Academic literature on the topic 'Petite fille qui aimait trop les allumettes'

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Journal articles on the topic "Petite fille qui aimait trop les allumettes"

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Gervais, Bertrand. "L’art de se brûler les doigts. L’imaginaire de la fin de La petite fille qui aimait trop les allumettes de Gaétan Soucy." Études 26, no. 2 (August 24, 2006): 384–93. http://dx.doi.org/10.7202/201546ar.

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Abstract:
Résumé Comment expliquer cette étrange méprise, au coeur du roman de Gaétan Soucy, La petite fille qui aimait trop les allumettes, d'une fillette, enceinte de surcroît, sur le point même d'accoucher, qui persiste à se prendre pour un garçon ? À se refuser à ce point à sa propre condition qu'elle en nie, jusqu'à l'éclatement, son principe ? Sur quelles bases repose cet univers, où tout semble détraqué : l'identité, les comportements, le temps, mais encore et surtout le langage, fait de mots archaïques et inventés, d'une parole erratique? Pour répondre à ces questions, on fera l'hypothèse que ces troubles sont les marques d'un imaginaire de la fin, que le monde représenté dans ce roman est sur le point de connaître une apocalypse, intime peut-être, locale, mais implacable. Et on en décrira les principales manifestations.
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Hamel, Jean-François. "Tombeaux de l’enfance. Pour une prosopopée de la mémoire chez Émile Nelligan, Réjean Ducharme et Gaétan Soucy." Globe 4, no. 1 (February 11, 2011): 93–118. http://dx.doi.org/10.7202/1000603ar.

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Abstract:
À partir du mythe de l’enfant-poète légué par Emile Nelligan à la littérature québécoise, qui trouve son expression tant dans le poème « Le berceau de la muse » que dans la célèbre préface de Louis Dantin à ses Poésies, mythe qui enfin se voit repris dans la première trilogie romanesque de Réjean Ducharme et, plus récemment, dans La petite fille qui aimait trop les allumettes de Gaétan Soucy, cet essai vise à comprendre comment une telle figure, relevant d’une prosopopée où l’enfant - l’infans, ce qui ne parle pas - dit ou écrit son hypermnésie, donne voix à un certain rapport historique, éminemment paradoxal, de la littérature québécoise à sa mémoire. Au fil de mélancoliques figurations d’une enfance impossible et d’une mémoire toujours dépossédée de l’expérience des premières fois, il s’agira d’esquisser comment s’est formé un véritable lieu de mémoire à même la reprise, d’auteur en auteur, de cette singulière prosopopée. La figuration de l’enfance dans la littérature québécoise se révèle ainsi une représentation marginale, sans postulat d’homogénéité, des cadres identitaires collectifs et le signe d’une interrogation à propos des possibles inscriptions de soi dans la durée.
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Blanc, Magali. "Comment survivre sans la figure paternelle ?" Voix Plurielles 14, no. 1 (May 5, 2017): 86–95. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v14i1.1548.

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Abstract:
Cette étude se propose d’analyser comment les personnages principaux des romans d’Yves Thériault et de Gaétan Soucy évoluent sans la présence de leur père respectif. Le jour du suicide de son père, Alice (La petite fille qui aimait trop les allumettes) se voit endosser un rôle qui jusqu’à présent lui était inconnu : celui de la responsabilité et de la survie de sa famille. Elle qui toute sa vie a été considérée comme un garçon va très vite devenir une femme et puis une mère. La mort de son père sera l’élément déclencheur de son développement personnel et de sa prise de conscience identitaire. Après avoir atteint l’âge de la maturité, Agaguk décide de quitter sa tribu et de partir vivre avec sa femme dans la toundra. Par ce geste, il rompt avec les traditions autochtones et ainsi avec le chef de la tribu, son père. Ce dernier ne représentait plus les valeurs des Inuits selon Agaguk. Sans son père et sans la tribu, Agaguk devra relever des défis conséquents : notamment qu’est-ce qu’être un bon mari ? Un bon Inuit ? Et enfin un bon père ? La mort symbolique du père d’Agaguk le projettera vers des questionnements auxquels il sera le seul à devoir trouver les réponses. Nos deux personnages vont devoir apprendre rapidement à évoluer et grandir sans leur père (que ce soit par choix ou par dépit), mais qui plus est, ils devront apprendre à être parents.
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Dissertations / Theses on the topic "Petite fille qui aimait trop les allumettes"

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Lemelin, Daphnée. "UNE IDENTITÉ INDIVIDUELLE. L'énonciation du narrateur enfant dans Le souffle de l'Harmattan de Sylvain Trudel, La petite fille qui aimait trop les allumettes de Gaétan Soucy et C'est pas moi, je le jure! de Bruno Hébert." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26241/26241.pdf.

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Jeanneau, Nicolas. "La Ceinture des Parques ; suivi de Neuf gouttes contre l’incendie : le ressassement textuel dans La petite fille qui aimait trop les allumettes." Thesis, 2020. http://hdl.handle.net/1866/24203.

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Abstract:
La Ceinture des Parques engage un dialogue à mort avec la montée des eaux. Centrée sur les épreuves discrètes et pragmatiques du phénomène, cette fiction post-apocalyptique plonge dans la souffrance psychologique ressassée jour après jour par ceux qui vivent derrière les digues dans l’attente et l’impuissance. Deux rescapés de l’engloutissement planétaire incarnent ici l’idée que, face aux invasions de l’océan, le pire n’est pas dans les tempêtes mais dans ce qui les sépare. Le récit vise dès lors à faire du lecteur un guetteur. Ainsi prend-il la page comme une paroi et le texte comme une faille : chaque lettre est une nouvelle entaille dans le barrage, fissure par laquelle une goutte menace de s’infiltrer. A travers ces brèches, la mer remodèle le langage, balaye toute fixité en imposant le rythme de ses vagues, absorbant les frontières de l’écriture pour les calquer sur l’instabilité permanente qui caractérise le trait de côte et les marées. Plus l’énonciation progresse, plus elle se condamne en ouvrant elle-même ses vannes à une liquéfaction totale où les fins du narrateur, de sa langue et de l’environnement s’unissent dans une dilution commune. L’essai des Neuf gouttes explore le réseau textuel souterrain déployé par le ressassement et la répétition d’une instance narratrice. Roman énigmatique, La petite fille qui aimait trop les allumettes aligne de nombreuses formules récurrentes, variées et réparties sur l’ensemble de ses 200 pages. A travers ces termes fréquents à priori insignifiants, le texte de Gaétan Soucy propose une dynamique textuelle alternative qui diffère selon le degré de coopération pragmatique du lecteur. Le ressassement s’impose dès lors comme moteur du récit, fonctionnant comme un régulateur de vitesse utilisé par la narratrice pour équilibrer deux fins convergentes, l’une matérielle et l’autre psychologique. Entre ces deux menaces qui se resserrent à chaque ligne, Alice Soissons doit résoudre le mystère familial avant que l’écriture soit rendue impossible, tout en évitant de précipiter sa plume dans une surchauffe émotionnelle. Voir comment l’intrigue gère paradoxalement le retour en arrière comme meilleur moyen d’avancer dans sa résolution constitue toute la teneur de cet essai.
La Ceinture des Parques engages in a deadly dialogue with sea level rise. Focusing on the invisible and pragmatic hardships of that natural phenomenon, this post-apocalyptic fiction dives into the daily psychological suffering haunting those who live behind the dikes and wait in helplessness. Two survivors of the global submergence embody the idea that, when facing the oceanic invader, the worst is not in the storms but in what lies between them. The story then aims to turn the reader into a watcher. It thus takes the page as a wall and the text as its flaw: every letter is a gash in the dam, a crack into which a threatening drop might seep. Through these rifts, the sea reshapes the language, erasing any rigidity in the words, imposing the rhythm of its waves that absorb the usual limits of writing to model them on the constant instability that defines coastline and tides. The more the text is developed, the more it condemns itself to be dissolved, letting the water come into the text to achieve a complete blend when the endings of the narrator, of its language and of the environment mix in a common dilution. Neuf Gouttes is an essay exploring the hidden textual network spread by a narrator’s repetition and rumination. An enigmatic novel, La petite fille qui aimait trop les allumettes accumulates many frequent phrases throughout 200 pages. These similar words are trivial at first glance, but through them Gaétan Soucy’s text offers an alternate textual dynamic that differs according to the reader’s pragmatic cooperation level. The textual rumination stands out as the main force of the story, used by the narrator to adjust her writing speed in order to reach a safe balance between two converging endings: a material one and a psychological one. Between these two threats that get closer at each sentence, Alice Soissons must solve her family’s mystery before the writing becomes impossible, but also avoid rushing and crashing her testimony in an emotional explosion. The main goal of this essay is to analyse this paradox in which the plot uses reverses as the best way to make progress until its solving.
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"UNE IDENTITÉ INDIVIDUELLE. L'énonciation du narrateur enfant dans Le souffle de l'Harmattan de Sylvain Trudel, La petite fille qui aimait trop les allumettes de Gaétan Soucy et C'est pas moi, je le jure! de Bruno Hébert." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26241/26241.pdf.

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Books on the topic "Petite fille qui aimait trop les allumettes"

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Soucy, Gaétan. La petite fille qui aimait trop les allumettes: Roman. Montréal (Québec): Boréal, 1998.

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La petite fille qui aimait trop les allumettes: Roman. Montréal: Boréal, 2000.

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Book chapters on the topic "Petite fille qui aimait trop les allumettes"

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Ertler, Klaus-Dieter. "Soucy, Gaétan: La petite fille qui aimait trop les alumettes." In Kindlers Literatur Lexikon (KLL), 1–2. Stuttgart: J.B. Metzler, 2020. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-476-05728-0_18002-1.

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