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1

Ben Moussa, Mohammed Tahar, Youcef Hadef, Hocine Bouncer, Messaouda Oudjehih, Feycal BeichI, Souhila Aouidane, and Hanane Benaldjia. "Ethnobotanical survey on Matricaria pubescens (DESF.) SCHULTZ (Asteraceae) among the population of the south-eastern regions of Algeria." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 7, no. 1 (May 2, 2020): 39–44. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsoa.2020.7110.

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Abstract:
L'enquête ethnobotanique s'avère indispensable pour la connaissance des plantes médicinales et leurs utilisations. Une vaste connaissance de la façon d’utiliser les plantes contre les différentes maladies est fort envisageable dans les zones où l'utilisation des plantes est toujours de grande importance. L’enquête réalisée en 2014 dans les trois wilayas Biskra, El Oued et Ouargla (Sud Est d’Algérie) a révélé que Matricaria pubescens (DESF.) SCHULTZ est utilisée principalement pour le traitement des maladies du tube digestif (53,95%), des affections génito-urinaires (37,96%) et des affections respiratoires (36,34%). L’espèce étudiée est très fréquemment utilisée par les nomades et les villageois. La population enquêtée l’a classé comme plante médicinale. Les résultats de l’enquête ont montré que la partie aérienne constitue la partie la plus utilisée par rapport aux organes souterrains. L’espèce est employée, dans la majorité des cas, sous forme de poudre et en tisane. La poudre est utilisée beaucoup plus par les femmes (34,3 %) que par les hommes (17,44 %). L’utilisation de cette plante est plus élevée chez les personnes âgées (79,37 %). Cette plante est contre-indiquée chez la femme enceinte et en cas d’ulcère gastrique.
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2

Shalukoma, Chantal, Jan Bogaert, Pierre Duez, Caroline Stévigny, Célestin Pongombo, and Marjolein Visser. "LES PLANTES MÉDICINALES DE LA RÉGION MONTAGNEUSE DE KAHUZI- BIEGA EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO : UTILISATION, ACCESSIBILITÉ ET CONSENSUS DES TRADIPRATICIENS." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 326, no. 326 (December 18, 2015): 43. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.326.a31282.

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Abstract:
En ethnobotanique, des aspects comme l’influence de l’accessibilité d’une plante sur sa fréquence d’usage, le consensus entre les tradipraticiens autour des rela- tions maladie-plante ainsi que le degré de fidélité d’une plante à une catégorie de maladies sont essentiels pour évaluer une tradition médicinale ; mais ils sont d’une interprétation difficile. Nous avons exploré ces aspects dans cette étude basée sur des entretiens semi-structurés avec 88 tradi- praticiens issus des communautés Batwa, Havu, Shi et Tembo dans les localités situées à proximité de la forêt de montagne du Parc national de Kahuzi-Biega, en pro- vince du Sud-Kivu, à l’Est de la République démocratique du Congo. Il s’avère que 77 espèces végétales sont utilisées pour traiter les pathologies regroupées dans 18 catégories de maladies, dont les plus fré- quentes sont les troubles digestifs et les infections. Lesfeuilles et les écorces sont les parties les plus utilisées dans les recettes majoritairement monoplantes et principa- lement préparées en solutions aqueuses. Bien que la corrélation entre l’accessibilité des plantes et leurs fréquences d’usage soit positive (H = 17,64 ; p < 0,001), certaines plantes forestières pourtant moins acces- sibles connaissent des fréquences d’usage particulièrement élevées. Le facteur de consensus des tradipraticiens est globale- ment élevé, particulièrement pour les caté- gories de troubles musculo-squelettiques (= 0,83) et les infections (= 0,80). Toutes les catégories de maladies fidélisent au moins une plante malgré les taux globalement faibles. Bien qu’exploratoires, nos résultats suggèrent un certain ancrage d’une tradi- tion médicinale au sein de communautés locales de la région. Cet ancrage suppose une bonne connaissance des plantes médicinales, une transmission intergénéra- tionnelle des savoirs ainsi qu’une certaine collaboration entre les tradipraticiens. Plus d’études sont nécessaires pour évaluer davantage ces différents aspects.
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3

Dellal, A., F. Toumi-Benali, L. Hamel, A. Megherbi-Benali, and M. A. Benahzil. "Enquête ethnobotanique et valorisation de l’activité antimicrobienne des feuilles de céleri Apium graveolens cultivé en Algérie." Phytothérapie 18, no. 3-4 (July 12, 2019): 239–45. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0127.

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Abstract:
Ce travail constitue la première étude ethnobotanique réalisée sur le céleri Apium graveolens cultivé dans la wilaya de Sidi Bel Abbes. Cette étude a permis de fournir des renseignements importants sur la plante médicinale et de réunir toutes les informations concernant les usages thérapeutiques pratiqués par la population locale. Les enquêtes ethnobotaniques sur le terrain ont permis de collecter certains nombres d’informations à l’aide de 300 fiches questionnaires préétablies. Les résultats de l’enquête ont montré que les feuilles constituent la partie la plus utilisée par rapport aux autres organes de la plante avec un taux de 59,29 %. Les femmes utilisent la plante plus que les hommes. 83,79 % des femmes questionnées utilisent quotidiennement le céleri pour aromatiser les plats et pour des vertus thérapeutiques, la plante est fréquemment utilisée chez les analphabètes (68 %), la classe d’âge de 50 à 80 ans a plus de connaissances en plantes médicinales par rapport aux autres classes d’âge avec un taux de 59,88%. L’activité antimicrobienne par la méthode de diffusion enmilieu gélosé montre une importante efficacité de l’extrait hydroalcoolique à la concentration 100 mg/ml vis-à-vis des souches testées avec un diamètre d’inhibition qui varie entre 8 et 16 mm.
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4

Ben Laiba, M., W. Douki, and R. Chemli. "La prêle des champs : une plante médicinale d'avenir." Phytothérapie 16, no. 2 (April 2018): 108–15. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2018-0025.

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5

Seck, N. B., S. O. Niang, B. A. Diatta, M. Diallo, M. Ndiaye, M. T. Dieng, and A. Kane. "Psoriasis en goutte induit par une plante médicinale." Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 140 (April 2013): S21. http://dx.doi.org/10.1016/j.annder.2013.01.378.

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6

Haas, Charles. "Le silphium de Cyrénaïque, une plante médicinale aujourd’hui disparue." Bulletin de l'Académie Nationale de Médecine 192, no. 1 (January 2008): 153–60. http://dx.doi.org/10.1016/s0001-4079(19)32855-9.

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7

Bouyahya, A., A. Et-Touys, A. Khouchlaa, A. El-Baaboua, A. Benjouad, S. Amzazi, N. Dakka, and Y. Bakri. "Notes ethnobotaniques et phytopharmacologiques sur Inula viscosa." Phytothérapie 16, S1 (December 2018): S263—S268. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0157.

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Abstract:
Inula viscosa (L.) (synonyme de Dittrichia viscosa (L.) Greuter) est une plante médicinale très utilisée dans la médecine populaire pour soigner différentes pathologies. Elle appartient à la famille des Asteraceae et est largement répandue au Maroc et dans le monde. Les études effectuées sur cette plante ont montré qu’elle est riche en métabolites secondaires tels que les acides phénoliques, les flavonoïdes et les composés terpénoïdes. Ces composés sont doués de propriétés antibactériennes, antitumorales, antifongiques, anti-inflammatoires et autres. Le criblage bioguidé des extraits d’Inula viscosa a permis d’identifier et d’isoler des molécules bioactives telles que l’inuviscolide, la tomentosine et la fokiénol qui pourraient avoir des applications thérapeutiques diverses.
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8

Laplante, Julie. "Plantes médicinales, savoirs et société : vue des rastafaris sud-africains." Drogues, santé et société 8, no. 1 (January 21, 2010): 93–121. http://dx.doi.org/10.7202/038917ar.

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Abstract:
Résumé L’article se penche sur le rôle de guérison que jouent les plantes à l’intérieur du mouvement rastafari sud-africain dans les townships de Cape Town, notamment sous l’angle de l’anthropologie de la santé, des sciences et des technologies. Par une recherche plus globale, l’auteure procédera au suivi ethnographique de la trajectoire de la plante médicinale indigène sud-africaine Artemisia afra (A. afra) alors que celle-ci traverse diverses étapes préparatoires conduisant aux essais cliniques. Le double objectif de vérification scientifique et de promotion des savoirs traditionnels que poursuit le projet d’essais précliniques relatif à l’A. afra soulève divers enjeux épistémologiques alors que les scientifiques et les amagqirhas (guérisseurs) et inyangas (herboristes) Xhosa profilent diverses notions d’efficacité. Aux côtés de ces derniers se retrouvent les herboristes rastafaris qui défendent également leurs savoirs traditionnels au sujet des plantes médicinales, dont ceux portant sur l’A. afra. Le parcours des herboristes rastafaris et leur herbe sacrée, la dagga (cannabis sativa, ganja), occupent un rôle particulier en lien avec l’A. afra, lequel sera ici esquissé. L’étude met en lumière les relations unificatrices qu’exerce la dagga au sein des pratiques phytothérapeutiques rastafaris, relations paradoxalement intensifiées par des rapports antagonistes avec le système bio-médico-légal sud-africain, et ce, dans un contexte de mondialisation. Il ne s’agit donc pas de rendre exotique le mouvement rastafari, mais bien d’en comprendre les articulations et les propositions qui puissent informer et défier les épistémologies scientifiques et biopolitiques dominantes actuelles. En conclusion, la façon de promouvoir les savoirs traditionnels sur les plantes en utilisant le parcours des essais cliniques scientifiques demeure très limitative. L’exploration de nouvelles voies de compréhension de l’efficacité des remèdes est plutôt suggérée.
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9

Dominique, ALM, T. Awa, C. Koffi, and II Joseph. "Nephrolepis biserrata, une Ptéridophyte utilisée comme plante médicinale en Côte d’Ivoire." Journal of Applied Biosciences 81, no. 1 (November 7, 2014): 7298. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v81i1.12.

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10

El-Haci, I. A., F. Atik-Bekkara, A. Didi, M. Gherib, and M. A. Didi. "Teneurs en polyphénols et pouvoir antioxydant d’une plante médicinale endémique du Sahara algérien." Phytothérapie 10, no. 5 (September 29, 2012): 280–85. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-012-0726-x.

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Falleh, Hanen, Chokri Hafsi, Ichrak Mohsni, and Riadh Ksouri. "Évaluation de différents procédés d’extraction des composés phénoliques d’une plante médicinale : Verbena officinalis." Biologie Aujourd’hui 215, no. 3-4 (2021): 133–42. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2021009.

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Abstract:
Depuis la nuit des temps, les plantes ont été la source principale de molécules bioactives, tels les composés phénoliques, capables de remédier à diverses maladies. Cependant, le contenu et l’activité des polyphénols dépendent d’un certain nombre de facteurs intrinsèques et extrinsèques. Dans le but d’optimiser les procédés d’obtention des principes actifs de la verveine (Verbena officinalis), les effets de la provenance de la plante, du solvant et de la méthode d’extraction ont été évalués. Ainsi, la partie aérienne de V. officinalis a été collectée dans deux régions différentes de la Tunisie (Bizerte et Ain Draham). L’extraction a été réalisée par macération, décoction et par l’appareil de Soxhlet tantôt avec de l’eau tantôt avec de l’éthanol pur. Une variabilité significative des teneurs en composés phénoliques ainsi que des capacités antioxydantes et antimicrobiennes des extraits a été observée en fonction des facteurs étudiés. De manière générale, les extraits éthanoliques sont plus riches en composés phénoliques et présentent des activités antioxydantes plus fortes que les extraits aqueux. Cependant, vis-à-vis de différentes souches pathogènes, les extraits aqueux sont souvent au moins aussi puissants que les extraits éthanoliques pour inhiber la croissance bactérienne in vitro. De plus des différences notables sont observées selon que V. officinalis provient de la région de Bizerte ou d’Ain Draham. Ces résultats montrent que la prise en compte de plusieurs paramètres est nécessaire pour optimiser l’efficacité des procédures d’extraction des molécules bioactives de V. officinalis.
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Yeo, D., J. D. N’Guessan, T. Sea, Y. A. Coulibaly, A. J. Djaman, N. A. Tako, J. C. Yavo, and F. Guede-Guina. "Évaluation de l’activité antiasthmatique et antitussive de Combretum molle, plante médicinale de la pharmacopée ivoirienne." Phytothérapie 6, no. 6 (December 2008): 348–51. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-008-0347-6.

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Rammal, H., J. Bouayed, F. Desor, C. Younos, and R. Soulimani. "Validation et contribution à l’étude de l’effet antihyperglycémique d’une plante médicinale, le Momordica charantia L." Phytothérapie 7, no. 4 (August 2009): 191–96. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-009-0395-6.

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Basli, A., M. Chibane, K. Madani, and N. Oukil. "Activité antibactérienne des polyphénols extraits d’une plante médicinale de la flore d’Algérie: Origanum glandulosum Desf." Phytothérapie 10, no. 1 (January 21, 2012): 2–9. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-012-0683-9.

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Ben Rejeb, M., A. Aounallah, J. Rouatbi, S. Mokni, N. Ghariani Fetoui, G. Najet, B. Sriha, M. Karim, C. Belajouza, and M. Denguezli. "Pemphigoide bulleuse atypique induite par l’ingestion de plante médicinale « Verbena officinalis » : à propos de deux cas." La Revue de Médecine Interne 42 (June 2021): A138—A139. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2021.03.100.

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GANKA, Gabin, Valère Kolawolé SALAKO, and Belarmain Adandé FANDOHAN. "Importance des cultes dans la préservation des espèces d’arbre, le cas du samba (Triplochiton scleroxylon K. Schum.) au Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 351 (February 28, 2022): 53–65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2022.351.a36866.

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Abstract:
Triplochiton scleroxylon K. Schum. est l’une des espèces vénérées des écosystèmes sacrés du Bénin qui revêt une importance socioculturelle. Toutefois, les peuplements naturels de l’espèce sont en déclin et les informations sur ses usages sont quasi non documentées. Cette étude évalue les connaissances locales sur les usages de l’espèce et la distribution desdites connaissances entre groupes ethnolinguistiques, culturels et cultuels au Bénin. Des enquêtes ethnobotaniques individuelles ont été réalisées auprès de 411 adeptes des divinités liées à la conservation de l’espèce au Bénin. Les indices ethnobotaniques tels que la fréquence relative de citation (FRC), la valeur d’usages (VU) total et par organe, et l’indice d’importance culturelle (IC) ont été utilisés pour quantifier la popularité, l’utilisation et l’importance socioculturelle de T. scleroxylon, respectivement. Un modèle linéaire généralisé avec la distribution de la binomiale négative a été réalisé pour examiner la variation de la VU entre groupes ethnolinguistiques, culturels et cultuels. Au total, 36 usages spécifiques catégorisés en neuf types d’usages ont été rapportés. Les usages cultuels, médicinaux, artisanaux et comme bois d’œuvre sont les plus cités. Toutes les parties de la plante sont prisées dans la tradition du culte Oro. Les feuilles, racines et écorces sont les organes utilisés pour traiter diverses affections dont les plus populaires sont les affections digestives et gynécologiques. Les connaissances et les usages de l’espèce varient significativement entre les groupes ethnolinguistiques et cultuels. Une singularité des connaissances de T. scleroxylon a été observée chez les adeptes du culte Oro. La disparition de cette espèce pourrait avoir des conséquences majeures sur l’identité et la stabilité culturelle et cultuelle des peuples pratiquant cette tradition. Les usages médicinaux populaires rapportés offrent aussi des perspectives pour la valorisation médicinale de l’espèce.
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Dossa, Appolinaire Kouamé, Jean Robert Klotoe, Eric Agbodjento, Victorien Dougnon, Julien Sassa Sinkou, and Frédéric Loko. "Usages de poudres à base de rhizomes de Cochlospermum tinctorium Perrier ex A.Rich au Bénin : fréquence, formes et indications." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 4 (November 18, 2021): 1511–23. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.17.

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Abstract:
Cochlospermum tinctorium est une plante médicinale utilisée dans plusieurs pays pour le traitement de l’hépatite. Au Bénin, différentes poudres à base de ses rhizomes sont vendues dans les marchés et utilisées par les tradithérapeutes pour plusieurs usages. L’objectif de cette étude était de répertorier les différentes formes et les divers usages des recettes à base de Cochlospermum tinctorium utilisées au Bénin. Dans ce sens, une enquête ethnomédicinale a été menée auprès de 434 usagers des marchés et 40 tradithérapeutes du Sud et du Nord Bénin suivant la méthode par interview semi-structurée. Les données obtenues ont montré que les recettes à base de C. tinctorium sont plus connues et utilisées au Nord-Bénin. Ces recettes se présentent sous trois formes (A, B et C). Leurs usages sont alimentaires (41%) et médicinales (59%). La forme A est très utilisée (93,91%) par la population enquêtée pour les besoins nutritionnels et thérapeutiques alors que les formes B et C ont, essentiellement, un usage médicinal. Cette étude a permis de comprendre la diversité de recettes associées au terme "poudre jaune" au Bénin. Il est dès lors nécessaire d’évaluer la toxicité et l’efficacité de ces différentes formes d’usage de la poudre de rhizome de C. tinctorium. English title: Uses of rhizome-based powder of Cochlospermum tinctorium Perrier ex A.Rich in Benin: frequency, forms and indications Cochlospermum tinctorium Perrier is a medicinal plant used in several countries for the treatment of hepatitis. In Benin, different powders made from its rhizomes are sold in markets and used by traditional healers for several purposes. The objective of this study was to list the different forms and uses of Cochlospermum tinctorium-based recipes used in Benin. An ethnomedicinal survey was conducted among 434 market users and 40 traditional healers from Southern and Northern Benin using the semi-structured interview method. The data obtained showed that the recipes based on C. tinctorium are more known and used in North Benin. These recipes come in three forms (A, B and C). Their uses are food (41%) and medicinal (59%). Form A is widely used (93.91%) by the population surveyed for nutritional and therapeutic needs while forms B and C have, essentially, a medicinal use. This study has allowed us to understand the diversity of recipes associated with the term "yellow powder" in Benin. It is therefore necessary to evaluate the toxicity and effectiveness of these different forms of use of C. tinctorium rhizome powder.
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Bouzid, A., R. Chadli, and K. Bouzid. "Étude ethnobotanique de la plante médicinale Arbutus unedo L. dans la région de Sidi Bel Abbés en Algérie occidentale." Phytothérapie 15, no. 6 (October 6, 2016): 373–78. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-016-1027-6.

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Adou, Lydie Marie Dominique, Mamidou Withabouna Kone, Joseph Ipou Ipou, and Edouard Kouakou N’guessan. "Ethnobotanique et analyse phytochimique qualitative de Pteridium aquilinum (L.) Kühn (Dennstaedtiaceae), une Ptéridophyte utilisée comme plante médicinale en Côte d’Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 10, no. 4 (March 27, 2017): 1783. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v10i4.27.

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Ayena, AC, and MAD Tchibozo. "Valorisation de Pterocarpus santalinoides L'Hér. ex De. (Papilionoideae), une plante alimentaire et médicinale utilisée au Bénin en Afrique de l’Ouest." Journal of Applied Biosciences 90, no. 1 (August 11, 2015): 8377. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v90i1.9.

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B, Mikolo, Etou Ossibi A.W, Miamb L.R., and Abena A.A. "Evaluation des toxicités aigue et subaiguë de l’extrait aqueux des feuilles de Tetracera potatoria Ex. G. Don chez les rongeurs de laboratoire." Journal of Animal and Plant Sciences 45, no. 3 (September 30, 2020): 7980–91. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v45-3.3.

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Abstract:
1 RESUME Tetracera potatoria est une plante médicinale utilisée traditionnellement en Afrique contre quelques maladies infectieuses. La consommation exagérée des produits de cette plante, tout comme pour ceux des autres plantes, peut présenter des risques d’intoxication pour les consommateurs. Le but de ce travail a donc été d’explorer les activités toxicologiques aiguë et subaiguë de l’extrait aqueux de cette plante chez les souris et les rats en vue de garantir la sécurité des consommateurs de cette plante. L’extrait aqueux des feuilles de T. potatoria récoltées dans le département de la Bouenza a été administré aux souris et rats tests et de l’eau distillée aux témoins. Les effets de cet extrait sur le comportement, l’état général, la mortalité des souris ont été observés et les paramètres biochimiques et hématologiques analysés selon les méthodes classiques. Concernant la toxicité aiguë, l’administration d’une dose unique de 5 000 mg/Kg aux souris n’a pas eu d’effets significatifs sur le comportement, la prise de poids et la prise alimentaire ainsi que sur les paramètres biochimiques et hématologiques. Concernant la toxicité subaiguë, par contre, l’administration quotidienne d’une dose de 2000 mg/kg pendant 28 jours aux rats a entrainé des modifications du poids corporel et de certains paramètres biochimiques et hématopoïétiques. Au terme de ce travail, il ressort que l’administration unique de la dose de 5000 mg/kg ne provoque pas des signes de toxicité chez la souris. En traitement subaiguë, cet extrait à 2000 mg/kg provoque une modification significative de quelques paramètres biochimiques et hématologiques chez le rat, sans avoir d’effets significatifs sur les organes nobles. SUMMARY Tetracera potatoria is a medicinal plant used traditionally in Africa against some infectious diseases. The excessive consumption of the products of this plant, as for those of other plants, can present risks of intoxication for the consumers. The aim of this work was therefore to explore the acute and subacute toxicological activities of the aqueous extract of mice and rats in order to guarantee the safety of users of this plant. An aqueous extract of the leaves of T. potatoria, harvested in the department of Bouenza, was administered to the test mice and rats 7980 Mikolo et al., 2020 Journal of Animal & Plant Sciences (J.Anim.Plant Sci. ISSN 2071-7024) Vol.45 (3): 7980-7991 https://doi.org/10.35759/JAnmPlSci.v45-3.3 and distilled water to the controls. The effects of this extract have been analyzed. Regarding acute toxicity, the administration of a single dose of 5000 mg/Kg to mice had no significant effects on behaviour, weight gain and food intake as well as on biochemical parameters and hematopoietic. Regarding sub-acute toxicity, on the other hand, the daily administration of a dose of 2000 mg/kg for 28 days to rats resulted in changes in body weight and certain biochemical and hematopoietic parameters. This work indicates that the single administration of the 5000 mg/kg dose does not cause signs toxicity in mice. In sub-acute treatment, this extract at 2000 mg/kg causes a significant modification of some biochemical and hematological parameters in rats, without having significant effects on noble organs.
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Wete, E., J. L. Betti, J. R. Ngueguim, Siegfried D. Dibong, and N. O. F. Njukouyou. "Analyse comparative de la soutenabilité des méthodes d’exploitation de Prunus africana (Hook. f.) Kalkman en vigueur au Cameroun : incidence biologique et socio-économique." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (August 17, 2020): 1405–15. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.19.

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Abstract:
Prunus africana (Hook. f.) Kalkman est une plante de haute valeur médicinale qui connait de forte pression d’exploitation au Mont Cameroun. Dans le cadre d’une récolte durable des écorces, deux méthodes d’exploitation (2/4 et 4/8 opposées) ont été recommandées par l’Agence National de Développement des Forêts (ANAFOR) qui est l’autorité scientifique CITES du Cameroun. Cette étude porte sur l’analyse de la soutenabilité biologique et économique de ces méthodes de récolte en vigueur Cameroun. Un inventaire d’exploitation au taux de sondage de 100% dans une parcelle de 100 ha en fin de première rotation (cycle de 5 années), a servi à la collecte des données sur l’état de santé des arbres (mort, vivant, dépérissant), la mesure des diamètres à hauteur de poitrine et le dénombrement de la population d’arbre. Au total 170 arbres ont été dénombrés, ce qui correspond à 1,7 tiges/ha. Dans cet échantillon on compte 84 arbres (54%) exploités à la méthode 4/8. Ce groupe comprend 23 arbres dépérissant (27,40%), 7 arbres morts (8,30%) et 54 arbres vivants (64,30%). Tandis que sur un effectif de 86 arbres (56%) exploités par la méthode 2/4 on a observé 12 arbres dépérissant (14%), aucun arbre mort et 74 arbres vivants (86%). Ces informations montrent que la méthode d’écorçage (4/8) est plus compromettante sur la croissance des populations d’arbre. Elle est également économiquement la moins rentable avec des pertes de 1650 $US comparée à la méthode 2/4 (660 $). La méthode 2/4 a un faible impact sur la santé des arbres, elle peut être améliorée et adoptée comme méthode de récolte durable qui garantit une cicatrisation rapide de l’écorce des arbres et des revenues importants.Mots clés : Plante médicinale, méthode de récolte durable, régénération, aménagement des ressources forestières, Mont Cameroun. English Title: Comparative analysis of the sustainability of prunus africana (Hook. f.) Kalkman harvesting techniques used in Cameroon: biologic and socioeconomic incidence Prunus africana (Hook. f.) Kalkman is a medicinal plant with a high socioeconomic value which is facing serious bark harvesting pressure in Mount Cameroon. To ensure sustainable exploitation, two norms (2/4 and 4/8 opposites) was prescribed by the National Forestry Agency (ANAFOR) which is the CITES scientific authority in Cameroon. This study analyzes the biologic and economic sustainability of these harvesting practices. Data collection consisted of trees inventory, measurement of trees diameter and appreciation of tree vitality within a 100 ha plot at the end of the first rotation (five years later after bark harvesting). The sample comprise 170 trees (corresponding to 1.7 trees/ha) amongst which 84 trees (54%) were harvested using 4/8 technic. In this group, 23 (27.40%) trees were found in bad health, 7 (8.30%) trees dead, 54 trees alive (64.30%) and the annual diameter increment was 0.42±0.37 cm while in a group of 86 trees (56%) harvested with 2/4 technic, observation shown: 12 trees (14%) in bad health, 74 trees alive (86%) and annual diameter increment of 0.44±0.36 cm. This statistic shows that, 4/8 technic has a negative impact on trees population and is less benefit with losses estimated at 1650 $US comparing to 660 $US (2/4 technic). The 2/4 technic can be improved and adopted as a suitable harvesting method; since it ensures a fast diameter recovery, low impact on trees population and generate more income.Keywords: Medicinal plant, sustainable harvesting techniques, regeneration, forest resources management, Mount Cameroon.
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Somboro, AA, D. Diallo, L. Sidibe, N. Traore, B. Fofana, S. Bouare, P. Chalard, JC Chalchat, G. Figueredo, and Y. Troin. "Activités anticholinestérasiques des alcaloïdes totaux extraits des feuilles, fruits, écorces de racines et écorces de tronc de Guiera senegalensis, une plante médicinale Malienne." International Journal of Biological and Chemical Sciences 7, no. 4 (February 20, 2014): 1723. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v7i4.27.

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Diarra, Mamadou Lamine, Mahamane Haïdara, Madani Mariko, Kayatou Dao, Djeneba Coulibaly, and Rokia Sanogo. "Evaluation de la qualité botanique, physicochimique, phytochimique et de l’activité anti-radicalaire de la pulpe de fruits des échantillons de Ziziphus mauritiana Lam (Rhamnaceae), récoltés au Mali." European Scientific Journal, ESJ 18, no. 24 (July 31, 2022): 209. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n24p209.

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Abstract:
Au Mali, Ziziphus mauritiana est une plante alimentaire et médicinale utilisée dans la prévention et la prise en charge de la malnutrition. Ce travail rentrait dans le cadre de la valorisation des plantes alimentaires avec comme objectif, l’évaluation de la qualité botanique, physicochimique, phytochimique et de l’activité anti radicalaire des fruits de Ziziphus mauritiana largement consommés au Mali. Les fruits analysés ont été achetés dans les régions de Mopti, Nioro, Ségou et Sikasso. Les caractères macroscopiques, organoleptiques et granulométriques ont été examinés en se basant sur les organes de sens tandis que les éléments microscopiques étaient observés au microscope. Les éléments physicochimiques et phytochimiques ont été déterminés en utilisant des méthodes standards de laboratoire. L’activité anti radicalaire a été évaluée en utilisant le test de réduction du radical DPPH par CCM. Les résultats ont montré que les échantillons récoltés dans différentes localités présentent globalement les mêmes caractères botaniques, physicochimiques, phytochimiques et une activité antiradicalaire. Ces caractères peuvent servir d’éléments de contrôle des fruits de Ziziphus mauritiana en vue de son utilisation pour la prévention et la prise en charge de la malnutrition. In Mali, Ziziphus mauritiana is a food and medicinal plant used in the prevention and management of malnutrition. For the valorization of food plants, the objective of this work was to evaluate the botanical, physicochemical, phytochemical quality and the antiradical activity of the fruits of Ziziphus mauritiana widely consumed in Mali. The analyzed fruits were purchased in the regions of Mopti, Nioro, Ségou and Sikasso. The macroscopic, organoleptic and granulometric characters were examined based on the sense organs while the microscopic elements were observed under the microscope. Physicochemicals and phytochemicals were determined using standard methods. The anti-radical activity was evaluated using the DPPH radical reduction test by TLC. The results showed that the samples collected in different localities generally present the same botanical, physicochemical, phytochemical characters and an antiradical activity. These characters can serve as fruit control elements of Ziziphus mauritiana in view to its use for the prevention and management of malnutrition.
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Mechri, A., A. Amrani, W. Benabderrahmane, O. Benaissa, N. Boubekri, D. Zama, F. Benayache, and S. Benayache. "Les polyphénols de l’extrait n-butanol de Crataegus oxyacantha : évaluation de leur pouvoir antioxydant et protecteur vis-à-vis de la toxicité de la doxorubicine." Phytothérapie 16, S1 (September 28, 2018): S22—S31. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2018-0009.

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Abstract:
La doxorubicine (DOX) est un médicament utilisé en chimiothérapie anticancéreuse, son utilisation clinique est limitée en raison de plusieurs effets secondaires qui lui ont été attribués, comme la cardiotoxicité, la néphrotoxicité et l’hépatotoxicité. Dans la présente étude, nous avons étudié l’efficacité protectrice de l’extrait n-butanol d’une plante médicinale de la famille des Rosacées (Crataegus oxyacantha) contre la toxicité cardiaque, rénale et hépatique induite par la DOX chez des rats Wistar femelles en utilisant des paramètres biochimiques. Les rats ont été soumis à un traitement oral pré- et postphylactique concomitant par l’extrait n-butanol (100 mg/kg) contre la toxicité induite par injection intrapéritonéale unique de la DOX (150 mg/kg). La néphrotoxicité et l’hépatotoxicité ont été évaluées en mesurant les taux sériques de la créatinine, de l’urée, de l’aspartateaminotransférase (ASAT), de l’alanine-aminotransférase (ALAT) et du lactate-déshydrogénase (LDH). Le profil lipidique a également été mesuré. Le traitement par l’extrait n-butanol a considérablement diminué les taux des marqueurs sériques de la toxicité provoquée par la DOX. Les résultats biochimiques qui ont montré que la DOX a causé des dommages importants au niveau des tissus étudiés ont été inversés par l’extrait n-butanol. Les résultats suggèrent que l’extrait n-butanol atténue les lésions rénales, cardiaques et hépatiques induites par la DOX. Les tests antioxydants in vitro (piégeage du radical 2,2-diphényl-1-picrylhydrazyl et inhibition de la peroxydation lipidique) de l’extrait n-butanol ont révélé qu’il présente un pouvoir antioxydant très important ; ces activités sont fortement corrélées avec les teneurs en flavonoïdes et en phénols totaux.
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Bationo, Babou André, Alkassoum Maïga, Pascal Compaore, and Antoine Kalinganire. "Dimension socioculturelle du baobab Adansonia digitata L. dans le plateau central du Burkina faso." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 306, no. 306(4) (December 1, 2010): 23. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.306.a20428.

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Abstract:
Le baobab, Adansonia digitata L., est classé parmi les cinq espèces ligneuses prioritaires au Burkina Faso dont le paysage agraire montre une distribution irrégulière de cette espèce. Les principaux déterminants socioculturels de cette distribution demeurent cependant peu ou mal connus. Le but de cette étude est de caractériser la structure et les facteurs socioculturels qui déterminent la distribution du baobab dans le Centre-Nord et le Centre-Ouest du Burkina Faso. Les travaux ont été menés à travers des inventaires forestiers, des enquêtes socio-éco-nomiques et des observations de terrain sur les pratiques paysannes. Les résultats montrent qu'à l'intérieur d'un même terroir la structure du baobab varie en fonction du type de champ (case, village, brousse). La structure des diamètres épouse une forme en «L» dans les champs de case, une forme en «j» dans les champs de brousse et irrégulière dans les champs de village. Le baobab est considéré dans toute la zone d'étude comme une espèce maléfique abritant des génies, mais aussi en tant que plante alimentaire et médicinale de premier plan. Contrairement au Centre-Ouest, les produits du baobab sont largement utilisés dans l'alimentation et l'artisanat dans le Centre-Nord, où les populations l'entretiennent dans les champs de case et de village par la pratique de la régénération naturelle assistée. La faible présence du baobab dans le Centre-Ouest est en partie liée aux habitudes, au développement du maraîchage qui favorise la disponibilité de condiments alternatifs et aux perceptions que les populations ont vis-à-vis de cet arbre. (Résumé d'auteur)
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Demba DIOP, Richard, Mame Samba MBAYE, Ibou DIOP, César BASSENE, Oumar SARR, Abdoul Aziz CAMARA, Mame Thierno Aby SY, and Kandioura NOBA. "Usages médicinales des plantes par la population riveraine du conservatoire botanique Michel Adanson de Mbour (Sénégal)." Journal of Animal & Plant Sciences 40, no. 3 (July 28, 2019): 6690–711. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v40-3.3.

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Abstract:
Usages médicinales des plantes par la population riveraine du conservatoire botanique Michel Adanson de Mbour (Sénégal). Richard Demba DIOP1*, Mame Samba MBAYE1, Ibou DIOP1, César BASSENE3, Oumar SARR2, Abdoul Aziz CAMARA1, Mame Thierno Aby SY4 et Kandioura NOBA1. 1- Laboratoire de Botanique et de Biodiversité, Département de Biologie Végétale, Faculté des Sciences et Techniques, Université Cheikh Anta DIOP, B.P. 5005 Dakar-Fann, Sénégal. 2- Laboratoire d’Ecologie Végétale, Département de Biologie Végétale, Faculté des Sciences et Techniques, Université Cheikh Anta DIOP, B.P. 5005 Dakar-Fann, Sénégal. 3- Section Productions Végétales et Agronomie, UFR des Sciences Agronomiques, de l’Aquaculture et des Technologies Alimentaires, Université Gaston BERGER, B.P. 234 Saint - Louis, Sénégal. 4- O.N.G. ENDA-MADESAHEL, B.P. 29881 Mbour, Sénégal. *Auteur correspondant/ Corresponding author : Richard Demba DIOP, Tel : +221774378034 Email : richarddiop2004@yahoo.fr Mots clés : Plantes médicinales, usages, enquête ethnobotanique, Mbour Keywords: Medicinal plants, uses, ethnobotanical survey, Mbour Publication date 30/06/2019, http://www.m.elewa.org/JAPS 1 RÉSUMÉ Ce travail a pour objectif d’identifier les plantes médicinales utilisées par la population locale dans une perspective d’introduction, de gestion durable dans le conservatoire et de valorisation auprès de la population. L’étude a été réalisée auprès de la population riveraine du conservatoire botanique Michel Adanson de Mbour à l’aide de fiches d’enquête ethnobotanique. Le traitement des résultats obtenus a été effectué avec les logiciels Sphinx Plus, XLSTAT 2015 et le tableur Excel. L’étude révèle que la pharmacopée traditionnelle de la population riveraine du conservatoire botanique utilise une flore riche de 55 espèces des plantes réparties en 50 genres et 29 familles botaniques. II y a un consensus moyen sur l’utilisation des espèces au sein des affections métaboliques (0,72), respiratoires (0,66), infectieuses (0,61) et des affections dermatologiques (0,5). Par contre, les affections infectieuses constituent le groupe pathologique le plus traités par ces espèces, avec un taux de 20,9 %, suivies des affections dermatologiques (19,6 %) et des affections métaboliques (16,5 %). Les espèces médicinales spontanées sont les plus utilisées pour soigner et/ou prévenir neuf (9) groupes pathologiques. La détermination des modes de préparation, des parties utilisées et des périodes de récolte de ces plantes révèle que les feuilles et les racines sont les organes les plus utilisés et elles sont le plus souvent décoctées ou infusées. Les feuilles sont les seuls organes subissant toutes les formes de préparation sauf la fumigation. Les affections respiratoires sont entièrement traitées à base de feuilles. Les plantes médicinales sont pour la plupart collectées pendant toute l’année. Cette étude constitue une source d’information qui contribue à une connaissance de la flore médicinale et à une sauvegarde du savoir-faire populaire local. Il peut également constituer une base de données pour la valorisation des plantes.
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Tine, Yoro, Moussa Diop, Idrissa Ndoye, Alioune Diallo, and Alassane Wele. "Revue bibliographique sur la composition chimique et les activités biologiques de Guiera senegalensis J.F. Gmel. (Combretaceae)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 13, 2020): 3449–62. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.37.

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Abstract:
Cette étude avait pour objectif de faire le point sur la composition chimique et les activités biologiques de G. senegalensis, une plante médicinale largement utilisée en Afrique par les guérisseurs traditionnels pour le traitement de divers troubles. La plupart de ces études chimiques ont porté sur le criblage phytochimique des extraits de feuilles, de racines, de tiges et de galles. Elles ont montré la présence d'hydrates de carbone, de stéroïdes, de saponines, de flavonoïdes, d’alcaloïdes, de tanins, de saponines, de glycosides cardiaques, de coumarines, d’anthraquinones, d’acide ascorbique, d’hétérosides cardiotoniques, de cyanogènes et de terpénoïdes. Les potentialités thérapeutiques des extraits de G. senegalensis rapportées dans plusieurs travaux scientifiques ont porté sur les activités antibactériennes, antitussives, antidiarrhéiques, cytotoxiques, anti-inflammatoires antipaludiques, antitrypanosomiques, antihelminthiques, antivirales et antioxydantes. Des études de toxicité sur ces extraits ont été aussi réalisées. Ainsi, des études de caractérisation chimique (variabilité chimique), de formulation galénique et aussi de toxicité clinique sur G. senegalensis doivent être menées afin de mettre en place des produits de phytothérapie moderne.Mots clés: Phytochimie, pharmacologie, feuilles, Guiera senegalensis. English Title: Review on the chemical composition and biological activities of Guiera senegalensis J.F. Gmel. (Combretaceae)The aim of this study was to review the chemical composition and biological activities of G. senegalensis, a medicinal plant widely used in Africa by traditional healers for the treatment of various disorders. Most of these chemical studies have focused on the phytochemical screening of leaf, root, stem and gall extracts. They showed the presence of carbohydrate, steroids, saponins, flavonoids, alkaloids, tannins, saponins, cardiac glycosides, coumarins, anthraquinones, ascorbic acid, cardiotonic glycosides, cyanogens and terpenoids. The therapeutic potentialities of extracts of G. senegalensis reported in several scientific studies have focused on antibacterial, antitussive, antidiarrheal, cytotoxic, anti-inflammatory, antimicrobial, antitrypanosomal, anthelmintic, antiviral and antioxidant activities. Toxicity studies on these extracts have also been carried out. Thus, chemical characterization studies (chemical variability), galenic formulation and clinical toxicity studies on G. senegalensis must be carried out in order to implement modern phytotherapy products.Keywords: Phytochemistry, pharmacology, leaves, Guiera senegalensis.
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Sfairi, Youssef, Mohamed Najib Al Feddy, Issam Jadrane, Abdelaziz Abbad, and Lahcen Ouahmane. "Réponses des plantules du cyprès de l’Atlas, Cupressus atlantica Gaussen, à l’inoculation de mycorhize arbusculaire en provenance de diverses origines dans l’ouest du Haut Atlas au Maroc." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 337 (November 26, 2018): 27. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.337.a31634.

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Abstract:
Le cyprès de l’Atlas, Cupressus atlantica Gaussen, est endémique stricte de l’ouest du Haut Atlas marocain. Cette espèce joue un rôle écologique et socio-économique très important dans son aire de distribution : pour produire du bois de feu, aider à protéger les sols contre l’érosion, et comme plante médicinale chez les populations locales. Malheureusement, subissant diverses pressions, principalement le surpâturage et les activités humaines excessives, l’espèce souffre d’une détérioration alarmante et de perte de territoire. La variabilité des champignons mycorhiziens arbusculaires et sa réponse à l’inoculation mycorhizienne des plantules sous serre ont été étudiées pour différentes provenances. Douze populations naturelles représentant l’aire de distribution du cyprès de l’Atlas ont été sondées, à Adebdi, Aghbar, Allous, Idni, Ighil, Ighzer, Mzouzit, Rikt, Tiouna, Taghzout, Talat N’os and Taws. L’analyse des variations des champignons mycorhiziens associés aux racines de cyprès de l’Atlas ont révélé la présence d’au moins sept morphotypes appartenant aux genres Rhizophagus, Glomus, Gigaspora et Acaulospora. Le taux de colonisation mycorhizienne dans les racines du cyprès de l’Atlas a été examiné dans son milieu naturel, montrant une variation de 25 % à 45 %. Dans les conditions sous serre, la croissance des plantules, avec ou sans inoculation avec un complexe mycrohizien, a été surveillée pour les plantules provenant des douze lieux échantillonnés. Les résultats montrent qu’en absence des champignons bénéfiques dans le substrat de culture, la croissance et la nutrition des plantules ont été hautement dépendantes de l’origine des graines. En revanche, en présence du champignon dans le substrat de culture, les paramètres de croissance et de nutrition des plantules des douze provenances ne différaient pas de manière significative. Deux groupes principaux ont été identifiés par l’analyse en composantes principales et la classification ascendante hiérarchique basées sur les caractères analysés. Le premier groupe comprend les populations de la vallée de N’Fis, à savoir Allous, Idni, Ighil, Ighzer, Mzouzit, Rikt, Talat N’os et Taws, alors que le second groupe est composé des populations du côté sud, Aghbar, Adebdi, Taghzout et Tiouna.
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Diby, S. B., M. Koné, and A. Yapo. "Potentiel pharmacologique des écorces de tige de Spondias mombin L. (Anacardiaceae) sur la motricité in vitro du duodénum de lapin ; une plante médicinale utilisée dans le traitement traditionnel des troubles digestifs." Phytothérapie 10, no. 5 (October 2012): 306–12. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-012-0734-x.

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Guinobert, I., V. Bardot, and M. Dubourdeaux. "De la plante aux effets biologiques de l’extrait : quand la démarche scientifique éclaire les usages." Phytothérapie 17, no. 3 (June 2019): 149–55. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0132.

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Abstract:
L’intérêt porté aux plantes médicinales a considérablement été renouvelé ces dernières années. Cependant, les données fiables sur les extraits de plantes commercialisés sont souvent inexistantes. Une partie du savoir-faire industriel du groupe PiLeJe est axé sur la production d’extraits de plantes dont le profil phytochimique est proche de celui dutotum. Le laboratoire s’efforce d’apporter des preuves scientifiques sur la qualité, l’usage et l’intérêt des extraits de plantes produits. Cela nécessite de recourir à des procédés industriels adaptés, permettant d’extraire et de restituer intacte la majorité des composants de la plante et d’améliorer de façon continue la filière et la production des extraits. De nombreux efforts sont également fournis pour standardiser et caractériser chaque extrait de plante produit et associer au profil phytochimique établi des propriétés et des effets biologiques.
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Amrouche, A., C. Bessenouci, M. Gherib, K. Fellah, H. Malainine, and H. Benmehdi. "Approche ethnobotanique descriptive de la flore médicinale en milieu désertique « Cas des oasis du Gourara, de Tidikelt et de Touat » région d’Adrar, Algérie." Phytothérapie 17, no. 6 (July 12, 2019): 334–45. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0166.

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Abstract:
La présente étude est une contribution à la connaissance des espèces végétales médicinales utilisées par la population locale de la région d’Adrar (Algérie). Pour ce faire, une approche ethnobotanique descriptive a été privilégiée ; et à l’aide d’une fiche questionnaire, 122 enquêtés ont révélé leurs connaissances et savoir-faire ancestraux sur l’usage de ces espèces en pharmacopée traditionnelle. Les données recueillies ont été analysées statistiquement et traitées par le logiciel SPSS 22. Les résultats obtenus ont permis d’identifier 84 espèces médicinales appartenant à 78 genres et à 38 familles botaniques. Les familles les plus importantes sont celles des Asteraceae, Fabaceae et Poaceae. Les feuilles et les graines sont les parties les plus utilisées dans les préparations médicinales. De plus, la poudre, l’infusion et la décoction sont les modes de préparation les plus sollicités. Avec cela, les résultats de l’étude ont révélé une diversité d’indications thérapeutiques des espèces et une dominance pour les maladies internes et les affections digestives ; ce qui peut justifier l’utilisation très intense de certaines plantes telles Artemisia herba alba et Adiantum capillus veneris qui sont connues par leurs effets spasmolytique, hypotensif, hypoglycémiant, hépatoprotecteur, antioxydant et antiinflammatoire. Cette étude nous a permis, aussi, par analyse multifactorielle, de révéler une bonne correspondance entre l’aspect ethnobotanique des espèces végétales et de leurs utilisations en thérapeutique. Les résultats obtenus indiquent l’apparition de quatre profils types d’usage spécifiques de la flore médicinale de la région d’étude.
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Montagnini, Florencia, Beatriz Eibl, and Sara R. Barth. "Yerba maté biologique : un système agroforestier en phase avec l'environnement et l'économie sociale et financière." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (June 1, 2011): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20475.

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Abstract:
Le commerce de la yerba maté, Ilex paraguariensis Saint-Hilaire, est un négoce lucratif en Argentine, au Paraguay et au Brésil. Ses feuilles sont consommées comme du thé avec un marché en croissance aux États-Unis, en Europe et en Asie, car elles contiennent des antioxydants, sont énergisantes et constituent ainsi une alternative au café. Environ 5% de la superficie de la province de Misiones en Argentine sont consacrés à la production de la yerba maté. Beaucoup de paysans n'atteignent pas les rendements escomptés faute de techniques appropriées. La yerba maté en culture organique (sans intrants agrochimiques) peut atteindre un prix plus élevé pour les coopératives qui en font un de leurs produits. Tradition nel lement gérée en monoculture, son exploitation peut entraîner l'érosion et l'épuisement des sols. Toutefois, la yerba maté pousse en forêt subtropicale et tolère l'ombrage ce qui permet de la cultiver dans des systèmes agroforestiers (SAF). Cette étude examine les SAF avec la yerba maté en culture organique à l'aide d'interviews semi-structurées auprès des paysans de la province de Misiones, y compris les fermes familiales, les grandes fermes, les compagnies privées et les réserves. Un grand nombre d'espèces naturelles poussant en association avec la yerba maté ont été identifiées. Le travail supplémentaire requis par les pratiques de la culture organique est compensé par un meilleur prix de vente. Les SAF, associant yerba mate et arbres, améliorent la fertilité des sols sans recourir aux fertilisants tout en procurant des revenus supplémentaires. Pour cette association l'étude recommande les espèces locales suivantes: Balfourodendron riedelianum, Cordia trichotoma, Nectandra lanceolata, Bastardiopsis densiflora, Cedrela fissillis, Jacaranda micrantha, Araucaria angustifolia, et Ocotea puberula, du fait de leur développement monopodial et de leur capacité d'auto-élagage; ainsi que Tabebuia heptaphylla, Enterolobium contortisiliquum, Peltophorum dubium, Parapiptadenia rigida et Anadenanthera macrocarpa avec une couronne plus large; toutes ont une bonne croissance et un bois de qualité. Il est aussi suggéré d'introduire d'autres espèces arborées, herbacées et arbustives de valeur fruitière, médicinale ou ornementale, diversifiant les produits fermiers. Finalement, cette agroforesterie associant yerba maté et espèces locales va promouvoir la diffusion de cette plante en culture organique et diversifier les revenus en Argentine et ailleurs. (Résumé d'auteur)
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Bassene, E., A. Laurance, D. Olschwang, and J. L. Pousset. "Plantes médicinales africaines." Journal of Chromatography A 346 (January 1985): 428–30. http://dx.doi.org/10.1016/s0021-9673(00)90535-1.

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Harborne, Jeffrey B. "Plantes médicinales Africaines." Phytochemistry 33, no. 3 (June 1993): 740. http://dx.doi.org/10.1016/0031-9422(93)85499-h.

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Dalmat, Yann-Mickael. "Plantes médicinales, le retour ?" Option/Bio 31, no. 611-612 (March 2020): 5. http://dx.doi.org/10.1016/s0992-5945(20)30035-0.

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Massiot, G. "Pharmacognosie: Phytochimie, Plantes Médicinales:." Phytochemistry 36, no. 1 (May 1994): 258. http://dx.doi.org/10.1016/s0031-9422(00)97054-7.

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Burdin, Kevin. "Plantes médicinales et chronobiologie." Actualités Pharmaceutiques 59, no. 597 (2020): 16–18. http://dx.doi.org/10.1016/s0515-3700(20)30286-x.

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Harborne, Jeffrey B. "Plantes médicinales: Therapeutique, toxicité:." Phytochemistry 25, no. 3 (January 1986): 777. http://dx.doi.org/10.1016/0031-9422(86)88058-x.

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Nzuki Bakwaye, Flavien, Céline Termote, A. O. Kibungu Kembelo, and Patrick Van Damme. "Identification et importance locale des plantes médicinales utilisées dans la région de Mbanza-Ngungu, République démocratique du Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, no. 316 (June 1, 2013): 63. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20531.

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Une enquête ethnobotanique a été menée sur les plantes médicinales dans la région de Mbanza-Ngungu, province du Bas- Congo, en République démocratique du Congo. Des interviews semi-structurées et des observations participatives ont été effectuées entre février 2009 et mai 2012 auprès de 51 tradipraticiens échantillonnés par la méthode " boule de neige ". Un herbier de référence a été constitué et les échantillons ont été identifiés à l'herbarium du Jardin botanique de Kisantu et de l'Université de Kinshasa. Le but était d'identifier les plantes médicinales populaires en médecine traditionnelle, de documenter leur importance relative et de comparer l'usage alimentaire et non alimentaire de ces plantes. Pendant l'interview, 195 plantes médicinales ont été enregistrées, dont 165 espèces botaniques identifiées appartenant à 138 genres et 56 familles. Les feuilles et les racines constituent les parties de plantes les plus utilisées (63 % des citations) et la décoction représente le mode de préparation le plus fréquent (46 %). L'administration des remèdes se fait le plus souvent par voie orale (71 %). L'importance locale des plantes médicinales et le degré de consensus des informateurs ont respectivement été déterminés sur la base des paramètres medicinal Use Value (med.UVs) et Informant Agreement Ratio (med.IARs). Elaeis guineensis (0,71), Brillantaisia patula (0,39), Zingiber officinale (0,35) et Mondia whitei (0,35) présentent les med.UVs les plus élevés. Par ailleurs, Catharanthus roseus, Lannea antiscorbutica, Palisota ambigua, Raphia gentiliana, Sansevieria trifasciata se distinguent par un med.IARs maximal de 1. Parmi les les plantes médicinales aux med.UVs les plus élevés, M. whitei et Dorstenia laurentii sont présentement très menacées dans le milieu d'étude. Quant aux études plus approfondies, Senna occidentalis serait prioritaire. Il faudrait lui associer les plantes médicinales avec un med.IARs de 1.
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Zerbo, Patrice, Jeanne Millogo Rasolodimby, Odile Nacoulma Ouedraogo, and Patrick Van Damme. "Plantes médicinales et pratiques médicales au Burkina Faso : cas des Sanan." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 307, no. 307 (March 1, 2011): 41. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.307.a20481.

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Abstract:
Élément culturel important, les plantes ont été utilisées pendant des siècles par les populations pour se soigner. Cependant, peu d'ethnies connaissent leur pharmacopée de par le manque d'études ethnobotaniques. La présente étude, réalisée en pays San, entité territoriale traditionnelle (Nord-Ouest du Burkina Faso), répond à ce souci de documenter les plantes médicinales. À travers une série d'enquêtes ethnobotaniques, 75 tradithérapeutes Sanan ont été interviewés. Les informations recherchées ont porté sur la plante, son nom local, ses parties utilisées, les pratiques médicales et les vertus thérapeutiques afférentes. Les résultats ont montré que 94 espèces végétales sont utilisées pour combattre différentes pathologies. Les feuilles (31 %), les racines (25 %) et les écorces du tronc (23 %) sont les principales parties utilisées pour préparer les recettes. Seules ou en association, ces parties interviennent dans l'élaboration des recettes par des procédés utilisant principalement la décoction (58 %), la trituration (17 %) et la macération aqueuse (11 %). Soixante-cinq pour cent (65 %) des produits obtenus sont administrés par voie orale via la boisson et les applications externes représentent 35 %. Treize catégories d'utilisation ont été recensées. Cependant, les tradipraticiens de santé sont en désaccord sur les thérapies proposées pour traiter ces catégories. La diversité des thérapies recensées en pays San, est une richesse culturelle. Ces données de la pharmacopée san sont une base pour une étude approfondie des aptitudes sylvicoles des plantes victimes de déracinement et la création de pépinières communautaires, afin de disposer de réservoirs de plantes médicinales proches des villages. (Résumé d'auteur)
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Hamdani, F. Z., and N. Houari. "Phytothérapie et Covid-19. Une étude fondée sur une enquête dans le nord de l’Algérie." Phytothérapie 18, no. 5 (October 2020): 248–54. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2020-0241.

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Abstract:
Afin de sélectionner les plantes médicinales utilisées en médecine populaire pour traiter la Covid-19, une enquête en ligne a été menée dans différentes régions du nord de l’Algérie. Cinq cent personnes, dont 46 % atteintes de la Covid-19, appartenant à des groupes fermés sur Facebook, ont participé à cette étude. Les questions portaient sur des données socio-économiques des participants et leurs perceptions de l’utilisation des plantes médicinales pour prévenir la Covid-19. Les données de cette enquête ont montré qu’une grande partie de la population algérienne utilise les plantes médicinales pour se protéger de la Covid-19. Les participants ont utilisé 22 espèces appartenant à 12 familles pour traiter la Covid-19. Les plantes médicinales cumulées aux médicaments antiviraux au début du traitement améliorent la thérapie contre la Covid-19. La combinaison de la phytothérapie et de la médecine conventionnelle pourrait constituer une approche alternative au traitement de la Covid-19 à l’avenir.
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Okombe Embeya, Victor, and Gaël Nzuzi Mavungu. "Evaluation de l’activité antipyrétique, analgésique et anti-inflammatoire de l’extrait méthanolique de Vitex congolensis De Wild. & T. Durand." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 8, 2020): 3066–78. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.8.

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Abstract:
En République Démocratique du Congo, Vitex congolensis De Wild. & T. Durand (Lamiaceae) est une plante médicinale largement utilisée dans le traitement des pathologies à composante inflammatoire. La présente étude a eu pour objectif d’évaluer les activités antipyrétique, analgésique et anti-inflammatoire de l’extrait méthanolique de la poudre d’écorce de racine de cette espèce sur des modèles de pyrexie, algésie et inflammation induites chez les cobayes. L’étude a concerné 24 cobayes de deux sexes répartis en quatre lots de 6 animaux : un lot témoin positif traité avec du diclofenac en intrapéritonéale, un lot témoin négatif ayant reçu soit de l’eau distillée per os soit du sérum physiologique en intrapéritonéale ainsi que deux lots ayant respectivement reçu 100 mg et 300 mg de l’extrait méthanolique de la poudre d’écorce de racines de V. congolensis par kg de poids corporel par voie orale. Les deux doses (100 et 300 mg) de l’extrait méthanolique préviennent de façon significative, le processus inflammatoire comparativement aux lots standard (médicaments de références) et contrôle négatif (eau distillée/sérum physiologique). L’étude a montré que l’extrait méthanolique d’écorces de racine de V. congolensis pourrait être une source potentielle des nouveaux médicaments anti-inflammatoires.Mots clés: antipyrétique, analgésique, anti-inflammatoire, extrait méthanolique, Vitex congolensis De Wild. & T. Durand. English Title: Antipyretic, analgesic and anti-inflammatory activity of the methanolic extract of Vitex congolensis De Wild. & T. DurandIn the Democratic Republic of Congo, Vitex congolensis De Wild. & T. Durand (Lamiaceae) is a medicinal plant widely used in the treatment of pathologies with an inflammatory component. The main objective of this study was to evaluate the antipyretic, analgesic and anti-inflammatory activities of the methanolic extract of the powder of this species on models of pyrexia, algesia and inflammation induced in guinea pigs. The study concerned 24 guinea pigs of both sexes divided into 4 lots of six animals each : a positive control group treated with diclofenac intraperitoneally, a negative control group that received either oral or intraperitoneal (distilled water / physiological saline) ; and two groups respectively receiving 100 mg and 300 mg of the methanolic extract of the root bark powder of V. congolensis per kg of body weight orally. The two doses (100 and 300 mg) of the methanolic extract significantly prevent the inflammatory process compared to standard batches (reference drugs) and negative control (distilled water / physiological saline). The study showed that the methanolic extract of V. congolensis root bark could be a potential source of new anti-inflammatory drugs.Keywords: antipyretic; analgesic, anti-inflammatory, methanolic crude, Vitex congolensis De Wild. & T.Durand.
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Preiss, Sidonie. "Plantes médicinales et régime alimentaire." Archeopages, no. 43 (December 1, 2016): 52–59. http://dx.doi.org/10.4000/archeopages.2056.

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Harborne, Jeffrey B. "Plantes Médicinales des Régions Tempérées:." Phytochemistry 30, no. 4 (January 1991): 1355. http://dx.doi.org/10.1016/s0031-9422(00)95243-9.

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Goetz, P. "Revue commentée de plantes médicinales." Phytothérapie 13, no. 1 (January 13, 2015): 55–57. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-015-0916-9.

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Goetz, P. "Revue commentée des plantes médicinales." Phytothérapie 13, no. 2 (March 12, 2015): 141–43. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-015-0938-y.

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Goetz, P. "Revue commentée de plantes médicinales." Phytothérapie 13, no. 4 (April 27, 2015): 270–72. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-015-0956-9.

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Goetz, P. "Revue commentée des plantes médicinales." Phytothérapie 13, no. 4 (June 13, 2015): 267–69. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-015-0971-x.

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Goetz, P. "Revue commentée de plantes médicinales." Phytothérapie 13, no. 5 (October 2015): 345–46. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-015-0987-2.

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