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Journal articles on the topic 'Plantes, effets des contraintes de croissance sur les'

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Beauchamp, C. J. "Mode d’action des rhizobactéries favorisant la croissance des plantes et potentiel de leur utilisation comme agent de lutte biologique." Phytoprotection 74, no. 1 (April 12, 2005): 19–27. http://dx.doi.org/10.7202/706033ar.

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Abstract:
Les rhizobactéries qui favorisent la croissance des plantes, connues sous le terme RFCP, stimulent directement la croissance de celles-ci en augmentant le prélèvement des éléments nutritifs du sol, en induisant et produisant des régulateurs de croissance végétale et en activant les mécanismes de résistance induite chez les végétaux. Les RFCP stimulent indirectement la croissance des végétaux par leur effet antagoniste sur la microflore qui leur est néfaste, en transformant les métabolites toxiques et en stimulant la nodulation des légumineuses par les rhizobia. Les effets antagonistes des RFCP impliquent la production d'antibiotiques et la compétition nutritionelle avec les pathogènes végétaux. L'établissement de l'association RFCP-plante est primordiale pour l'expression des effets bénéfiques aux plantes. L'utilisation des RFCP marquées avec des gènes de bioluminescence permet de visualiser le processus de colonisation racinaire. Suite à l'apparition des exsudats de la semence, l'inoculum bactérien se multiplie, puis les bactéries sont transportées passivement par la racine en développement, hors de la zone d'influence de la semence. Par la suite, les RFCP continuent de se multiplier grâce aux exsudats racinaires et persistent sur les racines. Plusieurs compagnies développent actuellement des inoculants contenant des RFCP, surtout afin de réduire l'utilisation des pesticides de synthèse en agriculture.
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BAYOURTHE, C., and D. ALI-HAIMOUD-LEKHAL. "Les extraits de plantes chez le ruminant : effets sur les fermentations dans le rumen et la qualité lipidique des produits animaux." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 23, 2014): 317–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3079.

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Abstract:
Les extraits de plantes représentent un groupe complexe de substances dont les propriétés peuvent être utilisées pour manipuler le fonctionnement du rumen. Parmi eux, les tannins condensés, les huiles essentielles et les saponines ont été largement évalués pour leurs effets bactéricides/bactériostatiques. La variété de structure chimique des tannins condensés est, sans doute, à l’origine de leur différence de réactivité mais aussi d’une activité différente vis-à-vis des microorganismes du rumen. De façon générale, la croissance bactérienne est d’autant plus inhibée que la concentration en tannins condensés dans le milieu est élevée. Si les tannins condensés inhibent l'activité des archées méthanogènes, ils seraient sans effet sur les protozoaires. Généralement, les tannins condensés conduisent à une diminution de la concentration en azote ammoniacal dans le milieu ruminal mais n’affectent pas la concentration en acides gras volatils totaux. Si à dose élevée, l’effet est plus marqué in vitro qu’in vivo, à dose identique, l’amplitude de la réponse est différente selon la source de tannins condensés. En ce qui concerne l’action des tannins condensés sur la méthanogenèse, l’effet généralement observé, tant in vitro qu'in vivo, est une diminution de la production de CH4 bien que l’amplitude de la réponse soit variable et dépende de plusieurs facteurs que les études in vitro permettent de mieux cerner. Les effets principaux des huiles essentielles dans le rumen consistent en une réduction de la dégradation des protéines et de l'amidon et une inhibition de la dégradation des acides aminés, en raison de l'action sélective sur certains micro-organismes du rumen. Le pouvoir bactéricide des huiles essentielles vis-à-vis des bactéries (pathogènes ou ruminales) est lié à la structure chimique des molécules aromatiques qui les composent. Elles inhibent la croissance de la plupart des cultures pures bactériennes du rumen à des concentrations inférieures à 100 ppm ; certaines espèces pouvant s'adapter, ce qui explique la diminution voire l’absence d’effet souvent observé in vivo. Certains composés aromatiques ont la capacité de réduire la production de méthane dans le rumen. En revanche, les effets des saponines dans le rumen sont moins nets, en raison probablement du développement de populations microbiennes capables de les dégrader et/ou de l'adaptation des microorganismes à ces extraits de plante. Par ailleurs, en l’état actuel des connaissances, il est impossible de conclure quant à l’effet des extraits végétaux sur la qualité lipidique des produits animaux. Des essais complémentaires conduits in vivo et à long terme restent indispensables pour vérifier les effets observés, dans des conditions d'utilisation plus variées, mais aussi pour s'assurer de l'absence de résidus dans les produits animaux et de leur innocuité pour le consommateur.
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Boureima, Seyni, and Laouali Ibrahim Mahaman. "Effets de la déficience en phosphore du sol sur la croissance et le développement du sésame (Sesamum indicum L.)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (June 19, 2020): 1014–24. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.28.

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Abstract:
Le sésame (Sesamum indicum L.) est un protéoléagineux à haute valeur ajoutée et cultivé dans les régions chaudes. Sa culture connait un réel intérêt pour les producteurs sahéliens ces dernières années. Malheureusement dans ces régions, les sols sont trop pauvres en éléments fertilisants, principalement le phosphore. Cette étude vise à évaluer les effets de la déficience en phosphore sur la croissance et le développement de plantes de sésame. Un essai a été conduit en pots dans un dispositif en bloc complet randomisé avec 2 facteurs. La variété à 10 modalités correspondant à 10 variétés de sésame vulgarisées au Niger et le phosphore à 2 modalités (condition optimale ou témoin et condition de déficience). Il ressort des résultats que la déficience en phosphore retarde la floraison de la seule variété 38-1-7 de 4 jours, réduit les biomasses aériennes de 71% et racinaire de 68%. La déficience réduit également, le nombre de feuilles et la taille des plantes. En utilisant le ratio de la biomasse aérienne en condition de déficience et celle en condition optimale de nutrition phosphatée comme proxy, les variétés DS01 et HB168 sont les plus tolérantes à la déficience en phosphore du sol. Le ratio peut donc être utilisé comme critère de criblage rapide pour la tolérance à la déficience en phosphore du sol et identifier des variétés potentielles.Mots clés : Nutrition, fertilisants, croissance, Sesamum indicum L., Sahel. English Title: Effects of phosphorus deficiency on the growth and development of sesame (Sesamum indicum L.) Sesame (Sesamum indicum L.) is a high added value oil and protein crop grown in hot regions of the world. Sesame production has seen a real interest for Sahelian producers in recent years. Unfortunately, in these regions, soils are too poor in nutrients, mainly phosphorus. This study aims to assess the effects of this phosphorus deficiency on the growth and development of sesame plant. A trial was conducted in pots in a completely randomized block design with 2 factors: the “Variety” with 10 modalities corresponding to 10 varieties of sesame vulgarized in Niger and the “Phosphorus” with 2 modalities (optimal or control condition and deficiency condition). The results show that phosphorus deficiency delays flowering of variety 38-1-7 by 4 days, reduces aboveground biomass by 71% and root biomass by 68% as well as the number of leaves and the height of the plants. Using the ratio of aboveground biomass in deficient condition and that in optimal condition of phosphorus nutrition as proxy, varieties DS01 and HB168 are the most tolerant to phosphorus deficiency in the soil. The ratio can therefore be used as a criterion for rapid screening for tolerance to soil phosphorus deficiency and to identify potential varieties.Keywords: Nutrition, fertilizer, growth, Sesamum indicum L., Sahel
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Ngoucheme, A., Y. Manjeli, A. Etchu Kingsley, P. M. Youchaou, P. M. D. Ko Awono, H. P. Bayemi, S. P. Mbiadjeu-Lawou, et al. "Facteurs influençant les performances de croissance de quelques types génétiques de veaux dans les hautes terres de l’Ouest-Cameroun." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 13, 2020): 3364–77. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.31.

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Abstract:
Dans le cadre de l’amélioration de la productivité des bovins, une étude sur les facteurs influençant les performances de croissance de quelques types génétiques de veaux a été réalisée à Bambui sur 374 animaux de 1998 à 2008. L’objectif étant d’évaluer les effets des principaux facteurs influençant les performances de croissance et d’en déduire les contraintes et les moyens de contrôle. Les données ont été analysées à l’aide de la procédure ANOVA du logiciel SAS et les moyennes significatives ont été séparées par le test de Student-Newman-Keul. Au terme de ce travail, il a été déterminé que tous les facteurs ont une influence significative sur tous les traits pré sevrage, tandis que le troupeau n’a pas été significatif sur le poids à la naissance au seuil 5%. Quant à l’évolution du poids et gain moyen quotidien (GMQ) après sevrage, ils ne sont influencés significativement que par la race et le sexe du veau, la race et l’âge de ses parents, l’année, le mois et la saison de naissance et le troupeau. Par ailleurs, certains facteurs environnementaux peuvent masquer les différences génétiques entre les animaux lors de la sélection et le gain génétique ne peut pas être déterminé avec précisionMots clés: Facteurs, croissance, veaux, croisements, races locales. English Title: actors affecting growth performance of terminal crossbred calves in the western highlands of CameroonAs part of the improvement of cattle productivity, a study on the factors influencing the growth performance of some genetic types of calves was conducted at Bambui on 374 animals from 1998 to 2008. The objective being to evaluate the effects of the main factors influencing growth performance and to deduce the constraints and means of control. Data was analyzed using the SAS software ANOVA procedure were separed by the Student-Newman-Keul test. At the end of this work, it has been determined that all factors have a significant influence on all pre-weaning traits,while the flock was not significant on birth weight at the 5% threshold. Mean weight gain and mean daily gain ( ADG) after weaning were significantly influenced only by breed and sex of calf, race and age of parents, year, month and year birth season and the flock. In addition, some environmental factors may mask genetic differences between animals during breeding and genetic gaincan not be determineb accurately.Keywords: Factors, growth, calves, crosses, indigenous breeds.
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Siene, Laopé Ambroise Casimir, Mohamed Doumbouya, Mohamed Sahabane Traore, Mariame Conde, Tah Valentin Felix N’guettia, and Mamadou Kone. "Effet de quatre types de fertilisants sur la croissance et la productivité de deux génotypes de maïs (Zea mays L.) en cas d’un semis tardif à Korhogo au Centre-Nord de la Côte d’Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 1 (April 3, 2020): 55–68. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i1.6.

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Abstract:
Face à un appauvrissement des sols et une irrégularité des pluies du fait du changement climatique, une étude a été entreprise sur la culture du maïs au Centre-Nord de la Côte d’Ivoire. Elle avait pour objectif d’évaluer l’influence de quatre types de fumures sur le potentiel agronomique de deux génotypes de maïs (Zea mays L.) en cas de contrainte hydrique de fin de cycle et d’infertilité des sols. Le dispositif expérimental a été un split-plot, dont le premier facteur a été les fertilisants et le second, la variété. Les résultats ont montré que les fumures ont influencé les durées des phases végétative et reproductive en plus du rendement. Les fumures fiente de poulet et déjection de boeuf ont permis d’obtenir un rendement qui est égal à six fois celui obtenu avec le témoin de la variété à grain noir malgré la contrainte hydrique. Aussi, la fumure fiente de poulet a eu une tendance à réduire le cycle de culture et favoriser une meilleure croissance et un bon développement des plantes. L’utilisation de ces fumures en culture du maïs, pourrait constituer une alternative aux conséquences drastiques du changement climatique. © 2020 International Formulae Group. All rights reserved. Mots clés: Fertilisants, maïs (Zea mays L.), potentiel agronomique, rendement, contrainte hydrique English Title: Effect of four types of fertilizers on the growth and productivity of two maize genotypes (Zea mays L.) in the event of late planting in Korhogo in North-Central Côte d'Ivoire English Abstract Faced with soil depletion and irregular rains due to climate change, a study was undertaken on maize cultivation in North-Central Côte d'Ivoire. Its objective was to assess the influence of four types of manure on the agronomic potential of two maize genotypes (Zea mays L.) in cases of water stress and soil infertility. The experimental set-up was a split-plot, the first five-level factor being fertilizers and the second two-level factor being variety. Observations were made on phenology, growth parameters and yield. The results showed that manure influenced vegetative and reproductive time, growth parameters and yield. In terms of yield, chicken droppings and beef droppings were the most effective. They yielded six times the yield obtained with the black-grain variety control despite the water constraint at the end of the cycle. Also, chicken manure has had a tendency to reduce the growing cycle and promote better growth and plant development. The use of these manure in maize cultivation could be an alternative to the drastic consequences of climate change. © 2020 International Formulae Group. All rights reserved. Keywords: Fertilizers, corn (Zea mays L.), agronomic potential, yield, water constraint
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Ksontini, Mustapha, Philippe Louguet, Daniel Laffray, and Mohamed Nejib Rejeb. "Comparaison des effets de la contrainte hydrique sur la croissance, la conductance stomatique et la photosynthèse de jeunes plants de chênes méditerranéens (Quercus suber, Q. faginea, Q. coccifera) en Tunisie." Annales des Sciences Forestières 55, no. 4 (1998): 477–95. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19980407.

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PICARD, M., B. SAUVEUR, F. FENARDJI, and I. ANGULO. "Ajustements technico-économiques possibles de l’alimentation des volailles dans les pays chauds." INRAE Productions Animales 6, no. 2 (April 28, 1993): 87–103. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.2.4191.

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Abstract:
L’aviculture des régions chaudes doit tenir compte de deux facteurs limitants majeurs : le climat qui freine la consommation énergétique des volailles et modifie l’habitat et les cycles de productions (croissance ralentie, oeufs plus petits...) et l’importation, pour beaucoup de pays chauds, des céréales et du tourteau de soja avec des devises de plus en plus rares. Les solutions nutritionnelles viables à moyen terme, pour les volailles, sont celles qui tiennent compte de ces deux types de contraintes dans le choix des normes de formulation et qui intégreront l’aviculture dans le développement agro-industriel global de ces pays. Sept exemples expérimentaux illustrent la recherche de solutions adaptées, en collaboration entre l’INRA et plusieurs pays chauds. Pour être efficacement appliquées ces solutions requièrent une adaptation pratique par les professionnels de l’aviculture dans chaque situation. La distribution ad libitum d’un régime complet laisse peu d’espoir de pouvoir compenser les effets négatifs de la chaleur sur les performances par des ajustements de sa composition. Par contre, certaines erreurs comme l’augmentation de la teneur de l’aliment en protéines de mauvaise "qualité", c’est-à-dire avec des concentrations relativement basses d’acides aminés indispensables digestibles, peuvent aggraver les effets du climat. Le niveau d’ingestion énergétique faible des poules pondeuses permet d’envisager l’utilisation de régimes dilués, granulés, contenant des quantités plus importantes de sous-produits disponibles localement et ayant une valeur nutritionnelle, comme les issues de céréales. La combinaison de rythmes lumineux et de systèmes d’alimentation discontinue en supprimant l’accès à la mangeoire quelques heures avant et pendant le pic thermique quotidien permet de maîtriser les mortalités excessives des poulets de chair en période de finition. Le fractionnement du régime complet ouvre des voies de recherches stimulantes dont deux ont déjà prouvé un intérêt :- technico-économique, dans le cas de l’alimentation calcique séparée des poules pondeuses qui induit une augmentation de l’ingéré énergétique du matin et une amélioration de la ponte ;- économique par l’utilisation d’un aliment complémentaire unique pour le poulet et la pondeuse distribué en libre choix avec des céréales graines entières pouvant être produites par l’aviculteur ou acquises à moindre coût (et des coquilles d’huîtres pour la ponte). Cette solution permet de limiter les transports et les gaspillages de matières premières en concentrant l’effort technique sur un seul produit. La mise au point de modèles d’alimentation alternatifs prenant en compte les rythmes de températures et de lumière existant dans les poulaillers ouverts des pays tropicaux est un domaine d’avenir qui devrait stimuler les échanges scientifiques Sud-Nord.
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Zakka, T., M. R. Hassan, R. J. Tanko, B. M. Munza, and A. A. Sadiq. "Effect of variety and plant spacing on yield components of two sorghum varieties (Sorghum bicolor l. Moench)." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 175–84. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2883.

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Abstract:
The study was conducted to evaluate the effects of variety, plant spacing and stage of harvest on the forage yield components of two sorghum varieties (Sorghum bicolor L. Moench) at the National Animal Production Research Institute Shika, Zaria. The agronomic study was laid in a 2 × 3 × 5 factorial arrangement of a Split Plot Design with three replicates, which consist of two varieties (bush head and sweet sorghums), three plant spacing (15 × 85, 20 × 85 and 25 × 85 cm) and five stages of harvest (6, 8, 10, 12 and 14 weeks after sowing), respectively. The forage yield was determined at 14 weeks after sowing (WAS). Leaf length (68.68 cm), stem diameter (7.13 cm), number of leaves per plant (12.02) and leaf area index (2.78) were significantly (p<0.05) higher in bush head sorghum variety. Similarly, plant spacing significantly (p<0.05) affected the leaf area index (LAI) with the highest leaf area index recorded in 15 × 85 cm plant spacing. There was significant (p<0.05) interaction between variety and plant spacing. Stage of harvest significantly (p<0.05) affected all the growth parameters with 14 weeks having the highest (223.88 cm) plant height and 10.37 number of leaves per plant and the stage of harvest at 12 weeks after sowing (WAS) recorded the highest 69.84 cm leaf length, 6.82 cm leaf width and 2.46 leaf area index. While stage of harvest at 6 and 10 weeks after sowing (WAS) also having the highest number of tillers per plant and stem diameter of 1.24 and 6.47 cm respectively. Fresh forage yield was significantly (p<0.05) higher (42.92 t/ha) in bush head sorghum variety not and plant spacing significantly (p<0.05) affected fresh forage and dry matter yields at 14 weeks after sowing (WAS). The highest fresh forage yield (41.81 t/ha) and dry matter yield (7.99 t/ha) were recorded in 15 × 85 cm plant spacing. It was concluded, that harvesting of Sorghum bicolor bush head and sweet sorghum varieties for forage is to be best carried out at 14 weeks after sowing for better forage productivity. L'étude a été menée pour évaluer les effets de la variété de sorgho, et faisant l'espace des plantes sur les composantes de rendement fourrage de deux variétés de sorgho (Sorgho bicolore L. Moench) à l'Institut National de Recherche sur la Production Animale Shika, Zaria. L'étude agronomique a été posée dans un 2 × 3 × 5 arrangement factorial d'une conception de parcelle divisée avec trois répliques, qui se composent de deux variétés (leEffect of variety and plant spacing on yield components of two sorghum varieties (Sorghum bicolor l. Moench)'bush head' et sorghos sucrés), de trois espacements végétaux (15 × 85, 20 × 85 et 25 × 85 cm) et de cinq étapes de récolte (6, 8, 10, 12 et 14 semaines après le semailles), respectivement. Le rendement du fourrage a été déterminé à 14 semaines après la semailles (le 'WAS'). La longueur des feuilles (68,68 cm), le diamètre de la tige (7,13 cm), le nombre de feuilles par plante (12,02) et l'indice de la superficie des feuilles (2,78) étaient significativement (p<0,05) plus élevés dans la variété de sorgho 'bush head'. De même, l'espacement des plantes de façon significative (p<0,05) a affecté l'indice de la superficie des feuilles (le 'LAI') avec l'indice de superficie folio-feuille le plus élevé enregistré en 15 × espacement des plantes de 85 cm. Il y avait une interaction significative (p<0,05) entre la variété et l'espacement des plantes. L'étape de la récolte a eu une incidence importante (p<0,05) sur tous les paramètres de croissance, 14 semaines ayant la hauteur végétale la plus élevée (223,88 cm) et 10,37 le nombre de feuilles par plante et le stade de la récolte à 12 semaines après le semis (WAS) ayant enregistré la longueur de feuilles la plus élevée de 69,84 cm, la largeur des feuilles de 6,82 cm et l'indice de la superficie des feuilles de 2,46 feuilles. Alors que le stade de la récolte à 6 et 10 semaines après le semailles (le 'WAS') a également le plus grand nombre de laboureurs par plante et le diamètre de la tige de 1,24 et 6,47 cm respectivement. Le rendement des fourrages frais était significativement (p<0,05) plus élevé (42,92 t/ha) dans la variété de sorgho de la tête de brousse et l'espacement des plantes de façon significative (p<0,05) affectait les rendements de fourrage frais et de matière sèche à 14 semaines après le semis (le 'WAS'). Le rendement le plus élevé en fourrage frais (41,81 t/ha) et en matière sèche (7,99 t/ha) a été enregistré dans 15 × espacement des plantes de 85 cm. Il a été conclu que la récolte de 'bush head' bicolore de Sorgho et des variétés de sorgho sucré pour le fourrage doit être effectuée au mieux 14 semaines après la semailles pour une meilleure productivité fourragère.
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Melakeberhan, Haddish. "Effects of nutrient source on the physiological mechanisms of Heterodera glycines and soybean genotypes interactions." Nematology 1, no. 2 (1999): 113–20. http://dx.doi.org/10.1163/156854199508009.

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Abstract:
AbstractThe effect of Heterodera glycines on H. glycines -resistant 'Bryan', susceptible-tolerant 'G88-20092', and susceptible-intolerant 'Tracy M' soybean cultivars grown in Hoagland solution (HS), HS without nitrogen (HS-N), or water treatments was studied for 25 to 26 days under greenhouse conditions (28 +/- 2 degrees C). Few of the 15 000 eggs per 800 cm3 soil infected 'Bryan' while 'G88-20092' and 'Tracy M' were severely infected, and photosynthesized and grew less in water and HS-N. Although less than the controls, photosynthetic rate in HS treatments was more than in water or HS-N. Nodulation was less in H. glycines than in the controls, and in HS than in water and HS-N treatments. However, more nitrogen was present in soil from HS than from HS-N or water treatments. Generally, cysts developed slower and had fewer eggs in HS followed by HS-N than in the water treatments. The results support the hypothesis that nematode infected plants do better under balanced nutrition than under nutrient deficient conditions. It is postulated that the slowed-down nematode development and/or diminished reproductive potential might be host-mediated. Effets de l'origine des elements nutritifs sur les mecanismes physiologiques des interactions entre Heterodera glycines et des genotypes de soja - L'effet d'Heterodera glycines sur les cultivars resistant "Bryan", susceptible-tolerant "G88-200092" et susceptible-non tolerant "Tracy M" cultives dans la solution d'Hoagland (HS), HS sans azote (HS-N) ou dans l'eau a ete etudie pendant 25 a 26 jours sous serre (28 +/- 2 degrees C). Quelques uns seulement des 15 000 oeufs par 800 cm3 de sol ont infeste le cultivar "Bryan" tandis que "G88-20092" et "Tracy M" ont ete severement infestes avec une photosynthese et une croissance plus faible pour les traitements eau et HS-N. Bien qu'inferieur a celui des temoins, le taux de photosynthese pour le traitement HS a ete plus eleve que pour les traitements eau et HS-N. De plus, la quantite d'azote presente dans le sol a ete plus elevee pour le traitement HS que pour les traitements HS-N ou eau. Generalement, les kystes se sont developpes plus lentement avec un nombre d'oeufs plus faible dans le traitement HS que pour les traitements HS-N et eau. Les resultats confirment l'hypothese selon laquelle les plantes infestees par le nematode se comportent mieux en conditions nutritives equilibrees qu'en conditions nutritives deficientes. Il est postule que le ralentissement du developpement du nematode et/ou la reduction de son potentiel reproducteur pourrait etre sous la dependance de l'hote.
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Salifu, A. O., S. N. Carew, A. J. Dadah, and M. Adamu. "Effects of diet fortification with Azadirachta indica and Moringa oleifera leaf meal on parasitaemia, performance, rectal temperature and serum biochemistry of rabbits infected with Trypanosoma brucei brucei." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 2 (March 2, 2021): 101–10. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i2.2936.

Full text
Abstract:
Numerous plants are reported to have ethno-therapeutic properties; among these plants are the leaves of Moringa oleifera and Azadirachta indica used for the treatment of protozoan infections. Forty grower rabbits at approximately 70 days old were used to determine the prophylactic anti-trypanosomal effects of the dry leaf meals of Moringa oleifera (MLM) and Azadirachta indica (NLM). The rabbits were placed into eight groups of five animals each in a completely randomized design, with mean live weights of 1.2 Kg. The rabbits were allotted to four diets (D1, D2, D3 and D4) and two levels of inoculation (inoculated and uninoculated rabbits) in a 4×2 factorial arrangement of a Completely Randomised Design. Parameters monitored were performance, serum biochemistry and rectal temperature. The parasitaemia were presented as line graph for the infected rabbits. The percent mortality of the groups was evaluated and no mortality was observed for rabbits fed D4. No significant differences (P>0.05) were observed between treatments for growth rate, feed intake and feed conversion, except rectal temperature and total protein (P<0.05) in serum biochemistry. Rabbits that were uninfected with trypanosomes had (P<0.05) lower total protein than the infected animals except T2. It was concluded that only the 1% MLM had prophylactic anti- trypanosomal effect on serum total protein and mortality amelioration of T. b. brucei infected rabbits when administered alone and a combination of both MLM and NLM prevented pyrexia and mortality. De nombreuses plantes auraient des propriétés ethno-thérapeutiques ; parmi ces plantes figurent les feuilles de Moringaoleifera et d'Azadirachtaindica utilisées pour le traitement des infections protozoaires. Quarante lapins de culture à environ 70 jours ont été employés pour déterminer les effets anti-trypanosomal prophylactiques des repas secs de feuille de Moringaoleifera (le 'MLM') et d'Azadirachtaindica (le 'NLM'). Les lapins ont été placés en huit groupes de cinq animaux chacun dans une conception complètement randomisée, avec des poids vivants moyen de 1,2 kg. Les lapins ont été attribués à quatre régimes (D1, D2, D3 et D4) et deux niveaux d'inoculation (lapins inoculés et non ininoculés) dans un arrangement factorial de 4×2 d'un Désigne complètement randomisé. Les paramètres surveillés étaient la performance, la biochimie sérique et la température rectale. La parasitémie a été présentée comme graphique linéaire pour les lapins infectés. La mortalité en pourcentage des groupes a été évaluée et aucune mortalité n'a été observée chez les lapins nourris au D4. Aucune différence significative (P>0,05) n'a été observée entre les traitements pour le taux de croissance, l'apport alimentaire et la conversion des aliments pour animaux, à l'exception de la température rectale et de la protéine totale (P<0,05) dans la biochimie sérique. Les lapins qui n'étaient pas infectés par les trypanosomes avaient (P<0,05) moins de protéines totales que les animaux infectés, à l'exception du T2. On l'a conclu que seulement le MLM de 1% a eu l'effet anti-trypanosomal prophylactique sur la protéine totale de sérum et l'amélioration de mortalité des lapins infectés de T.b. brucei une fois administrés seuls et une combinaison de MLM et de NLM a empêché la pyrexie et la mortalité.
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COULON, JB, P. LECOMTE, M. BOVAL, and J. M. PEREZ. "Introduction générale." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 3, 2011): 5–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3232.

Full text
Abstract:
L’agriculture, et plus particulièrement les productions animales, sont depuis quelques années au cœur des préoccupations mondiales, si l’on en juge par les nombreux rapports que les institutions internationales, ainsi que l’INRA et le CIRAD, leur ont récemment consacré (Millenium Ecosystem Assessment 2005, IPCC 2006, Steinfeld et al 2006, World Bank 2008, FAO 2009, Steinfeld et al 2010, Dorin et al 2011). Deux points forts ressortent de ces exercices de prospective : 1/ Le poids économique et social de l'élevage dans l'agriculture mondiale est considérable :- La planète compte, toutes catégories confondues, 19 milliards d’animaux d'élevage dont 70% sont détenus par des éleveurs hors pays industrialisés ; - On comptait en 2000 : 1 porcin pour 7 habitants, 1 bovin pour 4 habitants, 1 petit ruminant pour 3 habitants, et plus de 2 volailles par habitant ; - Environ 250 millions d'animaux de trait apportent la force de travail pour près de la moitié des cultures vivrières dans les agricultures familiales des pays en développement ;- L’élevage mobilise environ 4 milliards d’ha de surfaces en herbe (soit près de 30% des terres émergées non gelées), fournit le tiers des protéines pour l’alimentation humaine et représente 40% de la valeur de la production agricole brute mondiale ;- On prévoit d’ici à 2050 le doublement des productions animales, essentiellement par une forte expansion des activités d’élevage dans les pays du Sud ;- Quant à l’approvisionnement futur en produits aquatiques, il repose sur l’essor de l’aquaculture (50% déjà du marché mondial), qui est le secteur de l’élevage lato sensu ayant la plus forte croissance surtout dans la zone AsiePacifique ;- L’élevage contribue aux moyens de vie d’un milliard de pauvres dans les pays du Sud et emploie au total 1,3 milliard de personnes dans le monde. 2/ Les productions animales doivent faire face, plus que les productions végétales, à de nombreuses interrogationset remises en cause qui interpellent la recherche et le développement. On peut les résumer de la façon suivante :comment répondre à l’augmentation considérable de la demande en produits animaux, notamment dans les pays du Sud, dans un contexte de compétition forte sur les ressources pour l’alimentation humaine et de la nécessite d’une prise en compte des impacts environnementaux de l’élevage, qu’ils soient positifs (services environnementaux rendus par les systèmes de productions animales) ou négatifs (contribution au changement climatique liées aux émissions de GES, dégradation de la biodiversité, consommation importante d’eau et d'énergie, détérioration de la qualité des eaux par les effluents d’élevage). Ces interrogations ne se déclinent pas de la même façon dans les pays du Nord et du Sud, parce que la place de l’élevage dans la société et les enjeux de son développement y sont différents. Les productions animales au Sud se trouvent ainsi dans une situation paradoxale : elles doivent faire face à une évolution importante de la demande à moyen terme, dans un contexte nouveau, marqué notamment par les tensions sur les disponibilités et les coûts des intrants et par la prise en compte impérative tant des contributions que des effets liés au changement climatique. C’est dans ce contexte particulier, et en prolongement de la réflexion menée par l’INRA et le CIRAD dans le cadre du chantier PARC rappelé dans la préface, que la Rédaction de la revue INRA Productions animales a décidé de consacrer un numéro complet au thème de l’Elevage en régions chaudes (Coulon et al 2011). Les contributions rassemblées dans ce numéro spécial ont pour ambition de faire une synthèse approfondie de l’état connaissances et des expériences acquises en termes d’élevage en régions chaudes. Les productions animales sont analysées à différents niveaux d’organisation, tenant compte de leur spécificité et des interrelations entre les diverses échelles, permettant une visualisation à la fois circonstanciée et large de la situation de l’élevage dans le monde. Les auteurs fournissent ainsi un panel de résultats, d’illustrations, de solutions et d’alternatives innovantes, ainsi que de nouvelles pistes et priorités de recherche. Celles-ci peuvent réellement contribuer à mieux appréhender la multifonctionnalité de l’élevage, la durabilité de son développement et ses évolutions à venir. Après une présentation des éléments d’évolution des productions animales au niveau mondial (Gerber et al), le deuxième article synthétise les nombreuses connaissances acquises concernant les ressources alimentaires tropicales (diversité, disponibilité et valeur nutritive), utilisables en hors-sol ou au pâturage (Archimède et al). Pour les animaux, ruminants et monogastriques, les caractères majeurs d’adaptation aux effets directs du climat, à la sous-nutrition ou aux maladies parasitaires sont développés, et des options d’optimisation de la productivité et de la résilience sont proposées (Mandonnet et al). Dans le domaine de la santé, les maladies infectieuses animales constituent des contraintes économiques fortes ainsi que des risques pour la santé humaine ; des stratégies pour faire face à cette situation sont formulées, concernant à la fois la conduite des systèmes d’élevage et l’organisation de réseaux de surveillance à l’échelle régionale (Lancelot et al). L’article suivant insiste sur la nécessaire prise en compte de la qualité des produits par les producteurs et les transformateurs et l’importance des règles de caractérisation et de gestion de cette qualité, dans un contexte spécifique aux pays du Sud en termes de conditions climatiques, économiques et sociologiques (Faye et al). Les interactions entre l’environnement et les systèmes d’élevage diversifiés sont décrites et illustrées tant en termes d’impacts que de services agro-écologiques, et diverses pistes sont suggérées pour une gestion plus durable de ces systèmes en régions chaudes (Blanfort et al). En sus de la composante environnementale, et au vu de la diversité des systèmes d’élevage et de leur multifonctionnalité, une démarche essentielle de conception-évaluation de systèmes durables est explicitée, illustrée d’exemples géographiques contrastés (Dedieu et al). A une échelle plus large, les auteurs examinent les interactions entre les territoires ou espaces de production et les filières et proposent un modèle d’analyse appliqué à quatre territoires représentatifs du Sud (Poccard et al). Enfin l’élevage, marqueur socioculturel de nombreuses sociétés du Sud, est analysé comme contributeur culturel et capital social, pour son rôle économique majeur à l’échelle des familles, mais également en faveur de la sécurité alimentaire et le développement local (Alary et al). Souhaitons que ces articles de synthèse et les pistes de recherche évoquées dans ce numéro thématique incitent les chercheurs de l’INRA et du CIRAD à renforcer leur collaboration et à proposer de nouvelles approches de la conception et de l’évaluation des systèmes d’élevage en régions chaudes.
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Bertrand, Wang-Bara, Amedep David, Housseini Djida Jacques, and Mana Gaston Guiwa. "Evaluation des effets des doses de mycorhizes sur les paramètres de croissance et de la production de trois variétés de Voandzou dans la localité de Dschang, Ouest Cameroun." European Scientific Journal ESJ 17, no. 17 (May 31, 2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n17p213.

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Abstract:
Cette étude a pour objectif d’évaluer l’effet des doses d’un biofertilisant sur la croissance et la production du Voandzou à l’Ouest Cameroun. Elle a été menée à la Ferme d’Application et de la Recherche (FAR) et au Laboratoire de Phytopathologie et de Zoologie Appliquée de la FASA (Dschang) de Décembre 2017 à Juillet 2018. Pour cette étude trois variétés de Voandzou ont été utilisées, une variété locale de Dschang (VL) et deux autres variétés du Nord Cameroun (Mendéo V1M et Mendéo V2M). Deux doses de mycorhizes (D1 = 10g et D2 = 20g) ont été inoculées et comparées au témoin (D0 = 0 g) dans un dispositif en split-plot combinant deux facteurs (doses et variétés) avec 3 répétitions. Après avoir évalué le taux de germination des graines des différentes variétés, nous avons évalué les paramètres de croissance, la précocité variétale et la productivité en gousse des différentes variétés. Nos résultats ont montré que les variétés Mendéo 1 et 2 du Nord sont précoces avec une floraison débutant à partir de 40e JAS et une maturité dès le 122e JAS. La variété VL est tardive avec une floraison dès le 58e JAS et une maturité à 160e JAS. En général, les deux doses de mycorhize inoculées augmentent la croissance des plants de voandzou. Cependant la dose D2 (20g) semble être efficace pour les variétés Mendéo V1M et Mendéo V2M, par apport à la variété local VL qui préfère la dose D1 (10g). Le nombre de feuilles des trois variétés de Voandzou a été plus prononcé pour les plantes inoculées par rapport à celles non inoculées. La dose D2 (20g) d’inoculum a eu un effet positif sur la densité du feuillage des plantes des variétés V1M et V2M. Par contre, la variété locale (VL) de l’Ouest Cameroun parait plus favorable aux deux différentes doses (D1 et D2) de mycorhizes. Cette étude a montré que l’inoculation directe des CMA pendant le semis entraine une augmentation du rendement en gousse de la VL et améliore la production de la variété introduite V1M. L’étude permet de conclure que la variété améliorée V1M et locale VL sont potentiellement aptes dans la zone à dose 20 g.
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Sirima, A., A. Sereme, D. Sereme, K. Koïta, T. A. Nana, and M. Sawadogo. "Effets de quatre huiles essentielles sur la croissance mycélienne radiale d’un isolat de Alternaria sp. au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (June 18, 2020). http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.10.

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L’alternariose de la tomate est une maladie cryptogamique dévastatrice dans les zones maraichères du Burkina Faso. Tous les organes de la plante (tiges, feuilles, fruits) sont attaqués, entrainant une baisse importante du rendement et une dépréciation de la qualité de la production. Dans la présente étude, quatre huiles essentielles de plantes aromatiques locales (Cymbopogon schoenanthus, Lippia multiflora, Ocimum americanum, et Ocimum basilicum) ont été testées, pour évaluer leurs propriétés d'inhibition sur la croissance radiale du mycélium d’un isolat pathogène de Alternaria sp. Le test in vitro des doses de 100%, 50%, 10%, 5% et 1% a montré que toutes ces huiles essentielles possèdent une activité antifongique sur ledit isolat. Les taux d’inhibition des huiles essentielles sur la croissance du champignon étudié vont de 25,96% à 100%. La meilleure inhibition a été enregistrée avec l’huile essentielle de Cymbopogon schoenanthus, de Ocimum basilicum et de Lippia multiflora pour les concentrations supérieures à 1%. Il ressort donc de cette étude que trois huiles essentielles, stoppent la croissance mycélienne de l’isolat pour des doses allant de 5% à 100%. Ces huiles (Cymbopogon schoenanthus, Ocimum basilicum et Lippia multiflora) pourraient être utilisées pour la mise au point de phytopesticides afin d'atténuer l’utilisation intensive et hasardeuse des pesticides.Mots clés: Alternariose, activité antifongique, plante aromatique, tomate. English Title: Effects of four essential oils on radial mycelial growth of an isolate of Alternaria sp. in Burkina Faso Early blight of tomato is a devastating cryptogamic disease in the vegetable gardens in Burkina Faso. All plant’s organs (stems, leaves, fruits) are attacked causing a significant decrease in the yield and a depreciation of the quality of the production in the field. In the present study, four essential oils of aromatic plants (Cymbopogon schoenanthus, Lippia multiflora, Ocimum americanum, and Ocimum basilicum) were tested to evaluate the inhibition properties of these oils on the radial growth of the mycelium of an isolated pathogen of Alternaria sp. In vitro tests at doses of 100%, 50%, 10%, 5% and 1% showed that all these essential oils tested have antifungal activity on said strain. The inhibition rates of essential oils on the growth of the fungus studied range from 25.96% to 100%. The best inhibition was recorded with the essential oil of Cymbopogon schoenanthus, Ocimum basilicum and Lippia multiflora for applied concentrations more than 1%. It therefore emerges from this study that three essential oils stop the mycelial growth of the isolate for doses ranging from 5% to 100%. These oils (Cymbopogon schoenanthus, Ocimum basilicum and Lippia multiflora) could be used for the development of phytopesticides in order to reduce the intensive and hazardous use of pesticides.Keywords: Early blight, antifungal activity, aromatic plant, tomato.
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PARIS, A. "Introduction." INRAE Productions Animales 19, no. 3 (May 13, 2006). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.3.3492.

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Abstract:
Durant la seconde moitié du 20e siècle, le progrès des connaissances en physiologie, en particulier dans les domaines de la nutrition, de la croissance et de la reproduction, et l'amélioration des pratiques d'élevage sont allés de pair. Il s'agissait in fine de répondre à une exigence économique, au moins dans les pays les plus développés, celle qui consistait à atteindre d'abord l'autosuffisance alimentaire avec un meilleur statut sanitaire des élevages et des productions puis, dans un deuxième temps, à développer des capacités d'exportation d'animaux ou de produits animaux. D'un point de vue agronomique, cela s'est traduit par une nécessaire amélioration des performances de l'élevage, en particulier en augmentant la vitesse de croissance des animaux, le niveau de production laitière, l'efficacité de la valorisation nutritionnelle des aliments, ou la possibilité d'accroître sensiblement les capacités de reproduction des cheptels, tout ceci en considérant les contraintes sanitaires et d'organisation du travail liées à une diminution radicale de la population agricole tout au long de ces 50 dernières années. L'essor après-guerre de l'industrie pharmaceutique a permis de créer de très nombreux analogues des premiers stéroïdes naturels qui venaient d'être décrits, tant au plan structural que de leur rôle dans la physiologie de la reproduction ou de la croissance. Ainsi, avant que les mécanismes et modes d'action de ces hormones ne soient clairement établis, celles-ci pouvaient déjà être utilisées, que ce soit pour mieux maîtriser la reproduction ou pour améliorer la croissance des animaux. Dès les années 50, les premiers stéroïdes anabolisants avaient fait leur apparition en élevage. Le diéthylstilbœstrol (DES) synthétisé à la fin des années 30 (Dodds et al 1938) a pu être utilisé comme promoteur de croissance jusqu'à la fin des années 70 aux USA où, depuis, il a été interdit en raison de risques importants pour la santé du consommateur (Herbst et al 1971, Fara et al 1979, Herbst et Bern 1981, Perez-Comas 1988). A compter de cette période, une réévaluation des caractéristiques toxicologiques des quelques molécules utilisées pour leurs propriétés hormonales a permis de mieux préciser les risques pour le consommateur, de renforcer les contrôles de molécules analogues pouvant être utilisées frauduleusement et d'encourager la mise en place de nouvelles recherches pour encore mieux apprécier les effets, à des doses faibles, de résidus qui peuvent être retrouvés dans certains tissus destinés à la consommation. Des divergences d'opinions, scientifiques, économiques et politiques, sont apparues entre l'Union européenne (UE) et certains pays hors l'UE à l'occasion de l'application stricte en 1988 par l'UE du principe de précaution en matière d'utilisation des hormones stéroïdiennes, essentiellement comme anabolisants. En effet, la position adoptée par l'UE s'appuie sur la mise en avant d'un certain nombre de difficultés d'interprétation de résultats permettant de conclure à l'absence d'effet toxique des faibles doses de résidus de ces hormones présentes dans les produits animaux destinés à la consommation (SCVPH 2002, Andersson et Skakkebæk 1999). Dans l'UE, une hormone peptidique, l'hormone de croissance, pouvant être utilisée dans les élevages laitiers ou dans les élevages de porcs à l'engrais, a subi plus récemment le même sort que les stéroïdes anabolisants, même si l'évaluation des risques propres à son utilisation ne peut être comparée à celle des stéroïdes. Le bannissement des β-agonistes dans l'UE est à ranger dans le même cortège réglementaire. En filigrane, le souci apparu depuis plus d'une dizaine d'années d'améliorer la qualité et la traçabilité des produits animaux, de maintenir les prix à la production, d'assainir l'environnement économique des productions animales et éviter ainsi des situations structurelles d'excédent, très coûteuses, telles qu'elles existaient dans les années 70 et 80 en Europe de l'Ouest explique aussi la position ferme adoptée par l'UE en matière de recours aux promoteurs de croissance. Cette tendance forte ne peut être ignorée des acteurs des filières concernées. Elle constitue d'ailleurs un nouveau jeu de contraintes à intégrer dans les différents paramètres technico-économiques à prendre en considération dans les pratiques d'élevage actuellement en place, à condition d'en mieux connaître les bases génétiques, physiologiques et biochimiques. C'est dans ce climat actuel d'interrogation sur l'avenir des filières animales que la nécessité d'une synthèse bibliographique actualisée sur les risques posés en matière de santé publique par l'utilisation des hormones en élevage est apparue. Cette synthèse est destinée tout à la fois aux professionnels des filières concernées, aux scientifiques directement impliqués dans les différents domaines de recherche et de développement afférents et à un public de «décideurs» interagissant avec ces mêmes filières. Cette initiative en revient à l'Académie des sciences qui la publiera dans la collection des Rapports sur la science et la technologie (RST). Nous en présentons ici une version largement augmentée qui montre combien les recherches conduites depuis plus de quarante ans en la matière et les développements qui s'en sont suivis ont été à la fois importants, multiples, parfois inattendus. Les principales fonctions physiologiques d'intérêt zootechnique susceptibles d'être modulées artificiellement, les substances utilisées en pratique, les productions animales concernées sont décrites ci-après. Les éléments de l'appréciation du risque toxicologique lié à l'utilisation de ces substances et le contrôle de leur utilisation en élevage sont ensuite abordés. Enfin, de nouvelles méthodes permettant de contrôler certaines fonctions physiologiques ou d'en moduler l'expression sont brièvement présentées, qui préfigurent ce que pourrait être une zootechnie renouvelée à l'horizon 2020.
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Candau, Joel. "Altricialité." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.087.

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Abstract:
Deux faits signent la nature profonde de l’être humain : (i) un cerveau d’une grande plasticité et (ii) la puissance impérieuse de la culture qui se manifeste non seulement par la diversité et l’intensité de son expression, mais aussi par la forte influence qu’elle exerce rétroactivement sur le développement de notre architecture cérébrale – qui l’a rendue possible. Cette plasticité développementale, résumée dans l’idée que « nous héritons notre cerveau ; nous acquérons notre esprit » (we inherit our brains ; we acquire our minds)(Goldschmidt 2000), relève d’un processus plus général appelé « altricialité » par les éthologues. Le terme est dérivé de l’anglais altricial, mot qui vient lui-même du latin altrix : « celle qui nourrit », « nourrice » (Gaffiot 1934). Dans son acception première, l’altricialité signifie qu’une espèce n’est pas immédiatement compétente à la naissance, contrairement aux espèces dites précoces. C’est le cas, par exemple, de la plupart des passereaux qui naissent les yeux fermés et dont la survie dépend entièrement de l’aide apportée par leur entourage. Il en va de même pour notre espèce. Dans le cas des nouveau-nés humains, toutefois, s’ajoute à l’altricialité primaire une altricialité secondaire. On désigne ainsi le fait que notre cerveau n’est pleinement compétent (sur les plans cognitif, émotionnel, sensoriel et moteur) que tardivement. La force et la durée de la croissance cérébrale post-natale caractérisent cette altricialité secondaire. Du point de vue de la force, le chimpanzé Pan troglodytes, espèce animale qui nous est phylogénétiquement la plus proche, a un coefficient de croissance cérébrale de 2,5 entre la naissance et l’âge adulte, contre 3,3 chez les humains (DeSilva et Lesnik 2008). Du point de vue de la durée, on a longtemps cru que la maturité du cerveau humain coïncidait avec la puberté, mais on sait aujourd’hui que la période de surproduction et d’élimination des épines dendritiques sur les neurones pyramidaux du cortex préfrontal court jusqu’à la trentaine (Petanjeket al. 2011). Outre des contraintes obstétriques, cette maturation prolongée est probablement due aux coûts métaboliques élevés du développement cérébral (Goyal et al. 2014), un processus de co-évolution ayant favorisé l’étalement dans le temps de la dépense énergétique (Kuzawa et al. 2014). Cette forte altricialité cérébrale est propre aux êtres humains, le contrôle génétique qui s’exerce sur l’organisation somatopique de notre cortex, sur la connectique cérébrale et sur les aires d’association étant plus faible que chez le chimpanzé commun. Par exemple, deux frères chimpanzés auront des sillons cérébraux davantage similaires que deux frères humains, parce que le cerveau des premiers est moins réceptif aux influences environnementales que celui des membres de notre espèce (Gómez-Robles et al. 2015). Cette spécificité du cerveau humain est tout aussi importante que son quotient d’encéphalisation (6,9 fois plus élevé que celui d’un autre mammifère du même poids, et 2,6 fois supérieur à celui d’un chimpanzé), le nombre élevé de ses neurones (86 milliards contre 28 milliards chez le chimpanzé), la complexité de sa connectique (environ 1014 synapses), les changements néoténiques lors de l’expression des gènes (Somel et al. 2009) et son architecture complexe. Chez le nouveau-né humain, la neurogenèse est achevée, excepté dans la zone sous-ventriculaire – connectée aux bulbes olfactifs – et la zone sous-granulaire, qui part du gyrus denté de l’hippocampe (Eriksson et al. 1998). Toutefois, si tous les neurones sont déjà présents, le cerveau néonatal représente moins de 30% de sa taille adulte. Immédiatement après la naissance, sa croissance se poursuit au même taux qu’au stade fœtal pour atteindre 50% de la taille adulte vers 1 an et 95% vers 10 ans. Cette croissance concerne essentiellement les connexions des neurones entre eux (synaptogenèse, mais aussi élagage de cette interconnectivité ou synaptose) et la myélinisation néocorticale. À chaque minute de la vie du bébé, rappelle Jean-Pierre Changeux (2002), « plus de deux millions de synapses se mettent en place ! » Au total, 50% de ces connexions se font après la naissance (Changeux 2003). Cette spécificité d’Homo sapiens a une portée anthropologique capitale. Elle expose si fortement les êtres humains aux influences de leur environnement qu’ils deviennent naturellement des êtres hyper-sociaux et hyper-culturels, ce qu’avait pressenti Malinowski (1922 : 79-80) quand il soutenait que nos « états mentaux sont façonnés d’une certaine manière » par les « institutions au sein desquelles ils se développent ». Le développement du cerveau dans la longue durée permet une « imprégnation » progressive du tissu cérébral par l’environnement physique et social (Changeux 1983), en particulier lors des phases de socialisation primaire et secondaire. L’être humain a ainsi des «dispositions épigénétiques à l’empreinte culturelle » (Changeux 2002). Les effets sociaux et les incidences évolutionnaires (Kuzawa et Bragg 2012) d’une telle aptitude sont immenses. L’entourage doit non seulement aider les nouveau-nés, mais aussi accompagner les enfants jusqu’à leur développement complet, l’immaturité du cerveau des adolescents étant à l’origine de leur caractère souvent impulsif. Cet accompagnement de l’enfant se traduit par des changements dans la structure sociale, au sein de la famille et de la société tout entière, notamment sous la forme d’institutions d’apprentissage social et culturel. Les êtres humains sont ainsi contraints de coopérer, d’abord à l’intérieur de leur groupe familial et d’appartenance, puis sous des formes plus ouvertes (voir Coopération). Née de processus évolutifs anciens d’au moins 200 000 ans (Neubaueret al. 2018), l’altricialité secondaire nous donne un avantage adaptatif : contrairement à d’autres espèces, nos comportements ne sont pas « mis sur des rails » à la naissance, ce qui les rend flexibles face à des environnements changeants, favorisant ainsi la diversité phénotypique et culturelle. Cette plasticité cérébrale peut produire le meilleur. Par exemple, 15 mois seulement d’éducation musicale avant l’âge de 7 ans peuvent renforcer les connexions entre les deux hémisphères cérébraux (Schlaug et al. 1995) et induire d’autres changements structuraux dans les régions assurant des fonctions motrices, auditives et visuo-spatiales (Hyde et al. 2009). Une formation musicale précoce prévient aussi la perte d’audition (White-Schwoch et al. 2013) et améliore la perception de la parole (Du et Zatorre 2017). Cependant, comme cela est souvent le cas en évolution, il y a un prix à payer pour cet avantage considérable qu’est l’altricialité secondaire. Il a pour contrepartie un appétit vorace en énergie de notre cerveau (Pontzer et al. 2016). Il nous rend plus vulnérables, non seulement jusqu’à l’adolescence mais tout au long de la vie où, suppose-t-on, des anomalies des reconfigurations neuronales contribuent au développement de certaines pathologies neurologiques (Greenhill et al. 2015). Enfin, un risque associé au « recyclage culturel des cartes corticales » (Dehaene et Cohen 2007) est rarement noté : si ce recyclage peut produire le meilleur, il peut aussi produire le pire, selon la nature de la matrice culturelle dans laquelle les individus sont pris (Candau 2017). Par exemple, le choix social et culturel consistant à développer des industries polluantes peut provoquer des maladies neurodégénératives et divers désordres mentaux (Underwood 2017), notamment chez les enfants (Bennett et al. 2016), phénomène qui est accentué quand il est associé à l’adversité sociale précoce (Stein et al. 2016). Toujours dans le registre économique, la mise en œuvre de politiques qui appauvrissent des populations peut affecter le développement intellectuel des enfants (Luby et al. 2013), un message clé du World Development Report 2015 étant que la pauvreté est une « taxe cognitive ». Un dernier exemple : Voigtländer et Voth (2015) ont montré que les Allemands nés dans les années 1920 et 1930 manifestent un degré d’antisémitisme deux à trois fois plus élevé que leurs compatriotes nés avant ou après cette période. Bien plus souvent que d’autres Allemands, ils se représentent les Juifs comme « une population qui a trop d’influence dans le monde » ou « qui est responsable de sa propre persécution ». Ceci est la conséquence de l’endoctrinement nazi qu’ils ont subi durant toute leur enfance, notamment à l’école, en pleine période d’altricialité secondaire. En résumé, l’altricialité secondaire est au fondement (i) de l’aptitude naturelle de notre cerveau à devenir une représentation du monde et (ii) d’une focalisation culturelle de cette représentation, sous l’influence de la diversité des matrices culturelles, cela pour le meilleur comme pour le pire. Cette hyperplasticité du cerveau pendant la période altricielle laisse la place à une plasticité plus modérée à l’âge adulte puis décroît à l’approche du grand âge, mais elle ne disparaît jamais complètement. Par conséquent, loin de voir dans les données neurobiologiques des contraintes qui auraient pour seule caractéristique de déterminer les limites de la variabilité culturelle – limitation qui est incontestable – il faut les considérer également comme la possibilité de cette variabilité.
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