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Dissertations / Theses on the topic 'Platon – Et la morale'

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1

Bouvier, Julien. "La statuaire morale de Platon." Phd thesis, Université de Grenoble, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00942269.

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Abstract:
La statuaire morale de Platon est l'activité "modelant par la parole" (République, IX, 588 b 10) de "multiples statues de l'excellence" (Banquet, 222 a 3-4) et consistant aussi à "se façonner soi-même" (République, VI, 500 d 6) d'après elles. Elle implique donc un double cheminement: l'un va des images contenues dans les Dialogues, aux valeurs qu'elles désignent, tandis que l'autre conduit à envisager l'éthique platonicienne comme une forme particulière d'art de l'existence. Sur ce second point, la thèse soutenue se situe ainsi dans l'optique de la pensée de Michel Foucault. Sur le premier point en revanche, elle a consisté à interroger le statut du langage platonicien, la nature des procédés rhétoriques mis en œuvre, ainsi que celle des figures utilisées. Ce double examen permet d'affirmer que la définition de l'éthique platonicienne comme statuaire morale n'est pas une simple métaphore: c'est une image, mais qu'il faut situer parmi les multiples images forgées par Platon. Elle se révèle alors apte à orienter la lecture et la compréhension des Dialogues.
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2

Zaks, Nicolas. "Apparences et dialectique dans le Sophiste de Platon." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2016. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/229153.

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Abstract:
Apparences et dialectique dans le Sophiste de Platon (résumé) A la différence des commentateurs qui estiment que seul le cœur du Sophiste (236d-264b), voire seule la partie constructive de ce cœur (251a-264b), est digne d’intérêt, j’ai tenté de produire, dans ma thèse de doctorat, un commentaire qui parvienne à articuler les différentes parties du Sophiste et à mettre en évidence leur unité. Pour restituer cette unité, il m’a semblé plausible et fécond de me concentrer sur la différence entre les apparences (ou les jugements perceptifs, cf. 264a-b), qui peuvent être vraies ou fausses, et la dialectique (ou la science suprême, cf. 253c), qui ne peut pas ne pas être vraie. Cette distinction correspond en effet à la distinction fondamentale et structurante pour le platonisme entre la doxa et l’epistêmê que les commentateurs semblent le plus souvent négliger quand ils interprètent le Sophiste. L’effort de ma recherche consistait donc à montrer que, dans le Sophiste, Platon, loin d’oublier que la science et l’opinion diffèrent, maintient une distinction entre, d’une part, l’expérience interrogative, dialogique et productive de la connaissance, dont le critère de vérité est la cohérence avec soi-même, et, d’autre part, l’acte prédicatif et propositionnellement structuré consistant à juger, dont le critère de vérité est la correspondance avec son objet empirique. La progression argumentative du Sophiste confirme une telle thèse. En effet, opérer le distinguo entre dialectique et apparences permet d’expliquer pourquoi, dans la coque du dialogue (216a-236d ;264b-268d), la méthode de division, qui est la méthode propre à la science dialectique, est appliquée au sophiste de sept façons différentes. C’est que l’étranger cherche, en entrelaçant méthodiquement des déterminations, à clarifier dialectiquement les différentes façons dont le sophiste apparaît à lui-même et à Théétète. Dans cette lecture, seules ces différentes apparences sont susceptibles d’être vraies ou fausses ;les entrelacements dialectiques qui permettent de les expliciter ne peuvent, quant à eux, qu’être vrais. En outre, la partie qui opère la transition de la coque au cœur du Sophiste (232b-236d) peut se lire comme une thématisation progressive du rôle de l’art sophistique dans la production des apparences qui le concernent. Il est vrai que cette partie transitionnelle est aussi l’occasion, pour l’étranger, de basculer vers le paradigme de l’image. Cependant, j’ai essayé de montrer que ce basculement intervient dans le but de réserver au sophiste la production d’apparences fausses intrinsèquement associées à tout type d’image et singulièrement aux simulacres. Quant à la partie aporétique (236d-251a) du cœur du Sophiste, elle se lit volontiers comme un travail extrêmement complexe de mise au jour des incohérences qui surgissent lorsque sont suivies, relativement à l’être et au non-être, les apparences non-conformes qui gouvernent les spéculations pré-platoniciennes. Restait à démontrer l’applicabilité de ma thèse à la partie constructive du cœur du dialogue. Schématiquement, j’ai cherché à montrer que le coup de force de l’étranger contre Parménide (251a-259d) n’a pas pour fonction d’établir une ontologie pour la prédication (comme on le croit le plus souvent), mais qu’il permet principalement d’assurer les conditions de possibilité de la dialectique (cf. 259d-260a). Une telle façon d’envisager les choses dissout la plupart des problèmes soulevés par la littérature secondaire concernant cette partie du Sophiste :puisque l’étranger ne considère pas que le mélange du Mouvement avec les autres très grands genres donne lieu à des « états-de-choses » complexes rendant vraies ou fausses des propositions structurées prédicativement, mais qu’il estime plutôt que ce mélange garantit la disponibilité d’un genre unique susceptible d’être divisé dialectiquement, il n’est plus nécessaire d’arracher du cœur du dialogue une distinction anachronique entre l’identité et la prédication (256a-b) ni d’y trouver à tout prix une explication de la prédication négative (257b-c) ou de la raison pour laquelle le Mouvement n’est pas prédicativement au repos (252d, 254d, 255a). Enfin, c’est seulement après avoir effectué ce coup de force garantissant la possibilité de la science dialectique que l’étranger peut, en adaptant sa nouvelle conception du non-être comme altérité à la structure des énoncés, des jugements et des apparences, démontrer la possibilité de la fausseté de ces phénomènes (260a-264b). Une telle logique argumentative conditionnant la fausseté de l’opinion à une clarification préalable de la science est en accord complet avec le programme annoncé par Socrate en Théétète 200c-d et confirme définitivement ma thèse.
Doctorat en Philosophie
info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Mathonat, Bénédicte. "Les principes de la formation morale dans la tradition judéo-chrétienne et la philosophie grecque Platon, Aristote, le stoïcisme." Paris 4, 1985. http://www.theses.fr/1985PA040071.

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4

Monteils-Laeng, Laetitia. "L'akrasia dans la philosophie ancienne : une étude de la boulèsis et de l'hexis de platon aux stoïciens." Caen, 2010. http://www.theses.fr/2010CAEN1604.

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Abstract:
Cette étude, « L'akrasia dans la philosophie ancienne. Une étude de la boulèsis et de l'hexis de Platon aux Stoïciens », se propose de mesurer l'ampleur des bouleversements induits en matière de psychologie morale par le questionnement du conflit de l'âme et de l'incontinence (akrasia) dans la philosophie antique, au travers de deux notions spécifiques, la boulèsis (souhait/désir rationnel/aspiration) et l'hexis (disposition/habitus). Il s'agit plus précisément de montrer que de Platon aux Stoïciens, en passant par Aristote, se produit un affaiblissement progressif de l'intellectualisme moral qui conduit certes non pas à une conceptualisation de la volonté comprise comme faculté de détermination de l'agir indépendante de la raison mais à une compréhension des composants de l'agir où notre état cognitif est solidaire d'une tension de notre vouloir
This work, « Akrasia in Ancient Philosophy. A Study on boulèsis and hexis from Plato to Stoics », means to assess the extent of the modifications induced in moral psychology by the examination of mental conflict and incontinence (akrasia) in ancient philosophy through two specific notions, boulèsis (wish/rational desire/aspiration) and hexis (disposition/habitus). We want precisely to show that, from Plato to the Stoics via Aristotle, a progressive weakening of moral intellectualism takes place which doesn’t lead to a conceptualization of will defined like a faculty of determination of the action independent of reason, but to an understanding of the elements of the action where our cognitive state is bound up with a tension of our willing
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Aluze, Vincent. "Rhétorique et politique dans les "Librorum deperditorum Fragmenta" d'Aristote : avec présentation, édition, traduction, annotations et commentaire des fragments relatifs à la rhétorique, à l'éthique et à la politique." Thesis, Aix-Marseille, 2016. http://www.theses.fr/2016AIXM3111.

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Abstract:
La thèse examine la relation de la rhétorique, de l’éthique et de la politique dans les fragments des œuvres perdues d’Aristote, et la recherche porte plus largement sur le lien de cette relation avec l’ensemble de la philosophie d’Aristote. Cette étude tente donc de savoir si Aristote, par opposition à ses prédécesseurs, est bien « l’inventeur » de la rhétorique – à laquelle il confère le rang de technique avec une méthode et un objet propres dans le traité éponyme – dès ses premières œuvres de jeunesse, ou bien si sa conception a évolué au cours du temps. Ce faisant et en considérant les aspects éthico-politiques des ces œuvres perdues, l’examen discute les grandes hypothèses interprétatives qui ont été proposées à ce sujet pour soutenir la thèse d’une cohérence de la pensée d’Aristote plutôt que celle d’une évolution. L’étude comporte deux grands moments. Le premier consiste en l’édition, la traduction parfois inédite en langue française, et l’annotation des fragments des Librorum deperditorum relatifs à la rhétorique et la politique, avec la présentation des apparats critiques correspondants. Le second se consacre à l’examen de la cohérence de la pensée aristotélicienne au moyen du commentaire des fragments et de leur comparaison aux œuvres des sophistes (Protagoras, Gorgias, Isocrate, Lycophron), de Platon (Gorgias, Phèdre) et des traités aristotéliciens. Pour ce faire, le travail propose une étude lexicale du vocabulaire employé par Aristote, une analyse philosophique de certains concepts importants (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justifiée par leur emploi dans les fragments et le reste du Corpus aristotelicum, et une exégèse d’ensemble
The thesis investigates the relationship between rhetoric, ethics and politics in the fragments of Aristotle’s lost works, and more globally its relation in Aristotle’s entire philosophy. This study intends to understand if Aristotle, in opposition to his predecessors, is the « inventor » of the rhetoric – to which he awards the value of technique with a proper methodology and object in the eponym treatise – from is early years works, or if his conception of it evolved in time. In doing so, and considering the ethico-political aspects of these lost works, the thesis discusses the main interpretative hypothesis that have been proposed on this subject in order to support the theory of Aristotle’s thought consistency, more than its evolution. The study stands in two main parts. The first one consists in the edition, the translation sometimes unprecedented in French language, and the annotation of Librorum deperditorum’s fragments related to rhetoric and politics, including the corresponding critical apparatus. The second inspects the consistency of Aristotle’s thought using the fragments’ comments and in comparison to the works of the sophists (Protagoras, Gorgias, Isocrates, Lycophron), of Plato (Gorgias, Phaedrus) and of the aristotelian treatises. To proceed, a lexical study of the vocabulary used by Aristotle, a philosophic analysis of a few main concepts (andreia, eleutheriotês, eugeneia, metron, orgê, phronêsis) justified by their presence in the fragments and the rest of the Corpus aristotelicum, and a comprehensive textual exegesis have been undertaken
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Mongenais, Catherine. "La violence de vivre : suivi de Catharsis, création et propagation de l’espoir." Thesis, Université d'Ottawa / University of Ottawa, 2017. http://hdl.handle.net/10393/36612.

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Abstract:
Cette thèse en création littéraire comporte d’abord un roman jeunesse : La violence de vivre centré sur Katharos, un jeune homme tourmenté par son passé. Au fil des pages, ce personnage principal vivra une chute morale. Le roman narre un destin semblable à celui de toute autre personne ayant traversé l’humanité : c’est l’histoire de la rencontre d’une âme avec la douleur, des choix qui résulteront de cette rencontre et de leurs effets. Néanmoins, c’est également un roman qui montre les fréquentations, les amitiés ainsi que les liens familiaux du personnage et à quel point ces gens qui l’entourent peuvent ajouter à ses souffrances ou alors faire germer en lui force et espoir. Le deuxième volet de la thèse porte sur la question de l’écriture en tant qu’instrument pour produire une catharsis chez le lecteur. Cette deuxième section est divisée en deux chapitres : le premier portant sur la théorie aristotélicienne de la catharsis, le second analysant La violence de vivre sous la lunette de la catharsis. Ainsi, ce volet théorique cherche, d’une part, à définir la catharsis selon Aristote et les éléments qui participent à la construction de cette notion; d’autre part, à déterminer si La violence de vivre parvient à déclencher ou non une catharsis pour ses lecteurs. Somme toute, il n’y a qu’une énigme au cœur de cette thèse. Comment peut-on, en création, employer l’écriture pour transformer le lecteur? Plus particulièrement, peut-on diriger cette catharsis du lecteur de manière à lui prodiguer de l’espoir?
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Donnet, Benoît. "Heidegger et la question du mal." Thesis, Université Clermont Auvergne‎ (2017-2020), 2018. http://www.theses.fr/2018CLFAL003.

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Abstract:
« C’est seulement lorsque nous nous ouvrons à ce qui est plein de secret et plein de grâce comme à cela qui nous donne proprement à penser, qu’il nous est aussi donné de penser ce que nous tenons pour la malignité du mal », notait Heidegger au moment de méditer la vérité de l’être dans l’exploration de la dimension inouïe au sein de laquelle elle se déploie, à l'heure de mettre fin à la philosophie pour commencer seulement à penser.Comment comprendre que l’expérience du mal ait pu accompagner le chemin de la pensée ? N’est-ce pas cette singulière concomittance qui en éclaire, à l’époque du nihilisme, l’implacable urgence, ainsi que l’indifférence apparente aux questions éthiques ? Car si le mal est accessible à la pensée par delà la différence ontologique, c'est qu'il n’est pas qu’une valeur et excède la législature de la morale. Que signifie-t-il alors et que peut vouloir dire en lever le règne ?Répondre à cette question n'ira pas sans impliquer un retour sur la signification philosophique et théologique du mal, au moment d'en attester, à l'instant de penser, l'incomplétude. Le champ dans lequel Heidegger a pu de manière ou d'autre faire sienne cette tâche n’implique-t-il pas alors de soustraire au silence sa singulière relation au christianisme, dont la morale à laquelle il s'agit de retrancher la vérité du mal porte aussi la trace ?Et si la pensée de l’Ereignis s’accomplit comme surmontement de tout mal, si c’est la paix des choses et des mortels qu’il s’agit d’y construire, la résonance du silence qui structure la langue pour en faire le plus haut de ses modes et dont nous recevons en y répondant ce que nous avons de plus propre, le dire, de quelle paix la pensée en chemin peut-elle porter l'annonce ? Quel sens revêt à cet égard la responsabilité dont l’essence de la langue nous rend face à l’être, titulaires ?
As he takes to addressing the question of being, Heidegger writes: « Only when we open ourselves to what is full of secrets and full of grace as we do to something that makes us think, are we also enabled to think what we consider as the malignancy of evil. »How is one to understand that the experience of evil goes along with the path of thinking ? Is it not this concurrence alone that can explain why evil seemingly ignores ethical questions ? For one can think of evil beyond mere metaphysics as it is not only a value and overrides the laws of morality. What is, then, the meaning of evil, and what could it possibly mean to undo its domination ? Answering this question necessarily implies to reassess the philosophical, and biblical, meaning of evil, with its incompleteness being asserted as the thinking process begins. Aiming at uprooting the truth of evil out of the Christian morality, marked as it is by silence, one wonders whether the field in which Heidegger sets out to make this task his own in one way or another, indeed involves to remove silence off its special relationship to Christianity ?
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Lanza, Jean-François. "The search for public virtue." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/tape15/PQDD_0009/NQ36291.pdf.

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Piérart, Marcel. "Platon et la cité grecque : théorie et réalité dans la constitution des "Lois /." Paris : les Belles lettres, 2008. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41327810r.

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10

Coquio, Henri. "Platon : l'être et l'image." Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA010636.

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Abstract:
La thèse a pour objet le statut ontologique de l'image chez Platon, lequel convoque l'ensemble de la philosophie platonicienne. L'image revêt à la fois un sens noétique, comme représentation, renvoyant à la mimesis, et un sens ontologique, comme autre que l'essence, désignant un certain non-être. Dans un premier temps, il s'agit de distinguer l'image de l'Idée en général; dans un second temps, de penser la relation de l'image et du langage à travers une interprétation du Cratvle. Les deux derniers moments sont consacrés respectivement à la question de l'image dans son rapport au monde, et à la question de l'image dans son rapport à l'homme au sein de la culture.
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Gahe, Gohoun Rosine Cinthia. "L'idée platonicienne d'une réforme morale en politique." Paris 8, 2008. http://www.theses.fr/2008PA082930.

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Abstract:
Platon a soumis la question politique aux perspectives de mise en œuvre de réformes morales radicales. La présente thèse s'efforce, dans un premier mouvement, d'en reconstituer les éléments dans quelques dialogues platoniciens exemplairement consacrés à cette question, en s'attachant en particulier au motif du souci de l'âme. Rencontrant sur cette voie les lectures qui l'ont précédée dans l'étude et la revalorisation de ce thème, elle leur consacre son deuxième mouvement d'analyse en examinant l'appui que Michel Foucault a trouvé dans la dimension du "souci de soi" pour dépasser l'unique historicité politique d'une succession de configurations du pouvoir, ainsi que le mouvement ascendant du "soin de l’âme" par lequel l'exigence d'une vraie politique pouvait continuer de résister pour Jan Patočka à la déchéance des régimes temporels. Ces deux reprises explicites des puissances politiques du souci et du soin éthiques sont alors confrontées, d'un côté à la querelle introduite par Léo Strauss au sujet des contributions concurrentielles de la philosophie et de la poésie au bien politique, d'un autre côté aux évaluations de la politique que Max Weber proposait d'opérer à partir de la distinction entre une éthique de la responsabilité et une éthique de la conviction. Un dernier mouvement de la thèse discute le problème politique des Etats d'Afrique subsaharienne en suggérant d'identifier la puissance éthique de renouvellement du politique, dont Platon avait fixé le lieu dans un savoir conçu moins comme connaissance des choses que de soi-même et finalement comme porteur d'une conduite vertueuse parce que permettant la distinction des choses appartenant à soi, aux autres et à la cité, à la force de loi contenue dans les Etats de droit
Plato subjects the political issue to prospects of implementation of radical moral reforms. As an opening, this thesis attempts to piece the elements together through some Platonician dialogues quite specifically devoted to this issue, focusing particularly on the motive of the concern for the soul. In convergence with the previous assessments made in reviewing and reasserting this issue, the second part of this thesis focuses on these assessments examining the support Michel Foucault found out in the "self-concern" dimension in order to go beyond the mere political historicity of the succession of power configurations as well as the ascending movement of "soul care" through which the requirement for a genuine policy could continue to withstand, in Jan Patočka's view, the decline of time-bound regimes. Both explicit resumptions of the political powers of ethical concern and care are thus confronted, on the one hand, with the debate initiated by Léo Strauss about competitive contributions of philosophy and poetry to politics and, on the other hand, to the assessments of politics Max Weber proposed to conduct based on a distinction between the ethics of accountability and an ethics of belief. The final part of the thesis discusses the political issue Sub-Saharan African States are faced with, and suggests identifying the ethical power lying in the renewal of politics which Plato had traced back to knowledge conceived of less as knowledge of things as knowledge of one’s self and, finally, as portending a virtuous conduct since it enables the distinction between things belonging to an individual, to others and to the state, the rigours of the law as enforced in constitutional states
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Tonning, Guillaume. "Courage et vérité : Platon et Nietzsche." Paris 10, 2006. http://www.theses.fr/2006PA100013.

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Abstract:
Platon se sert dans le Lachès du courage comme d'un outil pour accomplir une transvaluation en faveur de la vérité avant de le passer sous silence. Une lecture critique du dialogue fait apparaître cette double opération. Elle permet également de mettre en évidence les fondements d'une alternative au système de la vérité. Le courage devient, plutôt que son auxiliaire, le principe d'une connaissance renonçant à l'essence pour recevoir la chose dans l'intimité d'une peur accueillante. Cette possibilité d'une compréhension intéressée est reprise par Nietzsche qui, repensant dans le cadre de la volonté de puissance et de la lutte des forces la question du rapport de connaissance, fait du courage l'affect fondamental dont procèdent tout don et toute réception véritables. C'est alors, au prix d'une transvaluation à rebours, au sein d'un corps courageux et savant que la connaissance, conçue comme incorporation du flux, devient possible hors de toute référence à la vérité
In the Laches Plato uses courage as an instrument to accomplish a transvaluation in favour of truth and then makes it silent. A critical reading of this dialogue shows this double aspect and points out the basis of an alternative to the system of truth. Instead of becoming its auxiliary, courage become the principle of a knowledge which renounces to the essence to receive the thing into the intimacy of a welcoming fear. Nietzsche recovers the possibility of such a comprehension. Reconsidering the question of the relationship of knowledge in the setting of will to power and the struggle of forces, he makes of courage the fondamental affect from which derives all true giving and receiving. It is then that knowledge intended as an incorporation of the flux becomes possible outside any reference to the truth. This happen at the cost of an upside down transvaluation inside a courageous and learned body
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Lamarche, Vincent. "Constance et temporalité selon Platon." Lille 3 : ANRT, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37614902q.

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Ramón, Cámara Begoña. "Bien et principe chez platon." Thesis, Paris 10, 2016. http://www.theses.fr/2016PA100027.

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Abstract:
La thèse de doctorat Bien et principe chez Platon, écrite par Begoña Ramón et dirigée par les Professeurs Tomás Calvo et Francis Wolff, vise à combler une lacune dans les études sur l’Idée du Bien chez Platon. En fait, bien qu’on ait beaucoup écrit sur le Bien chez Platon, cette question d’intérêt constant n’a jamais été étudiée de manière adéquate et suffisante. Le présent travail tente d’apporter pour la première fois une définition du contenu et du sens du Bien claire, précise et systématique, qui permette d’expliquer la fonction fondatrice de cette Idée dans la philosophie de Platon tant pour l’éthique, la politique, la théorie de la connaissance que pour l’ontologie. Selon la méthode suivie dans ce travail, cette définition doit être inférée des textes mêmes de Platon plutôt que d’une spéculation sur ce qu’on appelle « les doctrines non écrites » du philosophe. En ce sens, on trouvera dans ce travail une interprétation de toute la philosophie de Platon — comprise comme un système unitaire et cohérent — basée sur une étude détaillée de dix dialogues fondamentaux pour le problème du Bien qui couvrent toutes les phases de la pensée platonicienne, à savoir, le Lysis, le Gorgias, le Phédon, le Banquet, la République, le Parménide, le Politique, le Philèbe, le Timée et les Lois
The doctoral thesis Good and Principle in Plato, written by Begoña Ramón and supervised by Prof. Tomás Calvo and Prof. Francis Wolff, fills a gap in the studies on the Idea of Good in Plato. Although a great deal has been written about the Good in Plato, this topic of permanent interest has never been studied in an adequate and sufficient way. The present work tries to provide for the first time a clear, precise and systematic definition of the content and meaning of Good that can explain the function that this Idea fulfills in Plato’s philosophy as the foundation of ethics, politics, theory of knowledge and ontology. According to the method followed in this work, that definition must be inferred from Plato’s texts themselves rather than from his so-called “unwritten doctrines”. Therefore, this dissertation offers an interpretation of Plato’s philosophy—understood as a unified and coherent system—based on a detailed study of ten dialogues that are essential for the problem of Good and that encompass all the phases of Plato’s thought, i. e., Lysis, Gorgias, Phaedo, Symposium, Republic, Parmenides, Statesman, Philebus, Timaeus, and Laws
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Brisson, Luc. "Mythe et philosophie chez Platon." Paris 10, 1985. http://www.theses.fr/1985PA100304.

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Kouam, Clément. "Science et politique chez platon." Lille 3, 1988. http://www.theses.fr/1988LIL30028.

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Helmer, Étienne. "Économie et politique chez Platon." Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010625.

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Abstract:
Les rapports de l' économie et de la politique chez Platon n' ont pas été étudiés car selon les historiens, l'économie ancienne était immergée dans la politique. De l'économie platonicienne ne furent retenues que les prescriptions données dans les Dialogues à son sujet. La rivalité perçue par Platon entre les acteurs économiques et le politique concernant l'édification de la cité n' a pas été perçu. Contre Xénophon, contre ce qu' Aristote lui attribue, Platon refuse d'assimiler le monde de l'économie et celui de la politique, et détermine les conditions nécessaires à l'autonomie de la politique, en discernant l'efficience politique de l' efficience économique. Car si l' économie fait matériellement la cité, elle peut aussi la défaire en raison du dérèglement que l' anthropologie de Platon attribue à nos appétits. La politique véritable fait faire la cité en vue de son unité, et en est la cause proprement dite. Pour que la politique soit possible, il faut donc rendre l'économie politique.
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Teisserenc, Fulcran. "Discours et image chez Platon." Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010550.

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Abstract:
Nous avons cherché à comprendre les raisons pour lesquelles Platon compare si fréquemment le discours à une image et jusqu'à quel point l'assimilation des deux est justifiée aux yeux de l'auteur. Nous avons divisé notre propos en trois parties: la première, située au niveau du nom et consacrée au Cratyle, examine dans quelle mesure il est possible de conférer à la ressemblance un pouvoir instituant dans le langage, et de reconnaître dans le mot l'image de la chose; la seconde, préparée par l'échec de la première tentative, recherche, en suivant les analyses du Sophiste, les modalités d'une correspondance réglée entre les entrelacements eidétiques et les combinaisons verbales de la proposition dialectique; la troisième, s'intéressant aux rapports entre discours, montre en quels sens un schème mimétique est susceptible de coordonner au discours dialectique les espèces inférieures du discours philosophique, qu'il soit cosmologique dans le Timée, ou politique dans la République
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Lamarche, Vincent. "Constance et temporalité selon Platon." Paris 4, 1988. http://www.theses.fr/1988PA040054.

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Abstract:
En dépit de ce que pourraient laisser croire les divisions du Timée (27d), Platon accorde aux êtres temporels une dignité et une constance réelles quoique relatives, en ménageant, au prix d'un double "parricide", la possibilité d'un moyen-terme entre le statut qu'il réserve à l'intelligible et celui que les relativistes assignaient au sensible. Il voit en l'existence du temps et en notre participation à ses "formes" (l'"était" et le "sera") un indice de la détermination du "devenir" par l'"être" et l'un des principaux gages de la bienveillance divine à notre égard. Dans le Philebe et le Parménide, il attribue enfin au temps la structure d'un mixte" d'"infini" et de "limite", et assure l'intelligibilité du devenir temporel au moyen de distinctions qui ne sont point sans évoquer celles dont Aristote fera usage dans sa physique
In spite of what the divisions of the Timaeus (27d) might suggest, Plato grants dignity and constancy to temporal beings, by allowing, thanks to a double "parricide", the possibility of an intermediate between the status he reserves to the intelligible and the one attributed to the tangible world by the relativists. In the existence of time and in our participation in its "forms" (the "was" and the "will be"), he sees an evidence of the interaction between "being" and "becoming", and a sign of divine concern. In the Philebus and in the Parmenides, he conceives time as a "mixture" of "limit" and "infinity", and settles the intelligibility of temporal becoming by means of distinctions which seem to announce Aristotle’s physics
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Laurent, Jérôme. "Procession et participation selon platon." Paris 4, 1989. http://www.theses.fr/1989PA040019.

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Abstract:
La pensee de plotin explique l'ordre du monde par un mouvement d'expansion de l'un absolument absolu au multiple plus ou moins organise de la nature. Cette procession est le resultat de l'activite parfaite des idees et de la temporaite de l'ame, nous avons voulu montrer quelle place centrale est laissee a la theorie platoncienne de la participation et comment le vitalisme poltinien ne s'explique que double d'une ontologie rigoureuse : les phenomenes sensibles sont donc fondes et par les intelligibles et par la derivation processionnelle. Quelle est la continuite des niveaux de la procession ? quel est le role des differentes sortes de raisons ? quelle est la place de la providence ? comment penser la matiere ? ces questions nous ont conduit a analyser les problemes de la beaute et de la laideur, de l'incarnation et de la mort et, d'une maniere generale, de la perfection et de l'imperfection. La complementarite de la procession et de la participation interdit de maintenir un dualisme strict, mais n'impose pas pour autant une interpretation emanatiste de plotin. La doctrine des deux actes, le dynamisme psychique et le role de la contemplation permettent a plotin de penser le monde indissociablement varie, comme l'etre lui-meme, et unique comme le premier principe
Plotinus'thought explains the state of things by a movement of expansion from the one, absoluetely absolue, to the more or less organized multiplicity of nature. Such a procession results from the perfect activity of ideas and temporality of soul. We aimed at demonstrating that a central place is given to plato's theory of participation and how plotinus vitalism cannot be understood without a rigorous ontolgy : thus, the sensible phenomena are founded by the intelligible ideas as well as processionary derivation. Which continuity should we attribute to the different levels of procession ? which role should we confer to the different sorts of logoi ? what is the place of providence ? how to think matter ? these questions led us to analyse the problems of beauty and ugliness, of incarnation and death. And, in general, problems of perfection and imperfection. The complementarity of procession and participation makes it impossible to maintain a strict dualism, but does not consequently allow us emanatistic interpretation of plotinus. The two-act doctrin, psychic dynamism and the role of contemplation let plotinus think that the world is varied, as the being is itself, and unique as the first principle
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Binayemotlagh, Saïd. "Etre et liberté chez Platon." Strasbourg 2, 1998. http://www.theses.fr/1998STR20021.

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Abstract:
Ce travail etudie le rapport entre l'etre et la liberte chez platon. Le mot liberte etant ici entendu au sens metaphysique du terme. Apres avoir degage les fondements de la doctrine platonicienne de la liberte, demontre comment ceux-ci se trouvent deja chez platon, bien avant les stoiciens, nous entrons au vif du sujet. La recherche de l'origine de la liberte nous ayant revele l'interet vif et fondamental de platon pour une liberte de type interieur, nous nous interrogeons a present sur sa signification et son elaboration. Aussi, au niveau des parties 1 et ii, nous examinerons les notions de l'un et de l'etre. Notions fondamentales pour la conception platonicienne de la liberte. Parties purement metaphysiques que ces deux parties, dans lesquelles nous essayons de montrer comment chez platon la liberte decoule tout naturellement de l'etre. Cette liaison, les textes analyses au cours des parties iii et iv, la montrent davantage. Or, qu'il aspire a gouverner, tel alcibiade, qu'il represente le philosophe, tel le prisonnier de la caverne, qu'il accepte heroiquement la mort, tel socrate dans le phedon ou, enfin, qu'il apparaisse sous le jour de l'amoureux, l'homme en quete de l'etre est toujours en meme temps le chevalier a la recherche de la liberte. Ces deux quetes n'en font qu'une. Au terme de ce travail, qui comporte egalement 4 annexes, nous evoquons l'actualite de la doctrine platonicienne de la liberte en sa relation avec l'etre
The purpose of this study is to attempt to explain the relationship between being and metaphysical liberty as conceived by plato. First, we shall study the origin of this problem, so as to prove how plato, before the stoiciens, has formed and developed the doctrine of metaphysical liberty. Then we will proceed as follows : in part one et two, will be envisaged plato's doctrine of being and the way it fits together with his conception of internal liberty. Part three studies the articulation between liberty and man's being. Part four, will examine some further texts related to the concrete research of being and liberty. In conclusion, we will show how both plato's doctrine of being and his conception of liberty are relevant to the current era
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Fontaine, Patrick. "Platon, non-philosophe." Paris 10, 2006. http://www.theses.fr/2006PA100051.

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Abstract:
L'embarras de la tradition à distinguer Platon et Socrate témoigne d'une réception traditionnelle de la philosophie : générale mais pas universelle. Nous renouvelons la lecture de Platon grâce à la non-philosophie de Laruelle, qui propose une approche universelle de la tradition. Laruelle pose le problème de la réception de la pensée, et Platon fait du personnage de Socrate la figure essentielle de la réception. Il y a une pensée platonicienne, en laquelle Socrate tient cette place déterminante d'être, dans un dispositif insurmontable, le pivot fondamental et révélateur. L'accueil est le signe d'un dispositif que Platon met en place : le dispositif de la réception de toute pensée selon l'identité humaine. Nous ne lisons plus Platon depuis la prise de parole de la tradition philosophique, mais selon le réel humain que Platon pose (et non pas " vise ", comme la tradition le croit). Nous posons, avec Laruelle, qu'il y a une pensée d'homme, depuis l'homme, selon l'homme en son immanence radicale, Platon en lui-même comme tout homme, réel
The embarrassment of the tradition to distinguish Plato and Socrates testifies to a traditional reception from philosophy : general but not universal. We renew the reading of Plato thanks to the not-philosophy of Laruelle, which proposes a universal approach of the tradition. Laruelle poses the problem of the reception of the thought, and Plato made of the character of Socrates the essential figure of the reception. There is a Platonic thought, in which Socrates holds this determining place to be, in an insurmountable device, the fundamental and revealing pivot. The reception is the sign of a device that Plato sets up: the device of the reception of very thought according to the human identity. We do not read any more Plato since the speech of the philosophical tradition, but according to human reality that Plato poses (and not "aims", as the tradition believes it). We pose, with Laruelle, that there is a thought of man, since the man, according to the man in his radical immanence, Plato in itself like any man, reality
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YANG, MYUNGSU. "Le fondement de la morale et l'utopisme de la technique ( morale ideologique et morale utopique )." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 1991. http://www.theses.fr/1991STR20003.

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Abstract:
L'utopie est une ethique, l'etique est une utopie. Le fondement de la morale est liee a l'utopie. C'est clair dans la tradition biblique. D'abord le personnalisme chretien. La moralite est a chercher dans la reponse a l'autrui, mieux a l'appel de christ qui integre l'appel d'autrui. La, le systeme des valeurs base sur le principe universel n'est pas possible. C'est le moment vital anterieur a l'identite du "pour soi" transcendantal, le moment anarchique prive de tout arche * l'utopie (u-topos). Et puis la tradition de la demythologization est une desacralisation de la nature et de l'histoire. Ni arche, ni telos, dieu nous invite a un monde autre. Ni juif, ni grec, l'identite chretienne detruit l'identite sacree ontologique et s'arrache a l'enracinement, aux superstitions du lieu. C'est la que l'homme est la condition de dieu. Le seul espoir de l'homme est l'humain. A cette esprit de la desacralisation joint la technique. Plus qu'outil ou machine, la technique apporte la possibilite d'etre autrement, la culture. Au-dela de l'horizon soteriologique, la technique est une technique de l'humain qui humanise ce qui est etranger a l'homme, en vertu de la conjonction eschatologique du "autrem:ent qu'etre" (novum) et du referentiel eschatique (eschaton)
The utopia is an ethic, the ethic is an utopia. The foundation of the morality is bound up with utopia. That is clear in the biblical tradition. Firstly the christian personalism. The morality is to be found in the response to the other person, or to the call of christ who integrate all of others. Here, the system of values founded on the universal principle is not possible. That is the prime moment of the life previous to the identity of the transcendental "for me", the anarchical moment far from any arche : l'u-topia (u-topos). Then, the tradition of the damythologization. The demythologization is the descralizeation on the nature and the history. Neither arche, nor telos, god invite us to the new world. Neither jew, nor greek, the chistian identity destroies the sacral and ontological identity ; she goes against superstitions of the place. It is here that the man is the condition of god. The hope of the man is the humain. To this spirit of demuthologization joint the technique. Beyond the soteriological horzon, the technique humanize the man because of the eschatological conjunction of "otherly than to be" (novum) and the eschatic referent (eschaton)
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Auffret, Thomas. "Mesure et juste mesure chez Platon." Thesis, Paris 1, 2014. http://www.theses.fr/2014PA010569.

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Abstract:
On examine ici deux concepts fondamentaux touchant la genèse et la structure du système platonicien, en proposant de les rapporter à deux modèles empruntés à la mathématique ancienne. Le premier est un postulat, usuellement désigné sous le nom d’axiome d’Eudoxe – Archimède, le second un algorithme de calcul : l’anthyphérèse. Tous deux ressortissent à la théorie mathématique développée par Théétète à la suite des travaux logistiques de Théodore ; il a semblé que leur articulation constituait le socle théorique de la réponse platonicienne à la thèse protagoréenne de l’homo mensura. On a suggéré de replacer cette dernière dans le cadre d’une polémique ancienne regardant la consistance du concept mathématique de mesure, dont la notion naïve fut remise en cause par la découverte successive des rapports incommensurables puis d’ensembles non–archimédiens : les angles mixtilignes. Cela impliquait de réexaminer les rapports possibles entre mathématiques et sophistique : on a choisi à cet effet l’exemple de la quadratrice d’Hippias d’Élis. Il convenait aussi d’envisager la liaison étroite qu’entretiennent la dialectique platonicienne et cette science métrétique rénovée que Platon nomme «juste mesure». On a tenté de montrer comment celle-ci pouvait informer certains procédés de celle-là, à partir de l’étude de quelques passages des dialogues qui jalonnent la dernière période de Platon. La théorie de la division appliquée aux Idées, comme l’analyse et la constitution des mixtes cosmologique, politique et individuel ont ainsi paru pouvoir être examinées dans le cadre de cette hypothèse
Two mathematical notions seem to structure Plato’s theory of measure. The first one is a postulate, usually known as the “Eudoxus axiom”, the other an algorithm called “anthuphairesis”. Both of them belonged to the mathematical theory developed by Theaetetus expanding Theodorus’ logistics. The main hypothesis of this work is that they constitute the core of Plato’s response against the Homo mensura thesis elaborated by Protagoras. We have thus proposed to replace Protagoras’ theory in the enlarged context of a serious crisis affecting the logical consistency of the mathematical notion of measure, provoked by the discovery of incommensurable magnitudes as well as non–Archimedean sets, exemplified by mixtilinear angles. This implied to examine anew the links between ancient sophistic and mathematics, and particularly Plato’s critics against Hippias’ quadratrix. It was also required to study the close relation between platonic dialectic and the new art of measurement exposed by Plato in the Statesman. Thus, by studying some passages mainly taken from Plato’s last dialogues, an attempt has been made to show how the higher art of measurement could inform dialectics. Plato’s theory of division, as well as the analysis and the generation of the mixed structures which constitute the universe, the city and the individual man have thus been tentatively reduced to this model
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Lendja, Ngnemzue Ange Bergson. "Platon, Lemaître et la question cosmologique." Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010544.

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Abstract:
Le démiurge de Platon et l'atome primitif de Lemaître sont deux intuitions inédites, que la thèse considère comme des artifices théoriques d'astronomie antiobservationnelle. La genèse de ces artifices renvoie à la thématisation présocratique de l'unité cosmique (1ère partie), principe matériel dans son éclosion ionienne, et principe abstrait dans l'école pythagoricienne (chap. 1 er). Platon institutionnalise les formes intelligibles et platonise les présocratiques (mathématisation du principe quadruple d'Empédocle et dépassement de la controverse être/devenir qui opposa éphésiens et éléates) (chap. 2). Lemaître, contemporain d'Einstein, est tributaire d'une unité cosmique marquée par la gravitation relativiste, qui disqualifie le système classique ayant, en son temps, déclassé le mouvement et les substances aristotéliciens (chap. 3). La théorisation (2ème partie) montre comment Platon fait du démiurge le concept axial de son astronomie géométrique, qui adjoint le monde sensible en devenir aux formes intelligibles, en n'en gardant que la trame (khora). L'univers est conforme aux normes mathématiques (proportion, symétrie, etc. ) (Chap. 4). La perspective dynamique de Lemaître émerge contre le modèle stationnaire d'Einstein/De Sitter, aristotélicien en son fond (Chap. 5). Au bout, deux configurations apparaissent (3ème partie) : sphérique et homogène, l'univers de Platon repose sur le triangle, figure fondamentale dont les combinaisons forment des enveloppes avec quatre polyèdres réguliers: tétraèdre, octaèdre, icosaèdre, hexaèdre. L'« âme du monde» en assure la dynamique (Chap. 6). D'interprétation quantique, la singularité cosmique de Lemaître développe le modèle d'un univers issu de l'explosion (big bang) d'un atome primitif : l’isotope du neutron (Chap. 7).
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Merker, Anne. "La vision chez platon et aristote." Paris 12, 2000. http://www.theses.fr/2000PA120058.

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Abstract:
Platon inscrit la vue dans une problematique touchant l'humanite d'une ame divine exilee dans un corps de forme humaine. La vision est le sens par lequel l'ame peut engager une sortie de cet exil pour retrouver son etat originel, mais aussi le sens par lequel l'eloignement vis-a-vis de ce qui est reellement peut encore augmenter. La definition des images speculaires joue dans cette problematique un role decisif ; l'image donnee par le miroir se forme sans aucune reflexion - fait generalement meconnu par l'exegese moderne -, et s'apparente a un veritable engendrement d'une realite de second ordre, une copie imitant un original. Par la, platon s'ecarte resolument de la voie qu'empruntait deja l'optique grecque, encore naissante a son epoque avec hippocrate de chios (contemporain de socrate), qui volatilisait l'image speculaire en une simple vision indirecte. La perspective d'aristote se separe totalement de celle de platon. Preoccupe avant tout par des questions epistemologiques, aristote prend soin de garantir a la vision une verite que le systeme platonicien lui otait. La couleur herite d'une realite nouvelle ; l'acte de la vision se voit octroyer une achronie radicale, qui garantit la simultaneite de l'etat de la chose vue et de la vision effective par l'ame de cet etat. Par cette achronie de la vision, c'est l'unite du temps lui-meme qui se trouve garantie. Mais la theorie d'aristote, developpee dans le de anima et le de sensu en relation etroite avec une problematique epistemologique de verite et de connaissance, se trouvera inoperante lorsqu'il s'agira de rendre comptede phenomenes (arc-en-ciel, halo) que l'optique grecque de l'epoque virtualisait par la reflexion. Aristote sera ainsi amene a delaisser localement sa propre theorie pour adopter une theorie de la vision par une emission hors de l'oeil, emission qu'il avait pourtant severement critiquee.
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KOKKORIS, PANAGIOTIS. "L'amour et le desir chez platon." Paris 4, 1988. http://www.theses.fr/1988PA040035.

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Abstract:
La problematique du desir compris comme un "projet" de l'ame raisonnable, a travers les dialogues de platon : alcibiade, gorgias et la republique, livre quatre, cinq et six. Cette premiere partie traite de l'aspect positif de l'amour. L'aspect negative de l'amour est aborde a travers le banquet et le phedre suivant la problematique de platon dans la problematique de platon dans le banquet : que signifie eros, quelles sont ses oeuvres ? cette these met en relief la creativite du desir erotique en particuliere le discours et met l'accent sur la personnalite de socrate qui incarne l'eros-figure de platon
The problematique of desire understood as a project of a reasonable soul through plato's dialogues : alcibiades, gorgias and the republique, books four, five and six. Part one treats the positif aspect of love. The negative aspect of love is aproached through "the synposium" and "the phaedros" following plato's problematic in the "symposium" : what is "eros" ? what are its works ? this thesis pleces the creative power of erotic desire in the foreground especially the discourse and places the accent on socrate's personality for socrates incarnates plato's "eros-figure"
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Bouttes, Bernard. "Platon et le debordement de l'etre." Paris 4, 1989. http://www.theses.fr/1988PA040091.

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Abstract:
Il s'agit de montrer, par la lecture de plusieurs dialogues platoniciens, le chemin inapparent et impense le long duquel la metaphysique de platon effectue sa percee, conquiert sa methode et pose les fondements de toute metaphysique future; ce chemin ne precede pas tel quel. Le texte platonicien et il ne s'agit donc pas de le re-constituer apres coup : il n'est en effet rien d'autre que le chemin de l'interpretation, depuis que "nous sommes un dialogue" avec la philosophie platonicienne (nietzsche, heidegger). L'interpretation semble faire violence aux textes : mais ce sont les textes eux-memes qui sont pris necessairement dans le rapt originel qui les laisse a eux-memes, a ce qu'ils decident comme tradition, a la finitude de ce qu'ils commencent ainsi. Ce rapt n'est rien d'autre que leur verite (aletheia), lisiere de leur texture, bordure fabuleuse qui les travaille et les de-borde sans les confiner. Puisqu'ils ne cessent de nous aborder et de nous interpeller "par dessus bord"
To's text, and the question is not to reconstitute it a posteriori; it is indeed nothing else than the way of interpretation since, as it has been phrased, "we are a dialogue" with plato's philosophy (nietzsche, heidegger). The interpretation seems to do violence to the texts, but the very texts are necessarily caught in the original rape which leaves them to themselves, to what they decide in the way of tradition, to the finiteness of what they have thus initiated. This rape is nothing else than their verity (aletheia), the fringe of their texture, the fabulous border which travails them, overbrims them without confining them, since they keep on addressing and challenging us, as it were, "overboard"
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Macé, Arnaud. "L'agir et le pâtir chez Platon." Paris 12, 2002. http://www.theses.fr/2002PA120046.

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Abstract:
Les dialogues de Platon ne semblent pas constituer un moment significatif de l'histoire de l'agir et du pâtir: ils présenteraient au mieux quelques intuitions, qui ne trouvent leur accomplissement que dans la doctrine aristotélicienne des catégories. Les passages qui, dans les dialogues, témoignent d'un usage technique de ces concepts n'indiqueraient que le fait que Platon, le temps d'un débat avec une autre pensée, en vient à parler le langage d'un autre. La présente étude a pour but de montrer que les dialogues témoignent au contraire d'un examen précis et systématique du sens de ces concepts, d'une critique de l'usage qu'en ont fait ses prédécesseurs, et d'une extension de celui-ci. Trois étapes peuvent être dégagées dans l'élaboration platonicienne de l'agir et du pâtir. Une première série de textes, situés pour l'essentiel dans la période dite " socratique ", propose un examen des éléments et de l'ordre spécifique à la relation agent/patient, qui permet à Platon d'établir que les conceptions morales de ses contemporains manifestent une compréhension insuffisante des effets de l'action morale. Du Phédon aux Lois en passant par le Théétète, le Sophiste et le Phèdre, Platon se confronte à la façon dont ses prédécesseurs ont pu faire usage de ces concepts dans le domaine physique; il s'agit là encore pour Platon d'affirmer l'insuffisance de ses prédécesseurs quant à la compréhension de la causalité de l'action. Qu'il s'agisse de morale et de politique, ou de physique, il semble ainsi que personne n'ait su déterminer de manière satisfaisante ce qu'un agent fait à un patient, et, plus encore, ce qui constitue la chose la plus active dans l'univers, à savoir l'âme. La troisième partie du présent travail suit, à travers la République, le Timée et les Lois, la constitution d'une théorie générale de l'agir et du pâtir chez Platon, dans laquelle les interactions morales, politiques et physiques sont analysés dans les mêmes termes et conformément aux mêmes lois.
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Grasso, Elsa. "Copie, simulacre et vérité chez Platon." Aix-Marseille 1, 2003. http://www.theses.fr/2003AIX10043.

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Abstract:
Mettant en question une lecture qui détermine l'image, dans l'oeuvre de Platon, comme objet d'une critique aussi radicale que générale, cette étude entreprend de dégager une tendance platonicienne à distinguer deux formes de l'image : la copie et le simulacre (eikón et phantasma). Une première partie examine le sens de la copie dans les dialogues, son caractère de conformité, sa fonction didactique, sa valeur de représentation du modèle ou, en particulier, du logos. Une deuxième partie analyse la détermination, dans les dialogues, du simulacre comme représentation fausse, illusoire, ou plus radicalement comme apparence non évaluable en termes de vérité ou de fausseté. Une troisième partie est consacrée au Sophiste, qui exploite de façon structurelle la distinction des deux notions ; il s'agit de montrer que l'opposition des deux images s'y articule fondamentalement à celle de deux formes de logos, copie et simulacre constituant des figures de la vérité et de la fausseté du discours.
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Charcharé, Hélène. "Proust et Platon. Convergences linguistiques, érotiques et philosophiques." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCA017/document.

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Abstract:
La thèse intitulée Proust et Platon se fonde principalement sur les affinités qui unissent les deux génies. Bien qu’il y ait un écart temporel considérable entre eux, on essaie d’élaborer un rapprochement à trois temps. Une première partie est consacrée à l’étymologie et la philosophie du langage, à savoir à l’effort de Proust et de Platon afin d’établir la rectitude du nom par rapport à la chose qu’il représente. Dans un tout premier temps, on met pour lors le langage à l’épicentre de notre analyse, en s’efforçant de localiser les différentes tendances –cratylisme, hermogénisme, naturalisme, conventionnalisme– dans un dialogue capital : le Cratyle. En deuxième lieu, c’est l’étymologie qui ranime toute cette effervescence linguistique, en représentant un sujet pivotal chez Proust et chez Platon : elle questionne l’emploi des mots et des noms, ainsi que leur relevance avec la chose qu’ils représentent. L’autre grande théorie linguistique proposée est l’hermogénisme, dû à la théorie d’Hermogène chez Cratyle. Il prétend mettre en avant la thèse centrale du disciple de Socrate qui soutient que les noms sont justes en fonction d’une convention entre les interlocuteurs qui les utilisent. Dans un deuxième temps, c’est l’amour dans toutes ses manifestations qui prend le relais. Il est question de l’œuvre la plus délectable de Platon, le Banquet. On va commencer en mettant en avant le propre rôle du banquet en tant qu’institution dans l’antiquité. Là on trouve sans aucun doute le champ le plus fécond afin de parler d’éros adolescent, de l’androgyne, mais aussi d’ἀγάπη. Mais le Banquet a aussi son côté aristophanesque : en attribuant au grand comédien l’articulation de son mythe le plus célèbre, Platon a voulu peut-être mettre en lumière le côté le plus parodique de l’éros. Toutefois, ce mythe paradisiaque déclenche aussi l’examen de bien des thèmes qui concerne l’homosexualité en Grèce d’antan. La partie proustienne sur l’amour se consacre dans un premier temps à l’importance du banquet mondain, lieu d’apprentissage social, érotique et artistique pour le narrateur. Ensuite, il repose sur les différentes manifestations de l’ἒρως et de l’ἀγάπη dans la Recherche : amitié, inversion, procréation artistique. La dernière étape de la deuxième partie est vouée à la mort et l’au-delà dans l’antiquité grecque et les trois narrations de descentes à l’enfer dans le corpus platonique. On va constater que la mort constitue au même titre que l’amour le leitmotiv incontournable de la Recherche également. Pour la partie finale, on a choisi un titre sans doute déconcertant : Δεύτερος πλοῦς, seconde navigation. Par là, on voudrait souligner l’effort de Platon et de Proust d’atteindre les vérités les plus inabordables en empruntant des sentiers iconoclastes : pour Platon, il s’agirait de la réminiscence, de l’esthétique idéale et du mythe, tandis que la section proustienne est axée sur le temps et la mémoire, l’esthétique et les diverses techniques narratives de la Recherche. On espère qu’à la fin de cette recherche les reflets contigus mis en évidence dans les œuvres de Platon et de Proust se seraient convertis en éclats miroitants
The thesis entitled Proust and Plato is mainly based on the affinities between the two great figures of universal scope. Although there is a significant time gap between them, we have tried to develop an approximation in three distinct parts. The first part is devoted to etymology and philosophy of language, namely the effort of Proust and Plato to establish the correctness of the name against the thing it represents. At first, we put the language at the epicenter of our analysis, in an effort to locate the various tendencies, –cratylism, hermogenism, naturalism, conventionalism –, in a critical dialogue: the Cratylus. Secondly, it is etymology that revives the linguistic effervescence, representing a pivotal topic in both Proust and Plato: it questions the use of words and names, as well as their relevance with the thing they represent. The other great linguistic theory proposed is hermogenism, named after the theory of Hermogenes in the Cratylus, who argues that the names have been invented on the basis of an agreement between the people who use them. Secondly, it is love in all its manifestations that takes over: the focus is on the most delightful work of Plato, the Banquet. We will start by highlighting the role of the banquet as an institution in antiquity. These are without a doubt the mostappropriate surroundings to talk about pederasty, the androgyne, but also ἀγάπη. Nevertheless, the Banquet also has its Aristophanian side: by assigning to the great comedy writer the articulation of his most famous myth, Plato perhaps wanted to highlight the more satirical side of eros. However, this idyllic myth also triggers the review of many themes concerning homosexuality in ancient Greece. The Proustian part on love is dedicated initially to the importance of the aristocratic banquet, place of the social, romantic and artistic initiation of the Narrator. It is furthermore based on the different manifestations of ἒρως and ἀγάπη in the novel:friendship, homosexuality, artistic procreation. The last stage of the second part is dedicated to death and the beyond in Greek Antiquity and the three tales of nekyia in the Platonic corpus. We will underline the existence of it as a leitmotiv in the Proustian novel as well. The final section has a rather disconcerting title: Δεύτερος πλοῦς, a second navigation. Here, we would like to emphasize the effort of Plato and Proust to reach the most unfathomable truths by taking iconoclastic paths: for Plato, it would be reminiscence, Ideal aesthetics and myth, while the Proustian segment focuses on time and memory, aesthetics and the narrative techniques of the novel. We hope that at the end of this study the contiguous reflections highlighted in the works of Plato and Proust will have turned into dazzling sparkles
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Macé, Arnaud. "Platon, philosophie de l'agir et du pâtir /." Sankt Augustin : Academia Verl, 2006. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40235712k.

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Daouti, Panagiota. "Homère et Platon chez Maxime de Tyr." Thesis, Montpellier 3, 2015. http://www.theses.fr/2015MON30042.

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Abstract:
Le retour à la littérature classique et l'héritage culturel sont omniprésents dans les œuvres littéraires, rhétoriques ou philosophiques de l'époque de Maxime de Tyr. Maxime suit cette tradition puisque dans ses Dialexeis sont éparpillées des références aux auteurs qui le précèdent. Maxime est influencé surtout par Homère et Platon comme on constate en lisant ses Dialexeis, où il montre sa prédilection pour les deux grands maîtres. Quant à Homère on trouve des citations utilisées pour illustrer ou pour compléter le sens d'un ensemble des phrases du texte de Maxime. Quelquefois Maxime procède à un léger changement dans les vers homériques afin de les adapter à l'entité syntaxique de son propre texte. Il y aussi des références aux noms ou aux épisodes pris dans les épopées homériques. Maxime utilise aussi l'allégorie homérique pour véhiculer des idées ou développer sa pensée philosophique.L'influence de Platon est profonde et s'étend à tous les domaines de la pensée de Maxime : politique, religieux, artistique, mais surtout philosophique. L'auteur des Dialexeis se trouve devant le problème épineux de la réconciliation de la philosophie avec la poésie. C'est en utilisant les citations des épopées homériques que Maxime trouve une manière de parler des conceptions philosophiques. Autrement dit, les exemples pris dans le texte d'Homère sont surtout utilisés afin que Maxime rende plus claire et explicite sa parole chaque fois qu'il expose ses idées philosophiques. Maxime prouve dans l'œuvre même, qu'un poète peut être aussi un grand philosophe, scellant ainsi la coexistence et arrivant à la réconciliation entre Homère et Platon
The return to the classical literature and the evocation of cultural heritage are ubiquitous in the works of literature or those related to rhetoric and philosophy during the first centuries of the Roman Empire. Maximus of Tyr, who lived in the time of Commodus', follows this trend, as his Orations are full of citations or references to the works of his predecessors. However, he shows his preference for Homer and Plato, as their influence is evident in the Orations. As far as Homer is concerned, we mostly find citations that illustrate Maximus' text or complete the meaning of a series of phrases. Sometimes Maximus intervenes in Homer's text in order to adapt it to his own. Moreover, we can find references to names or to precise moments of the Iliad or the Odyssey, which are dispersed in the Orations. Maximus uses, also, the Homeric allegory in order to convey his thoughts about some philosophical issues such as the harmonious style of life, the pursuit of human felicity and the cultivation of a virtuous character. Plato's influence is also profound and it is extended to a wide range of Maximus' interests: politics, religion, art and mainly philosophy. Furthermore, in an effort to reconcile poetry and philosophy, Maximus uses the Homeric citations so as to develop more explicitly his philosophical conceptions, which, otherwise, would have stayed obscure. In this way he proves that a poet can be at the same time a great philosopher sealing the coexistence and bridging the differences between Homeric poetry and Platonic philosophy
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Sekimura, Makoto. "Réception et création des images chez Platon." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2006. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210799.

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Abstract:
L’objet de ce travail consiste à étudier systématiquement le rôle de l’image platonicienne en mettant surtout en relief les modalités des actions des hommes qui reçoivent et créent les apparences. Platon intègre la fonction de l’image dans son propre système de pensée qui porte sur la relation du sensible et de l’intelligible. Ce philosophe est très sensible à la modalité par laquelle les phénomènes apparaissent dans le champ de notre perception et oppose deux types d’apparence :l’image et le simulacre. L’image est une apparence qui invite le spectateur à saisir le modèle et à mesurer la proportion de l’apparence par rapport au modèle, tandis que le simulacre est une apparence qui trompe le spectateur en lui faisant prendre une illusion pour une réalité. L’opposition entre ces deux types d’apparence constitue l’ensemble de la motivation philosophique de Platon qui s’engage dans la lutte contre l’illusionnisme. C’est dans le Phédon que l’on peut découvrir la scène où émerge la conviction platonicienne à l’égard de cette stratégie fondée sur la mise en rivalité du simulacre et de l’image par la promotion de celle-ci. L’émergence de sa théorie innovatrice des images n’est pas indépendante de la formulation de l’idée selon laquelle les choses sensibles participent aux réalités intelligibles. C’est sans doute dans la République qu’il se préoccupe le plus de la mise en œuvre de cette idée en développant les questions qui concernent la réception et la création des images. Dans ce dialogue, ces deux actions sont étroitement reliées et synthétisées, pour former le système original de Platon, dans lequel le fondement de la théorie des Idées relève d’un certain dynamisme de l’action humaine qui crée et qui reçoit les images. Ce dynamisme se fonde notamment sur la fonction conductrice du tupos qui, comme principe, réglemente la perception et la création des images. On peut ainsi soutenir que la réflexion esthétique de Platon sur la fonctionnalité des images va de pair avec le mouvement intellectuel pour établir et développer la théorie des Idées.
Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie
info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Billier, Jean-Cassien. "Libéralisme et rationalité morale." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040116.

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Abstract:
Intimement lié au libéralisme politique, le libéralisme moral consiste à tenter de définir les principes d’une morale publique minimale rendant possible la garantie des désaccords moraux sur les conceptions du Bien. Il ne peut avoir de sens que de façon radicalement anti-perfectionniste, c’est-à-dire en refusant de comporter lui-même le moindre élément apparenté à une conception quelconque du Bien. Les fondations anciennes du libéralisme à partir des concepts d’autonomie et d’individualisme sont donc devenues impropres à justifier la neutralité axiologique idéale de la sphère publique. Ni l’autonomie ni l’individualisme ne font en effet partie des valeurs non-controversées que recherchent les libéraux anti-perfectionnistes contemporains. La justification et l’application des deux principes fondamentaux du libéralisme anti-perfectionniste, celui de la « non-nuisance » à autrui et celui de la « considération égale » apportée à chaque être humain, supposent d’une part un enracinement dans la culture politique démocratique et libérale qui s’est développée depuis environ deux siècles et d’autre part une reconnaissance de l’hétérogénéité des sources de nos délibérations morales qui sont définitivement faillibles dès qu’elles sortent de la tâche de fondation de ces mêmes principes par auto-compréhension de la communauté libérale. Le libéralisme moral anti-perfectionniste est ainsi opposé à tout relativisme moral tout en refusant également l’idée selon laquelle on peut découvrir un principe moral absolu et infaillible capable de résoudre nos dilemmes moraux : il ne propose qu’une morale publique qui n’ambitionne pas de répondre à l’ensemble des interrogations qui habitent nos vies morales personnelles
Moral liberalism, which is intimately linked to political liberalism, consists in trying to define the principles of a minimal public morality which makes moral disagreements on conceptions of Good possible. The only way it can have any meaning is by being radically anti-perfectionist, that is, by refusing to contain in itself the least element akin to any conception of Good. The former foundations of liberalism based on the concepts of autonomy and individualism have therefore become inappropriate in justifying the ideal moral neutrality of the public sphere. Neither autonomy nor individualism belong to the uncontroversial values sought after by contemporary anti-perfectionist liberals. The justification and application of the two fundamental principles of anti-perfectionist liberalism, that of to do no harm to others and that of equal respect for each human being, depend, on the one hand, on our moral beliefs being rooted in the liberal and democratic political culture that has developed over the past two centuries and, on the other, on the recognition of the heterogeneity of the sources of our moral deliberations which are completely fallible as soon as they abandon their fucntion of founding those same principles through the understanding internal to the liberal community. Anti-perfectionist moral liberalism is thus opposed to all moral relativism while, at the same time, rejecting the idea that an absolute and infallible moral principle capable of solving all our moral dilemmas could be discovered. All it has to offer is a public morality which does not seek to answer all the questionings which haunt our personal moral experience
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Pontier, Pierre. "Notions de trouble et d'ordre chez Platon et Xénophon." Rennes 2, 2002. http://www.theses.fr/2002REN20059.

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Abstract:
@Après avoir démontré l'importance du trouble et de l'ordre dans la pensée politique grecque, justifié le choix du corpus et situé précisément le concept dans la première moitié du IVe siècle av. J. C. , l'étude analyse comment le trouble s'exprime de façon lexicale dans les oeuvres de Platon et de Xénophon, avant d'examiner de façon thématique l'ancrage de la notion dans l'histoire grecque (en particulier ses liens avec la stasis), ses différents agents (jeunesse, rhétorique, personnel politique) et manifestations. Par la suite, le constat du trouble permet aux auteurs de proposer quelques remèdes fondés sur la dialectique socratique, l'élaboration d'un discours de l'ordre, puis sur des modèles d'ordre qui leur sont propres : le modèle militaire ; la cité de la République. Enfin, en vue d'établir l'ordre idéal de Platon et de Xénophon, l'étude révèle le lien existant entre ces notions et l'éducation dans la cité (grâce à la notion d'eukosmia). L'idéal de formation platonicienne repose en définitive sur une conception du monde que le mythe du Politique et le Timée dévoilent. Ces visions idéales où la notion d'"espace" joue un rôle décisif annoncent les projets politiques de la Cyropédie et des Lois. Il semble bien que la notion de "trouble" s'élargisse avec le temps et en fonction des évènements historiques, tout comme l'"ordre" politique proposé par Platon et par Xénophon
@Disorder and order are two seminal concepts at stake in Greek political thought, especially in the beginning of the 4th century B. C. : this work studies how these concepts are lexically inscribed in the works by Plato and Xenophon. The Greek words which signify "disorder" are used to provide an historical explanation of the stasis of the Greek poleis. Then, through this concept of disorder, the two authors aim at criticising youth, rhetorics and politicians. The imagery connected with disorder they use draws upon the conception of disease. As a matter of fact, this diagnosis allows the making up of remedies : socratic dialectics is the first solution based on paradox which influences Plato's and Xenophon's political thoughts. Indeed, as a philosopher, Socrates poises between trouble and order. The lexical analysis of Greek "order" shows how the purposes of Plato and Xenophon change. Both solutions, grounded on the reaction against historical confusion, are yet contradictory : the military ideal cannot be reconciled with the Kallipolis of the Republic. Nevertheless, this reaction paves the way to political projects which seem to correspond to an ideal evolution of the concepts which stresses the link between order and education (eukosmia) ; furthermore, the notions are important in Plato's mythical language (Politics and Timaeus). Finally, the Cyropaedia and the Laws present two political models which can be confronted in a subtle and personal vision of trouble and order. The notion of "disorder" seems to become more comprehensive in the 4th century : this evolution is stengthened by the accuracy of the final political projects described by Plato and Xenophon
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Labidi, Abdallah. "L'irrationalité mathématique chez Platon." Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010629.

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Abstract:
Platon ou plutôt la philosophie platonicienne a été influencée par les mathématiciens grecs. Cette influence que notre philosophe a subie des mathématiques est particulièrement perceptible dans le problème fatal de la géométrie grecque et presque de la pensée grecque, dans la théorie de l'irrationnel. La rencontre de l'irrationnel par les pythagoriciens venait, en effet, heurter les idées reçues sur la géométrie et sur la correspondance entre les éléments de cette science et le monde des nombres. Tout particulièrement la √2 ou plutôt le calcul approché de cette racine semble inspirer la méthode platonicienne de la dichotomie. En effet, de même que pour déterminer la valeur de la √2 on a procédé par l'encadrement par défaut et par excès, de même dans la dialectique dichotomique on a procédé par encadrement par le haut et par le bas à déterminer l'OUSIA de toute chose, et partant le logos. Ainsi le logos apparaît comme encadré par défaut, par l'infrasensible, et par le haut par, le suprarationnel : un logos encadré des deux cotés par l'alogos.
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Barbero, Daniel Robert. "L’ Archê chez Platon." Nice, 2005. http://www.theses.fr/2005NICE2026.

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Abstract:
Ce travail tente de présenter l’Archê comme un pli suréminent qui détermine le double champ sémantique de l’originaire et de l’autorité. Platon conforme le mot à l’usage courant, mais en ce qui concerne la chose, il nous a semblé que la pensée platonicienne tente d’en organiser la souveraine supériorité, l’extériorité, et la transitivité, selon le rapport de la mimêsis. A quelque échelon que ce soit de l’intelligible ou du sensible, le rapport mimétique possède la propriété de maintenir le modèle dans le retrait. Le modèle absolu (objet au livre VI de la République de la promesse du mégiston mathêma est le « souverain Bien ». En lui-même, le Bien se maintient dans un statut transcendant en se retirant au delà des essences ; et au niveau de sa traduction dans le logos, , le Bien se trouve maintenu dans la distance par la suspension du mode discursif dialectique, remplacé par l’analogie. Par nature, le Bien , conçu ou projeté comme Archê, est désimpliqué des chaînes causales qui se développent dans le devenir ; et de ce fait son pouvoir ne peut être que non coercitif. Le Bien, de même que l’ensemble de l’intelligible, se retire au sein de l’Aion, dont le temps n’est qu’« image mobile ». Si belle qu’elle apparaisse à l’âme étonnée du philosophe, la procession cosmique n’est qu’une dérivation analogique d’un modèle dont la beauté pure et simple a suscité dans la conscience du Démiurge l’émotion admirative et le désir imitatif. Le philosophe est donc l’homme qui, grâce au Noûs, mis en phase par l’ascèse sur l’Intellect démiurgique, ressaisit énergétiquement la beauté originaire et initiale de l’Archê dans la beauté dérivée des images dissipées dans l’inertie de la chôra. Cette ressaisie est appelée périagogê au livre VII de la République. Par définition inconsistante, l’image n’est cependant pas totalement illusion, non-être, car elle véhicule un résidu déclassé de l’être qui, traité comme support iconique, peut être converti en son modèle. Le philosophe, maître de lui-même par l’archontat du Noûs, est l’agent de cette libérale conversion vers l’Archê, alors que le philodoxe, esclave de son avidité épithumique, se laisse gagner par l’inertie de la chôra, et ne saisit les images que dans le sens processif qui dresse, entre sa conscience et l’être, un écran sur lequel ne manqueront pas de miroiter les simulacres rentabilisés par le sophiste. Le devoir du philosophe est donc de sauver les phénomènes en les rapportant à la souveraineté du modèle, et de sauver la cité en appliquant le modèle du Bien dans l’exercice éthique de l’arétê, et en se tenant prêt à assurer une souveraineté politique dont l’indexation sur l’Archê constitue une garantie suffisante contre toute dérive tyrannique
This work is trying to present the Archê as a supereminent fold that determines the double semantic area of the originary and the authority. Plato conforms the word to the current use, but concerning the thing itself, it appeared to us that the platonic thought tries to organize its sovereign superiority, exteriority, transitivity according to the relation of mimêsis. At whatever level of the intelligible or the sensible, the mimetic relation has the property of maintaining the pattern in pull back. The absolute pattern (object in the VIth book of the Republic of the promise of the mégiston mathêma) is the sovereign Good. In itself, the Good is maintaining itself in a transcendant statute withdrawing beyond the beings, and at the level of its translation in the logos, the good is maintained distant by the suspension of the discursive mode of the dialectic, replaced by analogy. According to its nature, the Good, conceived or projected as Archê is desinvolved of the causal chains that are developping themselves in the becoming, and because of that, its power cannot be anything but no-coercitive. The Good, as well as the whole intelligible, withdraws itself within the aion, of which the time is a mobile image. However beautiful it appears to the astonished soul of the philosopher, the cosmic procession is nothing but an analogic derivation of a pattern whose pure and simple beauty has determined in the conscience of the Demiurge the admirative emotion and the imitative desire. The philosopher is therefore the man who, by courtesy of the Noûs, accorded by the ascetism to the Intellect of the Demiurge, recovers energetically the originary ant initial beauty of the Archê in the derivated beauty of the images dissipated in the inercy of the chôra. This recovering is called périagogê in the VIIth book of the Republic. By definition insubstantial, the image is nevertheless no total illusion, no-being, because it vehicles a remainder declassified of the being, who, treated as an iconic support, can be converted to its pattern. The philosopher, master of himself by the command of the Noûs is the agent of this liberal conversion towards the Archê, while the philodoxer, slave of his epithumic greediness, gives himself up to the inercy of the chôra, and seizes the images only in the processive sense that sets between the conscience and the being a screen upon which will sparkle the pretences made cost-effective by the sophist. The duty of the philosopher is therefore to save the phenomenons reporting them to the sovereignty of the pattern, and to save the city applying the model of the Good in the ethic exercise of the arétê, and getting ready to assume a political sovereignty which indexation to the archê constitutes a sufficent guaranty of no-coercition to set the most efficient rampart against any drift towards tyranny
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Chareire, Isabelle. "Ethique et théologalité." Lyon 3, 1996. http://www.theses.fr/1996LYO31008.

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Abstract:
Prenant comme point de depart la critique nietzscheenne du christianisme ayant degenere en morale ce travail prend la mesure de cette analyse pour montrer que sa perninence est conjoncturelle, et non point structurelle (1er ch. ). Le dieu chretien n'est pas reductible au seul dieu de la moralite : l'ancien testament (2e ch. ) et le nouveau testament (3e ch. ) attestent de la gratuite de l'amour du dieu de l'alliance et du dieu chretien. S'inscrivant dans la ligne d'une ethique teleologique, la these degage les grandes lignes de l'ethique aristotelicienne (4e ch. ). Et analyse l'articulation operee par p. Ricoeur, dans "soi-meme comme un autre", entre les moments deontologique (morale kantienne) et teleologique (ethique) (5e ch. ). Le detour par thomas d'aquin permet d'introduire la dimension theologale de l'ethique chretienne (6e ch. ). A partir des concepts elabores par p. Ricoeur, la troisieme partie articule morale, ethique et theologalite. Loi et desir sont penses en lien avec la regle d'or (7e ch. ); la revalorisation de l'heteronomie par p. Ricoeur offre une nouvelle perspective pour penser la grace, et les notions d'attestation conviction, d'imputabilite, de responsabilite et de reconnaissance permettent de penser l'identite du sujet ethique chretien (8e ch. ). Enfin, l'ethique est pensee selon une dialectique entre agir et desir d'etre qui ouvre a la dimension ontologique et debouche sur une perspective eschatologique (9e ch. ). L'ensemble du travail est traverse par une reflexion sur le lien et l'ecart entre demarche philosophique et demarche theologique
The starting point of this work is the nietzschean criticism of christianity in the sense that it has degenerated into moral doctrine. This work shows that this criticism is relevant as regards some historical achievements of christianity but not as regards the fundemental nature of christianity (ch. I). The christian god is not the god of morality : the old testament and the new testament attest that the love of the christian god is of a free, spontaneous, disinterested nature (ch. Ii and iii). This thesis comes within the framework of teleological ethics : it brings out the main ideas of the aristotelean ethics and analyses the link made by p. Ricoeur, in "soi-meme comme un autre", between deontological and teleological dimensions. Thomas d'aquin is a means to introduce the theological dimensions of ethics (ch. Iv, v, vi). The third part uses the concepts developed by p. Ricoeur so as to link together the moral, ethical and theological dimensions. The golden rule is a determining element which enables to understand the link between law and human wish (ch. Vii). The reevaluation of heteronomy by p. Ricoeur allows to conceive grace; then notions of attestation conviction, imputability, responsibility and recognition enable to seize the identity of the christian ethical subject (ch. Viii). In chapter 9, ethics is thought of in terms of a dialectical movement between acting and the desire of being : this dialectic opens onto ontological and eschatological dimensions. The whole work is an analysis on philosophical and theological approaches
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Jouët-Pastré, Emmanuelle. "Le jeu et le sérieux dans les "Lois" de Platon /." Sankt Augustin : Academia Verl, 2006. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb401428187.

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Gaziaux, Éric. "Morale de la foi et morale autonome : confrontation entre P. Delhaye et J. Fuchs /." Louvain : [Paris] : Leuven University press : Peeters ; Peeters France, 1995. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36162641b.

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Abstract:
Th. de doctorat--Louvain-la-Neuve--Université catholique, 1994. Titre de soutenance : L'évolution de la référence au droit naturel dans l'œuvre théologique de Mgr Philippe Delhaye.
Bibliogr. p. 523-540. Index.
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Daviault, Marc-André. "Fondements et usages philosophiques du mythe chez Platon." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2012. http://hdl.handle.net/11143/6503.

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Abstract:
Notre hypothèse consiste à affirmer que Platon souhaite transformer le mythe pour des raisons épistémologiques. Constatant la difficulté de parler d'un sujet sans le limiter à la sphère de l'intellect, il voit en la mythologie l'occasion d'utiliser un autre type de discours qui admet une forme de contraction. Toutefois, il est nécessaire que ce type de mythologie soit différent de la forme habituelle. Nous constatons que certains mythes font l'objet d'un traitement particulier de la part de Platon et échappent en quelque sorte aux critiques qu'il adresse par ailleurs à la mythologie. Selon nous, ces mythes représentent la réflexion de Platon au sujet de la mythologie qui aboutit à la constatation qu'un " eikos muthos " est le meilleur discours possible dans un contexte qui ne se limite pas à une analyse intellectualiste. En effet, nous défendons l'idée que ces mythes vraisemblables, bien qu'ils ne puissent prétendre à la certitude, ont un degré de véracité supérieur aux mythes habituels. En d'autres mots, nous défendons l'idée que l'opposition entre logos et muthos n'est pas aussi catégorique et que Platon tente d'y introduire un troisième type de discours. Notre étude se consacre à trois de ces mythes; le mythe de Diotime, le mythe historique du livre III des Lois et le mythe de Timée qui, par la nature de son sujet, représente le paradigme de ce changement.
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Minesi, Gianmarco. "Dialectique et mathématique dans le Parménide de Platon." Thesis, Sorbonne université, 2018. http://www.theses.fr/2018SORUL201.

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Abstract:
Cette thèse de doctorat, intitulée “Dialectique et mathématique dans le Parménide de Platon” est une nouvelle lecture du Parménide de Platon, dont l’originalité réside essentiellement dans la tentative d’encadrer d’un point de vue mathématique la question de la « participation », qui est la question dialectique par excellence. Le but de la thèse n’est pas seulement de donner une interprétation cohérente et détaillée de toutes les parties du dialogue mais aussi d’aborder d’une façon atypique, via le Parménide, la problématique concernant la relation que la dialectique platonicienne entretient avec la mathématique. La thèse comprend huit chapitres et une introduction. L’introduction contient un état de la question et une panoramique générale des sujets affrontés. Le premier chapitre est un commentaire de la première partie de l’œuvre, le second est un commentaire de la partie intermédiaire, qui traite des indications méthodologiques de l’« exercice » effectué dans la deuxième partie. Le deuxième, le troisième, le quatrième et cinquième chapitre portent sur les trois premières « skepsis » (chacun sur une skepsis différent), et le sixième porte à la fois sur les deux dernières skepseis de la première hypothèse (si l’un est). Le septième chapitre, en revanche, traite des quatre skepseis de la deuxième hypothèse (si l’un n’est pas), alors que le huitième est une conclusion générale qui entend explorer d’une façon plus détaillée, à la lumière des résultats obtenus, la question des rapports entre Dialectique et Mathématique dans le Parménide, et introduire à la question du lien entre le Parménide et les témoignages indirects concernant les « άγραφα δόγματα »
This Ph.d. Thesis, entitled « Dialectics and Mathematics in Plato’s Parmenides », is a new interpretation of Plato’s Parmenides, whose originality lies in the attempt to focus on the problem of participation, namely the ultimate dialectical problem, from a mathematical perspective. The aim of this thesis is not only to ensure a detailed and coherent interpretation of all parts of the dialogue, but also to approach the problem of the relation between Plato’s dialectics and mathematics via the Parmenides, therefore in an atypical way. The Thesis contains an introduction and eight chapters: the introduction deals mainly with the current state of the research and provides an overview of the subjects that will be treated in the chapters. The first chapter is a commentary on the first part of the dialogue, the second is a commentary of the middle part, concerning with the methodological pattern of the “exercise” performed in the second part of the dialogue. The third, fourth and fifth chapters shall examine the first three “skepseis” (one skepsis for each chapter) of the first “hypothesis” (if the one is), while the sixth deals with the last two skepseis. The seventh chapter comment on the four skepseis of the second hypothesis (if the one is not) and, finally, the eighth is a general conclusion whose aim is to explore more extensively, according to the obtained results, the relation between Dialectics and Mathematics in Plato’s Parmenides, taking also into account some connections between the Parmenides and the so-called άγραφα δόγματα
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Merlier, Philippe. "Le soin de l'âme chez Platon et Patocka." Paris 8, 2000. http://www.theses.fr/2000PA081807.

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Abstract:
Restaurer le sens du concept grec d'âme et mettre hors circuit le subjectivisme moderne par une théorie phénoménologique de l'asubjectivité pour retrouver l'âme comme condition de l'apparition de l'étant : telle est la découverte profonde et originale de Patocka. Son oeuvre est centrée autour du thème du soin de l'âme, pré-métaphysique et fondateur de l'Europe; Elle inaugure une théorie nouvelle de l'âme, que j'appelle "pneumatophénoménologie". L'investigation commence par un ancrage philologique visant à déterminer les principaux champs lexicaux du soin de l'âme socratique dans les dialogues platoniciens dits de jeunesse. L'interprétation que fait Patocka du soin de l'âme le conduit à un platonisme négatif et à une théorie non substantialiste d'où émerge son concept d'asubjectivité, opérateur décisif dans le problème de l'apparition de l'étant.
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Pouraud, Christine. "La notion d'âme chez Platon." Paris 4, 1988. http://www.theses.fr/1987PA040414.

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Abstract:
La notion d'âme chez Platon est intimement liée à l'ontologie platonicienne. C'est parce que l'être universel , un + repos et mouvement , un + monde des idees , est lui-même " animé " , c'est parce qu'il contient une âme , l'âme universelle , qui n'est autre que le mouvement de relation entre les idées , que l'âme individuelle de par sa parenté avec l'intelligible , peut définitivement être conçue , à l'image de l'être , comme une entité mixte de même et d'autre , comme une entité-désir , capable de se tourner à la fois vers l'intelligible et vers le sensible. Au point de vue de la constitution de l’univers, nous avons été amené à penser que l'âme-mouvement ne nait pas au seul contact de l'espace et de la matière, comme l'a dit Plotin, qu'elle n'est pas uniquement médiatrice entre l'intelligible et le sensible , mais qu'elle est déjà dans l'intelligible lui-même , médiatrice entre l'un et les idées. Ainsi, c'est parce que l'âme universelle est présente dans la totalité de l’univers, que l'âme individuelle est capable de remonter toute l'échelle des étant-beaux, pour se perdre dans la contemplation de l'un
Plato's notion of the soul is closely linked to platonic ontology. It's because the universal being, one + rest and movement , one + the world of ideas , is himself " animated ", it's because he has a soul , the universal soul , which is the movement of ideas in relationship to each other , that the individual soul , by its kinship with the intelligible , may definitely be conceived , in the image of the being , as a mixed entity of self and other , as an entity-wish , capable of turning towards the intelligible and the sensible at the same time. Regarding the constitution of the universe , we've been lead to believe that the soul-movement isn't born only with the contact of space and matter , as Plotin said , that it isn't only the intermediary between the intelligible and the sensible , but that it's already in the intelligible itself , intermediary between one and the ideas. Thus, it's because the universal soul is present in the totality of the universe, that the individual soul is capable of climbing the ladder of beautiful beings, to lose himself in the contemplation of the one
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Bayet, Albert Isambert François-André. "Le suicide et la morale /." Paris : l'Harmattan, 2007. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41106107x.

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Saïd, Jaleleddine. "Morale et éthique chez Spinoza /." Tunis : Université de Tunis I, 1991. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35770766k.

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Pézieu, Gérard. "Garde nationale, morale et intégration." Reims, 1994. http://www.theses.fr/1995REIML010.

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Abstract:
Partant du constat que, parmi les grands problèmes que rencontre notre société, deux d'entre eux, - l'exclusion qui vise non seulement les chomeurs de longue durée, mais aussi les jeunes français, et parmi eux ceux d'origine maghrébine tout singulièrement, d'une part, - et l'évolution du nouveau contexte géostratégique qui remet en cause la posture de notre défense nationale, et tout particulièrement sa composante civile ainsi que la défense opérationnelle du territoire -, nous avons cherché à mettre en évidence comment, il y a deux siècles, la garde nationale avait pu mobiliser le peuple, tout en participant au prosélytisme pour les idées nouvelles, comme a la satisfaction d'un besoin sécuritaire. Jugeant de l'apport considérable de cette institution <>, tant au plan de la cohésion nationale, que de l'intégration des différentes régions du royaume, dans le développement du concept républicain de l'état-nation a la française, nous proposons la restauration d'une garde nationale moderne. Les objectifs assignes a celle-ci devraient contribuer a résoudre les deux problèmes d'intégration et de défense que nous évoquions plus haut. Le plan de la thèse comporte quatre parties. - la première analyse le comportement de la garde nationale au cours des premiers mois de la révolution. - la seconde étudie le phénomène de l'exclusion, puis de la ségrégation dont souffrent les jeunes générations, et tout particulièrement celles d'origine maghrébine. - la troisième partie fait le point sur l'attitude de ces jeunes vis a vis de l'armée, elle même en pleine évolution pour s'adapter au nouveau contexte géostratégique.
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Quérini, Nicolas. "De la connaissance de soi au devenir soi : Platon-Nietzsche." Thesis, Strasbourg, 2020. http://www.theses.fr/2020STRAC019.

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Abstract:
Tout en critiquant la morale occidentale ancrée selon lui dans la sentence delphique « Connais-toi toi-même», Nietzsche développe pour sa part un impératif qui est, selon nous, le prolongement naturel et nécessaire d'un « Connais-toi toi-même » bien compris. C'est donc à partir de l'injonction à devenir soi qu’il opère la critique de la morale issue elle-même de l’invitation à la connaissance de soi. Il ne s’agit toutefois pas de rabattre l’éthique nietzschéenne du devenir-soi sur la façon dont on peut comprendre ce syntagme chez Platon. L’usage qu’en propose Nietzsche est bien, selon nous, tout à fait singulier. On ne saurait nier, cependant, qu’il n’est pas non plus sorti du néant et que Nietzsche tire d’abord des enseignements de Pindare, réinterprétant lui-même la sentence delphique, lorsqu’il écrit « Deviens tel que tu as appris à te connaître ». Nous pensons donc que Nietzsche récupère la formule de Pindare par delà Platon pour critiquer ce dernier et, à travers lui, toute la philosophie qui a fait de la connaissance de soi le départ de l'éthique. Mais nous voudrions donc également essayer de rendre justice à Platon, puisque sa philosophie libère en réalité la possibilité de devenir ce que l’on est
While criticizing the Western morality anchored, according to him, in the Delphic sentence “Know yourself”, Nietzsche develops for his part an imperative which is, in our opinion, the natural and necessary extension of the self-knowledge. It is, therefore, from the injunction to become oneself that he operates the criticism of morality itself resulting from the invitation to self-knowledge. It is not, however, a question of reducing the Nietzsche an ethics of becoming-self to the way in which one can understand this syntagm in Plato. The use that Nietzsche proposes of it is indeed, in our opinion, quite singular. It cannot be denied, however, that it also did not come out of nothing and that Nietzsche first draws lessons from Pindar, who reinterprets himself the Delphic sentence, when he writes “Becomeas you have learned to know youself”. We therefore think that Nietzsche recovers Pindar’s formula beyond Plato, to criticize the latter and, through him, the whole philosophy which made self knowledge the departure of ethics. But we would therefore also try to do justice to Plato, since his philosophy actually frees the possibility of becoming ourself
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Ioannídis, Kleítos. "Le philosophe et le musicien dans l'oeuvre de Platon /." Nicosie : Centre de recherche de Kykkos, 1990. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb357061031.

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