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Dissertations / Theses on the topic 'Phénoménologie transcendantale'

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Forestier, Florian. "Le réel et le transcendantal : enquête sur les fondements spéculatifs de la phénoménologie et le statut du " phénoménologique "." Phd thesis, Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00634267.

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Abstract:
L'objet de ce travail est de montrer que, loin d'être incompatible avec le projet phénoménologique de retour aux choses mêmes, la perspective transcendantale contribue au contraire à la clarification de ses concepts et opérations. Elle permet également de préciser le les tentatives de dépassement du cadre husserlien mise en œuvre au cours du XXe siècle, en direction d'une transcendance plus radicale (Heidegger, Levinas, Marion) ou d'une immanence plus profonde (Merleau-Ponty, Patocka, Henry). Ce transcendantalisme doit cependant être élargi par la mise en place de nouveaux outils, comme la " construction phénoménologique " thématisée par Alexander Schnell. L'œuvre de Marc Richir est exemplaire d'une telle refondation du transcendantalisme phénoménologique. A travers ses principaux concept (le " schématisme-de-la-phénoménalisation ", le " rien-que-phénomène ", la " phantasia "), elle ressaisit au sein d'une architectonique cohérente l'événementialité, l'affectivité, ou l'extériorité, et qui semblent déjouer le transcendantalisme husserlien. En particulier, la phénoménologie du temps et de l'espace mise au point par Richir met en relief la fécondité de cette architectonique.
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Rokoee, Reza. "Rêve et éveil dans la phénoménologie transcendantale de Husserl, 1904-1936." Paris, EHESS, 2008. http://www.theses.fr/2008EHES0005.

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Abstract:
Il est question, entre autres, de chercher une description phénoménologique du rêve, du sommeil et de l’éveil qui va d’une esthétique à une kinesthésie du rêve : une phénoménologie de la phénoménologie peut signifier la fondation même de la phénoménologie qui s’enrichit des problématiques du monde comme son propre bassin d’interrogation. Aux confins du monde éveillé, le sommeil, l’endormissement et le rêve apparaissent aussi bien comme les modalités de l’éveil que les sédiments antérieurs d’un monde transparent et phénoménologiquement réel. La vision phénoménologique de l’éveil chez Husserl est fondée sur une unité transcendantale qui traverse la vie en tant que vécu. Cette unité s’opère aussi à l’intérieur des problématiques mêmes de la phénoménologie dans la perception, la phantasia, l’intersubjectivité, les différentes expériences de l’individu et la logique. La conception que nous lègue Husserl en traitant la question de l’éveil et du sommeil est une véritable connaissance phénoménologique du problème<br>The question is, among others, the attempt for a phenomenological description of dream, sleep and wake going from an esthetic to a kinesthesis of dream : the phenomenology of phenomenology may mean the very foundation of phenomenology which is enriched by the problematics of the world as its own investigation’s area. At the end of the awake world, sleep, falling asleep and dream appear as modalities of awakening as well as the anterior sediments of a transparent world which is phenomenologically real. Husserl’s phenomenological vision about awakening is founded on a transcendental unity which runs across life as lived experience. This unity take also place inside all phenomenal aspects as in perception, phantasia, intersubjectivity, different individual experiences and logic. The conception that Husserl leaves us, by processing the question of awakening and sleep, is a genuine phenomenological knowledge of the problem
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Lavigne, Jean-François. "Théorie de la connaissance, phénoménologie et idéalisme transcendantal : la genèse de l'idéalisme transcendantal dans la phénoménologie de Husserl (1900-1913)." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040012.

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Abstract:
Cette étude historique et critique de l'évolution des méthodes et problèmes fondamentaux de la phénoménologie transcendantale de Husserl dans sa période d'instauration décisive (1901-1913) vise un double objet : 1) établir les motifs et les médiations réelles de l'orientation finale de la phénoménologie issue des recherches logiques vers un idéalisme transcendantal de la subjectivité absolue. 2) déterminer quel rôle a joué dans ce processus la découverte et la formalisation de la réduction phénoménologique transcendantale. La reconstitution historique du parcours et des recherches de Husserl avant Ideen 1 établit la genèse de la réduction transcendantale en faisant une large place à des documents peu commentes. Elle s'appuie sur une relecture critique préalable des deux textes fondateurs extrêmes : la IIème section d'Ideen 1, et le texte originel du tome II des recherches logiques, dont on met en lumière l'ontologie implicite.
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Sabourin, Thomas. "Ipséité et transcendance : esthétique et phénoménologie transcendantale dans l’oeuvre de Michel Henry." Thesis, Montpellier 3, 2017. http://www.theses.fr/2017MON30098.

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Abstract:
L’œuvre de Michel Henry introduit l’idée d’une phénoménologie non-intentionnelle, fondée sur le concept d’auto-affection comme mode de la phénoménalité plus fondamental que l’intentionalité qui révèle le monde, le visible. La vie est l’être qui se révèle à soi dans l’immanence de l’auto-affection, dans l’invisible. C’est sur ce dualisme onto-phénoménologique que repose l’esthétique que Henry développe dans Voir l’invisible. Il y définit l’art comme accomplissement de la vie, c’est-à-dire comme Rappel pathétique de la vie. L’art est donc conçu, selon le paradoxe qu’énonce le titre de l’ouvrage, comme une manifestation de l’invisible dans le monde visible. L’art, pour Michel Henry ne vaut donc pas en tant qu’il révèle le « phénomène phénoménologique », mais en tant que, ce faisant, il accomplit la vie : il n’est pas contemplation, mais action. Il constitue l’accomplissement pratique d’une éthique de la vie. Cependant, la définition de la vie comme auto-affection, et l’affirmation fondamentale selon laquelle l’art constitue l’accomplissement de celle-ci, expose l’entreprise de Henry à un certain nombre de difficultés : sous-détermination de l’art, impossibilité de rendre compte d’une réalité objective de l’œuvre d’art, exclusion de la littérature hors du champ de l’esthétique. La décision d’édifier une esthétique fidèle à l’affirmation fondamentale de Henry, qui soit aussi un discours capable de rendre compte au plus près des pratiques artistiques dans leur diversité, et leur réalité concrète, conduit ici à interroger les fondements théoriques de l’esthétique henrienne : ses conceptions de la transcendance et de la subjectivité. La réinterprétation de l’impression comme intentionnalité fondamentale, et du sens de l’auto-affection comme plurivoque vise ainsi à préciser la définition de l’art comme Rappel, d’une manière assez concrète pour en édifier une théorie générale, qui permette de le concevoir dans ses déterminations concrètes, et comme moment de la culture.Mots-clés : Michel Henry, Art, Esthétique, Phénoménologie, Intentionnalité, Affectivité, Auto-affection, Subjectivité, Invisible<br>Michel Henry’s work has brought about the idea of a non-intentional phenomenology, based on the analysis of self-affection, as a phenomenological process allegedly more fundamental than intentionality. Whereas the latter reveals the visibility of the world, self-affection reveals, for its part, the invisibility of affective life. The theory of aesthetics that Henry develops in Voir l’invisible is based on this onto-phenomenological dualism. In this book, Henry defines art as the accomplishment of life, as its pathetical « emotional Recall ». Consequently, art is conceived accordingly to the paradoxical statement implied in the title of his book, since “voir l’invisible” means seeing what is invisible. So, to Henry’s opinion, art doesn’t bring forth the ‘phenomenological phenomenon’, but is the practical fulfilment of the ethics of life. Nevertheless, determining life as the invisibility of self-affection, and art as the accomplishment of life, urges him to face a certain number of difficulties : what about the risk of underestimating the complex structure of the work of art ? What about its actual reality ? And how is one supposed to understand, in such an aesthetical context, the possibility and structure of literature ? The purpose of settling a new theoretical basis for aesthetics, grounded on Michel Henry’s fundamental concept of the “Recall”, but at the same time able to solve these problems, and to actually take into account the wide variety of art practices, leads to investigate here the ontological foundations of Henry’s aesthetics : the way he conceives transcendence and subjectivity. Reinterpreting ‘impression’ as the fundamental intentionality, and showing self-affection as equivocal, enables to shape a more accurate and balanced characterization of art, viewed as ‘Recall’, in a much more realistic and concrete way, which brings about the conditions for a general theory of art and its relation to culture.Key words : Michel Henry, Art, Aesthetics, Phenomenology, Intentionality, Affectivity, Self-affection, Subjectivity, Invisible
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Mazzù, Antonino. "De la psychologie descriptive à la phénoménologie transcendantale: essai sur la portée métaphysique de l'intériorité phénoménologique dans la pensée d'Edmund Husserl." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2001. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/211487.

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Almoustafa, Taan Bachir. "La critique phénoménologique de l'ego cogito cartésien chez Husserl." Thesis, Lyon 3, 2014. http://www.theses.fr/2014LYO30010.

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Abstract:
Descartes a découvert l’ego cogito, mais il ne l’a pas exploité. D'après Husserl, cette phrase explique pour quoi Descartes n’a pas réalisé son projet d’une science absolument fondée. Selon Husserl, l’ego cogito restait stérile et incapable de constituer une connaissance transcendantale parce qu’il est une substance, un ego psychique situé dans le monde. Pour cela, il est nécessaire de démanteler la substantialité de l’ego cogito cartésien pour achever le projet cartésien déjà indiqué. Dans notre étude, nous tentons de montrer comment Husserl utilisait la réduction phénoménologique pour démanteler la substantialité de l’ego cogito et comment le démantèlement de la substantialité a permis à Husserl de passer de l’ego psychique à l’ego transcendantal et ensuite de l’ontologie à l’égologie transcendantale comme un champs de savoir absolu fondé sur l’évidence apodictique de l’ego cogito<br>Descartes discovered ego cogito but he didn't explore it. This phrase, from the Husserl,s point of view, explains why Descartes didn't accomplish his enterprise absolute science. According to Husserl the ego cogito remained sterile, and unable to form absolute knowledge, because it is substance, psychological ego inside the world. So it is necessary to deconstruct the substantiality of Descartes,s ego to achieve his enterprise. In our study we explain how Husserl used his phenomenological reduction to deconstruct the substantiality of ego, and how the deconstruction of substantiality allowed Husserl to shift from the psychological ego to the transcendental ego, then from ontology to transcendental ecology, as a absolute knowledge based on apodictic evidence of ego cogito
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Alexander, Robert. "La refondation richirienne de la phénoménologie : Les multiples enjeux de la refonte et de la refondation de la phénoménologie transcendantale chez Marc Richir à partir du traitement de la question de l’espace/temps phénoménologique archaïque." Thesis, Toulouse 2, 2011. http://www.theses.fr/2011TOU20117/document.

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Abstract:
Notre thèse est consacrée à l’œuvre philosophique de Marc Richir – œuvre débutée en 1968 qui compte plus de dix mille pages en 2011, réparties en vingt ouvrages et plus de deux cents articles – et elle se résume à cette double ambition : 1/ apporter la démonstration que la phénoménologie transcendantale chez Marc Richir (avec ses notions spécifiques et son architectonique), dans les enjeux les plus fondamentaux de sa refonte et de sa refondation, se comprend, se réfléchit et se fonde par un résidu, une trace ou un milieu (de vie du) transcendantal ; bref, par ce que nous nommons un élément ‘ogkorythmique’ fondamental qui constitue le placentaire du transcendantal, le squelette transcendantal du transcendantal. Cet élément, présent à tous les niveaux de cette nouvelle phénoménologie et qui en ouvre la compréhensibilité, est constitué par une masse rythmique non spatiale et non temporelle néanmoins en mouvement. Ce qui équivaut à penser la dynamique foncièrement irreprésentable, impossible, impensable et incompréhensible, d’une masse sans masse et d’un rythme sans rythme au cœur même de la phénoménologie et de la phénoménologisation richiriennes devenues par cette analyse, à nos yeux, une métaphysique phénoménologique fondamentale ; 2/ montrer la genèse des fondements phénoménologiques de cette pensée refondatrice – à la lumière de cet élément – comprise comme métaphysique transcendantale, par l’étude analytique des premiers écrits des années 60 et 70, où apparaît cette problématique fondationnelle ; et qui permet, en outre, d’éclairer les écrits postérieurs des années 80 à 2000, ce qui favorise le traitement de ces derniers de manière à la fois transversale et synthétique<br>Our thesis is devoted to the philosophical work of Marc Richir - work began in 1968 with over ten thousand pages in 2011, divided into twenty books and over two hundred articles - and it comes down to this dual ambition: 1 / provide demonstrate that the redesign and rebuilding of transcendental phenomenology at Marc Richer (with its specific concepts and architectonic), in its most fundamental issues, understandably, is reflected and is based in a residue, a trace or a medium (life) transcendental short, by what we call an element 'ogkorythmique' fundamental is the placenta of the transcendental, the skeleton transcendental of the transcendental. This element, present at all levels of the new phenomenology and who opens the comprehensibility, consists of a mass rhythmic non-spatial and non-temporal nevertheless moving. Equivalent to the dynamics fundamentally unrepresentable think, impossible, inconceivable and incomprehensible, a mass without mass and a rhythm without rhythm at the heart of phenomenology and phenomenologizing richiriennes become by this analysis, in our view, a fundamental phenomenological metaphysics, 2 / show the genesis of the phenomenological foundations of this thought new foundations - in the light of this element - understood as transcendental metaphysics, for the analytical study of the early writings of the 60 and 70, which is the foundational issue, and which, moreover, inform the later writings of the 80 to 2000, which promotes the treatment of these so both transverse and synthetic
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Alexander, Robert. "La refondation richirienne de la phénoménologie : Les multiples enjeux de la refonte et de la refondation de la phénoménologie transcendantale chez Marc Richir à partir du traitement de la question de l'espace/temps phénoménologique archaïque." Phd thesis, Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00670173.

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Abstract:
Notre thèse est consacrée à l'œuvre philosophique de Marc Richir - œuvre débutée en 1968 qui compte plus de dix mille pages en 2011, réparties en vingt ouvrages et plus de deux cents articles - et elle se résume à cette double ambition : 1/ apporter la démonstration que la phénoménologie transcendantale chez Marc Richir (avec ses notions spécifiques et son architectonique), dans les enjeux les plus fondamentaux de sa refonte et de sa refondation, se comprend, se réfléchit et se fonde par un résidu, une trace ou un milieu (de vie du) transcendantal ; bref, par ce que nous nommons un élément 'ogkorythmique' fondamental qui constitue le placentaire du transcendantal, le squelette transcendantal du transcendantal. Cet élément, présent à tous les niveaux de cette nouvelle phénoménologie et qui en ouvre la compréhensibilité, est constitué par une masse rythmique non spatiale et non temporelle néanmoins en mouvement. Ce qui équivaut à penser la dynamique foncièrement irreprésentable, impossible, impensable et incompréhensible, d'une masse sans masse et d'un rythme sans rythme au cœur même de la phénoménologie et de la phénoménologisation richiriennes devenues par cette analyse, à nos yeux, une métaphysique phénoménologique fondamentale ; 2/ montrer la genèse des fondements phénoménologiques de cette pensée refondatrice - à la lumière de cet élément - comprise comme métaphysique transcendantale, par l'étude analytique des premiers écrits des années 60 et 70, où apparaît cette problématique fondationnelle ; et qui permet, en outre, d'éclairer les écrits postérieurs des années 80 à 2000, ce qui favorise le traitement de ces derniers de manière à la fois transversale et synthétique.
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Finetti, Stéphane. "La phénoménologie de la phénoménologie de E. Fink et son problème directeur." Thesis, Toulouse 2, 2011. http://www.theses.fr/2011TOU20133.

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Abstract:
Les recherches entreprises dans cette thèse portent sur la phénoménologie de la phénoménologie de Eugen Fink, dont la "Sixième méditation cartésienne" (1932) constitue l’exposition principale. Elles cherchent à en cerner le problème directeur et à l'analyser dans ses différentes formes. Elles entreprennent à cette fin une série d'allers et retours entre la phénoménologie de la phénoménologie finkienne et la phénoménologie husserlienne. C'est dans cette dernière en effet qu'émerge le problème méthodologique abordé par Fink dans la Sixième méditation : le problème de la phénoménalisation de la temporalisation originaire. Il peut être formulé en première instance de la manière suivante : d'une part, la temporalisation originaire ne se phénoménalise qu'en tant que niveau constitutif distinct du flux immanent ; d'autre part la temporalisation originaire ne se phénoménalise que d'après le niveau constitutif du flux immanent. Il s'agit dès lors de savoir comment la temporalisation originaire peut se phénoménaliser à la fois comme niveau constitutif du flux immanent et d'après le niveau constitutif du flux immanent. Ce problème est abordé dans la "Sixième méditation" comme question de savoir comment penser, d'une part la réduction transcendantale et, d'autre part, le retour du spectateur phénoménologique dans l'attitude naturelle. Notre thèse cherche à montrer l'importance du concept de Schwingung pour penser ce double mouvement de phénoménalisation : celle-ci ne consiste pas pour le spectateur phénoménologique à s'installer dans le niveau constitutif de la temporalisation originaire, mais à osciller [schwingen] entre ce dernier et le niveau constitutif du temps immanent<br>This thesis concerns E. Fink's phenomenology of phenomenology, witch the “Sixth Cartesian meditation” (1932) is the main document. The research is focussed to address it in its basic issue and to analyse it in its different forms. To reach this result a series of investigations both in Finkian phenomenology of phenomenology and in Husserl's phenomenology were performed. In the last one we find the methodological problem that Fink explored in the “Sixth meditation”: the phenomenalizing of original temporality. This item was elaborated by Fink as the problem of unity between the transcendental reduction and the return of the phenomenological onlooker into the natural attitude. In this work we highlight the importance of concept of Schwingung to think these double movements of phenomenalizing: this does not consist for the phenomenological onlooker to put himself in the constitutive level of original temporality, bur to oscillate [schwingen] between it and the constitutive level of immanent time
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Slama, Paul. "Martin Heidegger et la philosophie transcendantale : sources, contextes et développements de la pensée de Heidegger (1919- 1927)." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040052.

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Abstract:
On part d’une difficulté d’interprétation qui a partagé les commentateurs concernant le statut transcendantal de la philosophie de Martin Heidegger. En effet, alors que beaucoup des concepts fondamentaux d’Être et temps (1927) semblent résister à une interprétation transcendantaliste (le Dasein, le « on », le comprendre, l’ustensilité, la tournure, l’angoisse, l’appel), au sens où il désignent la façon dont nous sommes immédiatement au monde, sans la médiation d’un sujet constituant, Heidegger désigne lui-même l’orientation générale de son traité comme une orientation transcendantale. En effet, la temporalité couronne l’édifice, et fonde même l’existence dans sa dimension la plus concrète. De quel transcendantal Heidegger fait alors usage, s’il refuse le sujet comme substance, et qu’il n’y a donc plus d’instance subjective constitutive de l’expérience ? On défend une interprétation pratique de ce transcendantal : le fondement est bien la quête de Heidegger, mais en tant qu’il est toujours à fonder par un Dasein libre et responsable de lui-même. Cette interprétation que nous appelons « praxiologico-transcendantale » permet d’inscrire Heidegger dans une tradition métaphysique bien déterminée, en montrant comment sa philosophie s’élabore contre les conceptions transcendantalistes des néokantiens, en montrant aussi comment Husserl et Scheler lui donnent les outils phénoménologiques pour associer pratique et transcendantal, et enfin en l’inscrivant dans une tradition dont Kant fut le précurseur dans quelques textes, et dont Fichte fut le vrai fondateur : un kantisme qui décrit un sujet pratique, au moyen de l’union des deux première Critiques. Ainsi, loin de rompre avec la métaphysique en 1927, Heidegger en régénère-t-il une figure fondamentale dont on essaie d’indiquer les concepts cruciaux<br>This PhD work starts from a difficulty of interpretation that had divided commentators, concerning the transcendental status of the Martin Heidegger’s philosophy. Indeed, whereas many basic concepts in Sein und Zeit (1927) appear to resist a transcendentalist interpretation (« Dasein », « Man », « Verstehen », ustensility, « Angst », « Ruf »…), because they designate the way we are immediatly in the world without the mediation of a constituting subject, Heidegger indicates the treaty’s general direction as a transcendental direction. Indeed, the temporality crowns the building, and grounds existence in its most concrete dimension. What is the Heidegger’s transcendental, if he refuses the subject as substance, and if there is therefore no more constituting subject for experience ? We defend a practical interpretation of this transcendental : the ground is indeed the quest of Heidegger, but as it is always to be found by a free and responsible for himself Dasein. This interpretation, that we call « praxiologico-transcendental », allows to link Heidegger to a well determined metaphysical tradition, by showing how his philosophy confronts neokantian’s transcendentalist conceptions, by showing also how Edmund Husserl and Max Scheler provide phenomenological tools for joining praxis and transcendental, and finally by locating him within a tradition of which Kant was the precursor in some texts, and of which Fichte was the true founder : a kantism that describes a practical subject, by means of the union of the two first Critique. Thus, far from breaking with metaphysics in 1927, Heidegger regenerates one of its fundamental figure, of which we try to indicate crucial concepts
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Zagury-Orly, Raphaël. "Le statut du criticisme dans le discours philosophique de la modernité : Kant face à Hegel et Heidegger." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040220.

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Abstract:
Le présent travail cherche à mettre en lumière le rapport entre la subjectivité transcendantale et le pouvoir de questionner. En effet, une certaine subjectivité autorise un certain questionnement et il nous faudra toujours et partout nous demander quelles sont les possibilités et les conséquences de cette relation. Pour ce faire, il s'agira non pas d'interpréter Kant à partir de l'idéalisme hégélien ou de la phénoménologie heideggerienne, mais bien plutôt de le relire après Hegel et Heidegger. Certes, ce projet pourrait sembler aller de soi si l'on faisait abstraction du fait qu'aujourd'hui encore le kantisme est le plus souvent lu en tant que simple annonciateur de l'idéalisme absolu, ou bien, en tant que commencement raté de l'horizon phénoménologique. C'est la Critique de la faculté de juger en tant qu'elle provoque une inflexion sans précédent au sein même du système critique qui constituera le point central de notre relecture de Kant. Selon nous, la troisième Critique mène à terme quelque chose qui reste encore hésitant dans les deux autres, tout en les "justifiant", en les explicitant et en leur donnant une plus grande actualité face à la critique post-kantienne. En effet, ce que nous appelons la question critique comporte chez Kant un statut tout particulier qui l'oppose à son statut et à son usage chez Hegel ou Heidegger. Il est permis de penser que le kantisme pratiquerait un autre type de questionnement dont nous ne cesserons de rappeler la spécificité. Ainsi, il nous faudra toujours et partout aiguiser la résistance virtuelle du criticisme kantien, face à Hegel comme à Heidegger, en réactivant le "fond" interrogatif de sa réflexion philosophique et en mettant à jour ce qui se présente à nous comme une "caricature" du criticisme dans ces philosophies. Ce travail contribuera à mettre en évidence l'issue de cette confrontation avec Hegel et Heidegger, celle d'un kantisme renforcé par ces oppositions<br>This thesis attempts to clarify the intimate relationship between the transcendental subjectivity and the possibility of questioning. As a matter of fact, a certain type of subjectivity permits a certain type of questioning which we will have to explore the very limits and possibilities. In order to realize this project, we will need to interpret Kant - not via German Idealism nor Heideggerian phenomenology - but rather to attempt its reading after Hegel and Heidegger. This project could seem to be somewhat obvious unless it is understood that the most common reading of Kantian criticism today most often sees in this philosophical enterprise a simple stepping-stone to German idealism or a failed beginning to the phenomenological attitude. It is the Critique of Judgment, as it provokes a radical modulation in the very heart of the Critical system, which will constitute the central point of our reading of Kant. According to us, the third Critique accomplishes something which remains hesitant in the two prior Critiques, while justifying them and hence providing a greater actuality to the Kantian system as a whole before all the post-critical temptations. What we call the critical question entails for Kant a specificity which opposes it to all of its definitions in Hegel or Heidegger. We are entitled to believe that Kantianism practices a radically different philosophical questioning. Hence, we will continuously sharpen the virtual resistance of criticism towards Hegel and Heidegger by reactivating its very interrogative ground and bring forth what seems to us like a simple caricaturing of it by these last two philosophies. This thesis will contribute to reveal a type of Kantianism entirely reinforced by its opponents
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Farges, Julien. "La restitution du monde. Recherches sur les fonctions de la notion de « monde de la vie » (Lebenswelt) dans la phénoménologie de Husserl." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040025.

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Abstract:
La thèse propose une étude de la notion de « monde de la vie » (Lebenswelt) telle qu’elle se déploie dans la pensée d’Edmund Husserl, fondateur de la phénoménologie. Prenant pour fil conducteur le problème qui est inscrit dans le nom même de cette notion (le problème d’une détermination du sens d’être du monde à partir de la vie intentionnelle du sujet), la thèse élucide la notion moyennant une approche fonctionnelle, fondée sur la distinction cardinale entre les régimes naturel et transcendantal de la vie intentionnelle. On montre en premier lieu que le monde de la vie se comprend comme monde corrélatif du passage d’une vie intentionnelle naturelle à la vie constituante de la subjectivité transcendantale (I), puis, à l’inverse, comme corrélat du recouvrement de cette vie transcendantale avec la vie naturelle de la conscience psychologique mondaine (II). Alors que la première partie rend compte de la genèse de cette notion dans la pensée de Husserl et montre qu’elle est indissociable du développement puis de la relativisation de l’idée d’une ontologie matérielle, la seconde partie montre que la notion de monde de la vie prend tout son sens lorsqu’elle est définie à partir des conditions de l’unité de la vie transcendantale et de la vie naturelle : on peut dès lors définir la phénoménologie husserlienne comme un positivisme transcendantal, au sein duquel le concept de monde de la vie reçoit des déterminations anthropologiques et biologiques tout en devenant le lieu d’une restitution transcendantale du sens de la positivité naturelle<br>This PhD studies the concept of « life-world » (Lebenswelt) as it is developed in Edmund Husserl’s thought. Using as a leading clue the problem inscribed in the very name of the notion (the problem of a determination of the world’s mode of being from the intentional life of the subject), the PhD clarifies the notion through a functional approach, funded on the cardinal distinction between the natural and transcendental sides of the intentional life. First, it shows that the life-world can be understood as a world correlated to the transition from the natural intentional life toward the constituting life of a transcendental subjectivity (I) ; then, conversely, as the correlate of the unity between this transcendental life and the natural-psychological life of a worldly consciousness (II). In the first part, the PhD highlights the complex genesis of this notion in Husserl’s thought and shows that it is linked with the development and then the relativisation of the idea of a material ontology ; in its second part, it shows that the notion of life-world is the most significant when defined on the basis of the conditions of the unity of transcendental and natural life : the Husserlian phenomenology can therefore be defined as a transcendental positivism, in which the concept of life-world receives anthropological and biological determinations while allowing at the same time a transcendental restitution of the world’s natural positivity
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Wagner, Guillaume. "Phénoménologie et communauté : du monde de la vie aux formes de vie." Thesis, Strasbourg, 2017. http://www.theses.fr/2017STRAC016/document.

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Abstract:
Cette thèse porte sur la question de la communauté dans la phénoménologie husserlienne et posthusserlienne, en se concentrant autour du concept de « monde de la vie » (Lebenswelt) – notamment dans La crise des sciences européennes. A la croisée des étapes majeures du parcours husserlien dont nous dégageons les implications, nous interrogeons le monde de la vie à travers l'analyse phénoménologique des processus d'incorporation et d'incarnation. Nous démontrons que Husserl a d'emblée surmonté les impasses de ses successeurs en refusant l'opposition exclusive entre les champs d'immanence et de transcendance pour au contraire penser leurs entrelacements. A partir de la reprise de la critique radicale de l'objectivisme naturaliste, l'enjeu est d'approfondir les formes d'intrication entre sphère égologique et horizon-de-nous. Dès lors, nous désignons la praxis intersubjective comme la base des dynamiques de formation communautaire, que nous comprenons en tant que formes de vie<br>This thesis engages the question of community in husserlian and post-husserlian phenomenology, concentrating on the concept of the “lifeworld” (Lebenswelt), especially in The Crisis of European Sciences and Transcendental Phenomenology. At the crossroads between two major stages of Husserl’s development, of which we will reveal the implications, we question the lifeworld through the phenomenological analysis of the processes of incorporation and incarnation. We demonstrate that Husserl straightaway surmounted the impasses met by his successors, by refusing an exclusive opposition between the fields of immanence and transcendence in order to, on the contrary, propose their interlacing. Starting with resumption of the radical critique of naturalist objectivism, the stakes are to deepen the forms of intricacy between the ecological sphere and world-horizon. From there, we designate intersubjective praxis as the basis of the dynamics of community formation, which we understand in terms of forms of life
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Blouin, Philippe S. "La phénoménologie comme manière de vivre." Thesis, Normandie, 2020. http://www.theses.fr/2020NORMR009.

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Abstract:
Au cœur de la phénoménologie gît une thèse métaphysique selon laquelle le flux phénoménal du vécu (Erlebnisstrom) puise son sens et son être en lui-même, plutôt que d’une quelque réalité extérieure ou sous-jacente. En outre, cette thèse de l’autonomie existentielle du flux phénoménal, ou de l’équivalence de l’être et du paraître, ne s’atteste que moyennant une transformation complète de notre rapport au monde, où l’on s’efforce de se mettre à l’écoute des choses, et du mystère qui les enveloppe, plutôt que de les maîtriser. Pris ensemble, cette thèse métaphysique et cette attitude du laisser-être (Seinlassen) constituent les deux piliers de la phénoménologie comme manière de vivre dont la présente thèse se propose de tracer les grandes lignes. Pour ce faire, nous centrons nos recherches sur l’œuvre du fondateur de la phénoménologie, Edmund Husserl, que nous soumettons toutefois à une critique immanente; c’est Husserl qui à la fois dégage l’idée d’une phénoménologie comme manière de vivre et lui pose le plus sérieux obstacle. Cette tension au sein de la pensée husserlienne s’aperçoit à même les deux exigences qui la définissent : celle du « retour aux choses mêmes », d’une part, et celle de la description eidétique, de l’autre. À l’aide de différents interlocuteurs – qui nous permettent d’interroger Husserl rétrospectivement (Pyrrhon), contemporainement (James, Bergson) et prospectivement (Heidegger) –, nous montrons que ces deux exigences sont en fait incompatibles, et proposons afin de résoudre cette contradiction d’éliminer un de ses termes, soit l’exigence de description eidétique. Se fait alors jour la possibilité d’une phénoménologie qui assume pleinement sa vocation existentielle. Enfin, en parallèle à cette critique immanente de Husserl, et afin de l’étayer, nous développons une explication génétique de l’ἐποχή transcendantale, où celle-ci est caractérisée en tant que conversion de l’attitude naturelle à une forme de conscience postréflexive, c’est-à-dire mystique<br>At the heart of phenomenology lies a metaphysical claim according to which the phenomenal stream of lived experience (Erlebnisstrom) derives its meaning and its being from itself, rather than from some external or underlying reality. Moreover, this claim of the existential autonomy of the phenomenal stream, or of the equivalence of being and appearing, can only be verified through a complete transformation of our relationship to the world, where we seek to become mindful of things, and of the mystery in which they are steeped, rather than seeking to master them. Taken together, this metaphysical claim and this attitude of letting-be (Seinlassen) constitute the two pillars of phenomenology as a way of life, which the present thesis proposes to describe in broad outline. To do so, we focus our research on the work of the founder of phenomenology, Edmund Husserl, which we submit however to an internal critique; it is Husserl who both allows us to contemplate the idea of phenomenology as a way of life and at the same time poses the greatest obstacle to it. This tension within Husserlian thought can be seen in the two imperatives that define it: that of the “return to the things themselves”, on the one hand, and that of eidetic description, on the other. With the help of various interlocutors – who allow us to interrogate Husserl retrospectively (Pyrrho), contemporaneously (James, Bergson) and prospectively (Heidegger) – we show that these two imperatives are in fact incompatible, and propose in order to lift this contradiction to eliminate one of its terms, namely the imperative of eidetic description. Thus a path is cleared for a phenomenology that fully commits itself to its existential vocation. Finally, in parallel to this internal critique of Husserl, and to better support it, we develop a genetic explanation of the transcendental ἐποχή, where it is characterized as a conversion from the natural attitude to a post-reflective, that is mystical, form of consciousness
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Chaberty, David. "Introduction à la phénoménologie cosmologique d'Eugen Fink." Phd thesis, Université de Grenoble, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00713806.

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Abstract:
Il s'agira d'envisager, en français, l'oeuvre du philosophe allemand Eugen Fink (1905-1975), dont le corpus complet n'est disponible qu'en allemand. Ce sera donc une "introduction" à sa pensée. A cet égard nous nous demanderons quelle est la continuité de la pensée dite du jeune Fink et de celle du Fink dit "de la maturité". Nous montrerons, contre certains préjugés, la continuité problématique, - cosmologique -, du penseur allemand. A la lumière de l'oeuvre ultérieure nous proposerons d'abord une nouvelle interprétation de la pensée du jeune Fink en même temps que son originalité vis à vis des maitres de Fribourg (Husserl, Heidegger). Dans une seconde partie nous exposerons une structure problématique que nous soutenons être celle du Fink de la maturité: d'abord une théorie du questionnement métaphysique, à la lumière de laquelle Fink réevalue les problèmes philosophiques fondamentaux: c'est à dire d'abord une cosmologie originale, une théorie de la phénoménalité fondamentale, à partir desquelles Fink repense de façon originale l'histoire de la métaphysique (antique et moderne). Après un appendice sur son interprétation de Nietzsche (qui prend son sens dans ce qui précède), nous concluerons sur sa position sur les problèmes qui lui furent contemporains (anthropologie et ontologie).
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Dell'Orto, Francesca. "Recherches de phénoménologie génétique entre le temps et la vie." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040028.

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Abstract:
Ce travail prend en examen le rapport, du point de vue phénoménologique, entre les notions de temps et de vie, et leur implications transcendantales. À ce but les recherches exposées ici se présentent comme l’étude, plus thématique que historiographique, et le développement de questions qui s’appuient sur le noyau profond de l’oeuvre husserlienne, bien que pas toujours directement abordées par Husserl lui-même. Notre thèse consiste à reconsidérer le statut du transcendantal depuis l’articulation entre la vie et le temps, c’est-à-dire entre la vie et la mort, en interprétant par cela toute l’évolution de la philosophie occidentale, qui s’est significativement déroulée sous le signe de la mort socratique. Husserl donne l’impression d’osciller entre la nécessité de distinguer la vie, en tant que détermination transcendantale, de la temporalité, relative à la dimension du constitué, et leur assimilation, dans la mesure où il reconnaît à une certain type de temporalité une originarité constituante et absolue. En d’autres mots, la tentative de définir la vie tombe sur la même ambiguïté qui émerge déjà à l’époque des Zeitvorlesungen à propos de la conscience absolue: tout comme le seuil entre temporalité constituante et temporalité constituée devient mince et perméable, de même façon celui entre vie et temporalité s’estompe en ce que Husserl appelle Vor-Zeitigung et pour laquelle «nous n’avons pas de noms». Il en va de la possibilité de penser la vie sans la réduire à une détermination physique ou biologique, en évitant tout naturalisme (ce qui ne signifie pas son complet discrédit), et de faire ressortir la priorité du sens toujours impliquée par la temporalité, sans pour autant la connecter à une détermination psychologiste<br>This work takes into consideration the relationship, as in a phenomenological perspective, between the notions of time and life, and their transcendental implications. To this aim, here is presented a research coping with the study, thematic more than historiographic, and with the development of those issues that, even if not always tackled as such by Husserl himself, deal with the deeper core of Husserlian oeuvre. This dissertation reconsiders the status of the transcendental after the articulation between life and time, that is to say, between life and death, interpreting in this light the whole evolution of Western philosophy, significantly unwound under the sign of Socrates’ death.Husserl gives the impression to swing back and forth between the necessity of distinguishing life, as transcendental determination, and temporality, inasmuch as related to the dimension of the constituted, and their assimilation, insofar as he acknowledges to a certain type of temporality a constituent and absolute originarity. In other words, the attempt to define life meets the same ambiguity already emerged at the time of the Zeitvorlesungen about the absolute conscience: as the threshold between constituent and constituted temporality grows thinner and more permeable, that between life and temporality softens in what Husserl calls Vor-Zeitigung and that «we have no names [for]». Two issues are here at stake: on one hand, the possibility to think life without reducing it to a physical or biological determination, shying away from any naturalism (which does not entail its complete disrepute); on the other, the chance to consider life without connecting it to a psychologistic understanding, as the link with temporality would imply, though preserving, instead, the priority of sense
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Masselot, Nathanaël. "Temps et individuation : le sens du transcendantal dans la philosophie de Kant et de Husserl : métaphysique, ontologie, phénoménologie." Thesis, Lille 3, 2015. http://www.theses.fr/2015LIL30024/document.

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Abstract:
La notion d’individu fait l’objet d’une intuition triviale. Notre expérience nous la livre si naturellement qu’elle semble constituer le socle élémentaire de toute ontologie naïve. Mais en philosophie, le problème de l’individuation ouvre un vaste champ de problèmes métaphysiques traités dans la postérité scolastique d’Aristote. Dénoncée et ré-élaborée dans l’ontologie fondamentale de Heidegger comme métaphysique du Dasein à la faveur d’une critique de Kant, prolongée et dépassée dans la phénoménologie de la donation, la métaphysique semblerait évacuée de la pensée moderne post-kantienne, a fortiori de la phénoménologie, si Husserl ne lui restituait pas un problème évincé par l’ensemble des phénoménologies du sujet : l’individuation. Faisant de l’individuation le problème de « la constitution de l’être individuel (donc “factuel”) en général et d’après ses formes fondamentales essentielles » accompagné de « la résolution de la problématique transcendantale la plus profonde », Husserl, en 1918, porte cet enjeu à son paroxysme. Rédigeant les Manuscrits de Bernau, il se livre à un projet ambitieux et doublement étonnant en ce qu’il sonne comme une résurgence métaphysique au cœur de sa phénoménologie et invite à une lecture phénoménologique de Kant alternative à celle de Heidegger. La première partie de cette étude s’emploie à faire apparaître le sens transcendantal du problème de l’individuation par rapport à l’approche métaphysique traditionnelle. Cette mise au jour invite à établir, deuxièmement, en quel sens il existe bien un problème d’individuation au cœur de la Critique de la raison pure, mobilisant la synthèse et l’imagination dans la constitution du phénomène kantien. Une troisième partie analyse la manière dont le temps se présente chez Kant et Husserl comme un opérateur transcendantal adapté à la résolution de ce problème. Elle s’efforce de présenter à la fois l’affinité de leur traitement et ce qui les distingue l’un de l’autre. Une quatrième et dernière partie montre de quelle manière le problème de l’individuation jette, chez Husserl, une lumière nouvelle sur l’eidétique et sur le concept de constitution<br>The notion of the individual is the object of a trivial intuition. It is so naturally delivered by our experience that it seems to constitute the basic core of any kind of naïve ontology. But in philosophy, the problem of individuation opens up a wide range of metaphysical issues that have been tackled in the wake of Aristotle’s scholastic posterity. Denounced in Heidegger’s fundamental ontology and recast as the metaphysics of Dasein which is critical of Kant, then extended and exceeded within the phenomenology of givenness, Metaphysics would appear to have been abandoned by the modern post-kantian (especially phenomenological) legacy until Husserl came to restore an issue pushed aside by every kind of subjective phenomenology : namely, individuation. By making individuation the issue of “the constitution of the individual human being (thus “factual”) in general and according to its essential fundamental forms” along with “the resolution of the deepest transcendental problem”, Husserl, in 1918, made this central issue reach its height. While writing the Bernau Manuscripts, he undertook a project which is ambitious and remarkable for two reasons : first, because it appears to be a metaphysical resurgence within his phenomenology, and then second, because it engages a phenomenological reading of Kant, yet not Heidegger’s. The first part of this analysis aims at highlighting the transcendental meaning of the issue of individuation in comparison with the traditional metaphysical approach. Secondly, this invites us to see to what extent there is indeed an issue of individuation at the core of the Critique of Pure Reason, relying on synthesis and imagination in the constitution of the Kantian phenomenon. The third part accounts for time in Kant and Husserl as the transcendental operator fitted to the solving of this problem. It endeavours to analyse what makes them similar and what sets them apart. The fourth and last part reveals how the problem of individuation sheds a new light on eidetics and Husserl’s concept of constitution
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Gourdain, Sylvaine. "Après le transcendantal : l’ethos de l’im-possible : Être, pouvoir et (im)possibilités chez Heidegger et Schelling." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040164.

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Abstract:
Ce présent travail entend montrer comment Heidegger, à partir de 1927, renonce progressivement à toute pensée transcendantale, afin d’élaborer la conception d’un ethos fondamental. Nous insistons dans cette évolution sur le rôle de sa lecture de Schelling et en particulier des Recherches philosophiques sur l’essence de la liberté humaine en 1936 (mais aussi en 1927/28 et en 1941), lecture elle-même à concevoir dans le prolongement de son interprétation de la Métaphysique Θ 1-3 d’Aristote en 1931. Le premier pan de notre étude décrit et retrace les différentes étapes de l’abandon du transcendantal jusqu’à la fin des années 1930 : du pouvoir-être transcendantal à l’indigence transcendantale (fin des conditions de possibilité), puis de l’être comme possible à l’être comme im-possible (découverte du pouvoir (δύναμις) inhérent à l’être et fin de toute possibilisation). Dans un second pan, nous développons une partie plus systématique qui se conçoit comme un dialogue – et non comme une comparaison – établi entre les pensées médianes et tardives de Heidegger et de Schelling. Nous décelons en cela une convergence entre les deux auteurs dans leur conception d’un ethos, qui désigne une manière de séjourner au monde reposant sur la correspondance (Ent-sprechung) entre l’amour serein de l’homme et l’élément originaire de l’amour (l’être dans un cas, le Seigneur de l’être dans l’autre). Cet ethos est un ethos de l’im-possible, dans la mesure où s’il advient, il ne se laisse ni prévoir, ni programmer et ne répond à aucun horizon d’attente. C’est en cela qu’il permet le laisser-être de tous les étants comme ce qu’ils sont en propre<br>In this dissertation I would like to show how Heidegger beginning in 1927 gradually distances himself from transcendental thought in order to work out the conception of a fundamental ethos. In this development in Heidegger’s thought I emphasize the role of his Schelling interpretation, specifically his lecture course on the Philosophical Investigations into the Essence of Human Freedom from 1936 (but also from 1927/1928 and 1941). This reading of Schelling can be understood in relation to his 1931 interpretation of Metaphysics Θ 1-3 of Aristotle. The first part of my investigation describes and sketches out the different stages within the abandonment of the transcendental until the end of the 1930s : from the transcendental ability-to-be to the « transcendental neediness » (the end of the conditions of possibility), and from Being as possible to Being as im-possible (the discovery of the capability (δύναμις) that underlies Being ; the end of any enabling). In the second stage of the investigation I develop a more systematic part as a dialogue – as opposed to a comparison – between the middle and late thought of Heidegger and Schelling. Through this dialogue I show a convergence of both philosophers in their conceptions of ethos : ethos is a habitation in the world, which is based on the « correspondence » between the released love of humans and the primordial element of love (which is on the one hand Being and on the other hand the « Lord of Being »). This ethos is an ethos of the Im-possible, because, if it occurs, it cannot be anticipated or planned out and it is not inscribed in any horizon of expectation. It thereby discloses the letting-be of beings as their own
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Jardim, Alex Fabiano Correia. "Como sair da ilha da minha consciência : Gilles Deleuze e uma crítica à subjetividade transcendental em Edmund Husserl." Universidade Federal de São Carlos, 2007. https://repositorio.ufscar.br/handle/ufscar/4747.

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Abstract:
Made available in DSpace on 2016-06-02T20:12:11Z (GMT). No. of bitstreams: 1 TeseAFCJ.pdf: 1211699 bytes, checksum: 81c6d9668934fa424f8dc6ad82f81958 (MD5) Previous issue date: 2007-04-27<br>Instituto Internacional de Ecologia<br>Le travail a comme théme la présentation d une critique à la phénoménologie d Edmund Husserl, à travers la pensée de Gilles Deleuze. Tout le parcours philosophique de ces deux auteurs a été remarquable, étant donné le fait que chacun à sa propre manière, a parlé de la problématique du sujet de façon différente, tous les deux possédant le problème de la genèse ( tantôt active, tantôt passive) comme champ conceptuel pour l établissement d une « image de la pensée ». Une série de conversations a possibilité le développement du théme, par exemple, l importance de la philosophie de Gilbert Simondon, pour que Deleuze structure sa critique par rapport à la notion de champ transcendantal ou une philosophie du sujet, des propos précieux pour la phénoménologie. Simondon présente une philosophie « des moyens d individuation » au lieu de n importe quelle idée de principe originaire (ou synthèse subjective). Donc, le complet intérêt de Gilles Deleuze vis-à-vis l uvre de Simondon, en tant que « traversée » du concept de subjectivité au concept d hecceité. Clôturant, la recherche se penchera sur l uvre de Michel Tournier : « Vendredi ou les limbes du Pacifique », et sur l importânce de ce texte pour qu on puisse présenter le personnage « Robinson » de Tournier comme exemple net de deux perspectives : la phénoménologique husserlienne où il y a un procés constitutif de donation de sens à l île de Speranza, voie conscience originaire, et la contre-phénoménologique deleuzienne à partir de la dissolution de la forme-je commo synthèse unificatrice du sens, et de l éablissement de l île de Speranza comme champ d immanence pur, absolu et non-subjectif.<br>O trabalho tem como temática apresentar uma crítica à fenomenologia de Edmund Husserl através do pensamento de Gilles Deleuze. Todo percurso filosófico desses dois autores foi bastante distinto, pois cada um, à sua maneira, tratou da problemática do sujeito de maneira diferenciada, ambos tendo o problema da gênese (ora ativa, ora passiva) como campo conceitual problematico para o estabelecimento de uma imagem do pensamento . Uma série de conversações possibilitou o desenvolvimento do tema, como por exemplo, a importância da filosofia de Gilbert Simondon para Deleuze constituir sua critica em relação à noção de campo transcendental ou filosofia do sujeito, temas preciosos para a fenomenologia. Simondon apresenta uma filosofia dos modos de individuação em lugar de qualquer idéia de principio originário (ou síntese subjetiva). Daí, o pleno interesse de Gilles Deleuze pela obra de Simondon como uma travessia do conceito de subjetividade ao conceito de hecceidade. Por fim, a pesquisa se debruçará sobre a obra de Michel Tournier, Sexta-feira ou os limbos do Pacífico e da importância deste texto para apresentarmos o personagem Robinson de Tournier como exemplo claro de duas perspectivas: a fenomenológica husserliana onde há todo o processo de constituição de doação de sentido à Ilha de Speranza via uma consciência originária, e a antifenomenológica deleuzeana a partir da dissolução da forma-eu como síntese unificadora do sentido e do estabelecimento da Ilha de Speranza como campo de imanência puro, absoluto e assubjetivo.
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Crignon, Cyril. "Le "dripping" de Jackson Pollock et le "zip" de Barnett Newman : les deux pôles de construction du lieu dans la peinture "à l'américaine" : pour une approche philosophique de la question." Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010521.

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Abstract:
Pour mieux cerner l'optique en laquelle la grande peinture américaine fut élaborée après la Seconde Guerre mondiale , cette étude élargit la focale par l'examen conjoint des œuvres de Barnett Newman et de Jackson Pollock. Sous des aspects contraires, les deux veulent en effet créer chez le spectateur un sens du lieu et lui rendre sensible la constitution de l'espace au lieu de lui en donner des représentations. Rouvrant le débat sur le modernisme entamé par Clément Greenberg, la thèse admet que cette peinture tient sa spécificité de ses réponses à la crise du tableau de chevalet diagnostiquée par le critique, et voit comme elle prend en compte la question de la place du spectateur étudiée par Michael Fried dans la continuité de celui-ci. Elle affirme cela dit la nécessité d'une approche philosophique de la construction picturale du lieu qui soulève des questions touchant à la spatialisation, au passage d'une forme « à priori » de la sensibilité à des formes sensibles, à la position puis à la réforme du sujet dans sa relation avec l'objet. La réflexion part ainsi du kantisme pour en dépasser les cadres stricts, naviguant entre l'idéalisme transcendantal et la phénoménologie. Elle croise les références à Fichte, Husserl et Lévinas avec celles de l'esthétique et de l'histoire de l'art, en prenant soin de les ancrer dans l'analyse d'oeuvres singulières. Elle espère ainsi mieux saisir la façon dont ces œuvres produisent du sens hors des voies de l'iconographie et déterminer les significations historiques qui s'y rattachent. Une définition plus large du modernisme est ici en jeu, ainsi qu'une conception de l'abstraction qui en affirme le socle anthropologique et la fonction cognitive.
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Sung, Shin-Young. "Espace réel, espace virtuel, espace transcendantal dans l'art contemporain : le cas de Robert Irwin." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040051.

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Abstract:
La notion d’espace prend un sens très fort et comme actif dans le travail artistique de Robert Irwin. Celui-ci instaure un nouveau mode d’être pour l’espace par son installation dite « site-conditioned/determined » tout en la nouant pourtant avec celui du site préexistant, qu’il soit intérieur ou extérieur. Le statut ontologique de son installation est celui d’un « non-objet », d’une extrême simplicité de forme et d’un minimum de matérialité : une bande noire ou une surface de voile semi-transparent, à la fois objet montré et sujet montrant, mettent en jeu lumière et ombre, attirant notre attention non seulement sur lui mais tout autour, intégrant l’espace où il s’intègre. L’installation est mise en œuvre de son environnement architectural ou naturel. L’installation est ainsi installa(tten)tion, c’est-à-dire installation qui installe l’attention. Ce que procure l’artiste au spectateur par son installation est la sensation pure de l’apparaître dynamique et changeant de l’espace du monde réel. Sensible d’abord à la dimension réelle de l’espace physique, nous découvrons peu à peu sa dimension virtuelle, puis transcendantale, au fur et à mesure que ce processus de sensation pure déclenché par l’aspect inhabituel de cet espace pourtant réel se déploie. Grâce au toucher direct et vivant d’un sentir aiguisé, et visuel et kinesthésique, éveillé par l’installation de Robert Irwin, devient quasi palpable notre conscience d’exister. Elle résonne alors à la réalité directe et immédiate du monde mais aussi aux virtualités de son apparaître et à ce qui les rend possibles : sa forme en soi, révélée et actualisée comme la véritable nature de l’espace réel<br>The notion of space has a strong and active meaning in Robert Irwin’s art work. He establishes a new way of appearance of space through his so-called “Site-conditioned/determined” installation by uniting the installation with the space of the existing site, whether indoors or out. The ontological status of his installation is that of a “none-object”: extremely simple in form and with a minimum of materials. He uses a black tape or a surface of semitransparent scrim. These objects are both “object shown” and “subject showing”. They play with light and shadow, catching our attention not only on themselves but also on their surroundings, including the space into which they fit. So the art piece is not only the installation itself but its circumstance with its whole architectural or natural environment. So the installation is installa(tten)tion, that is to say an installation that installs attention. Through the installation, the artist provides for the viewer a chance to have a pure sensation of the dynamic and changing appearance of space in the real world. At first sensitive to the real dimension of physical space, we discover little by little its virtual and then transcendental dimensions, as this process of pure sensation unfolds, triggered by the unusual aspect of the real space caused by the installation. A direct and living contact through a sharpened feeling, both visual and kinesthetic, with the space, awakened by the installation of Robert Irwin, makes our awareness of existing almost palpable. This awareness of existing resonates with the direct and immediate reality of the world as well as potentialities of the world’s appearance and what makes these potentialities possible: form in itself, revealed and actualized as the true nature of real space
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Leduc, Berryman Alexandre. "Le problème de l'histoire dans la Krisis de Husserl." Thesis, Université d'Ottawa / University of Ottawa, 2019. http://hdl.handle.net/10393/39967.

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Abstract:
La phénoménologie française contemporaine se caractérise par ce que nous nommons une paradoxale référence au fondateur de cette discipline, E. Husserl. Malgré la revendication de l’une de ses idées directrices, le plus fréquemment inspirée du « principe des principes », l’on juge le plus souvent qu’il faut se départir de son cadre idéaliste transcendantal et de ses réquisits, comme la théorie de la constitution et l’exigence de scientificité. Son ouvrage posthume, la Krisis, où figure sa tentative de rendre compte philosophiquement de l’histoire et de l’historicité, a été vu par de nombreux critiques, notamment P. Ricœur et J. Derrida, comme le lieu où la phénoménologie husserlienne et son idéalisme sont mis le plus clairement en échec. Ce mémoire se propose de montrer que l’interrogation idéaliste transcendantale du phénomène de l’histoire ne fait pas bon marché du principe des principes découvert par la phénoménologie, souvent revendiqué comme moyen pour rendre compte de la finitude de l’existence humaine. L’étude de trois aspects négligés de la phénoménologie proposée dans la Krisis permettra de soutenir cette thèse : (1) à côté de l’historicité positive du savoir qui présente son progrès constant à travers l’histoire, l’œuvre posthume de Husserl donne à voir ce que nous nommons une historicité tragique, marquée par les crises et la possibilité irréductible de la perte du sens au cours de sa transmission ; (2) l’idéalisme husserlien, loin d’être par principe indifférent à la question de l’histoire, permet de penser ce que les Méditations cartésiennes nomment une histoire de l’ego, et qui correspond à une histoire de la constitution de l’expérience de la conscience ; (3) enfin, le concept d’autoresponsabilité dans la philosophie husserlienne permet de montrer que cette dernière place en son cœur le constat indépassable de la finitude de la rationalité. En dernière analyse, la seule façon de soutenir un progrès constant du savoir et de surmonter l’historicité tragique réside dans « l’autoresponsabilisation » de l’ego philosophant, qui doit se rendre maître de l’exigence d’autoréflexivité qui lui est imposée par l’essence même de la rationalité philosophique.
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Lahbib, Olivier. "La fondation du savoir chez Fichte et Husserl." Poitiers, 2000. http://www.theses.fr/2000POIT5010.

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Abstract:
La question de la fondation du savoir chez Fichte et Husserl définit le dépassement du sujet transcendantal kantien et vise l'approfondissement de l'idéalisme transcendantal. L'enjeu de la comparaison consiste dans les deux chemins d'accés au fondement du savoir qui semblent s'opposer : le fondement semble principalement pré-réflexif chez Husserl et proprement l'objet d'une construction réflexive chez Fichte. La fondation ouvre d'abord une dimension phénoménologique. Il s'agit chez Fichte, comme chez Husserl de construire une phénoménologie (Prémière partie), qui dans sa méthode (deuxième partie) manifeste la puissance et la liberté de l'esprit humain à l'oeuvre dans la connaissance du sensible. Au delà des différences de méthode, la réduction et la construction, le débat se concentre sur le sens de la liberté originaire dans le phénomène, puisqu'au plus profond de l'acte de fondation, on assiste à une genèse de la liberté dans le sensible (troisième partie). La fondation ouvre aussi sur une dimension métaphysique. En ce sens, la phénoménalisation du fondement a pour contrepartie le refus de l'ontologie dogmatique (quatrième partie). Penser le fondement chez les deux auteurs consiste donc à penser la liberté comme fondement intérieur au savoir, il faut donc parler d'un savoir autonome, assurant par sa vie propre son autofondation (cinquième partie). L'idéalisme allemand dans cette mesure ne semble plus s'opposer d'une façon définitive à la phénoménologie husserlienne, mais au contraire montrer l'unité, dans la problématique de l'idéalisme, transcendantal entre le fondement pratique et le fondement théorique.
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Hardy, Jean-Sébastien. "Statut et légitimité du Moi pur dans la phénoménologie husserlienne." Thèse, 2008. http://hdl.handle.net/1866/7532.

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Setlakwe, Blouin Philippe. "La phénoménologie comme manière de vivre." Thesis, 2019. http://hdl.handle.net/1866/24643.

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Abstract:
Au cœur de la phénoménologie gît une thèse métaphysique selon laquelle le flux phénoménal du vécu (Erlebnisstrom) puise son sens et son être en lui-même, plutôt que d’une quelque réalité extérieure ou sous-jacente. En outre, cette thèse de l’autonomie existentielle du flux phénoménal, ou de l’équivalence de l’être et du paraître, ne s’atteste que moyennant une transformation complète de notre rapport au monde, où l’on s’efforce de se mettre à l’écoute des choses, et du mystère qui les enveloppe, plutôt que de les maîtriser. Pris ensemble, cette thèse métaphysique et cette attitude du laisser-être (Seinlassen) constituent les deux piliers de la phénoménologie comme manière de vivre dont la présente thèse se propose de tracer les grandes lignes. Pour ce faire, nous centrons nos recherches sur l’œuvre du fondateur de la phénoménologie, Edmund Husserl, que nous soumettons toutefois à une critique immanente; c’est Husserl qui à la fois dégage l’idée d’une phénoménologie comme manière de vivre et lui pose le plus sérieux obstacle. Cette tension au sein de la pensée husserlienne s’aperçoit à même les deux exigences qui la définissent : celle du « retour aux choses mêmes », d’une part, et celle de la description eidétique, de l’autre. À l’aide de différents interlocuteurs – qui nous permettent d’interroger Husserl rétrospectivement (Pyrrhon), contemporainement (James, Bergson) et prospectivement (Heidegger) –, nous montrons que ces deux exigences sont en fait incompatibles, et proposons afin de résoudre cette contradiction d’éliminer un de ses termes, soit l’exigence de description eidétique. Se fait alors jour la possibilité d’une phénoménologie qui assume pleinement sa vocation existentielle. Enfin, en parallèle à cette critique immanente de Husserl, et afin de l’étayer, nous développons une explication génétique de l’ἐποχή transcendantale, où celle-ci est caractérisée en tant que conversion de l’attitude naturelle à une forme de conscience postréflexive, c’est-à-dire mystique.<br>At the heart of phenomenology lies a metaphysical claim according to which the phenomenal stream of lived experience (Erlebnisstrom) derives its meaning and its being from itself, rather than from some external or underlying reality. Moreover, this claim of the existential autonomy of the phenomenal stream, or of the equivalence of being and appearing, can only be verified through a complete transformation of our relationship to the world, where we seek to become mindful of things, and of the mystery in which they are steeped, rather than seeking to master them. Taken together, this metaphysical claim and this attitude of letting-be (Seinlassen) constitute the two pillars of phenomenology as a way of life, which the present thesis proposes to describe in broad outline. To do so, we focus our research on the work of the founder of phenomenology, Edmund Husserl, which we submit however to an internal critique; it is Husserl who both allows us to contemplate the idea of phenomenology as a way of life and at the same time poses the greatest obstacle to it. This tension within Husserlian thought can be seen in the two imperatives that define it: that of the “return to the things themselves”, on the one hand, and that of eidetic description, on the other. With the help of various interlocutors – who allow us to interrogate Husserl retrospectively (Pyrrho), contemporaneously (James, Bergson) and prospectively (Heidegger) – we show that these two imperatives are in fact incompatible, and propose in order to lift this contradiction to eliminate one of its terms, namely the imperative of eidetic description. Thus a path is cleared for a phenomenology that fully commits itself to its existential vocation. Finally, in parallel to this internal critique of Husserl, and to better support it, we develop a genetic explanation of the transcendental ἐποχή, where it is characterized as a conversion from the natural attitude to a post-reflective, that is mystical, form of consciousness.
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Blouin, Philippe S. "La phénoménologie de l’attention chez Husserl et l’idée d’une phénoménologie thérapeutique." Thèse, 2013. http://hdl.handle.net/1866/10712.

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Abstract:
L’objectif principal du présent mémoire est de montrer que le geste philosophique central à la phénoménologie husserlienne – l’ἐποχή transcendantale – au-delà de son utilité méthodique, recèle en lui-même une valeur éthico-thérapeutique. C’est à la lumière d’une étude approfondie du thème de l’attention chez Husserl, et de ses connexions à la volonté, à l’ego et au langage, que nous serons en mesure de déceler la valeur éthique propre à l’ἐποχή, mais aussi à la philosophie husserlienne dans son ensemble. En effet, nous argumenterons que c’est la visée « humaniste » – en ligne avec l’idéal traditionnel allemand de la Bildung (l’édification culturelle et morale de l’humanité) – qui nous permet de mieux saisir le projet global de notre auteur, d’une part, et de nous distancier de la tendance techniciste des sciences modernes de l’esprit, d’autre part.<br>The main objective of the present essay is to show that the central philosophical gesture in Husserlian phenomenology – the transcendental ἐποχή – beyond its methodological usefulness, possesses an inherent ethico-therapeutic value. It is by way of an in-depth study of the theme of attention in Husserl, and of its connections to the will, the ego and to language, that we will uncover the ethical value specific to the ἐποχή, but also to Husserl’s philosophy as a whole. Indeed, we will argue that it is the “humanist” aim – in line with the traditional German ideal of Bildung (the moral and cultural edification of mankind) – that allows us to better grasp the global project of our author, on the one hand, and to distance ourselves from the technicist tendency of the modern sciences of the mind, on the other.
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Setlakwe, Blouin Philippe. "La phénoménologie de l’attention chez Husserl et l’idée d’une phénoménologie thérapeutique." Thèse, 2013. http://hdl.handle.net/1866/10712.

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Abstract:
L’objectif principal du présent mémoire est de montrer que le geste philosophique central à la phénoménologie husserlienne – l’ἐποχή transcendantale – au-delà de son utilité méthodique, recèle en lui-même une valeur éthico-thérapeutique. C’est à la lumière d’une étude approfondie du thème de l’attention chez Husserl, et de ses connexions à la volonté, à l’ego et au langage, que nous serons en mesure de déceler la valeur éthique propre à l’ἐποχή, mais aussi à la philosophie husserlienne dans son ensemble. En effet, nous argumenterons que c’est la visée « humaniste » – en ligne avec l’idéal traditionnel allemand de la Bildung (l’édification culturelle et morale de l’humanité) – qui nous permet de mieux saisir le projet global de notre auteur, d’une part, et de nous distancier de la tendance techniciste des sciences modernes de l’esprit, d’autre part.<br>The main objective of the present essay is to show that the central philosophical gesture in Husserlian phenomenology – the transcendental ἐποχή – beyond its methodological usefulness, possesses an inherent ethico-therapeutic value. It is by way of an in-depth study of the theme of attention in Husserl, and of its connections to the will, the ego and to language, that we will uncover the ethical value specific to the ἐποχή, but also to Husserl’s philosophy as a whole. Indeed, we will argue that it is the “humanist” aim – in line with the traditional German ideal of Bildung (the moral and cultural edification of mankind) – that allows us to better grasp the global project of our author, on the one hand, and to distance ourselves from the technicist tendency of the modern sciences of the mind, on the other.
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Auger, Louis-Philippe. "L'influence de la psychologie de la forme et de l'idéalisme transcendantal sur l'interprétation du noème perceptif par A. Gurwitsch." Mémoire, 2012. http://www.archipel.uqam.ca/5342/1/M12648.pdf.

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Abstract:
Ce projet de recherche entend présenter les enjeux entourant un débat relatif à l'interprétation du noème perceptif dans la phénoménologie husserlienne. Sans prétendre épuiser les tenants et aboutissants d'un tel débat, l'objectif poursuivi dans le contexte actuel consiste plutôt à exposer l'opposition qui se dessine entre deux courants qui ont marqué l'orientation des commentaires portant sur cette notion centrale de la théorie de l'intentionnalité phénoménologique. Cette opposition relève de la confrontation entre les interprétations de A. Gurwitsch et de D. Føllesdal. Tandis que le premier s'inspire de l'idéalisme transcendantal des Idées directrices, le second prend appui sur le réalisme exposé dans les Recherches logiques. Cette confrontation a donné lieu à de vives réactions et l'état actuel de la situation semble avoir donné raison à l'interprétation de Føllesdal. Néanmoins, certains commentateurs reconnaissent que quelques rapprochements sont possibles entre ces deux lectures, en dépit de leurs postulats fondamentaux qui restent irréconciliables. Parmi ces commentateurs ayant dicté en grande partie la direction des discussions subséquentes, il importe de mentionner H. Dreyfus et D. Woodruff Smith. Dans cette optique, ce projet de recherche aura pour tâche de présenter en un premier temps les principales thèses mises de l'avant par Gurwitsch et Føllesdal vers la fin des années 1960 afin de bien saisir la nature du rapport ambigu entre leurs postulats respectifs. Il sera ensuite question de la manière dont le débat s'est cristallisé à compter des années 1970 suite à la présentation qu'en font Dreyfus et W. Smith. Compte tenu de l'issue de cette confrontation, qui favorise maintenant la lecture défendue par Føllesdal, le dernier chapitre tâchera de repositionner la lecture de Gurwitsch dans son contexte d'origine afin de saisir à la fois les sources de son interprétation et les raisons suivant lesquelles cette lecture possède encore aujourd'hui une certaine valeur heuristique pour l'interprétation de ce concept central de la phénoménologie husserlienne qu'est le noème et, plus précisément, le noème perceptif. ______________________________________________________________________________
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Vachon, David. "Processus de typification au sein de la Lebenswelt, constitution originaire de l'alter ego et sphère anté-prédicative chez Alfred Schütz : les limites de la socio-phénoménologie empirique et la possibilité de son dépassement transcendantal." Mémoire, 2013. http://www.archipel.uqam.ca/5458/1/M12879.pdf.

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Abstract:
Le but de la recherche est d'abord de présenter un aperçu de la théorisation d'Alfred Schütz concernant la science du social. Ce regard s'effectue selon trois angles principaux : la conscience subjective, l'intersubjectivité et les structures du monde de la vie. La démarche tente en premier lieu de cerner les aspects centraux chez Schütz concernant ces trois thématiques générales. Ensuite, la recherche présente certaines influences majeures de l'auteur en rapport avec les concepts développés. Ces influences théoriques consistent entre autres dans le pragmatisme de James, le vitalisme de Bergson, la psychologie de la forme et, surtout, la phénoménologie husserlienne. Pour ce qui est de Husserl, au-delà de l'importance qu'il a eue sur l'œuvre entière de Schütz, il est primordial de présenter en quoi Schütz rompt avec la méthode transcendantale du père de la phénoménologie et quelles sont les raisons qui le poussent à demeurer au niveau proprement empirique pour théoriser le social. Le premier chapitre traite de la conscience subjective. Il sera donc question principalement des processus de typification, du concept d'action sociale, du contexte motivationnel, de la structure temporelle de la conscience, de la réduction phénoménologique et du principe d'aperception. Nous terminerons le chapitre en présentant une limite de l'approche de l'auteur qui semble trop mettre d'emphase sur la sédimentation sociale, en oblitérant la capacité du sujet à « échapper » au déterminisme biographique. Le second chapitre aborde le sujet de l'intersubjectivité. Après avoir présenté les conditions de possibilité de l'interaction sociale chez Schütz, et avoir établi la distinction que l'auteur effectue entre l'interaction indirecte (typique) et la relation du face-à-face, nous démontrerons que la théorisation schützienne permet de fonder une sociologie compréhensive de manière épistémologiquement juste. Cette démonstration se fera à partir d'auteurs inspirés par la démarche de Schütz ou proche de celle-ci (Berger, Luckmann, Turner, Mead, etc.) Par la suite, nous nous concentrerons sur le problème particulier de la constitution originaire de l'alter ego, où l'auteur semble aborder le problème de manière simplement liminaire. Un retour à Husserl à partir de son concept d'empathie sera entrepris. Nous complèterons ensuite avec quelques existentialistes (Sartre, Merleau-Ponty, Scheler, etc.), considérant que Schütz s'en remet à l'apriorisme pour expliquer la constitution du phénomène de l'intersubjectivité, sans toutefois développer quant aux implications que cette approche contient (principalement la « nature » de la subjectivité minimale) – ce que les existentialistes abordent plus spécifiquement. Nous terminons en traitant du monde social en général et des structures du monde de la vie en particulier. Les thématiques abordées seront principalement les concepts schütziens de provinces finies de signification, de systèmes de pertinence et de réalité souveraine. Nous retrouverons par la suite le concept-clef de Bergson d'attention à la vie. Ce dernier principe mènera ensuite à une critique importante de Cox, qui considère que c'est justement par l'entremise de cet apport théorique du philosophe français que Schütz a développé une socio-phénoménologie empreinte d'un réalisme ontologique. Nous terminerons en retournant à Husserl au sujet de la sphère anté-prédicative, pour finalement conclure en ouvrant sur la possibilité de traiter de certaines problématiques transcendantales à travers une sociologie d'inspiration phénoménologique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Alfred Schütz, conscience, typification, action sociale, intersubjectivité, phénoménologie, transcendantal.
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