Academic literature on the topic 'Plantes Burkina Faso'

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Journal articles on the topic "Plantes Burkina Faso"

1

Zerbo, Patrice, Jeanne Millogo Rasolodimby, Odile Nacoulma Ouedraogo, and Patrick Van Damme. "Plantes médicinales et pratiques médicales au Burkina Faso : cas des Sanan." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 307, no. 307 (2011): 41. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.307.a20481.

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Abstract:
Élément culturel important, les plantes ont été utilisées pendant des siècles par les populations pour se soigner. Cependant, peu d'ethnies connaissent leur pharmacopée de par le manque d'études ethnobotaniques. La présente étude, réalisée en pays San, entité territoriale traditionnelle (Nord-Ouest du Burkina Faso), répond à ce souci de documenter les plantes médicinales. À travers une série d'enquêtes ethnobotaniques, 75 tradithérapeutes Sanan ont été interviewés. Les informations recherchées ont porté sur la plante, son nom local, ses parties utilisées, les pratiques médicales et les vertus thérapeutiques afférentes. Les résultats ont montré que 94 espèces végétales sont utilisées pour combattre différentes pathologies. Les feuilles (31 %), les racines (25 %) et les écorces du tronc (23 %) sont les principales parties utilisées pour préparer les recettes. Seules ou en association, ces parties interviennent dans l'élaboration des recettes par des procédés utilisant principalement la décoction (58 %), la trituration (17 %) et la macération aqueuse (11 %). Soixante-cinq pour cent (65 %) des produits obtenus sont administrés par voie orale via la boisson et les applications externes représentent 35 %. Treize catégories d'utilisation ont été recensées. Cependant, les tradipraticiens de santé sont en désaccord sur les thérapies proposées pour traiter ces catégories. La diversité des thérapies recensées en pays San, est une richesse culturelle. Ces données de la pharmacopée san sont une base pour une étude approfondie des aptitudes sylvicoles des plantes victimes de déracinement et la création de pépinières communautaires, afin de disposer de réservoirs de plantes médicinales proches des villages. (Résumé d'auteur)
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2

Savadogo, Abdoulaye, Boniface Babo Bakouan, Mathieu Wendnéyidé Sawadogo, et al. "Distribution et dégâts associés au thrips de l’oignon, Thrips tabaci L. (Thysanoptera : Thripidae) en fonction de la zone agro-climatique au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 6 (2020): 2037–48. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i6.9.

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Abstract:
L’oignon est le premier légume produit au Burkina Faso. Thrips tabaci constitue son principal insecte ravageur. Ce travail avait pour objectif d’évaluer la distribution, l’incidence et la sévérité des attaques de T. tabaci sur l’oignon. L’étude a été réalisée dans trois bassins de production représentatifs de deux zones agroécologiques du Burkina Faso : la zone sahélienne caractérisée par une pluviosité moyenne annuelle inférieure à 600 mm et une température moyenne annuelle de 35 °C ; contre une pluviosité moyenne annuelle comprise entre 600 et 900 mm et une température moyenne annuelle de 33 °C pour la zone nord soudanienne Nous avons réalisé des prospections dans 45 parcelles paysannes dans les zones de production ciblées. Des plantes d’oignon ont été prélevées dans trois quadrats posés sur une des diagonales de chaque parcelle, et les thrips trouvés sur chaque plante de chaque quadrat comptés. Tous les plants à l’intérieur du quadrat ont été donc observés. La densité moyenne la plus élevée (216 ±385 thrips au m2) a été observée dans la région du Nord tandis que l’incidence moyenne la plus élevée (95,91±8,92%) a été observée dans la Boucle du Mouhoun. La plus faible sévérité (19,29±13,27%) a été enregistrée dans le Plateau central. Cette étude est un premier pas vers le développement de stratégies alternatives de lutte contre les parasites dans le cadre de systèmes de production végétale durables à l’aide de bonnes pratiques agricoles et de l’utilisation des pesticides biologiques.Mots clés : Oignon, Thrips tabaci, incidence, sévérité, répartition, Burkina Faso.
 
 English Title: Distribution and damage associated with the onion thrips, Thrips tabaci L. (Thysanoptera: Thripidae) according to the agro-climatic zone in Burkina FasoOnion is the first vegetable produced in Burkina Faso. Thrips tabaci is its main insect pest. We assessed the distribution, incidence and severity of T. tabaci attacks on onion in three-production areas representative of two agroecological zones of Burkina Faso: the the Sahelian zone characterized by an average annual rainfall of less than 600 mm and an average annual temperature of 35 °C; compared to an average annual rainfall of between 600 and 900 mm and an average annual temperature of 33 °C for the northern Sudanian zone. We carried out surveys in 45 farmer plots in the targeted production zones. Thus, onion plants were taken from three quadrats placed on one of the diagonals of each plot, and the thrips found on each plant were counted. All plants within the quadrat were therefore observed. The highest average density (216±385 thrips per m²) was observed in the North while the highest average incidence (95.91±8.92%) was observed in the Boucle du Mouhoun. The lowest severity (19.29±13.27%) was recorded in the Plateau central region. This study is a first step towards the development of alternative pest control strategies within sustainable crop production systems using good agricultural practices and the use of biopesticides.Keywords: Onion, Thrips tabaci, incidence, severity, distribution, Burkina Faso.
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3

Sourabie, Soumaïla, Patrice Zerbo, Djibril Yonli, and Joseph I. Boussim. "Connaissances traditionnelles des plantes locales utilisées contre les bio-agresseurs des cultures et produits agricoles chez le peuple Turka au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (2020): 1390–404. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.18.

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Abstract:
La présente étude a pour objectif de faire l’état des connaissances traditionnelles endogènes relatives aux plantes locales utilisées contre les bio-agresseurs des cultures et des produits agricoles. A travers une série d’enquêtes ethnobotaniques réalisée de 2018 à 2019 dans la région des Cascades au Burkina Faso, 150 personnes appartenant à l’ethnie Turka ont été interviewées. Les informations recherchées en utilisant des entretiens semi-directifs, ont concerné les noms locaux des plantes, les parties utilisées, les domaines d’utilisation et leurs modes d'utilisation. Les données collectées ont permis de recenser 33 espèces de plantes réparties en 30 genres et 19 familles utilisées traditionnellement contre les bio-agresseurs agricoles. Ces plantes interviennent sélectivement dans trois domaines : la répulsion des insectes, l’inhibition des herbes envahissantes et la construction des greniers. Les espèces sont utilisées soit directement ou transformées en poudre ou en cendre. Les feuilles sont plus utilisées que les autres organes. Cassia nigricans est l’espèce la plus utilisée pour son effet répulsif et Parkia biglobosa pour son effet inhibiteur. Des études approfondies sur les propriétés chimiques des potentielles espèces permettront de réduire l’impact des produits chimiques en agriculture contre les bio-agresseurs.Mots clés : Ethnobotanique, diversité végétale, ennemi agricole, secteur sud-soudanien, Afrique de l’ouest
 English Title:Traditional knowledge of local plants used against pests of crops and agricultural products among the Turka poeple in Burkina Faso
 The objective of this study is to provide an overview of endogenous traditional knowledge relating to local plants used against pests of crops and agricultural products. Through an ethnobotanical’s surveys carried out from 2018 to 2019 in the Cascades area in Burkina, 150 Turka ethnic group people were interviewed. Through semi-structured interviews, information looking for were concerned plants local names, their parts used, the domains and the modes of use. Data collected allowed to identify 33 plants’ species belonged to 30 genera and 19 families, used traditionally against agricultural pests. These plants are selectively involved in three domains: repelling insects, inhibiting invasive weeds and building lofts. Species are used either directly or processed into powder or ash. The leaves are used more than other organs. Cassia nigricans is the most used species for its repellent effect and Parkia biglobosa for its inhibitory effect. In-depth studies on the chemical properties of potential species will reduce the impact of chemicals in agricultural against pests.Keywords: Ethnobotany, plant diversity, agricultural pest, South Sudanese sector, West Africa
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4

Tiétiambou, Fanta Reine Sheirita Tiétiambou, Anne Mette Lykke, Gabin Korbéogo, Adjima Thiombiano, and Amadé Ouédraogo. "PERCEPTIONS ET SAVOIRS LOCAUX SUR LES ESPÈCES OLÉAGINEUSES LOCALES DANS LE KÉNÉDOUGOU, BURKINA FASO." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 327, no. 327 (2015): 39. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.327.a31295.

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Abstract:
Les plantes oléagineuses locales offrent des usages multiples et constituent une source de revenus pour les communau- tés rurales. L’objectif de notre étude est de comprendre les perceptions et les savoirs des populations de la province du Kénédougou (Burkina Faso) concer- nant ces plantes et leurs huiles. La mé- thodologie utilisée est une combinaison de l’approche participative sociale et d’enquêtes ethnobotaniques. Au total,336 personnes ont été interrogées au sein de quatre groupes communautaires (Toussian, Siamou, Bolon et Peulh) à tra- vers 14 villages. Les résultats révèlent 11 plantes oléagineuses connues, parmi lesquelles quatre représentent 94 % de l’ensemble des citations. Le savoir sur les espèces ne varie significativement que selon l’âge (Χ2 = 8,11 ; p = 0,0173). Ce sont les adultes et les aînés qui dis- posent plus de savoir sur ces espèces. Les femmes sont les principales déten- trices des savoirs sur les techniques d’ex- traction des huiles et leur transformation (Χ2 = 19,79 ; p < 0,001). Ces techniques sont connues pour sept espèces mais elles ne sont effectivement appliquées que pour l’extraction des huiles de quatre espèces : Vitellaria paradoxa, Elaeis guineensis, Carapa procera et Lophira lanceolata. Les huiles des 11 espèces citées sont principalement utilisées dans la médecine (47 %), l’alimentation (37 %) et la cosmétique (16 %). La préférence des communautés pour les huiles est influencée par leurs utilisations mais également par le savoir sur la technique d’extraction, la facilité de cette technique et le rendement en huile extractible de la graine. Les valeurs du Facteur consensus d’informateurs (68 %) révèlent que les espèces que les populations consentent à préserver sont celles qui sont les plus utilitaires. La promotion de l’huile de ces plantes pourrait être un atout pour leur préservation.
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Palé, Éloi, Marie Kouda-Bonafos, and Mouhoussine Nacro. "Caractérisation et mesure des activités anti-radicalaires d'anthocyanes de plantes du Burkina Faso." Comptes Rendus Chimie 7, no. 10-11 (2004): 973–80. http://dx.doi.org/10.1016/j.crci.2003.12.019.

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Diao, Mamounata, Ramatou Hawan Dembele, Kiessoun Konate, and Mamoudou H. Dicko. "Etude comparative des peroxydases de dix (10) plantes supérieures couramment rencontrées au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 6 (2020): 2533. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i6.9.

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GARANE, Ali, Koussao SOME, Jeanne NiKIEMA, Mamoudou TRAORE, and Mahamadou SAWADOGO. "Etude du comportement de neuf cultivars de tomates (Solanum Lycopersicum L.) dans différentes zones agro-écologiques du Burkina Faso pendant l’hivernage." Journal of Animal & Plant Sciences 40, no. 3 (2019): 6656–73. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v40-3.1.

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Abstract:
Etude du comportement de neuf cultivars de tomates (Solanum Lycopersicum L.) dans différentes zones agro-écologiques du Burkina Faso pendant l’hivernage. Ali GARANE1*, Koussao SOME1, Jeanne NiKIEMA1, Mamoudou TRAORE2 et Mahamadou SAWADOGO3 1* Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA/CREAF-Kamboinse), Département Production Végétale/Programme Cultures Maraîchères, Fruitières, Plantes à Tubercules, 01 BP 470 Ouagadougou 01, Burkina Faso. 2Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA/CREAF-Kamboinsè), Département Gestion des Ressources Naturelles/Système de Production, 03 BP 470 Ouagadougou 03, Burkina Faso. 3Université Ouaga I Pr Joseph KI-ZERBO/Unité de Formation et de Recherche en Science de la Vie et de la Terre (UO/UFR-SVT), Laboratoire de Génétique et Biotechnologie Végétale, 03 BP 7021 Ouagadougou 03, Burkina Faso. * Correspondance, courriel: ali_garane@yahoo.fr Mots clés: Tomate, performance, hivernage, maladies, Burkina Faso. Key words: Tomato, wintering, performance, diseases, Burkina Faso. Publication date 30/06/2019 http://www.m.elewa.org/JAPS 1. RESUME Objectif: Au cours de la saison hivernale 2014-2015, une étude portant sur neuf cultivars améliorés de tomate a été réalisée dans 5 zones agro-écologiques (Kamboinsè, Loumbila, Komgoussi, Yako et Salgo) du Burkina Faso. Les observations et mesures ont porté sur la sensibilité au flétrissement bactérien, le rendement et ces composants essentiels afin de déterminer les cultivars les mieux adaptés aux conditions de culture d’hivernage dans les zones de l’étude. Méthodologie et résultats: Le dispositif expérimental est un bloc complet de Fisher randomisé de 4 répétitions avec des traitements constitués des variétés V1, V2, V3, V4, V5 , V6, V7, V8 et V9. Les plants ont été repiqués en ligne simple en parcelles élémentaires de 37,5 m2. Les écartements sont de 0,75 m sur 0,40 m, soit une densité de 33333 pieds/ha. Les variables suivantes de productivité ont été supérieures à Yako pour la densité chez les cultivars Thorgal, Gempride, Jaguard, Mongal, Nadira respectives de 67,75; 71,75; 80,12; 99,5 et 108,75 plants/37,5 m². A Salgo pour le poids moyen du fruit chez Jaguard (56,06 g) Mongal (55,63g), FBT5 (51,1 g) et Thorgal (48,8 g) et à Kongoussi pour Gempride (55,63 g). Les cultivars Rs et Nadira ont observé des rendements meilleurs à Yako respectifs de 28,72 et 28,73 t/ha. A Salgo, les hybrides Gempride, Mongal, FBT5, Jaguard et Thorgal ont été plus performant avec respectivement 21,65; 20,3; 20,0; 17,46 et 15,14 t/ha. Conclusion et application des résultats: Selon la moyenne des rendements, les meilleurs sites ont été par ordres décroissant Yako (19,044 t/ha), Salgo (17,44), Kongoussi (7,06 t/ha), Loumbila (6,87 t/ha) et Kamboinsè (2,97 t/ha). Dans le même ordre, les meilleures variétés ont été Nadira, Rs, Gempride, Jaguar, Thorgal, Mongal, FBT5 avec respectivement 13,87, 10,79; 10,23; 9,66; 8,23 et 7,08 t/ha. Si nous couplons à cela la tolérance aux flétrissements, Jaguar, Nadira et Gempride demeurent les meilleures variétés suivies de Mongal et FBT5. Les résultats obtenus sur les 5 sites ont montré une variabilité importante. Ce qui est peut-être du à la maitrise des techniques de production qui n’ont pas été homogènes d’un site à un autre et à la particularité de chaque variété. Pour améliorer la performance de ces variétés, il paraît indiqué de poursuivre les recherches dans une approche agronomique visant la maîtrise de l’eau d’irrigation, une gestion intégrée des ravageurs et maladies pendant le cycle cultural.
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Savadogo, Salfo, Issaka Ouedraogo, and Adjima Thiombiano. "Perception paysanne et dénomination des plantes vasculaires en société mossé: cas des régions du nord, du centre-nord, du centre et du Plateau Central du Burkina Faso (Afrique de l’Ouest)." Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica 20 (December 20, 2017): 12–25. http://dx.doi.org/10.21248/fvss.20.50.

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Abstract:
Cette étude analyse les stratégies locales de dénomination des espèces végétales par les Mossé des régions du nord, du centre nord, du centre et du Plateau Central du Burkina Faso et leurs perceptions des plantes. A travers des interviews semi directes auprès de 1437 personnes âgées d’au moins 60 ans et des jeunes de moins de 40 ans personnes âgées d’au moins 40 ans des différentes localités, l’étude a pu montrer les critères de dénomination, les conceptions que les populations ont des espèces végétales ainsi que l‘impact de ces connaissances dans la conservation de la phytodiversité. 72 espèces au total ont été décrites. Elles sont réparties en 51 genres et 29 familles. Les familles dominantes sont les Commelinaceae et les Fabaceae-Mimosoideae. Dans la taxonomie locale faite sur les plantes en milieu rural Mossé, 16 critères sont utilisés. Les critères les plus cités par la population sont l’usage fait de la plante (94 %), le mysticisme lié à l’espèce (86 %), l’écologie ou le milieu de vie de l’espèce (83 %), la dualité mâle/femelle (83 %), la couleur des organes ou parties de la plante (81 %), l’origine de la plante (80 %), la morphologie foliaire (76 %), la présence d’organes saillants sur la plante (75 %) et le mode de dissémination des fruits ou des graines (74 %). Les noms botaniques attribués aux plantes varient d’une région à une autre. Les populations ont des perceptions vis-à-vis de nombreuses espèces. Ainsi, les espèces comme Stereospermum kunthianum, Calotropis procera, Ozoroa insignis, Faidherbia albida, Maytenus senegalensis et Biophytum umbraculum sont frappées de mysticisme. Elles sont toutes craintes par les populations et sont dans certaines localités à l’abri d’exploitations multiformes humaines. Cela contribue à une meilleure conservation de la biodiversité.
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Dori, D., N. Méda, F. A. Gbaguidi, J. Quetin-Leclercq, and R. Semdé. "Distribution en gros et délivrance des médicaments à base de plantes à travers le circuit pharmaceutique du Burkina Faso." Annales Pharmaceutiques Françaises 78, no. 2 (2020): 179–88. http://dx.doi.org/10.1016/j.pharma.2019.12.003.

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Tietiambou, Fanta Reine Sheirita. "Arbres oléagineux locaux sous-utilisés : potentialités pour une promotion des chaînes de valeur des huiles et implications pour la gestion durable des ressources dans le Kénédougou, Ouest du Burkina Faso." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 335 (March 15, 2018): 71. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.335.a31500.

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Abstract:
Au Burkina Faso, il existe des arbres oléagineux locaux à fort potentiel mais sous-utilisées dont la promotion peut contribuer à générer des revenus substantiels pour les communautés rurales et urbaines. La présente étude vise à évaluer le potentiel des Chaînes de Valeur (CVA) des huiles d’arbres locaux pour l’amélioration de l’économie rurale et la gestion durable des ressources dans la province du Kénédougou (Ouest du Burkina Faso). Des enquêtes ethnobotaniques, un bilan de masse de la production des huiles et une étude de marché des huiles et produits oléagineux ont été conduits. Pour comprendre la disponibilité des ressources, une estimation de la production fruitière des arbres ainsi qu’une évaluation de la structure des peuplements ont été réalisées.Les résultats révèlent 11 plantes oléagineuses connues parmi lesquelles Carapa procera DC., Lophira lanceolata Van Tiegh. ex Keay et Pentadesma butyracea Sabine ont un grand potentiel de valorisation. Le procédé d’extraction traditionnelle de l’huile de C. procera est typiquement artisanal avec une efficacité permettant d’obtenir 65,49 % de la teneur en huile de la graine. Pour L. lanceolata et P. butyracea, l’extraction de l’huile est semi artisanale avec des efficacités respectives de 69,08 % et 75,21 % de la teneur en huile des graines. Les indices d’acidité et de paraanisidine des huiles extraites restent dans les limites de valeurs acceptables du Codex Alimentarius. Dans la filière des huiles de ces trois arbres oléagineux, sept CVA ont été identifiées dont trois sont incitatives pour la promotion. Ce sont le beurre brut de P. butyracea destiné à l’exportation avec 88,23 % de Chance de Contribution à la Croissance pro Pauvre du Burkina Faso (CCCP-BF), le savon médical artisanal de C. procera (79,41 % de CCCP-BF) et le savon médical industriel de C. procera (73,5 % de CCCP-BF). L’analyse de la CVA du savon médical artisanal montre qu’elle contribue à une croissance enrichissante globale d’un taux de 77,76 %. Soixante-dix pour-cent des opérateurs ont moins de 20 % du revenu total de la CVA qui est actuellement de 22 904,2 Euros/an. Ce revenu total augmenterait à au moins 51 929,1 Euros/an si les opérateurs s’engageaient dans la promotion de la CVA.
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