To see the other types of publications on this topic, follow the link: Philosophie du cinéma et études cinématographiques.

Journal articles on the topic 'Philosophie du cinéma et études cinématographiques'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 16 journal articles for your research on the topic 'Philosophie du cinéma et études cinématographiques.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Bobant, Charles. "Compte Rendu de Anna Caterina Dalmasso, Le Corps, c’est l’écran. La philosophie du visuel de Merleau-Ponty." Chiasmi International 21 (2019): 379–88. http://dx.doi.org/10.5840/chiasmi20192134.

Full text
Abstract:
Dans son livre Le corps, c’est l’écran. La philosophie du visuel de Merleau-Ponty, Anna Caterina Dalmasso met en évidence la présence de la pensée merleau-pontienne dans les réflexions contemporaines relevant des visual studies, de la médiologie et des études cinématographiques. Les analyses menées révèlent un Merleau-Ponty à l’origine d’un certain nombre de « tournants » majeurs dans le questionnement, touchant notamment à la conception de l’image (de l’image copie d’un modèle à l’image qui nous regarde) et du médium (du modèle de la transparence à celui de l’opacité). Enfin, l’une des ambitions – et l’une des réussites – de l’ouvrage est de restituer l’apport significatif de Merleau-Ponty pour les film studies. A.C. Dalmasso jette des lumières nouvelles sur une interrogation en constante évolution, en s’appuyant à la fois sur les textes bien connus (« Le cinéma et la nouvelle psychologie », L’OEil et l’esprit) et les « inédits » (Le Monde sensible et le monde de l’expression).In her book Le corps, c’est l’écran. La philosophie du visuel de Merleau-Ponty, Anna Caterina Dalmasso brings to light the presence of Merleau-pontian thought in contemporary reflections relevant to visual studies, as well as film and media studies. The analyses she carried out reveal a Merleau-Ponty at the origin of a certain number of major “turns” in the inquiry, touching notably on the conception of the image (from the image as copy of a model to the image that looks at us) and of the medium (from the model of transparency to that of opacity). Besides, one of the ambitions – and one of the successes – of the work is to demonstrate the significant contribution of Merleau-Ponty for film studies. A.C. Dalmasso throws new light on an interrogation in constant evolution, stressing both well-known texts (“Film and the New Psychology,” Eye and Mind) and unpublished manuscripts (Le monde sensible et le monde de l’expression).Nel volume Le corps, c’est l’écran. La philosophie du visuel de Merleau-Ponty, Anna Caterina Dalmasso mette in evidenza la presenza del pensiero merleau-pontyano nelle riflessioni contemporanee dei visual studies, della teoria del cinema e dei media. Le analisi che vi sono condotte rivelano un Merleau-Ponty all’origine di alcune importanti “svolte”, che riguardano in particolare la concezione dell’immagine (dall’immagine come copia di un modello ad un’immagine che ci guarda) e del medium (da un modello basato sulla trasparenza a uno che fa perno sulla sua opacità). Inoltre, una delle ambizioni – e uno degli aspetti più originali – dell’opera è quella di restituire il significativo apporto di Merleau-Ponty per l’ambito dei film studies. A.C. Dalmasso fa luce in modo innovativo su un tema di ricerca in costante evoluzione, appoggiandosi ad un tempo su scritti più noti (come “Il cinema e la nuova psicologia” e L’occhio e lo spirito) e su alcuni testi “inediti” (in particolare Le monde sensible et le monde de l’expression).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Coura Guimarães, Gustavo. "L’intertexte entre le réel et l’imaginaire dans le cinéma de Wim Wenders." Fotocinema. Revista científica de cine y fotografía, no. 6 (March 17, 2013): 43–53. http://dx.doi.org/10.24310/fotocinema.2013.v0i6.5908.

Full text
Abstract:
Cet article interroge la façon dont le cinéma représente à l’écran la frontière qui existe entre le monde imaginaire des personnages et celui qu’on appelle « monde réel ». Afin de vérifier la figuration à l’écran de cette relation parfois contradictoire, voir complémentaire, on fera une brève étude du film l’Etat des Choses (1982), de Wim Wenders. Le cinéaste est né en Allemagne, en 1945. Initialement, Wenders a étudié médicine et philosophie pendant deux ans, mais, en 1967, il a changé d’avis afin de poursuivre ses études dans l’audiovisuel. A partir de là, le réalisateur s’est fait connaître comme un des représentants les plus célèbres du « nouveau cinéma allemand ». En 1978, il a été invité par Francis Ford Coppola pour participer au tournage du film Hammett. Ainsi, son cinéma a été toujours marqué par cette intersection culturelle entre l’Amérique et l’Europe. Notre objectif, dans cet article, est celui de mette en évidence les croisements du cinéma avec l’art, la relation des sujets avec l’espace, ainsi que les influences d’un sur l’autre dans les représentations cinématographiques. Notre référentiel théorique sera fondé, surtout, sur les notions de « fiction » et de « documentaire » chez François Niney. Nous espérons, à partir de cette réflexion, pouvoir comprendre plus en profondeur la façon dont Wenders travaille dans son film la métaphorisation de la lumière dans les mises en scènes, en proposant, en quelque sorte, un dialogue entre les concepts de « clarté » et d’« ombre », en ayant comme arrière-plan l’idée de fiction. Mots-clés: Fiction ; Personnages ; Réalité ; Représentation ; Wim Wenders ; L’État des Choses.This article shows the way that the cinema represents on the screen the boundaries between the imaginary world of the characters and the one that we used to call “real world”. In order to verify the representation on the screen of this contradictory relationship, sometimes complementary, we will do a brief study of the movie The State of Things (1982), of Wim Wenders. Our intention is to put in evidence the crossings of the cinema with the art, the people and the space, and their mutual influences as well. Our theoretical references will be mainly based on François Niney’s notion of “fiction” and “documentary”. We hope, from this reflection, to be able to understand more deeply the way that Wenders works in this movie the metaphors of light on the character’s “mise en scène”, proposing, somehow, a dialogue between the concepts of “clarity” and “shadow”, having as background the idea of fiction. Keywords: Fiction; Characters; Reality; Representation; Wim Wenders; L’État des Choses.Este articulo investiga la manera quel cine representa en la grand pantalla la frontera que existe entre el mundo imaginario de los personages y este que nosotros llamamos “el mundo real”. Afin de verificar la figuratión de esta relación a veces contradictoria, a veces complementaria, nosotros haremos un breve estudio de la pelicula “El Estado de las Cosas” (1982), de Wim Wenders. El cineasta nació en Alemania en 1945. Inicialmente, Wenders estudió medicina y filosofía durante dos años, pero en 1967 cambió de opinión para continuar sus estudios en audiovisual. A partir de ahí, el director se hizo conocido como uno de los representantes más famosos del "Nuevo Cine Alemán". En 1978, fue invitado por Francis Ford Coppola para participar en el rodaje de Hammett. De esta manera, su cine siempre ha estado marcado por esta intersección cultural entre América y Europa. Nuestro objetivo, en este estudio, es de poner en evidencia les intersecciones del cine con el arte, los sujetos y el espacio, asi que las influencias del uno sobre el otro en las representationes cinematográficas. Nuestro marco teórico se basa sobre todo en los conceptos de “ficción” y “documental” de François Niney. Esperamos que, a partir de esta reflexión, podamos comprender más profundamente cómo Wenders trabaja, en su película, la metáfora de la luz en la “mise en scène” des personajes, proponiendo, en cierto sentido, un diálogo entre los conceptos de “claridad” y de “sombra”, tomando como telón de fondo la idea de ficción. Palabras clabe: Ficción; Personajes; Realidad; Representación; Wim Wenders; El estado de las cosas.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Maule, Rosanna. "Une histoire sans noms : les femmes et le concept d’auteur dans le cinéma des premiers temps." Cinémas 16, no. 1 (June 12, 2006): 35–58. http://dx.doi.org/10.7202/013050ar.

Full text
Abstract:
Résumé Depuis longtemps au coeur des études cinématographiques, le concept d’auteur reste encore largement inexploré dans les études portant sur le cinéma des débuts. Ce décalage s’explique par le fait que, dans le cinéma des premiers temps, le rapport établi entre sujet et pratique filmique était différent, parce qu’étranger aux stratégies d’énonciation et de réception qu’on trouvera plus tard dans le cinéma « institutionnel ». La plupart des travaux publiés sur ce sujet analysent des figures auctoriales empruntées aux arts « majeurs ». Cependant, le cinéma des premiers temps invite à situer l’auteur dans des contextes culturels différents, et ce projet est primordial pour les féministes étudiant le rôle des femmes dans le cinéma des premiers temps.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Cowen, Paul S. "L’importance des processus cognitifs et de la recherche empirique en études cinématographiques." Cinémas 12, no. 2 (October 31, 2007): 39–59. http://dx.doi.org/10.7202/024879ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉDans la mesure où toute théorie du cinéma compose, implicitement ou explicitement, avec le rôle du spectateur, l'auteur avance qu'il faut postuler l'activité de processus psychologiques - conscients ou inconscients - qui se révèlent finalement d'ordre cognitif. Il fait notamment valoir que ceux qui critiquent la théorie cognitive du cinéma semblent parfois ne pas comprendre ou ne pas connaître les courants qui caractérisent actuellement la psychologie cognitive et la cognition sociale. Présentant un éventail de recherches expérimentales récentes, dont plusieurs sont menées au laboratoire qu'il dirige, l'auteur montre comment l'empirisme permet d'expliciter plusieurs notions introduites en études cinématographiques par Bordwell. Mais surtout, les données qu'il présente font la preuve que la recherche empirique peut contribuer pour beaucoup au développement de la théorie du cinéma.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Panéro, Alain. "Deleuze avec Bergson : deux modélisations cinématographiques de la fabrique du réel." Varia 45, no. 1 (June 14, 2018): 143–57. http://dx.doi.org/10.7202/1048618ar.

Full text
Abstract:
Dans Cinéma I, et II, Deleuze propose un commentaire étonnant du premier chapitre de Matière et mémoire. Il perçoit chez Bergson une théorie innovante du dynamisme intrinsèque des images qui pourrait fonder non seulement une philosophie du cinéma, mais encore une ontologie inédite. Tout se passe comme si Deleuze, dans le sillage de Bergson, voyait dans le 7e art non pas tant l’occasion d’une réflexion esthétique que l’occasion d’une pensée renouvelée de l’immanence. Nous tentons ici de rendre compte de la portée et des limites de cette interprétation deleuzienne.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Pérusse, Denise. "Le spectacle du « manque féminin » au cinéma : un leurre qui en cache un autre." Cinémas 8, no. 1-2 (October 26, 2007): 67–91. http://dx.doi.org/10.7202/024743ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ À partir d'une anthologie de textes féministes fondateurs en études cinématographiques, l'auteure fait ressortir tout un paradigme de négativités autour de l'image de la femme dans le cinéma classique et de l'identité de la spectatrice. Elle montre aussi comment une théoricienne comme Kaja Silverman ouvre une brèche dans les théories du genre en montrant comment les femmes dans le cinéma classique sont contraintes d'exhiber le manque afin d'absorber les pertes qui affectent le sujet masculin.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Mouëllic, Gilles. "Improvisation et son direct. Entre théories du son et mutations technologiques." Cinémas 24, no. 1 (February 26, 2014): 83–102. http://dx.doi.org/10.7202/1023111ar.

Full text
Abstract:
Plusieurs études ont montré comment la postsynchronisation a permis à des cinéastes majeurs (parmi lesquels Eisenstein, Godard et Welles) de renouveler les formes cinématographiques à partir de rencontres inédites entre images et sons, le montage s’apparentant alors à une pratique de composition. A priori, cette pratique s’oppose à celle des cinéastes du « direct » qui, utilisant ou devançant les évolutions techniques liées à l’enregistrement, fondent une partie de leur esthétique sur la captation du son direct. Cependant, il apparaît ici que ces cinéastes, dont certains s’inspirent de la pratique musicale du jazz, renouvellent à leur tour les formes cinématographiques selon d’autres modes de mise en relation des sons et des images reposant notamment sur l’improvisation. Partant d’une brève étude des textes fondateurs de cette « esthétique du direct », plusieurs analyses permettent de mettre au jour différents dispositifs qui trouvent leur origine à la télévision mais que le cinéma s’est appropriés pour développer une poétique du direct inspirée du jazz.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Molina Barea, María del Carmen. "The Cinematographic Refrain: Memory and Repetition in the Films of Hong Sang-soo and Apichatpong Weerasethakul." Canadian Journal of Film Studies 30, no. 2 (September 1, 2021): 1–21. http://dx.doi.org/10.3138/cjfs-2018-0024.

Full text
Abstract:
Le présent article analyse les liens théoriques entre Henri Bergson et Gilles Deleuze dans le but d’examiner la mémoire et la répétition dans Un jour avec, un jour sans (Hong Sang-soo, 2015) et Syndromes and a Century (Apichatpong Weerasethakul, 2006). Ce travail examine en particulier la façon dont ces deux films articulent une structure double qui épouse une répétition systématique d’images, créant ainsi un sentiment prononcé de déjà-vu. L’analyse de ce phénomène s’appuie sur le schéma bergsonien du souvenir et de l’actualisation du passé. Cet article entend mettre en lumière l’expérience du temps dans les images cinématographiques selon Deleuze, en particulier en ce qui concerne les notions de cristal-image et de refrain. Ce type d’analyse vise également à souligner l’importance pérenne de la philosophie et du cinéma deleuziens dans le cinéma non européen, ainsi qu’à contribuer à l’établissement d’un lien entre le binôme cinéma-philosophie et le bouddhisme. Toutefois, l’objectif final de l’article est d’étudier la façon dont les deux films fournissent une compréhension fondamentale de la constitution du temps par le biais de la répétition.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Albera, François. "Pierre Francastel, le cinéma et la filmologie." Acteurs : Sadoul, Francastel et Kracauer 19, no. 2-3 (June 29, 2009): 287–316. http://dx.doi.org/10.7202/037557ar.

Full text
Abstract:
Résumé L’historien de l’art Pierre Francastel, penseur d’une sociologie de l’art et du rapport de l’art et de la technique, s’est révélé, en France, le plus prêt, parmi les chercheurs de sa discipline, à s’intéresser au cinéma. Il s’investit simultanément au sein de la Fédération internationale du film sur l’art et de l’Institut de filmologie, auquel il collabore de 1948 à 1958. Dans ses conférences puis ses cours à l’École pratique des hautes études, il élabore une théorie de l’image filmique où sont distingués des niveaux allant du matériel au mental et où il propose une approche originale du mouvement au cinéma éclairée par la doctrine du « contraste simultané » de Robert Delaunay. L’article qui suit présente ces théories sur la base des manuscrits des cours de Francastel restés en grande partie inédits et s’interroge sur la place que celui-ci occupa au sein de la mouvance filmologique, notamment par rapport à la dominante psychologique dans les travaux de l’Institut, avec lesquels il entre parfois en contradiction. Nous y examinons ensuite les rapports entre l’approche des phénomènes cinématographiques et filmiques et l’élaboration de la sociologie de l’art à laquelle se voue Francastel, fondée sur la reconnaissance d’une « pensée plastique » où l’image acquiert une égale dignité avec le verbe.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Prince, Éric. "Medium, figure : deux mots pour une conversation sur l’adaptation." Études littéraires 45, no. 3 (July 22, 2015): 101–33. http://dx.doi.org/10.7202/1032447ar.

Full text
Abstract:
L’adaptation du théâtre au cinéma, tout comme celle qui opère entre n’importe quelsmedia, a souvent été étudiée sous l’angle de la matérialité propre à chaque moyen d’expression, à la lumière des limitations qu’implique cette dernière. Or, cet article emprunte une voie différente et propose une conception figurale dumediuminspirée du pragmatisme peircéen. Comment, aujourd’hui, poser la question « qu’est-ce que le cinéma ? ». Dans ce texte, nous aborderons d’abord les difficultés que soulève une telle interrogation, après quoi nous élaborerons une définition dumedium. Puis, nous exemplifierons sa contribution à l’épistémologie des études cinématographiques en nous penchant sur la comédie romantique américaine, genre des plus significatifs pour l’histoire du cinéma, qui continue la tradition théâtrale tout en rompant avec elle. Nous conclurons par un examen deNô, un film de Robert Lepage, adapté d’une pièce du même auteur.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Miville, Serge. "Le cinéma identitaire franco-ontarien : un cas de figure de la fatigue culturelle." Voix Plurielles 10, no. 1 (May 6, 2013): 2–18. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v10i1.787.

Full text
Abstract:
Les études sur le cinéma franco-ontarien sont peu nombreuses ; outre les articles parus dans la revue Liaison et au tour d’horizon de la cinématographie francophone hors Québec que propose Jean-Claude Jaubert dans le collectif Toutes les photos finissent-elles par se ressembler ? (1999), les chercheurs se sont peu intéressés à ce chantier. En effet, un seul texte savant est paru sous la plume de Lucie Hotte, qui propose une lecture comparée du recueil Le Dernier des Franco-Ontariens de Pierre Albert et du film éponyme de Jean Marc Larivière et Marie Cadieux. Pourtant, le cinéma professionnel existe en Ontario français depuis plus de quarante ans. Les productions cinématographiques sont variées et relativement nombreuses. Afin de pallier l’absence d’analyse savante, ce texte analyse quatre œuvres documentaires du septième art traitant de la problématique identitaire franco-ontarienne, soit une par décennie depuis les années soixante-dix. Les films retenus sont J’ai besoin d’un nom de Paul Lapointe (1978), Deux voix, comme en écho de Claudette Jaiko (1987), Le Dernier des Franco-Ontariens de Jean Marc Larivière (1996) et Pis nous autres dans tout ça ? d’Andréanne Germain (2007).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Boukala, Mouloud. "Boire et écrire chez Deleuze, Duras, Bukowski et Chinaski : entre création et transgression." Drogues, santé et société 11, no. 1 (February 7, 2013): 29–47. http://dx.doi.org/10.7202/1013886ar.

Full text
Abstract:
Cet article interroge les liens entre l’acte de boire et celui d’écrire en philosophie (Gilles Deleuze), en littérature (Marguerite Duras et Charles Bukowski) et au cinéma (Barbet Schroeder). Son but est double : d’une part, montrer si la prise d’alcool met en oeuvre, catalyse ou favorise d’une quelconque manière l’acte de création et, d’autre part, examiner comment l’alcool, porté à l’écran, traduit à la fois un état du corps et un aspect d’une identité sociale – acceptée ou marginalisée – selon les contextes géographiques (France et États-Unis). La démarche adoptée, résolument comparative, s’inscrit dans le cadre d’une anthropologie des médias. Cette dernière vise la description puis l’analyse de processus situés à l’intersection du ressenti (perçu, vécu) et du représenté. Cet article examine aussi bien les activités (créatrices et prises compulsives d’alcool) que leurs représentations lors d’une entrevue filmée (L’abécédaire de Gilles Deleuze, 1996), de deux émissions de télévision (Apostrophes, 1984 et 1988) et d’une adaptation cinématographique (Barfly, 1987). Pour chaque auteur abordé, une réflexion autour de la dipsomanie est menée. Elle privilégie les activités créatrices par l’écriture en lien avec la prise d’alcool. Dans un premier temps, l’acte de boire est scruté avec minutie afin d’en dégager certaines spécificités (la quantité, l’évaluation, le sacrifice, l’illusion de la création, la résistance), puis l’étude de ces conduites addictives donne à comprendre comment elles affectent l’ensemble des relations sociales de ces auteurs. Pour chaque corpus étudié, des éléments saillants et des enjeux anthropologiques qui ressortent de ces pratiques éthyliques et créatrices sont mis en lumière en vue d’une analyse comparative.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Carbone, Mauro. "La surface obscure." Chiasmi International 21 (2019): 103–15. http://dx.doi.org/10.5840/chiasmi20192114.

Full text
Abstract:
Tout le trajet de la pensée de Merleau-Ponty est traversé – en certains cas de manière plus évidente que d’autres – par ce que je propose de définir comme une idée de la littérature et de la philosophie en tant que dispositifs de vision, pour utiliser une expression qui est née – et ce n’est pas un hasard – dans le domaine des études cinématographiques. Plus précisément, je voudrais montrer que Merleau-Ponty voit la littérature et la philosophie de son époque opérer comme des dispositifs de vision convergents, vision qui est à considérer, à son tour, comme une pratique corporelle et pas seulement oculaire. Cela dit, il faut souligner que de tels dispositifs visuels convergents ont la particularité de fonctionner avec les mots, et que Merleau-Ponty met l’accent sur leur différente efficacité à exprimer son époque. De plus, je pense que l’idée implicite de la philosophie en tant que dispositif de vision opérant par des mots « comme toute la littérature » a une place importante, mais pour l’instant pas assez développée, dans la dernière période de la pensée de Merleau-Ponty. En outre, je voudrais souligner qu’une telle perspective est cruciale aussi pour notre époque, bien que je crois qu’elle soit différente de celle de Merleau-Ponty. En effet, je pense que notre époque et celle de Merleau-Ponty sont toutes deux caractérisées par une tension entre l’importance croissante des images et la centralité traditionnelle du concept dans notre culture.The whole path of Merleau-Ponty’s thought is crossed – some times more evidently than others – by what I propose to qualify as the idea of literature and philosophy as visual apparatuses (dispositifs), to use an expression that was born – and not by chance – in the field of Film Studies. More precisely, I aim at asserting that Merleau-Ponty sees literature and philosophy working in his epoch as convergent apparatuses of vision, in turn understood as a bodily and not merely ocular practice. Immediately after that, I should specify that such convergent visual apparatuses peculiarly function by words, and that Merleau-Ponty stresses their different efficiency in expressing his epoch.Moreover, I think that the implicit idea of philosophy as a visual apparatus working by words “like all literature” has a particularly relevant but so far not consequently developed place in in the last period of Merleau-Ponty’s thought. Also, I would like to stress that such a perspective is crucial in our own time too, even though I consider it to be different from Merleau-Ponty’s. Indeed, I think that both our time and Merleau-Ponty’s are characterized by a tension between the increasing importance of images and the traditional centrality of the concept in our culture.L’intero percorso del pensiero di Merleau-Ponty è attraversato, in certi casi in modo più evidente, da quella che propongo di definire come un’idea di letteratura e di filosofia come dispositivi di visione, per usare un’espressione nata, non a caso, nell’ambito dei Film Studies. Più precisamente, vorrei mostrare come Merleau-Ponty concepisca la letteratura e la filosofia della sua epoca come dispositivi di visione convergenti, intesi come una pratica corporea e non già meramente ottica. Specificherò, poi, che tali dispositivi di visione convergenti operano attraverso la parola e che Merleau-Ponty sottolinea la loro diversa efficacia nell’esprimere la sua epoca. Ritengo inoltre che l’idea implicita di filosofia come dispositivo di visione che agisce tramite la parola, “come tutta la letteratura”, occupi un posto particolarmente decisivo, anche se non del tutto esplicitato, nell’ultimo periodo del pensiero di Merleau-Ponty. Vorrei poi mostrare come tale prospettiva si riveli cruciale anche nel nostro tempo, per quanto diverso rispetto a quello di Merleau-Ponty. Infatti, penso che tanto la nostra epoca quanto quella di Merleau-Ponty siano caratterizzate da una tensione tra l’importanza sempre crescente delle immagini e la tradizionale centralità riservata al concetto nella nostra cultura.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Lefebvre, Martin. "Théorie, mon beau souci 1." 17, no. 2-3 (November 16, 2007): 143–92. http://dx.doi.org/10.7202/016754ar.

Full text
Abstract:
Résumé L’interprétation des films a fait l’objet de plusieurs critiques ces dernières années de la part du mouvement cognitiviste en études cinématographiques. Selon d’aucuns, les énoncés interprétatifs seraient dépourvus de sens. Cet article cherche à démontrer le contraire en faisant appel à la philosophie pragmatique et sémiotique de Charles S. Peirce. L’argumentaire se divise en deux parties. La première porte sur le pragmatisme de Peirce et explique pourquoi toute théorie est inférentielle et interprétative. L’auteur distingue entre les méthodes pragmatique et scientifique, puis étudie le rôle que joue l’habitude pour pallier le dualisme qui oppose l’esprit et la matière. Enfin, il est question du réalisme et de la doctrine peircéenne du sens commun critique. La seconde partie de l’article examine certaines idées qui ont récemment dominé les débats sur l’interprétation en études cinématographiques et littéraires. Plus particulièrement, l’auteur s’interroge sur la critique de l’interprétation élaborée par David Bordwell et la façon dont elle se fonde sur des principes à la fois sceptiques et nominalistes empruntés au théoricien de la littérature Stanley Fish. Il montre comment la distinction bordwellienne entre compréhension et interprétation repose sur le rôle que joue, au cinéma, la perception sensorielle, puis critique cette distinction en faisant appel à l’empirisme peircéen, dont l’une des particularités est de ne pas se réduire au sensualisme. Pour Peirce, en effet, la perception se déploie de façon continue entre le monde extérieur et le monde intérieur. Suit un bref commentaire sur les travaux d’Umberto Eco quant à la distinction entre interprétation et surinterprétation qui conduit l’auteur à considérer le rôle du vague dans l’entreprise interprétative ainsi qu’à traiter des problèmes que soulèvent la visée et la pertinence des interprétations lorsque celles-ci sont définies à partir de tout ce qui s’impose à notre esprit au contact direct — ou même indirect — d’un film. Enfin, l’auteur conclut que l’interprétation d’un film relève d’un processus de croissance rationnel des signes — y compris des signes esthétiques.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Cardinal, Serge. "Le dernier des discrets." 19, no. 1 (March 18, 2009): 109–26. http://dx.doi.org/10.7202/029501ar.

Full text
Abstract:
Résumé Cofondateur de la revue Cinémas, Michel Larouche a enseigné au Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l’Université de Montréal jusqu’en 2005. Ses travaux nous ont fait découvrir des cinémas méconnus (le cinéma expérimental ou d’Afrique), des cinémas ignorés (celui de Jodorowsky ou le cinéma indépendant québécois), des cinémas hybrides (ceux qui s’approprient la photographie, les nouvelles technologies ou la littérature). Mais quelle méthode, quels problèmes et quels concepts Michel Larouche nous laisse-t-il en héritage ? Surtout, quelle éthique de la pensée a-t-il discrètement laissée aux études cinématographiques ?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Delavaud, Gilles. "Penser la télévision avec le cinéma." 17, no. 2-3 (November 16, 2007): 73–95. http://dx.doi.org/10.7202/016751ar.

Full text
Abstract:
RésuméEst-il légitime de parler de la télévision en utilisant le vocabulaire critique ou théorique du cinéma ? Quelle est la pertinence et l’utilité, pour décrire et analyser les réalisations télévisuelles, de notions comme celles de « plan », « continuité », « découpage » ou « montage » ? Et si l’on importe de telles notions dans le champ des études télévisuelles, n’y prennent-elles pas nécessairement un sens inédit ? Ces interrogations peuvent être éclairées par le témoignage des observateurs de la télévision naissante ainsi que par celui des premiers réalisateurs. Les uns et les autres se sont en effet attachés à explorer méthodiquement les potentialités expressives du nouveau média qu’ils découvraient. Leur souci commun que les réalisations télévisuelles s’émancipent du modèle du film les a notamment amenés à reconsidérer la relation entre continu et discontinu, à repenser la fonction du découpage, à expérimenter de nouvelles formes de réglage entre le son et l’image, à redéfinir la notion de montage. La réflexion autour de ces différentes questions a été, pendant la première décennie de la télévision, en grande partie déterminée par les impératifs de la transmission en direct. Il est toutefois remarquable que nombre de problèmes soulevés et de solutions proposées ont conservé leur validité au cours des décennies suivantes, alors que la pratique de l’enregistrement des émissions et de la diffusion en différé était devenue dominante. À quoi il faut ajouter le fait que, dès le milieu des années 1950, plusieurs critiques de cinéma ont éprouvé le besoin de faire référence à la notion de direct… pour parler du cinéma et rendre compte de formes cinématographiques nouvelles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography