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Dissertations / Theses on the topic 'Philosophie médiévale'

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Roudaut, Sylvain. "Forma dat esse : les mutations de la forme au Moyen Age (ca. 1250-1350)." Thesis, Rennes 1, 2017. http://www.theses.fr/2017REN1S158.

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Abstract:
Ce travail porte sur les évolutions du concept de forme au Moyen Age, plus précisément entre le XIIIème et le XIVème siècle. Il retrace ces évolutions à travers l'étude de problématiques intriquées qui dominent la métaphysique et la philosophie naturelle du Moyen Age tardif: le problème de l'universel, la controverse de la pluralité des formes, la question de l'intensio formarum, le rapport du fluxus formae au mouvement
This work deals with the evolution of the concept of form during the late Middle Ages (ca. 1250-1350). It tells the story of this evolution through the study of intricated problems typical of late medieval metaphysics and natural philosophy: the problem of universals, the controversy about the plurality of forms, the intensio formarum debates, the problem of fluxus formae related to motion
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Robert, Aurélien. "Penser la substance : étude d'une question médiévale, XIIIe-XIVe siècles." Nantes, 2005. http://www.theses.fr/2005NANT3012.

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Abstract:
La question générale qui sous-tend ce travail est la suivante : peut-on penser ce que l'on ne connaît pas empiriquement ? Peut-on même former un discours signifiant sur ces objets inconnus ? Le cas étudié est singulier (la substance), ainsi que l'époque choisie (la fin du Moyen Âge). L'étude se fonde sur une série de questions disputées (quaestiones disputatae), pour la plupart inédites (des questions indépendantes ou tirées de commentaires sur le De anima d'Aristote et sur la Métaphysique d'Aristote). Il s'agit de reconstruire une dispute qui a animé le milieu universitaire parisien aux XIIIe et XIVe siècles et qui sera reprise et synthétisée à Oxford au XIVe siècle. Cette querelle oppose des membres de la Faclté des arts de Paris à certains théologiens franciscains. Nous avons voulu montrer que ces artistae, défenseurs d'Aristote, soutenaient que la substance est connaissable naturellement, ce qui permet de fonder la science aristotélicienne et que, à l'opposé, certains théologiens franciscains refusaient cette possibilité d'une connaissance empirique de la substance pour des raisons théologiques. La notion de substance est ainsi reléguée au rang d'hypothèse ou de simple construction de la raison. Enfin, il nous est apparu que la théorie du signe, développée principalement au XIVe siècle par Guillaume d'Ockham, permettait de sortir des impasses mises en place progressivement à la fin du XIIIe siècle. Notre démarche est donc historique, il s'agit de voir comment naît une dispute philosophique à la fin du Moyen Âge et d'en examiner l'évolution.
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Lemler, David. "Création du monde et arts d’écrire dans la philosophie juive médiévale (Xe-XVe siècles)." Thesis, Paris, EPHE, 2015. http://www.theses.fr/2015EPHE4058.

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Abstract:
Les philosophes juifs du Moyen Âge emploient des stratégies d’écriture ésotériques pour traiter certains problèmes d’importance capitale. L’opposition de la « thèse religieuse » de la création du monde et de la « thèse philosophique » de son éternité en est l’exemple type. Ces « arts d’écrire » ont été généralement considérés, depuis les travaux de Leo Strauss, comme des moyens de dissimuler une opinion hétérodoxe, en vue de se prémunir contre la persécution politique. Nous nous engageons à comprendre cet « ésotérisme », non pas comme un stratagème politique, mais comme la conséquence proprement philosophique d’une difficulté intrinsèque à certains problèmes qui mettent en défaut les capacités expressives du langage, comme en l’occurrence la tentative d’énoncer l’origine radicale de toute chose. À partir de cette hypothèse, nous abordons le traitement de la création du monde chez des philosophes juifs actifs entre le Xe et le XVe siècles, qui soutiennent chacun une thèse différente sur la question (Saadia Gaon, Abraham Ibn Ezra, Maïmonide, Isaac Albalag, Gersonide et Ḥasday Crescas). Nous montrons comment la perspective doxographique, visant à identifier la « véritable thèse » de chaque auteur, n’est pas appropriée eu égard à de tels écrits ésotériques et nous efforçons de mettre en lumière, à travers eux, un style original du philosopher qui s’invente dans le moment médiéval de la rencontre de la philosophie et de la « révélation »
The Medieval Jewish philosophers used esoteric writing strategies in order to deal with matters of critical importance. The opposition between the « religious theory » of the creation of the world and the « philosophical theory » of its eternity constitues one of the most typical example of such subjects. Since Leo Strauss’ works, these « arts of writing » have been generally considered as means of hiding heterodox opinions, used by the philosophers in order to avoid political persecution. We try to show that this esotericism does not stem from mere political calculation, but from intrinsically philosophical considerations : the limitation of langage itself, that fails to express certain issues, such as the radical origin of all things. From this starting point, we discuss the views and writing strategies of diverse Jewish philosophers, active between the 10th and the 15th centuries, each of whom held a different theory on creation (Saadia Gaon, Abraham Ibn Ezra, Maimonides, Isaac Albalag, Gersonides and Ḥasday Crescas). We argue that the doxographic perspective, aiming at identifying each author’s « real view », is not appropriate when dealing which such esoteric writings, which we propose to envisage as the manifestation of a specific philosophical style, emerging in the Medieval period from the confrontation between philosophy and « revelation »
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Dahrouge, Ali. "Les mouvements philosophiques dans la pensée andalouse : étude historique, analytique et comparée." Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010639.

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Abstract:
Dès le huitième siècle, l'islam a submerge l’Espagne ou ont fleuri des centres intellectuels musulmans. Sur ce, l'importance de la philosophie est incontestable pour l'étude de la pensée et de la théologie musulmanes en Andalousie. Nous reconnaissons que la philosophie andalouse suppose d'abord l'assimilation de la philosophie grecque. Néanmoins, nous affirmons que cette philosophie est une chose, de même que la simple assimilation de la philosophie grecque en est une autre. La contribution importante et originale des philosophes musulmans, c'est leur essai de concilier la religion avec la philosophie. Au-delà de ces considérations, il ne faut pas oublier l'influence de l'orient dans la vie andalouse. L’Espagne a pourtant le droit d'être fière de cet effort philosophique qui est le sien, et de cette tendance soufie qui, au cours des siècles, était animée par le souffle de l'islam. Quoiqu'il en soit, l'histoire des idées en Espagne, au moyen-âge, est une fidèle adaptation de la culture musulmane orientale; les traditions locales l'attestent sans qu'il y ait un lien positif
The conquest of Spain by Islamic troops occuers as early as the first decade of the eight century. Very begining, intellectual Islamic centers would developed. The study of philosophy is very important to understand the islamic theology in Andalousia. We recognize clealy that the andalousian philosophy would florish through the assimilation of Greek philosophy, although it would graw in an independant school. Things that distings of the Islamic thinkers occuers in their tendancy to conciliate religion with philosophy. Through out these considerations, we cannot be forget the deep influences, that the orient would enlivened own the andalousian way of life. Nevertheless, Spain could be flowed of its proper contribution to philosophical thought, and of its distings soufi schools, would enlivened by Islamic insperation. Moreover the oriental influence cannot be oblitarated, as can be through many local the divers testimonies
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Calvet, Antoine. "La version d'oc du Rosarius Philosophorum attribué à Arnaud de Villeneuve (introduction, étude de langue, édition, traduction)." Paris 4, 1995. http://www.theses.fr/1994PA040244.

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Abstract:
Le rosari est une traduction en langue d'oc de la deuxième partie (practica) du Rosarius Philosophorum, célèbre traité alchimique du 14e siècle attribué au médecin Arnaud de Villeneuve. Après une partie introductive où nous abordons les questions de date et d'authenticité du texte, celles des manuscrits et des rapports entre la version d'oc et son modèle latin nous proposons, à la suite d'une étude de langue (phonétique, morphologie, syntaxe, lexicologie), une édition du rosari, suivie d'une traduction en français moderne et augmentée d'une transcription du texte latin
The rosary is a translation in the Occitan language of the second part (practica) of Rosarius Philosophorum, the famous fourteenth century alchemist treatise ascribed to the physician Arnald of Villanova. After an introduction where we tackle problems of the dating and authenticity of the text, together with questions related to manuscripts and relationships between the Occitan text and its Latin model, we propose, following a linguistic study (phonetic, morphology, syntax and lexicology), an edition of the rosary with a translation in standard French, accompanied by a transcription of the Latin text
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Arnould, Colette. "Un aspect de la superstition dans la France médiévale : le Diable et la sorcière (XIIe-XVe siècles)." Paris 1, 1990. http://www.theses.fr/1990PA010559.

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Abstract:
Entre le XIIe et le XVe siècle, c'est autour du diable que vont se structurer toutes les superstitions. Les contestations qui surgissent au sein de l'église l'incitent à le voir partout. Responsable des hérésies, l'hérésie s'étend à toute marginalité, jusqu'à l'assimilation définitive hérésie sorcellerie. L'inquisition prend la une nouvelle dimension: aidée des autorités, elle engagera une lutte sans merci, dont les intérêts personnels ne seront pas absents. Si magie et sorcellerie tendaient à se développer dans le contexte de plus en plus trouble de la fin du moyen âge, rien, dans un premier temps, ne permettait de mettre l'accent sur la sorcière. Seule une lente dévalorisation de la femme associée au péché originel et à la sexualité, ainsi qu'a tout un imaginaire ancestral, permettra d'en faire "la sorcière" liée corps et âme à Satan. Le discours des inquisiteurs se fera alors le reflet d’une société mue par la peur. Loin de détruire la superstition, l'église, en perdant toute fonction sécurisante, incitera les hommes à se tourner vers les pratiques les plus insensées, tandis que du besoin de se donner des coupables naitra, au siècle suivant, la "chasse aux sorcières". Si le moyen âge n'a pas été l'époque des grands buchers, il en a du moins fourni les bases en codifiant, et détient la une évidente responsabilité
The devil was to be the central figure responsible for all forms of superstition between the 12 th and the 15 th century. The internal conflicts within the church caused it to be seen everywhere, be held responsible for all forms of heresy and, as any nonconformist act was judged heretical, the result led to "heresy-witchoraft". The inquisition thus took on a new dimension and waged a ruthless war on nonconformity with the help of authorities motivated by personal gain. If magic and witchoraft were to develop in an increasingly troubled period by the end of the midle ages, nothing, at first indicated the role played by the witch. It was only the gradual depreciation of women, associated with original sin, sexuality and ancestral dread, that would make of women "witches" bound body and soul to Satan. The inquisitor's speeches henceforth reflected a society living in fear and, far from discouraging superstition, the church, having lost its consoling role, gave the way to the most unreasonable acts while the need for scape-goats was to give birth to the witch-hunts a century later. Though the midle ages preceded era of stake-burnings, it had already created the basic behaviour codes accounting for their very existence
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Thévenin, Pierre. "Le Miroir des Faits : philosophie de l'habillage juridique dans la scolastique médiévale et ses lectures romantiques." Paris, EHESS, 2014. http://www.theses.fr/2014EHES0033.

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Abstract:
Dans la longue histoire du droit civil romain, je cherche le moyen de questionner l'évolution normative des sociétés contemporaines. Pour aider la philosophie politique à mesurer l'effacement des repères classiques de la pensée juridique, je propose de remonter le fil de deux traditions d'étude disjointes. Ma première partie étudie la propension des philosophies idéalistes du droit à ignorer la dimension technique de la pensée juridique. Je montre alors les conséquences ironiques de ce parti-pris : chez Kant la mise en place d'une conceptualité du jugement d'allure nettement juridique ; chez Hegel une valorisation paradoxale du droit romain, tour à tour attaché à la Rome historique et voué à définir ad aeternam la forme abstraite de l'esprit objectif. Consacrée aux interprétations successives du droit romain de la possession, ma seconde partie explore alors la tension entre deux manières d'« habiller les faits », c'est-à-dire de rapporter les catégories juridiques au réel. En confrontant la scolastique médiévale principalement italienne des XIIe au XIVe siècle au Traité de la possession en droit romain de Friedrich Cari von Savigny (1803), je reconstitue les étapes, mais aussi les préconditions philologiques, de l'enrôlement du principe kantien de l'autonomie de la volonté dans la science juridique. Par contraste, je montre l'originalité « ontologique » de la technique juridique médiévale, lorsqu'elle imagine des espèces de possession « plus ou moins factuelles » ou des transferts fictifs de propriété. Dans ces libertés prises avec le réel, j'entrevois la clé d'une analyse à nouveau frais du déclin de la place du droit dans le gouvernement des sociétés contemporaines
In Roman law's far-reaching tradition I search for conceptual resources helping to analyse the normative patterns through which contemporary societies are governed. Aiming at refining our theoretical assessment of the décline of classical légal science, I recover and re-read two traditions. First, I examine idealist Systems of légal philosophy and their propensity to ignore the historical dimension of légal techniques. This is shown to have ironical conséquences, when Kant sets himself up as a judge at the tribunal of reason, or when Hegel treats Roman law as both spécifie to the history of ancient Rome and germane to the eternal and abstract form of « objective spirit ». The second part of my research hence turns to the Roman law of possession, a topic which testifies to long-run shifts in the scientific style of légal thinking. In confronting mainly Italian scholastic interprétations of jus possessionis, dating from Xllth to XlVth century, with Von Savigny's Treatise on Possession of 1803, I show how philology and historical érudition were involved in a romantic attempt at embedding Kant's idea of the autonomy of free will into the realm of jurisprudence. As a resuit, médiéval ways of employing légal techniques independently of any external ontological constraint tended to be overshadowed. Whereas glossators felt free to imagine types of légal possessions which were « more or less facts » or to posit fictitious property transfers, I consider this loose attitude towards rèality as a valuable touchstone for analysing law's spécifie part in the government of contemporary society
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Galdéano, Jeanine. "L'altérité chez le semblable dans quelques œuvres de la littérature médiévale française." Toulouse 2, 2004. http://www.theses.fr/2004TOU20030.

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Abstract:
Les chansons de geste ou certains romans médiévaux magnifient souvent les exploits de héros exceptionnels, mortels, aux prouesses physiques admirées ou encore d'enchanteurs aux dons enviés. Pourtant les jalousies et les passions, si elles meurtrissent les corps par les combats menés, font naître un être impalpable, l'altérité, laquelle invisible s'immisce entre les êtres dans le but de les malmener pour mieux les occire. Naît une autre guerre, plus sournoise, menée selon trois stratégies parfaites. La première consiste, au sein d'un même royaume, à envenimer les relations entre deux êtres, qui ne parviennent à cerner l'autre trop semblable ou trop différent. Il peut s'agir aussi d'altérer un seul être, chevalier ébranlé intérieurement, qui ne sait plus qui il est, lui-même ou un autre. Enfin l'altérité, véritable dynamique des œuvres choisit encore d'attaquer sur les deux fronts l'être à prendre, créant ainsi un trouble majeur constitué de l'altérité chez l'autre et de l'altérité en soi sans qu'il soit possible de dire lequel s'impose en tant que préalable
In verse chronicle or novels in medieval French literature, we tend to recall only the exploits of exceptional heroes, mortals whose physical feats one admires or enchanters with enviable qualities. Yet, jealousy and passion, while corrupting bodies through the rigours of combat, give birth to that which becomes an intangible creature in its own right, namely otherness, which, unseen, intrudes between characters in order to harm them and so the better to destroy them. This is an underhand war, conducted according to three perfect strategies. The first entails poisoning relations both too similar and yet too different. Or, it can involve changing a single character - a knight profoundly shaken who no longer knows who he is - himself or another. Finally, otherness, the true dynamic of these works, chooses to attack the victim on both fronts, thus creating turmoil embracing change in oneself and in the other protagonist, there being no chance of knowing which one will prevail
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Majjati, Abdelaziz. "Philosophie musulmane et philosophie juive au Moyen Age : étude des méthodes et des systèmes." Paris 8, 1993. http://www.theses.fr/1993PA080808.

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Abstract:
Le sujet de ce travail est la philosophie musulmane et la philosophie juive au moyen age, et plus particulierement la philosophie des penseurs de l'espagne musulmane. L'etude des methodes et des systemes des plus illustres representants des deux philosophies en est la tache principale. Parmi les penseurs juifs que nous avons etudie dans ce travail: salomon ibn gabirol, bahya ibn paquda, juda hallevi et enfin maimonide. Du cote des musulmans: avicienne (ibn sina), al-ghazali et averroes (ibn rochd). Le but de ce travail est de cerner les relations qui existent entre les deux pensees* musulmane et juive. Autrement dit, nous avons etudie les systemes philosophiques des penseurs musulmans et juifs de facon parallele afin de demontrer ce qui leur est commun et ce qui ne l'est pas et pour savoir si les deux pensees evoluaient et se modifiaient parallelement ou pas
The subjects discussed in this work are the islamic philosophy and the juish philosophy in the middle age, particularly the philosophy of the thinkers of the islamic spain. The study of methods and systems of some thinkers representing both philosophies would be our basic concern. Here we have the list of the thinkers chosen in this work: - salomon ibn gabirol - bahya ibn paquda - juda hallevy and maimonide. Those are among the juish thinkers. In the other side, the islamic philosophers are as follow: - avicenne (ibn sina). - al-ghazali and averroes (ibn rochd). The purpose of this work is the study of the relation which exist between the two philosophic systems so as to show the similarities and differencies
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ʿAwwād, Mārūn. "Le Commentaire moyen à la Rhétorique d'Aristota par Averroès." Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA010596.

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Abstract:
Mon ambition dans ce travail, en cinq volumes, est de rendre accessible le plus volumineux des commentaires médiévaux conservés à la Rhétorique d'Aristote : le Commentaire moyen à la Rhétorique d'Aristote par Averroès. J'en propose, dans un premier volume, une introduction historique et doctrinale. Elle commence par un premier chapitre déroulant le panorama de la tradition arabe de la Rhétorique et examinant la méthode d ' Averroès dans son traitement de la traduction arabe médiévale de la Rhétorique et des commentaires antérieurs, ainsi que la question de la date et des révisions du Commentaire moyen. Dans le chapitre deux, j'essaie de dégager le fil directeur de celui-ci. Il y apparaît comme constamment orienté par une certaine idée de la conviction oratoire, elle-même en harmonie avec ce qu' Averroès pense de la fin amorale de l'art rhétorique, de son utilité surtout politique, de ses applications dans la société de son temps, des différents procédés oratoires et de certains thèmes récurrents, comme la question de la loi naturelle. Le chapitre trois se veut non seulement un résumé de l'ensemble des divisions et subdivisions du Commentaire moyen, mais aussi et surtout une tentative systématique de résolution des principaux problèmes d'articulation de celles-ci, ainsi que la mise en relief des points forts du commentaire. Le chapitre quatre comporte un plan détaillé du Commentaire moyen. Le chapitre cinq traite surtout des sources de mon édition du texte arabe, ainsi que des signes de " l'apparat critique " des manuscrits l'ayant conservé. Le deuxième volume de ce travail est constitué de l'édition du texte d'Averroès. Le troisième en propose une traduction. Le quatrième en est un commentaire, paragraphe par paragraphe: explication des passages obscurs; identification des références culturelles d ' Averroès ; saisie systématique des points originaux du commentaire par rapport au texte d'Aristote. Le cinquième volume contient les index des notions, des noms, des proverbes, et une bibliographie.
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Méheut, Martine. "Maître Eckhart ou la philosophie de l'universel intime." Paris 1, 1992. http://www.theses.fr/1992PA010522.

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Abstract:
L'originalité de la pensée de Maître Eckhart nous parait consister dans le dépassement de l'interprétation ontologique du réel qu'il a su opérer grâce à un travail proprement philosophique dont la méthode est très riche d'enseignement. Sa philosophie est une hénologie critique de l'ontologie qui nous oblige à repenser le concept de vérité, à en remodeler la dimension par son rapport avec la raison, avec le réel, avec l'image. Le pensable excède le dicible. L'un, plutôt que l'être, est l'objet de cette quête aboutissant à la "naissance éternelle" par laquelle l'homme peut vivre la déité qu'il est par vocation, ayant rejoint l'universel intimement présent en lui
Meister Eckhart's thought process stands out in that it seems to go beyond the ontological interpretation of reality thanks to a purely philosophical approach the method of which can teach us a lot. His philosophy is a critical henology of ontology that forces us to think over the concept of truth, to reshape its dimension in relation to reason, reality and the image. What can be thought exceeds what can be said. The aim of this quest is the one rather than the being, and it leads to "eternal birth" that enables man to live the deity he is by vocation and to recover the universal which is intimately present in him
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Joly, Éric. "L'âme, l'éternité et le temps dans les commentaires médiévaux du Livre des causes." Doctoral thesis, Université Laval, 2003. http://hdl.handle.net/20.500.11794/62290.

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Abstract:
Ouvrage anonyme arabe d’origine néoplatonicienne, ie Livre des Causes fut, jusqu’au commentaire de saint Thomas (en 1272), attribué à Aristote. Par son contenu et le prestige d’Aristote au XIIIe siècle, son influence fut considérable. Bien que sa source première soit les Eléments de théologie de Proclus, l’auteur nous présente un univers intelligible dont la structure dérive des hypostases plotiniennes : la Cause première, l’Intelligence et l'âme noble. Le but de notre thèse est d’étudier la réception de ces principes par le biais de commentaires médiévaux dont les auteurs (Roger Bacon et le pseudo-Hemri de Gand) considèrent le Livre des Causes comme authentiquement aristotélicien. Ces commentateurs nous offrent un précieux témoignage sur la rencontre entre F aristotélisme, le néoplatonisme et le christianisme. Notre travail se situant au croisement de plusieurs traditions philosophiques importantes, nous avons utilisé un angle historique en accordant autant d’importance au néoplatonisme, au Livre des Causes et aux commentateurs médiévaux. Compte tenu des nombreux points d’accord entre le De Cousis et les commentateurs médiévaux, sur la Cause première, nous avons focalisé notre attention sur l’Intelligence et l’âme noble qui sont des thèmes privilégiés de la confrontation entre ces différents auteurs. Ainsi, les caractéristiques de l’Intelligence (l’éternité, la simplicité, l’infinité et son rôle de médiatrice dans la création) sont fermement refusées par les commentateurs médiévaux. Par conséquent, l’Intelligence du Livre des Causes va être transformée en un intellect agent séparé de type avicennien. Seule sa fonction inteilective va être conservée. De son côté, l’âme noble possède des caractéristiques et accomplit des fonctions que l’on ne saurait attribuer à l’âme humaine (notamment la création du temps et du mouvement du Ciel). Pourtant nos commentateurs s’efforcent d’interpréter le Livre des Causes dans le cadre de leur psychologie aristotélicienne, qui n’admet pour l’âme que la fonction d’animation d’un vivant individuel. L’âme noble va ainsi être adaptée pour coïncider avec l’âme humaine. L’Intelligence et l’âme noble subissent donc une importante réduction de leurs fonctions et de leur place dans la hiérarchie. Par cela, nous pensons possible de conclure que les commentateurs accueillaient favorablement certaines thèses néoplatoniciennes, mais refusaient les principes de l’univers pîotinien.
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Storck, Alfredo-Carlos. "Les modes et les accidents de l'être : études sur la métaphysique d'Avicenne et sa réception dans l'Occident latin." Tours, 2001. http://www.theses.fr/2001TOUR2031.

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Abstract:
Le thèse porte sur la structure et les principaux concepts de la métaphysique d'Avicienne dans sa version latine. La première partie analyse la conception avicienne de la métaphysique en tant que science suprême, ses différences par rapport aux autres sciences et sa place à l'intérieur du sytème du savoir humain. On y démontre également que la conception d'Avicienne diffère de celle d'Aristoteet que les différences relèvent de la compréhension de la struture logique des propositions réduplicatives. Le dernier chapitre de la première partie étudie la réception de la conception avicienne de la métaphysiquedans l'Occident latin, surtout en ce qui concerne la Summa Halensis, Vincent de beauvais et Albert le grand. La seconde partie propose l'analyse conceptuelle des prinicpes de la métaphysique avicienne, de la notion de l'être, de ses modes et de leurs accidents. On étudie également l'évolution historique de la critique des Latins des notions aviciennes d'essence et de possibilité, surout en ce qui concerne Guillaume d'Auvergne, Thomas d'Aquin et Henri de gand. Le dernier chapitre recherche l'influence des oeuvres d'Algazel dans la transmission des notions aviciennes d'essence et d'existence. Elle examine également l'influence de ses notions chez Albert le Grand.
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Ilies, Dan-Alexandru. "Sur le chemin du palais : ésotérisme, cosmologie et pensée politique dans l'introduction et la conclusion du "Guide des égarés"." Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010543.

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Abstract:
L' objectif de notre recherche consiste dans une interprétation intégrale des deux principaux chapitres du Guide des égares, chef d’œuvre de Moïse Maïmonide (1138-1204). II s'agit de l'introduction et de la conclusion du traité. Notre exposé se propose de donner un aperçu de l’ ensemble de l' ouvrage. Pour ce faire, nous avons orienté notre commentaire sur les deux chapitres du traité. L'introduction consiste dans une discussion sur la nature exégétique de l' ouvrage. Maïmonide y décrit la structure de la Bible, ainsi que la modalité exégétique du déchiffrement du Livre Saint. La conclusion consiste dans une description de l' aboutissement du chemin exégétique. II est question de la pratique du culte intellectuel, forme suprême d' activité spirituelle. Tandis que l'introduction décrit la forme de l’exégèse biblique, la conclusion offre une description du contenu et de l'aboutissement de cette exégèse. Les deux chapitres s'articulent autour de l'allégorie du palais, à partir de laquelle nous avons conçu notre démarche.
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Darriulat, Jacques. "Qu'est-ce qu'un tableau? : essai sur la formation des images en Europe depuis Giotto." Paris 1, 1990. http://www.theses.fr/1990PA010560.

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Abstract:
L'analyse iconologique du mariage des Arnolfini, par Jan Van Eyck, conduit à mettre à jour les trois dimensions constitutives du tableau : le spectaculaire, l'hallucinaire et l'origine. L'ordre spectaculaire pense l'acte fondateur : Giotto invente un espace d’illumination maximale - la "majesté" - où toute évidence est vérité. Perspective esthétique qui se définit par l'amplitude panoramique plutôt que par l'exactitude géométrique. De la mosaïque, par le vitrail jusqu'au tableau, il est possible de dénombrer les degrés de cette ouverture. Le revers hallucinaire offusque cet éclat : sur l'escamoteur de Bosch, qui sert ici de paradigme, le regard est déjoué par un piège latéral. La gloire de la majesté cède sous la pression des grotesques qui pullulent dans la périphérie et envahissent le centre. La rivalité hallucinaire s'apaise quand apparaissent les figures de la condensation : Diane la nymphe et Christophe le passeur. Alors s'ouvre l'espace illimité du devenir onirique. La première leçon d'anatomie, par Rembrandt, inaugure ce troisième mouvement. L'éclat du point de regard se dissipe et le tableau se fait le réflecteur de la durée. Ainsi se disposent des cohérences imaginaires susceptibles d'orienter l'érudition. Une légende médiévale éclaire d'un jour nouveau l'interprétation de l'escamoteur par J. Bosch et confirme l'appartenance du tableau à l' ensemble hallucinaire. Reste à énoncer la méthode : on montre comment, depuis le choc sensationnel de la rencontre, diffuse la signification depuis le point de fixation du signal, par l'ambivalence jamais apaisée du symbole jusqu'à l'ouverture métaphorique dont le signe est l'origine
The iconological analysis of Arnolfini's wedding, by Jan Van Eyck, reveals the three constitutent dimensions of painting : "spectacular", "haullucinar" and "oneiric". Spectacular order comments the foundation : Giotto invents a new space of absolute clearnes - the "majesty"- in which obviousness is necessary truth, an aesthetical perspective whose meaning is panoramic amplitude more than geometrical construction. From mosaic through leaded glass window unto @painting, we can enumerate the degrees of this aperture. Hallucinar order turns upside down and darken this brightness. The conjurer, by H. Bosch, gives us a model : here, the glance is falling into a side trap. The glory of majestic gives up its seat to grotesque figures which come from periphery and invade center. The hallucinar opposition becomes quieter when figures of condensa- tion are appearing : diana the nymph and christopher the ferryman. Then, the infinite development of oneiric time may be opened out. The first anatomy lesson, by Rembrandt, begins this third movement. The sparkle of the hallucinar glance vanishes and the painting becomes the mirror of time. Thus, imaginary cohesions take shape and lead the erudite research : a medievel legend renews the interpretation of the conjurer, by H. Bosch, and confirms its adherence to the hallucinar order. Finally, we way set down the rules of our method : from the point of the aesthetic encounter, the meaning of the images is growing up. It is, first, the fixation of the signal; then, the ambivalence of the symbol; and, at last
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Van, Haelen Eliette. "La coexistence des trois religions monothéistes en Andalousie aux IXe et Xe siècle." Lyon 3, 1992. http://www.theses.fr/1992LYO3A005.

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Perini-Santos, Ernesto. "Modalité et évidence : :la description ockhamienne de la connaissance." Tours, 2001. http://www.theses.fr/2001TOUR2028.

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Abstract:
Ce travail s'organise autour de la métathéorie modale et de la théorie de la connaissance évidente, centrales dans la description ockhamienne de la connaissance. Le chapitre II traite de la théorie modale. La liste des modalités ockhamiennes est très large. Est un mode tout terme qui peut être pŕédiqué d'une proposition (i. E d'une phrase) entière : possible, connu, écrit etc. . . La théorie ockhamienne est une métathéorie, décrivant la contribution de ces prélicats (ou des termes qui peuvent être traduits par de tels prédicats) aux conditions de vérité des phrases dans lesquelles ils figurent et à la validité des arguments avec de telles phrases. Une classe spéciale de propositions modales, les modalit́és aléthiques ou aristotéliciennes, se trouve à la croisée de deux logiques, la métathéorie modale et la théorie des propositions à supposition étendue, qui doivent être évaluées (au moins partiellement) dans des situations passées, futures ou possibles. Une autre famille importante de modalités ockhamiennes comprend certains termes épistémiques, dont l'analyse complète demande l'examen de la notion de connaissance évidente. La connaissance évidente, objet du chapitre III, est un processus causal naturel, ayant lieu à l'intérieur de l'esprit, menant à l'assentiment aux proportions vraies, et seulement à des proportions vraies. Elle comprend l'assentiment aux prportions connues par les sens, aux proportions connues par soi et aux conclusions des raisonnements. C'est la notion épistémique première dans la philosophie ockhamienne, autour de laquelle s'organise la théorie du savoir (examinée au chapitre IV), mais aussi une théorie de l'esprit. En amont de ces théories, le chapitre I expose la théorie ockhamienne de la proposition, notamment ses deux théories du concept, composant de la proportion mentale et la théorie des conditions de vérité des propositions.
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Grellard, Christophe. "Croire et savoir : les principes de la connaissance selon Nicolas d'Autrécourt." Tours, 2001. http://www.theses.fr/2001TOUR2026.

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Abstract:
Nicolas d'Autrécourt (ca 1298-1369) a élaboré une épistémologie qui fait une large place aux "dissonances cognitives", aux connaissances dont le dégré de justification épistémique est incertain. C'est cette approche à la fois fondationaliste et faillibiliste de la connaissance que l'on se propose d'apprécier ici. On s'est efforcé à la fois de la connaissance que l'on se propose d'apprécier ici. On s'est efforcé à la fois de prendre en compte l'aspect normatif de la théorie autrécurienne de la connaissance, en reconstruisant de façon systématique les principes qui ont guidé Le Lorrain ; mais on a aussi voulu, dans une perspective plus généalogique, montrer d'où venait l'intérêt du philosophe pour les objets vagues et les méthodes de raisonnements informels en présentant les principaux aspects de son atomisme. Enfin, une dernière partie replace cette oeuvre dans le contexte qui était le sien en la confrontant aux thèses de Jean Buridan (auquel Nicolas s'est directement affronté), Nicole Oresme, Jean de Mirecourt et Pierre d'Ailly. Il apparaît alors que le XIVe siècle voit s'intensifier l'attention aux raisonnements informels et aux dégrés de justification inférieurs à la seule évidence.
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Moussaoui, Ahmed. "Le problème des fondements de la logique chez les penseurs musulmans médiévaux : la logique d'Ibn Sīnā." Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010529.

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Abstract:
La logique hellénique avait un caractère formel très restreint, en raison de ses fondements ontologiques. La logique en tant que science formelle, selon la conception de la plupart des penseurs musulmans médiévaux, semble difficile à édifier à partir des fondements en question. L'analyse des textes logiques d'Ibn Sina montre que celui-ci a une conception formelle de la logique, dont le fondement n'est plus à rechercher dans la métaphysique. Cependant la distinction de l'essence et de l'existence, liée à cette conception, dépend elle-même d'une certaine conception philosophique qui fonde finalement la distinction explicite entre la proposition existentielle et la non existentielle. D'autre part, la syntaxe de la langue arabe qui exprime facilement les différentes formes de la négation (prédicative, propositionnelle, préposée et postposée des quantificateurs), l'absence de la copule et le procédé distributif de "tout" avaient orienté Ibn Sina vers une analyse de la proposition prédicative qui se traduit facilement en termes de fonction et d'argument, et par suite la classification des syllogismes et des propositions sur des considérations formelles. Cette logique contient un grand nombre de lois du calcul classique des propositions, du calcul des prédicats du premier ordre et de la logique des relations
The hellenic logic a formal character very restrict, because of its ontological foundations. As a formal science, logic according to the conception of most thinkers in the medieval period seems difficult to edify starting with the question of foundations. The analysis of ibn sina's logical texts shows that has a formal conception of logic that does not need metaphysical foundations. However the essence existence distinction based on this conception itself depends on a certain philo sophical conception which explicitly states the distinction between existential and non-existential proposition. On the other hand, the syntax of arabic language that expresses the different forms of negation (predicative, propositional, preposed and postposed of quantifiers), the absence of copula and the process of distributin "all" led ibn sina towards an analysis the predicative proposition which can be translated in terms of function and argument. Consequently, the classification of syllogisms and propositions under formal considerations. This logic contains numerous laws of classical calculus of propositions, predicate calculus of first order and logic of relations
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Atucha, Iñigo. "Histoire d’un historien des philosophies médiévales : vie et oeuvre de François Picavet (1851-1921)." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040108.

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Abstract:
La biographie intellectuelle de François Picavet (1851-1921) fournit l’occasion d’explorer les débuts de l’histoire de la philosophie médiévale en tant que discipline institutionnalisée, en France, de 1880 à 1920. Figure oubliée du médiévisme philosophique, Picavet fut maître de conférence à l’EPHE (section des sciences religieuses) dès 1888, puis directeur d’études à partir de 1907, secrétaire du Collège de France en 1904 et chargé de cours en histoire des philosophies médiévales à la Faculté des lettres de la Sorbonne dès 1906.Le parcours académique de Picavet s’inscrit dans un contexte particulier, qui voit l’histoire de la philosophie médiévale s’implanter de façon structurée et stable dans l’enseignement supérieur français. De même que d’autres disciplines institutionnalisées, l’histoire de la philosophie médiévale tire profit de la nécessité d’une réforme profonde du système universitaire, articulée dans les sphères politiques et scientifiques dès les années 1860 puis prolongée sous l’impulsion de la IIIe République, et qui aboutit à l’émergence de nouvellesstructures institutionnelles dans l’enseignement supérieur français (fondation de l’EPHE en 1868, création de nouveaux enseignements à la Sorbonne, dont une charge de cours en histoire de la philosophie médiévale en 1906). L’historiographie originale de Picavet restreint la signification des questions philosophiques médiévales qui demeurent liées à leur contexte historique d’origine: chaque système philosophique est ainsi l’expression partielle d’une civilisation donnée, au même titre que les expressions scientifiques, artistiques et artisanales que celle-ci est en mesure de produire et qui la caractérisent
The intellectual biography of François Picavet (1851-1921) is an opportunity to explore the early days of the history of mediaeval philosophy as an institutionalised discipline in France from 1880 to 1920. A forgotten figure of the study of mediaeval philosophy, Picavet was a lecturer at EPHE (Religious Sciences department) from 1888 and director of studies from 1907, secretary of the Collège de France in 1904 and lecturer in the history of mediaeval philosophy at the Arts Faculty of the Sorbonne from 1906 onwards. Picavet’s academic career took place within a particular context in which the history of mediaeval philosophy came to be established in a structured and stable manner in French higher education. Like other institutionalised disciplines, the history of mediaeval philosophy benefited from the need for deep-seated reform of the university system, which was expressed in political and scientific circles from around 1860 and continued under the Third Republic, resulting in the emergence of new institutional structures in French higher education (the foundation of EPHE in 1868 and the creation of new courses at the Sorbonne, including a history of mediaeval philosophy course in 1906). Picavet’s original historiography confines the significance of mediaeval philosophical questions, which remain bound to the historical context in which they originated: thus, every philosophical system is the partial expression of a given civilisation, just like the scientific, artistic and craft related expressions which it produces and which characterise it
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Cheikh, Hussein Akil El. "Les notions du vrai et du faux d'après le Coran (introductions et perspectives)." Paris 1, 1992. http://www.theses.fr/1993PA010563.

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Abstract:
Pour situer la vérité coranique par rapport à la même notion dans la pensée humaine, cette étude débute par la mise en évidence de la destinée de la question dans la pensée occidentale, destinée caractérisée par la faillite de la vérité métaphysique et le triomphe des vérités construites et investissables dans un projet humain visant la domination du milieu. L'arrière fond culturel du Coran et la langue arabe en particulier laissent transparaitre une notion ambiguë de la vérité mais l'analyse approfondie conduit à une vérité identifiable a un être dont les déterminations premières sont puissance, stabilité, adéquation et utilité. Des défaillances méthodologiques bien déterminées empêchent l'exégèse du Coran de dresser un tableau satisfaisant des caractéristiques de la vérité coranique et de ses contraires assimiles, de part et d'autre, à Dieu, l'être immuable et à son contraire, le néant. La présente étude fait l'inventaire des défaillances mentionnées responsables d'un décalage entre le texte et le commentaire, ce dernier étant une projection sur le texte de vues et d'idées d'origines extrinsèques. Ce travail propose des critères pour la réalisation d'un commentaire pertinent du texte et d'une caractérisation conséquente des notions objets de l'étude. Enfin, l'étude discute l'idée, répandue dans la pensée exégétique musulmane, voulant que le Coran soit la vérité même et se termine par l'émission d'hypothèses sur les grandes lignes de la conception coranique du monde, support et berceau de la conception coranique de la vérité et de ses contraires
In order to relate Koranic truth to the same notion in human thoght, this study begins with stressing the issue of this question in western thought, issue which is characterized by the failure of metaphysical truth and the triump of built-up truths that can be invested in a human project aiming at dominating the environment. The cultural background of Koran and particularly the arabic language, suggests an ambiguous notion of truth; bat a deeper analysis reveals a truth that can be identified with a being whose primary determinations are power, stability, appropriateness and usefulness because specific methodological weak points the exegesis of Koran cannot make out a satisfactory picture of the characteristics of Koranic truth neither of its antithesis, which are likened to God as the immutable beign on one hand, and to its antithesis - nothingness - on the other hand, the present study makes an inventory of the mentionned weak points which are responsible for the gap between the text and its commentaries, the latest being the projection onto the text of views and ideas of extrinsic origins. This work sets criterions for a significant commentary on the text and a consequent characterization of the notions. Lastly, this study discusses the widespread idea of Koran an truth-itself and ends with hypothesis concerning the outlines of the Koranic conception of world as a cradle of the conception of truth and its contraries
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Cordonier, Valérie. "Les formes de l'auctoritas : lieux d'émergences d'un "averroïsme théologique" dans la lecture thomasienne de Maïmonide, d'Avicenne et d'Averroès sur la science du premier moteur." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040011.

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Abstract:
L'étude propose une analyse détaillée et complète des formes diverses adoptées au fil des oeuvres thomasiennes, par les autorités d'Aristote, d'Avicenne, d'Averroès et de Maïmonide en matière de science, de providence et de gouvernement divins. En analysant, dans l'ensemble du corpus thomasien, l'évolution des “erreurs” combattues et la manière même dont elles sont reconstruites, je mets au jour différents types de “rapport aux sources” et je montre comment le traitement complexe imposé par Thomas aux textes à sa disposition, donne lieu à la formation de certaines erreurs doctrinales qui seront interdites quelques années plus tard par l'évêque de Paris. En comparant un tel traitement avec l'approche des mêmes auctoritates chez Albert de Cologne, je montre que c'est, chez son élève, une vision particulière des rapports entre foi et raison qui a provoqué, dans sa doxographie, la “précipitation” de certaines thèses que les censures allaient définitivement “figer” en 1270 et en 1277
This study gives a detailed analysis of the various forms adopted by the authorities of Aristotle, Avicenna, Averroes and Maimonides in the work of Thomas Aquinas. A particularly interesting topic for such an analysis is that of the divine science. So, as starting point of my study, i compile a full list of texts related to this question. On this basis, i proceed to analyse these passages, comparing them with its implicit or explicit sources by the Greek, Arabic and Jewish predecessors of Thomas in the aristotelian tradition. The particular treatment imposed on these texts displays significant differences in various phases of Aquinas' career, that i try to compare with the very different approach of such authorities by Albertus Magnus. In this way, this study will establish an evolution in the thomasian attitude toward these thinkers, and try to relate it to the intellectual context of this time, particularly to the articles in the condemnations of 1270 and 1277 concerning divine science, providence and knowledge of the future contingents
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Faucher, Nicolas. "Les garanties de la foi chez les penseurs franciscains du XIIIème siècle et du début du XIVème siècle." Thesis, Paris, EPHE, 2015. http://www.theses.fr/2015EPHE5062/document.

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Abstract:
Notre travail porte sur la théorisation de la nature et du mécanisme de la foi en milieu franciscain, de 1230 à 1330. Le corpus comprend des questions disputées issues d’œuvres théologiques écrites par plusieurs auteurs franciscains et ceux qui les ont influencés. Nous avons cherché à comprendre quelles instances psychologiques sont mises en jeu pour assurer la fermeté de l’assentiment de la foi et de quelle façon nos auteurs justifient le fait même d’avoir une foi, par opposition par exemple à une connaissance, et le fait d’avoir un assentiment de foi donné, catholique, par opposition à un autre. Selon nous, il existe deux courants historiques : celui qui mène d’Alexandre de Halès et Bonaventure à Olivi et celui qui mène d’Henri de Gand et Godefroid de Fontaines à Duns Scot. D’après nous, ces deux mouvements se caractérisent par la combinaison de deux tendances. La première consiste en une naturalisation de la foi : le rôle de l’action divine surnaturelle dans la production de l’habitus et de l’acte de foi se réduit. La seconde consiste en une « volontarisation » de la foi : la volonté joue un rôle de plus en plus crucial dans l’accomplissement de l’acte de foi et intervient d’une manière de plus en plus large dans la production des croyances humaines en général. Ces tendances se perpétuent au XIVème siècle, par exemple chez Ockham et Holkot. Les justifications de la foi suivent ces deux mouvements : les modèles volontaristes appellent des justifications pratiques plutôt que spéculatives et la naturalisation implique que rien dans le processus de production de la croyance ne puisse, pour le croyant, différencier l’assentiment propre à la foi catholique des autres
We have chosen to study the theories of the nature and mechanism of religious belief put forward by Franciscan thinkers, from 1230 to 1330. Our corpus is comprised of disputed questions from a diversity of theological works written by Franciscans and those who influenced them. We tried to understand what psychological acts and faculties come into play to ensure the firmness of the assent of faith, and in what way our authors justify the very fact of having faith as opposed, for example, to knowledge, and the fact of having a given faith, the catholic one, as opposed to another. According to us, there exist two historical movements: the one which leads from Alexander of Hales to Bonaventure to Olivi and the one which leads from Henry of Ghent to Godfrey of Fontaines to Duns Scotus. We show that these two movements are characterized by the combination of two tendencies. The first one consists in a naturalization of faith: the role of supernatural divine action in the production of the habitus and act of faith is reduced. The second tendency consists in a “voluntarization” of faith: on the one hand, the will plays a more and more crucial role in the carrying out of the act of faith and, on the other hand, the scope of its intervention in the production of human beliefs in general is ever larger. These tendencies still exist in the 14th century, for example in Ockham and Holkot. The justifications of faith follow these two movements: voluntarist models demand practical rather than speculative justifications while the naturalization of faith entails that nothing in the process of production of belief can, for the believer, distinguish the assent of catholic faith from others
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Serverat, Vincent. "L'être et la joie : la philosophie de Ramon Llull dans le "Libre d'Amic e Amat"." Paris 4, 1990. http://www.theses.fr/1989PA040127.

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Abstract:
Restitution des doctrines philosophiques sous-jacentes à ce texte littéraire: ontologie de l' "esse", système de l'affectivité (surtout la paire joie-tristesse), l'amour et l'amitié, le statut des idées divines, la théologie de la création et de l'incarnation, le symbolisme, la cosmologie des éléments, l'éthique (liberté, valeurs, intention, etc…), la vie mystique. La méthode vise le point de jonction entre ces thèmes philosophiques et les faits de langage, tels que procédés stylistiques, créations lexicales, structures de langues, etc. .
Essay of restitution of the philosophical subjects underlying this literary text: ontology of "esse", system of human passions (with emphasis on the pair joy sadness), love and friendship, metaphysic of divine perfections, theology of creation and incarnation, symbolism, cosmology of material elements, ethics (freedom, values, intention), mystic thought, etc. The method focuses the point of convergence between these philosophical questions and facts of language, as stylistic figures, lexical productions, linguistic structures, etc
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Lamarre, Jean-Marc. "Le maitre, le disciple et le maitre interieur : enseignement et langage dans le "De magistro" de saint Augustin." Strasbourg 2, 1998. http://www.theses.fr/1998STR20018.

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Abstract:
Dans le "de magistro", augustin pose le problème des conditions de possibilité de l'enseignement à partir d'une analyse des mots comme signes. Un homme peut-il enseigner à un autre homme ? Les mots font-ils connaitre la vérité et les choses qu'ils signifient ? L'intérêt philosophique de ce dialogue est d'analyser les rapports entre l'enseignement, le langage et la vérité - augustin se situe au lieu même de l'acte d'enseigner comme acte de parole exposant le vrai a l'élevé ; et de montrer que l'enseignement n'est pas une transmission du maitre à l'élevé mais une relation triangulaire entre le maitre, le disciple et la vérité - augustin inscrit sous la figure du maitre intérieur la vérité comme tiers lieu ou les esprits s'accordent. Le maitre enseigne ce qui est vrai mais l'élevé ne peut pas apprendre la vérité du dehors à partir des paroles d'un autre. La compréhension du "de magistro" se heurte a deux difficultés, celle de la lecture d'un dialogue a visée formatrice plutôt qu'informatrice et celle de l'identification du maitre intérieur, de la vérité et du christ. Dans la première partie nous montrons que le "de magistro" n'est pas un expose théorique mais un exercice spirituel ; dans la deuxième partie nous analysons le "de magistro" comme itinéraire de la parole aux signes et des signes a la vérité, en déjouant à l'aide des distinctions du "de dialectica" les pièges tendus par augustin ; enfin nous montrons que la métaphore du maitre intérieur a une fonction praxéologique d'injonction a la conversion intérieure et que la triade du maitre, du disciple et du maitre intérieur a une dimension éthique libératrice des effets aliénants de la position de maitrise. Avec saint augustin se constitue le paradigme herméneutique de l'homme intérieur
In his "de magistro", starting from an analysis of words as signs, augustine raises the question of the conditions that make teaching possible. Can a man teach another man ? The philosophical interest of this dialogue is to analyse the connections between teaching, language and truth - augustine positions himself at the very place of the act of teaching as a speech act explaining truth to the pupil ; and he shows that teaching is not a mere transmission from the master to the pupil but a triangular relation between the master, the disciple and truth - in the representation of the inner master, augustine inscribes truth as an alternative place where the minds converge. The master teaches what is true but the pupil cannot learn a truth that remains external from the words of someone else. The understanding of"de magistro" comes up against two obstacles : the reading of a dialogue which is meant to be formative rather than informative, and the identification of the inner master, of truth and of christ. In the first part, we will show that "de magistro" is not a theoritical expose but a spiritual exercise ; in the second part we will analyse "de magistro" as an itinerary from words to signs and from signs to truth, avoiding the traps set by augustine thanks to the distinctions made in "de dialectica" lastly, we will show that the metaphor of the inner master has a praxeological function of urging inner conversion and that the triad of the master, the disciple and the inner master has an ethical dimension, liberating one of the alienating effects of the position of mastery. With augustine, it is the hermeneutical paradigm of the inner man that forms itself
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Calma, Monica, and Pierre d' Ailly. "Evidences, doute et tromperie divine : édition critique du Livre I, Question I des Sentences de Pierre d'Ailly." Paris, EPHE, 2008. http://www.theses.fr/2008EPHE5015.

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Abstract:
Ce travail propose d’un côté une édition critique du prologue des Sentences de Pierre d’Ailly (1350-1420) réalisée sur la collation des trois manuscrits Paris, Mazarine 934, 935 ; Sorbonne 194. De l’autre côte il propose l'analyse de la conception développée dans ce prologue, au sujet de degrés d’évidence. Pierre d’Ailly atteste l’existence d’une évidence absolue, à savoir celle du principe de non-contradiction, de l’évidence des propositions contingentes du genre ego cogito, ego vivo, et de l’évidence relative (secundum quid) manifeste dans le cas de la connaissance sensitive. L’évidence se définit aussi comme l'opposé de l'erreur. La cause principale de la tromperie est selon Pierre d’Ailly l’intervention de Dieu dans le processus de notre connaissance. Une enquête sur le problème de l’évidence chez Duns Scot, Guillaume d’Ockham, William Crathorn, Walter Chatton, Adam Wodeham, Jean Buridan et Jean de Mirecourt, ainsi que sur la doctrine de l’intuition de l’objet non-existent chez Pierre d’Auriol nous a permis de tracer la genèse de la pensée de Pierre d’Ailly et de dégager la nouveauté de sa position. Nous avons démontré qu’une grande partie de l’ouvrage de Pierre d’Ailly est assurée par des arguments copiés verbatim de Jean de Mirecourt, et nous avons classé son plagiat sous trois catégories : le plagiat d’expression, le plagiat polémique et le plagiat simpliciter
This work presents, on the one hand, a critical edition of the prologue of the Sentences of Pierre d'Ailly (1350-1420) carried out on the collation of the three manuscripts Paris, Mazarine 934, 935; Sorbonne 194. Furthermore, it contains a philosophical interpretation of this text on the subject of degrees of evidence] Pierre d’Ailly attests to the existence of an absolute evidence, namely the evidence of the principle of non-contradiction, the evidence of contingent propositions such as ego cogito, ego vivo, and the existence of a relative evidence (secundum quid), manifest in the case of sensitive knowledge. Evidence is also defined as opposition to error. The main cause of deception is, according to Pierre d'Ailly, God's intervention in the process of our knowledge. To understand the position of Pierre d'Ailly the author undertakes an investigation into the problem of evidence in Duns Scotus, William of Ockham, Crathorn, Walter Chatton, Adam Wodeham, Jean Buridan and Jean Mirecourt. Also under examination here is Pierre d'Auriol's doctrine of intuition of the non-existent object as a source for Pierre d’Ailly's conception of evidentia secundum quid. This study demonstrates that much of the thinking of Pierre d'Ailly is ensured by arguments copied verbatim from Jean Mirecourt, and his plagiarism is classified into three categories: plagiarism of expression, polemical plagiarism and plagiarism simpliciter
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Labban, Rima. "Les figures mythiques dans la culture arabo-islamique médiévale : l'exemple des "Mille et Une nuits"." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2003PA040058.

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Abstract:
L'étude des figures mythiques du roi Salomon et du calife Haroun al-Rachid dans la culture arabo-islamique médiévale à travers les 1001 Nuits revient, en premier lieu, à s'interroger sur le formation et la mise en oeuvre de représentations imaginaires, dans une société régie par les interdits religieux, pour exprimer ses désirs les plus profonds. Elle consiste, en deuxième lieu, à examiner les mécanismes et le mode de production de cet imaginaire, ses instruments, les moments et les lieux de son irruption. L'étude de ces deux figures se place, donc, au centre de l'imaginaire médiéval et, en même temps, à l'intersection des domaines historiques, politiques et sociaux. Pour comprendre comment un personnage historique se transforme en mythe politico-héroi͏̈que, autrement dit, pour répondre à la question comment les figures deviennent-elles mythiques, il faut faire appel à la fois à la méthode historique et à l'analyse littéraire, d'un point de vue narratif et sémiotique. Les réponses à ces interrogations sont censées déboucher sur une définition de la figure mythique dans la culture arabo-islamique médiévale et sur une définition du statut du conte au sein de celle-ci
The study of the mythical figures of king Salomon and the calife Haroun al-Rachid in the Arab-Islamic medieval culture, through The Thousand and One Nights, amounts, firstly, to questioning the making and animation of the imaginary representations in a society governed by religious interdictions to express its deepest desires. It consists, secondly, on examining the mechanisms and the mode of productions of the fancy, its instruments, and, the moments and places of its irruption. The study of these two figures is then situated at the center of the medieval fancy and at the same time at the intersection of the historical, political and social domains. To understand how a historical personality transforms into a politico-heroic myth, in other words, to answer the question of how figures become mythical, one should, at the same time, call upon the historical method and the literary analysis, from a narrative and semiotic point of view. The answers to these interrogations should lead to a definition of the mythical figure in the medieval Arab-Islamic culture and to a definition of the status of the tale in this culture
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Tarlazzi, Caterina. "Le deuxième réalisme du XIIe siècle : Gauthier de Mortagne et la théorie de l’indiuiduum." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040094.

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Abstract:
La recherche comporte deux aspects principaux. Premièrement, la thèse analyse une solution réaliste au problème des universaux datant du début du XIIe siècle et que l’on nomme ici ‘théorie de l’indiuiduum’ (= ThI; aussi connue sous les noms de ‘théorie de l’indifférence’, ‘théorie du status’, ‘deuxième théorie de la collectio’ etc.). Selon ThI, l’universel est l’individu lui-même dans l’un de ses status. ThI utilise en outre des éléments abélardiens pour une solution tout à fait opposée à celle d’Abélard. ThI est ici étudiée dans le cadre d’une analyse des solutions réalistes au problème des universaux présentées par cinq sources : la Logica ‘Ingredientibus’ d’Abélard, la Logica ‘Nostrorum’, le ‘De generibus et speciebus’ (qu’on cite à partir d’une transcription directe du ms. Orléans, BM, 266, pp. 154b-163a), le traité ‘Quoniam de generali’ et le commentaire inédit ‘P17’ à l’Isagoge du ms. Paris, BnF, lat. 3237, ff. 123ra–124va et 125ra–130rb. Cette recherche prend en compte non seulement ThI, mais aussi les autres théories réalistes (la théorie de l’essence matérielle, une variante de celle-ci, la théorie de la collectio et une troisième solution réaliste de la ‘Nostrorum’) qui sont décrites avec ThI, ainsi que les 78 arguments contre le réalisme cités par les textes, ici catalogués et analysés en détail. Deuxièmement, la thèse examine la question de l’attribution de ThI à Gauthier de Mortagne, qui fut maître à Reims et à Laon dans les premières décennies du siècle et dont la vie et les œuvres font ici l’objet d’une présentation. L’attribution se fonde sur le témoignage du Metalogicon (II, 17) de Jean de Salisbury qu’il convient de comparer aux données du Policraticus
This research project has two main objectives. First, its aim is to study a realist solution to the problem of universals from the early 12th century. This is called the indiuiduum-theory (=IndT; previous denominations include: indifference-theory, status-theory, second collectio-theory, etc.). IndT claims the universal to be a thing (res); in fact, it claims the universal to be the individual thing itself in one of its states (status). It makes use of some key notions of Abelard’s philosophy to produce a remarkably non-Abelardian sort of solution. The thesis subjects IndT to scrutiny by taking into consideration five main sources (which either describe IndT in order to criticise it, or in order to support it): Abelard’s Logica ‘Ingredientibus’, Logica ‘Nostrorum’, ‘De generibus et speciebus’ (transcribed directly from ms. Orléans, BM, 266, pp. 154b-163a), ‘Quoniam de generali’ and the Isagoge Commentary ‘P17’ (from ms. Paris, BnF, lat. 3237, ff. 123ra–124va, 125ra–130rb). Not only IndT, but the whole description of realism found in these texts is investigated. This includes an analysis of other realist views (different versions of material essence realism; the collectio-theory; a third realist solution in the Logica ‘Nostrorum’) together with a catalogue and detailed analysis of the 78 arguments presented against such realist views to be found in the five sources. A second aim of this work is to investigate whether IndT can be attributed to Walter of Mortagne, who was a master in Reims and Laon in the first decades of the 12th century. The attribution, which is based on John of Salisbury’s testimony in Metalogicon II, 17, is to be compared with John’s Policraticus
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Darbin, Ramona. "L'architecture dans les miniatures des manuscrits persans (du XIVème jusqu'à la fin du XVIème siècle)." Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010599.

Full text
Abstract:
L'analyse des proportions nous a révélé l'emploi constant et discret d'un trace géométrique au compas dans la structure de l'architecture de la miniature persane. Cette géométrie est discrète mais elle détermine des points importants et des lignes principales de l'architecture et lui donne la stabilité et la beauté formelle. Le peintre utilise avec une rigueur absolue les belles proportions d'architecture réelle et les impose à l'art des manuscrits musulmans, pour de longues années
The sizes' process revealed us the steady and sober using of geometry compass drawing on the frame of architecturein persian miniature. This geometry is sober but it establishes significant points and main lines of architecture and it sets the stability, the harmony and the express beauty. The artist executes with an absolute severity the marvellous sizes of actual arhitecture and prescribes them to the muslim manuscripts for long years
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Wéber, Édouard-Henri. "Les problèmes d'anthropologie dans l'Université de Paris durant la seconde moitié du treizième siècle." Paris 10, 1988. http://www.theses.fr/1988PA100055.

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Abstract:
Peu étudiée jusqu'ici (sauf pour la question de l'unicité ou de la pluralité des formes substantielles, l'anthropologie philosophique des maîtres parisiens de la fin du treizième siècle reste dominée par le dualisme traditionnel depuis saint Augustin. La présente étude, élucidant l'important débat dont la censure de 1277 est le principal repères, dégage les trois réponses alors proposées concernant l'inite interne du sujet humain et son animation intellective: celle du premier Siger de Brabant, axée sur la thèse d'Averroès de l'intellect unique pour tous les hommes; celle d'Henri de Gand, centrée sur la dualité de la forme corporelle et de la forme spirituelle caractérisée par la suprématie de la volonté sur l'intellect; enfin, négligée jusqu'ici du fait de la permanence du dualisme jusqu'à Descartes et après, celle de Thomas d’Aquin, au terme d'une évolution due au débat, établit avec rigueur l'unité de l'homme et ainsi constitue une nouvelle anthropologie. Celle-ci résulte de la substitution, au bunome antinomique de l'âme et du corps, d'un trinôme fondé sur le meilleure noétique gréco-arabe réinterprétée (surtout celle d'Averroès): 1. L'intellect réceptif ou "possible", qui est l'unique principe animateur ou âme rationnelle en son essence; 2. L'intelligible, principe d'actuation ontologique de l'intellect "possible"; 3. La condition corporelle qui, être en acte, possède sa propre intelligibilité. Finalement adoptée par Siger, elle intègre une conception de celui-ci: l'union de l'intellect supra-corporel avec le niveau corporel culmine dans le moment de la connaissance en acte des images sensitives. Le sujet humain subsiste en sa rigoureuse singularité à la mesure de son activité intelligente
The philosophical anthropology developed by the Parisian masters' of the end of the 13th century remains, since s. Augustin, holding away by the traditional dualism. The present study, by clearing up the debate of 1277, brings out the three answers till put forward concerning the intern unity of the human subject and of its intellective animation the answer of the first Siger of Brabant is developing of the Averroes' thesis about the only intellect for all human beings. Henry of Ghent’s answer is centered on the duality of the corporeal form and of the spiritual one characterized by the supremacy of the will on the intellect. The third answer which was not studied indeed because of the permanent dualism till Descartes and later, is from Thomas of Aquinas. He established, which a close reasoning an at the end of a long evolution, the unity of man and, by the fact, he constituted a new anthropology. This new anthropology is a result of the substitution of the soul and body (as a binomial antinomy) for a trinomial founded on the best greco-arabian noetical re-interpretation (above all the Averroes’ one): 1. The receptive intellect or "possible", which is the only live-giving principle or rational soul in its essence; 2. The intelligible as a principle of ontological actuation of the "possible" intellect; 3. The corporeal condition which, being in act, possesses its own intelligibility
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Di, Martino Carla. ""Ratio particularis". Immaginazione, cogitativa ed estimativa da Ibn Sînâ a Tommaso d'Aquino : Contributo allo studio della tradizione arabo-latina della psicologia di Aristotele." Paris, EPHE, 2003. http://www.theses.fr/2003EPHE5015.

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Abstract:
Cette étude, par un choix méthodologique conscient, s’est organisée suivant deux voies différentes : une voie d’histoire des textes, en suivant la transmission arabo-latine des textes psychologiques d’Aristote, à savoir, le « De anima » et les « Parva Naturalia », et une voie d’histoire doctrinale, en étudiant la réception de ces œuvres et la réaction, direct (exégèse) et indirecte (traité de psychologie), aux doctrines contenues. La détermination précise de l’apport de la science psychologique arabe, en particulier de Ibn Sînâ / Avicenne et de Ibn Rushd / Averroès, à l’attitude et aux thématiques de la tradition psychologique latine, d’abord augustinienne, puis de l’intégration, sur des sujets donnés, des trois traditions augustinienne, arabe et aristotélicienne dans l’œuvre d’Albert et de Thomas, représentants excellents de la pensée philosophique latine du XIIIe siècle, me semble un premier résultat important. Le fait d’avoir placé dans leur cadre historique et doctrinal des concepts capitaux du lexique arabo-latin, comme intentio, mémoire, forme spirituelle, reditio, ratio particularis, et leur intégration dans la philosophie latine, me semblent en être un second. Cette étude, d’ailleurs, ne ‘est voulu être qu’une contribution à l’étude de la tradition arabo-latine de la psychologie d’Aristote. C’est là ma première contribution, dans le cadre plus général du courant, auquel j’espère continuer à apporter mon concours, d’une redécouverte de nos racines médiévales, qu’elles soient chrétiennes, islamiques et judaïques, car l’histoire de la pensée est surtout une histoire humaine, on ne peut lui imposer un cours, tout comme l’arrêter
Through an aware methodological choice, this study has been organized following two different ways: the first one deals with the history of texts, and it studies the Arabic and Latin tradition of Aristotle’s psychological works, i. E. “De Anima” and “Parva Naturalia” ; the second way deals with a doctrinal history and it studies how these works were interpreted and both the direct (exegesis) and indirect (psychological traits) reactions to the doctrines that were in these works. The precise awareness of the influence of the Arabic psychological science, especially Ibn Sînâ / Avicenna and Ibn Rushd / Averroes, to the themes of the Latin psychological tradition, originally Augustinian, and also of the integration of the three traditions, i. E. The Augustinian one, the Arabic ones and that of Aristotle, in the Albert and Aquina’s works, which are two excellent representatives of the Latin philosophical theories of the 13th century, is the first important result of this work. The historical and doctrinal framing of very important concepts in the arabo-latin lexicon that is “intention”, memory, Spiritual Form, “reditio”, “ratio particularis” and the study of their integration onto the Latin philosophy is the second result. This study is nothing but a contribution to the study of the arabo-latin tradition of the Aristotle’s psychology. It is the first contribution to a more general picture, to which I hope to keep on contributing with my own studies, to rediscover our medieval origins both Christian, Jewish or Islamic, since the history of thought is above al a human history: we cannot channel it in a fixed route and, least of all, try to stop it
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Kuhry, Emmanuelle. "La Compilatio de libris naturalibus Aristotelis et aliorum quorundam philosophorum ou Compendium philosophie : histoire et édition préliminaire partielle d’une compilation philosophique du XIIIe siècle." Thesis, Université de Lorraine, 2014. http://www.theses.fr/2014LORR0290/document.

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Abstract:
Probablement rédigé au milieu du XIIIe siècle dans un milieu proche de celui de l’Université, l’anonyme Compendium philosophie ou Compilatio de libris naturalibus Aristotelis et aliorum quorundam philosophorum donne à voir un abrégé du corpus aristotélicien sur la nature divisé en huit livres. Jamais édité à l’époque moderne et tombé dans l’oubli le plus total après le XVe siècle, le Compendium philosophie a été relativement peu étudié et la seule édition disponible en est une édition partielle, à hauteur d’1/7e du texte, réalisée dans les années 1930 à partir du texte d’un seul manuscrit. Notre travail doctoral a non seulement permis de dégager une liste de 37 manuscrits au total, ce qui laisse imaginer une diffusion relativement efficace, mais encore d’établir que l’oeuvre avait connu au moins quatre versions différentes. Plusieurs éléments nous mettent sur la piste, en ce qui concerne la rédaction, d’un réseau cistercien en rapport avec les études. L’état des sources « philosophiques » du texte laisse supposer, quant à lui, une rédaction en milieu universitaire. La conjonction de ces deux informations nous mènera à formuler une hypothèse originale sur la genèse du texte et son contexte de rédaction. Outre l’enquête sur la tradition manuscrite et les sources du texte, ce travail doctoral tentera de rendre compte de l’état des quatre versions dans une édition critique préliminaire d’une partie des livres sur la philosophie naturelle
Probably written in the middle of the XIIIth century in a universitarian context, the anonymous compilation known as Compendium philosophie or Compilatio de libris naturalibus Aristotelis is an abbreviation of Aristotle’s corpus on nature and is composed of eight books. Few scholars have been interested in this text and the only edition ever made was a partial one, from only one manuscript. This doctoral work shows that the text is preserved in at least 37 manuscripts, and that it was transmitted in four different versions. Furthermore, deep links with the cistercian order have been discovered, as well as university sources for the philosophical parts of the text. Finally, a critical edition of part of the text will be carried out
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Ndombe, Diasivi Lopez. "La conception de la justice selon saint Thomas d'Aquin." Paris 4, 1995. http://www.theses.fr/1995PA040042.

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Abstract:
Une place importante est accordée à la doctrine du droit. Le droit contribue largement à la compréhension du concept de la justice. On dit que le droit naturel est la source indéniable de la justice et que le droit positif reflète la justice même. C'est le cas du principe selon lequel la justice implique la loi. La bible présente une certaine contradiction sur ce sujet. Dans l'ancien testament l'homme est justifié d'après les œuvres de la loi, et le nouveau testament ne la confirme pas. Jésus tolère la pratique de la loi tandis que saint Paul s'oppose en considérant de l'inefficacité de la loi à sauver l'homme. Saint Thomas reprendra les idées pauliniennes. La justice distributive et la justice commutative seront l'objet principal du concept thomiste de la justice. Cette sorte de justice est d'origine grecque, et ne se trouve pas bien établie dans la bible. En adoptant cette position, saint Thomas donne l'impression que sa justice contient plus d'influences profanes que chrétiennes
It has been demonstrated throught our research the problems to find of saint Thomas true originality on the matter of justice. Those problems lay principally in the question of knowing if his doctrine on justice is Christian or profane. By analyzing his Somme theologique, we notice that Aristotle inspired saint Thomas. Because of this influence, we doubt about the Christianity of saint Thomas work on justice. We also have to recognize that saint Thomas has been inspired by saint Paul on the on the matter of the meaning of man. If Aristotle believes in getting to justice with the obedience of the law, saint Thomas is from Aristotle’s point of view. This why we have developed throughout an work an the doctrine of the law, philosophically and theological, but we have found that saint Thomas has formed his doctrine with the help of these two positions
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Ozilou, Marc. "La monadologie bonaventurienne." Paris 4, 2006. http://www.theses.paris-sorbonne.fr/theseozilou/theseozilou/html/index-frames.html.

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Abstract:
Cette thèse présente la pensée bonaventurienne comme une monadologie. Toutefois, le principe de cette monadologie n'est pas l'unité indivisible de la monade, comme dans la monadologie leibnizienne, mais la ressemblance avec une tri-unité, à savoir la Trinité créatrice, dont tous les êtres dépendent et que tous expriment à leur manière les uns aux autres. De même, le cadre de cette expression ne doit rien à une harmonie préétablie, mais relève d'une hiérarchie qui, si elle s'ordonne à la Trinité, comprise comme modèle exemplaire de tous les êtres créés qui en sont les images, nécessite l'engagement d'un sujet libre qui peut s'y refuser. De plus, suite à cette étude, nous avons été conduits à repenser les relations entre philosophie et théologie dans la pensée du maître franciscain, à y constater l'existence d'une philosophie, la spécificité de sa rhétorique et la caractérisation de son éthique comme philosophie première. Pour cette démonstration, nous avons usé de l'archéologie foucaldienne : d'une part, pour remettre en cause certaines interprétations, aussi bien anciennes que contemporaines, philosophiques que théologiques ; d'autre part, de façon à présenter le discours monadologique qui articule le sujet et l'objet en tant que monades, comme solution à la problématique archéologique à laquelle revient méthodologiquement l'articulation du sujet, de l'objet et du discours. Enfin, dans la mesure où Bonaventure n'a pas écrit de traité monadologique et que sa monadologie n'est que la résultante de sa pensée et de ses conditions d'exercice, nous avons été amenés, selon une finalité propre à la méthode archéologique, à réécrire cette monadologie. C'est pourquoi cette thèse s'intitule, non pas la monadologie de saint Bonaventure, mais la monadologie bonaventurienne
This thesis describes the bonaventurian doctrine as a monadology. However, the premise of this monadology is not that of an inseparable unity of the monad, as is the case in the leibnizian monadology, but rather a likeness to a three-unity, being the creative Trinity on which the whole of mankind relies, yet each individual may assert in their own way. In this same fashion the framework of that assertion, is not the result of some kind of pre-established harmony, but depends on the hierarchy, which while commanded by the Trinity, itself identifiable as the exemplary model of all mankind and to that given image requires nonetheless, the capable of denial. Moreover, in the light of such sense of between philosophy and theology in the mind of Master Franciscan, by recognising the specificity of the rhetoric and the characterization of his ethic as primary philosophy. For this demonstration, we have made use of the foucaldian archaeology : in part, as a means to question particular interpretations, be they dated contemporary philosophical or theological ; moreover, introducing the monodological speech, which is both central to subject and object as the monads, providing a solution to the archaeological questioning about which the central issues relating to subject, object and speech reappear systematically. Finally, as far as Bonaventure did not write a treaty of monadology and as far as its monadology is only the resultant of its thought and its conditions of exercise, we were brought, according to an end appropriate for the archaeological method, to rewrite this monadology. That is why this thesis is entitled, not saint Bonaventure's monadology, but monadology bonaventurian
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Elsakhawi, Ahmed Nabil. "Étude du livre Zāy (Dzêta) de la Métaphysique d'Aristote dans sa version arabe et son commentaire par Averroès." Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010543.

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Abstract:
Traduction annotée de la version arabe de la métaphysique d'Aristote (livre E) et de son commentaire par Averroès. Recherches sur la terminologie de la version arabe et du commentaire. Recherches sur la doctrine de la substance dans le livre Z de la métaphysique et dans son commentaire par Averroès. D'autres questions connexes à celle de la substance sont également abordées, à savoir la génération, la critique par Aristote de la théorie platonicienne des idées et la définition
Annotated translation of the arabic version of Aristotle's metaphysics (book z) and of its commentary by Averroès. Research on the terminology of the arabic version and on its commentary. Research on the doctrine of substance in Aristotle's metaphysics (book z) and in its commentary by Averroès. Other issues related to the one on substance are also considered, i. E. Generation, Aristotle's criticism of Plato's theory of ideas and definition
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Fiamma, Andrea. "Nicola Cusano a colonia : la dottrina dell'intelletto di nicola cusano nel contesto delle sue possibili fonti albertine e renane." Thesis, Université de Lorraine, 2016. http://www.theses.fr/2016LORR0077.

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Abstract:
Par la présente recherche, nous cherchons à soutenir que dans l'éducation philosophique du jeune Nicolas de Cues (entre 1424 et 1431), la tradition albertine de Cologne, diffusée par Heymeric de Campo, a joué un rôle important. Nous pensons aussi que les traces de cette influence de l'albertinisme colonien émergent en particulier dans les écrits épistémologiques du Cusain, en particulier dans le De coniecturis et dans la collection « Idiota ». Nous montrerons que Nicolas de Cues, qui a personnellement connu Heymeric, a eu grâce à lui connaissance des doctrines néo-platoniciennes qui émergent dans le De docta ignorantia et dans les œuvres cusaniennes des années 1440. Contrairement à la perspective historiographique, qui a soutenu une origine byzantine du néoplatonisme de Nicolas de Cues, nous voulons ici montrer une origine colonienne. Nous sommes également convaincus que cette approche méthodologique permet de saisir efficacement la pensée de Nicolas de Cues dans son contexte historique, « 1430-1464 », et topographique, « entre Cologne et Rome ». Elle fournit aussi une clé pour éclairer le rapport entre la philosophie de Nicolas de Cues et certains penseurs modernes : la Cusanus-Renaissance de la première moitié du XXe siècle avait attribué à Nicolas de Cues le titre de « premier philosophe moderne » parce que, contrairement à la tradition scolastique, il aurait placé au centre de ses œuvres le problème de la connaissance humaine, ouvrant ainsi la voie à la révolution subjectiviste de la modernité. Une telle attention pour la connaissance humaine se retrouve également dans la tradition albertine, décrite comme un « illuminisme » au Moyen Age
In this research, we present the hypothesis that the Albertist tradition in Cologne played a significant role in how young Cusanus acquired his philosophical education, in the years from 1424 to 1431, and that the mediator was Heymericus de Campo. We claim that some traces of this albertist influence can be seen above all in Cusanus' gnoseological works, particularly in De coniecturis and in the Idiota collection. Contrary to the historiographical perspective that maintained the hypothesis that Cusanus’ neo-Platonism derived from Byzantine thought, we should like to sustain here that it originated in the school of Cologne and Rhenish philosophy. We are further convinced that this methodological approach provides an efficient tool for interpreting and capturing Cusanus’ thought within its contexts, both historical ( from “1430 to 1464”) and geographical (“from Cologne to Rome”). Moreover, finding traces of Albertism in Cusanus’s education and works offers a new key to interpreting and clarifying his relationship with modern philosophy. The Cusanus-Renaissance in the first half of the twentieth century saw in Cusanus the first modern philosopher because, unlike those of the Scholastic tradition, he was thought to have placed human knowledge at the core of his works, thus paving the way for the modern, subjectivist revolution. From this standpoint, Albert the Great and his “school” seem be be forerunners of the modern tradition, so much so that it was described as “Enlightenment in the Middle Ages
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Rukriglová, Dita. "Le médecin du corps et de l'âme : Maïmonide, l'aristotélicien juif." Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0026.

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Abstract:
La thèse présente deux thèmes de la philosophie de Maïmonide : le régime universel se trouvant dans toutes les créatures et la théorie aristotélicienne du juste milieu interprétée par l'auteur juif. La première partie décrit la structure hiérarchique (matérielle ainsi que spirituelle) de l'univers selon les théories astronomiques et philosophiques héritées des prédecesseurs grecs et arabes. Le thème est suivi par l'analyse des éléments qui constituent le corps humain et des facultés de l'âme. La deuxième partie présente la médecine de Maïmonide, essentiellement allopathique. Elle ne modifie pas les principes de guérison selon la tradition greco-musulmane. La conclusions se concentre sur l'application des principes médicaux dans le domaine éthique. L'Harmonie "horizontale" représente la condition nécessaire pour le développement postérieur de l'homme
The dissertation focuses on two themes of mamonides'philosophy : on the universal law present in every creature and on the aristotelian theory of mean interpreted by the jewish author. The 1st part describes the hierarchic, material and spiritual, structure of the universe according to astronomical and philosophical theories inherited from his greek and arabic predecessors. There than follows analysis of the constitutional elements of the human body and the faculties of the soul. The 2nd part presents the theoretical fundaments of maimonides' medical practice, which is essentially allopathhic. The end of the dissertation concentrates on the application of the medical principles in the ethical field. The notion of the mean is analyzed in its "horizontal" aspect as a necessary condition of human subsequent development
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Alcoloumbre, Thierry. ""Psychè" et "Nefesh" : les rapports de la psychologie et de la morale chez Aristote et Mai͏̈monide." Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010674.

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Abstract:
Aristote n'a pas conceptualisé la notion de personne, mais on en trouve des aspects dans sa description des fonctions intellectuelles, qui sont spécifiquement humaines. Je me connais à travers mes réalisations théoriques et pratiques (connaissance en acte, œuvres d'art, action de valeur) et dans la permanence de mes qualités intellectuelles et morales. Mise en acte de notre finalité, le bonheur inclut tous les biens, mais d'abord la réussite intellectuelle et morale ; il dépend donc de nous, mais reste soumis aux aléas de la naissance et du hasard ainsi qu'aux difficultés d'une régulation morale. Maïmoide applique le péripatétisme à l'élucidation de l'anthropologie biblique et rabbinique; c'est par l'intellect que l'homme est "à l'image de Dieu". Mais sa théologie l'amène à dépasser l'anthropologie d’Aristote: l'intellection conduit à l'unité et à la volonté d'un créateur et fonde une théodicée de la nature; le perfectionnement moral est indispensable à l'accomplissement spirituel véritable, qui est la prophétie; enfin la Torah est une loi révélée qui garantit pour chacun la possibilité de la réussite morale
Aristotle has not formed a definite notion of the human person, but has contributed to it's later development by describing what is specific to the human soul, namely the theoretical and practical foncti ons of the intellect. The human self is not only to be found in the actualization of knowledge but also in practical realizations, either artifacts or moral actions, the latter deriving from moral goodness. Happiness, understood as the fulfillment of human finality, will consequently depend on our decision, within the bounds of our nature, but one happens to fail either by misfortune or for lack of a proper direction. Maïmonides applies his peripatetic views to interprete the jewish anthropology; intellect turns to be what bible calls the "image" of good. But Maïmonides gets rid of aristotle on the main points of his theology: intellection leads to the knowledge of god's unity and will, laying the foundations of a theodicy; moral improvement is necessary to the reach of prophecy, which is the very accomplishment of mond; above all, Torah is a revealed law, and the key to moral accomplishment
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Ballanfat, Marc. "Le problème de la perception dans le Nyaya, en particulier à la lumière de la Nyayamanjari." Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040408.

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Abstract:
L'objet de la thèse est l'étude de la perception telle qu'elle est définie et expliquée dans une école philosophique de l'Inde, le Nyaya, et en particulier dans l'un de ses traites les plus représentatifs, la Nyayamanjari, dont l'auteur, Jayanta Bhatta, a vécu au 9e siècle. Je pose dans l'introduction la question suivante: peut-on déterminer un rapport chronologique entre les divers auteurs du Nyaya? Et j'y réponds en montrant que l'examen attentif des textes ne le permet pas. Ensuite, j'y aborde l'étude de certains des concepts fondamentaux que le Nyaya utilise dans sa définition et sa description de la perception, en les replaçant non seulement dans le contexte de la polémique avec les bouddhistes, mais aussi à l'intérieur de la pensée de Jayanta: le fait que la perception n'est pas dénommable(avyapadesya); le fait qu'une perception déterminée par un concept est valide(savikalpakapratyaksa); la preuve de l'existence d'une perception non déterminée (nirvikalpakapratyaksa); la nature de son objet. La partie importante de mon travail réside dans la traduction et le commentaire du chapitre que Jayanta consacre à la perception. Il se caractérise d'abord par son unité. Ainsi, Jayanta donne-t-il une cohérence logique aux solutions qu'il apporte, par exemple quand il supplée un mot dans la définition de la perception afin de réfuter une objection. En ce sens, c'est d'un traité qu'il s'agit ici (dont) plus que d'un commentaire, ce qui contribue à lui donner une place privilégiée dans le Nyaya. Il faut aussi souligner la richesse philosophique d'un texte où sont cités longuement des auteurs inconnus par ailleurs, je veux parler de l'Acarya et du Vyakhyatr
The purpose of my thesis is the study of perception as it is defined and explained in a school of Indian philosophy, Nyaya, and particularly through one of its most lucid representative, Jayanta Bhatta who wrote the Nyayamanjari in the 9th a. D. The general introduction gives me the opportunity to ask the following question: is it possible to establish a chronological relation between Jayanta and other authors of Nyaya? And to answer by saying that the scrutiny of the texts doesn't by any way lead to a reply. Then, i deal with the examination of some of the fundamental concepts that Nyaya brings in to define and describe perception, in order to give them a meaning not only in the polemics with their buddhist adversaries but also inside the thought of Jayanta: the fact that perception cannot be named (avyapadesya); the fact that a determinate perception is valid (savikalpakapratyaksa); the proof of the existence of a non determinate perception (nirvikalpakapratyaksa); the nature of its object. The main part of my work lies in the translation and commentary of the chapter that is devoted by Jayanta to perception. What distinguishes it is its unity. Thus jayanta makes a point of bringing into his solutions a logical consistency, for example by supplying one word in the definition of perception to refute an objection. In this chapter it is more a free composition than a commentary. Which gives a glance to its particular and remarkable meaning in Nyaya. So a philosophical text has to be stressed where otherwise unknown authors are fully quoted as Acarya and Vyakhytr
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Bétemps, Isabelle. "Imaginaire et savoir dans l'œuvre de Guillaume de Machaut." Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1994PA040021.

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Abstract:
Cette thèse est une étude litteraire et synchronique des dits et des poésies lyriques de Guillaume de Machaut. Elle vise a rendre compte de l'imaginaire du poete lié à differentes formes de savoir. Ce travail, divisé en trois parties : "le miroir du monde", "miroir en eclats, eclats de miroir", "l'observatoire", propose un itineraire. Dans la première partie, nous montrons que Machaut exprime la relation de l'homme au monde en recourant aux sciences du quadrivium, en faisant appel aux métaphores naturelles, tirées des différents règnes, animal, végetal, minéral. Dans la deuxième partie, nous constatons que le "miroir" de Machaut, travaille par l'ambiguité et l'instabilité des signes, traverse une crise et vole en éclats. Dans la troisième partie, nous proposons de substituer au "miroir" "l'observatoire" qui conduit le poête à s'ouvrir sur le monde afin d'en observer les divers phénomenes et les mouvements. La poésie de Machaut se deprend des codes symboliques pour aboutir à une phénomènologie
This dissertation is a synchronic literary study of the narratives and lyrical poetry of guillaume de machaut. It aims at giving an account of the poet's imagination connected to different forms of knowledge. This work which falls into three parts : - 'the mirror of the world', 'splinted mirror, splinters of mirror', 'the observatory', offers a route. In the first part we show that machaut expresses the relationship of man to the world by resorting to the sciences of the quadrivium ; with the use of natural metaphores drawn from the different kingdoms - the animal, the vegetable and the mineral. In the second part we notice that the 'mirror of the world', tormented by the ambiguity and the instability of signs, undergoes a crisis and goes to pieces. In the third part we suggest substituting to the 'mirror' 'the observatory' that leads the poet to open his mind to the world so as to observe its phenomena and its motion. Machaut's poetry frees itself from the symbolic codes into a phenomenology
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Cseke, Akos. "Etre capable de Dieu : le concept de l'imitation chez Bonaventure et Thomas d'Aquin." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040043.

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Abstract:
Que peut l'homme ? Quelles sont les possibilités incluses dans son être ? Quel est le bonheur dont il est digne ? Telles sont les questions que cette thèse essaie de clarifier à travers la lecture des textes philosophiques de Bonaventure et Thomas d'Aquin. Le point de départ est l'expression augustinienne selon laquelle l'homme est " capable de Dieu ", et le but principal est de montrer que la pensée de ses deux auteurs du 13e siècle peut être traitée comme une sorte d'exercice spirituel au cours duquel il s'agit d'élaborer une méditation qui est une préparation à vivre l'impossible divin. L'homme est capable de plus que le soi, il est capable de Dieu, et la théorie médiévale de l'imitation du Christ est une manière de vivre qui offre les diverses " techniques de soi " par lesquelles l'homme peut se rendre capable de Dieu
Which are the real capacities of man? What is the happiness that he deserves? These are the main questions that this paper tries to work out by the lecture of the philosophical texts of Bonaventure and Thomas Aquinas. The starting point is an expression of Augustine which determines man, the image of God by the fact that he is “capable of God”, and the aim of this paper is to show that philosophy for these two authors of the 13th century means a kind of spiritual exercise, that is a preparation for a life which contains however not only that which is possible for man, but also the divine impossibility. Man is essentially capable of God and medieval theory of the imitation of Christ can be considered as a way of living which offers various “techniques of the self” in order to invite man to become capable of what one calls God
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Tisserand, Axel. "Logique et théologique dans les traités théologiques de Boèce." Paris, EPHE, 2002. http://www.theses.fr/2002EPHE5010.

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Abstract:
La thèse porte sur les traités théologiques ; mais elle cherche à les concevoir dans l'économie générale d'une oeuvre qui semble initialement n'être que le versant latin de la tradition néoplatonicienne grecque qui repose depuis Porphyre sur une étude systématique de l'Organon d'Aristote comme première étape d'un cursus qui part de la connaissance de ce qu'elle appelait "les petits mystères" (Isagogè de Porphyre, Organon d'Aristote) pour arriver à celle des "grands mystères" (les oeuvres de Platon). Boèce poursuit exactement le même projet, mais chez lui Platon a perdu sa dimension de théologien divin, tandis que dans le même temps, il poursuit une oeuvre de théologien chrétien. Ainsi l'axe qui va de la logique à la science théologique modifie en profondeur la perspective à la fois méthodologique et philosophique de l'entreprise initialement poursuivie par Boèce : c'est en théologie catholique qu'il utilisera systématiquement les instruments fournis par la logique aristotélicienne. D'où un quadruple questionnement au fondement même de notre recherche : 1 - Y a-t-il une solution de continuité entre le Boèce logicien et philosophe d'une part, et le Boèce théologien d'autre part ? 2 - Dans le cas contraire, quelle est la place de la logique dans la constitution d'une science théologique comme telle ? 3 - Quelle place la conception aristotélicienne de la science théologique a-t-elle dans la constitution de cette même science chez Boèce ? Cette conception aristotélicienne est en effet celle-là même que Boèce, mot pour mot, reprend à son compte dans le plus théologique et le plus augustinien de ses traités, celui Sur la Trinité. 4 -Enfin, quelle est l'articulation chez Boèce de la pensée des Pères et de la philosophie antique héritée du néoplatonisme : Boèce ne se concevait-il pas comme un nouvel Aristote, l'Aristote de la théologie chrétienne ?
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Kaddour, Karim. "Traduction commentée du Grand commentaire d' Averroès aux livres petit Alpha, grand Alpha, Gamma et Epsilon de la Métaphysique d' Aristote." Thesis, Paris 1, 2018. http://www.theses.fr/2018PA01H233/document.

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Abstract:
L’objet de ce présent travail consiste dans une traduction commentée du Grand commentaire d’Averroès de la Métaphysique d’Aristote à partir du texte arabe établi par le père Maurice Bouyges. Cette traduction concerne principalement les livres Grand Alpha, Petit Alpha ; Gamma ; Epsilon. Ce travail s’inscrit dans l’intérêt que nous portons à la transmission de la pensée grecque chez les auteurs musulmans du Moyen Âge, et plus particulièrement à la restitution de la pensée métaphysique d’Aristote chez Averroès. À travers cette traduction, les enjeux sont multiples : traduire le texte arabe de la Métaphysique avec ce qu’il contient et ce qu’il exclut afin de déterminer la nature du texte arabe commenté par Averroès et voir s’il existe une réelle correspondance avec le texte que nous connaissons d’Aristote. En outre, permettre aux hellénistes d’accéder au texte qui a servi de support pour toutes les métaphysiques musulmanes, notamment celle d’al-Kindi, d’al-Fârâbî et d’Avicenne, car c’est le même texte qui a été utilisé par ces derniers, alors que chaque auteur a interprété différemment le contenu doctrinal de ce traité. Et enfin, suivre pas à pas le commentaire d’Averroès afin de déterminer si ce dernier demeure fidèle à Aristote en l’interprétant sans aucune considération extérieure, ou bien si son interprétation s’en éloigne volontairement, rejoignant ainsi le cercle de la plupart des philosophes néoplatoniciens. Quelques résultats de recherche ont été exposés dans les Appendices. Ils concernent essentiellement les différentes variantes que le texte soulève. Tout d’abord, une première étude consacrée à examiner la structure et le contenu de l’ensemble du traité d’Aristote dans sa version arabe. Ensuite, une deuxième étude consacrée à examiner toutes les corruptions relatives aux quatre livres traduits et leur conséquence sur l’unité doctrinale de la pensée d’Aristote. Et enfin, une troisième étude dans laquelle sont examinées les différentes erreurs de traduction et leur conséquence sur le commentaire d’Averroès
The object of this present work is a commented translation of Averroes’ Great commentary on Aristotle’s Metaphysics from the Arabic text prepared by father Maurice Bouyges. This translation mainly concerns the books Alpha, little Alpha, Gamma and Epsilon. This work is a part of our interest in the transmission of the Greek knowledge among Muslim authors of the Middle Age, and particularly the restitution of the metaphysical thought of Aristotle in Averroes.Through this translation, the stakes are multiples: translating the Arabic text of the Metaphysics with what it contains and what it excludes in order to determine the nature of the Arabic text commented by Averroes and to see if there is a real correspondence with the text we know of Aristotle. In addition, allowing the Hellenists to access the text that has served as a support for all Muslim metaphysics, including that of al-kindi, al-Fârâbî and Avicenne, as it the same text that was used by the latter, while each author has interpreted the doctrinal content of this treatise differently. And finally, following step by step the commentary of Averroes to determine if the latter remains faithful to Aristotle by interpreting it without any external consideration, or if its interpretation deviates voluntarily, joining the circle of most of Neo-Platonist philosophers.Somme research results are exposed at the end of the translation. They mainly concern the different variants that the text raises. First, a primary study devoted to examine the structure and content of the entire Aristotle treaty in its Arabic version. Then, a second study devoted to examine all the corruptions relative to the four translated books and their consequences to the doctrinal unity of Aristotle’s thought. And finally, a third study in which are examined the various translation errors and their consequences on the commentary of Averroes
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Costa, Iacopo. "Il commento di Radulfo Brito all’"Etica Nicomachea" : Edizione critica del testo con uno studio critico, storico e dottrinale." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040056.

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Abstract:
Cette thèse consiste dans l’édition critique du commentaire de Raoul Lebreton sur l’Éthique à Nicomaque (ca. 1295). Le texte critique est précédé par une étude critique, historique et doctrinale, dans laquelle j’étudie les problèmes philologiques de la transmission de ce texte, le problème de l’identification de l’auteur, et celui de la doctrine du texte. Ce texte, dont la transmission est caractérisée par des témoins fragmentaires et remaniés, semble avoir joué un rôle important dans la réception latine (scholastique) de l’Éthique d’Aristote à la fin du XIIIe siècle : son auteur, Raoul Lebreton, actif à l’université de Paris à la fin du XIIIe siècle et au début du XIVe, démontre, dans ce commentaire, qu’il a pris position sur les problèmes moraux fondamentaux de son époque, dans le cadre du débat philosophique et théologique contemporain
This PhD thesis consists in the critical edition of the commentary on the Nicomachean Ethics written by Radulphus Brito (ca. 1295). The critical text is preceded by a critical, historical and doctrinal study, where I examine some philological problems of the transmission of the text, the problem of its authorship, and the doctrines of the text. The text, whose transmission is characterized by fragmentary and reshaped witnesses, seems to represent an important stage of the latin reception of the Nicomachean Ethics at the end of the XIIIth century: his author, Radulphus Brito, a master of arts at the University of Paris at the end of the XIIIth century and at the beginning of the XIVth, deals with the most important moral problems of his age, in the context of the contemporary theological and philosophical debate
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Carroy, Bertrand. "La génération naturelle chez Thomas d’Aquin." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2006PA040156.

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Abstract:
La génération en tant que mouvement ou passage du non-être à l’être dans les corps est un concept fondamental pour qui étudie la nature. La pensée chrétienne fait connaître à ce concept, omniprésent dès les débuts de la philosophie grecque, une double destinée : d’une part il semble éclipsé au profit de la notion de création, d’autre part il est transformé au sein du discours théologique pour dire la relation trinitaire du Père et du Fils. Le but de cette étude est de montrer comment Thomas d’Aquin, grand témoin du XIIIe siècle et acteur de l’accueil de la theoria aristotélicienne dans le discours théologique, comprend et utilise le concept de génération naturelle. Le travail précis de ce lieu philosophique central et de son application en théologie fait apparaître distinctement le projet thomasien d’unir foi et raison. Les moyens utilisés sont le recensement des textes significatifs et l’ordonnancement des grands mouvements de sa pensée sur la génération naturelle : les principes sur lesquels elle repose, ses spécificités et divisions (éléments, corps inanimés, végétaux, animaux), le cas de la génération humaine. Ces mouvements rejoignent certaines des problématiques cruciales du XIIIe siècle, en particulier celles de l’éternité du monde et de la pluralité des formes. Thomas d’Aquin manifeste, par l’emploi très travaillé du corpus d’Aristote pour rendre raison de la nature et de la Révélation qui s’y est manifestée, à la fois un respect absolu pour les Ecritures et une grande audace intellectuelle
The generation of the body is a basic concept for anyone studying nature. Pervasive since the beginning of Greek philosophy, Christian thought introduced it and gave it a double destiny : on the one hand it seems to be overshadowed for the benefit of the Creation’s notion ; on the other hand it is transformed in the theological discourse to express the Trinitarian relation of the Father and the Son. The goal of this study is to show how Thomas Aquinas, great witness and actor of the thirteenth century and actor in Aristotelian theoria’s reception in the theological discourse, understands and uses the concept of natural generation. By the precise study of the central philosophical topic and by its theological application, clearly appears Thomas’ project of unifying faith and reason. Means used in this study are a thorough text inventory and the ordering of the great motions composing his thought on natural generation : its principles, specificity and divisions (elements, inanimate corps, vegetables, animals), human generation’s case. These motions bring together some of the crucial medieval questions, particularly those of the eternity of the world and the plurality of the forms. Thomas Aquinas shows, through a reasoned used of Aristotle’s corpus by giving intelligibility to the nature and Revelation which is manifested through it, both an absolute respect for Holy Scripture and a fine intellectual daring
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Aballagh, Mohamed. ""Raf al-hijab" d'Ibn al-Banna : édition critique, traduction, étude philosophique et analyse mathématique." Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010564.

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Abstract:
Ce travail consacré essentiellement à l'édition critique et à la traduction française du Raf al-hijab d'Ibn al-Banna al-Murrakushi (m. 1321), a été complété par une introduction qui contient en particulier un rappel des études faites sur cet auteur : les historiens des sciences d'avant-guerre se sont interessés uniquement au talkhis. Or, des recherches récentes ont montré que l'apport mathematique d'Ibn al-Banna, dans le domaine algébrique, dans celui de la théorie des nombres, et en analyse combinatoire, est contenu surtout dans son second livre le Raf al-hijab. L'étude bibliographique consacrée exclusivement aux écrits mathématiques d'Ibn al-Banna révèle la place importante occupée par le talkhis, dans le domaine de l'enseignement et dans celui de la rédaction d'ouvrages mathématiques au Maghreb médiéval. En ce qui concerne Raf al-hijab, son analyse revèle que des outils philosophiques, juridiques ou linguistiques ont été sollicités par Ibn al-Banna pour expliciter certains principes premiers de la science du calcul, et pour justifier quelques définitions mathématiques. Quant à l'analyse mathématique de ce traité elle a permis de repérer les différentes contributions de l'auteur et ses éventuelles influences en mathématiques. Pour établir le texte nous avons comparé les manuscrits deux à deux, en les décrivant et en établissant leur arbre généalogique. Nous avons donné à la fin un index bilingue des mots du Raf al-hijab
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Crialesi, Clelia Vittoria. "L’aritmetismo teologico dei secoli X e XI : Abbone di Fleury e l’Explanatio in Calculo Victorii." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2019. http://www.theses.fr/2019PSLEP002.

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Abstract:
Cette thèse porte sur l’Explanatio in Calculo Victorii d’Abbon de Fleury, un commentaire aux tables de multiplication de Victorius d’Aquitaine (fl. 450). En considérant l’oeuvre d’Abbon comme le témoin par excellence de la tradition philosophique, que je qualifie d’« arithmétisme théologique », ma thèse se veut une contribution à l’histoire du néo-pythagorisme médiéval des Xe et XIe siècles. Les thèmes suivants y sont abordés : l’interprétation d’Abbon du verset Sap. 11, 21 et son arrière-plan philosophique (ch. III) ; son hénologie (théorie de l’unité) à l’égard de l’unité divine et créée (ch. IV) ; sa conception de la composition – ontologique et matérielle – des créatures (ch. V) ; ses compétences computistes et arithmétiques qui prennent appui sur la théorie boécienne des nombres et sur les méthodes de calcul (ch. VI). Dans le cadre bien néopythagoricien de l’Explanatio, certaines notions péripatéticiennes sont employées par Abbon dans l’étude des phénomènes physiques (ch. VII). De plus, la thèse entend situer la pensée abbonienne dans un contexte culturel qui se caractérise par un renouvellement dans l’étude des arts libéraux, tout particulièrement du quadrivium, qui est favorisé par la redécouverte progressive du De arithmetica de Boèce et par la diffusion en Occident de nouveaux instruments de calcul (ch. I). Les traditions manuscrites de l’Explanatio d’Abbon ainsi que du Calculus de Victorius sont également examinées, dans le but de dégager deux voies possibles par lesquelles l’oeuvre de Victorius est arrivée à l’abbaye de Fleury. Ensuite, on montre la place du commentaire d’Abbon dans l’histoire de l’arithmétique en tant que théorie des nombres autour de l’an mil (ch. II). La thèse étudie les sources philosophiques d’Abbon, tout en analysant sa façon de comprendre et d’harmoniser les différentes approches platoniciennes, notamment d’après le De statu animae de Claudien Mamert, le Commentaire au Timée de Calcidius, le Commentaire au Songe de Scipion et les Saturnalia de Macrobe, le De arithmetica et le De institutione musica de Boèce
This thesis deals with the arithmetical commentary by Abbo of Fleury on the series of multiplication tables ascribed to Victorius of Aquitaine (fl. 450): the Explanatio in Calculo Victorii. My research aims to shed light on the history of medieval Neopythagoreanism between the 10th and 11th centuries, in which Abbo’s work stands as a peculiar testimony of what my work indicates as “theological arithmetism”. The organization of my thesis follows this overall structure. In the first two chapters Abbo’s life and works are presented with a special emphasis on his educational training and learning. Then, the main topics of his “mathematism” are presented, starting with Abbo’s interpretation of the Biblical passage on God who created everything in number, wheight and measure (Wisd. 11, 21), which is discussed at chapter 3, also by illustrating its philosophical background. Then, I present Abbo’s “henology”, namely his consideration of Unity, with regard to both divine and created unity (chapter 4); moving next to his conception of ontological and material compositeness, which Abbo ascribed to creatures (chapter 5) and finally to his arithmetical and computistical knowledge grounded on Boethius’ number theory and his methods of reckoning (chapter 6). To this overall exposition of Abbo’s Neopythagoreanism, it follows a section devoted to Peripatetic approach to the analysis of the natural phenomena (chapter 7). The methodology applied to my research intends to place Abbo’s thought in its cultural context: the renewal of the liberal studies and particularly of the quadrivium, which was stimulated by a progressive rediscovery of Boethius’ De arithmetica together with the introduction of new calculation tools in the Latin West. If this is the general background from which Abbo’s peculiar “Pythagorism” emerges, the philological analysis of his commentary confirms how Fleury was an outstanding centre for high-level mathematical studies. The manuscript tradition of both Abbo’s Explanatio and Victorius’ Calculus, let us envisage two possible paths through which the latter reached Fleury Abbey. A final goal of my work is also to consider Abbo’s commentary within the history of theoretical arithmetics during the first Millennium. Tracking Abbo’s philosophical sources and showing his distinctive comprehension and harmonization of different Platonic accounts, namely those spelt out in Mamertus’ De statu animae, Calcidius’ Commentary on Timaeus, Macrobius’ Commentary on the Dream of Scipio and Saturnalia and Boethius’ De arithmetica and De institutione musica, has been a stimulating research and a confirmation of Abbo’s outstanding role in the not yet sufficiently explored history of high medieval “mathematical” approach to theology and world vision
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Sekizawa, Izumi. "Le naturalisme linguistique de Boèce de Dacie : enjeux et discussions." Paris 7, 2010. http://www.theses.fr/2010PA070061.

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Abstract:
Boèce de Dacie est un philosophe du 13e siècle, connu comme modiste et « averroïste ». Notre thèse consiste à donner une interprétation exacte de la 16e question de ses Modi significandi, un texte philosophico-grammatical, où l'auteur développe un certain innéisme linguistique. Selon certains chercheurs contemporains, par cet innéisme, Boèce est considéré comme précurseur du nativisme de Noam Chomsky. Selon d'autres, cet innéisme n'a pas de valeur théorique importante dans la philosophie de Boèce. Boèce souligne plutôt l'ancrage du langage dans la structure des choses, et de ce point de vue, sa position n'a pas de particularité à l'époque. Selon notre analyse, ce sont deux versants du même naturalisme : tout doit être expliqué par sa propre nature. Par là, Boèce minimise le rôle de la volonté dans l'institution des langues et à la place de la volonté humaine, il introduit la nature humaine, qui est comparable à la nature de n'importe quelle espèce animale, comme le fondement des sciences du langage. Pour bien fonder cette interprétation de la théorie de Boèce, nous remontons au douzième siècle et analysons le texte de Gundissalinus, qui forme un horizon pour les auteurs du treizième siècle ; nous comparons la théorie de Boèce avec celle d'un contemporain Michel de Marbais qui insiste sur le rôle de la volonté ; nous la comparons aussi avec celles de Siger de Brabant ou des anonymes en lisant les manuscrits qui nient pour la plupart la position de Boèce de Dacie et reprennent la position plus traditionnelle. Boèce n'est jamais un précurseur de Chomsky, mais un auteur particulier à l'époque par son naturalisme linguistique ayant deux versants
Boethius of Dacia is a 13th-century philosopher, known as a modist and "averroist". In this thesis, we intend to give an exact interpretation of the 16th question of his Modi significandi, a philosophico-grammatical text, where the author develops a certain linguistic innateness argument. Some modem scholars consider him, by this innateness argument, as a precursor of Noam Chomsky's nativism. Others believe that such an innateness argument is not theoretically important for his linguistic philosophy. Boethius rather emphasizes the anchoring of language in the structure of things, and for this argument, his position isn't so peculiar at the time. According to our analysis, these are two sides of the same naturalism: everything must be explained by its own nature. From this point of view, Boethius minimizes the role of the human will in the constitution of language and instead of the human will, he introduces, as the foundation of the linguistics, the human nature, which is comparable to the nature of any other animal species. To establish this interpretation of Boethius's theory, we go back to the 12th century and analyze the text of Gundissalinus which gives a horizon for the authors of the 13th century; we compare the theory of Boethius with that of a contemporary Michel de Marbais who emphasizes the role of the will; we also compare it with those of Siger of Brabant or anonymous authors, in reading manuscripts. The majority denies the position of Boethius of Dacia and chooses to renew more traditional positions. Boethius is not a precursor of Chomsky, but a very particular author at that time by his two sided linguistic naturalism.
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Teleanu, Constantin. "Art du Signe. La réfutation des Averroïstes de Paris chez Raymond Lulle." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040200.

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Abstract:
Cette investigation s’efforce de comprendre quel ressort philosophique amorce la dernière phase de l’incursion de Raymond Lulle dans les Facultés de Paris afin de débattre contre la faction des philosophants censés être dénommés Averroïstes catholiques. Le système de l’Art de Raymond Lulle connaît une dimension polémique prodigieuse, puisqu’elle résonne finalement aux échos retentissants de l’affrontement de Raymond Lulle avec des Averroïstes rencontrés dans les Facultés de Paris, mais qui peuvent être restitués par le biais des traités rédigés entre novembre 1309-septembre 1311 quelques années avant le déclin de son esprit prolifique. Il s’agit de la réfutation des erreurs attribuées par Lulle aux philosophants de Paris qui ne sont dénommés Averroïstes catholiques qu’en décembre 1310 après une quête intrépide de l’épithète des philosophants de Paris par laquelle Lulle apostrophe bien leurs erreurs répertoriées en diverses listes. Le contact de Lulle avec nombre de lettrés des Facultés de Paris suscite souvent la controverse doctrinale sans compromettre toute tentative de dialogue. C’est pourquoi Lulle lègue à l’historiographie du lullisme ou de l’averroïsme une fresque singulière de ce que la philosophie devient dans les Facultés de Paris au début du XIVe siècle, même s’il défend la vraie philosophie de tout dérapage averroïste. Il rénove la réfutation des Averroïstes de Paris, puisqu’elle ne dérive ni des censures ni des autorités de théologie positive, mais des outils dialectiques de son Art de raisons nécessaires
This investigation seeks to understand what philosophical spring begins the last phase of Ramon Lull’s incursion in the Faculties of Paris to discuss against the faction of the philosophers supposed be called catholic Averroists. The system of the Art of Ramon Lull knows a prodigious polemical dimension, because it resounds finally in the loud echoes of Ramon Lull’s confrontation with the Averroists encountered in the Faculties of Paris, but its could be reestablished by means of treaties drafted between November 1309-September 1311, few years before the decline of his prolific spirit. It is about the refutation of the errors attributed by Lull to the philosophers of Paris that are called catholic Averroists only in December 1310 after an intrepid quest of the epithet of the philosophers of Paris by which Lull apostrophe out well their errors itemized in various lists. The contact of Lull with many scholars of the Faculties of Paris often arouses the doctrinal controversy without compromising any attempt of dialogue. Therefore, Lull bequeathed in the historiography of the Lullism or the Averroism a singular fresco of what the philosophy becomes in the Faculties of Paris at the beginning of the XIVth Century, even if he defends the true philosophy of any averroist skid. He renews the refutation of Averroists of Paris, because it does not derive of either censures or authorities of positive theology, but of the dialectical tools of its Art of necessary reasons
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Augusto, Luis M. "Idéalisme médiéval : l'idéalisme épistémologique des XIIIe et XIVe siècles." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040048.

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Abstract:
Contre l'histoire canonique de la philosophie occidentale, cette thèse démontre que non seulement il y eut de l'idéalisme aux XIIIe et XIVe siècles (en l'occurrence un idéalisme épistémologique), mais aussi que cet idéalisme fut spécifiquement médiéval. A partir des concepts les plus chers à la pensée médiévale, et à la scolastique notamment, Thierry de Freiberg et Eckhart of Hochheim ont bâti des épistémologies idéalistes de bout en bout : l'acte cognitif donne et l'essence et l'existence aux choses et c'est dans cet acte constitutif de son objet de connaissance que la conscience se constitue elle-même. Ainsi, ils font reposer la réalité tout entière sur l'intellect, le sujet, et la raison et, ce faisant, trouvent leur place près de tous ceux qui, eux, sont communément acceptés comme des idéalistes
Against a long established opinion in the history of Western philosophy, I show both that there indeed was idealism in the 13th and 14th centuries (an epistemological idealism, in this case) and that it was a specifically medieval form of the stance. Dietrich of Freiberg and Eckhart of Hochheim used the most fundamental concepts of scholastic thought to elaborate epistemological doctrines that are idealist through and through: the act of knowing “gives” both the essence and the existence to things and this act of constitution of the object of knowledge is the very act of self-constitution of consciousness. They thus grounded the whole of reality on the intellect, the subject, and reason, and consequently reclaim a place among those philosophers uncontroversially seen as idealists
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