Academic literature on the topic 'Petites et moyennes entreprises Entreprises multinationales Banques'

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Journal articles on the topic "Petites et moyennes entreprises Entreprises multinationales Banques"

1

Omri, Abdelwahed, and Meryem Bellouma. "Le regroupement des demandes de crédits des petites et moyennes entreprises tunisiennes dans le contexte d’asymétrie d’information." Revue internationale P.M.E. 17, no. 2 (2012): 43–63. http://dx.doi.org/10.7202/1008457ar.

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Abstract:
Compte tenu de l’opacité de la structure informationnelle de la plupart des petites et moyennes entreprises solliciteuses d’un crédit, les banques commerciales tunisiennes ont une attitude frileuse à l’égard de leur financement. Après avoir recensé les motifs de cette posture méfiante, nous proposons de tester empiriquement la validité de la stratégie de regroupement, sur la base d’un échantillon composé de 523 dossiers de crédits de petites et moyennes entreprises tunisiennes. Le test réalisé montre que la banque considérée ne tient pas compte du risque relatif à chaque entreprise lors de la détermination du taux d’intérêt, d’où une évidence à l’égard du recours à la stratégie de regroupement. Par ailleurs, le test révèle que la fixation du taux d’intérêt est tributaire de certaines modalités de garanties et du levier financier.
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2

Adair, Philippe, and Fredj Fhima. "Le financement des PME en Tunisie." Revue internationale P.M.E. 26, no. 3-4 (2014): 117–38. http://dx.doi.org/10.7202/1024521ar.

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Abstract:
Malgré leur importance numérique et le rôle qui leur est dévolu dans le cadre de la stratégie de promotion du secteur privé en Tunisie, les petites et moyennes entreprises (PME) ne répondent pas aux exigences des banques afin de satisfaire leur besoin de financement. L’estimation du tout premier modèle de déséquilibre appliquée à la Tunisie repose sur un panel de 1 275 PME observées entre 2001 et 2006. Il montre que la demande de crédit bancaire n’est pas déterminée par les facteurs « endogènes », tels le niveau d’activité et les ressources internes disponibles des entreprises, mais plutôt par des facteurs « exogènes », tels le coût de financement et les garanties exigées par les banques. Les exigences des banques, surtout en matière de garanties, expliquent en grande partie l’insuffisance des concours octroyés par rapport aux besoins exprimés et se traduisent par une proportion moyenne d’environ 80 % de ces entreprises qui sont - partiellement ou totalement - rationnées.
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3

Benthami, Asmae. "Les limites de l’outil de notation interne appliqué par les banques aux petites et moyennes entreprises (PME) : Cas du Maroc." Techniques Financières et Développement 124, no. 3 (2016): 139. http://dx.doi.org/10.3917/tfd.124.0139.

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4

Diop, Allé Nar. "Taux d’intérêt et risque de crédit : analyse du comportement des banques en relation avec les petites et moyennes entreprises sénégalaises." Interventions économiques, no. 61 (January 29, 2019). http://dx.doi.org/10.4000/interventionseconomiques.5198.

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5

Vrins, Frédéric. "Numéro 142 - novembre 2018." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15783.

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Abstract:
Les produits dérivés ont mauvaise réputation auprès du grand public. Avec les manquements des agences de notation, ils sont en effet souvent pointés du doigt comme faisant partie des principales causes ayant entrainé la crise financière de 2008 dont nous continuons, aujourd’hui encore, à subir les conséquences. Leur nature «spéculative» ainsi que leur caractère parfois obscur en font en effet des cibles privilégiées. Une partie de ce marché s’est écroulé. Cependant, l’activité financière associée reste gigantesque. On estime aujourd’hui la taille de ce marché à environ 7 fois la richesse produite à l’échelle planétaire en une année. Chaque jour, des transactions sont effectuées pour un montant avoisinant les 800 milliards de dollars. Ces chiffres semblent confirmer l’idée selon laquelle ce marché est complètement déconnecté d’une quelconque réalité économique.
 On associe souvent le terme «produit dérivé» à un pari sur l’évolution des cours. Ce qui suscite inévitablement de grands débats lorsque ceux-ci concernent un domaine aussi sensible que l’alimentation de base. Cependant, une analyse de l’importance relative des différentes classes d’actifs sur ce marché révèle qu’environ 90% des contrats portent exclusivement sur l’évolution des taux d’intérêt et des taux de change. Or, ces deux facteurs sont précisément fortement liés à l’économie réelle. Et ce n’est pas un hasard.
 Ce numéro de Regards économiques se veut essentiellement pédagogique. Il s’adresse aux lecteurs qui seraient peu familiers avec les produits dérivés et leurs applications. L’auteur propose un point de vue à contre-courant du discours généraliste qui plaide généralement pour un bannissement de ces produits. Sur base d’exemples simples, Frédéric Vrins nous explique que les produits dominants sur ce marché jouent un rôle de lubrifiant dans l’économie réelle. A la manière des contrats d’assurance, ils permettent de transférer des risques courus par des agents peu amènes à les gérer, vers des institutions spécialisées. La position des banques sur ces produits, souvent présentée comme spéculative, résulte en réalité de la nature fondamentale -voire de la raison d’être- d’une institution bancaire : un organisme offrant des services de protection financière.
 L’auteur attire enfin notre attention sur les dangers d’une régulation qui pénaliserait excessivement ce secteur. Ainsi par exemple, la titrisation est une technique d’ingénierie financière permettant de transformer une série de contrats individuels (souvent privés, comme des créances) en produits financiers que l’on peut donc qualifier de «dérivés». Ils sont souvent encore plus décriés que les produits «standards» évoqués plus haut dans la mesure où leur construction est nettement plus opaque. Si une titrisation excessive peut être pointée comme une des origines de la crise financière (via les subprimes), elle s’avère paradoxalement être aujourd’hui un outil fondamental dans sa résolution. Ainsi par exemple, le «rehaussement de crédit» est une technique intensément exploitée par le Fonds Européen d’Investissement destinée à diminuer le coût de financement des petites et moyennes entreprises. A l’heure de finaliser cet article, cette technique est également privilégiée pour solutionner la bulle des certificats verts.
 Malgré sa technicité, la régulation des produits dérivés est une problématique susceptible de nous impacter tous, quel que soit notre intérêt pour la finance. Ainsi, la fin des crédits hypothécaires à taux fixe (récemment évoquée en Belgique) peut être perçue comme une conséquence de la volonté de limiter le recours à ce type de produits.
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Vrins, Frédéric. "Numéro 142 - novembre 2018." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2018.11.01.

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Abstract:
Les produits dérivés ont mauvaise réputation auprès du grand public. Avec les manquements des agences de notation, ils sont en effet souvent pointés du doigt comme faisant partie des principales causes ayant entrainé la crise financière de 2008 dont nous continuons, aujourd’hui encore, à subir les conséquences. Leur nature «spéculative» ainsi que leur caractère parfois obscur en font en effet des cibles privilégiées. Une partie de ce marché s’est écroulé. Cependant, l’activité financière associée reste gigantesque. On estime aujourd’hui la taille de ce marché à environ 7 fois la richesse produite à l’échelle planétaire en une année. Chaque jour, des transactions sont effectuées pour un montant avoisinant les 800 milliards de dollars. Ces chiffres semblent confirmer l’idée selon laquelle ce marché est complètement déconnecté d’une quelconque réalité économique.
 On associe souvent le terme «produit dérivé» à un pari sur l’évolution des cours. Ce qui suscite inévitablement de grands débats lorsque ceux-ci concernent un domaine aussi sensible que l’alimentation de base. Cependant, une analyse de l’importance relative des différentes classes d’actifs sur ce marché révèle qu’environ 90% des contrats portent exclusivement sur l’évolution des taux d’intérêt et des taux de change. Or, ces deux facteurs sont précisément fortement liés à l’économie réelle. Et ce n’est pas un hasard.
 Ce numéro de Regards économiques se veut essentiellement pédagogique. Il s’adresse aux lecteurs qui seraient peu familiers avec les produits dérivés et leurs applications. L’auteur propose un point de vue à contre-courant du discours généraliste qui plaide généralement pour un bannissement de ces produits. Sur base d’exemples simples, Frédéric Vrins nous explique que les produits dominants sur ce marché jouent un rôle de lubrifiant dans l’économie réelle. A la manière des contrats d’assurance, ils permettent de transférer des risques courus par des agents peu amènes à les gérer, vers des institutions spécialisées. La position des banques sur ces produits, souvent présentée comme spéculative, résulte en réalité de la nature fondamentale -voire de la raison d’être- d’une institution bancaire : un organisme offrant des services de protection financière.
 L’auteur attire enfin notre attention sur les dangers d’une régulation qui pénaliserait excessivement ce secteur. Ainsi par exemple, la titrisation est une technique d’ingénierie financière permettant de transformer une série de contrats individuels (souvent privés, comme des créances) en produits financiers que l’on peut donc qualifier de «dérivés». Ils sont souvent encore plus décriés que les produits «standards» évoqués plus haut dans la mesure où leur construction est nettement plus opaque. Si une titrisation excessive peut être pointée comme une des origines de la crise financière (via les subprimes), elle s’avère paradoxalement être aujourd’hui un outil fondamental dans sa résolution. Ainsi par exemple, le «rehaussement de crédit» est une technique intensément exploitée par le Fonds Européen d’Investissement destinée à diminuer le coût de financement des petites et moyennes entreprises. A l’heure de finaliser cet article, cette technique est également privilégiée pour solutionner la bulle des certificats verts.
 Malgré sa technicité, la régulation des produits dérivés est une problématique susceptible de nous impacter tous, quel que soit notre intérêt pour la finance. Ainsi, la fin des crédits hypothécaires à taux fixe (récemment évoquée en Belgique) peut être perçue comme une conséquence de la volonté de limiter le recours à ce type de produits.
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Dissertations / Theses on the topic "Petites et moyennes entreprises Entreprises multinationales Banques"

1

Rohrmeier, Dieter Friedrich. "Die Bedeutung der Internationalisierung von Klein- und Mittelbetrieben für das Bankmarketing /." München : GBI, 1987. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb374381643.

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2

Fhima, Fredj. "Financement des Petites et Moyennes Entreprises en Tunisie." Thesis, Paris Est, 2010. http://www.theses.fr/2010PEST3012.

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Abstract:
L'étude des difficultés d'accès des Petites et Moyennes Entreprises (PME) tunisiennes aux fonds montre que ces entreprises connaissent un “déficit d'intégration bancaire” qui peut être expliqué par la théorie du rationnement du crédit. La réticence des banques tunisiennes à s'impliquer dans le financement des PME est en grande partie expliquée par les caractéristiques structurelles et financières du système bancaire tunisien qui connaît une prépondérance des banques de dépôts se traduisant par une limitation de la concurrence sur le coût de financement. Elle est aussi expliquée par les faiblesses qu'enregistre la Tunisie en matière de partage d'information de crédit et de protection légale des créanciers tout au long de l'opération de financement.La vérification empirique du rationnement des PME sur le marché du crédit bancaire tunisien est fondée sur une estimation d'un modèle de déséquilibre sur la base d'un échantillon de données de panel composé de 1760 PME sur la période 2001-2006. Les résultats obtenus montrent que les PME tunisiennes, dépendantes du crédit bancaire, cherchent à éviter de mobiliser cette source de financement chaque fois qu'elles enregistrent une augmentation de leurs ressources internes ou font recours au crédit fournisseur. La très forte aversion au risque des banques fait que la décision d'offre du crédit dépend principalement de la garantie réelle et se traduit par une proportion moyenne d'environ 90% des entreprises qui sont - partiellement ou totalement - rationnées<br>The study of Tunisian Small and Medium-size Enterprises (SMEs) difficulties to access to funds shows that these enterprises experience a “banking integration deficit” that can be explained by credit rationing theory. The reluctance of Tunisian banks to become involved in SMEs' financing is largely explained by the structural and financial characteristics of the Tunisian banking system whereof of the dominance of commercial banks results in a limitation of competition on the financing cost. It is also explained by the weaknesses experienced by Tunisia as regards the sharing information and the creditors legal protection throughout the financing transaction.The empirical verification of Tunisian SMEs' credit rationing on the Tunisian bank credit market is founded on an estimate of a disequilibrium model on the basis of a panel data set of 1760 Tunisian SMEs over the period 2001-2006. Results show that Tunisian SMEs, dependent on bank credit, seek to avoid the call for this source of financing every time they experience an increase in their internal resources or have recourse to trade credit. The very strong risk aversion of banks makes the credit supply decision mainly dependent on real guarantee, and results to an average proportion of 90% - partially or totally - credit rationed enterprises
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Bouveret-Rivat, Céline. "Création de joint-venture à l'international et apprentissage organisationnel de la moyenne entreprise." Lyon 3, 1999. http://www.theses.fr/1999LYO33011.

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Abstract:
Face a !a mondialisation de l'economie, l'international s'impose a toutes les entreprises. L'internationalisation n'est plus reservee aux grands groupes. Les pme-pmi developpent aussi leur activite au niveau mondial. Les statistiques demontrent meme qu'elles jouent un role majeur dans le dynamisme du commerce exterieur de la france, notamment les entreprises industrielles de taille moyenne ou mei. Aussi, il est observe une nouvelle espece de multinationale : notamment des mei, qui implantent des sites de production hors de l'hexagone. Elles adoptent une strategie particuliere, la joint-venture, leur permettant d'allier leur volonte de developpement international a leurs ressources financieres et humaines limitees. Or la mise en place d'une telle strategie necessite pour la mei francaise un apprentissage. L'objectif de cette recherche est donc de decouvrir comment la mei francaise apprend a creer des joint-ventures a l'international. Cette recherche s'articule autour de deux axes. Dans une premiere partie, il est aborde les trois themes constitutifs du projet de recherche pour determiner l'action observee, la creation de joint-venture ; au sein d'un type particulier d'entreprises, la mei ; et le processus sousjacent a decouvrir, l'apprentissage organisationnel. Ainsi, il est mis en evidence que l'alliance de ces trois themes est nouvelle. Il est alors construit un modele, afin de decouvrir le processus d'apprentissage organisationnel de la mei francaise lors de creations de joint-venture a l'international successives. Dans une seconde partie, ce modele est d'abord applique a une mei, principal terrain de recherche. Une etude clinique constructiviste, dans une perspective longitudinale et historique, est ainsi menee et donne lieu a des propositions locales. Puis, il est applique a cinq autres mei, dont resultent d'autres propositions locales. L'integration des resultats des six mei observees ont debouche sur des elements d'extension a partir desquels il a ete formulequelques reflexions susceptibles d'aider d'autres mei souhaitant creer des joint-ventures a l'international.
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4

Si, Lekhal Karim. "Le financement des petites et moyennes entreprises en Algérie : réalités et perspectives." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2014. http://www.theses.fr/2014VERS008S.

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Abstract:
Le sujet principal de cette thèse est celui du financement des PME en Algérie. Elle se compose de deux parties. La première partie est consacrée à évaluer le phénomène de la création des PME en Algérie et mettre en exergue les besoins de financement de ces unités créatrices d’emplois et de richesse. Dans cette première étape, il apparait deux données : d’abord, les PME participent, en effet, de manière significative au dynamisme économique, même si elles vont devoir impérativement développer leurs capacités productives. La contrainte financière conditionne leurs activités et constitue le premier obstacle pour la plupart des entrepreneurs ; puis, sachant que le riche corpus de la théorie financière classique ne nous permet pas de saisir avec pertinence le choix de la structure de financement dans les PME, car il ne prend pas en compte la taille de l’entreprise, il ressort que la contribution de la théorie financière moderne à la compréhension de ce sujet est d’un grand apport. La seconde partie est consacrée à l’étude des relations Banques - PME. Il apparait que la réticence des banques à s’impliquer dans le financement des PME est en grande partie expliquée par les caractéristiques structurelles propres au système bancaire algérien, dont la réforme est récente et le développement encore limité. Leur refus de prêter est aussi motivé par la rigidité de la réglementation, les insuffisances du cadre juridique, l’asymétrie d’information, le manque de sécurisation des crédits. . . Au total, on aboutit au fait que les PME algériennes sont en effet rationnées sur le marché du crédit. Pour finir, nous proposerons des recommandations pour faire diminuer l’ampleur du rationnement<br>The main subject of this thesis is the financing of SMEs in Algeria. It consists of two parts. The first part is devoted to evaluate the phenomenon of the creation of SMEs in Algeria and highlight funding requirements for these units to create jobs and wealth : First, it appears that it again consists of two elements: firstly, participation of SMEs, with significant economic dynamism, even they are going to develop absolutely their productive capacities. Financial strain affects their activities and is the foremost obstacle for most entrepreneurs; then, knowing that the major classical financial theory does not allow us to capture appropriately the choice of financing structure in SMEs, because it does not take into account the size of the company, it appears that modern financial theory contributes greatly to understand this subject. The second part is devoted to the study of Banks – SMEs relations. It appears that the banks are reluctant to get involved in the financing of SMEs is largely explained by the specific structural characteristics of Algerian banking system, whose reform is recent but the development is still limited. Their refusal to credit is also motivated by the regulatory rigidity, flaws of the legal framework, asymmetric information, lack of secure funding. . . In conclusion, we arrived at the fact that Algerian SMEs are indeed rationed in the credit market. Finally, we propose recommendations to reduce the extent of rationing for development of SMEs
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5

Monga, Célestin. "L'argent des autres : banques et petites entreprises en Afrique : le cas du Cameroun /." Paris : LGDJ, 1997. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36181726w.

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6

Dávila, Andrés. "La gestion de la petite entreprise internationale : langage commun de management et compétences interculturelles." Paris 2, 2009. http://www.theses.fr/2009PA020028.

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Abstract:
Les petites entreprises se développant à l’international agissent dans la complexité et ont des difficultés à allouer les moyens nécessaires. La forte exposition au phénomène interculturel peut troubler l‘efficacité de l’entreprise et celle de ses équipes. Les différences observées sur des activités exercées en condition d’interculturalité sont souvent analysées en termes d’opposition. Elles aboutissent à l’imposition de méthodes dites plus performantes et universelles mais qui ont des effets pervers. Cette recherche vise à apporter des réponses à cette problématique symptomatique des petites entreprises internationales. Les nombreuses méthodes de management international apportent certes des éclairages, mais outre le peu d’outils pratiques proposés et la tendance à occulter les différences qu’elles véhiculent, elles ne correspondent pas aux réalités d’une petite organisation cloisonnant peu ses activités et impliquant beaucoup de polyvalence. Pour mieux appréhender les réalités de ces petites entreprises internationales un diagnostic de type Socio-Économique a été entrepris dans l’une d’entre elles. Les observations recueillies ont permis d’identifier trois axes qui constituent le socle de l’approche proposée dans cette thèse et qui sont : la mise à disposition d’un référentiel commun de management co-construit par un chercheur et une entreprise, la co-construction d’un langage contingent qui peut être un élément moteur de la transformation organisationnelle, et le développement, le suivi et l’évaluation des compétences interculturelles. Ces axes posés les petites entreprises peuvent piloter leur transformation et choisir le développement qui leur convient.
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7

Molkhou, Valérie. "Le crédit et les relations entre les banques et les P. M. E : époque concernée par la recherche : contemporaine et actuelle." Aix-Marseille 2, 1999. http://www.theses.fr/1999AIX24006.

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Abstract:
Cette thèse analyse les relations qui se nouent entre les banques et les P. M. E. à l'occasion d'un crédit. Sur le marché du crédit, l'échange se fait dans l'incertitude. Le prêteur n'est pas aussi informe que l'emprunteur. Ces asymétries d'information posent des problèmes de sélection et de contrôle des emprunteurs qui, s'ils ne sont pas résolus, peuvent être la cause d'inefficiences sociales. La nécessité de faire face à ces inefficacités justifie l'existence des banques en tant qu'intermédiaires financiers, producteurs d'informations fiables. Elle est d'autant plus importante qu'il s'agit du financement des P. M. E. Aussi, on analyse les principaux moyens qui permettent de faire face à ces inefficiences : - on s'interroge sur la capacité du taux d'intérêt, des garanties, puis d'autres variables à trier et à inciter les PME, en situation d'information privée ou d'alea moral, d'abord dans un contexte statique, puis dynamique. - une relation de crédit solide (d'engagement) peut constituer un moyen complémentaire. A partir de l'étude statistique et économétrique de 121 dossiers bancaires français de 1996-1997, on montre qu'une telle relation peut être socialement efficace dans la mesure où elle incite la banque à prêter à de meilleures conditions et à moins rationner les PME. - en présence d'information privée et de risque moral simultanés, ces méthodes peuvent ne pas suffire. On montre que la banque peut alors proposer aux PME un prêt à court-terme, faisant office de test de la PME, afin de réduire les asymétries d'information et d'effectuer une sélection adéquate. On construit des contrats qui séparent les problèmes de sélection d'un type de risque-PME de ceux concernant l'incitation à faire un effort ponctuel. En proposant ce prêt-test, la banque est capable d'observer des signaux sur le type de risque-PME, en évitant le biais de l'effort. Le principe bayesien permet de corriger l'information de la banque sur la firme, exprimée en terme de distribution a priori.
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Cherbib, Jihene. "La dynamique des alliances asymétriques : le cas des alliances dyadiques entre multinationales et PME tunisennes." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2010. http://www.theses.fr/2010VERS031S.

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Abstract:
Les alliances stratégiques ont tendance à proliférer depuis les années 80 en raison de l'ouverture des marchés à la mondialisation des échanges économiques et financiers. Avec l'abaissement des barrières géopolitiques et institutionnelles, le jeu concurrentiel s'est déplacé alors vers la recherche de partenaires locaux pour atteindre une taille globale notamment dans un environnement concurrentiel de plus en plus réactif, intense et incertain. Cependant, le taux d'échec élevé de ces alliances pourrait s'expliquer, en partie, par la complexité apparente dans la mise en place et la gestion de ces relations. Cette complexité est plus accentuée lorsqu'il s'agit de caractéristiques et d'apports asymétriques entre les partenaires. Il existe une controverse théorique sur le caractère stable et instable des alliances asymétriques. La présente recherche se propose, ainsi, d'examiner l'intérêt de se lancer dans des alliances asymétriques, d'étudier la complexité des intéractions au sein des relations dyadiques, entre des multinationales et des PME tunisiennes, compte tenu de ce caractère d'asymétrie, et d'apporter une compréhension sur leurs dynamiques ainsi que sur leurs processus d'évolution. Il en est ressorti que, l'asymétrie des gains et l'appréciation du rapport contributions - rétributions jouent un rôle prépondérant pour la survie et la longévité des alliances asymétriques. En effet, l'impact de l'appréciation négative du rapport contributions - est plus important que celui de la présence de facteurs définis comme source de climat coopératif<br>The strategic alliances tend to proliferate since the 80s because of the opening of markets in the globalization of the economic and financial exchanges. With the reduction in the geopolitical and institutional barriers, the competitive game moves then towards the search (research) for local partners to reach (affect) a global size (cutting) in particular in a more and more reagent, intense and uncertain competitive environment. On the other hand, there is a visible complexity in the implementation and the management of these relations which explains partially the rate of high failure. This complexity is more stressed when it is about characteristics and about asymmetric alliances. The present research suggests examining the interest to dash into asymmetric alliances, to study the complexity of the interactions within the dyadiques relations, between multinationals and SME Tunisians, considering the character asymmetric, and to bring an understanding on their dynamics as well as their processes of evolution. It stood out from it that, the asymmetry of gains and the appreciation of the report contributions-remunerations play a dominating role for the survival and the longevity of the asymmetric allicances. Indeed, the impact of the negative appreciation of the report contributions - remunerations is more important then that of the presences of factors definied as source of cooperative climate
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9

Devin, Jean-Marc. "Impact des multinationales sur l'emploi en France (1974-1983)." Grenoble 2 : ANRT, 1986. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb375971450.

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10

Khiari, Abdennabi. "Le risque des PME québécoises pour les banques : l'information d'abord-- : étude empirique des principales causes des taux d'intérêt bancaires relativement élevés." Sherbrooke : Université de Sherbrooke, 2002.

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