile de l'hôpital avec hospitalisation d'une cinquantaine de patients dans d'autres structures de soins sans compter les pertes matérielles et financières liées à la réparation des dégats. Les opérations d'extinction, de triage et d'évacuation des patients se sont déroulées simultanément nécessitant la mise en oeuvre du plan rouge pour nombreuses victimes, une opération de mise en sécurité des patients hospitalisés et l'évacuation vers les structures adaptées avec une coopération et une coordination entre les diférentes structures de secours intervenantes. Les investigations médico-légales secondaires ont permis de montrer chez tous les patients décédés une forte intoxication aux cyanures liée à la nature du comburant et responsables du décès rapide. Ceci pose le problème du stockage de ce type de produit et surtout de la disponibilité d'Hydroxocobalamine, antidote spécifique, en quantité suffisante pour des établissements à risque possédant beaucoup de produits synthétiques. Enfin il convient de signaler que le personnel hospitlier doit être entraîné à avoir les bonnes réactions devant un développement de fumées car c'est en premier de leurs attitudes que dépend la vie des patient en particulier s'ils sont alités.
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Pringuey, D. "De l’hospitalisation à l’hospitalité, une permissivité thérapeutique en psychiatrie." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 585–86. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.296.

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Abstract:
Lieu de soin œuvrant à la réhabilitation et au rétablissement, l’hôpital accueille l’hôte (hostis, étranger) en tant qu’institution mentale, selon « une théorie qui sous-tend et justifie ce qui y est fait, sa pratique », soit ses modalités de mise au jour des possibilités d’émergence d’un Sujet soumis à la confrontation entre équipe soignante et proches ou aidants, entre dimension médicale et ordre de l’intime, entre actes techniques et attitudes spontanées, entre culture et nature [1]. L’enjeu de la compétition est moins le pouvoir ou le prestige que l’identité du groupe et de chacun : il y va de la définition de ce qu’est un Sujet, la subjectivité, non plus substance comme Moi, Personnalité, mais plutôt identité, proportion entre l’identique, le même (le rôle) la permanence de l’objet, et l’unique, l’unité, (le Je, le Soi) la promesse de la parole tenue. Il s’agit de cette fragile capacité de constituer un moi, soit d’assumer une distance, un creux, tout en restant un Sujet [2]. L’hospitalisation, refuge assurant « le gîte et le couvert », entre cohabitation et départ du projet de rétablissement, au-delà de ses ressources techniques assez fournies, engage dans sa manière de s’occuper du patient un principe relevant d’une maïeutique du Sujet, dépassant les approches par symptômes, comportement ou personnalité pour accéder à la personne, à l’identité, avec pour préoccupation la visée du possible. Le soin doit alors garantir un savant dosage entre deux modes d’assistance, l’un « substitutif–dominateur » qui répond à l’intérêt technique–instrumental d’un souci empirique de maîtrise, et l’autre, à l’opposé, « devançant–libérateur » dont le projet est communicatif pour un acte intersubjectif de dévoilement. Soigner en psychiatrie, c’est préserver un champ minimal de liberté pour ce qui est Sujet ou possibilité de Sujet et prendre conscience de la fragilité de la subjectivité humaine, à la fois obstacle redoutable et ressource essentielle, condition première d’une alliance authentique.
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Cementina, Sofia. "Language Teachers' Digital Mindsets: Links Between Everyday Use and Professional Use of Technology." TESL Canada Journal 36, no. 3 (December 30, 2019): 31–54. http://dx.doi.org/10.18806/tesl.v36i3.1320.

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Abstract:
Innovations in digital technologies have the potential to alter how people think, learn, communicate, and collaborate with others. Whereas changes in technology and its affordances have transformed social contexts and learning environments, instructors’ beliefs about digital technologies and pedagogy can affect technology integration behaviours and language teaching practices. This study used a two-phase approach to gain insights into teachers’ digital mindsets and their personal and professional use of technology. In total, 50 teachers were surveyed regarding their technological beliefs and practices, and, among them, three second language teachers were selected and interviewed. Results illustrate that participants recognized and embraced the affordances of digital technologies in their own lives, yet they failed to see their significance in language teaching and learning. Their attitudes and intentions associated with technology uses were compartmentalized; while teachers’ everyday practices were more digital and socially mediated, they struggled to adopt more technology-based teaching practices. Participants identified the lack of training in technology integration in language teaching hindered their use of digital resources, but findings indicate that the teachers’ reluctance to explore emerging technologies and their own technological beliefs and experiences influenced their mindset and teaching practices. Implications and recommendations for second language instruction are discussed. Les innovations de la technologie numérique ont le potentiel de modifier nos manières de penser, d’apprendre, de communiquer et de collaborer. Or, même si l’évolution technologique et ses affordances, ou potentialités, ont transformé les contextes sociaux et les milieux d’apprentissage, les croyances des professeurs concernant les technologies et la pédagogie numériques peuvent néanmoins influer sur les comportements relatifs à l’intégration des technologies aux pratiques liées à l’enseignement des langues. La présente étude est le compte rendu d’une approche en deux étapes adoptée afin de permettre de mieux comprendre la mentalité des professeurs face au numérique ainsi que leurs utilisations personnelles et professionnelles de la technologie. En tout, 50 professeurs ont fait l’objet d’un sondage concernant leurs croyances et leurs pratiques technologiques, y compris trois professeurs de langue seconde qui ont été sélectionnés pour une entrevue. Les résultats démontrent que même s’ils reconnaissent et recourent aux affordances des technologies numériques dans leur vie personnelle, les participantes et participants n’en reconnaissent point l’importance pour l’enseignement et l’apprentissage des langues. Leurs attitudes et intentions en lien avec les utilisations de la technologie étaient compartimentées : même si leurs pratiques quotidiennes étaient plus numériques et paissaient davantage par les médias sociaux, les professeurs avaient du mal à adopter des pratiques pédagogiques davantage fondées sur la technologie. Les participantes et participants ont précisé que le manque de formations dans le domaine de l’intégration de la technologie dans l’enseignement des langues les empêchait d’utiliser les ressources numériques, mais les constatations de l’enquête indiquent toutefois que leur répugnance à explorer les nouvelles technologies ainsi que leurs croyances et expériences technologiques personnelles avaient une influence sur leur mentalité et leurs pratiques pédagogiques. L’étude renferme une discussion des implications de cet état de fait et offre des recommandations pour l’enseignement d’une langue seconde.
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Potchoo, Y., E. Nimon, A. Dogban, and P. Guissou. "Connaissances, attitudes, pratiques et appréciations du personnel médical du CHU-Tokoin sur le rôle de la pharmacie hospitalière dans sa mission d’appui au fonctionnement des unités de soins et de diagnostic." Journal de la Recherche Scientifique de l'Universite de Lome 12, no. 1 (July 28, 2010). http://dx.doi.org/10.4314/jrsul.v12i1.57101.

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Pérodeau, Guilhème, Émilie Grenon, Lorraine Savoie-Zajc, Hélène Forget, Isabelle Green-Demers, and Amnon Suissa. "Attitudes envers les benzodiazépines et intentions de sevrage des personnes âgées de 50 ans et plus." 7, no. 1 (January 9, 2009): 391–437. http://dx.doi.org/10.7202/019627ar.

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Abstract:
Résumé L’objectif de cette étude qualitative est de mettre en parallèle les attitudes envers les benzodiazépines (Bz) et les intentions de sevrage de personnes âgées de 50 ans et plus, utilisatrices à long terme dans le but de contrer des symptômes d’anxiété et d’insomnie. À cet effet, 23 utilisateurs (14 femmes et neuf hommes) ont été rencontrés lors d’entretiens en profondeur. Les analyses ont fait ressortir trois styles de consommateurs, soit : le style « sans-souci », le style « réaliste » et le style « pragmatique ». Les consommateurs du premier groupe n’ont pas de réticence à utiliser la substance qui est, selon eux, un médicament prescrit à bon escient. Les consommateurs du deuxième groupe estiment que la substance est une drogue dangereuse et certains vont même, avec beaucoup d’inconfort, tenter de cesser toute consommation par eux-mêmes, sans supervision médicale. Pour le dernier groupe, la Bz est considérée comme mi-drogue, mi-médicament, avec ses dangers mais également ses avantages. La motivation d’entamer un sevrage ou de réduire la consommation varie grandement d’une personne à l’autre. Les deux derniers groupes de consommateurs étaient les plus ouverts à un changement de comportement. Les attitudes envers la molécule, tantôt vue comme un médicament, tantôt comme une drogue, ou bien les deux, doivent être prises en compte dans une intervention de sevrage. Trois cas cliniques illustrent les résultats.
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"Secret médical - Quelle attitude du praticien quand les instances ou personnes extérieures demandent des renseignements à propos d'un patient?" Schweizerische Ärztezeitung 81, no. 37 (September 13, 2000): 2047–52. http://dx.doi.org/10.4414/saez.2000.07605.

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"Secret médical - Quelle attitude du praticien quand les instances ou personnes extérieures demandent des renseignements à propos d'un patient?" Bulletin des Médecins Suisses 81, no. 37 (September 13, 2000): 2047–52. http://dx.doi.org/10.4414/bms.2000.07605.

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Gallagher, Adrienne, Odette Gould, Michael LeBlanc, Leslie Manuel, and Diane Brideau-Laughlin. "Knowledge and Attitudes of Hospital Pharmacy Staff in Canada Regarding Medical Assistance in Dying (MAiD)." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 72, no. 1 (February 26, 2019). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v72i1.2864.

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Abstract:
<p><strong>ABSTRACT</strong><br /><strong></strong></p><p><strong>Background:</strong> In February 2015, the Supreme Court of Canada ruled that it was unconstitutional to prohibit physicians from assisting in a patient’s consensual death, thereby setting the groundwork for the legalization of medical assistance in dying (MAiD). Much of the research on this topic has focused on physicians, although other health care professionals will be involved in the process, including pharmacists, pharmacy technicians, and pharmacy assistants. In many provinces, the medications required for MAiD will be dispensed from hospital pharmacies, which will result in direct involvement of hospital pharmacy staff.<br /><strong></strong></p><p><strong>Objectives:</strong> The primary objective was to investigate the knowledge and attitudes of hospital pharmacy staff in Canada regarding MAiD. The secondary objective was to determine the factors that might influence those opinions.<br />Methods: A 34-question web-based survey was available for 6 weeks during early 2017 to hospital pharmacy staff throughout Canada. For most questions, responses were based on a 5-point Likert scale, ranging from “strongly agree” to “strongly disagree”. Descriptive and inferential statistics were used to analyze the data.<br /><strong></strong></p><p><strong>Results:</strong> A total of 1040 valid survey responses were received: 607 from pharmacists, 273 from pharmacy technicians, and 160 from pharmacy assistants. Most respondents were supportive of MAiD; however, nearly all respondents (99% [601/607] of pharmacists, 73% [315/431] of technicians and assistants]) reported lacking comprehensive education on the topic. Despite high levels of overall support, pharmacists tended to be less supportive of MAiD than pharmacy technicians or assistants. Factors that influenced opinions included strong religious beliefs, region, and knowledge of provincial and federal legislation. <br /><strong></strong></p><p><strong>Conclusions:</strong> The majority of respondents, particularly technicians and assistants, were supportive of MAiD, but most respondents lacked education about the topic.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte :</strong> En février 2015, la Cour suprême du Canada a statué qu’il était inconstitutionnel d’interdire aux médecins d’aider les patients à mourir par consentement, ce qui a jeté les bases de la légalisation de l’aide médicale à mourir (AMAM). Une grande partie de la recherche sur le sujet était axée sur les médecins, malgré le fait que d’autres professionnels de la santé seront appelés à participer au processus, notamment les pharmaciens, les techniciens en pharmacie et les aides-pharmaciens. Dans bien des provinces, les médicaments nécessaires à l’AMAM proviendront des pharmacies hospitalières, ce qui résultera en la participation directe du personnel de pharmacie hospitalière.<br /><strong></strong></p><p><strong>Objectifs :</strong> L’objectif principal visait à examiner les connaissances et l’attitude du personnel de pharmacie hospitalière au Canada relativement à l’AMAM. L’objectif secondaire était de découvrir les facteurs pouvant influencer les avis du personnel sur le sujet.<br /><strong></strong></p><p><strong>Méthodes :</strong> Pendant six semaines, au début de 2017, un sondage en ligne de 34 questions était à la disposition du personnel de pharmacie hospitalière de partout au Canada. Inspirés de l’échelle de Likert à cinq points, les choix de réponse à la plupart des questions s’étendaient de « fortement d’accord » à « fortement en désaccord ». Des statistiques descriptives et par inférence ont servi à analyser les données.<br />Résultats : Des 1040 réponses valables, 607 provenaient de pharmaciens, 273 de techniciens en pharmacie et 160 d’aides-pharmaciens. La plupart des répondants étaient en faveur de l’AMAM. Cependant, près de l’ensemble des répondants (99 % [601/607] des pharmaciens et 73 %[315/431] des techniciens et des aides) ont signalé ne pas posséder une connaissance suffisante du sujet. Malgré le degré élevé de soutien apporté par l’ensemble des personnes interrogées, l’appui des pharmaciens à l’AMAM tendait à être plus faible que celui des techniciens en pharmacie ou des aides-pharmaciens. Parmi les facteurs propres à influencer les avis des répondants, on trouvait les croyances religieuses fortes, la provenance géographique et la connaissance des lois provinciales et fédérales. <br /><strong></strong></p><p><strong>Conclusions :</strong> La majorité des répondants, particulièrement les techniciens et les aides, était en faveur de l’AMAM, mais la plupart des répondants ne possédaient pas une connaissance suffisante du sujet.</p>
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Mekki-berrada, Abdelwahed. "Ethnopsychiatrie." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.045.

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Abstract:
Le terme « ethnopsychiatrie » a été proposé pour la première fois, autour des années 1940, par le psychiatre et diplomate haïtien Louis Mars (1945). « Ethno-psych-iatrie » vient de ethnos qui en grec ancien, et à la suite d’une série de glissements sémantiques signifie tour à tour famille, tribu, peuple, nation, race. Le terme psuche indique les idées d'âme et d'esprit et, enfin, celui de iatros réfère au médecin, au guérisseur, au soin et au médicament. La notion d’ethnopsychiatrie consiste donc en cette alliance complexe entre ethnos, psuche et iatros. Dans la présente rubrique, l’ethnopsychiatrie est sommairement abordée selon trois dimensions essentielles, à savoir : 1. l’ethnopsychiatrie comme ensemble de théories et de pratiques culturelles; 2. l’ethnopsychiatrie comme discipline anthropologique; et 3. l’ethnopsychiatrie comme pratique clinique. 1. En tant que théorie et pratique culturelle, l’ethnopsychiatrie se veut universelle. Pour Georges Devereux (1908-1985), considéré comme le fondateur de l’ethnopsychanalyse (variante fondatrice de l’ethnopsychiatrie) (Laplantine 2007), « il n’est pas de peuple sans ‘’ethnopsychiatrie’’, c’est-à-dire sans son propre repérage, sans ses modalités de prise en charge des désordres, de ce type de négativité que la science appelle ‘’psychopatologie’’ » (cité par Nathan 2011). L’alliance complexe entre ethnos, psuche et iatros (ethno-psych-iatrie), se décline cependant de multiples façons et par différents peuples pour construire des espaces d’expression du désordre, du mal, du malheur, du mal-être, de la maladie, de la souffrance sociale et de leur dimension cosmogonique. Ces espaces sont des ethnopsychiatries plurielles que chaque société humaine abrite comme dans les traditions ayurvédique, humorale, homéopathique, exorcistique, chamanistique qui s’ajoutent à une liste interminable de théories et d’actions au sujet de la maladie et de l’univers. L’ethnopsychiatrie inclut aussi des rituels tels que, parmi tant d’autres, Mpombo, Mizuka et Zebola qui déploient un répertoire de gestes, de signes et d’êtres mythiques, et qui permettent aux femmes congolaises de (re)négocier leur rôle social et de (re)prendre une parole singulière pour exprimer leur mal-être dans une société où la parole dominante est généralement collective. Loin du Congo, nous retrouvons en Afrique de l’Est et dans la Péninsule arabique, le Zar, un rite impliquant essentiellement des femmes et favorisant lui aussi la résolution de conflits par l’expression collective de ceux-ci. Dans l’ensemble, l’ethnopsychiatrie contribue à la saisie des désordres intrapsychiques, interpersonnels ou sociaux, et cosmogoniques menaçants (Mekki-Berrada 2013). L’ethnopsychiatrie peut être considérée comme un « fait culturel total » qui se décline dans toutes les cultures et dans toutes les sociétés à travers les cinq continents. Au-delà de tous les particularismes, l’ethnopsychiatrie demeure à chaque fois culturellement située et consiste idéalement à transformer un monde chaotique en un monde qui fait sens pour la personne souffrante et son entourage. La psychiatrie contemporaine, elle-même, peut être considérée comme étant une ethnopsychiatrie parce qu'elle est comme les autres culturellement ancrée et dotée d’un ensemble de théories et de pratiques qui lui sont propres (Mekki-Berrada, 2013). Le « fou » dans l’Europe du XVIIIe siècle était un être de « déraison », dans le sens foucaldien du terme, au même titre que tous les autres exclus de la « raison » dominante de l’époque mêlant valeurs religieuses chrétiennes et valeurs sociales aristocratiques et monarchiques; le « fou », « l’insensé » se retrouvait alors avec les mendiants, les homosexuels, les libertins, les prostituées, tous entassés dans les hôpitaux généraux à des fin de contrôle social (Foucault 1972). La psychiatrie moderne est née dans l’Europe de l’Ouest du XIXe siècle quand le fou cessa d’être délinquant, pour être considéré comme malade. Même si, partiellement libéré du regard inquisiteur de l’Église et de la Monarchie, le « déraisonnable » devient aujourd’hui tantôt proie, tantôt sujet, au regard de la psychiatrie contemporaine. 2. En tant que discipline, l’ethnopsychiatrie se propose d’étudier les ethnopsychiatries comme espaces culturels où convergent les savoirs nosologiques, étiologiques et thérapeutiques au sujet du « désordre » mental, social et cosmogonique. L’ethnopsychiatrie-discipline ne constitue pas un bloc théorique monolithique. Sans nous arrêter sur les particularismes régionaux ou nationaux de l’anthropologie (« américaine », « britannique », « française »), la tendance historique générale de l’ethnopsychiatrie veut que cette discipline étudie, à ses débuts, la geste thérapeutique « exotique », non-occidentale, non-biomédicale. Avec le tournant interprétatif inauguré en anthropologie dans les années 1970 par Clifford Geertz et ce que l’on nommera dans les années 1980, avec Arthur Kleinman et Byron Good, l’anthropologie médicale interprétative, l’ethnopsychiatrie va cesser de se limiter aux espaces ethnomédicaux non-occidentaux pour se pencher aussi sur les «traditions ethnomédicales occidentales» incluant la biomédecine et la psychiatrie (Mekki-Berrada 2013), tout en plongeant dans le foisonnement des symboles et des interprétations de la maladie, du mal et du malheur. L’anthropologie médicale interprétative utilisera la culture comme moteur explicatif et principal cheval de bataille théorique. Elle sera cependant vite soumise aux vives critiques de Soheir Morsy (1979) et d'Allan Young (1982). Pour ces auteurs, l'approche interprétative « surculturaliserait » la maladie car elle en privilégierait les significations culturelles et en évacuerait les dimensions sociales et politiques. Cette critique sera poursuivie par Baer et Singer (2003) au sein d’un nouveau paradigme qu’ils nommeront « anthropologie médicale critique », paradigme dans lequel l’économie politique de la santé mentale est le moteur explicatif de la maladie et de la souffrance. De ce point de vue la culture serait un outil idéologique au service de la classe dominante, un « réseau de significations autant que de mystifications » (Keesing 1987 cité par Good 1994) qui camouflerait les inégalités sociales. Généralement considérée comme radicale sur le plan théorique, l’anthropologie médicale critique finira par trouver un équilibre des plus constructifs avec un autre courant nommé « anthropologie médicale interprétative-critique » (Lock et Scheper-Hughes 1996) qui offre l’avantage conceptuel et méthodologique de n’évacuer ni le culturel ni le politique, mais articule ces éléments pour mieux cerner l’enchevêtrement complexe des dimensions tant culturelles et microsociales de la maladie mentale et de la souffrance sociale que leurs enjeux macrosociaux. 3. En tant que pratique clinique, l’ethnopsychiatrie est relativement récente. Si Devereux apparaît comme le fondateur incontesté de l’ethnopsychiatrie-discipline, ce sont ses étudiants, Tobie Nathan et Marie-Rose Moro, qui fonderont l’ethnopsychiatrie-clinique à partir des années 1980, tous trois Français « venus d’ailleurs », porteurs et bricoleurs d’identités métissées. L’ethnopsychiatrie-clinique est une pratique psychiatrique, mais aussi psychologique, dépendamment de l’orientation centrale du « thérapeute principal » qui est soit psychiatre (ex. : Moro), soit psychologue (ex. : Nathan). En Amérique du Nord, ce sont essentiellement des psychiatres qui pratiquent l’ethnopsychiatrie-clinique, ou plutôt l’une de ses variantes, la « psychiatrie transculturelle » (Kirmayer, Guzder, Rousseau 2013) dont les principaux chefs de file sont basés à Harvard Medical School (ex. : Arthur Kleinman) ou à McGill University (ex. : Laurence Kirmayer, Cécile Rousseau). Il est à noter que l’ethnopsychiatrie clinique est très peu en vogue en dehors de l’Amérique du Nord et de l’Europe de l’Ouest. Il existe un certain nombre de variantes du dispositif clinique, mais une consultation ethnopsychiatrique nécessite au minimum : 1. un groupe de thérapeutes issus de cultures et de disciplines diverses, dont un-e seul est responsable et en charge de la circulation de la parole ; 2. la langue maternelle des patients et la présence d’interprètes culturels, ainsi que le passage d’une langue à l’autre, sont des éléments centraux du dispositif clinique afin d’aider à l’identification de nuances, subtilités, connotations et catégories culturelles; 3. le patient est fortement invité à se présenter en consultation avec des personnes qui lui sont significatives dans son propre réseau social ; 4. le dispositif groupal et le passage d’une langue à l’autre posent un cadre multi-théorique et l’ethnopsychiatre peut ainsi établir « un cadre métissé dans lequel chaque élément du matériel [biographique] peut-être interprété selon l’une ou l’autre logique » (Nathan 1986:126). Un tel dispositif facilite la mise en place d’un « espace intermédiaire » qui fait intervenir la culture comme « levier thérapeutique » et permet de révéler des conflits interpersonnels et intrapsychiques (Laplantine 2007 ; Streit, Leblanc, Mekki-Berrada 1998). Les ethnopsychiatres cliniciens procèdent souvent eux-mêmes à des « mini ethnographies » (« mini ethnography » ; Kleinman et Benson 2006) en se mettant « à l’école des gens qui consultent, pas l’inverse » (Nathan 2007). Ces mini ethnographies ont pour outil les « modèles explicatifs de la maladie » (« Illness Explanatory Models » ; Kleinman 1988) qui ont pour but d’être à l’écoute des perspectives des patients pour mieux explorer leur culture ainsi que les dimensions sociales et culturelles de la maladie mentale. En plus d’explorer la dimension culturelle du désordre, l’ethnopsychiatrie cherche à mieux comprendre la dimension psychiatrique des cultures tout en évitant de sur-psychiatriser la culture et de sur-culturaliser la psychiatrie (Laplantine 2007). Dans tous les cas, dès le début de la discipline qu’il a fondée, Devereux (1977) proposait une perspective « complémentariste » encore très utilisée aujourd’hui. Celle-ci exige le recours à la psychanalyse et à l’anthropologie de façon non simultanée, en ce sens que l’ethnopsychiatre est appelée à d’abord épuiser son recours à l’une des deux disciplines avant de se référer à l’autre, et ce, de façon constante. La méthode complémentariste s’accompagne nécessairement de la « décentration » qui est une attitude ou un mécanisme incontournable, qui force le thérapeute à identifier et à minimiser, dans la rencontre clinique, l’impact de sa subjectivité "égocentrée" ou "sociocentrée". En somme l’ethnopsychiatrie, telle que sommairement abordée ici, est un espace culturel où convergent les savoirs nosologiques, étiologiques et thérapeutiques, tous culturellement situés, et qui prend pour objet le « désordre » mental, social et cosmogonique; elle est aussi une discipline anthropologique qui se propose d’étudier ces espaces culturels ; elle est enfin une pratique clinique. Il s’agit de trois pans indissociables et constitutifs d’un même trièdre.
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Kilani, Mondher. "Identité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.122.

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Dans le lexique des anthropologues, le mot identité est apparu bien plus tard que le mot culture. Mais depuis quelques décennies, alors que divers anthropologues se sont presque vantés de soumettre à une forte critique et même de rejeter leur ancien concept de culture, l'identité a acquis un usage de plus en plus étendu et prépondérant, parallèlement à ce qui s'est passé dans d'autres sciences humaines et sociales, ainsi que dans le langage de la politique et des médias. Nombreux sont ceux dans les sciences sociales qui s'accordent pour dire que le concept d'identité a commencé à s'affirmer à partir des années soixante du siècle dernier. Il est habituel de placer le point de départ dans les travaux du psychologue Erik Erikson (1950 ; 1968), qui considérait l'adolescence comme la période de la vie la plus caractérisée par des problèmes d'identité personnelle. Cette reconstruction est devenue un lieu commun des sciences humaines et sociales du XXe siècle, et pour cette raison, elle nécessite quelques ajustements. Par exemple, le sociologue américain Robert E. Park (1939) utilisait déjà, à la fin des années 1930, le terme identité, en rapport avec ceux d'unité, d'intégrité, de continuité, pour décrire la manière dont les communautés et les familles se maintiennent dans le temps et l'espace. En ce qui concerne l'anthropologie, un examen rapide permet de constater que l'identité a déjà été utilisée dans les années 1920 par Bronislaw Malinowski d'une manière qui n'était pas du tout sporadique. Dans ses textes sur les Trobriandais – comme par exemple La vie sexuelle des Sauvages du Nord-Ouest de la Mélanésie (1930) – il parle de l'identité du dala, ou matrilignage, en référence à la « substance » biologique dont il est fait, une substance qui se transmet de génération en génération dans la lignée maternelle. Ce n’est peut-être pas par hasard que le terme identité fut ensuite appliqué par Raymond Firth, dans We, the Tikopia (1936), pour affirmer la continuité dans le temps du clan, et que Siegfried Nadel dans The Foundations of Social Anthropology (1949) parle explicitement de l’identité des groupes sociaux grâce auxquels une société s’articule. La monographie The Nuer (1940) d'Edward E. Evans-Pritchard confirme que l’on a fait de l’identité un usage continu et, en apparence, sans problèmes dans l'anthropologie sociale britannique sous l’influence de Malinowski. Dans ce texte fondamental, l’identité est attribuée aux clans, à chacune des classes d'âge et même à l'ensemble de la culture nuer, que les Nuer considèrent eux-mêmes comme unique, homogène et exclusive, même si le sentiment de la communauté locale était « plus profond que la reconnaissance de l'identité culturelle » (Evans-Pritchard 1975: 176). Par contre, l’autre grand anthropologue britannique, Alfred R. Radcliffe-Brown, qui était particulièrement rigoureux et attentif aux concepts que l'anthropologie devait utiliser (selon M.N. Srinivas, il « prenait grand soin de l'écriture, considérant les mots comme des pierres précieuses » 1973 : 12), il est resté, probablement pour cette raison, étranger au recours au terme d'identité. S’il fait son apparition dans son célèbre essai consacré à la structure sociale de 1940, c’est uniquement lorsqu'il fait référence à l'utilisation approximative de ce concept par Evans-Pritchard. Il soutient que certains anthropologues (y compris Evans-Pritchard) utilisent l’expression « structure sociale » uniquement pour désigner la persistance des groupes sociaux (nations, tribus, clans), qui gardent leur continuité (continuity) et leur identité (identity), malgré la succession de leurs membres (Radcliffe-Brown 1952 : 191). Son utilisation du terme identité ne se justifie ainsi que parce qu’il cite la pensée d'Evans-Pritchard presque textuellement. On a également l’impression que Radcliffe-Brown évite d’adopter le concept d’identité, utilisé par ses collègues et compatriotes, parce que les termes de continuité (continuity), de stabilité (stability), de définition (definiteness), de cohérence (consistency) sont déjà suffisamment précis pour définir une « loi sociologique » inhérente à toute structure sociale (Radcliffe-Brown 1952 : 45). Qu’est-ce que le concept d'identité ajouterait, sinon un attrait presque mystique et surtout une référence plus ou moins subtile à l'idée de substance, avec la signification métaphysique qu’elle implique? Radcliffe-Brown admet que la persistance des groupes dans le temps est une dimension importante et inaliénable de la structure sociale. Mais se focaliser uniquement sur la stabilité donne lieu à une vision trop étroite et unilatérale : la structure sociale comprend quelque chose de plus, qui doit être pris en compte. Si l’on ajoute le principe d’identité à la stabilité, à la cohérence et à la définition, ne risque-t-on pas de détourner l’attention de l’anthropologue de ce qui entre en conflit avec la continuité et la stabilité? Radcliffe-Brown a distingué entre la structure sociale (social structure), sujette à des changements continus, tels que ceux qui se produisent dans tous les organismes, et la forme structurale (structural form), qui « peut rester relativement constante pendant plus ou moins une longue période » (Radcliffe-Brown 1952 : 192). Même la forme structurale – a-t-il ajouté – « peut changer » (may change); et le changement est parfois graduel, presque imperceptible, alors que d’autres fois, il est soudain et violent, comme dans le cas des révolutions ou des conquêtes militaires. Considérant ces deux niveaux, la forme structurale est sans aucun doute le concept qui se prêterait le mieux à être associé à l'identité. Mais l’identité appliquée à la forme structurale ne nous aiderait certainement pas à appréhender avec précision les passages graduels, les glissements imprévus ou, au contraire, certaines « continuités de structure » qui se produisent même dans les changements les plus révolutionnaires (Radcliffe-Brown 1952 : 193). Bref, il est nécessaire de disposer d’une instrumentation beaucoup plus raffinée et calibrée que la notion d’identité, vague et encombrante, pour saisir l’interaction incessante et subtile entre continuité et discontinuité. On sait que Radcliffe-Brown avait l'intention de construire une anthropologie sociale rigoureuse basée sur le modèle des sciences naturelles. Dans cette perspective, l'identité aurait été un facteur de confusion, ainsi qu'un élément qui aurait poussé l'anthropologie naissante vers la philosophie et l'ontologie plutôt que vers la science. Alors que Radcliffe-Brown (décédé en 1955) avait réussi à éviter le problème de l'identité en anthropologie, Lévi-Strauss sera contraint de l'affronter ouvertement dans un séminaire proposé, conçu et organisé par son assistant philosophe Jean-Marie Benoist au Collège de France au milieu des années soixante-dix (1974-1975). Quelle stratégie Lévi-Strauss adopte-t-il pour s'attaquer à ce problème, sans se laisser aller à la « mode » qui, entre-temps, avait repris ce concept (Lévi-Strauss 1977 : 11)? La première étape est une concession : il admet que l’identité est un sujet d’ordre universel, c’est-à-dire qu’elle intéresse toutes les disciplines scientifiques, ainsi que « toutes les sociétés » étudiées par les ethnologues, et donc aussi l’anthropologie « de façon très spéciale » (Lévi-Strauss 1977 : 9). Pour Lévi-Strauss, les résultats suivants sont significatifs: i) aucune des sociétés examinées – même si elles constituent un petit échantillon – ne tient « pour acquise une identité substantielle » (Lévi-Strauss 1977 : 11), c’est-à-dire qu’il ne fait pas partie de leur pensée de concevoir l'identité en tant que substance ou la substance en tant que source et principe d'identité; ii) toutes les branches scientifiques interrogées émettent des doutes sur la notion d'identité et en font le plus souvent l'objet d'une « critique très sévère » (Lévi-Strauss 1977 : 11); iii) il est possible de constater une analogie entre le traitement réservé à l’identité de la part des « sociétés exotiques » examinées et les conceptions apparues dans les disciplines scientifiques (Lévi-Strauss 1977 : 11); iv) cela signifie alors que la « foi » que « nous mettons encore » sur l’identité doit être considérée comme « le reflet d'un état de civilisation », c'est-à-dire comme un produit historique et culturel transitoire, dont la « durée » peut être calculée en « quelques siècles » (Lévi-Strauss 1977 : 11) ; v) que nous assistons à une crise contemporaine de l'identité individuelle, en vertu de laquelle aucun individu ne peut se concevoir comme une « réalité substantielle », réduit qu’il est à une « fonction instable », à un « lieu » et à un « moment » éphémères d’« échanges et de conflits » auxquelles concourent des forces d’ordre naturel et historique (1977 : 11). Ceci fait dire à Lévi-Strauss que « quand on croit atteindre l'identité, on la trouve pulvérisée, en miettes » (in Benoist 1977 : 209), tout en constatant dans le même mouvement que, tant dans les sociétés examinées que dans les sciences interrogées, nous assistons à la négation d'une « identité substantielle » et même à une attitude destructrice qui fait « éclater » l’identité « en une multiplicité d’éléments ». Dans un cas comme dans l'autre, on arrive à « une critique de l’identité », plutôt qu’« à son affirmation pure et simple » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 331). Pourtant, nous ne pouvons pas oublier que Lévi-Strauss était parti d'une concession, c’est-à-dire de l'idée que nous ne pouvions pas nous passer du thème de l'identité : c'est quelque chose qui concerne d'une manière ou d'une autre toutes les sociétés, les sociétés exotiques étudiées par les anthropologues et les communautés scientifiques qui se forment dans la civilisation contemporaine. Lévi-Strauss aurait pu développer plus profondément et de manière plus radicale l’argument présenté au point iv), à savoir que l’identité est une croyance (voire une foi), produit d’une période historique de notre civilisation. Mieux encore, étant donné que les autres sociétés d’une part et nos sciences de l’autre « la soumettent à l’action d’une sorte de marteau-pilon », c’est-à-dire qu’elles la font « éclater » (in Benoist 1977 : 309), nous aussi nous pourrions finalement nous en débarrasser. Lévi-Strauss sent bien, cependant, la différence entre sa propre position et celle du public qui a participé au séminaire, beaucoup plus enclin à donner du poids et un sens à l'identité. Pour cette raison, il offre un compromis (un compromis kantien, pourrait-on dire), qui consiste à détacher la notion d’identité de celle de substance et à penser l’identité comme « une sorte de foyer virtuel auquel il nous est indispensable de nous référer pour expliquer un certain nombre de choses, mais sans qu’il ait jamais d’existence réelle » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Si nous l’interprétons bien, c'est comme si Lévi-Strauss avait voulu dire à ses collègues anthropologues : « Voulez-vous vraiment utiliser le concept d'identité? » Au moins, sachez que cela ne fait jamais référence à une expérience réelle : c’est peut-être une aspiration, une affirmation, une manière de représenter des choses, auxquelles rien de réel ne correspond. Avec ce compromis, Lévi-Strauss semble finalement attribuer à l'identité une sorte de citoyenneté dans le langage des anthropologues. Cependant, même comme un feu virtuel, où se trouve l'idée d'identité : dans la tête des anthropologues, qui utilisent ce concept pour représenter des sociétés dans leur unité et leur particularité, ou dans la tête des groupes sociaux lorsqu'ils se représentent leur culture? Revenons à l'exemple de Malinowski et des Trobriandais. C'est Malinowski qui interprète le veyola, la substance biologique du matrilignage (dala), en termes d'identité, et établit un lien entre identité et substance. Parler de l'identité du dala, surtout si elle est soutenue par le concept de substance (c'est-à-dire quelque chose qui se perpétue avec le temps et qui est complet en soi, de sorte qu'il ne dépend de rien de ce qui lui est extérieur, selon la définition classique d'Aristote), finit par obscurcir la pensée plus profonde des Trobriandais, c’est-à-dire l’incomplétude structurelle du dala. Il ne suffit pas de naître dans le dala et de recevoir le veyola de la mère. Le veyola n'est pas une substance identitaire, mais une matière sans forme qui doit être modelée par l’intervention du tama ou tomakava, c'est-à-dire « l'étranger », avec lequel la mère est mariée et qui est proprement le modeleur, celui qui aide les enfants de son partenaire à grandir, à prendre un visage, une personnalité, non pas en assumant une identité, mais par une participation progressive à des relations sociales (Weiner 1976). Malgré l’utilisation extensive du terme identité dans leurs descriptions ethnographiques et leurs réflexions théoriques, les anthropologues feraient bien de se demander s’il est vraiment approprié de conserver ce concept dans leur boîte à outils ou s’il ne convient pas de considérer l’identité comme une modalité de représentation historiquement et culturellement connotée. L'auteur de cette entrée a tenté de démontrer que l'identité en tant que telle n'existe pas, sauf en tant que mode de représentation que les anthropologues peuvent rencontrer dans telle ou telle société (Remotti 2010). Toutes les sociétés, dans leur ensemble ou dans leurs éléments constitutifs, ressentent les besoins suivants : stabilité, continuité, permanence, cohérence d’un côté, spécificité, certitude et définissabilité de l’autre. Mais, comme l’a suggéré Radcliffe-Brown, les réponses à ces besoins sont toujours relatives et graduelles, jamais complètes, totales et définitives. Nous pourrions également ajouter que ces besoins sont toujours combinés avec des besoins opposés, ceux du changement et donc de l'ouverture aux autres et au futur (Remotti 1996 : 59-67). Autrement dit, les sociétés ne se limitent pas à être soumises au changement, mais le recherchent et l’organisent en quelque manière. Il peut y avoir des sociétés qui donnent des réponses unilatérales et qui favorisent les besoins de fermeture plutôt que d’ouverture, et d’autres le contraire. Si ce schéma est acceptable, alors on pourrait dire que l'identité – loin d'être un outil d'investigation – apparaît au contraire comme un thème et un terrain important de la recherche anthropologique. En retirant l'identité de leur boîte à outils, prenant ainsi leurs distances par rapport à l'idéologie de l'identité (un véritable mythe de notre temps), les anthropologues ont pour tâche de rechercher quelles sociétés produisent cette idéologie, comment elles construisent leurs représentations identitaires, pour quelles raisons, causes ou buts elles développent leurs croyances (même leur « foi » aveugle et aveuglante) en l’identité. Nous découvrirons alors que nous-mêmes, Occidentaux et modernes, nous avons construit, répandu, exporté et inculqué au monde entier des mythes et des concepts identitaires. Nous l’avons fait à partir de l’État-nation aux frontières rigides et insurpassables, de l’idéologie clairement identitaire qu’est le racisme, et pour terminer de la racialisation de la culture qui exalte les traditions locales ou nationales comme substances intouchables, dont la pureté est invoquée et qu’on entend défendre de toutes les manières contre les menaces extérieures. Passée au niveau du discours social et politique, l'identité révèle tôt toute la violence impliquée dans la coupure des liens et des connexions entre « nous » et les « autres ». Comme le disait Lévi-Strauss (et aussi Hegel avant Lévi-Strauss), à l'identité « ne correspond en réalité aucune expérience » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Mais les effets pratiques de cette représentation n'appartiennent pas au monde des idées : ils sont réels, souvent insupportablement réels.
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