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Journal articles on the topic 'Phylogénie moléculaire'

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1

Rivoire, Bernard, Marcel Gannaz, Jean-Marie Pirlot, and Yann Sellier. "Piptoporus soloniensis (Dubois) Pilát, un polypore devenu rare en France ; mise au point taxinomique sur le genre Piptoporus P. Karst." Bulletin de la société linnéenne de Lyon 86, no. 7 (2017): 189–204. http://dx.doi.org/10.3406/linly.2017.17845.

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Abstract:
La récente redécouverte en France par l’un d’entre nous (YS), d’un exemplaire de Piptoporus soloniensis (Dubois) Pilát, 1937, permet de présenter et illustrer cette rare espèce. Les deux autres Piptoporus connus du territoire métropolitain, P. betulinus (Bull.) P. Karsten et P. quercinus (Schrad.) P. Karsten, sont décrits et comparés avec cette espèce. Il est indiqué les évolutions taxinomiques de l’ancien genre Piptoporus, découlant de la phylogénie moléculaire. Une clé de détermination est proposée.
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2

Barriel, Véronique, and Pierre Darlu. "Approche moléculaire de la phylogénie des hominoidea : l'exemple de la pseudo êta-globine." Bulletins et Mémoires de la Société d'anthropologie de Paris 2, no. 1 (1990): 3–23. http://dx.doi.org/10.3406/bmsap.1990.1712.

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3

Loeuille, Benoît, Peter Goldblatt, John C. Manning, and Vincent Savolainen. "Phylogénie moléculaire du genreMoraea(Iridaceae: Irideae): apports du séquençage d'une région d'ADN chloroplastique." Acta Botanica Gallica 150, no. 3 (October 2003): 345–53. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2003.10516001.

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4

Ben Fredj, S., Emmanuel Breard, Corinne Sailleau, Stéphan Zientara, S. Zekri, A. Boudabbous, and Salah Hammami. "Incursion de la fièvre catarrhale ovine en Tunisie : caractérisation moléculaire des isolats viraux." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 56, no. 3-4 (March 1, 2003): 121. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9852.

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Abstract:
La fièvre catarrhale du mouton a été déclarée en Tunisie en décembre 1999. D’autres cas de fièvre catarrhale du mouton ont également été répertoriés dans d’autres pays du bassin méditerranéen. L’objectif de cette étude a été, dans un premier temps, de caractériser les isolats viraux provenant de cette épizootie ayant sévi de décembre 1999 à mars 2000 et, dans un second temps, de déterminer l’origine du virus par phylogénie moléculaire. Pour se faire, les segments génomiques 2, 7 et 10 correspondant respectivement aux protéines VP2, VP7 et NS3/NS3A ont été amplifiés par PCR et séquencés. Des comparaison de séquences de ces différents segments génomiques issus des isolements viraux tunisiens ont pu êtres faits avec la souche virale sauvage et vaccinale corse ainsi que d’autres souches virales de fièvre catarrhale du mouton déjà publiées sur GenBank. Les résultats présentés sous forme d’arbres phylogénétiques et de tableaux de comparaisons de séquences nucléotidiques permettent de positionner l’origine commune de la souche virale tunisienne (sérotype 2) avec la souche virale corse responsable de l’épizootie d’octobre 2000.
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5

Debruyne, Régis. "Apports de la phylogénie moléculaire et de la morphométrie à la systématique des éléphants d’Afrique." Journal de la Société de Biologie 198, no. 4 (2004): 335–42. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2004198040335.

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6

Moyle, Robert G. "A Molecular Phylogeny of Kingfishers (Alcedinidae) With Insights Into Early Biogeographic History." Auk 123, no. 2 (April 1, 2006): 487–99. http://dx.doi.org/10.1093/auk/123.2.487.

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Abstract:
Abstract The phylogeny of kingfishers was reconstructed by comparing mitochondrial and nuclear DNA sequences representing 38 ingroup species. Analysis of the combined data and the nuclear data alone recovered the Alcedininae as the basal lineage in the family. This basal arrangement, and support for many relationships within the three subfamilies, allows discussion of biogeographic issues. The Australian region and Pacific islands display the highest diversity of kingfishers, but this diversity is not a reflection of a long history in the region. Rather, high diversity and endemism in the Australian region is inferred to result from relatively recent radiations from southern Asia. The most parsimonious explanation for the origin of New World taxa is two dispersal events from the Old World. Within the large Halcyon radiation, the phylogeny is well resolved and allows evaluation of generic assignments. The phylogeny supports splitting Todiramphus from Halcyon. Todiramphus and Syma are sister taxa, as are Halcyon and Pelargopsis. Thus, merging or retaining those genera is a more subjective decision. Although not fully resolved, relationships within the alcedinines indicate that Ceyx and Alcedo, as currently delimited, are not natural groups. Phylogénie Moléculaire des Alcedinidae avec un Aperçu de l'Histoire Biogéographique Ancienne
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7

Ley, Paul De, Mark Dorris, and Mark Blaxter. "Patterns and processes in the evolution of animal parasitic nematodes." Nematology 2, no. 1 (2000): 43–55. http://dx.doi.org/10.1163/156854100508881.

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Abstract:
AbstractThe parasitic Nematoda have traditionally been classified distinct from free-living species, and animal parasites treated separately from plant parasites. In classical concepts of phylogenetic relationships within the phylum, parasitic groups are usually afforded ordinal status and their origins are often obscure. We have been using molecular phylogenetics to examine the interrelationships of animal parasites with free-living and plant-parasitic groups, and find that a new view of the origins and radiation of animal parasites is warranted. Using sequence from the nuclear small subunit ribosomal RNA gene, we have constructed an alignment that allows robust phylogenetic inference. With this dataset, we place the Strongylida as a monophyletic clade nested within the Rhabditina. The Ascaridida, Oxyurida and Spirurida are closely related, but currently have no clear closest free-living sister taxon. Strongyloides spp. are rooted in a radiation of cephalobid/tylenchid species. Where available, other sequences in general confirm these relationships. Les Nematoda parasites ont été traditionnellement classifiés séparément des espèces libres, les parasites d’animaux étant traités séparément des parasites de plantes. Suivant les concepts classiques des relations phylogénétiques à l’intérieur du phylum, les groupes parasites sont habituellement traités au niveau ordinal et leurs origines sont souvent inconnues. Utilisant la phylogénie moléculaire, les interrelations des parasites animaux avec les groupes d’espèces libres et parasites de plantes ont été étudiées conduisant à la conclusion qu’une nouvelle approche des origines et de l’évolution des parasites animaux est nécessaire. Sur la base de la petite sous-unité nucléaire du gène de l’ARN ribosomal, un alignement est proposé qui permet une inférence phylogénétique solide. Avec cet ensemble de données, les Strongylida sont considérés comme un clade monophylétique emboîté au sein des Rhabditina. Les Ascaridida, Oxyurida et Spirurida sont étroitement reliés, mais jusqu’à présent sans relation étroite claire avec des taxons de nématode libre. Les Strongyloides spp. ont évolué à partir des cephalobides/tylenchides. Lorsqu’elles sont disponibles, les données issues d’autres séquences confirment le plus souvent ces relations.
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8

Lopez, Philippe, Didier Casane, and Hervé Philippe. "Phylogénie et évolution moléculaires." médecine/sciences 18, no. 11 (November 2002): 1146–54. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/200218111146.

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9

Brochier, Céline, and Hervé Philippe. "Phylogénies moléculaires et génomes." Biofutur 2000, no. 206 (December 2000): 44–48. http://dx.doi.org/10.1016/s0294-3506(00)90081-4.

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10

Cibois, Alice, and Jérôme Fuchs. "Un aperçu de la phylogénie des oiseaux." Biosystema N° 30, no. 1 (July 3, 2015): 69–80. https://doi.org/10.3917/biosy.030.0069.

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Abstract:
Si l’on juge par le nombre d’espèces relativement modeste (seulement 10 000), et le fait que très peu de nouveaux taxons découverts chaque année, les oiseaux (Classe Aves) peuvent être considérés comme l’un des groupes les plus connus et étudiés. Cependant, la bonne connaissance taxonomique de cet ensemble n’est pas synonyme d’une phylogénie entièrement résolue. Ainsi, une grande partie de l’arbre des oiseaux reste toujours une polytomie même si les nombreuses études moléculaires récentes ont apporté des éléments convergents sur les relations entre certains ordres. La divergence basale entre Palaeognathes (autruches et alliés/tinamous) et Neognathes (tous les autres oiseaux) semble bien établie. De même qu’au sein des Neognathes, la séparation entre Galloanseres (Galliformes et Anseriformes) et le reste des espèces (Neoaves) est acceptée de manière unanime. Peu de relations entre ordres sont cependant bien soutenues au sein des Neoaves. Certaines relations phylogénétiques suggérées par les études moléculaires sont parfois surprenantes du point de vue de la morphologie divergente des groupes (par exemple le clade grèbes/flamants). Dans d’autres cas, c’est une convergence phénotypique qui est mise en évidence par la génétique (par exemple la polyphylie des rapaces diurnes – faucons, aigles et vautours du Nouveau Monde). La monophylie des Passériformes, qui inclut près de la moitié des espèces actuelles d’oiseaux, est soutenue par des caractères morphologiques et moléculaires.
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Burnell, Ann, and S. Patricia Stock. "Heterorhabditis, Steinernema and their bacterial symbionts — lethal pathogens of insects." Nematology 2, no. 1 (2000): 31–42. http://dx.doi.org/10.1163/156854100508872.

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Abstract:
AbstractThe entomopathogenic nematodes (EPN) Heterorhabditis and Steinernema together with their symbiont bacteria Photorhabdus and Xenorhabdus, respectively, are obligate and lethal parasites of insects. EPN can provide effective biological control of some important lepidopteran, dipteran and coleopteran pests of commercial crops and they are amenable to large-scale culture in liquid fermentors. They are unique among rhabditids in having a symbiotic relationship with an enteric bacterium species. The bacterial symbiont is required to kill the insect host and to digest the host tissues, thereby providing suitable nutrient conditions for nematode growth and development. This review describes the general biology of EPN and their symbionts and gives an overview of studies to date on EPN biodiversity, biogeography and phylogeny. The impetus for research in EPN and their symbionts has come about because of their biological control potential, with much of the focus in EPN research having been on applied aspects relating to pest control. However EPN and their symbionts are increasingly being viewed as exciting subjects for basic research in the areas of ecology, biodiversity, evolution, biochemistry, symbiosis and molecular genetics. Much progress has been made over the past 20 years in our understanding of the basic biology and genetics of EPN and their symbionts. We are now entering a new phase in which the tools of molecular genetics are being increasingly used to address a range of biological questions in EPN research. The knowledge gained from this endeavour should ensure that EPN will become even more effective biopesticides and should also ensure that EPN and their symbionts gain prominence as unique and intrinsically interesting biological systems. Les nématodes entomopathogènes (EPN) Heterorhabditis et Steinernema, avec leur bactéries symbiotes Photorhabdus et Xenorhabdus, respectivement, sont des parasites obligés et mortels des insectes. Les EPN peuvent servir à un contrôle biologique de quelques lépidoptères, diptères et coléoptères importants pour les cultures commerciales et ils sont élevables à grande échelle dans des fermenteurs liquides. Ils sont uniques chez les rhabditides par leur relation symbiotique avec une espèce de bactérie entérique. La bactérie symbiote est nécessaire pour tuer l’insecte hôte et pour digérer les tissus de l’hôte, permettant ainsi des conditons de nutrition favorables à la croissance et au développement du nématode. La présente revue décrit la biologie générale des EPN et de leur symbiotes et donne un état des études actuelles sur la biodiversité, la biogéographie et la phylogénie des EPN. L’impulsion donnée aux recherches sur les EPN et leur symbiotes provient de leur potentialités pour le contrôle biologique, une grande partie des recherches sur les EPN ayant trait à des aspects appliqués en relation avec ce contrôle des parasites. Cependant, les EPN et leur symbiotes bactériens sont de plus en plus considérés comme des sujets intéressants pour la recherche fondamentale dans les domaines de l’écologie, de la biodiversité, de l’évolution, de la biochimie, des processus symbiotiques et de la génétique moléculaire. De nombreux progrès ont été réalisés ces 20 dernières années dans la compréhension de la biologie et de la génétique des EPN et de leur symbiotes. Nous entrons actuellement dans une nouvelle phase ou les moyens de la biologie moléculaire sont utilisés de manière croissante pour formuler une série de questions biologiques pour la recherche sur les EPN. Les connaissances résultant de ces efforts doivent conduire à vérifier que les EPN deviendront des biopesticides toujours plus efficaces et que les EPN et leur symbiotes prendront de l’importance en tant que systèmes biologiques uniques et intrinsèquement intéressants.
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Devos, Pierre. "Compte rendu de Maxime Hervé : «Systématique animale d’Aristote aux phylogénies moléculaires: histoire, concepts et méthodes de la classification»." Revue des questions scientifiques 193, no. 1-2 (January 1, 2022): 245–46. http://dx.doi.org/10.14428/qs.v193i1-2.71023.

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Abstract:
Hervé (Maxime), Systématique animale d’Aristote aux phylogénies moléculaires : histoire, concepts et méthodes de la classification. – Louvain-la-Neuve : De Boeck supérieur, 2020. – 140 p. – 1 vol. broché de 17 × 24 cm. – 20,00 €. – isbn 978-2-8073-2995-9.
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Tassy, Pascal. "La phylogénie des proboscidiens (Mammalia) ; une question de méthode." Biosystema N° 30, no. 1 (July 3, 2015): 81–97. https://doi.org/10.3917/biosy.030.0081.

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Abstract:
La première phylogénie des proboscidiens remonte à 1866. Depuis cette époque, l’histoire des différentes méthodes de reconstruction phylogénétique se reflète dans l’analyse de cet ordre charismatique de mammifères. On fait le point sur l’état des connaissances à partir des données morphologiques et moléculaires. Au-delà du taxon lui-même, la nature et l’extension des recherches paléontologiques et néontologiques sur les proboscidiens, extrêmement contrastées, peuvent servir d’exemple à portée générale.
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OLLIVIER, L., C. CHEVALET, and J. L. FOULLEY. "Utilisation des marqueurs pour la caractérisation des ressources génétiques." INRAE Productions Animales 13, HS (December 22, 2000): 247–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.hs.3847.

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Abstract:
Un aperçu des méthodes de caractérisation des ressources génétiques basées sur les marqueurs moléculaires est présenté. La variabilité génétique entre races s’exprime généralement, à partir d’un ensemble de fréquences alléliques, sous la forme d’indices de fixation et de diversité génique, ainsi que de distances génétiques entre races. Ces dernières peuvent être converties en phylogénie, classification ou mesure globale de diversité. La richesse allélique est une information complémentaire intéressante à prendre en compte. La planification expérimentale des études de diversité et leur fiabilité statistique sont brièvement discutées.
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Ajayi, A. A., G. O. Onipede, B. C. Okafor, K. A. Adepoju, and J. C. Nwabuenu. "Phenotypic identification of soil bacterial and fungal communities inhabiting an archaeological monument at Augustine University, Ilara Epe, southwest Nigeria." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, no. 4 (September 27, 2021): 473–79. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i4.7.

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Abstract:
Background: The Sungbo Eredo Monument is an ancient public work with a system of defensive walls and ditches located in Eredo Local Council Development Area of Epe, Lagos State, southwest Nigeria. A huge section of the monument cuts through the Augustine University campus, forming two-sided vertical walls with a deep ridge in-between. The objective of this investigative study is to determine the microbial profile of soil samples from the monument in the University campus. Methodology: Soil samples were collected from the topsoil at a depth of 7.5cm from four randomly selected points along the edge of the monument. The samples were transported to the microbiology laboratory of the Department of Biological Sciences of Augustine University for analysis. Samples were cultured on Nutrient agar (NA) and incubated aerobically for 24-48 hours for bacteria isolation and on Sabouraud’s Dextrose agar (SDA) for 72 hours for fungi isolation. Bacterial colonies on NA were preliminarily identified to genus level by Gram reaction and conventional biochemical test scheme for Gram-positive (catalase, coagulase, starch hydrolysis) and Gram-negative isolates (oxidase, urease test, indole, methyl red, Voges Proskauer and sugar fermentation tests). Fungi colonies on SDA were identified using conventional macroscopic and microscopic characteristics. Antibiotic susceptibility test of the bacterial isolates to selected antibiotics was done using the Kirby Bauer disc diffusion method. Results: A total of twenty-three bacterial isolates in four genera; Bacillus, Staphylococcus, Cellobiococcus and Micrococcus and nine fungal isolates in three genera; Saccharomyces, Aspergillus and Botrytis were identified from the cultures. The bacterial isolates were sensitive (>50% sensitivity) to only gentamicin and ofloxacin, with 65.2% and 78.3% sensitivity rates respectively, while they were largely resistant to all other antibiotics such as ceftriaxone, erythromycin, cefuroxime, cloxacillin, ceftazidime and augmentin, with resistance rates of 65.2%, 65.2%, 73.9%, 82.6%, 86.9%, 91.3% respectively. Conclusion: The results of this investigative study revealed the presence of antibiotic-resistant bacteria (mainly Gram-positive) and fungi on the archaeological monument of Augustine University, adding to the existing data on microbial spectrum of archaeological monuments that could be useful for unraveling human cultural habits and microbe-related human diseases. However, further studies on molecular identification of these microbial spectrum will be required to ascertain their genetic relatedness and ancestral phylogeny, which will be useful for archaeologists in their study of the Sungbo-Eredo ancestral monument. French title: Identification phénotypique des communautés bactériennes et fongiques du sol habitant un monument archéologique à l'Université Augustine, Ilara Epe, sud-ouest du Nigeria Contexte: Le monument Sungbo Eredo est un ancien ouvrage public doté d'un système de murs défensifs et de fossés situé dans la zone de développement du conseil local d'Eredo à Epe, dans l'État de Lagos, au sud-ouest du Nigéria. Une énorme section du monument traverse le campus de l'Université Augustine, formant des murs verticaux à deux côtés avec une crête profonde entre les deux. L'objectif de cette étude d'investigation est de déterminer le profil microbien d'échantillons de sol provenant du monument du campus universitaire. Méthodologie: Des échantillons de sol ont été prélevés dans la couche arable à une profondeur de 7,5 cm à partir de quatre points choisis au hasard le long du bord du monument. Les échantillons ont été transportés au laboratoire de microbiologie du Département des sciences biologiques de l'Université Augustine pour analyse. Les échantillons ont été cultivés sur gélose nutritive (NA) et incubés en aérobie pendant 24 à 48 heures pour l'isolement des bactéries et sur gélose au dextrose de Sabouraud's(SDA) pendant 72 heures pour l'isolement des champignons. Les colonies bactériennes sur NA ont été préalablement identifiées au niveau du genre par réaction de Gram et schéma de test biochimique conventionnel pour les isolats Gram-positif (catalase, coagulase, hydrolyse de l'amidon) et Gram-négatif (oxydase, test à l'uréase, indole, rouge de méthyle, Voges Proskauer et sucre essais de fermentation). Les colonies de champignons sur SDA ont été identifiées en utilisant des caractéristiques macroscopiques et microscopiques conventionnelles. Le test de sensibilité aux antibiotiques des isolats bactériens à des antibiotiques sélectionnés a été effectué en utilisant la méthode de diffusion sur disque de Kirby Bauer. Résultats: Un total de vingt-trois isolats bactériens dans quatre genres; Bacillus, Staphylococcus, Cellobiococcus et Micrococcus et neuf isolats fongiques de trois genres; Saccharomyces, Aspergillus et Botrytis ont été identifiés à partir des cultures. Les isolats bactériens étaient sensibles (sensibilité >50%) uniquement à la gentamicine et à l'ofloxacine, avec des taux de sensibilité de 65,2 % et 78,3 % respectivement, alors qu'ils étaient largement résistants à tous les autres antibiotiques comme la ceftriaxone, l'érythromycine, la céfuroxime, la cloxacilline, la ceftazidime et l'augmentine avec des taux de résistance de 65,2%, 65,2%, 73,9%, 82,6%, 86,9%, 91,3% respectivement. Conclusion: Les résultats de cette étude d'investigation ont révélé la présence de bactéries résistantes aux antibiotiques (principalement à Gram positif) et de champignons sur le monument archéologique de l'Université Augustine, ajoutant aux données existantes sur le spectre microbien des monuments archéologiques qui pourraient être utiles pour démêler l'homme. les habitudes culturelles et les maladies humaines liées aux microbes. Cependant, d'autres études sur l'identification moléculaire de ces spectres microbiens seront nécessaires pour déterminer leur parenté génétique et leur phylogénie ancestrale, ce qui sera utile aux archéologues dans leur étude du monument ancestral Sungbo-Eredo.
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Dettai, Agnès, and Gaël Lancelot. "Ce que les phylogénies moléculaires et les bases de données peuvent apporter à la relance de l’anatomie comparée : l’exemple des Téléostéens." Journal de la Société de Biologie 198, no. 4 (2004): 323–33. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2004198040323.

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MULSANT, P. "Glossaire général." INRAE Productions Animales 24, no. 4 (September 8, 2011): 405–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.4.3273.

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Abstract:
Allèle : une des formes alternatives d'un locus. Dans une cellule diploïde, il y a deux allèles pour chaque locus (un allèle transmis par chaque parent), qui peuvent être identiques. Dans une population, on peut avoir plusieurs allèles pour un locus.Annotation structurale : repérage des coordonnées des diverses structures dans le génome, telles que les gènes.Annotation fonctionnelle : renseignements sur les fonctions des séquences, le plus souvent pour les gènes.BAC : Bacterial Artificial Chromosome. Vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant un grand fragment d’ADN génomique (taille > 100 kb*). Les BAC assemblés en contigs* sont à la base des cartes physiques du génome.Carte cytogénétique : carte des chromosomes. Réalisée par localisation visuelle (FISH*) au microscope de fragments d’ADN sur les chromosomes au stade métaphase de la mitose.Carte d’hybrides irradiés : réalisée en testant par PCR la présence ou l’absence de fragments d’ADN dans une collection de clones d’hybrides irradiés (RH*). Deux fragments d’ADN sont proches sur le génome s’ils sont trouvés fréquemment dans les mêmes clones.Carte génétique : obtenue par l’étude de la ségrégation dans des familles ou des populations, de marqueurs polymorphes, soit moléculaires, soit phénotypiques, deux séquences étant d’autant plus proches qu’elles sont souvent transmises ensemble lors de la méiose.Clonage positionnel : stratégie visant à identifier un gène responsable de l’expression d’un phénotype en utilisant des informations de position sur le génome.Contig : ensemble de clones (le plus souvent des BAC*) ou de lectures de séquence ordonnés grâce à des informations sur leur parties chevauchantes.Cosmide : vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant des fragments d’ADN génomique de taille avoisinant les 50 kb*.CNV : Copy Number Variation ; polymorphisme du génome correspondant à la variation du nombre de copies d’une séquence, pouvant dans certains cas contenir un ou plusieurs gènes.Déséquilibre gamétique : pour deux loci quelconques, c'est le fait que la fréquence des haplotypes* estimée pour tous les gamètes est différente de celle attendue à partir du produit des fréquences alléliques de chaque locus. Synonyme : déséquilibre de liaison. Contraire de : équilibre gamétique.Dominance : qualificatif de l’effet d'un allèle, dont une copie suffit à l'expression du phénotype* approprié. L’allèle A est dominant sur l’allèle a si l’hétérozygote* Aa a le même phénotype* que l’homozygote AA.EST : Expressed Sequence Tag : séquences étiquettes (partielles) de transcrit, obtenues par séquençage aléatoire d’ARN.Evaluation génomique : évaluation de la valeur génétique d’individus d’après leurs génotypes pour un ensemble de loci distribués sur le génome, d’après des équations établies à partir des performances d’individus de référencephénotypés et génotypés.Expression génique : études visant à estimer le niveau de production (expression) des gènes en fonction d’états physiologiques ou de tissus différents.Exon : fraction de la partie codante d’un gène eucaryote. Les gènes des organismes eucaryotes sont le plus souvent fractionnés en plusieurs séquences d’ADN dans le génome, les exons, séparés entre eux par d’autres séquences (introns*).FISH : Fluorescent In Situ Hybridisation. Hybridation de sondes d’ADN marquées à l’aide d’un fluorochrome, sur des chromosomes au stade métaphase de la mitose. Permet la réalisation de la carte cytogénétique.Fingerprinting : technique permettant d’estimer très grossièrement la similarité entre des séquences d’ADN sans les séquencer, par la comparaison des longueurs de bandes produites par des enzymes de restriction coupant l’ADN à des sites précis.Fosmide : vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant des fragment d’ADN génomique de taille déterminée et égale à 40 kb*.FPC : FingerPrint Contig* ; contig* de clones (généralement des BAC*) ordonnés par la technique du fingerprinting, afin d’obtenir une carte physique du génome.Génotype 1 : constitution génétique d'un individu. 2. Combinaison allélique* à un locus particulier, ex: Aa ou aa.Haplotype : combinaison allélique spécifique pour des loci appartenant à un fragment de chromosome défini.Héritabilité au sens strict : proportion de la variance phénotypique due à la variabilité des valeurs génétiques = proportion de la variance phénotypique due à la variance génétique additive.Hétérozygote : individu ayant des allèles non identiques pour un locus* particulier ou pour plusieurs loci. Cette condition définit l’ «hétérozygotie». Contraire de: homozygote.Homologues : séquences similaires en raison d’une origine évolutive commune.Hybride irradié : cellule hybride obtenue par fusion entre cellules hôte d’une espèce et donneuse d’une autre espèce, contenant une fraction aléatoire du génome de l’espèce donneuse, après cassures par irradiation, reconstitution aléatoire de chromosomes ou insertion dans des chromosomes de la cellule hôte et rétention partielle. Deux séquences proches sur le génome sont en probabilité dans les mêmes clones RH*, tandis que deux séquences distantes ont une probabilité faible d’être conservées ensemble.IBD : pour identity by descent. Identité entre deux chromosomes (ou parties de chromosomes), liée à leur descendance d’un même chromosome ancestral.Indel : Insertion – deletion ; polymorphisme de présence ou absence d’un ou plusieurs nucléotides.Intron : séquence non-codante dans les gènes, séparant les exons, qui codent pour une protéine.Kb : kilobase ; séquence de mille paires de bases (pb*).Locus (pl. : loci) : Site sur un chromosome. Par extension, emplacement d’un gène ou d’un marqueur génétique sur un chromosome.Marqueur génétique : séquence d'ADN dont le polymorphisme est employé pour identifier un emplacement particulier (locus) sur un chromosome particulier.Mate-pair : séquences appariées (1 à 10 kb* de distance), produites en circularisant les fragments d’ADN, puis par séquençage à travers le point de jointure.Mb : mégabase ; séquence d’un million de paires de bases (pb*) de longueur.Orthologues : séquences homologues* entre deux espèces.Paired-end : séquences appariées produites par la lecture des deux extrémités de courts fragments d’ADN (moins de 500 pb*) dans le cas des nouvelles technologies de séquençage.Paralogues : séquences homologues* résultat de la duplication d’une séquence ancestrale dans le génome. Il s’agit de deux (ou plus) séquences similaires par homologie dans un même génome.Pb : paire de base ; unité de séquence d’ADN, représentée par une base et sa complémentaire-inverse sur l’autre brin.Phénotype : caractère observable d'un individu résultant des effets conjugués du génotype et du milieu.Phylogénomique : utilise les méthodes de la génomique et de la phylogénie. Par la comparaison de génomes entiers, permet de mettre en évidence des pertes et gains de gènes dans les génomes, ainsi que leur variabilité moléculaire, afin (entre autres buts) d’aider à prédire leur fonctions.Plasmide : vecteur de clonage permettant l’obtention de clones bactériens contenant des fragment d’ADN génomique de taille allant de 500 pb* à 10 kb* environ.Polymorphisme d'ADN : existence de deux ou de plusieurs allèles* alternatifs à un locus.Puce à ADN ou puce pangénomique : Système permettant pour un individu le génotypage simultané de très nombreux marqueurs génétiques (de quelques milliers à quelques centaines de milliers).QTL : abréviation de locus à effets quantitatifs (de l’anglais Quantitative Trait Locus).Récessivité : qualificatif de l’effet d'un allèle, où l'homozygotie* est nécessaire pour l'expression du phénotype* approprié. opposé de : dominance*.RH : Radiation Hybrid (hybride irradié*)Sanger (méthode de) : méthode de séquençage publiée en 1977 (Sanger et al 1977) et encore utilisée de nos jours avec les séquenceurs à électrophorèse capillaire.Scaffold : ensemble de contigs* de séquence reliés entre eux par des informations apportées par des lectures appariées (mate-pairs* ou paired-ends*).Sélection assistée par marqueurs (abréviation : SAM) : utilisation d’un jeu restreint de marqueurs de l'ADN pour améliorer la réponse à la sélection dans une population : les marqueurs sont choisis comme étroitement liés à un ou plusieurs loci cibles, qui sont souvent des loci à effets quantitatifs ou QTL*.SNP : polymorphisme d'un seul nucléotide à une position particulière de la séquence d’ADN (abréviation de l’anglais Single Nucleotide Polymorphism).Supercontig : nom alternatif pour les scaffolds*.WGS : Whole Genome Shotgun ; production de lectures de séquence d’un génome entier de manière aléatoire.
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Capy, Pierre, and Dominique de Vienne. "L’évolution de l’évolution." Histoire de la recherche contemporaine Tome XII n°2 (2023). http://dx.doi.org/10.4000/12e6b.

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Abstract:
Au cours des 50 dernières années, les progrès de la biologie moléculaire et de la génomique ont ouvert de nouvelles voies dans le domaine de l’évolution et ont réservé quelques surprises. Le rôle du hasard, à côté de celui de la sélection naturelle, a été compris, des phylogénies de plus en plus fiables – et parfois inattendues – ont été construites, l’ampleur du bricolage évolutif a été révélée au niveau même du génome, enfin le développement s’étudie aujourd’hui dans un cadre évolutif. Cette nouvelle vision de l’évolution, plus intégrative, irrigue toutes les branches de la biologie, et de nouvelles applications sont en train d’émerger.
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