Academic literature on the topic 'Platon (0427?-0348? av. J.-C.). Lettres'

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Dissertations / Theses on the topic "Platon (0427?-0348? av. J.-C.). Lettres"

1

Douailler, Stéphane. "L'espace public des ignorants." Paris 8, 1997. http://www.theses.fr/1997PA081261.

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Abstract:
Une part importante de la these est consacree a relire le livre i de la republique de platon. Le' point de vue adopte a consiste a comprendre ce que platon avait voulu dire en indiquant que ce texte etait un prologue. Examinant la confrontation qu'il met en scene entre le propos philosophique et les figures ordinairement reconnues comme figures de savoir dans l'athenes du - 4eme siecle, on a ete amene a y voir, non seulement (comme il est habituel) la representation d'une victoire du questionnement philosophique, mais encore la construction precise d'un personnage d'auditeur intelligent susceptible d'incarner un destinataire du propos philosophique justifiant qu'il s'enoncat a partir du deuxieme livre dans une rigueur propre. Ainsi compris, le prologue de la republique se laisserait donc lire comme proposant l'une des inventions poetiques par lesquelles platon s'est laisse engager, non pas dans une celebration du souvenir de socrate, mais dans une perpetuation rigoureuse de son propos. L'autre aspect de la these a considere le risque qu'il y aurait pour la philosophie, heritant de cette construction poetique d'un destinataire intelligent, de reduire l'espace public sur lequel elle parait a celui d'un monde de lecteurs. Contre une tendance perceptible des peut-etre la lettre vii ou la "vie de platon" de diogene laerce, puis en echo a certaines questions au sujet du livre posees au dix-huitieme siecle, il a paru possible de souligner que le propos philosophique ne se tient pas seulement devant un lecteur intelligent, mais qu'il s'enonce encore, ainsi que la republique le montre, a l'echelle par exemple d'une cite. Par la, la philosophie se revele etre un savoir restant redevable, tout en etant savoir, d'une question de justice<br>An important part of the presented work has consist in re-reading the first book of plato's republic. The prospect has been to unterstand what plato mearied as he indicated that this text was a preamble. Investigating the confrontation in republic's first book between the figures of knowledge ordinarily admitted in the athenian society and the philosophical purpose, we have not only looked, as usual, at the victorious performance of the philosophical inquire, but we have also discovered that the text precisely built the character of an intelligent hearer, who justified in book two a true and rigorous exposition of the philosophical purpose. The preamble of the republic has so been understood as offering one of the poetical inventions which led plato out of the celebrating of socrate's memory, and gave to his work the aspect of a rigorous prolongation of the socratic purpose. An other question has been the danger for philosophy, inheriting from this poetical construction of an intelligent hearer, to confine her publicity in her readers'world. Against a tendency shown perhaps by letter vii and later by "plato's life" of diogen laerce, against some conclusions that have been recently drawn in france from the histoy of book in the period of enlightenment, we dwell upon the fact that the philosophical purpose not only apply to an intelligent reader, but also exists, as the republic shows, in relation with for example a city. Philosophy is a knowledge which cannot be discharged from the question of justice
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2

Park, Heeyoung. "La définition de l'être dans le "Théétète" et le "Sophiste" de Platon." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040145.

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Abstract:
Cette thèse s'est donnée pour tâche de définir l'être dans Le Théétète et Le Sophiste de Platon et par là d'éclaircir en quel sens la philosophie platonicienne passe de l'explication mythologique du monde et de l'explication physique du monde dans la philosophie naturelle, à l'explication ontologique du monde. Comme démarche méthodologique, nous avons procédé à la distinction quadripartite sémantique et la distinction tripartite syntaxique dans l'usage platonicien du mot "être": a) l'usage extensif, l'usage duratif, l'usage véritatif et l'usage immanent ; b) l'usage existentiel, l'usage d'identité et l'usage copulatif. A travers cette démarche méthodologique, nous avons éclairci deux points : a) les trois définitions de la science dans Le Théétète servent à décrire les différents niveaux de la connaissance qui doivent être parcourus pour l'acquisition de la science vraie platonicienne ; b) la théorie de la communauté des genres dans le sophiste qui permet à l'être d'avoir une relation avec les autres en sauvegardant son identité, fonde non seulement la science vraie, mais aussi l'ontologie platonicienne qui fait éclore toutes les ontologies occidentales<br>The purpose of this thesis is to define the being in the Theaetetus and the Sophist of Plato and through that to illuminate in what sense the platonic philosophy passes from the mythological explication of the world and from the physical explication of the world in the natural philosophy, to the ontological explication of the world. As methodological process, we have drawn a four partite semantic and a tripartite syntactic distinction between the platonic usage of the word "be" : a) the extensive usage, the durative usage, the veritative usage and the immanent usage ; b) the existential usage, the identifying usage and the copulative usage. Through this methodological process, we have illuminated the two points : a) the three definitions of the science in the Theaetetus, are in service to describe the different degrees of knowledge which are to be gone through for the acquisition of the platonic true science ; b) the theory of the combination of genders in the Sophist which permit the being to have a relation with others conserving his identity, found not only the true science, but also the platonic ontology which flourish all the occidental ontologies
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Merker, Anne. "La vision chez platon et aristote." Paris 12, 2000. http://www.theses.fr/2000PA120058.

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Abstract:
Platon inscrit la vue dans une problematique touchant l'humanite d'une ame divine exilee dans un corps de forme humaine. La vision est le sens par lequel l'ame peut engager une sortie de cet exil pour retrouver son etat originel, mais aussi le sens par lequel l'eloignement vis-a-vis de ce qui est reellement peut encore augmenter. La definition des images speculaires joue dans cette problematique un role decisif ; l'image donnee par le miroir se forme sans aucune reflexion - fait generalement meconnu par l'exegese moderne -, et s'apparente a un veritable engendrement d'une realite de second ordre, une copie imitant un original. Par la, platon s'ecarte resolument de la voie qu'empruntait deja l'optique grecque, encore naissante a son epoque avec hippocrate de chios (contemporain de socrate), qui volatilisait l'image speculaire en une simple vision indirecte. La perspective d'aristote se separe totalement de celle de platon. Preoccupe avant tout par des questions epistemologiques, aristote prend soin de garantir a la vision une verite que le systeme platonicien lui otait. La couleur herite d'une realite nouvelle ; l'acte de la vision se voit octroyer une achronie radicale, qui garantit la simultaneite de l'etat de la chose vue et de la vision effective par l'ame de cet etat. Par cette achronie de la vision, c'est l'unite du temps lui-meme qui se trouve garantie. Mais la theorie d'aristote, developpee dans le de anima et le de sensu en relation etroite avec une problematique epistemologique de verite et de connaissance, se trouvera inoperante lorsqu'il s'agira de rendre comptede phenomenes (arc-en-ciel, halo) que l'optique grecque de l'epoque virtualisait par la reflexion. Aristote sera ainsi amene a delaisser localement sa propre theorie pour adopter une theorie de la vision par une emission hors de l'oeil, emission qu'il avait pourtant severement critiquee.
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Kouam, Clément. "Science et politique chez platon." Lille 3, 1988. http://www.theses.fr/1988LIL30028.

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5

Thein, Karel. "Le lien intraitable : enquête sur le temps dans la République et le Timée de Platon." Paris, EHESS, 1995. http://www.theses.fr/1995EHES0307.

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Abstract:
Le temps n'est pas seulement un theme discute dans les dialogues de platon, mais aussi ce qui porte, voire exige toute activite philosophique. L'homme et meme son ame qui est censee etre immortelle, ne possedent aucun moyen de s'arracher du temps. Avant toute thematisation explicite du temps, la philosophie se presente demblee comme un effort de maitriser et de regulariser le temps humain, celui que vivent les hommes dans les cites. Ce temps du devenir qui oscille sans cesse entre la croissance et la destruction, est a l'oppose du temps regulier des mouvements celestes. C'est entre ces deux domaines que se constitue la philosophie comme leur lien. Or si la republique et le timee de platon nous permettent de comprendre la constitution et le role de ce lien; ils nous apprennent egalement l'impossibilite d'une reconciliation finale des deux temporalites irreductiblement differentes. Aucune philosophie ne saurait remplacer la politique en tant qu'art de rapports entre les hommes<br>The time is not only one of the topics discussed in the dialogues of plato, but also that which bears and even requires the philosophical activity. The man, and even his soul that is considered to be immortal, have no means to releve themselves from time. Before making the time an object of its inquiry, the philosophy presents itself as an effort to cope with the time of men's lives in the cities. The time of becoming, oscillating ceaselessly between the growth and the destruction, is an opposed pole to the regular time of the motions of heavenly bodies. In between these two realms, the philosophy constitutes itself as their bond. If plato's republic and timaeus permit us to understand the constitution and the role of this bond, they teach us equally the impossibility of a final reconciliation of these two irreducobly different temporalities. No philosophy can replace the politics as the art of relation between the men
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Rogue, Christophe. "Platon, le risque de l'économie." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2003PA040156.

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Abstract:
Une vulgate répandue fait de Platon le tenant d'une politique idéale, déniant tout droit de cité au phénomène économique. S'il n'y a d'économie que purement libérale, délivrée de toute régulation politique, alors peut-être une telle lecture est-elle possible. Mais là est le malentendu: n'y a-t-il d'économie que libérale? Ce travail montre comment Platon, loin de négliger l'économie, est à la source de la pensée économico-politique. On découvre comment Platon a su à la fois reconnaître ce risque fondamental qu'est l'économie pour la cité, tout en sachant aussi bien reconnaître la nécessité de courir ce risque. On s'aperçoit alors que sa politique, loin de rejeter l'économie, est entièrement pensée dans son rapport à elle. La première partie du travail remonte aux sources de l'activité philosophique. Traditionnellement présentée comme désintéressée, la philosophie n'en naît pas moins dans le climat ambigu du commerce des hommes. Pour se démarquer de sophistes qui donnent une valeur économique au logos, Platon est très tôt conduit, sous l'influence de Socrate et de conceptions traditionnelles, à formuler une théorie de la valeur. La deuxième partie montre comment cette théorie devient le soubassement idéologique d'une Callipolis née de la nécessité économique. Platon repère nettement la conflictualité propre à l'économie, et son lien essentiel à l'histoire. Concevant sa cité sur un modèle organique naturel, il met tout en oeuvre pour déjouer ce risque. Cependant, impasses théoriques et déceptions personnelles le conduisent à réviser son projet. La troisième partie montre alors comment Platon, tout en conservant ses objectifs de maîtrise du désordre économique, reprend son projet de cité dans un sens plus réaliste. On constate combien les Lois doivent s'interpréter comme une véritable économie politique. Avec un souci aigu du détail, Platon rebâtit une cité dont pas un élément, de l'urbanisme aux lois sur le culte, n'obéisse à une raison économique<br>A common interpretation considers Plato as a supporter of an ideal policy, giving no credit to economics. If an economy can only be liberal, without any form of political control, then maybe such an interpretation makes sense. But here's the pitfall: is economic liberalism the epitome of all economies? Plato does not disregard economics at all. On the contrary, this work shows that he should be considered as a founder of political economics. He was the very first to identify the economy as a risk for the city and yet, at the same time, he acknowledged that this risk had to be run. Thus, his political thought, far from disregarding the economy, has an ever-present bond with it. The first part goes back to the origin of philosophy. Philosophy has always been held as a disinterested activity. Yet it emerged at an ambiguous time when trading prevailed among men. In order to avoid any confusion with the sophists, who claimed that the logos had an economic value, Plato soon defined his own theory of value, influenced by Socrates and traditional views. The second part shows how this theory became the ideological background of the Callipolis. The city stems from need and the necessity for an economy. Plato immediately saw its conflicting nature and its link to history. Modelling his city on a natural organism, he left nothing unattended in order to prevent this risk. Yet, some theoretical impasses and personal disappointments led him to alter his views. The third part thus explains how Plato revised his plans in a more realistic way, with his idea of mastering the economic disorder still in mind. One can then see how much the Laws are to be read as a real political economy. With an acute sense of details, Plato builds again a city in which every element, from town-planning to laws on worship, has an economic ground
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Soulez, Antonia. "Le projet d'une grammaire philosophique chez Platon : du Cratyle au Sophiste." Paris 10, 1988. http://www.theses.fr/1988PA100043.

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Abstract:
Comment dire, sans le langage de la ressemblance, que les noms n'ont pas besoin de ressembler aux choses pour, en combinaison, former un énoncé qui signifie une configuration ou "état de chose"? Telle est la question d'après nous posée dans Le Sophiste (260-264) à laquelle nous avons tenté de répondre ici. Ce travail examine le principe d'explicitation sous-jacent au projet platonicien d'un système réglé de relations entre idées, et l'enjeu de la critique de l'élémentarisme linguistique qui fait du Cratyle un tremplin vers une sémantique de l'énoncé. Sa finalité est d'ins-truire une approche qui, par la confrontation de lectures relevant de la méthodologie analytique contemporaine (Gilbert Ryle sur le sophiste) avec le texte lu, arrive à déterminer quels éléments importants du problème ont du être sacrifies pour que soit construite une interprétation formalisante de ce texte. Il s'agit donc de tracer une voie qui permette d'apprécier la portée et les limites d'une lecture de logicien ou d'épistémologue dans le champ de l'histoire de la philosophie, ce qui revient à pondérer le difficile diagnostic d'actualité ou d'inactualité d'une question qui, appartenant à l’histoire des problèmes philosophiques, aurait ou non sa place dans une histoire de la sémantique au sens large<br>The question is in what language freed from the vocabulary of resemblance, to express the relation between names and what is signified, given that the names need not reproduce things in order to compose a meaningful sentence which asserts a "state of affairs". This thesis examines the principle of explicitation which underlies the project of a relational system of ideas in sophists, then the platonic antiatomistic strategy which makes cratylus a major step towards a semantic treatment of minimal phrases. It aims at setting up a method which confronts contemporary analytic readings of a text with this text (G. Ryle on sophists), and exhibits how by leaving out which elements of the problem, it has made possible to work out such formalizing interpretations. In attempting to outline an evaluating procedure of the power and limits of logical application in the field of the history of philosophy, we intend to weigh statements about the topicality of this or that problem, in reply to the question whether the issue is of any concern in our days for us or not. This lead us to dig out some landmarks which help trace back a proto-semantic tradition and show Plato’s meaning in sophists foreshadows the stoic's lekton
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Binayemotlagh, Saïd. "Etre et liberté chez Platon." Strasbourg 2, 1998. http://www.theses.fr/1998STR20021.

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Abstract:
Ce travail etudie le rapport entre l'etre et la liberte chez platon. Le mot liberte etant ici entendu au sens metaphysique du terme. Apres avoir degage les fondements de la doctrine platonicienne de la liberte, demontre comment ceux-ci se trouvent deja chez platon, bien avant les stoiciens, nous entrons au vif du sujet. La recherche de l'origine de la liberte nous ayant revele l'interet vif et fondamental de platon pour une liberte de type interieur, nous nous interrogeons a present sur sa signification et son elaboration. Aussi, au niveau des parties 1 et ii, nous examinerons les notions de l'un et de l'etre. Notions fondamentales pour la conception platonicienne de la liberte. Parties purement metaphysiques que ces deux parties, dans lesquelles nous essayons de montrer comment chez platon la liberte decoule tout naturellement de l'etre. Cette liaison, les textes analyses au cours des parties iii et iv, la montrent davantage. Or, qu'il aspire a gouverner, tel alcibiade, qu'il represente le philosophe, tel le prisonnier de la caverne, qu'il accepte heroiquement la mort, tel socrate dans le phedon ou, enfin, qu'il apparaisse sous le jour de l'amoureux, l'homme en quete de l'etre est toujours en meme temps le chevalier a la recherche de la liberte. Ces deux quetes n'en font qu'une. Au terme de ce travail, qui comporte egalement 4 annexes, nous evoquons l'actualite de la doctrine platonicienne de la liberte en sa relation avec l'etre<br>The purpose of this study is to attempt to explain the relationship between being and metaphysical liberty as conceived by plato. First, we shall study the origin of this problem, so as to prove how plato, before the stoiciens, has formed and developed the doctrine of metaphysical liberty. Then we will proceed as follows : in part one et two, will be envisaged plato's doctrine of being and the way it fits together with his conception of internal liberty. Part three studies the articulation between liberty and man's being. Part four, will examine some further texts related to the concrete research of being and liberty. In conclusion, we will show how both plato's doctrine of being and his conception of liberty are relevant to the current era
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Troncoso, Alfredo. "La critique platonicienne de la philosophie presocratique." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 1992. http://www.theses.fr/1992STR20017.

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Abstract:
Etant donne que, par rapport a aristote, platon n'est pas tres important en tant que source des textes de philosophie presocratique, les historiens de la philosophie ancienne ont neglige l'etude des interferences platoniciennes dans notre comprehension des premiers philosophes et se sont plutot concentres sur la determination des interferences provenant de l'oeuvre du stagirite. Pourtant, bien que beaucoup moins explicite, la critique que platon a fait de ses predecesseurs est de premiere importance et doit etre rendue explicite pour qu'elle puisse cesser d'agir comme obstacle a leur comprehension. Tout en supposant que ce qui sert a voiler peut servir a montrer, une fois explicite, ce travail essaie de rendre manifeste la critique qu'a fait platon de ses devanciers a travers le rejet des poetes, la refutation des sophistes, et , bien entendu, les passages plutot rares ou il les faits apparaitre directement<br>Considering that aristotle is much more important than plato as a source for presocratic philosophy, our ancient philosophy historians have ommited a thorough study of platonic interferences on our comprehension of early greek philosophy and have instead focused their attention on establishing peripathetic interference. However, although much less explicit, plato's criticism of this predecesors is extremely important and must be rendered explicit if it is to cease being an obstacle to their comprehension. Assuming that what serves as a veil may serve to show, once uncovered, this research attempts to uncover plato's criticism of his predecesors by analysing his rejection of poetry, his refutation of sophistry and, of course, those rare passages where the presocraticsare directly concerned
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Papamichaīl, Elenī. "L'unité de la pensée platonicienne de l'être." Paris 4, 1995. http://www.theses.fr/1994PA040361.

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Abstract:
La pensée platonicienne de l'être n'évolue pas chronologiquement au cours des différents dialogues. Elle est caractérisée par une unité rigoureuse. Cette unité réside dans le fait que des dialogues du début jusqu'au tout dernier dialogue, les "lois", Platon répète en réalité la même théorie ontologique, bien qu'avec des variations dans le style d'écriture et dans la présentation des thèmes, laquelle est en général moins explicite et non-spécialisée dans les dialogues antérieurs au "Phédon", entièrement explicite et spécialisée dans les dialogues partant du "Phédon". En ce sens, la théorie platonicienne de l'existence ontologique séparée des idées et de la participation du sensible, réel et non pas illusoire, à l' intelligible, n'est ni absente des dialogues du début en tant que non encore conçue telle quelle, ni modifiée ou complètement abandonnée et remplacée par une autre après le "Pharmenide", suivant laquelle, les idées, possédant des rapports mutuels, ne seraient plus conçues que comme de purs concepts mentaux ou comme des êtres doués désormais de mouvement. D'ailleurs, les participations entre les idées elles-mêmes n'apparaissent pas pour la première fois dans le "sophiste". Elle aussi constituent un élément présent dans tous les dialogues<br>Plato's thought of being does not involve chronologically in the course of the different dialogues. It is characterised by a rigorous unity. This unity lies in the fact that from the early dialogues to the very last, the "laws", Plato actually repeats the same ontological theory, albeit with variations in the style of writing and the presentation of the themes. This presentation is in general less explicit and unspecialised in the dialogues preceding "Phaedo", completely explicit and specialised in the dialogues from "Phaedo" onwards. In this sense, the platonic theory of the separate ontological existence of ideas and the participation of physical objects, real and not illusory, in the intelligible, is neither absent from the early dialogues through lack of conception, nor modified or completely abandoned and replaced by another after "Parmenides", according to which the ideas, possessing mutual relations, would no longer be conceived other than as pure mental concepts or as beings subsequently endowed with movement. In any event, the mutual communion of the ideas does not appear for the first time in the "sophist". This is also an element present in all the dialogues
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