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Journal articles on the topic 'Plantes – Parasites – Lutte contre'

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Benhamou, N., and K. Picard. "La résistance induite : une nouvelle stratégie de défense des plantes contre les agents pathogènes." Article de synthèse 80, no. 3 (April 12, 2005): 137–68. http://dx.doi.org/10.7202/706189ar.

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Abstract:
Tout au long de leur co-évolution, les plantes et les microorganismes pathogènes ont développé des relations complexes résultant d'un échange constant d'informations moléculaires. Les agents pathogènes ont élaboré toute une gamme de stratégies offensives pour parasiter les plantes et en contrepartie, les plantes ont déployé un arsenal défensif similaire à bien des égards aux défenses immunitaires animales. Les percées récentes en biologie moléculaire et en transformation des végétaux ont démontré que sensibiliser une plante à répondre plus rapidement à l'infection pouvait lui conférer une protection accrue contre des microorganismes virulents. Un aspect important dans la mise en évidence du rôle joué par les molécules de défense au niveau de l'expression de la résistance est une connaissance exacte de leur localisation spatio-temporelle dans les tissus en état de stress. Afin de cerner le processus associé à l'induction de résistance chez les plantes, l'effet d'éliciteurs biologiques, microbiens et chimiques sur la réponse cellulaire des plantes envers une attaque pathogène a fait l'objet d'investigations et les mécanismes impliqués dans le phénomène ont été étudiés. Dans tous les cas, il a été montré qu'une corrélation existait entre la réponse globale de la plante et des changements dans la biochimie et la physiologie des cellules, lesquels étaient accompagnés de modifications structurales incluant la formation d'appositions pariétales riches en callose et l'infiltration de composés phénoliques aux sites de pénétration potentielle par l'agent pathogène. L'activation du sentier des phénylpropanoïdes est un phénomème crucial dans la restriction de la croissance de l'agent pathogène et dans la survie des cellules-hôtes en conditions de stress. Bien qu'il n'existe que peu d'exemples d'application pratique de la résistance induite en tant que méthode de lutte contre les maladies des plantes, les résultats obtenus à partir de quelques expériences menées en plein champ et en serre sont encourageants et indiquent que cette approche a le potentiel de devenir une stratégie de lutte efficace et durable contre toute une gamme d'agents pathogènes.
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Kanika, Idriss Tourgou, Christophe Djekota Ngarmari, and Elvire Hortense Biye. "Caractérisation de l’infestation de Tapinanthus dodonaeifolius (Loranthaceae) chez le karité (Vitellaria paradoxa) au Tchad." Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica 23 (December 11, 2020): 27–32. http://dx.doi.org/10.21248/fvss.23.58.

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Abstract:
Au Tchad, à cause de ses retombées financières une attention particulière est prêtée aux arbres à karité (Vitellaria paradoxa C.F.Gaertn.). Cependant, cette culture est menacée par les plantes vasculaires parasites de la famille des Loranthaceae. La présente étude a été effectuée dans 3 sites dans la région du Mandoul pour évaluer l’ampleur des attaques de Loranthaceae (gui africain) sur des arbres en fonction des classes de circonférence du tronc à 1,5 cm du sol. Elle a consisté à dénombrer sur une de surface, les arbres à karité infestés et les touffes de parasites rencontrées sur ces arbres, afin de déterminer leur taux et leur intensité d’infestation. Les résultats obtenus montrent que Tapinanthus dodonaeifolius (DC) Danser a été trouvée comme la seule espèce de Loranthaceae qui parasite les arbres karité étudiés dans la zone d’étude. Le taux moyen d’infestation estimé à 73% augmente avec l’âge des arbres karité. La moyenne d’intensité de l’infestation/arbre (2,75 touffes à Békôh, 2,27 à Yomi and 2,04 à Bébopen) montre que Tapinanthus dodonaeifolius constitue une réelle menace pour les peuplements de karité dans la zone d’étude. Il reste à rechercher le seuil d’infestation qui provoque une réduction significative de la fructification. Pour l’instant, bien que pénible à cause de la hauteur des arbres adultes, la lutte mécanique contre les Tapinanthus par la coupe systématique des branches infestées est urgente dans les parcs à karité dans cette zone d’étude.
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Boussienguet, J., P. Neuenschwander, and H. R. Herren. "Essais de lutte biologique contre la Cochenille du manioc au Gabon: I. — Établissement, dispersion du parasite exotiqueEpidinocarsis lopezi [Hym.: Encyrtidae] et déplacement compétitif des parasites indigènes." Entomophaga 36, no. 3 (September 1991): 455–69. http://dx.doi.org/10.1007/bf02377952.

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Savadogo, Abdoulaye, Boniface Babo Bakouan, Mathieu Wendnéyidé Sawadogo, Karim Nébié, Rémy Dabiré, Djakaria Son, Irénée Somda, et al. "Distribution et dégâts associés au thrips de l’oignon, Thrips tabaci L. (Thysanoptera : Thripidae) en fonction de la zone agro-climatique au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 6 (October 6, 2020): 2037–48. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i6.9.

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Abstract:
L’oignon est le premier légume produit au Burkina Faso. Thrips tabaci constitue son principal insecte ravageur. Ce travail avait pour objectif d’évaluer la distribution, l’incidence et la sévérité des attaques de T. tabaci sur l’oignon. L’étude a été réalisée dans trois bassins de production représentatifs de deux zones agroécologiques du Burkina Faso : la zone sahélienne caractérisée par une pluviosité moyenne annuelle inférieure à 600 mm et une température moyenne annuelle de 35 °C ; contre une pluviosité moyenne annuelle comprise entre 600 et 900 mm et une température moyenne annuelle de 33 °C pour la zone nord soudanienne Nous avons réalisé des prospections dans 45 parcelles paysannes dans les zones de production ciblées. Des plantes d’oignon ont été prélevées dans trois quadrats posés sur une des diagonales de chaque parcelle, et les thrips trouvés sur chaque plante de chaque quadrat comptés. Tous les plants à l’intérieur du quadrat ont été donc observés. La densité moyenne la plus élevée (216 ±385 thrips au m2) a été observée dans la région du Nord tandis que l’incidence moyenne la plus élevée (95,91±8,92%) a été observée dans la Boucle du Mouhoun. La plus faible sévérité (19,29±13,27%) a été enregistrée dans le Plateau central. Cette étude est un premier pas vers le développement de stratégies alternatives de lutte contre les parasites dans le cadre de systèmes de production végétale durables à l’aide de bonnes pratiques agricoles et de l’utilisation des pesticides biologiques.Mots clés : Oignon, Thrips tabaci, incidence, sévérité, répartition, Burkina Faso. English Title: Distribution and damage associated with the onion thrips, Thrips tabaci L. (Thysanoptera: Thripidae) according to the agro-climatic zone in Burkina FasoOnion is the first vegetable produced in Burkina Faso. Thrips tabaci is its main insect pest. We assessed the distribution, incidence and severity of T. tabaci attacks on onion in three-production areas representative of two agroecological zones of Burkina Faso: the the Sahelian zone characterized by an average annual rainfall of less than 600 mm and an average annual temperature of 35 °C; compared to an average annual rainfall of between 600 and 900 mm and an average annual temperature of 33 °C for the northern Sudanian zone. We carried out surveys in 45 farmer plots in the targeted production zones. Thus, onion plants were taken from three quadrats placed on one of the diagonals of each plot, and the thrips found on each plant were counted. All plants within the quadrat were therefore observed. The highest average density (216±385 thrips per m²) was observed in the North while the highest average incidence (95.91±8.92%) was observed in the Boucle du Mouhoun. The lowest severity (19.29±13.27%) was recorded in the Plateau central region. This study is a first step towards the development of alternative pest control strategies within sustainable crop production systems using good agricultural practices and the use of biopesticides.Keywords: Onion, Thrips tabaci, incidence, severity, distribution, Burkina Faso.
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Uilenberg, Gerrit. "Lutte intégrée contre les parasitoses animales tropicales." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 2 (February 1, 1996): 124–29. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9529.

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Abstract:
Dans le passé, la lutte contre les parasites était essentiellement basée sur l'utilisation de médicaments et de pesticides. La tendance actuelle est vers une approche plus flexible, intégrant divers autres moyens de combattre ces pathologies. Les raisons principales de cette évolution sont les suivantes : - apparition de résistances des parasites aux composés utilisés ; - ralentissement du développement de nouveaux composés pour compenser ce phénomène de résistance (réglementation de plus en plus stricte sur la toxicité et les résidus) ; - accroissement des coûts des nouveaux produits pour l'utilisateur ; - problèmes liés à la toxicité, à la pollution de l'environnement et aux résidus dans les produits d'origine animale. La gestion intégrée des moyens de lutte contre les parasites utilise, dans la mesure du possible, la lutte biologique et mécanique, la résistance acquise et innée de l'hôte du parasite, ainsi que des procédures mécaniques, sanitaires et réglementaires, même si la lutte chimique ne peut que rarement être complètement abolie.
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Boussim, Joseph I., and Nayéré Médah. "Méthodes de lutte contre les Loranthaceae." Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica 12 (January 1, 2009): 27–35. http://dx.doi.org/10.21248/fvss.12.9.

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Abstract:
Les Loranthaceae posent un problème majeur à l’amélioration et à la pérennisation de la production fruitière du karité (Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn) en Afrique de l’Ouest. Cet´article présente les resultats des investigations faites en vue d’identifier des méthodes de contrôle des parasites. Deux types d’essais ’’au champ’’ ont été effectués et ont donné des résultats prometteurs: la destruction mécanique et les traitements par herbicides. Additionellement ont été identifiées des variétés résistantes et quelques possibilités de la lutte biologique.
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Regnault-Roger, Catherine, and Abdelaziz Hamraoui. "Lutte contre les insectes phytophages par les plantes aromatiques et leurs molécules allélochimiques." Acta Botanica Gallica 144, no. 4 (January 1997): 401–12. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.1997.10515779.

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Tartier, Léon-M., Valérie Gravel, Carole Martinez, and Russell J. Tweddell. "La Société de protection des plantes du Québec, 1908-2008." Phytoprotection 89, no. 2-3 (November 20, 2009): 113–14. http://dx.doi.org/10.7202/038240ar.

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Abstract:
À l’aide de documents écrits et d’archives, l’histoire de la Société de protection des plantes du Québec (SPPQ) est retracée tout au cours de son existence. Son but et ses objectifs sont décrits ainsi que les moyens employés pour protéger les plantes et lutter contre leurs ennemis. Au cours de son existence, la SPPQ a contribué, par ses congrès annuels et directement par ses membres, à faire avancer la lutte aux ennemis des cultures. Ses publications ont aussi mené au développement d’outils qui ont aidé à mieux connaître et à identifier les insectes, les maladies et les mauvaises herbes qui affectent les cultures et les forêts.
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Yolidje, Issoufou, Djibo Alfa Keita, Idrissa Moussa, Abdoulaye Toumane, Sahabi Bakasso, Karim Saley, Tilman Much, Jean-Luc Pirat, and Jean Maurille Ouamba. "Enquête ethnobotanique sur les plantes utilisées traditionnellement au Niger dans la lutte contre les moustiques vecteurs des maladies parasitaires." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 2 (May 12, 2020): 570–79. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i2.21.

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Abstract:
Le paludisme apparaît comme la plus vieille et la plus meurtrière des maladies tropicales. A travers le monde, de nombreux peuples ont utilisé traditionnellement des plantes pour lutter contre cette maladie. Pour contribuer à la lutte préventive contre le paludisme, une enquête ethnobotanique a été menée à Niamey au près des 40 tradipraticiens afin inventorier les plantes spontanées présumées avoir des activités insecticides. Il ressort des résultats de cette enquête, une nette prédominance des hommes dans l’exercice de la médecine traditionnelle au Niger. En effet, sur les 40 tradipraticiens enquêtés, 36 sont des hommes contre seulement 4 femmes. L’enquête a permis de recenser 28 espèces végétales potentiellement insecticides. Ces plantes sont reparties dans plusieurs familles, celles les plus représentatives sont les Papilionaceae (21,4%), les Lamiaceae (7,1%), les Euphorbiaceae (7,1%), les Combretaceae (7,1%) et les Capparidaceae (7,1%). Les plantes fréquemment citées sont: Azadirachta indica (21%), Striga hermontheca (13,9%) et Hyptis spicigera (10,0%). Les parties des plantes les plus utilisées sont principalement les feuilles (53,3%) et les tiges feuillées (33,3%), avec comme mode principal d’utilisation la fumigation (82,0%). Ces résultats pourraient servir dans le domaine de la recherche des nouveaux biopesticides. L’investigation sera étendue à d’autres régions du pays afin de rassembler le maximum d’espèces végétales antipaludiques. Mots clés: Enquête ethnobotanique, tradipraticiens, plantes insecticides, moustiques, paludisme. English title: Ethnobotanical survey on plants traditionally used in Niger in the fight against mosquitoes vectors of parasitic diseases Malaria appears to be the oldest and deadliest tropical disease. Throughout the world, many people have traditionally used plants to fight this disease. To contribute to the preventive fight against malaria, an ethnobotanical survey has been carried out in Niamey with traditional practitioners to inventory spontaneous plants presumed to have insecticidal activities. The survey shows a predominance of men in the sector; thus, of the 40 traditional healers surveyed, we have 36 men and 4 women. The survey identified 28 potentially insecticidal plant species. These plants are distributed in several families, the most representative are Papilionaceae (21.4%), Lamiaceae (7.1%), Euphorbiaceae (7.1%), Combretaceae (7.1%) and Capparidaceae (7.1%). The most frequently mentioned plants are: Azadirachta indica (21%), Striga hermontheca (13.9%) and Hyptis spicigera (10.0%). The most commonly used plant parts are mainly leaves (53.3%) and leafy stems (33.3%), with fumigation as the main mode of use (82.0%). These results could be used in the field of research of new biopesticides. The investigation will be extended to other regions of the country to gather the maximum number of plant antimalarial species. Keywords: Ethnobotanical survey, traditional healers, medicinal plants, mosquitoes, malaria.
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KERBOEUF, Dominique, and Mickaël RIOU. "LA MAITRISE DES POMPES D'EFFLUX, UN PROGRES DANS LA LUTTE CONTRE LES NEMATODES PARASITES." Bulletin de l'Académie vétérinaire de France, no. 1 (2011): 257. http://dx.doi.org/10.4267/2042/48095.

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Lépengué, A. N., I. Mouaragadja, B. M’batchi, and S. Ake. "Lutte contre les plantes envahissantes: effet du filtrat de culture de Phoma sabdariffae Sacc. sur l’activité photosynthétique de trois plantes aquatiques au Gabon." Phytothérapie 11, no. 1 (November 21, 2012): 12–16. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-012-0739-5.

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Elati, Khawla, Sabrine Aloui, Mokhtar Dhibi, Mourad Rekik, and Mohamed Gharbi. "Seasonal variation of lungworm infestation of ewes at Sidi Bouzid slaughterhouse (Central Tunisia)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, no. 4 (April 23, 2018): 137. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31529.

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Abstract:
Les strongyloses respiratoires sont parmi les plus importantes maladies affectant les ovins élevés dans divers systèmes d’élevage de nombreux pays. En Tunisie, la lutte contre ces parasites est conduite par les éleveurs sans aucun fondement scientifique. Une enquête a été réalisée dans l’abattoir du gouvernorat de Sidi Bouzid (centre du pays) afin d’évaluer la prévalence d’infestation des moutons par les strongles respiratoires. L’étude a duré 12 mois et a concerné 720 des brebis abattues. La matière fécale de chaque brebis a été recueillie et examinée par la technique de Baermann. Soixante-huit échantillons étaient infestés par des larves de nématodes pulmonaires (9,4 ± 2,1 %). La population était dominée par Protostrongylus rufescens (4,4 ± 1,5 %) suivie de Dictyocaulus filaria (2,6 ± 1,2 %), Cystocaulus ocreatus et Neostrongylus linearis (1,3 ± 0,8 %), et enfin Muellerius capillaris (0,3 ± 0,4 %), alors que les infestations mixtes concernaient 0,4 ± 0,5 % des échantillons. L’infestation par les strongles a été observée dans tous les groupes d’âge sans différence significative (p = 0,64). Il n’y a pas eu, non plus, de différence d’infestation significative entre les brebis de races Barbarine (10,8 ± 3,6 %) et Queue fine de l’Ouest (8,5 ± 2,6 % ; p = 0,31). La prévalence la plus faible a été enregistrée au printemps (6,7 ± 3,6 %) et la plus élevée en hiver (11,7 ± 4,8 %), mais la différence entre les saisons n’était pas significative (p = 0,32). Cette étude concernant la dynamique d’activité des strongles pulmonaires devrait être complétée par des suivis permettant de déterminer l’importance économique de ces infestations, afin d’offrir une base solide à la mise en place de programmes de lutte spécifiques contre ces parasites en Tunisie.
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Rakotonandrasana, Stéphan, Andriamalala Rakotondrafara, Roland Rakotondrajaona, Vincent Rasamison, and Michel Ratsimbason. "PLANTES MÉDICINALES DES FORMATIONS VÉGÉTALES DE LA BAIE DE RIGNY-ANTSIRANANA À MADAGASCAR." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 331 (July 21, 2017): 55–65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.331.a31326.

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Abstract:
Des enquêtes ethnobotaniques ont été menées dans les formations forestières de la baie de Rigny-Antsiranana à Madagas- car. Ces formations forestières sont des zones clés de la biodiversité malgache et constituent la principale source d’appro- visionnement des populations locales en plantes utiles. Trente-huit informateurs d’âge compris entre 15 et 80 ans, tradipra- ticiens, mères et pères de famille et connaissant bien les plantes médicinales, ont été enquêtés en les amenant en forêt ou bien en leur montrant des spécimens d’herbier. La méthode d’enquête indivi- duelle retenue était l’entretien semi-struc- turé. Cinquante-trois espèces de plantes médicinales réparties dans 50 genres et 28 familles ont été recensées. Trente-huit espèces (68,6 %) sont endémiques de Madagascar. Les dix premières espèces les plus utilisées ont des indices de fidéli- té élevés pour les maladies indiquées. Dix-neuf espèces ont des indices de fidéli- té élevés (> 60 %) pour diverses maladies. Les maladies auxquelles les informateurs rattachent le plus grand nombre de plantes médicinales sont les affections du système digestif (maux de ventre et diarrhée), les maladies générales (les plaies et la fatigue), les infections et infestations (le paludisme), tout comme la grossesse, la naissance et la puerpéralité. Les indices de fidélité de Adansonia madagascariensis et Senna alata destinées respectivement à la lutte contre la perte de poids et l’hyperten- sion artérielle sont également élevés. Toutes ces maladies sont fréquentes à Madagascar. Les formations végétales de la baie de Rigny-Antsiranana constituent un réservoir de plantes médicinales pour la région Nord de Madagascar. Les connais- sances locales relatives à ces plantes n’ont pas été transcrites mais restent orales et risquent d’être perdues. La végétation naturelle y est menacée par la pression anthropique et l’absence de plan de conservation. Des recherches chimiques et pharmacologiques sur les espèces endémiques, et des mesures de conser- vation de la végétation, sont nécessaires pour leur valorisation et leur protection.
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Adjou, ES, and MM Aoumanou. "Efficacité des extraits de plantes dans la lutte contre les moisissures toxinogènes isolées de l’arachide en post-récolte au Bénin." Journal of Applied Biosciences 70, no. 1 (December 16, 2013): 5555. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v70i1.98755.

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Mouria, Btissam, Amina Ouazzani-Touhami, and Allal Douira. "Effet de diverses souches du Trichoderma sur la croissance d'une culture de tomate en serre et leur aptitude à coloniser les racines et le substrat." Phytoprotection 88, no. 3 (September 25, 2008): 103–10. http://dx.doi.org/10.7202/018955ar.

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Abstract:
RésuméLes champignons du genreTrichoderma, connus depuis 1887 pour leurs propriétés antagonistes, ont été utilisés comme agents de lutte biologique contre un large spectre de phytopathogènes. Récemment, certaines études ont démontré l'aptitude desTrichodermaà stimuler la croissance de certaines plantes. Ainsi, l'effet de six souches duTrichodermasur les paramètres de croissance et de rendement d'une culture de tomate en serre a été étudié. Les résultats montrent que toutes les souches duT. harzianumont stimulé la croissance de la tomate, notamment les biomasses végétative et racinaire, alors que leT. viriden'a pas eu un effet significativement différent par rapport au témoin. L'effet duTrichodermasur l'incidence des maladies foliaires a aussi été très net pour des souches deT. harzianumqui ont protégé à 100 % les feuilles de tomate. La colonisation des racines par les différentes souches duTrichodermane diffère pas significativement entre les souches duT. harzianum(86 à 100 %), alors qu'elle est significativement plus faible pour la souche TV1duT. viride.De même, les souches duTrichodermaont pu se maintenir à un niveau très élevé dans la rhizosphère par rapport aux témoins.
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Ouattara, Etienne Katinan, Kiyinlma Coulibaly, Théodore Dibié Etien, and Noël Guédé Zirihi. "Etude ethnobotanique de plantes antifongiques utilisées traditionnellement en Côte d’Ivoire et du potentiel de Piliostigma Thonningii (schumach.) milneredh. (Fabaceae) dans le contrôle de souches telluriques." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 1 (April 3, 2020): 239–53. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i1.20.

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Abstract:
A la recherche de moyen de lutte contre les agents pathogènes, une enquête ethnobotanique a été menée dans des villages Tagbana (Département de Katiola, Côte d’Ivoire). 102 tradithérapeutes dont 67 femmes et 35 hommes, utilisent 29 espèces de plantes pour leur effet antifongique. La famille des Euphorbiaceae avec 5 espèces, soit 17,85% est la plus représentée. Piliostigma thonningii avec une fréquence de citation de 24,24%, apparait comme l’espèce la plus sollicitée. Le criblage phytochimique réalisé sur les extraits aqueux et éthanolique 70% des feuilles de Piliostigma thonningii a mis en évidence la présence des tanins, des flavonoïdes, des saponines, des stérols, des alcaloïdes et des terpènes. Le potentiel antifongique des extraits aqueux et éthanolique 70% a été évaluée par la méthode de la double dilution en milieu Potato, Dextrose, Agar. Les résultats ont montré que seul l’extrait hydroéthanolique 70% des feuilles de Piliostigma thonningii possèdent des propriétés antifongiques à la fois sur Colletotrichum musae (concentration minimale inhibitrice est 12,5 mg/ml et concentration minimale fongicide est 50 mg/ml) et Sclerotium rolfsii (concentration minimale inhibitrice est 12,5 mg/ml et concentration minimale fongicide est 50 mg/ml). Cette étude met en évidence le pouvoir thérapeutique des plantes médicinales et les principes actifs qu’elles contiennent. Elle pourrait être d’un grand apport dans l’agronomie, dans le cadre de la lutte contre les champignons phytopathogènes. © 2020 International Formulae Group. All rights reserved. Mots clés: Plantes antifongiques, Piliostigma thonningii, Sclerotium rolfsii, Colletotrichum musae, Côte d’Ivoire English Title: Ethnobotanical study of antifungal plants traditionally used in ivory coast and the potential of Piliostigma Thonningii (schumach.) milne-redh. (fabaceae) in the control of telluric English Abstract In search of a means of fight against pathogens, an ethnobotanical survey was carried out in Tagbana villages (Katiola Department, Ivory Coast), of which, 102 traditherapists including 67 women and 35 men, use 29 species of plants for their antifungal effect. The family Euphorbiaceae with 5 species, 17.85% is the most represented. Piliostigma thonningii with a citation rate of 24.24%, appears as the most requested species. Phytochemical screening on the aqueous and ethanolic extracts of Piliostigma thonningii leaves revealed the presence of tannins, flavonoids, saponins, sterols, alkaloids and terpenes. The antifungal potential of the aqueous and ethanolic 70% extracts was evaluated by the double dilution method in Potato, Dextrose, Agar medium. The results showed that only the 70% hydroethanolic extract of Piliostigma thonningii leaves had antifungal properties on both Colletotrichum musae (minimum inhibitory concentration is 12.5 mg/ml and minimum fungicide concentration is 50 mg/ml) and Sclerotium rolfsii (minimum inhibitory concentration is 12.5 mg/ml and minimum fungicide concentration is 50 mg/ml). This study highlights the therapeutic power of medicinal plants and the active ingredients they contain. It could be of great help in agronomy, in the fight against phytopathogenic fungi. © 2020 International Formulae Group. All rights reserved. Keywords: Antifungal plants, Piliostigma thonningii, Sclerotium rolfsii, Colletotrichum musae, Ivory Coast
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Stachurski, Frédéric, Jérémy Bouyer, and Fanny Bouyer. "Lutte contre les ectoparasites des bovins par pédiluve : méthode innovante utilisée en zone périurbaine subhumide du Burkina Faso." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 4 (April 1, 2005): 221. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9916.

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Abstract:
L’accroissement de la demande urbaine en protéines animales se traduit, entre autres, par le développement de filières bovines de production laitière dans les zones périurbaines d’Afrique de l’Ouest. Mais la maîtrise imparfaite des maladies et des parasites compromet la croissance de la production. Une technique de lutte innovante, basée sur le passage régulier dans un pédiluve contenant une formulation aqueuse d’un pyréthrinoïde, pourrait pourtant limiter l’impact des tiques et des glossines, principales contraintes pathologiques en zone subhumide. Cette méthode entraîne l’élimination de la plupart des adultes d’Amblyomma variegatum, la tique la plus nocive dans ces régions, avant leur fixation définitive. D’autre part, un tel traitement permet de diminuer fortement la population des glossines riveraines les plus représentées en Afrique occidentale (Glossina tachinoides et G. palpalis gambiensis) et donc de limiter l’incidence des trypanosomoses. Cette méthode assure ainsi une lutte rapide et efficace à coût réduit car la quantité de produit utilisé à chaque passage est faible. Mais la construction de l’installation, qui peut être utilisée par 400 à 600 animaux, représente un investissement non négligeable que des groupements d’éleveurs ou des investisseurs privés peuvent plus facilement prendre en charge que des éleveurs traditionnels isolés. La mise en place de cette méthode peut ainsi être envisagée dans le cadre d’une politique de développement et d’aménagement. L’intérêt et les modalités de l’appui technique nécessaire sont présentés. Au Burkina Faso, un projet d’appui au renforcement des organisations professionnelles d’éleveurs modernes (Ariope) a de la sorte financé quinze installations dans les zones périurbaines de Bobo-Dioulasso et Ouagadougou.
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Ekpetsi Bouka, C., K. Batawui, A. Napala, P. Bastiaensen, N. Faye, and Guy Hendrickx. "Parasitoses des veaux dans la région septentrionale du Togo." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, no. 1 (January 1, 2001): 17. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9800.

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Abstract:
L’examen parasitologique de 738 bovins de types zébu, taurin et de leurscroisements (zébu x taurin) du nord du Togo, d’âge compris entre 1 et12 mois, a permis de mettre en évidence plusieurs agents pathogènes et vecteursappartenant à différents groupes de parasites (piroplasmes, trypanosomes,nématodes, tiques et glossines) et d’évaluer leur fréquence relative(Babesia : 16,9 p. 100 de prévalence ; Trypanosoma : 11,0 p. 100 ; stronglesdigestifs : 46,4 p. 100). Les actions pathogènes de ces parasites sur leurs hôtesont été évaluées par la mesure du taux d’hématocrite (29,3 p. 100 enmoyenne) qui s’est élevé en fin de saison sèche (31,1 p. 100) et dans leszones d’application d’insecticides épicutanés sur le bétail (29,6 p. 100) où lesanimaux étaient suivis dans le cadre du Projet régional de lutte contre la trypanosomoseanimale (Plta). Au plan épidémiologique, le parasitisme desbovins a varié en fonction des zones éco-géographiques, des saisons, du suivides animaux par le Plta, des races, du type d’élevage et de l’âge des animaux.Il a pu être confirmé que la trypanosomose et la strongylose étaient des fléauximportants, en revanche Babesia sp. s’est révélée comme un hémoparasitedont l’impact sur la santé des veaux avait été sous-estimé.
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Abagli, AZ, TBC Alavo, and J. Brodeur. "Microorganismes entomopathogènes, prédateurs et parasites des moustiques: Perspectives pour la lutte raisonnée contre les vecteurs du paludisme en Afrique sub-saharienne." International Journal of Biological and Chemical Sciences 8, no. 1 (June 5, 2014): 340. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v8i1.29.

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Guay, Jérome, and Martin Lafrance. "L’aménagement multifonctionnel des bassins de rétention en contexte autoroutier : une optimisation des services écologiques." Le Naturaliste canadien 143, no. 1 (November 28, 2018): 100–106. http://dx.doi.org/10.7202/1054124ar.

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Abstract:
Le réaménagement de l’échangeur des autoroutes Félix-Leclerc (A-40) et Laurentienne (A-73) dans la ville de Québec a nécessité la construction de bassins de rétention pour réguler les débits d’eaux pluviales acheminés vers les réseaux de drainage situés en aval du projet. Le plus grand bassin a été aménagé avec une retenue permanente en vue d’optimiser ses fonctions écologiques dans un environnement caractérisé à l’origine par un milieu écologiquement pauvre. Les objectifs de l’aménagement incluaient la lutte contre les espèces exotiques de plantes envahissantes, la création d’habitats floristiques et fauniques ainsi que la requalification paysagère du site et sa capacité d’évoluer sans intervention humaine en consolidant son caractère naturel. Adéquatement conçus, de tels bassins peuvent fournir une gamme de services écologiques de régulation, socioculturels, de production et de support. Ils offrent une solution à l’anthropisation inévitable des écosystèmes dans un contexte d’étalement urbain et de densification de l’occupation du territoire. La valorisation des services écologiques rendus par les bassins aménagés dans le cadre des processus d’autorisation environnementale inciterait les promoteurs à davantage mettre en oeuvre cette pratique et permettrait une meilleure intégration des principes de développement durable aux projets d’infrastructures.
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Ahebe Marie Helene, Koffi, Soko Dago Faustin, Yah N Guettia Marie, Koffi Yao Odilon, Tonessia Dolou Charlotte, and Atta Taky Hortense Diallo. "EVALUATION DE LACTIVITE FONGIQUE DES EXTRAITS AQUEUX DOCIMUM GRATISSIMUM ET DE CHROMOLAENA ODORATA SUR COLLETOTRICHUM SP. RESPONSABLE DES POURRITURES DES TUBERCULES DE DIOSCOREA ALATA EN CONSERVATION A DALOA, COTE DIVOIRE." International Journal of Advanced Research 9, no. 07 (July 31, 2021): 209–18. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/13119.

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Abstract:
Ligname, Dioscorea spp. (L) est une importante denree alimentaire qui occupe une place primordiale dans le systeme agricole en Cote dIvoire. Cette plante est cependant sujette a plusieurs maladies au cours de sa culture et pendant sa conservation parmi lesquelles celles causees par divers champignons. Ainsi, les pertes occasionnees par les pourritures des tubercules en conservation, constituent un risque majeur pour la rentabilite economique et pour la securite alimentaire des consommateurs. Cette etude avait pour objectif dinitier une methohede lutte contre les pourritures des tubercules de Dioscorea alata en conservation.par lutilisation dextraits aqueux dOcimum gratissimum et de Chromolaena odorata. Pour ce faire, trois differentes doses (33 g/l 39 g/l et 50 g/l) dextraits aqueux de chacune de ces deux plantes ont ete appliquees sur des rondelles digname prealablement inoculees avec Colletotrichum sp. Les resultats ont montre que la souche fongique inocule aux rondelles de D. alata a cause dimportants degres de pourritures. Aussi, les extraits de Chomolaena odorata et dOcimum gratissimum possedent des activites antifongiques differentes. Ces activites ont ete plus elevee avec lextrait dOcimum gratissimum a 50 g/l que celui de Chomolaena odorata.
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Cloutier, Conrad, Jean-Marie Perron, and Christine Jean. "Extraits de l'évolution de l'entomologie appliquée au Québec : emphase sur la phytoprotection." Phytoprotection 89, no. 2-3 (November 20, 2009): 79–97. http://dx.doi.org/10.7202/038236ar.

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Abstract:
Le développement de l’entomologie au Québec comme science naturelle a commencé avec des naturalistes érudits comme William Couper, Léon Provancher et Henry Lyman qui ont observé abondamment et décrit l’entomofaune du Québec, fondé des sociétés professionnelles et rédigé les premiers ouvrages scientifiques sur les insectes du Québec. Au début du XXe siècle, l’importance économique des plantes agricoles et des essences de coupes forestières a atteint un niveau favorisant la naissance de l’entomologie appliquée. Son développement initial est marqué par la fondation de la SPPQ, la création du premier programme d’études supérieures en entomologie, ainsi que le recrutement d’entomologistes professionnels dans les institutions publiques de protection des plantes contre les ravageurs. Les entomologistes en chef James Fletcher au gouvernement fédéral et Victor Huard au gouvernement provincial, ainsi que les professeurs William Lochhead du Collège Macdonald et Georges Maheux de l’École forestière de l’Université Laval, sont des figures remarquables de cette époque. Les entomologistes publient abondamment sur le cycle de vie des insectes nuisibles, sur les dommages causés et sur les moyens de lutte efficaces avec des insecticides encore primitifs et dangereux. Pendant plusieurs décennies, Ernest-Melville DuPorte se trouve au Collège Macdonald au centre des études supérieures et de la recherche en entomologie au Québec. Après la Seconde Guerre mondiale, la demande en denrées alimentaires et en fibre ligneuse croît à un rythme sans précédent, de même que la lutte aux ravageurs, à l’ère nouvelle des produits chimiques de synthèse, notamment des insecticides comme le DDT. En agriculture, les entomologistes actifs en phytoprotection se regroupent au laboratoire de recherche de Saint-Jean-sur-Richelieu et au Service de la protection des cultures du MAPAQ, ainsi que dans leurs stations de recherche de terrain. La recherche en entomologie forestière se développe à Québec autour du laboratoire fédéral des Laurentides et à la Faculté d’arpentage et de génie forestier (aujourd’hui la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique) de l’Université Laval. Sous la pression de l’industrie forestière, les arrosages aériens aux insecticides deviennent systématiques et sont surtout régis par l’abondance cyclique de la tordeuse des bourgeons de l’épinette. À la fin des années 1960, l’entomologie appliquée prend lentement un virage écologique, ouvert au contrôle naturel des ravageurs et aux idées de la résistance des plantes et de la stimulation de l’impact des agents biologiques de répression. La recherche et la formation aux études supérieures en entomologie connaissent un essor marqué dans les centres universitaires établis et nouvellement créés. La fin du XXe siècle est marquée par l’arrivée des plantes transgéniques résistantes aux ravageurs et les conséquences prévisibles du réchauffement climatique sur l’abondance et la diversité des ravageurs. L’entomologie comme activité scientifique professionnelle s’est enrichie de l’arrivée de nombreuses femmes dans les centres de recherche et les universités, bien qu’affectée par le ralentissement du recrutement d’entomologistes professionnels dans les services publics et les universités et l’incertitude des conditions économiques futures.
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Sotondji, F. A., O. K. Douro Kpindoui, A. C. Djihinto, E. A. Dannon, G. Zodome, R. Sagbo, J. Dossou, E. Adjou, D. C. Hougourou, and M. M. Soumanou. "Efficacité du baume de cajou et des huiles végétales pour la lutte contre les populations de Plutella xylostella L. 1758 (Lepidoptera: Plutellidae)." African Crop Science Journal 28, no. 2 (July 27, 2020): 151–68. http://dx.doi.org/10.4314/acsj.v28i2.2.

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Abstract:
Le chou, Brassica oleracea L. (Capparales: Brassicaceae), est l’une des cultures les plus attaquées par un complexe de ravageurs dont Plutella xylostella L. (Lepidoptera: Plutellidea). L’objectif de cette étude était d’évaluer l’efficacité des huiles végétales et de la noix de cajou pour le contrôle de P. xylostella dans la production de chou. Une étude a été menée dans le laboratoire de l’institut International d’Agriculture Tropicale au Bénin. Les traitements comprenaient des huiles de trois plantes, à savoir Tephrosia purpurea, Ricinus communis, Thevetia neriifolia et la noix de cajou par rapport à un insecticide synthétique (Lambda cyhalothrine) et à celui d’un pesticide botanique (Topbio). Deux expériences ont été mises en place dans cette étude. Dans la première expérience, les produits ont été testés sur le stade L3 de P. xylostella, avec les doses de 100, 75, 50, 25 et 10% ; tandis que dans le second, les mêmes produits ont été testés sur le stade L2 du même insecte avec les doses de 50, 25, 10, 5, 3, 2 et 1%, par rapport au témoin de référence, Lambda cyhalothrine aux doses de 10, 5, 3, 2, 1 et 0,5%. Les variables mesurées étaient le taux de mortalité, la formation de pupes et l’émergence d’adultes de P. xylostella. Les DL 50 ont été déterminées selon la méthode de régression de Cox. Les résultats ont montré que pour tous les pesticides botaniques utilisés, quel que soit le stade larvaire de P. xylostella, l’effet / dose-réponse était significatif, mais moins efficaces par rapport au témoin de référence Lambda cyhalothrine. La noix de cajou et les trois huiles végétales peuvent efficacement servir d’alternatives aux pesticides de synthèse (Lambda cyalothrine) contre Plutella xylostella dans la production de chou. Mots clés: Brassica oleracea, chou, Ricinus communis, Tephrosia purpurea
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Mushagalusa Balasha, Arsene, and Jules Nkulu Mwine Fyama. "Déterminants d’adoption des techniques de production et protection intégrées pour un maraîchage durable à Lubumbashi, République démocratique du Congo." Cahiers Agricultures 29 (2020): 13. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020012.

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Abstract:
La production maraîchère est une filière importante de l’agriculture urbaine et périurbaine en Afrique. En République démocratique du Congo, un projet d’horticulture urbaine et périurbaine a été mis en place avec l’appui technique de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture pour vulgariser des techniques de production et protection intégrées. Les techniques promues comprenaient l’usage des fertilisants naturels, des extraits de plantes à effet insecticide, des produits naturels de lutte contre les ravageurs, les associations et les rotations culturales, l’usage raisonné des pesticides en dernier recours, ainsi que l’utilisation de variétés résistantes aux maladies. Le modèle Logit a permis d’analyser les données d’enquête d’un échantillon de 246 maraîchers à Lubumbashi entre mars et juin 2016 pour identifier les facteurs favorisant l’adoption des techniques promues. L’appartenance à une association de maraîchers et la formation reçue en maraîchage sont deux facteurs clés qui influencent positivement et significativement l’adoption des techniques de production et protection intégrées, respectivement de 3,5 à 7 fois plus que les agriculteurs n’appartenant pas à une association ou n’ayant pas reçu de formation. Ces résultats suggèrent que la participation des agriculteurs à des ateliers de formation et à des groupes de discussion au travers de champs-écoles peut servir de catalyseur pour accroître l’adoption de techniques innovantes en maraîchage.
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Benamara, D., Z. Benamara, and S. Benamara. "Bénéfices santé des infusions végétales dans le traitement des pathologies à virus : aspects pratiques et théoriques concernant la Covid-19 (synthèse bibliographique)." Phytothérapie 19, no. 3 (June 2021): 134–41. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2021-0284.

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Abstract:
Ces dernières années, le pouvoir thérapeutique des plantes et des aliments végétaux a fait l’objet de nombreuses études. C’est le cas des infusions végétales (IV). Cependant, à notre connaissance, peu de données sont disponibles sur les aspects théoriques et pratiques soutenant les bénéfices des IV, en particulier dans le contexte du nouveau coronavirus (Covid-19). Dans le présent article, cette problématique a été discutée, considérant une IV comme à la fois un processus d’extraction et une solution chimique complexes, cette dernière étant en fait un extrait végétal aqueux. Dans le cas particulier de la lutte contre les infections grippales, la réactivité des huiles essentielles (HES), fraction volatile des IV chaudes, peut s’expliquer par leurs affinités chimiques avec la cible virale ou autres. Il est évident que la phase liquide (extrait aqueux) est plus riche en molécules bioactives que la phase vapeur. Cependant, il existe des métabolites secondaires non volatils qui sont moins cités comme composants des IV. C’est le cas des lectines, glycoprotéines largement répandues dans le règne végétal et ayant une activité antivirale démontrée. Ainsi, la description de ces concepts pourrait contribuer un tant soit peu à mettre en lumière les bienfaits pour la santé des IV dans le contexte de la Covid-19.
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Cissokho, PS, MT Gueye, EH Sow, and K. Diarra. "Substances inertes et plantes à effet insecticide utilisées dans la lutte contre les insectes ravageurs des céréales et légumineuses au Sénégal et en Afrique de l’Ouest." International Journal of Biological and Chemical Sciences 9, no. 3 (September 9, 2015): 1644. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v9i3.43.

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Kouam Simo, Alain, Félicité Flore Djuikwo-Teukeng, Christian Kombou Fangye, Guy-Pierre Martineau, Mohamed Gharbi, and Philippe Dorchies. "Prévalence de la gale sarcoptique chez le porc dans le département de la Mifi (Ouest Cameroun)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 4 (November 25, 2020): 269–71. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31943.

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Abstract:
La gale du porc, due à Sarcoptes scabiei var. suis, est l’une des principales dermatoses porcines, présente dans de nombreux élevages. Elle provoque d’importantes pertes économiques dans plusieurs pays et son éradication passe par une amélioration des conditions d’hygiène. En l’absence de données récentes sur la prévalence de cette infestation au Cameroun, la recherche des parasites par raclages cutanés a été réalisée dans 52 élevages de la région de l’Ouest (département de la Mifi). En avril-août 2015, puis en avril-août 2016, 359 raclages cutanés sur 103 truies, 39 verrats et 217 porcelets sevrés ont permis d’identifier S. scabiei var. suis dans 23,1 % des élevages (12/52 ; soit 40 porcheries exemptes de gale) avec une prévalence moyenne de 19,5 % (70/359), sans différence de sexe ni d’âge. Les porcheries les plus infestées étaient celles où l’hygiène était la plus défectueuse. Des programmes d’éducation sanitaire doivent être mis en place pour sensibiliser les éleveurs à l’importance du respect des règles d’hygiène dans la lutte contre la gale porcine.
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Laamari, A., K. EL Kharrim, R. Mrifag, M. Boukbal, and D. Belghyti. "Dynamique des populations de tiques parasites des bovins de la région du Gharb au Maroc." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 65, no. 3-4 (March 1, 2012): 57. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10123.

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Abstract:
Cette étude a été conduite dans la commune rurale de Sidi Boubker El Haj, région du Gharb (Maroc), de novembre 2009 à octobre 2010. L’objec­tif a été d’identifier les différentes espèces de tiques rencontrées chez les bovins, de suivre leur dynamique saisonnière, et de déterminer leur abon­dance et la variabilité du niveau d’infestation selon l’âge et le sexe des hôtes. Trente bovins ont fait l’objet de suivi et de prélèvements mensuels pendant une année. Au total, 6 899 tiques ont été récoltées. L’identification a révélé la présence de neuf espèces appartenant à cinq genres, avec les prévalences suivantes : Rhipicephalus bursa (28,61 p. 100), Ixodes ricinus (26,39 p. 100), Hyalomma lusitanicum (23,33 p. 100), Rhipicephalus tura­nicus (14,44 p. 100), Hyalomma detritum detritum (13,06 p. 100), Rhipi­cephalus sanguineus (1,39 p. 100), Hyalomma marginatum marginatum (1,11 p. 100), Dermacentor marginatus (1,11 p. 100) et Haemaphysalis sul­cata (0,83 p. 100). I. ricinus a présenté un mode d’activité unimodal hivernal, alors que R. bursa, Hyalomma lusitanicum et Rhipicephalus turanicus ont été actives au printemps, et Hyalomma d. detritum en été. R. sanguineus, Hya­lomma m. marginatum, D. marginatus et Haemaphysalis sulcata ont été moins prévalentes, leur présence sur le bétail pouvant être qualifiée de parasitisme occasionnel. Cette étude sur la dynamique des populations de tiques peut aider à la mise en place d’une stratégie adaptée de lutte contre les tiques et les maladies qu’elles transmettent, en tenant compte de l’activité saisonnière des tiques, de la charge parasitaire, et du taux d’infestation.
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Betbeder-Matibet, M. "Elevage de plusieurs especes du genre Chilo et de certains de leurs parasites pour la lutte biologique contre les foreurs des graminees en Afrique." International Journal of Tropical Insect Science 11, no. 4-5 (October 1990): 617–23. http://dx.doi.org/10.1017/s1742758400021184.

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Benchikh Elfegoun, M. C., M. Gharbi, S. Djebir, and K. Kohil. "Dynamique d’activité saisonnière des tiques ixodidés parasites des bovins dans deux étages bioclimatiques du nord-est algérien." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 66, no. 4 (January 1, 2014): 117. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10150.

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Abstract:
Un suivi mensuel de l’infestation par les tiques de 48 bovins choisis dans six elevages a ete realise entre avril 2006 et mars 2007 en Algerie dans les localites de Mila (etage bioclimatique semi-aride) et d’El Tarf (etage bioclimatique humide). Au total, 7 024 tiques appartenant a quatre genres et dix especes d’ixodides ont ete collectees : Rhipicephalus (Boophilus) annulatus (62,7 p. 100 des tiques collectees), R. turanicus (13,6 p. 100), Hyalomma scupense (13,6 p. 100), R. bursa (7,7 p. 100), H. marginatum (4,7 p. 100), H. excavatum (3,9 p. 100), H. anatolicum (2,3 p. 100), Haemaphysalis punctata (1,5 p. 100), Ixodes ricinus (0,7 p. 100) et Hyalomma lusitanicum (0,4 p. 100). L’espece la plus frequente dans la wilaya (collectivite publique territoriale) d’El Tarf a ete R. annulatus (77,7 p. 100). En revanche, H. scupense (39,2 p. 100) et R. bursa (17,7 p. 100) ont ete dominants dans la wilaya de Mila. De nombreuses especes de Hyalomma et de Rhipicephalus ont eu une activite continue durant l’annee avec une intensite d’infestation maximale en ete pour R. annulatus et H. scupense, et vernale a automnale pour R. bursa. L’abondance des especes mesophiles a ete faible. Elles ont eu une activite hivernale pour I. ricinus, present uniquement a El Tarf, et automnale pour Hae. punctata, observee uniquement a Mila. L’intensite d’infestation a ete significativement plus elevee chez les bovins adultes que chez les bovins ages de moins d’un an. La phenologie des differentes especes de tiques a parfois differe en fonction des pays limitrophes, montrant ainsi une grande adaptabilite des tiques et la necessite de realiser des etudes regionales avant la mise en place de tout programme de lutte contre les tiques ou les pathogenes qu’elles transmettent.
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Abissy, M., and L. Mandi. "Utilisation des plantes aquatiques enracinées pour le traitement des eaux usées urbaines : cas du roseau." Revue des sciences de l'eau 12, no. 2 (April 12, 2005): 285–315. http://dx.doi.org/10.7202/705353ar.

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Abstract:
La présente étude consiste à tester les potentialités d'un hélophyte : le roseau (Arundo donax) à épurer une eau usée urbaine sous un climat aride. Le pilote expérimental est constitué de bacs de 115 litres de capacité, remplis sur une épaisseur de 5 cm de gravier et de 30 cm de sol (texture : limono-argilo-sableuse). Deux bacs sont plantés de jeunes tiges de roseaux. Deux autres bacs non plantés sont pris comme témoins. L'alimentation du système se fait exclusivement par des eaux usées urbaines en bâchées de 25 litres/jour et ce avec une fréquence régulière d'une fois par semaine. L'écoulement se fait par translation verticale à travers le substrat. L'eau de percolation est récupérée au moyen d'un drain placé à la base de chaque bac. L'étude du fonctionnement hydrologique des pilotes testés, a montré que le débit moyen à la sortie du lit planté (254 ml/min) est cinq fois plus élevé par rapport au lit non planté (51 ml/min). Ce qui permet soit de traiter un volume d'eau usée plus important ou bien de réduire la superficie nécessaire par équivalent habitant. En plus, il apparaît que la présence du roseau aide d'une part à prévenir le colmatage qui est un problème fréquent dans le sol non planté et d'autre part de maintenir une porosité suffisante pour assurer la percolation des eaux en traitement. Le suivi des performances épuratoires du système à roseau montre que ce dernier assure une élimination importante de la charge organique (MES : 91%, DCO : 72%). Il fournit des eaux épurées claires et limpides. Ces résultats sont comparables à ceux du sol non planté. La réduction de NTK est de l'ordre de 53% pour le lit planté contre 41% pour le sol nu. En général, le lit planté est plus efficace dans l'élimination de l'azote. Concernant l'élimination des ions ammoniums, le taux d'abattement moyen pour le lit planté est de 24%. Le sol non planté présente une surcharge de l'effluent à la sortie en ammonium (-17%). Le phosphore total et les orthophosphates subissent globalement un faible abattement avec des phases de relargage et d'autres d'abattement. L'abattement moyen obtenu par le système planté ne dépasse pas 28% et 10% respectivement pour le PT et les PO4. Dans le système non planté, il se produit un relargage de phosphore qui se maintient sur une longue période durant la 1ère année et qui se répète également en 2ème année de fonctionnement avec une intensité moins importante. L'abattement moyen obtenu est de -8% et -33% respectivement pour le PT et les PO4. En tenant compte des pertes d'eau par évapotranspiration, la correction effectuée a montré une nette amélioration des performances épuratoires surtout pour le sol planté où les pertes de volume sont considérables. Dans ce cas l'abattement moyen obtenu pour le lit planté est de 68%, 48%, 52% et 39% respectivement pour NTK, NH4, PT et PO4. Pour le sol non planté, les abattements sont plus faibles (NTK : 51%, NH4 : 3%, PT : 12%, PO4 : -8%). La présence du roseau dans le système planté assure donc une nette amélioration de l'abattement de la charge organique et des nutriments par rapport au sol nu. Cette amélioration est faible (3 à 7%) pour la DCO et les MES, par contre pour les nutriments, elle est beaucoup plus importante (17 à 48%). Concernant la charge parasitaire, les deux systèmes planté et non planté, assurent une élimination totale des œufs d'helminthes parasites. Pour les kystes de protozoaires, le système planté assure une réduction de 99,8%. Avec l'épaisseur du substrat testée, les risques de détecter des kystes de protozoaires à la sortie des systèmes plantés est à appréhender. Selon la norme de l'OMS, l'effluent de sortie du système est classé en catégorie B. Le roseau produit une biomasse importante qui atteint 176,5 tonnes/ha. La biomasse aérienne facilement éliminée par faucardage est de 85,3 T/ha. Le taux d'azote et de phosphore exporté avec cette biomasse atteint 98,54 et 4,15 g/m2 respectivement. Ces taux retenus au niveau des parties aériennes représentent 12% de la charge reçue par le système en azote et 3% de la charge reçue en phosphore.
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Magona, J. W., and G. Musisi. "Effet de traitement par injection de moxidectine sur la prévalence et la production d’oeufs de strongles chez des bovins dans un système de pâturage communal en Ouganda." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 1 (January 1, 2002): 35. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9843.

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Abstract:
L’effet de la moxidectine sur la prévalence des infections par les nématodes chez les bovins, ainsi que sur la production d’oeufs des fèces et la contamination sur des pâturages collectifs a été évalué dans le district de Tororo en Ouganda. Dans le premier essai, un groupe traité et un autre non traité de 40 bovins chacun ont été suivis pendant une période de 12 semaines, alors que dans le deuxième essai un groupe traité et un autre non traité de 30 bovins chacun ont été suivis pendant sept mois. Dans le premier essai, la prévalence d’infection par les nématodes ainsi que le nombre moyen d’oeufs des fèces du groupe traité sont restés significativement (p < 0,05) moins importants que ceux du groupe non traité du 7e au 84e jour. Dans le deuxième essai, les traitements stratégiques ont d’abord entraîné une réduction du nombre d’oeufs de 100 p. 100 chez les bovins traités, alors que cette réduction a été de 82 p. 100 chez les bovins non traités. Par la suite, le nombre moyen d’oeufs des fèces du groupe traité est resté en dessous de 60 pendant six mois, alors que celui du groupe non traité a fluctué en fonction de la pluviométrie entre 63 et 400. De plus, la contamination au pâturage par des larves infestantes des bovins traités a été significativement (p < 0,05) plus faible que celle du groupe non traité pendant la saison humide. Les infestations au pâturage par Haemonchus spp., Bunostomum spp., Oesophagostomum spp. et Trichostrongylus spp. ont été respectivement trois fois, cinq fois, quatre fois et deux fois moins importantes chez les bovins traités que chez les bovins non traités. La moxidectine pourrait être utilisée dans la lutte stratégique contre les parasites dans les conditions de gestion communale des pâturages en Afrique tropicale par le traitement sélectif des groupes d’âges de bovins les plus affectés à la mi- et à la fin de la saison des pluies pour réduire la contamination au pâturage.
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Yaméogo, Jérôme T., Rabiatou Ya Sadia Ouattara, Boalidioa Tankoano, Mipro Hien, and Paulin Ouoba. "Flore, structure et état sanitaire des peuplements ligneux des parcs agroforestiers des forêts de Dindéresso et de Kuinima à l’ouest du Burkina Faso." European Scientific Journal ESJ 16, no. 40 (December 31, 2020). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2020.v16n40p48.

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Abstract:
Les parcs agroforestiers occupent des superficies non négligeables au Burkina Faso. Mais, du fait de la pression foncière, ils subissent des formes d’exploitation qui menacent leur existence dans le moyen terme. Pour une gestion durable des parcs agroforestiers, leur connaissance sur le plan floristique s’impose. C’est ainsi qu’une étude floristique a été menée dans les parcs agroforestiers des forêts classées de Dindéresso et de Kuinima à l’Ouest du Burkina Faso. L’objectif est de contribuer à une meilleure gestion du peuplement ligneux des parcs agroforestiers. Pour ce faire, un inventaire forestier dans des placettes circulaires de 900 m² a été réalisé en vue d’établir la liste floristique, la diversité spécifique et d’apprécier l’état de la régénération et l’état sanitaire des peuplements ligneux. Au total, 27 espèces ligneuses réparties en 14 familles et 27 genres dans les parcs agroforestiers de Dindéresso et 27 espèces ligneuses réparties en 12 familles et 26 genres dans les parcs agroforestiers de Kuinima ont été inventoriées. La diversité spécifique de Shannon-Weaver est faible avec 1,80 bit pour les parcs agroforestiers de Dindéresso et 1,33 bit pour ceux de Kuinima. La régénération est beaucoup plus marquée par l’espèce Vitellaria paradoxa Gaertn.f. suivie de Anacardium occidentaleL. [cult.]. Les taux de régénération sont de l’ordre de 54,12% et 9,41% pour Dindéresso puis 35,64% et 26,60% pour Kuinima respectivement, pour Vitellaria paradoxa et Anacardium occidentale. L’appréciation de l’état sanitaire révèle que 49,85% des pieds de Vitellaria paradoxa inventoriés dans la forêt classée de Kuinima sont parasités. Par contre dans la forêt classée de Dindéresso, le taux de parasitisme des pieds de Vitellaria paradoxa est de 13,37%. Au regard de ces taux de parasitisme, il est plus que nécessaire de développer des stratégies de lutte contre ces plantes parasites. À court et moyen termes si rien n’est fait, ces parasites affecteront considérablement les capacités de cette espèce agroforestière à fournir des biens et services.
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Soro, D., A. N'Da-Adopo, KP Da, and D. Traore. "Lutte Contre Les Parasites Chez Le Karite." Agronomie Africaine 16, no. 3 (February 20, 2009). http://dx.doi.org/10.4314/aga.v16i3.1647.

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Zinsou, Valerien A., André A. Fanou, Gildas C. Tchemadon, Huguette A. Dossa, Judith A. P. Doumatey, Balkissou Amadou Sambo Poulo, Rosalie Houénoumadin, and Armand K. Natta. "Maladies et plantes vasculaires du Karité (Vitellaria paradoxa Gaertn) au Bénin." European Scientific Journal ESJ 17, no. 10 (March 31, 2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n10p270.

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Abstract:
La présente étude vise à évaluer les maladies et les plantes vasculaires du karité (Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn) dans les savanes Soudanienne (SS) et Nord guinéenne (SNG) du Bénin. Pour ce faire, quarante sites au total ont été prospectés au cours du mois de juillet 2018. Sur chaque site, l’incidence et la sévérité des symptômes de maladies, la densité et la distribution des plantes vasculaires ont été étudiées. Des échantillons de feuilles malades, des plantes vasculaires du karité ont été prélevés pour lʼidentification au laboratoire. Lasiodiplodia theobromae, Colletotrichum gloeosporioides, Pestalotiopsis sp, Xanthomonas sp ont été les agents pathogènes identifiés. Les valeurs d’incidence étaient élevées dans la SS (59,6% L. theobromae, et de 42,2% Xanthomonas sp) et dans la SNG (67,5% Pestalotiopsis sp et de 55% L. theobromae). Les valeurs de sévérité étaient élevées dans la SS (39% L. theobromae et de 30,6% Xanthomonas sp) et dans la SNG (54,7% Pestalotiopsis sp et 43% L. theobromae). Les données collectées sur la densité des plantes vasculaires ont montré une Orchidiaceae holo-épiphyte (Calyptrochilum christyanum), une Moraceae hémi-épiphyte (Ficus thonningii), une Renonculaceae (Alafia barteri) et deux Loranthaceae (Tapinanthus dodoneifolius, Tapinanthus globiferus). T. dodoneifolius et T. globiferus sont plus répandus avec des taux d’infestation moyens respectifs de 68,67% et de 66,58% et des densités moyennes par plant respectives de 5,64 touffes et de 2,52 touffes. Ainsi, les efforts d’amélioration de la production de karité doivent prendre en compte les stratégies de lutte contre ces agents pathogènes et plantes vasculaires.
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Johnson, F., B. Seri-Kouassi, LR Aboua, and K. Foua-Bi. "Utilisation de poudres et d\'extraits totaux issus de plantes locales des genres Ocimum sp. et Mentha sp. comme biopesticides dans la lutte contre Callosobruchus maculatus FAB." Agronomie Africaine 18, no. 3 (February 25, 2009). http://dx.doi.org/10.4314/aga.v18i3.1694.

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Dafur, B. S., S. T. Mbap, C. C. Tok, and J. J. Okoh. "Breed and environmental factors influencing prevalence of helminths in sheep." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020). http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1269.

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Abstract:
Gastrointestinal parasites impose severe constraints on sheep production worldwide. lnformation on prevalence of helminthosis in the ovine species could provide a useful guide towards effective control. Investigated in this study was helminthosis prevalence in some Nigerian sheep. The sheep included initial 64 yearlings (12 each of Balami, BL, and Uda, UD, and 20 each of Yankasa, YK and West African Dwarf, WAD, in a sex ratio of 1:1 per breed) and their 156 offspring. Faecal samples were collected from the sheep six-weekly over a period of 3 years and examined for the presence of various helminth species using the modified McMaster technique. Total helminths, Strongyles, Strongyloides, Moniezia, Trichuris and Nematodirus prevalence were 95.9, 87.3, 38.2, 60.6, 45.0 and 46.4%, respectively. Based on prevalence, breeds and seasons ranked (p < 0.05) thus: YK = WAD > BL > UD and late rainy> early rainy> late dry > early dry. Females and older sheep (≥ 4months) had higher (p < 0.05) prevalence than males and lambs (< 4months), respectively. Prevalence increased with decreased body condition score (BCS). Year, birth type and parity did not influence prevalence. It is concluded that there is high prevalence of helminthosis in the study area, with variation between breeds, sex, age groups and seasons. These variations could be exploited through selective breeding and cross breeding to control the disease with or without minimal use of anthelminthics. Les parasites gastro-intestinaux imposent de sévères contraintes à la production ovine dans le monde. Les informations sur la prévalence de l'helminthose chez les ovins pourraient fournir un guide utile pour une lutte efficace. La prévalence de l'helminthose chez certains moutons nigérians a été étudiée dans cette étude. Les moutons comprenaient au départ 64 yearlings (12 chacun de Balami, BL et Uda, UD, et 20 chacun de Yankasa, YK et West AfricanDwarf, WAD, dans un rapport de masculinité de 1 : 1 par race) et leurs 156 descendants. Des échantillons de matières fécales ont été prélevés sur les moutons six fois par semaine sur une période de 3 ans et examinés pour la présence de diverses espèces d'helminthes en utilisant la technique modifiée de McMaster. La prévalence totale des helminthes, Strongyles, Strongyloides, Moniezia, Trichuriset Nematodirus était de 95.9, 87.3, 38.2, 60.6, 45.0 et 46.4%, respectivement. Sur la base de la prévalence, des races et des saisons classées (p <0.05) ainsi : YK = WAD>BL> UD et pluvieux tardif> pluvieux bdafur70@gmail.com 13 précoce> sec tardif> sec tôt. Les femelles et les moutons plus âgés (≥ 4 mois) avaient une prévalence plus élevée (p<0.05) que les mâles et les agneaux (<4 mois), respectivement. Laprévalence augmentait avec la diminution du score de l'état corporel (le 'BCS'). L'année, letype de naissance et la parité n'ont pas influencé la prévalence. Il est conclu qu'il existe uneprévalence élevée d'helminthose dans la zone d'étude, avec des variations entre les races, lesexe, les groupes d'âge et les saisons. Ces variations pourraient être exploitées par unesélection sélective et des croisements pour lutter contre la maladie avec ou sans utilisationminimale d'anthelminthiques.
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