Academic literature on the topic 'Physique – Enseignement secondaire'

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Journal articles on the topic "Physique – Enseignement secondaire"

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Groleau, Audrey, and Chantal Pouliot. "Points de vue d’étudiantes du collégial sur leurs expériences d’apprentissage de la physique et sur leur éventuelle pratique d’enseignement." Éducation et francophonie 39, no. 1 (June 27, 2011): 183–200. http://dx.doi.org/10.7202/1004336ar.

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Abstract:
Dans cet article, nous présentons quelques-uns des résultats issus d’une étude qui s’est intéressée aux rapports à la physique et à l’enseignement de la physique de futures enseignantes du primaire, engagées dans la première année de leur formation préuniversitaire en éducation. Plus précisément, nous documentons la façon dont les participantes décrivent, d’une part, leurs expériences scolaires d’apprentissage de notions liées à la physique et, d’autre part, leur intérêt pour l’enseignement de ces notions au primaire. Trente-sept participantes ont rempli un bilan de savoirs au sujet de leur point de vue sur la physique et son enseignement. Nous constatons qu’une majorité de participantes montrent une relation positive à l’enseignement de notions liées à la physique au primaire, alors que seulement cinq participantes laissent voir une relation plus difficile. Certaines participantes évoquent des craintes ou des préoccupations face à l’enseignement de ces notions, alors que d’autres envisagent cet enseignement sous l’angle de son utilité. Pour plusieurs, l’enseignement de la physique au primaire apparaît plus simple qu’au secondaire et au collégial.
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Orava, Taryn, Steve Manske, and Rhona Hanning. "Soutien en faveur de l’alimentation saine dans les écoles conformément à l’approche globale de la santé en milieu scolaire : évaluation au cours des premières années de la mise en oeuvre de la Politique de l’Ontario concernant les aliments et les boissons dans les écoles." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 37, no. 9 (September 2017): 338–48. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.37.9.05f.

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Abstract:
Introduction Les agences provinciales, nationales et internationales de santé publique reconnaissent l’importance des politiques en matière de nutrition en milieu scolaire, qui contribuent à instaurer des environnements sains respectant les recommandations en matière d’alimentation saine à l’intention des jeunes. Le soutien à l’échelle de l’école d’un mode de vie sain reposant sur les piliers de l’approche globale de la santé en milieu scolaire (milieux social et physique; enseignement et apprentissage; politique de santé en milieu scolaire; partenariats et services) a été positivement associé à des améliorations encourageantes des comportements des élèves en matière de santé. Notre étude a utilisé l’approche globale de la santé en milieu scolaire pour classifier, comparer et décrire le soutien à une alimentation saine lors de la mise en oeuvre de la Politique de l’Ontario concernant les aliments et les boissons dans les écoles (N P/P 150). Méthodologie Nous avons recueilli des données provenant d’écoles élémentaires et secondaires consentantes d’une zone peuplée de l’Ontario à deux reprises, en 2012-2013 (période I) et en 2014 (période II). Des représentants des écoles ont rempli l’enquête Planificateur des écoles en santé ainsi qu’un document d’analyse environnementale de l’alimentation, qui ont fait l’objet d’une attribution de scores et d’analyses de contenu. Le soutien de chaque école en faveur d’une alimentation saine a été classé comme relevant de la phase « lancement », « prise de mesures » ou « maintenance » du continuum des écoles en santé pour les deux périodes, et comme étant « élevé/en hausse », « modéré », « faible/en baisse » entre la période I et la période II par rapport aux piliers de l’approche globale de la santé en milieu scolaire. Résultats Ont pris part à l’enquête 25 représentants scolaires (8 écoles élémentaires et 17 écoles secondaires). La plupart des écoles sont demeurées dans la catégorie « prise de mesures » (n = 20) au cours des deux périodes, avec des niveaux divers de soutien aux piliers de la santé en milieu scolaire. Le milieu physique a fait l’objet du soutien le plus élevé (100% de soutien « élevé/en hausse »), le milieu social a fait l’objet du soutien le plus faible (68 % de soutien « faible/en baisse »). Seules deux écoles ont atteint la plus haute note (maintenance) au cours de la période II. Les soutiens respectant la N P/P 150 semblent avoir été influencés par l’adhésion de l’administration, le soutien des intervenants et la pertinence du contexte local. Conclusion Une aide supplémentaire est nécessaire pour maintenir une alimentation saine dans les environnements alimentaires des écoles ontariennes.
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Métioui, Abdeljalil. "REPRÉSENTATIONS CONCEPTUELLES D'ÉTUDIANTS DU SECONDAIRE PROFESSIONNEL: PROPRIÉTÉS PHYSIQUES DE LA DIODE NON POLARISÉE / CONCEPTUAL REPRESENTATIONS OF STUDENTS PROFESSIONAL SECONDARY: PHYSICAL PROPERTIES OF THE NON-POLARIZED DIODE." European Journal of Education Studies 8, no. 3 (March 7, 2021). http://dx.doi.org/10.46827/ejes.v8i3.3615.

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Abstract:
Une méthode de recherche de type qualitatif a permis d’identifier les représentations conceptuelles d’étudiants du secondaire professionnel (17 à 20 ans) au Québec, en ce qui concerne les propriétés physiques d’un objet technique, à savoir une diode non polarisée. Nous procédons à cette reconstitution à partir de moyens classiques, tels le questionnaire écrit et les entretiens individuels. Cette étude nous permet, d’une part, de mettre en évidence ces conceptions et, d’autre part, de proposer quelques orientations didactiques. Notre recherche démontre qu’après un enseignement formel, les conceptions des élèves interrogés sont erronées comparativement à celles communément acceptées. Ces résultats mettent en lumière une mauvaise appropriation de notions telles que les porteurs de charges mobiles (électrons et trous) et les porteurs de charges fixes (ions). Following the guidelines of qualitative type research, we shall in this paper reconstitute the conceptual representations by secondary level students at the professional school (ages 17-20) of physical phenomena which subtend the physical properties of the non-biased diode. For the first time, this study shows that their conceptions of these phenomena are erroneous. In a second time, we identify the physical phenomena on which the educator should facilitate the students to construct conceptions that conform to the scientific norm. <p> </p><p><strong> Article visualizations:</strong></p><p><img src="/-counters-/edu_01/0772/a.php" alt="Hit counter" /></p>
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Van Parijs, Philippe. "Numéro 14 - septembre 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16153.

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Abstract:
Les universités sont en crise, avec une baisse du financement par étudiant (hors inflation) proche de 50 % et une baisse du taux d’encadrement de plus de 50 % depuis 1972. En outre, seulement 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire. On peut donc se poser la question de savoir si la gratuité de l’université est encore possible et désirable. Si non, quel mode de financement avec contributions privées faut-il adopter pour préserver à la fois l’accessibilité et la viabilité du système ? Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons confronté le point de vue de deux économistes, Jean Hindriks (UCL, CORE) et Vincent Vandenberghe (UCL, IRES), et les objections d’un philoso­phe, Philippe Van Parijs (UCL, Chaire Hoover). Le point de vue de deux économistes Un refinancement public des universités est peu probable. Il faut rappeler que 90 % du coût d’une formation universitaire est financé par des contribuables qui pour la plupart ne sont jamais allés à l’université et qui pour certains subissent la concurrence des universitaires sur le marché du travail. Même si le besoin d’investir dans le capital humain est économiquement évident, la préférence politi­que s’oriente clairement vers d’autres demandes concurrentes et légitimes que sont les soins de santé et les pensions. Comment pouvons-nous donc assurer la poursuite de l’investissement en capital humain sans recourir à un effort supplémentaire des contribuables ? Mais plus important encore, si comme en Belgique, la dotation publique aux universités est fixe, comment échapper à l’inéluctable choix entre excellence pour un petit nombre ou médiocrité pour un grand nombre ? Notre argument est qu’il est possible de sortir de cette situation. On peut à la fois poursuivre l’expansion de la population étudiante (formation du capital humain) et assurer le développement de la qualité, sans augmenter la contribution publique. Il faut pour cela combiner une gratuité sélective et un financementsélectif basé sur une évaluation des performances. Gratuité sélective et payement différé : Il s’agirait de relever les droits d’inscription mais en offrant voire en imposant aussitôt que ces mon­tants soient commués en prêt remboursable au terme des études. Le remboursement du prêt serait contingent au revenu, tel un montant X au-delà d’un revenu de Y € par tranche de 1000 € empruntés. Le revenu Y à partir duquel interviendrait le paiement devrait logiquement correspondre au revenu moyen d’un individu n’ayant pas fait d’études supérieures. Quant au montant X, il devrait être fixé de manière à assurer l’équilibre financier du système Ce système est depuis peu en application au Royaume-Uni et diffère fondamentalement d’un impôt sur le revenu. Primo, le remboursement est concentré sur les utilisateurs bénéficiaires de l’enseignement supérieur. En Belgique, 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire supérieur. Il faut donc bien faire ici la dis­tinction avec l’enseignement obligatoire où la participation de tous justifie la gratuité et le financement intégral par l’impôt. Secundo, le remboursement est limité dans le temps. Tertio, le remboursement est nominatif et donc indépendant de la décision de s’expatrier. Ce dernier point est important étant donné la mobilité accrue des plus qualifiés, autant au sein de l’Europe que hors Europe. Plutôt que de décourager l’accès à l’université, ce système pourrait bien avoir l’effet contraire puisque des pays comme l’Australie et le Royaume-Uni qui ont adopté une telle politique ont des taux de par­ticipation nettement plus élevés que le nôtre (respectivement 19 % et 20 % de la population, compara­tivement au taux belge de 12 %). La crainte que l’endettement ne décourage les étudiants défavorisés d’accéder à l’université est aussi contre-dite par une étude américaine récente (NBER) qui montre que la substitution d’un système de prêt au système de bourse n’a pas eu d’effet significatif sur la partici­pation des étudiants pauvres dans les universités américaines. Financement sélectif et évaluation des performances : Il ne suffit pas de proposer une solution de refinancement des universités, il faut également chercher à dépenser mieux ces fonds partout où cela est possible. Cette recherche d’efficience a induit, avec des effets surprenants, la mise en place dans certains pays d’une évaluation de la performance, autant au niveau de l’enseignement que de la recherche. Au Royaume-Uni, l’enseignement est évalué par une agence indépendante. Depuis lors, on observe une amélioration continue de la performance générale telle qu’évaluée par l’agence. Par exemple, 60,5 % des départements avaient reçu une cote excellente en 1998-2000, comparativement à 33,9 % en 1996-98 et 24,8 % en 1995-96. Pour la recherche au Royaume-Uni, l’évaluation est faite par un panel d’experts et d’utilisateurs de la recherche, spécifique à chaque discipline. Cela résulte en un système de financement de la recherche qui est très sélectif. En 2002-2003, près de 75 % des fonds de recherche ont été alloués à 14 % des universités. On note une amélioration significative de la qualité de la recherche. Comparativement à l’évaluation de 1996, en 2001, le pourcentage de départements recevant les cotes les plus élevées a augmenté de 20 % à 39 %, alors que le pourcentage des départements recevant les cotes les plus basses a diminué de 24 % à 6 %. Nous pensons que l’évaluation a plus de chance d’être acceptée si elle n’est pas perçue comme un moyen déguisé de couper les ressources. Pour cela, un refinancement des universités au travers de la gratuité sélective est donc un bon moyen de faire accepter l’évaluation des performances et un finan­cement plus sélectif. Le point de vue du philosophe Est-il juste que l’Université soit gratuite ? D’un côté, bien sûr que oui. En effet, à condition de dispo­ser d’un système d’impôt sur le revenu suffisamment performant, mieux vaut offrir l’université gra­tuitement à tous les ménages, non parce que c’est mieux pour les riches (dont les impôts financent de toutes façons les prestations dont ils bénéficient), mais parce que c’est mieux pour les pauvres (facilité administrative, non-stigmatisation des pauvres et incitation au travail). De l’autre, bien sûr que non, car si ce cadeau est égal pour chacun quant à son coût, il est très inégal dans ses effets. A ceux qui sont déjà avantagés par leurs talents initiaux et ce que leur environnement familial et scolaire en a fait, la société a le culot de dire : «Nous vous donnons en outre un gros cadeau supplémentaire sous la forme d’une formation supérieure gratuite» Peut-on réconcilier ces deux intuitions en apparences contradictoires ? Pas trop difficilement. C’est en fait ce que réalise pour l’essentiel le système auquel nous sommes accoutumés : un enseignement supérieur essentiellement gratuit quant à son coût explicite, mais avec une récupération différée non ciblée, sous la forme d’une taxation progressive du revenu des personnes physiques. A cette apologie non déguisée du statu quo, on peut faire au moins quatre objections. Objection 1. Le système actuel taxe indifféremment ceux qui doivent leur revenu élevé à des études payées par la collectivité et ceux qui le doivent à d’autres raisons. Réponse. C’est inévitablement approximatif, mais nullement améliorable par un meilleur ciblage du financement. Tenter de repérer la part de revenu que chacun doit à ses études supérieures, c’est, du point de vue de la recherche de la justice, faire preuve d’un souci de précision bien mal placé. En effet, le revenu que le marché nous attribue est certes fonction des efforts consentis, mais sur la toile de fond d’un ensemble vaste et complexe de dons, d’opportunités, de chances qui nous ont été attribués de manière très inégale et éthiquement arbitraire. Objection 2. En faisant payer aux bénéficiaires le vrai coût de leur formation, on se protège contre de graves gaspillages de ressources dans des formations qui sont loin de valoir ce qu’elles coûtent mais n’en rencontrent pas moins un franc succès du fait de leur gratuité. Réponse. Un usage intelligent des ressources rares disponibles exige une régulation de l’offre des formations. Mais la meilleure régulation, dans ce cas, ne passe pas par la vérité des prix et la souverai­neté du consommateur. La gratuité est naturellement combinable avec un numerus clausus explicite ou implicite, global et/ou spécifique à chaque orientation. Objection 3. Plus les étudiants payeront pour leurs études, plus ils seront à la fois motivés à étudier avec zèle et exigeants à l’égard de leurs enseignants, eux-mêmes désormais soucieux de ne pas perdre la clientèle à la source de leurs revenus. Réponse. Dans un système de concurrence implicite comme le nôtre, où la subsidiation de chaque institution dépend fortement de la proportion des étudiants qu’elle parvient à attirer, les enseignants ont la même incitation financière à se préoccuper de la satisfaction de leurs «clients» que si le montant provenant aujourd’hui des subsides avait à être payé par les étudiants. En outre, une soumission trop directe aux exigences de l’étudiant actuel peut handicaper gravement l’efficacité de long terme du système, qui exige à la fois de laisser place à une recherche sans retombée directe sur l’enseignement actuel et d’enseigner aux étudiants ce qu’il est important qu’ils apprennent, plutôt que ce que l’air du temps leur fait souhaiter d’apprendre. Objection 4. Avec la mobilité transnationale des personnes hautement qualifiées et la décentralisation de la souveraineté fiscale à un niveau sub-national, il sera plus difficile de récupérer par l’impôt l’investissement dont jouissent les titulaires d’emplois hautement qualifiés qui choisissent de s’expatrier. Réponse. Face à cette difficulté, le plus efficace est peut-être encore de préserver et développer, parmi les personnes qui ont la chance de pouvoir bénéficier de l’enseignement supérieur de leur pays, un sentiment de gratitude et une attitude de loyauté à l’égard de cette entité collective qui leur a offert ce privilège.
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Hindriks, Jean, Vincent Vandenberghe, and Philippe Van Parijs. "Numéro 14 - septembre 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2003.09.01.

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Abstract:
Les universités sont en crise, avec une baisse du financement par étudiant (hors inflation) proche de 50 % et une baisse du taux d’encadrement de plus de 50 % depuis 1972. En outre, seulement 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire. On peut donc se poser la question de savoir si la gratuité de l’université est encore possible et désirable. Si non, quel mode de financement avec contributions privées faut-il adopter pour préserver à la fois l’accessibilité et la viabilité du système ? Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons confronté le point de vue de deux économistes, Jean Hindriks (UCL, CORE) et Vincent Vandenberghe (UCL, IRES), et les objections d’un philoso­phe, Philippe Van Parijs (UCL, Chaire Hoover). Le point de vue de deux économistes Un refinancement public des universités est peu probable. Il faut rappeler que 90 % du coût d’une formation universitaire est financé par des contribuables qui pour la plupart ne sont jamais allés à l’université et qui pour certains subissent la concurrence des universitaires sur le marché du travail. Même si le besoin d’investir dans le capital humain est économiquement évident, la préférence politi­que s’oriente clairement vers d’autres demandes concurrentes et légitimes que sont les soins de santé et les pensions. Comment pouvons-nous donc assurer la poursuite de l’investissement en capital humain sans recourir à un effort supplémentaire des contribuables ? Mais plus important encore, si comme en Belgique, la dotation publique aux universités est fixe, comment échapper à l’inéluctable choix entre excellence pour un petit nombre ou médiocrité pour un grand nombre ? Notre argument est qu’il est possible de sortir de cette situation. On peut à la fois poursuivre l’expansion de la population étudiante (formation du capital humain) et assurer le développement de la qualité, sans augmenter la contribution publique. Il faut pour cela combiner une gratuité sélective et un financementsélectif basé sur une évaluation des performances. Gratuité sélective et payement différé : Il s’agirait de relever les droits d’inscription mais en offrant voire en imposant aussitôt que ces mon­tants soient commués en prêt remboursable au terme des études. Le remboursement du prêt serait contingent au revenu, tel un montant X au-delà d’un revenu de Y € par tranche de 1000 € empruntés. Le revenu Y à partir duquel interviendrait le paiement devrait logiquement correspondre au revenu moyen d’un individu n’ayant pas fait d’études supérieures. Quant au montant X, il devrait être fixé de manière à assurer l’équilibre financier du système Ce système est depuis peu en application au Royaume-Uni et diffère fondamentalement d’un impôt sur le revenu. Primo, le remboursement est concentré sur les utilisateurs bénéficiaires de l’enseignement supérieur. En Belgique, 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire supérieur. Il faut donc bien faire ici la dis­tinction avec l’enseignement obligatoire où la participation de tous justifie la gratuité et le financement intégral par l’impôt. Secundo, le remboursement est limité dans le temps. Tertio, le remboursement est nominatif et donc indépendant de la décision de s’expatrier. Ce dernier point est important étant donné la mobilité accrue des plus qualifiés, autant au sein de l’Europe que hors Europe. Plutôt que de décourager l’accès à l’université, ce système pourrait bien avoir l’effet contraire puisque des pays comme l’Australie et le Royaume-Uni qui ont adopté une telle politique ont des taux de par­ticipation nettement plus élevés que le nôtre (respectivement 19 % et 20 % de la population, compara­tivement au taux belge de 12 %). La crainte que l’endettement ne décourage les étudiants défavorisés d’accéder à l’université est aussi contre-dite par une étude américaine récente (NBER) qui montre que la substitution d’un système de prêt au système de bourse n’a pas eu d’effet significatif sur la partici­pation des étudiants pauvres dans les universités américaines. Financement sélectif et évaluation des performances : Il ne suffit pas de proposer une solution de refinancement des universités, il faut également chercher à dépenser mieux ces fonds partout où cela est possible. Cette recherche d’efficience a induit, avec des effets surprenants, la mise en place dans certains pays d’une évaluation de la performance, autant au niveau de l’enseignement que de la recherche. Au Royaume-Uni, l’enseignement est évalué par une agence indépendante. Depuis lors, on observe une amélioration continue de la performance générale telle qu’évaluée par l’agence. Par exemple, 60,5 % des départements avaient reçu une cote excellente en 1998-2000, comparativement à 33,9 % en 1996-98 et 24,8 % en 1995-96. Pour la recherche au Royaume-Uni, l’évaluation est faite par un panel d’experts et d’utilisateurs de la recherche, spécifique à chaque discipline. Cela résulte en un système de financement de la recherche qui est très sélectif. En 2002-2003, près de 75 % des fonds de recherche ont été alloués à 14 % des universités. On note une amélioration significative de la qualité de la recherche. Comparativement à l’évaluation de 1996, en 2001, le pourcentage de départements recevant les cotes les plus élevées a augmenté de 20 % à 39 %, alors que le pourcentage des départements recevant les cotes les plus basses a diminué de 24 % à 6 %. Nous pensons que l’évaluation a plus de chance d’être acceptée si elle n’est pas perçue comme un moyen déguisé de couper les ressources. Pour cela, un refinancement des universités au travers de la gratuité sélective est donc un bon moyen de faire accepter l’évaluation des performances et un finan­cement plus sélectif. Le point de vue du philosophe Est-il juste que l’Université soit gratuite ? D’un côté, bien sûr que oui. En effet, à condition de dispo­ser d’un système d’impôt sur le revenu suffisamment performant, mieux vaut offrir l’université gra­tuitement à tous les ménages, non parce que c’est mieux pour les riches (dont les impôts financent de toutes façons les prestations dont ils bénéficient), mais parce que c’est mieux pour les pauvres (facilité administrative, non-stigmatisation des pauvres et incitation au travail). De l’autre, bien sûr que non, car si ce cadeau est égal pour chacun quant à son coût, il est très inégal dans ses effets. A ceux qui sont déjà avantagés par leurs talents initiaux et ce que leur environnement familial et scolaire en a fait, la société a le culot de dire : «Nous vous donnons en outre un gros cadeau supplémentaire sous la forme d’une formation supérieure gratuite» Peut-on réconcilier ces deux intuitions en apparences contradictoires ? Pas trop difficilement. C’est en fait ce que réalise pour l’essentiel le système auquel nous sommes accoutumés : un enseignement supérieur essentiellement gratuit quant à son coût explicite, mais avec une récupération différée non ciblée, sous la forme d’une taxation progressive du revenu des personnes physiques. A cette apologie non déguisée du statu quo, on peut faire au moins quatre objections. Objection 1. Le système actuel taxe indifféremment ceux qui doivent leur revenu élevé à des études payées par la collectivité et ceux qui le doivent à d’autres raisons. Réponse. C’est inévitablement approximatif, mais nullement améliorable par un meilleur ciblage du financement. Tenter de repérer la part de revenu que chacun doit à ses études supérieures, c’est, du point de vue de la recherche de la justice, faire preuve d’un souci de précision bien mal placé. En effet, le revenu que le marché nous attribue est certes fonction des efforts consentis, mais sur la toile de fond d’un ensemble vaste et complexe de dons, d’opportunités, de chances qui nous ont été attribués de manière très inégale et éthiquement arbitraire. Objection 2. En faisant payer aux bénéficiaires le vrai coût de leur formation, on se protège contre de graves gaspillages de ressources dans des formations qui sont loin de valoir ce qu’elles coûtent mais n’en rencontrent pas moins un franc succès du fait de leur gratuité. Réponse. Un usage intelligent des ressources rares disponibles exige une régulation de l’offre des formations. Mais la meilleure régulation, dans ce cas, ne passe pas par la vérité des prix et la souverai­neté du consommateur. La gratuité est naturellement combinable avec un numerus clausus explicite ou implicite, global et/ou spécifique à chaque orientation. Objection 3. Plus les étudiants payeront pour leurs études, plus ils seront à la fois motivés à étudier avec zèle et exigeants à l’égard de leurs enseignants, eux-mêmes désormais soucieux de ne pas perdre la clientèle à la source de leurs revenus. Réponse. Dans un système de concurrence implicite comme le nôtre, où la subsidiation de chaque institution dépend fortement de la proportion des étudiants qu’elle parvient à attirer, les enseignants ont la même incitation financière à se préoccuper de la satisfaction de leurs «clients» que si le montant provenant aujourd’hui des subsides avait à être payé par les étudiants. En outre, une soumission trop directe aux exigences de l’étudiant actuel peut handicaper gravement l’efficacité de long terme du système, qui exige à la fois de laisser place à une recherche sans retombée directe sur l’enseignement actuel et d’enseigner aux étudiants ce qu’il est important qu’ils apprennent, plutôt que ce que l’air du temps leur fait souhaiter d’apprendre. Objection 4. Avec la mobilité transnationale des personnes hautement qualifiées et la décentralisation de la souveraineté fiscale à un niveau sub-national, il sera plus difficile de récupérer par l’impôt l’investissement dont jouissent les titulaires d’emplois hautement qualifiés qui choisissent de s’expatrier. Réponse. Face à cette difficulté, le plus efficace est peut-être encore de préserver et développer, parmi les personnes qui ont la chance de pouvoir bénéficier de l’enseignement supérieur de leur pays, un sentiment de gratitude et une attitude de loyauté à l’égard de cette entité collective qui leur a offert ce privilège.
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Dissertations / Theses on the topic "Physique – Enseignement secondaire"

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Martin, Jean-Luc. "La politique de l'éducation physique sous la Ve République : enseignement secondaire." Paris, Institut d'études politiques, 1998. http://www.theses.fr/1998IEPP0013.

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Abstract:
L'histoire de l'éducation physique et sportive en France a suscité, depuis une vingtaine d'années, de nombreux travaux. Dans cette production historique et sociologique, la Ve République demeure toutefois une période très délaissée. Les rares auteurs à l'avoir abordée ont en outre largement ignore la dimension politique pourtant omniprésente dans le passé récent de cette discipline. En prenant le parti d'analyser, entre 1958 et 1997, le dessein et la volonté des gouvernements successifs, la stratégie des organisations professionnelles enseignantes, ou les arbitrages rendus entre les opinions et intérêts contradictoires qui s'affrontent au sein du "monde de l'éducation physique", la présente recherche entreprend tout d'abord de mettre en lumière les aspects les moins connus de l'histoire de l'EPS. Elle révèle ainsi la spectaculaire progression des moyens accordés à la discipline et la mutation de ses contenus qu'engendre, entre 1958 et 1966, l'action de Maurice Herzog. Elle expose ensuite la menace que la politique gouvernementale semble, de 1967 à 1980, faire planer sur son existence scolaire et les affrontements qu'elle génère en retour. Elle relate enfin, à partir de 1981, les étapes successives de son intégration dans les rouages du ministère de l'éducation nationale. S'appuyant essentiellement sur les sources documentaires, administratives et politiques, conservées aux archives nationales, sur la presse syndicale et sur de nombreux témoignages des acteurs de l'époque, cette thèse s'attache par ailleurs à démontrer que l'évolution conceptuelle de l'éducation physique et sportive et son enracinement institutionnel rue de Grenelle doivent autant, sinon davantage, aux raisonnements, décisions et affrontements d'essence purement politique qu'au mouvement des idées ou au changement des mentalités
For more than twenty years, the history of physical education in France has been the topic of a large amount of research work. Although these studies are based on both historical and sociological facts, they nevertheless often overlook a most important period in French history, namely the Fifth Republic moreover, the very few authors who have actually dealt with this period have failed to take into account the political dimension of the recent past of physical education. In the present research work, we have endeavoured to analyse and shed a new light on the lesser known aspects of the history of physical education between 1958 and 1997, i. E. : the goals and will of the various governments, the strategies adopted by teachers' professional organizations, the decisions that were reached to balance the contradictory interests and opinions which confront each other within the world of physical education. We have their laid the stress on the major part played by French minister of sports Maurice Herzog between 1958 and 1966 in the dramatic increase of the means granted to this discipline and the changes in its contents. We have also highlighted the impending threats on the very existence of physical education between 1967 and 1980 on account of government policy and the conflicts it entailed. Last but not least, we have related the various stages of the gradual integration of physical education into the structures of the ministry of national education. In this research work, we have mainly relied on documentary administrative and political sources provided by the national archives, on union press and on various testimonies from people involved in the history of physical education at the time. We have attempted to prove that the conceptual evolution and institutional implanting of physical education in the ministry of education was as much, if not more, due to essentially political analyses and decisions as to evolving ideas and changing attitudes
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Boilevin, Jean-Marie. "Conception et analyse du fonctionnement d'un dispositif de formation initiale d'enseignants de physique - chimie utilisant des savoirs issus de la recherche en didactique : un modèle d'activité et des cadres d'analyse des interactions en classe." Aix-Marseille 1, 2000. http://www.theses.fr/2000AIX1A001.

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Dumas-Carré, Andrée. "La résolution de problèmes en physique au lycée : le procédural : apprentissage et évaluation." Paris 7, 1987. http://www.theses.fr/1987PA077070.

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Abstract:
Analyse de la coutume didactique actuelle des activités de résolution de problèmes qui permet deux constats. Interprétations des constats a l'aide de concepts de savoirs déclaratifs et de savoirs procéduraux. Relation d'une expérience conduite en classe de l'enseignement d'une méthode de résolution. Exemples de problèmes d'évaluation sortant de la coutume didactique, destines a évaluer l'acquisition des savoir procéduraux
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Bordes, Pascal. "L'organisation de la classe d'éducation physique : modalités de regroupement, relations interpersonnelles et progrès des élèves." Paris 5, 2000. http://www.theses.fr/2000PA05H072.

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Abstract:
Le problème de l'organisation de l'espace social est souvent posé en classe d'éducation physique. Dans cette discipline scolaire, plus que dans d'autres, différentes modalités de regroupement des élèves et de gestions de ces groupes sont utilisées. Après une analyse des deux grandes options qui ont marqué les pratiques enseignantes depuis le début des annees soixante ; la méthode sportive et son organisation de type bureaucratique d'une part, le modèle libertaire et ses formes d'autogestion d'autre part, nous mettons au jour les pratiques actuelles des enseignants du secondaire. Celles-ci sont fortement corrélées avec la logique interne des activités proposées aux élèves. Puis, dans un second temps, nous nous intéressons à l'une des modalités par les enseignants : le regroupement affinitaire. Nous montrons que si la tendance est à la recherche de partenaires liés par des relations amicales, les groupes constitués sont cependant très loin de présenter une forte cohésion socio-affective. Iil est notamment mis en évidence la présence récurrente de groupes faiblement cohésifs, ainsi qu'un fort taux de nomadisme relationnel, d'une séance a l'autre. Enfin, le dernier temps de notre travail consiste à mesurer l'influence des types de regroupements utilisés par l'enseignant sur les progrès moteurs des élèves, au cours d'un cycle complet d'enseignement. Trois activités sportives servent de support à notre quasi- expérimentation : la gymnastique, la course de relais et le tennis de table. Globalement, on constate que la composition du groupe de travail, aussi bien sous l'angle du degré de cohésion que du niveau de performance, n'a pas d'influence sur les progres enregistrés. Seuls les groupes de faible niveau initiale performance et de basse cohésion socio-affective font état, dans la couse de relais de progrès moteurs non-significatifs.
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Hbiriq, Abderrahmane. "Interprétation des objectifs pédagogiques généraux de l'éducation physique et opérationnalisation de ces objectifs par des éducateurs physiques de Casablanca." Master's thesis, Université Laval, 1988. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29321.

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Gomatos, Léonidas. "Résolution de problèmes de physique en petits groupes : apports et difficultés." Paris 7, 1996. http://www.theses.fr/1996PA070088.

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Abstract:
Ce travail de recherche s'intéresse aux interactions verbales entre élevés qui résolvent de problèmes de physique en groupes. L'intérêt principal est l'évolution de la représentation du problème que se font les élèves durant la résolution et les possibilités didactiques d'intervention a cette évolution. Deux expérimentations sont conçues et réalisées. L'une concerne une classe de seconde d'un lycée a athenes. Les élèves de cette classe résolvent pendant toute une année scolaire de problèmes de mécanique en groupes. L'autre expérimentation s'est réalisée a l'école technique de sparte dans une classe d'élèves de 16 ans. Le domaine est, cette fois, la thermodynamique élémentaire. Un symbolisme intermédiaire est introduit dans cette classe afin d'aider l'élaboration de la représentation du problème que se font les élèves qui résolvent en groupes. Par une analyse surtout qualitative des interactions verbales les points suivants sont soutenus : les élèves qui résolvent en groupes sont généralement cohérents et ils profitent de la multitude des échanges verbaux entre les membres du groupe mais la mise ensemble des diverses idées n'est pas systématiquement facilitée. Le symbolisme intermédiaire a aide la communication intragroupale et il parait être un moyen potentiel d'aide de la résolution collective
This research work refers to verbal interactions between students who solve physics problems in groups. The principal interest is the evolution of problem representation of students during the solution and the possibilities of didactic intervention in this evolution. Two experiments are designed and realised. One concerns a class of tenth grade students of a senior high school in athens. The students of this class solve problems in mechanics in groups during a whole school year. The other is realised in a class of 16 years old students in the technical school of sparta. The domain this time is elementary thermodynamics. An intermediate symbolism is introduced in this class in order to facilitate the elaboration of problem representation of students who solve in groups. Through an analysis, chiefly qualitative, of verbal interactions the following points are supported : students who solve in groups are generaly coherent and they exploit the multitude of verbal exchanges during the group discussion but the synthesis of the various ideas is not systematically facilitated. The intermediate symbolism helped the communication between the members of the group and it seems to be a potential means of support of the collective solution
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Robardet, Guy. "Didactique des sciences physiques et formation des maîtres : contribution à l'analyse d'un objet naissant." Université Joseph Fourier (Grenoble), 1995. http://www.theses.fr/1995GRE10239.

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Abstract:
La these se propose d'apporter sa contribution a l'analyse du role que joue l'introduction de la didactique des sciences physiques dans la formation initiale donnee, dans les instituts universitaires de formation des maitres, aux futurs professeurs de physique et de chimie des lycees et colleges. La question traitee concerne essentiellement l'etude des places institutionnelles faites a la didactique selon les instituts et les effets que cela peut avoir sur la facon dont les futurs professeurs concoivent les sciences physiques et leur enseignement. Nous avons cherche a savoir si l'introduction des approches didactiques dans la formation rencontrait des obstacles et, dans l'affirmative, quelle en etait la nature et la resistance. Une etude d'opinion conduite aupres de 207 professeurs, etudiants et stagiaires en i. U. F. M. Nous a permis d'identifier dans la population etudiee deux representations contradictoires. Selon la premiere, qualifiee de naturaliste, les connaissances se construiraient naturellement chez l'eleve selon un processus passif fonde sur l'induction naturelle des lois a partir de l'observation premiere des faits. La these montre que cette representation est largement dominante, mais qu'elle ne semble pas se constituer en obstacle fort, enracine au niveau des individus. Il apparait, au contraire, que cette representation presente une grande sensibilite vis-a-vis des choix institutionnels et que ces derniers semblent s'averer determinants dans les conformites contractuelles produites chez les etudiants en formation
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Beaufils, Daniel. "L' ordinateur outil de laboratoire dans l'enseignement des sciences physiques : propositions pour la construction d'activités : première analyse des difficultés et des compétences requises chez les élèves de lycée." Paris 7, 1991. http://www.theses.fr/1991PA077292.

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Richoux, Hélène. "Rôles des expériences quantitatives dans l'enseignement de la physique au lycée." Paris 7, 2000. http://www.theses.fr/2000PA070001.

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Abstract:
"L'importance donnée aux expériences quantitatives - mesurage et analyse - dans l'enseignement de la physique au lycée soulève de nombreuses questions. Notre recherche a alors porte sur des pratiques d'enseignants pour repérer et caractériser les éléments intervenant dans l'élaboration des travaux pratiques. La première partie est consacrée a la problématique et a la méthodologie. Notre cadre théorique est double puisque nos questions sur les critères de scientificité relèvent de la transposition tandis que celles sur la construction de la séquence relèvent de la théorie des situations et du milieu. Nous explicitons aussi notre choix d'études de cas ainsi que la méthodologie a base d'entretiens d'enseignants et d'observations de classe. Dans la deuxième partie nous avons élabore une grilled'analyse pour nos données qui nous a permis d'établir que les enseignants n'indiquent aucune pratique de référence scientifique et que, dans la construction du milieu, la planification est un souci premier. Une analyse détaillée de situations essentiellement didactiques- montre une cohérence entre planification et "raisons" et nous proposons un modèle du "fonctionnement de l'enseignant constructeur". La troisième partie porte sur les expériences quantitatives ou une analyse critique permet de préciser le décalage au niveau de la validité scientifique : c'est un glissement de "l'expérimental" vers "l'instrumental", ce dernier apparaissant alors comme un critère premier de reconnaissance scientifique. Au-delà de cet effet de transposition, notre étude montre qu'au plan du fonctionnement du milieu existent également des écarts entre les attentes de l'enseignant et les activités effectives, des élèves. Dans la conclusion, nos résultats sont mis en perspective et montrent l'importance de la prise en compte du fonctionnement de l'enseignant pour la formation des maîtres. "
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Rigaut, Matthieu. "L'épreuve écrite de physique au baccalauréat : analyse du point de vue du contrat didactique." Paris 7, 2005. http://www.theses.fr/2005PA070042.

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Abstract:
Dans une première partie nous rappelons quelques effets déjà connus du contrat didactique. Dans une deuxième partie, nous inscrivons plus particulièrement ce contrat dans l'enseignement de la physique et mettons en avant, sur quelques exemples, son omniprésence. Nous remarquons aussi que l'existence d'un lien entre connaissance du contrat et réussite scolaire a déjà été proposé. Dans une troisième partie, par l'intermédiaire de questionnaires papier-crayon et d'entretiens, nous faisons ressortir le fait que le contrat didactique usuel est une connaissance plutôt bien partagée de l'ensemble des étudiants. C'est pourquoi, dans une quatrième partie, nous introduisons une grille d'analyse des demandes permettant de caractériser précisément les demandes faites aux élèves, surtout au niveau de la part d'autonomie qui leur est laissée. A l'aide de cette grille nous étudions les programmes officiels ainsi que les épreuves effectives du baccalauréat. Il en ressort que si certains aspects exhibés ne sont pas inattendus, d'autres, en revanche, étaient moins prévisibles, notamment en ce qui concerne le peu de demandes faites sur des aspects de culture générale ou sur des conclusions à apporter à la fin d'une étude. L'auteur conclut sur le fait que la grille construite, facile d'utilisation, est un outil utile pour mieux envisager les modifications à apporter aux épreuves données aux étudiants afin de les faire correspondre aux objectifs de celles-ci
This research paper aims at setting the ground for a larger research, which consists in highlighting the possible link between the acknowledgement of a didactic contract and scholastic achievement. In that respect, we first refer to some of the effects of the didactic contract that have already been brought forward in the past. Secondly, we apply the contract to the specific field of the teaching of physics, bringing to the fore its omnipresence through a number of concrete examples. We do admit that the existence of a link between the acknowledgement of a didactic contract and scholastic achievement has already been suggested. Thirdly, thanks to interviews and questionnaires, we show that the usual didactic contract is rather well known among the majority of students. Therefore, we finally propose a grid to have a feedback on work instructions from the students themselves, especially regarding the degree of autonomy allowed to them. With that grid, we analyse the official syllabus as well as the tests given to French high-school students for their graduation. As a result, though certain findings were somehow predictable, others were quite unexpected, as for instance the relative lack of instructions regarding general knowledge or conclusions to be drawn at the end of a problem study. The end of our research demonstrates that the user-friendly grid that was elaborated has proven a usefûl tool to anticipate thé modifications that may be required in thé making of tests to comply with their objectives
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Services, Alberta Language. Évaluation en éducation physique au secondaire: Monographie. Edmonton, Alta: Alberta Education, 1991.

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Physique 20-30: Raison d'être et philosophie du programme. [Edmonton]: Alberta Education, 2007.

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Physique 20-30: Raison d'être et philosophie du programme. 2nd ed. [Edmonton]: Alberta Education, 2008.

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Martin, Jean-Luc. La politique de léducation physique sous la Ve République: Enseignement secondaire. Paris: Presses universitaires de France, 1999.

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Éducation physique. Edmonton]: Alberta Learning, 2000.

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Cholet, Cyriaque. Physique-chimie 1re S. 2nd ed. Paris: Pre pamath, 2006.

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Ontario. Biologie et physique :le curriculum de l'Ontario: Copies types de 12e année. Toronto,Ont: Ministère de l'éducation, 2004.

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Trajectoires: Physique, 3e année du 2e cycle du secondaire. Anjou: Éditions CEC, 2009.

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Option science: Physique : 3e année du 2e cycle du secondaire. Saint-Laurent, Québec: ERPI, 2009.

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Ontario. Éducation physique et santé :le curriculum de l'Ontario: Copies types de 12e année. Toronto,Ont: Ministère de l'éducation, 2004.

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