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Journal articles on the topic 'Plantes fourragères'

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Amegbenyuie, Vo Mawu, Wouyo Atakpama, Liyabin Noundja, Komlan Batawila, and Koffi Akpagana. "Valeur d’usage et vulnérabilité des plantes fourragères de la préfecture d’Anié au Togo." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 76 (November 15, 2023): 1–7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.36901.

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Abstract:
Une meilleure connaissance des plantes fourragères tropicales peut permettre de mieux aménager les pâturages et limiter les conflits entre agriculteurs et éleveurs. La présente étude est une contribution à la gestion durable de la flore fourragère dans la préfecture d’Anié au Togo. Plus spécifiquement, elle a évalué : la valeur d’usage des plantes fourragères et la disponibilité et les pratiques de gestions des fourrages. Les enquêtes ethnobotaniques semi-directives par entretiens individuels couplées à des observations de terrain ont été menées auprès de 70 éleveurs. Les analyses ont porté sur les calculs de fréquences, d’indices de valeurs d’usage et d’importance et d’indices de vulnérabilité des espèces répertoriées. Un total de 53 espèces fourragères, réparties en 45 genres et 14 familles de plantes fourragères, ont été recensées. Les Poaceae et les Fabaceae étaient les familles dominantes comprenant chacune 17 espèces. Trois usages ont été rapportés : fourrager (88 %), médicinal (11 %) et énergétique. Ces usages portent essentiellement sur les feuilles, les racines, les fruits et les écorces. Les espèces ayant l’indice de valeur d’importance d’usage le plus élevé ont été Khaya grandifoliola, Afzelia africana, Khaya senegalensis, Panicum maximum. Sur l’ensemble des espèces répertoriées, 9 (25 %) présentent un risque élevé de vulnérabilité. L’étude a montré que la vulnérabilité d’une espèce est fonction de sa valeur d’importance d’usage.
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Le Bourgeois, Thomas, Cassandra Favale, Samantha Bazan, Prabhakar Rajagopal, Thomas Vattakaven, and Vincent Blanfort. "Quand la gestion des plantes envahissantes dans les pâturages tropicaux peut être facilitée par les outils numériques : l’exemple du portail <em>Wiktrop</em>." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 76 (December 13, 2023): 1–8. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.37266.

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Abstract:
Les prairies et pâturages représentent 25 % des terres émergées. Une exploitation efficiente et durable de ces ressources fourragères nécessite notamment une gestion adaptée des plantes envahissantes très souvent responsables de leur dégradation. Cette gestion nécessite de disposer de connaissances sur leur comportement et pour cela une bonne identification. Le portail collaboratif Wiktrop aide à identifier les adventices et facilite le partage et la diffusion des connaissances sur les adventices tropicales et leur gestion entre acteurs de terrain et scientifiques. Ces connaissances permettent d’améliorer les pratiques de contrôle des adventices dans l’ensemble des régions tropicales et méditerranéennes. La contribution des utilisateurs est un facteur important de la qualité et de l’étendue des informations mises à disposition. Ce portail évoluera prochainement avec l’intégration des plantes fourragères et des plantes de services tropicales.
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DEMARQUILLY, C., and J. ANDRIEU. "Composition chimique, digestibilité et ingestibilité des fourrages européens exploités en vert." INRAE Productions Animales 5, no. 3 (July 29, 1992): 213–21. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.3.4235.

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Abstract:
Cette revue résume les principaux résultats obtenus, en France et en Europe, sur la composition chimique, la digestibilité et l’ingestibilité chez le mouton des principales espèces fourragères de graminées et de légumineuses et sur les autres plantes utilisables comme fourrages (maïs, autres céréales, protéagineux, crucifères) exploitées en vert. La marge de variation est importante pour les graminées et les légumineuses (55 à 85 % pour la digestibilité, 40 à 120 g MS/kg P0,75 pour l’ingestibilité). La digestibilité et l’ingestibilité d’une espèce donnée dépendent essentiellement du stade de végétation ou du nombre de jours de croissance. Elles diminuent avec l’âge du fourrage, notamment durant les premiers cycles et les cycles de repousses à tiges. A un stade donné de végétation, il existe des différences entre espèces, mais l’année et le lieu d’étude n’ont pas d’influence notable, notamment sur la digestibilité. La digestibilité et l’ingestibilité des autres plantes fourragères sont moins variables avec le stade de végétation ou de maturation des grains.
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Faustine, Kouassi Akossoua, Tra Bi boli Francis, and Koffi Kouao Jean. "Etude Socio-Économique De L’exploitation Des Plantes Fourragères Dans Le District d’Abidjan (Côte d’Ivoire)." European Scientific Journal, ESJ 12, no. 34 (December 31, 2016): 357. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2016.v12n34p357.

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Abstract:
Forage trading in the city of Abidjan is an activity not known by the population. The objective of the study was to determine the importance of the collection of forage plants in the socio-economic life of the actors of the sector. Prospects and semi-structured interviews were conducted, and we determined the floristic composition of forages sold in the market. The results of the survey show that the forage sold by the farmers is taken free of charge in the city of Abidjan. The unit price (UP) of a bundle of forage is on an average of 50 FCFA when there are few animals on the market, and 100 FCFA or 200 FCFA in case of high affluence such as during holidays. Thus, the estimated average financial income per day of an operator during periods of low affluence of animals in the markets is 875 F CFA. On an average, it is 26250 FCFA per month and 3350 FCFA per day. Also, there is an estimated average of 100 400 FCFA in periods of abundance of animals for sale in the market. The results of investigations showed that forages species sold are composed of species such as Chloris pilosa Schumach. (Poaceae), Panicum maximum Jacq (Poaceae), Brachiaria lata (Schumach.) Hub (Poaceae), Arachis hypogea L. (Fabaceae), and Phaseolus vulgaris L (Fabaceae). In addition to being food reserves, these activities provide work for those who exploit them. It allows them to meet their daily needs and also compensate for the lack of jobs.
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Mandret, Gilles, A. Ourry, and Guy Roberge. "Effet des facteurs température et nutrition azotée sur la croissance des plantes fourragères tropicales. I. Variation saisonnière de la croissance d'une graminée tropicale, Brachiaria mutica, au Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no. 1 (January 1, 1990): 119–24. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8879.

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Abstract:
La croissance en climat sahélien subcanarien d'une graminée tropicale, Brachiaria mutica, a été étudiée pendant la saison sèche froide (novembre-m a rs), la saison sèche chaude (mars-mi-juillet) et la saison des pluies (mi-juillet-octobre). L'essentiel des résultats montre que cette graminée a une faible productivité en saison sèche froide, du fait de températures minimales très basses, contrairement à celles obtenues en saisons des pluies. Par ailleurs, il semble qu'il y ait une déplacement du facteur limitant (températures minimales basses) vers un effet azoté qui témoigne de la faible disponibilité en azote du sol pendant la saison froide et de l'importance d'une fertilisation azotée. Cette étude souligne l'intérêt d'introduire, lors de la saison sèche froide, des plantes fourragères des régions tempérées, moins exigeantes vis-à-vis de la température.
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Ghude, M. I., N. A. Alassan, B. Bello, H. A. Alkali, S. A. Maigandi, and I. R. Muhammad. "Proximate and fibre constituents of browse plant species utilized by camels (Camelus dromedarius) in some selected areas of North–western Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 2 (March 8, 2022): 317–24. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i2.3493.

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Abstract:
Preferred plant species utilized by camels across the three seasons (wet, cold dry and hot dry) were analyzed to determine their proximate and fibre constituents using recommended analytical procedures. The browse plant species were analyzed for moisture, ash, fat, protein, neutral detergent fibre (NDF) and acid detergent fibre (ADF). Values presented from the study were within the normal range. The highest values obtained from moisture content was 4.20% from Balanites egyptiaca; protein with 16.23% from Leptadenia hastata and ash (6.53%) from Piliostigma reticulatum both in hot dry season. Fat content were 5.73% from Leptadenia hastata in cold dry season. However, NDF was 52.60% from Balanites egyptiaca in hot dry season and ADF 39.77% from Cassia arereh in wet season respectively. Camels in the study area depended on grazing throughout the year without feed supplementation. The study reveals that browse plant species utilized by the camels in the study area contain the basic nutrients required for their performance hence no any sign of intoxication detected. Les espèces végétales préférées utilisées par les chameaux au cours des trois saisons (humide, froide sèche et chaude sèche) ont été analysées pour déterminer leurs constituants proches et fibreux en utilisant les procédures analytiques recommandées. Les espèces de plantes fourragères ont été analysées pour l'humidité, les cendres, les matières grasses, les protéines, les fibres au détergent neutre (FDN) et les fibres au détergent acide (FDA). Les valeurs présentées à partir de l'étude se situaient dans la plage normale. Les valeurs les plus élevées obtenues à partir de la teneur en humidité étaient de 4,20 % pour Balanites egyptiaca; protéine avec 16,23% de Leptadenia hastata et frêne (6,53%) de Piliostigma reticulatum tous deux en saison sèche chaude. La teneur en matières grasses était de 5,73% de Leptadenia hastata en saison froide et sèche. Cependant, le FDN était de 52,60% de Balanites egyptiaca en saison sèche chaude et le FDA de 39,77% de Cassia arereh en saison des pluies respectivement. Les chameaux dans la zone d'étude dépendaient du pâturage tout au long de l'année sans complément alimentaire. L'étude révèle que les espèces de plantes fourragères utilisées par les chameaux dans la zone d'étude contiennent les nutriments de base nécessaires à leur perfolrmance, donc aucun signe d'intoxication n'a été détecté.
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Bats, Adeline. "Fourrages et régimes alimentaires des animaux élevés en stabulation durant l’époque pharaonique." Claroscuro. Revista del Centro de Estudios sobre Diversidad Cultural, no. 19 (December 30, 2020): 1–28. http://dx.doi.org/10.35305/cl.vi19.43.

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Abstract:
L'importance de l'élevage pendant l'âge du bronze égyptien (ca. 2750-1070 av. J.-C.), et en particulier de l'élevage stable d'animaux de valeur tels que le bétail et les chevaux, rend nécessaire la production d'importants quantités de fourrage. Il est donc nécessaire d'examiner les modes d'acquisition et les différents types de fourrages utilisés par les Égyptiens durant l'Antiquité, afin de répondre aux différents besoins. En effet, la constitution de réserves fourragères peut nécessiter la mobilisation de grandes parcelles agraires, mais aussi nécessiter une organisation spécifique de la prédation végétale dans l'environnement. Néanmoins, toutes les plantes pouvant être utilisées comme fourrage n'ont pas les mêmes qualités nutritionnelles ou ne conviennent pas à toutes les espèces d'animaux. Un fourrage de qualité provient essentiellement de récoltes qui demandent beaucoup d'efforts et d'investissements (terre, techniques et main d'œuvre). Au contraire, la valorisation des pailles et des sous-produits céréaliers nécessite peu ou pas de travail supplémentaire, et maximise les coûts de production.
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Hiernaux, P. H. Y., M. I. Cissé, L. Diarra, and P. N. De Leeuw. "Fluctuations saisonnières de la feuillaison des arbres et des buissons sahéliens. Conséquences pour la quantification des ressources fourragères." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 1 (January 1, 1994): 117–25. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9123.

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Abstract:
Les auteurs analysent la saisonnalité de la feuillaison de 28 espèces ligneuses sahéliennes afin de caractériser les disponibilités saisonnières en feuillage fourrager ainsi que leurs variations interannuelles. Pour chacune des espèces, des branchettes de même calibre ont été échantillonnées chaque mois entre 1979 et 1992, dans une ou plusieurs populations dont les sites sont répartis tout le long du gradient bioclimatique sahélien du Mali. Cinq groupes d'espèces ont été caractérisés par le régime saisonnier de leur feuillaison. Trois rassemblent des espèces caducifoliées distinguées entre elles par la durée de cette période; deux regroupent des espèces sempervirentes distinguées par la date de renouvellement du feuillage. Les variations de densité foliaire inter-sites et interannuelles sont quantifiées, leur écologie est étudiée par analyses de variance. On démontre ainsi que la densité maximale de feuillaison au cours de l'année dépend avant tout des infiltrations hydriques accumulées dans le sol au cours de l'année précédente. En conclusion, il est proposé de tenir compte de cette saisonnalité et de ces fluctuations interannuelles dans l'évaluation des ressources fourragères apportées par les plantes ligneuses et, plus généralement, dans toute quantification du rôle des ligneux dans l'écosystème sahélien.
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Mesmin, Koffi Yao, Kossonou Yao Kamelé, Kouame Amoin Gervaise, Kouadio N’Guessan Jules, Bakayoko Adama, Tra Bi Fézan Honora, and Kone Mamidou Witabouna. "Activité Anthelminthique In Vitro Et Teneurs En Tanins Et Flavonoïdes De Huit Plantes Fourragères Utilisées En Elevage Des Petits Ruminants En Côte d’Ivoire." European Scientific Journal, ESJ 14, no. 15 (May 31, 2018): 434. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2018.v14n15p434.

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Abstract:
The search for alternatives to chemical anthelmintics in the control of gastrointestinal nematodes in small ruminants is now an imperative. the aim of this study was to evaluate the anthelmintic activity of eight forage plants from Côte d’Ivoire, including four Leguminosae and four Moraceae against Haemonchus contortus. The egg hatching inhibition and larvae paralysis were used for the assays. The contents of phenolic compounds (tannins and flavonoids) also were determined. Of the eight hydro-methanolic extracts prepared, three showed strong anthelmintic activity. The extract of Morus mesozygia was ovicidal (% inhibition = 84.08%), while that of Ficus lutea and Albizia adianthifolia were larvicidal (% mortality = 100% and 97.42% respectively) at 2 mg/mL. Tannins and flavonoids contents ranged between 1.60 and 2.89 mg catechol equivalent/g dry matter and 2.42 and 2.89 mg quercetin equivalent/g dry matter respectively. These three forage plants may be a good alternative in the control of gastrointestinal nematodes in small ruminants farming.
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Molénat, Gilbert, Christian Corniaux, Denis Bastianelli, Soizic Gueguen, and Christophe Lacz. "Quelle place pour la paille de riz dans l’alimentation de saison sèche des zébus en zone irriguée au Sahel ? Cas du delta du fleuve Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 1-2 (January 1, 2005): 51. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9940.

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Abstract:
En saison sèche, les terres inondables du delta du fleuve Sénégal étaient le refuge des zébus transhumants de la région. A partir des années 1960, la colonisation agricole et la riziculture ont bouleversé la conduite des troupeaux et leur alimentation. Lors d’une étude conduite sur trois troupeaux en saison sèche de mai à juillet 2000 et de janvier à juillet 2001, la paille, ingérée à même le sol, a dominé les rations consommées le long de circuits à travers les rizières, après la récolte du riz. L’activité alimentaire, concentrée à plus de 70 p. 100 sur la paille entre janvier et mai 2001, s’est reportée entre mai et juillet (paille plus rare) sur des aliments de substitution : Typhas et cypéracées des bords de cours d’eau, graminées, rares légumineuses et chénopodiacées des terres pastorales subsistantes. Des rations simulées par observation des animaux et collecte manuelle, et des échantillons des principaux fourrages consommés ont été analysés et soumis à des tests de dégradabilité enzymatique. Entre avril et juillet, les plantes aquatiques et les graminées analysées se sont montrées pauvres en azote, riches en constituants pariétaux et souvent moins dégradables que la paille de riz. Seuls Salsola baryosma, Indigofera suffruticosa et Salvadora persica ont paru capables d’augmenter la digestibilité des régimes à base de paille de riz, mais leurs contributions aux rations sont restées faibles. Des options de gestion des ressources et de recours à des améliorations fourragères sont discutées dans une perspective d’augmentation de production laitière. Elles sont confrontées aux enjeux déterminés par l’emprise des groupes sociaux sur le foncier, l’espace agricole et l’espace pastoral.
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Ojo, V. O. A., A. A. Lamidi, and A. B. J. Aina. "Influence of age at harvest on the organic nutrients degradability of shrub and tree forage plants by West African dwarf sheep." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 2 (March 8, 2022): 307–16. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i2.3492.

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Abstract:
The harvesting stage of forage plants has been identified as one of the major factors influencing feed intake and digestibility. However, most of the studies in the literature surrounding harvest stage effects are conceptualized for herbaceous grasses and legumes, while shrubs and tree plants like Tephrosia bracteolata and Gmelina arborea are left out, leaving out a research area that is yet to be explored. This study therefore evaluated the chemical composition and nutrient degradability (dry matter, crude protein and neutral detergent fibre) of T. bracteolata and G. arborea harvested at different ages. The chemical composition of the plants were determined at each harvest stage, following which three West African dwarf rams carrying permanent cannula were used for the degradability trials. The plants were harvested at 8, 12, 16 and 20 weeks after planting (WAP) and incubated in the rumen of fistulated rams for 48 hours, after which the dry matter, crude protein and neutral detergent fibre degradability were determined. Collected data was analysed using two way analysis of variance. Results showed that as the plant aged, the crude protein contents decreased (P<0.05) while the fibre fractions increased. The DM degradability values of 29.68 to 55.37 % were recorded for T. bracteolata with the least and highest values recorded at 20 and 8 WAP respectively. The same observation was recorded for G. arborea. Highest potential crude protein degradation (CPD) was recorded at 12 WAP for T. bracteolata (75.79 %) and G. arborea (59.68 %). The highest (P<0.05) potential neutral detergent fibre degradation was recorded at 16 WAP for T. bracteolata (76.77 %) and at 8 WAP for G. arborea (48.63 %). This study concluded that T. bracteolata should be harvested at 12 – 16 WAP as protein supplement while G. arborea plants may be supplied to ruminants as supplementary diets during dry season to augment poor quality feed available during the period. Le stade de récolte des plantes fourragères a été identifié comme l'un des principaux facteurs influençant la consommation alimentaire et la digestibilité. Cependant, la plupart des études dans la littérature concernant les effets du stade de récolte sont conceptualisées pour les graminées herbacées et les légumineuses, tandis que les arbustes et les plantes arborescentes comme Tephrosia bracteolate et Gmelinaarborea ont été laissés de côté, laissant de côté un domaine de recherche qui reste à explorer. Cette étude a donc évalué la composition chimique et la dégradabilité des nutriments (matière sèche, protéines brutes et fibres détergentes neutres) de T. bracteolata et G. arborea récoltées à différents âges. Les compositions chimiques des plantes ont été déterminées à chaque étape de récolte, puis trois béliers nains d'Afrique de l'Ouest portant une canule permanente ont été utilisés pour les essais de dégradabilité. Les plantes ont été récoltées à 8, 12, 16 et 20 semaines après la plantation (SAP) et incubées dans le rumen de béliers fistulés pendant 48 heures, après quoi la dégradabilité de la matière sèche, des protéines brutes et des fibres au détergent neutre a été déterminée. Les données recueillies ont été analysées à l'aide d'une analyse de variance à deux voies. Les résultats ont montré qu'à mesure que la plante vieillissait, la teneur en protéines brutes diminuait (P<0,05) tandis que les fractions de fibres augmentaient. Les valeurs de dégradabilité de DM de 29,68 à 55,37 % ont été enregistrées pour T. bracteolata avec les valeurs les plus faibles et les plus élevées enregistrées à 20 et 8 SAP respectivement. La même observation a été enregistrée pour G. arborea. La dégradation potentielle la plus élevée des protéines crues (DPC) a été enregistrée à 12 SAPpour T. bracteolata (75,79 %) et G. arborea (59,68 %). La dégradation potentielle la plus élevée (P<0,05) des fibres détergentes neutres a été enregistrée à 16 SAP pour T. bracteolata (76,77 %) et à 8 SAP pour G. arborea (48,63 %). Cette étude a conclu que T. bracteolate devrait être récolté entre 12 et 16 SAP comme complément protéique tandis que les plantes de G. arborea peuvent être fournies aux ruminants comme compléments alimentaires pendant la saison sèche pour augmenter les aliments de mauvaise qualité disponibles pendant la période.
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Kâ, S. L., Mamadou Ousseynou Ly, Mayécor Diouf, Mouhamadou Diandy, Moustapha Guéye, Mame Samba Mbaye, and Kandioura Noba. "Diversité herbacée dans les parcours du noyau de sélection du Centre de recherches zootechniques de Kolda en zone soudanienne du Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 3 (September 17, 2020): 199–205. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31891.

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Abstract:
Situé dans la zone soudanienne du Sénégal, le Centre de recherches zootechniques de Kolda est subdivisé en zone de parcours et en zone de cultures annuelles. Du fait de sa tolérance à la trypanosomose, la race Ndama est la seule race bovine qui fait l’objet d’étude de sélection dans le Centre. Cependant, on assiste depuis quelques années à une forte pression sur les zones de parcours liée à l’augmentation de la taille du troupeau et des superficies allouées aux cultures annuelles. Cela risque de réduire la diversité des espèces fourragères et ainsi d’impacter la performance génétique des animaux, compromettant les objectifs de sélection. Cette étude a eu pour objectif d’évaluer l’effet combiné du surpâturage et des activités agricoles sur la structure taxonomique de la végétation herbacée dans un système semi-extensif. Des relevés de végétation ont été effectués dans les différentes unités d’occupation du sol en fin de saison des pluies dans 75 placettes de 0,25 mètre carré. Ainsi, 69 espèces réparties dans 43 genres et 13 familles ont été inventoriées. La richesse spécifique a été plus importante dans les jachères, suivies des zones de parcours avec respectivement 36 et 26 espèces.m². La diversité spécifique a été faible dans les champs de légumineuses et les champs de coton. Dans les zones de parcours ont surtout dominé les Rubiaceae (Diodia sarmentosa, Spermacoce stachydea) et les Lamiaceae (Mesosphaerum suaveolens), familles de plantes à faible appétibilité, ainsi que des graminées à enracinement profond (Andropogon gayanus, Schizachyrium sanguineum). Les résultats ont révélé que le système d’exploitation des terres du Centre affectait négativement la composition et la diversité des herbacées et favorisait la prolifération des espèces faiblement appétées par les bovins.
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Laouali, Abdou, Sani Tari Abdoul Razak, and Moutari Achirou. "Impacts de l’envahissement de Sida cordifolia L. sur la diversité herbacée d’un parcours pastoral sahélien : la vallée du Goulbi N’Kaba de Mayahi au Niger." European Scientific Journal, ESJ 18, no. 11 (March 31, 2022): 319. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n11p319.

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Abstract:
L’espèce végétale Sida cordifolia pose de sérieux problèmes pour les systèmes d’élevage. Son développement réduit particulièrement, la disponibilité du fourrage dans les aires de pâture en voix de dégradation et les couloirs de passage. Cette étude a pour but d’évaluer les impacts de développement de l’espèce sur la diversité des plantes herbacées autour de la vallée de Goulbi N’Kaba de Mayahi. Des relevés phytosociologiques ont été effectués dans quatre (4) communes à travers la méthode des points quadrats, sur des sites soumis et non soumis à la lutte physique contre cette plante envahissante. Elle se révèle la plus compétitive vis-à-vis des autres herbes dans les sites non soumis à la lutte, avec une contribution spécifique de 35,43%. La méthode de lutte physique utilisée s’avère rentable en réduisant le recouvrement de S. cordifolia de 35,43% à 4,71%. La diversité est faible dans les sites non soumis à la lutte contre S. cordifolia (H = 2,5). Elle est moyenne dans les sites soumis à la lutte (H=3,1). Les deux types de sites présentent peu d’espèces communes (JACCARD (Pj) = 40% soit 0,4). Cette étude a contribué à la connaissance des impacts de S. cordifolia sur la diversité herbacée de la zone concernée et contribuera sans doute à élaborer des stratégies de lutte efficace contre cette herbe envahissante qui impacte négativement le développement des espèces fourragères. The plant species Sida cordifolia poses serious problems for livestock systems. Its development particularly reduces the available fodder in the pasture areas in the path of degradation and the corridors of passage. The aim of this study is to assess the impacts of the development of the species on the diversity of herbaceous plants around the Goulbi N'Kaba valley of Mayahi. Phytosociological surveys were carried out in four (4) municipalities using the quadrat point method, on sites subject and not subject to the physical fight against this invasive plant. It is found to be the most competitive against other grasses in sites not subject to control, with a specific contribution of 35.43%.The physical control method used was effective by reducing the recovery of S. cordifolia from 35.43% to 4.71%. Diversity is low in sites not subject to control of S. cordifolia (H = 2.5). It is average in the sites subject to control (H=3.1). The two types of sites have few common species (JACCARD (Pj) = 40% or 0.4). This study has contributed to the knowledge of the impacts of S. cordifolia on the herbaceous diversity of the area concerned and will undoubtedly contribute to the development of effective control strategies against this invasive weed which negatively impacts the development of forage species.
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Adebajo, B. J. "Chemical composition and In Vitro Digestibility of five selected forages used for production and management of small ruminants in Odoragushin of Epe Local Government Area, Lagos State." Nigerian Journal of Animal Production 50, no. 3 (May 14, 2024): 19–23. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v50i3.4021.

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Abstract:
A large number of forages exist in Nigeria with varying adaptations pertaining to ecological zones. These forages are known for their acceptability and nutritive value by ruminants during dry season. Being different in structure and texture, physiochemical component may differ. Thus, this study was undertaken to determine chemical composition of five selected forage species (Mimosa pudica, Aspenlenum bulbiferum, Commelina benghalensis, Chamaecoustus cupidatus and Panicum maximum) used as feed resources in Odoragunshin, Epe Local Government Area, Lagos state. 500g sample of each plant was collected from different mature plants before flowering. Chemical composition and in vitro digestibility parameters were measured. The result obtained showed variations (P< 0 .05) in the proximate composition and invitro digestibility. The crude protein content was highest in Commelina benghalensis (21.46%) and was least in Chamaecoustus cupidatus (11.88%). Ether extract ranged from 7.70% - 15.38% in Mimosa pudica and Chamaecoustus cupidatus respectively. Higher ash value (15.38%) was recorded in Commelina benghalensis. The estimated organic matter digestibility (OMD), metabolizable energy (ME) and short chain fatty acid (SCFA) were significantly different (P< 0.05). The study showed that the selected forages could be used as part of feed for ruminants, especially during the period of scarcity without harmful effect to the animals. Un grand nombre de fourrages existent au Nigeria avec des adaptations variables selon les zones écologiques. Ces fourrages sont connus pour leur acceptabilité et leur valeur nutritive par les ruminants en saison sèche. Étant différents en termes de structure et de texture, les composants physicochimiques peuvent différer. Ainsi, cette étude a été entreprise pour déterminer la composition chimique de cinq espèces fourragères sélectionnées (Mimosa pudica, Aspenlenum bulbiferum, Commelina benghalensis, Chamaecoustus cupidatus et Panicum maximum) utilisées comme ressources alimentaires à Odoragunshin, dans la zone de gouvernement local d'Epe, dans l'État de Lagos. Un échantillon de 500 g de chaque plante a été collecté sur différentes plantes matures avant la floraison. La composition chimique etles paramètres de digestibilité in vitro ont été mesurés. Le résultat obtenu montre des variations (P< 0,05) dans la composition immédiate et la digestibilité in vitro. La teneur en protéines brutes était la plus élevée chez Commelina benghalensis (21,46 %) et la plus faible chez Chamaecoustus cupidatus (11,88 %). L'extrait d'éther variait de 7,70 % à 15,38 % respectivement pour Mimosa pudica et Chamaecoustus cupidatus. Une valeur de cendres plus élevée (15,38 %) a été enregistrée chez Commelina benghalensis. La digestibilité estimée de la matière organique (DMO), l'énergie métabolisable (EM) et les acides gras à chaîne courte (AGCC) étaient significativement différents (P < 0,05). L'étude a montré que les fourrages sélectionnés pouvaient être utilisés dans le cadre de l'alimentation des ruminants, notamment en période de disette, sans effet nocif sur les animaux.
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GRENET, E. "Aspects microscopiques de la dégradation microbienne des tissus végétaux dans le rumen." INRAE Productions Animales 10, no. 3 (August 8, 1997): 241–49. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.3.3999.

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Abstract:
L’étude microscopique des différents tissus d’une plante fourragère montre que les parois des cellules diffèrent d’un tissu à l’autre par leur épaisseur et par leur lignification. Dans le rumen le phloème et le parenchyme sont dégradés et disparaissent les premiers, tandis que les tissus lignifiés sont peu (sclérenchyme) ou pas dégradés (xylème). La dégradation des tissus des feuilles est plus rapide que celle des tiges. Une étude comparative du maïs normal et du maïs bm3 (plus digestible) montre que les parois lignifiées du bm3 sont partiellement dégradées dans le rumen, contrairement à ce qu’on observe avec le maïs normal. Lorsque la plante vieillit, la dégradation des tissus diminue en même temps que les parois se lignifient. Le traitement des pailles de céréales aux alcalis permet à des parois lignifiées d’être partiellement dégradées dans le rumen. Les microorganismes responsables de la dégradation des parois cellulaires peuvent être observés grâce à la microscopie. L’adhésion des bactéries aux parois, les fragments de plantes ingérés par les protozoaires et le mode particulier utilisé par les champignons anaérobies du rumen pour coloniser les tissus lignifiés sont décrits.
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Moreki, J. C., M. I. Moseki, and T. Kopano. "Current status, challenges and strategies employed to raise the population of small ruminants in Botswana:Areview." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 6 (January 18, 2022): 332–47. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i6.3321.

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Abstract:
Sheep and goats (small ruminants) were the first two animals to be domesticated by humans mainly for meat, milk and byproducts. Asia holds the world's largest goat population (52%), followed by Africa (39%), Europe (5%), Americas (4%), and Oceania (<1%). This review article highlighted the current status of small ruminants in Botswana, challenges and efforts being made to increase national flock population. The latest statistics estimate the population of small ruminants in Botswana to be about 2 065 705 (i.e., 1 769 811 goats and 295 894 sheep). Two production systems exist and these are traditional and commercial. The traditional sector held 95% and 88% of goats and sheep, respectively. Generally, productivity as measured by off-take and mortality rates was low in the traditional sector compared to the commercial sector. However, birth rates were high in the traditional sector than in the commercial sector. The major challenges in small ruminants production in decreasing order were production, marketing and infrastructure, technical and financial oriented. Interventions relating to animal health, cultivation of fodder crops and strategic feeding practices, water development, establishment of processing plants countrywide, as well as, intensified farmer education and training could help raise the national flock numbers and improve productivity leading to export of meat to the secured markets in Africa, Middle East and Europe. Les moutons et les chèvres (petits ruminants) ont été les deux premiers animaux à être domestiqués par l'homme principalement pour la viande, le lait et les sous-produits. L'Asie détient la plus grande population caprine au monde (52 %), suivie de l'Afrique (39 %), de l'Europe (5 %), des Amériques (4 %) et de l'Océanie (< 1 %). Cet article de synthèse a mis en évidence la situation actuelle des petits ruminants au Botswana, les défis et les efforts déployés pour augmenter la population du troupeau national. Les dernières statistiques estiment la population de petits ruminants au Botswana à environ 2 065 705 (c'est-à-dire 1769 811 chèvres et 295 894 moutons). Deux systèmes de production existent et ceux-ci sont traditionnels et commerciaux. Le secteur traditionnel détenait respectivement 95 % et 88 % des chèvres et des moutons. En général, la productivité mesurée par les taux de prélèvement et de mortalité était faible dans le secteur traditionnel par rapport au secteur commercial. Cependant, les taux de natalité étaient plus élevés dans le secteur traditionnel que dans le secteur commercial. Les principaux défis de la production de petits ruminants par ordre décroissant étaient la production, la commercialisation et les infrastructures, techniques et financières. Les interventions relatives à la santé animale, à la culture de plantes fourragères et aux pratiques d'alimentation stratégiques, au développement de l'eau, à l'établissement d'usines de transformation dans tout le pays, ainsi qu'à l'intensification de l'éducation et de la formation des agriculteurs pourraient contribuer à augmenter le nombre de troupeaux nationaux et à améliorer la productivité conduisant à l'exportation de viande vers le marchés sécurisés en Afrique, au Moyen-Orient et en Europe.
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Sissoko, Fagaye, Amadou Traore, Sidiki Diarra, and Mamadou Traore. "Effet de l’insertion des plantes de couverture sur la productivité du système de culture à base de maïs dans le cadre de l’intégration agriculture-élevage." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 7 (December 7, 2020): 2599–610. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i7.18.

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En zone soudano-sahélienne, la productivité des cultures est limitée par les effets néfastes du changement climatique et la pauvreté des sols. L’insertion des plantes de couverture dans les systèmes de production pourrait être une alternative d’amélioration des rendements et de la biomasse. Pour atteindre cet objectif, la pratique conventionnelle de la culture du maïs a été comparée pendant cinq années (2014-2018), à quatre systèmes de culture associant des plantes de couverture. Le dispositif expérimental utilisé a été un bloc de Fisher avec 6 traitements en 4 répétitions. Les résultats ont montré que l’insertion du Cajanus cajan, du Stylosanthes hamata, du Brachiaria ruziziensis et Mucuna cochinchinensis dans un système de culture à base du maïs permet d’améliorer la production de biomasse fourragère sans négativement affecter son rendement. Utilisée dans la supplémentation des animaux, la biomasse produite peut nourrir pendant 90 jours 7 unités de bétail tropical (UBT) en culture pure du maïs et 8 à 13 unités de bétail tropical (UBT) en fonction du type de plantes de couverture. Dans le cadre de la production fumure organique, les mêmes tendances de variations ont été obtenues en fonction des systèmes de culture. L’insertion des plantes de couverture est un élément intégrateur agriculture-élevage.Mots clés : Changement climatique, maïs, légumineuse, biomasse fourragère, zone Soudano-sahélienne, Mali English Title: Cover crop insertion effect on productivity of maize-based cropping system in the context of crop-livestock integrationIn Sudano-Sahelian zone, crop productivity is limited by climate change effect and poor soils. Inserting cover crops into production systems could be an alternative to improve yields and biomass. To achieve this goal, conventional practice of maize cultivation was compared over a five-year period (2014-2018) with four cropping systems using cover crops. The experimental design used was a Fisher block with 6 treatments in 4 replicates. The results showed that the insertion of Cajanus cajan, Stylosanthes hamata, Brachiaria ruziziensis and Mucuna cochinchinensis in a maize-based cropping system improves biomass production without negatively affecting its yield. Used in animal supplementation, the biomass produced can feed 7 Tropical Livestock Units (UBT) of pure maize crop and 8 to 13 UBT for 90 days, depending on the type of cover crop. In the case of organic manure production, the same variations were obtained depending on cropping systems. The insertion of cover crops in cropping system is an integrating agriculture-livestock component.Keywords: Climate change, maize, legumes, fodder biomass, fodder biomass, Sudano-Sahelian zone, Mali.
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Peyre De Fabrègues, Bernard. "Le dromadaire dans son milieu naturel." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 42, no. 1 (January 1, 1989): 127–32. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8869.

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Le dromadaire est l'animal domestique le mieux adapté aux conditions de vie dans les régions arides, et à la rareté de l'eau et du pâturage qui les caractérisent. Son exceptionnelle aptitude à la marche et son éclectisme alimentaire lui permettent de composer sa ration fourragère avec les plantes très dispersées et souvent très épineuses qui constituent les parcours des zones arides. Capable de brouter les végétaux arbustifs hors d'atteinte des autres ruminants, il n'entre guère en compétition avec eux. Ajouté à ses habitudes déambulatoires et à son exclusivité dans les parcours où l'abreuvement est éloigné, cela fait qu'il est le moins enclin à dégrader gravement le milieu végétal. Sa légendaire résistance à la soif en a fait le compagnon indispensable de l'homme dans les vastes espaces désertiques.
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de Lourdes Maciel de A. Correia, Maria. "Préférences Polliniques des Principaux Insectes Pollinisateurs de Légumineuses Fourragères." Grana 33, no. 4-5 (August 1994): 218–24. http://dx.doi.org/10.1080/00173139409429002.

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Zakka, T., M. R. Hassan, R. J. Tanko, B. M. Munza, and A. A. Sadiq. "Effect of variety and plant spacing on yield components of two sorghum varieties (Sorghum bicolor l. Moench)." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 175–84. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2883.

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Abstract:
The study was conducted to evaluate the effects of variety, plant spacing and stage of harvest on the forage yield components of two sorghum varieties (Sorghum bicolor L. Moench) at the National Animal Production Research Institute Shika, Zaria. The agronomic study was laid in a 2 × 3 × 5 factorial arrangement of a Split Plot Design with three replicates, which consist of two varieties (bush head and sweet sorghums), three plant spacing (15 × 85, 20 × 85 and 25 × 85 cm) and five stages of harvest (6, 8, 10, 12 and 14 weeks after sowing), respectively. The forage yield was determined at 14 weeks after sowing (WAS). Leaf length (68.68 cm), stem diameter (7.13 cm), number of leaves per plant (12.02) and leaf area index (2.78) were significantly (p<0.05) higher in bush head sorghum variety. Similarly, plant spacing significantly (p<0.05) affected the leaf area index (LAI) with the highest leaf area index recorded in 15 × 85 cm plant spacing. There was significant (p<0.05) interaction between variety and plant spacing. Stage of harvest significantly (p<0.05) affected all the growth parameters with 14 weeks having the highest (223.88 cm) plant height and 10.37 number of leaves per plant and the stage of harvest at 12 weeks after sowing (WAS) recorded the highest 69.84 cm leaf length, 6.82 cm leaf width and 2.46 leaf area index. While stage of harvest at 6 and 10 weeks after sowing (WAS) also having the highest number of tillers per plant and stem diameter of 1.24 and 6.47 cm respectively. Fresh forage yield was significantly (p<0.05) higher (42.92 t/ha) in bush head sorghum variety not and plant spacing significantly (p<0.05) affected fresh forage and dry matter yields at 14 weeks after sowing (WAS). The highest fresh forage yield (41.81 t/ha) and dry matter yield (7.99 t/ha) were recorded in 15 × 85 cm plant spacing. It was concluded, that harvesting of Sorghum bicolor bush head and sweet sorghum varieties for forage is to be best carried out at 14 weeks after sowing for better forage productivity. L'étude a été menée pour évaluer les effets de la variété de sorgho, et faisant l'espace des plantes sur les composantes de rendement fourrage de deux variétés de sorgho (Sorgho bicolore L. Moench) à l'Institut National de Recherche sur la Production Animale Shika, Zaria. L'étude agronomique a été posée dans un 2 × 3 × 5 arrangement factorial d'une conception de parcelle divisée avec trois répliques, qui se composent de deux variétés (leEffect of variety and plant spacing on yield components of two sorghum varieties (Sorghum bicolor l. Moench)'bush head' et sorghos sucrés), de trois espacements végétaux (15 × 85, 20 × 85 et 25 × 85 cm) et de cinq étapes de récolte (6, 8, 10, 12 et 14 semaines après le semailles), respectivement. Le rendement du fourrage a été déterminé à 14 semaines après la semailles (le 'WAS'). La longueur des feuilles (68,68 cm), le diamètre de la tige (7,13 cm), le nombre de feuilles par plante (12,02) et l'indice de la superficie des feuilles (2,78) étaient significativement (p<0,05) plus élevés dans la variété de sorgho 'bush head'. De même, l'espacement des plantes de façon significative (p<0,05) a affecté l'indice de la superficie des feuilles (le 'LAI') avec l'indice de superficie folio-feuille le plus élevé enregistré en 15 × espacement des plantes de 85 cm. Il y avait une interaction significative (p<0,05) entre la variété et l'espacement des plantes. L'étape de la récolte a eu une incidence importante (p<0,05) sur tous les paramètres de croissance, 14 semaines ayant la hauteur végétale la plus élevée (223,88 cm) et 10,37 le nombre de feuilles par plante et le stade de la récolte à 12 semaines après le semis (WAS) ayant enregistré la longueur de feuilles la plus élevée de 69,84 cm, la largeur des feuilles de 6,82 cm et l'indice de la superficie des feuilles de 2,46 feuilles. Alors que le stade de la récolte à 6 et 10 semaines après le semailles (le 'WAS') a également le plus grand nombre de laboureurs par plante et le diamètre de la tige de 1,24 et 6,47 cm respectivement. Le rendement des fourrages frais était significativement (p<0,05) plus élevé (42,92 t/ha) dans la variété de sorgho de la tête de brousse et l'espacement des plantes de façon significative (p<0,05) affectait les rendements de fourrage frais et de matière sèche à 14 semaines après le semis (le 'WAS'). Le rendement le plus élevé en fourrage frais (41,81 t/ha) et en matière sèche (7,99 t/ha) a été enregistré dans 15 × espacement des plantes de 85 cm. Il a été conclu que la récolte de 'bush head' bicolore de Sorgho et des variétés de sorgho sucré pour le fourrage doit être effectuée au mieux 14 semaines après la semailles pour une meilleure productivité fourragère.
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Sib, Ollo, Eliel González-García, Valérie M.C. Bougouma-Yameogo, Mélanie Blanchard, and Eric Vall. "Coconception, installation et évaluation de banques fourragères arbustives pour l’alimentation des vaches laitières dans l’ouest du Burkina Faso." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 1 (March 3, 2020): 27–35. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31841.

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Abstract:
Dans les élevages laitiers de l’ouest du Burkina Faso, la production de lait est limitée par un déficit fourrager en saison sèche. Cette étude visait à évaluer la faisabilité et la potentialité des banques fourragères arbustives (BFA) pour complémenter l’alimentation des vaches laitières en saison sèche avec un fourrage de bonne valeur nutritionnelle. Un travail de coconception, d’installation et d’exploitation de BFA, composées de Leucaena leucocephala et de Morus alba, a été réalisé dans trois élevages de bovins laitiers de l’ouest du Burkina Faso. Les trois BFA ont été plantées à haute densité, avec 20 000 plants.ha-1, en juillet 2016. La croissance a été rapide durant les sept premiers mois (saison des pluies et début de saison sèche). Au jour de plantation (jp) plus sept mois, L. leucocephala mesurait 145 ± 11 cm et M. alba 143 ± 72 cm. Puis, durant la saison sèche, la croissance s’est ralentie. Les caractéristiques du sol, le manque de pluies et la faible profondeur des lits de plantation expliquaient les différences de croissance observées selon les sites expérimentaux. Les attaques de termites (BFA3) et le passage du feu (BFA1) ont affecté le développement des BFA concernées sans les anéantir. La production de biomasse sur BFA2 et BFA3, cumulée sur les trois coupes d’exploitation (jp+13, jp+15 et jp+17-18 mois), a été plus élevée avec L. leucocephala (8,2 ± 2,6 t MS.ha-1) qu’avec M. alba (1,8 ± 2,3 t MS.ha-1). Le coût d’installation et d’exploitation de 625 m² de BFA a été de 896 188 FCFA (environ 1350 €). Des solutions sont à trouver pour les rendre financièrement plus accessibles aux éleveurs.
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Deffo, Victor, Sylvie Hounzangbe-Adote, Raphiou Maliki, and H. H. M. Ould Ferroukh. "Evaluation participative ex ante de propositions de la recherche. Cas d’application dans le sud du Togo." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 89. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10119.

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Abstract:
L’objectif de cette étude a été d’expérimenter une méthode d’évaluation participative d’options techniques au sud du Togo. Pour répondre aux besoins face aux problèmes de fertilité des sols dans un contexte de systèmes mixtes agriculture élevage, des chercheurs ont évalué avec les diverses catégories d’acteurs le potentiel d’adoption de l’association du maïs, plante à fonction mixte alimentaire (grain) et fourragère (paille), et du Mucuna pruriens, légumineuse à cycle long employée comme fourrage et pour améliorer la fertilité des sols. L’association fertilisée avec des engrais chimiques a été dénommée MME ci-après. La méthode utilisée a mobilisé des outils d’analyse de la méthode active de recherche participative (MARP) et a compris quatre phases. La première correspondait à la description générale de l’ensemble de la région d’étude pour identifier des sites représentatifs à partir de la littérature et d’entretiens exploratoires. La seconde phase a permis la caractérisation de la diversité des producteurs à partir d’entretiens auprès des personnes ressources des sites retenus. La troisième phase a concerné la sélection participative d’un éventail d’options techniques comprenant l’association MME mais aussi des pratiques locales présentant des similitudes avec l’association MME, ainsi que d’autres propositions alternatives de la recherche pour améliorer la fertilité des sols et assurer l’alimentation fourragère des animaux. Cette sélection a été réalisée par un échantillon de producteurs représentatifs de leur diversité. Il leur a été demandé de hiérarchiser les différentes options techniques présentées lors de visites de parcelles expérimentales ou à l’aide de supports visuels. Ils ont utilisé des notes ou des cailloux compte tenu de la forte proportion d’illettrisme. La quatrième phase a été celle de l’évaluation aux dires de producteurs des effets perçus des différentes options sur la gestion des ressources agropastorales (eau, sol, biodiversité), leur acceptabilité ou leur rentabilité en fonction du coût de la main d’oeuvre. Cette méthode a été appliquée dans trois villages du sud du Togo. Dans ces villages, six principales catégories de producteurs ont été identifiées : les propriétaires terriens, les locataires de terres, les membres d’organisations paysannes, les producteurs lettrés, les producteurs illettrés, et les femmes. En plus du MME, six options ont été retenues dont l’association MME avec des variantes issues de pratiques locales, soit l’association maïs et Mucuna à cycle long mais sans l’usage d’engrais (MM), l’association maïs et Mucuna à cycle court et à base d’engrais (MMCE), l’association maïs et Mucuna à cycle court sans l’usage d’engrais (MMC), et maïs en culture seul avec apport massif d’engrais (ME). Les deux autres options ont été proposées par la recherche : maïs entouré de haies vives de légumineuses fourragères destinées à du bétail en stabulation contrôlée et dont le fumier était ensuite épandu au champ (MHF), et culture en couloirs de maïs et de Cajanus cajan. L’association MME a été l’option préférée des propriétaires terriens, des lettrés et des membres d’organisations paysannes. Chez les femmes, l’option privilégiée a été l’association MM compte tenu de leurs faibles ressources financières mais aussi de leur insécurité foncière. Chez les locataires des terres et les producteurs illettrés, l’option favorite a été l’association MMCE qui permettait le maintien de la seconde saison de culture. L’évaluation des différentes options a montré que l’association MME et l’option MHF ont été jugées par la majorité des catégories de producteurs comme ayant les effets les plus positifs sur les ressources agropastorales. Les associations MME et MMCE ont été considérées comme étant les plus acceptables socialement, notamment chez les propriétaires terriens mais aussi chez les vulgarisateurs, les consommateurs et les commerçants également interrogés ; venait ensuite l’option MHF. La rentabilité a été la meilleure pour les associations MM et MME et la plus faible pour les deux autres alternatives proposées par la recherche. Cette méthode d’évaluation permet de valoriser l’expertise des producteurs. Elle repose sur la perception que les producteurs ont des effets des technologies. Une perception positive constitue un des premiers facteurs d’adoption d’une proposition de la recherche. Mais pour cela du temps et des outils appropriés doivent être consacrés à l’étape de formation des producteurs sur les différentes options pour que cette perception ne soit pas biaisée par la qualité de l’information donnée par le chercheur. Cette évaluation permet en outre d’identifier ou d’adapter des variantes locales aux options pré-identifiées par les chercheurs. Les efforts de recherche-développement doivent se concentrer sur les processus de ces adaptations participatives.
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Montagnini, Florencia, Muhammad Ibrahim, and Enrique Murgueitio Restrepo. "Systèmes silvopastoraux et atténuation du changement climatique en Amérique latine." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, no. 316 (June 1, 2013): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20528.

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Abstract:
La production de bétail fait partie de la culture des peuples et est importante pour la nutrition et le bien-être humain. Cependant, le bétail d'élevage conventionnel est une source de gaz à effet de serre (Ges). La séquestration du carbone dans la végétation et les sols peut être améliorée tandis que les émissions de Ges peuvent diminuer avec le pâturage contrôlé, des espèces fourragères appropriées, et l'utilisation de systèmes sylvopastoraux (Sps) combinant arbres, arbustes et pâturages. En outre, les Sps favorisent l'adaptation au changement climatique avec les effets améliorateurs des arbres sur les températures de l'air qui limitent le dessèchement des pâturages et améliorent le bien-être et la productivité des animaux. Plusieurs types de Sps sont très répandus dans les paysages agricoles de l'Amérique latine. Dans les Sps intensifs (Isps), comprenant des banques de fourrage avec des espèces ligneuses plantées à haute densité, les rendements sont supérieurs à l'élevage conventionnel, en raison d'une plus grande densité de bétail et du gain de poids plus élevé des animaux. Les recherches en Colombie, au Nicaragua et au Costa Rica montrent que les Sps ont plus de carbone dans la biomasse aérienne et dans les sols que dans les pâturages dégradés. Dans les Sps, le bois des arbres fruitiers, plantés ou de régénération naturelle, augmente les stocks de carbone et les taux de séquestration. Les espèces arborées locales peuvent être utilisées dans les Sps avec de bons résultats en termes de productivité, de restauration des sols, de séquestration du carbone et de conservation de la biodiversité. L'utilisation de Sps contribue à la séquestration du carbone dans les arbres et dans les sols, tandis que l'établissement des plantations forestières et la conservation des forêts secondaires augmentent la séquestration et le stockage du carbone à l'échelle du paysage. Les Sps et surtout les Isps peuvent contribuer à atténuer le changement climatique car ils peuvent avoir un bilan Ges positif. En Amérique latine, les Isps aux résultats positifs ont été adaptés à des niveaux régionaux. Des mesures incitatives telles que le paiement des services environnementaux ainsi que l'assistance technique peuvent stimuler l'adoption des Sps contribuant ainsi à l'atténuation du changement climatique tout en préservant les moyens de subsistance en milieu rural.
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Bodji, N. C. "Influence de la hauteur et du rythme de coupe sur la survie et la production fourragère de Cajanus cajan CIAT 18700." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, no. 4 (April 1, 1997): 309–12. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9562.

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Abstract:
Trois niveaux de coupe (50, 75 et 100 cm du sol) et l'exploitation des repousses à 4, 8 et 12 semaines d'âge en saison des pluies, ainsi qu'à 6 et 12 semaines en saison sèche, ont été testés sur une culture de Cajanus cajan. Cette expérimentation a permis de prouver l'influence de la hauteur de coupe et du rythme d'exploitation sur la biomasse foliaire de cette espèce ligneuse d'une part et sur la survie de la culture d'autre part. En saison des pluies, les rendements en matière sèche obtenus avec l'exploitation des repousses à 75 et 100 cm du sol étaient équivalents (p > 0,05). Toutefois, ils étaient supérieurs à ceux enregistrés avec la coupe à 50 cm (p < 0,05). En outre, la quantité de matière sèche des repousses de 8 semaines était plus élevée que celle à 4 et 12 semaines (p < 0,001) : l'estimation du rendement des repousses de 12 semaines a coïncidé avec le développement des organes de reproduction (fleurs et fruits) de la plante qui s'est accompagné d'une importante chute de feuilles. En saison sèche, le maximum de rendement en matière sèche a été obtenu à 12 semaines pour la coupe à hauteur de 100 cm du sol (en moyenne 400 kg.ha-1). Cette valeur était nettement inférieure à celle de la saison des pluies (3,5 t.ha-1). Par ailleurs, l'exploitation de Cajanus cajan à hauteur de 50 cm du sol a entraîné une mortalité élevée (25 %). Une bonne survie de la culture de Cajanus cajan CIAT 18 700 a été constatée lorsque la coupe était faite à 75 ou 100 cm (respectivement 4 et 9 % de plants morts seulement).
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Diawara, Mamadou Oumar, Pierre Hiernaux, Eric Mougin, Manuela Grippa, Claire Delon, and Hawa Salif Diakité. "Effets de la pâture sur la dynamique de la végétation herbacée au Sahel (Gourma, Mali) : une approche par modélisation." Cahiers Agricultures 27, no. 1 (January 2018): 15010. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2018002.

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Abstract:
Au Sahel, la végétation se compose d’une strate herbacée principalement composée de plantes annuelles et d’une strate ligneuse peu dense dominée par des épineux. Dans cette région, l’essentiel de la production fourragère a lieu entre juillet et septembre. Le disponible fourrager constitué au cours de cette courte période décroît durant les neuf mois de la saison sèche sous l’effet de plusieurs facteurs, dont la pâture des ruminants domestiques. Les effets de la pâture sur la dynamique saisonnière de la phytomasse herbacée ont fait l’objet de peu d’études au Sahel. La dynamique de saison sèche de la phytomasse herbacée sous l’effet de la pâture est simulée à l’aide du module « Patsec » du modèle STEP. Une étude de sensibilité du module Patsec à la composition spécifique, l’intensité et la saisonnalité de la charge compare les sorties du module aux observations faites en 2010–2011 sur trois sites pastoraux proches de Hombori à l’Est du Sahel malien. Les résultats montrent que le prélèvement fourrager par le bétail ne contribue que de façon secondaire à la « dégradation » saisonnière de la phytomasse herbacée. Par contre, les effets de la pâture sur le transfert des pailles dressées à la litière et l’enfouissement dans le sol de cette dernière sont nets. L’étude montre également qu’à charge égale exprimée en poids vif, la pâture par les bovins contribue moins au transfert paille-litière et à l’enfouissement de la litière que la pâture de petits ruminants, malgré l’importance du fourrage ligneux dans la ration des chèvres. Le modèle testé reproduit de façon satisfaisante la dynamique saisonnière de la phytomasse herbacée et peut servir d’outil de prévention des crises pastorales liées aux pénuries de fourrage en région sahélienne à travers un suivi de la charge animale et du disponible fourrager de saison sèche.
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MORAND-FEHR, P., and G. TRAN. "La fraction lipidique des aliments et les corps gras utilisés en alimentation animale." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 285–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3753.

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Abstract:
La fraction lipidique des fourrages et des aliments concentrés est généralement moins bien connue que leurs fractions glucidiques, protéiques et minérales. La teneur lipidique de ces aliments se mesure par le dosage de l’extrait éthéré selon deux procédés suivant qu’une hydrolyse à chaud est nécessaire ou non pour obtenir l’extraction la plus complète possible des lipides de l’aliment. Les fourrages ont une teneur en extrait éthéré de 2 à 12 % et un taux d’acide linolénique le plus souvent supérieur à 50 % des acides gras totaux. A mesure que la plante fourragère passe du stade jeune pousse au stade de maturité, les proportions des acides palmitique, stéarique et oléique augmentent alors que celle de l’acide linolénique diminue. L’article présente la composition en acides gras d’une vingtaine d’aliments concentrés parmi les plus utilisés en alimentation animale. Ces valeurs sont issues de quatre bases de données (AFZ, CVB, MAFF et Souci) et d’une synthèse bibliographique récente de Givens pour les huiles végétales. Les céréales et les graines protéagineuses ont des teneurs en extrait éthéré souvent assez faibles (1,2 à 2,2 %) sauf le maïs et les co-produits de meunerie, une proportion très élevée d’acide linoléique (plus de 50 % des acides gras totaux) et des proportions faibles d’acides gras saturés, dominé par l’acide palmitique. La composition en acides gras des graines oléagineuses est variable selon l’espèce. Les huiles et farines de poisson sont caractérisées par une proportion importante d’acides gras polyinsaturés contenant plus de 18 atomes de carbone. Les compositions lipidiques des graisses et farines issues d’animaux terrestres sont remarquables par leur richesse en acides saturés et leur très faible proportion d’acides polyinsaturés. Il existe une bonne concordance entre les valeurs des banques AFZ et CVB pour les céréales et les graines oléagineuses, et entre les valeurs AFZ, SOUCI et celles de Givens pour les huiles et les graisses animales. En revanche, la table MAFF présente quelques divergences avec les tables AFZ et CVB. Même si l’apparition des bases de données a permis d’accéder à une connaissance plus objective dans ce domaine, des progrès restent à faire sur les facteurs de variation des teneurs en extrait éthéré et de la composition en acides gras des aliments, ainsi que sur les proportions des acides gras mineurs et isomères des familles n-6 et n-3.
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Duru, M., and I. Calviere. "Influence de l'indice foliaire et des réserves en hydrates de carbone au moment de la coupe sur la croissance foliaire de deux graminées fourragères (Dactylis glomerata L. et Festuca arundinacea Schreb.)." Canadian Journal of Plant Science 76, no. 2 (April 1, 1996): 269–76. http://dx.doi.org/10.4141/cjps96-048.

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Abstract:
Leaf growth of two forage grasses (Dactylis glomerata L. and Festuca arundinacea Schreb.) was studied as a function of the sward state after a cut. Two heights of cut (3 and 6 cm) and a variable number of previous cuts were used to reach different residual leaf area index (IFr), and non-structural carbohydrate (CNS) concentration and quantity. For both species, four treatments were studied in 2 consecutive years. In mid-May for each of the species, the IFr ranged from 0 to 1, and the quantity of CNS varied from 12 to 25 g 100 g−1 DM according to the treatments. Over the 3 wk of regrowth, the IF reached values ranging from 1 to 7 and its increase depended on the IFr and the quantity of CNS. Among the three components of the quantity of CNS (weight of sheath per tiller, tiller density and CNS concentration), only the first two had a significant effect on the IF increase. Tiller mortality occurred when the quantity of CNS or the IFr were the lowest and it contributed little to the growth of lower leaves. No significant differences were found between the two species. Key words: carbohydrates, leaf area index, tiller, cut
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Obulbiga, M. F., C. A. T. Gava, V. Bougouma, H. O. Sanon, D. Kocty, D. Kiemde, A. Coulibaly, and M. Diallo. "Effet du type de bouture de la palme fourragère (Opuntia ficus-indica (L.) Mill) sur la capacité de reprise et le développement de la plante sous conditions pluviales au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 12, no. 3 (November 9, 2018): 1199. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v12i3.10.

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Lamidi, A. A., and S. J. Akpodee. "Effects of age and plant location on agronomic indices, dry matter yield and nutrients composition for Mucuna pruriens (L) Var. Cream established under silvopastoral system." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 2 (March 8, 2022): 225–34. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i2.3483.

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Abstract:
Forage legume has been used to improved pasture for livestock production. Integration of pasture and forest tree has been advocated, this study investigated the agronomic performance, dry matter yield and proximate composition for velvet beans (Mucuna pruriens) established under silvopastoral system in humid tropics were assessed. The experiment was a 2 x 3 factorial arrangement fitted into a completely randomize design, comprising of two stages of growth and three different plant location (plain plot i.e. control, Annona muricata plantation and Irvingia gabonensis plantation). Agronomic indices, dry matters yield (DMY) and proximate composition were monitored. Results showed no significant (P>0.05) differences in all the agronomic indices (plant height (PH), leaf number (LN), leaf length (LL), leaf breath (LB) and leaf area (LA) across the plant locations. Significant (P<0.05) influence was observed for PH, LN, LL,LB and LA across the stages of growth. Mucuna established on Annona muricata plantation had higher (P<0.05) DMY (6.66 t/h) but similar (P>0.05) to the mucuna established on plain plot (control) (6.14 t/h). Similar (P>0.05) DMY was also recorded for plain plot (6.14 t/h) and Irvingia gabonensis plantation (5.74 t/h). The mucuna harvested at 16 weeks after sowing (WAS) had highest (P<0.05) DMY (8.54 t/h) compared to 10 WAS (3.84 t/h). There were no significant effects plant locations on dry matter(DM) content, crude protein (CP), ether extract (EE) and ash. More so, similar (P>0.05) contents of DM, CP and EE were observed across the stages of growth. Higher (P<0.05) ash content (8.95%) was recorded at 10 WAS, least (8.15%) was observed at 16 WAS. Conclusively, establishment of forage legume Mucuna pruriens within forest plantation does not negatively affect the agronomic performance, dry matter yield and proximate composition, it is therefore recommended for famers to established Mucuna pruriens alongside with forest plantation i.e. silvopastorial farming system, harvesting is also encouraged at 16 WAS. Le légumineux de fourrage a été utilisé pour améliorer les pâturages pour la production de bétail. L'intégration du pâturage et de l'arbre forestier a été préconisée, cette étude a examiné la performance agronomique, le rendement en matière sèche et la composition proximité des haricots de velours (Mucunapruriens) établis dans un système sylvopastoral dans des tropiques humides ont été évaluées. L'expérience était un arrangement de 2 x 3 facteurs intégré dans une conception complètement randomisée, comprenant deux étapes decroissance et trois emplacements d'usine différents (parcelle uni.e. Contrôle, plantation d'AnnonaMuricata et plantation d'IrvingiaGabonensis). Les indices agronomiques, le rendement des questions sèches (RQS) et la composition proximité ont été surveillés. Les résultats n'ont montré aucune différence significative (p> 0,05) dans tous les indices agronomiques (hauteur de la plante (HP), nombre de feuilles (NF), longueur de la feuille (LP), souffle de feuilles (SF) et zone de la feuille (ZF) à travers les emplacements des plantes. Une influence significative (p <0,05) a été observée pour HP, SF, LF, SF et LApart des étapes de la croissance. Le mucuna créé sur AnnonaMuricata Plantation avait plus haut (p <0,05) RQS (6,66 t / h) mais similaire (p> 0,05) au mucuna établi sur une parcelle unie (6,14 t / h). Similaire (p> 0,05) RQS a également été enregistré pour une parcelle unie (6,14 t / h) et plantation d'irvingiagabonensis (5,74 t / h). Le mucuna récolté à 16 semaines après l'ensemencement (8,54 t / h) (P <0,05) par rapport à 10 était (3,84 t / h). Il n'y avait pas d'effets significatifs des emplacements d'usine sur la teneur en matière sèche (MS), brut protéine (BP), extrait d'éther (EE) et cendres. Plus d'informations similaires (P> 0,05) de MS, BP et EE ont été observées à travers les étapes de la croissance. La teneur en cendres supérieure (p <0,05) (8,95%) était enregistré à 10 WAS, le moins (8,15%) était observé D à 16 WAS. Conclusivement, la mise en place de la légumineuse fourragère Les pruriens au sein de la plantation forestière ne touchent pas négativement la performance agronomique, le rendement de la matière sèche et la composition proximité, il est donc recommandé aux familles de créer des pruriens de Mucuna, ainsi que de plantation forestière, c'est-à-dire du système d'agriculture sylvopastoriale, la récolte est également encouragée à 16 semaines après le semis.
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Farouq, BERGHOUTI, CHEHMA Abdelmadjid, and HUGUENIN Johann. "Évaluation et amélioration de la germination de trois espèces spontanées pastorales pour le dromadaire au Sahara algérien." Journal of Applied Biosciences 170 (February 28, 2022): 17669–79. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.170.1.

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Abstract:
Objectif : En plus de leur importance écologique et médicinale, les plantes autochtones de l’écosystème saharien ont aussi un grand intérêt pastoral. Genista saharae (Merkh), Nitraria retusa (Ghardak) et Randonia africana (Tagtag ou godm), sont considérées parmi les espèces vivaces des parcours sahariens qui sont les plus broutées par Camelus dromedarius, L’objectif de cette étude est d’évaluer et d’améliorer le pouvoir germinatif des graines de ces espèces afin de les utiliser pour effectuer des régénérations ou de l’optimisation de la productivité des parcours sahariennes. Méthodologie et Résultats : Des expériences au laboratoire ont permis d’évaluer la germination des graines de ces espèces, et d’étudier l’effet des prétraitements par scarification mécanique et chimique sur les paramètres de germination des semences de ces espèces. Les résultats obtenus ont montré des inhibitions tégumentaires à la germination des graines des espèces étudiées. L’emploi du prétraitement par la scarification mécanique a nettement amélioré le taux et la vitesse de germination des trois espèces. L’effet positif du prétraitement par scarification chimique est observé sur les propriétés germinatifs des graines de Genista saharae et Randonia africana. Cependant, chez Nitraria retusa, les graines apparaissent très sensibles à ce traitement et n'ont pas germé. Conclusion et application des résultats : Les résultats obtenus pourraient fournir aux services concernés des méthodes pratiques et efficaces afin de surmonter le problème de dormance tégumentaire lors d’un éventuel programme d’amélioration de la végétation de parcours sahariens en ayant notamment recours à des plantations d’espèces autochtones élevées en pépinière afin de densifier la végétation fourragère. Mots clé : Parcours sahariens camelins, Espèces spontanées, Germination, Inhibition tégumentaire, Scarification, Dormance, Algérie. Evaluation and improvement of the germination of three spontaneous pastoral species for dromedary in the Algerian Sahara ABSTRACT Objective: In addition to their ecological and medicinal importance, the indigenous plants of the Saharan ecosystem are also of great pastoral interest. Genista saharae (Merkh), Nitraria retusa (Ghardak) and Randonia africana (Tagtag ou godm), are considered among the perennial species of the Saharan rangelands that are most browsed by Camelus dromedarius. The objective of this study is to evaluate and improve the germination capacity of the seeds of these species in order to use them for regeneration or optimization of the productivity of the Saharan rangelands. Methodology and Results: Experiments in the laboratory evaluated the germination of seeds of these species, and to study the effect of pre-treatments by mechanical and chemical scarification on the parameters of germination of seeds of these species. The results obtained showed integumentary inhibitions to seed germination of the studied species. The use of pre-treatment by mechanical scarification significantly improved the germination rate and speed of the three species. A positive effect of pre-treatment by chemical scarification was observed on the germination properties of seeds of Genista saharae and Randonia africana. However, in Nitraria retusa, the seeds appeared very sensitive to this treatment and did not germinate. Conclusion and application of the results: The results obtained could provide the services concerned with practical and effective methods for overcoming the problem of integumentary dormancy in a possible programme to improve the vegetation of Saharan rangelands, in particular by resorting to plantations of indigenous species raised in nurseries in order to densify the fodder vegetation. Keywords: Saharan camel rangeland, Spontaneous species, Germination, Inhibition, Scarification, Dormancy, Algeria.
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BAUMONT, René, Virginie DECRUYENAERE, Gaëlle MAXIN, Benoît ROUILLÉ, Valérie HEUZÉ, and Gilles TRAN. "Valoriser une diversité de biomasses pour répondre aux enjeux techniques, environnementaux et sociétaux des élevages de ruminants." INRAE Productions Animales 36, no. 1 (May 5, 2023). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2023.36.1.7478.

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Abstract:
À travers l’importance des surfaces valorisées (plus de la moitié de la surface agricole française) et l’importation d’une partie des matières premières riches en protéines, l’alimentation des ruminants est au cœur des enjeux techniques, économiques, environnementaux et sociétaux des élevages. Le changement climatique affecte déjà les calendriers fourragers et les ressources alimentaires disponibles. Face à ces enjeux, de nombreux leviers existent soit pour adapter les ressources existantes soit pour développer de nouvelles ressources. Ils reposent notamment sur l’adaptation des prairies (introduction d’espèces résilientes au changement climatique) et de leur gestion, l’utilisation des mélanges céréales-protéagineux, des dérobées estivales, des plantes à photosynthèse en C4 et le développement de l’agroforesterie. La diversification des systèmes de cultures rendue nécessaire par la réduction des engrais et pesticides de synthèse devrait fournir de nouvelles ressources à l’élevage (légumineuses fourragères et à graines, intercultures). De nouveaux procédés technologiques, comme le bio-raffinage offrent des perspectives comme une meilleure valorisation des coproduits des industries agroalimentaires. L’utilisation des insectes comme source protéique n’est pas encore autorisée en élevage de ruminants dans l’UE. Celle des algues pose la question des volumes nécessaires pour alimenter des ruminants, mais elles offrent des perspectives en tant qu’additifs alimentaires pour réduire les émissions de méthane entérique. Caractériser ces nouvelles ressources alimentaires pose de nombreuses questions de recherche et de développement. Cela nécessite de collecter un nombre suffisant de nouvelles données par les méthodes de référence d’évaluation des aliments in vivo pour conforter les bases de données, construire les tables de valeur alimentaire et développer les outils de prévision.
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"Leguminous forage crops Légumineuses fourragères." EPPO Bulletin 32, no. 2 (August 2002): 407–21. http://dx.doi.org/10.1046/j.1365-2338.2002.00573.x.

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Rakotomanga, Diane, Éric Blanchart, Bodovololona Rabary, Richard Randriamanantsoa, Malalatiana Razafindrakoto, and Patrice Autfray. "Diversité de la macrofaune des sols cultivés sur les Hautes-Terres de Madagascar." BASE, 2016, 495–507. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.13314.

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Abstract:
Description du sujet. L’article traite de la macrofaune du sol, composante clé du fonctionnement biologique du sol. Objectifs. Cette étude, réalisée en 2015, a eu pour objectif de tester l’effet de pratiques culturales et de systèmes de culture sur la macrofaune du sol dans une zone d’agriculture-élevage des Hautes-Terres de Madagascar. Cinq systèmes de culture ont été étudiés : cultures annuelles labourées annuellement avec apport de fumier modéré (LAMF) ou élevé (LAEF), cultures fourragères pérennes sans labour et avec apport de fumier élevé (CFEF), cultures annuelles en agriculture de conservation sans labour et apport de fumier modéré (ACMF) et pâturages permanents, non labourés et sans apport de fumier (PP0F). Méthode. Pour chaque système de culture, 12 parcelles d’expérimentation ou d’exploitation agricole ont fait l’objet d’un échantillonnage de la macrofaune du sol avec cinq monolithes de sol par parcelle, sur 30 cm de profondeur. Résultats. Cinquante-deux espèces d’invertébrés, classées en 15 ordres taxonomiques et 6 groupes fonctionnels, ont été identifiées. Pour les cultures annuelles sans labour, l’absence de travail du sol a favorisé la diversité taxonomique et la densité de la macrofaune, n’a pas réduit la densité des vers blancs (larves de Coléoptères Scarabeoideae) rhizophages mais a entrainé une diminution des densités de vers de terre par rapport au mode de culture fourragère. En systèmes labourés, l’intensité d’application du fumier n’a eu d’effet ni sur les vers blancs ni sur les vers de terre. Conclusions. Cette étude sur la macrofaune du sol dans cette région de Madagascar a permis de mieux percevoir les pratiques et les systèmes les plus favorables aux invertébrés utiles (comme les vers de terre) et plus défavorables aux invertébrés nuisibles (comme les vers blancs). Ceci permettra d’orienter les paysans dans la gestion de leurs terres.
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Cherifi, Kouider, Amar Bouker, Mohammed Benabbou, Djillali Guemour, and Okkacha Hasnaoui. "Influence du pâturage sur la phytodiversité et la variation de la composition chimique de cinq plantes broutées dans le mont de Tessala (Algérie nord occidentale)." Acta Botanica Malacitana 46 (July 11, 2021). http://dx.doi.org/10.24310/abm.v46i.11929.

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Abstract:
Le but de notre travail est d’évaluer l’impact du pâturage sur la biodiversité végétale des monts de Tessala. Pour cela, six (06) stations situées sur les versants nord et sud de la zone d’étude ont été échantillonnées. Sur chaque station une étude floristique et des analyses pédologiques sont effectuées afin de dégager les principaux facteurs qui interviennent dans la répartition de la végétation. En plus, des enquêtes sur terrain ont été menées afin de réaliser une analyse fourragère et de faire ressortir l’impact du facteur suscité. Dans ce contexte, nous avons comparé l’offre fourragère de cinq espèces appartenant aux familles suivantes: Poaceae, Fabaceae, Plantaginaceae et Papaveraceae, cette comparaison a aboutit à un déficit de 18630,27 UFL, c'est-à-dire un manque de 22975,07 kg de matière sèche pour les six stations. L’analyse factorielle des correspondances (AFC) nous a permis d’identifier deux groupes de stations: le premier groupe (G1) est représenté par les stations S2, S5, et S6 dont l’impact du pâturage est faible parfois moyen. Le deuxième (G2) représente les stations les plus pâturées S1, S3 et S4, reflétant ainsi une banalisation du cortège floristique de ces dernières.
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Seguin, Philippe, Elise Smedbol, and Valérie Gravel. "Impact de la régie sur la productivité et la valeur nutritive de prairies d’alpiste roseau dans le littoral du lac Saint-Pierre." Canadian Journal of Plant Science, August 24, 2022. http://dx.doi.org/10.1139/cjps-2022-0113.

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Abstract:
L’alpiste roseau (Phalaris arundinacea L.) est une espèce adaptée au littoral du lac Saint-Pierre. Elle peut être utilisée comme source de fourrage et sa biomasse résiduelle en fin de saison peut être utilisée par les poissons pour y déposer leurs œufs lors de la crue printanière. Une régie plus intensive favorise la production fourragère (6974 kg MS/ha), tandis qu’une régie moins intensive produit des rendements en fourrages moindres (2600 kg MS/ha) mais maximise la biomasse résiduelle à l’automne (6271 kg MS/ha). La régie à favoriser dans le littoral devra tenir compte des besoins agricoles et des besoins fauniques.
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Babayemi, O. J., and A. A. Adebayo. "Assessment of nutritive value of selectively grazed forbs by cattle in communal grazing land of Ido Local Government Area, Oyo state, Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020). http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1264.

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Abstract:
Forbs subsidize to nutrients pool of cattle grazing heterogeneous native land. They have sustainability potential to balance nutrients deficiency of tropical grasses that dominate unimproved grazing land. Therefore, selectively grazed forbs by cattle were evaluated with respect to their nutritive value and forage quality indices. Forbs selectively grazed were determined for their chemical composition (g/100g DM), metabolisable energy (ME, MJ/Kg DM) and in-vitro organic matter digestibility (IVOMD %) using Near Infra-Red Spectroscopy (NIRS). In vitro gas production at 24 h incubation, Organic Matter Digestibility (OMD) and Short Chain Fatty Acids (SCFA) were assessed. The Relative Feed Value (RFV) and Relative Forage Quality (RFQ) of the forbs were estimated using standard procedure. Data were analysed using descriptive statistics. Forbs selectively grazed by cattle were; Euphorbia heterophylus, Platosoma africanum, Ipomea triloba, Altherathania sessilis, Sida cordifolia, Tithonia diversifolia, Boerhavia diffusa, Sida acuta, Tridax procumbens, Talinum fruticosum, Phyllanthus amarus, Aspilla africana, Acalypa fimbriata and Euphorbia hirta. Crude Protein (CP) content ranged from 9.30% in A. sessilis to 28.69% in P. Africana. The CP values differed significantly (p<0.05) amongst the forb species. The ME ranged from 6.18 in T diversifolia to 8.99 in T procumbence while, IVOMD ranged from 48.29 in A. fimbriata to 65.67 in T. diversifolia showing that the grazed forbs differed significantly (p<0.05) from each other. OMD differed significantly (p<0.05) among the forbs while, SCFA did not differ (p>0.05). RFV and RFQ ranged from 85.63 to 66.48 and 66.48 60 217.89 in A. sessilis and T diversifolia, respectively. The findings from this study revealed forbs are enriched in nutrients, have the potential to supply requested nutrients to grazing cattle because of their great forage quality indices and high degradability. Les Forbs subventionnent le 'pool' de nutriments du bétail paissant sur des terres indigenes hétérogènes. Ils ont un potentiel de durabilité pour équilibrer les carences en nutriments des herbes tropicales qui dominent les pâturages non améliorés. Par conséquent, les plantes broutées sélectivement par les bovins ont été évaluées en fonction de leur valeur nutritive et des indices de qualité du fourrage. Les plantes broutées de manière sélective ont été déterminées pour leur composition chimique (g / 100 g MS), leur énergie métabolisable (EM, MJ / Kg MS) et leur digestibilité in vitro de la matière organique (in-vitro organicmatterdigestibility – le 'IVOMD'%) à l'aide de la spectroscopie proche infrarouge (SPIR). La production de gaz in vitro à 24 h d'incubation, la digestibilité de la matière organique (DMO) et les acides gras à chaîne courte (Le Short Chain FattyAcids- le SCFA) ont été évalués. La valeur relative de l'alimentation (VRA) et la qualité relative du fourrage (QRF) des fourrages ont été estimées en utilisant la procédure standard. Les données ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives. Forbs broutés sélectivement par le bétail étaient ;Euphorbiaheterophylus, Platosomaafricanum, Ipomeatriloba, Altherathaniasessilis, Sida cordifolia, Tithoniadiversifolia, Boerhavia diffusa, Sida acuta, Tridaxprocumbens, Talinumfruticosum, Phyllanthus amarus, Aspillaafricorbana, Acalypafimbriata et Euphorbana. La teneur en protéines brutes (CP) variait de 9.30% chez A. sessilis à 28.69% chez P. Africana. Les valeurs de CP diffèrent significativement (p <0.05) parmi les espèces interdites. Le ME variait de 6.18 dans T diversifolia à 8.99 dans T procumbence tandis que l'IVOMD variait de 48.29 dans A. fimbriata à 65.67 dans T. diversifolia montrant que les plantes broutées différaient significativement (p <0.05) les unes des autres. DMO différait significativement (p <0.05) parmi les forbs tandis quele'SCFA' ne différait pas (p> 0.05). La VRA et la QRF allaient de 85.63 à 66.48 et 66.48 60 217.89 chez A. sessilis et T diversifolia, respectivement. Les résultats de cette étude ont révélé que les plantes herbacées sont enrichies en nutriments et elles ont le potentiel de fournir les nutriments requis aux bovins de pâturage en raison de leurs excellents indices de qualité fourragère et de leur haute dégradabilité.
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Koutou, Mahamoudou, Mamadou Sangaré, Michel Havard, Aurélie Toillier, Lacina Sanogo, Taladidia Thombiano, and Davo Simplice Vodouhe. "Sources de revenus et besoins d’accompagnement des exploitations agricoles familiales en zone cotonnière ouest du Burkina Faso." BASE, 2016, 42–56. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.12648.

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Abstract:
Description du sujet. Dans la zone cotonnière ouest du Burkina Faso, la variabilité et la diversité des revenus des exploitations agricoles familiales (EAF) demandent pour ces dernières des accompagnements appropriés. Objectifs. Cet article rend compte de cette diversité et des besoins d’accompagnement selon les types d’EAF identifiés. Méthode. Les données ont été collectées par la méthode active de recherche participative et par enquête auprès d’un échantillon raisonné de 120 exploitations dans la commune de Koumbia. Une analyse en composante principale avec des indicateurs économiques de l’EAF suivie d’une classification ascendante hiérarchique ont été appliquées. Les caractéristiques structurelles, les pratiques de production agro-pastorales, les perceptions des chefs d’EAF sur les contraintes et opportunités de production agropastorale ont été comparées par une analyse de variance. Résultats. Les résultats montrent trois types d’exploitations : les exploitations à faible revenu culture (agriculteurs), à fort revenu culture (agro-éleveurs) et à revenu élevage (éleveurs). À la lumière de leurs structures, pratiques de production, performances technico-économiques et opportunités de production agricole, leur accompagnement peut porter sur plusieurs innovations durables communes ou spécifiques des types identifiés. Des accompagnements sur la gestion des ressources de l’exploitation, les bonnes pratiques de gestion de la fertilité des sols et des animaux sont communs aux trois types d’EAF. Les cultures fourragères, l’embouche et la production laitière sont spécifiques aux agro-éleveurs et éleveurs. L’amélioration de la valeur nutritive des résidus de cultures et l’entretien des bœufs de trait conviennent plus aux agriculteurs. Conclusions. Pour réussir, le processus d’accompagnement doit prendre en compte ces spécificités et la notion de durabilité.
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Amghar, Fateh, Estelle Langlois, Estelle Forey, and Pierre Margerie. "La mise en défens et la plantation fourragère : deux modes de restauration pour améliorer la végétation, la fertilité et l’état de la surface du sol dans les parcours arides algériens." BASE, 2016, 386–96. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.12576.

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Abstract:
Description du sujet. Ces quatre dernières décennies ont été marquées par la lutte contre la désertification et la protection des écosystèmes steppiques, devenues des priorités en Algérie. Plusieurs modalités de restauration ont été retenues pour gérer, voire restaurer les parcours steppiques sensibles. Objectifs. L’étude menée vise à quantifier l’effet de deux techniques de restauration (mise en défens et plantation fourragère) quatre ans après leur mise en place sur le recouvrement par la végétation, les paramètres physico-chimiques du sol et l’état de sa surface dans des parcours arides algériens initialement dégradés. Méthode. Trois-cent-douze relevés phytoécologiques et pédologiques ont été effectués quatre ans après la mise en œuvre de la gestion (plantation + mise en défens ou mise en défens seule) ainsi que sur des parcelles non aménagées. Des paramètres descripteurs de la végétation, les éléments de la surface du sol et les paramètres chimiques des horizons de surface ont été mesurés pour chaque modalité de traitement. Résultats. De nombreux paramètres phytoécologiques et édaphiques sont significativement différents dans les espaces restaurés par rapport aux espaces non aménagés, particulièrement les taux d’azote total et de matière organique. Les paramètres granulométriques sont stables. Conclusions. Notre étude montre que les deux techniques de restauration dans les régions arides permettent en un temps relativement court (quatre ans) une amélioration des propriétés physico-chimiques du sol. Nous suggérons l’utilisation du pourcentage de la surface du sol sous forme d’éléments grossiers comme indicateur de l’état de restauration du système et comme aide à la décision de rouvrir au pâturage les surfaces restaurées.
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