Academic literature on the topic 'Platon – Et Socrate'

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Journal articles on the topic "Platon – Et Socrate"

1

Demont, Paul. "Socrate et l’ἀπραγμοσύνη (apragmosynè) chez Platon." Études platoniciennes, no. 6 (November 1, 2009): 43–54. http://dx.doi.org/10.4000/etudesplatoniciennes.763.

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Grigoletto, Lorena. "LES GOUVERNANTES-PHILOSOPHES. LA FEMME ENTRE FAMILLE ET ÉTAT DANS LA RÉPUBLIQUE DE PLATON ET DANS L'HYPER-TRADUCTION DE BADIOU." Revista Internacional de Culturas y Literaturas, no. 15 (2014): 190–99. http://dx.doi.org/10.12795/ricl.2014.i15.16.

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Abstract:
Comment penser à l’égalité et à la différence entre les genres au domaine politique ? Dans La République de Platon Socrate-Badiou, dans son dialogue avec le personnage féminin d’Amaranta, il critique les conséquences de cet égalité absolue entre les gouvernants - philosophes établie il y a plus de deux mille ans par le Socrate de Platon. De cette façon, la femme semble acquérir le papier symbolique d’articulation entre une dimension publique et privée
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3

Lefka, Aikaterini. "Religion publique et croyances personnelles : Platon contre Socrate ?*." Kernos, no. 18 (January 1, 2005): 85–95. http://dx.doi.org/10.4000/kernos.901.

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Bossé, Jean. "De la naissance de la psychanalyse à la naissance de la philosophie. Ou deux étonnantes métamorphoses d’Éros." Filigrane 21, no. 2 (April 24, 2013): 143–81. http://dx.doi.org/10.7202/1015203ar.

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Abstract:
Dans cet essai, l’auteur établit un parallélisme entre d’une part, la naissance de la philosophie comme discipline et l’importance que la relation Platon-Socrate y a jouée et, d’autre part, la naissance de la psychanalyse et la relation amoureuse (transfert) que fut celle de Freud à l’égard de Fliess. Ce faisant, il nous convie à une lecture attentive et renouvelée de leur célèbre correspondance et du Banquet de Platon.
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5

Tomlinson, Robert. "Marivaux dans les jardins de Socrate ou l'anti-"Banquet"." Études littéraires 24, no. 1 (April 12, 2005): 39–49. http://dx.doi.org/10.7202/500955ar.

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Abstract:
On ne s'est jamais interrogé sur la portée de la philosophie d'Hermocrate, le reclus du Triomphe de l'amour , philosophie qui sera remise en cause par l'arrivée d'une jeune princesse dans sa retraite. Nous proposons un rapprochement avec le Banquet de Platon et nous relevons des ressemblances éclairantes entre les deux textes; elles résident essentiellement dans les schémas dramatiques et dans le narcissisme des projets pédagogiques des philosophes, Socrate et Hermocrate. Au contraire d'Alcibiade, dont l'intervention reste inefficace dans le dialogue de Platon, Léonide-Phocion, chez Marivaux, réussit à séduire l'élève du philosophe et rend celui-ci à un monde imparfait marqué des cicatrices du désir.
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6

Stella, Massimo. "Writing Philosophy on stage: Socrates and Anaxagoras, Aristophanes and Plato." Revista Archai, no. 19 (2017): 61–91. http://dx.doi.org/10.14195/1984-249x_19_3.

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7

Mafra, Janaína Silveira. "A postulação do ser e a recusa do poder ilimitado do discurso na primeira parte do Górgias de Platão." Nuntius Antiquus 2 (December 31, 2008): 72–89. http://dx.doi.org/10.17851/1983-3636.2..72-89.

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Abstract:
À partir du Gorgias de Platon, nous montrons que l'objet de la réfutation socratique est le discours, soit-il le produit des croyances de l'interlocuteur ou non, mais que le but de Socrate est principalement de conduire l’énonciateur refuté à se disposer effectivement à connaître quelque chose et à parler ou agir selon les déterminations de cette nouvelle connaissance.
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8

Fronterotta, Francesco. "Les « parties » de l’âme dans la République de Platon." Articles spéciaux 69, no. 1 (September 16, 2013): 79–94. http://dx.doi.org/10.7202/1018357ar.

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Abstract:
La psychologie platonicienne de la République semble être affectée par une contradiction en relation avec la thèse de la tripartition de l’âme. Celle-ci est esquissée dans le livre IV et est toujours présente dans les livres VIII et IX ; Socrate semble pourtant l’abandonner lorsque, dans le livre X, il introduit la thèse selon laquelle l’âme est une réalité double, et peu après parvient, dans la suite du livre X, à démontrer son immortalité, en la décrivant comme une réalité simple, unique et unitaire. J’essaierai de montrer que ces changements de perspective dépendent du point de vue assumé par Platon dans son traitement de la nature et de la fonction de l’âme, dans les contextes que j’appellerai « génétiques », c’est-à-dire là où l’analyse touche à la question du statut ontologique de l’âme, et dans les contextes que j’appellerai « opérationnels », c’est-à-dire lorsque ce sont les fonctions, les compétences et les motivations de l’âme dans sa direction du corps qui font l’objet de l’analyse.
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Cambron-Goulet, Mathilde. "Gratuité et gratification." Éthique en éducation et en formation, no. 5 (October 9, 2018): 21–38. http://dx.doi.org/10.7202/1052441ar.

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Abstract:
Il est bien connu que Socrate ne recevait pas d’argent pour son enseignement. En effet, la critique de la perception d’un salaire par les enseignants, pratiquée notamment par les sophistes, était courante chez les philosophes antiques. Ce refus de recevoir un salaire repose sur une conception pour le moins particulière de la nature même du savoir philosophique et de la relation entre l’enseignant et son élève. Cet article vise à examiner les profits matériels et intellectuels qui font de l’enseignement de la philosophie une activité gratifiante, qui mérite d’être choisie pour elle-même, en s’appuyant sur les oeuvres de Platon, de Xénophon et d’Aristote, dans lesquelles les critiques de l’enseignant salarié sont les plus virulentes.
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Mafra, Janaína Silveira. "A postulação do ser e a recusa do poder ilimitado do discurso na primeira parte do Górgias de Platão." Nuntius Antiquus 2 (December 31, 2008): 72. http://dx.doi.org/10.17851/1983-3636.2.0.72-89.

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Abstract:
<p>RÉSUMÉ</p> <p>À partir du Gorgias de Platon, nous montrons que l'objet de la réfutation socratique est le discours, soit-il le produit des croyances de l'interlocuteur ou non, mais que le but de Socrate est principalement de conduire l’énonciateur refuté à se disposer effectivement à connaître quelque chose et à parler ou agir selon les déterminations de cette nouvelle connaissance.</p> MOTS-CLÉS: élenkhos; réfutation; discours; connaissance; réalisation.
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Dissertations / Theses on the topic "Platon – Et Socrate"

1

Lucchelli, Juan Pablo. "Lacan avec Platon : le Socrate de Lacan." Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010526/document.

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Abstract:
Lacan fait de Socrate l’antécédent historique du psychanalyste. Dans son séminaire sur le transfert, il prend appui sur le Banquet de Platon pour démontrer comment Socrate opère une manœuvre digne d’un analyste : quand Alcibiade lui déclare son amour, il le renvoie à Agathon. On peut ainsi dire que l’«interprétation» de Socrate lui dévoile le véritable objet de son désir, en lui prouvant aussi qu’il faut être trois pour aimer : telle serait l’éthique socratique, qui devancerait Freud quand ce dernier formule que «l’exemple est la chose même». Mais ce dialogue de Platon nous intéresse aussi parce qu’il met en relief ce que Lacan appelle la «métaphore de l’amour», à savoir le renversement à travers lequel l’aimé, celui qui se trouve être le centre et l’objet du désir des autres, devient aimant, manifestant ainsi un manque et abandonnant du coup sa position confortable. Ainsi, Lacan se sert de Platon pour comprendre la manière dont opère la psychanalyse : dans toute analyse digne de ce nom s’opère un renversement, une permutation de places, qui permet au sujet de se tourner vers l’inconscient, vers le désir de l’Autre. On peut en dire plus : il n’y a pas d’inconscient à proprement parler avant que ce changement de places énonciatives ne se produise
Lacan makes Socrate the historical antecedent of the psychoanalyst. In his seminar about the transfer, he bases on Plato's Symposium to demonstrate how Socrate makes a maneuver worthy of an analyst: when Alcibiade declares his love to him, he send him back to Agathon. Thus, we can say that the "interpretation" of Socrates reveals the true object of Alcibiade's desire, proving to him that it takes three to love: such is the Socratic ethics. But Plato's dialogue is also interesting as it highlights what Lacan calls the "metaphor of love", namely the reversal through which the loved one, which is the center and the object of the other's desire, becomes the lover, expressing a lack and abandoning his comfortable position. Thus, Lacan uses Plato to understand how the psychoanalysis operates: in any analysis worthy of the name is effected a reversal, a permutation of places, which allows the subject to turn to the unconscious, to the desire of the Other. We can say more: there is no unconscious strictly speaking before a change of enunciative places occurs
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Émond, Steeve. "La théorie socratique de l'allégorie de la caverne selon "La république" de Platon." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp04/mq33630.pdf.

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Bergeron, Martin. "Le lien entre l'induction et la définition dans les dialogues socratiques de Platon." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1999. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk1/tape9/PQDD_0018/MQ43764.pdf.

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Mallet, Joan. "La question de la theía moîra chez Platon." Thesis, Montpellier 3, 2018. http://www.theses.fr/2018MON30029.

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Abstract:
La theía moîra dans la philosophie de Platon demeure étonnamment peu étudiée au point même de souffrir d’un silence exégétique préjudiciable malgré des tentatives chez les commentateurs germaniques (Zeller), français (Souilhé, Des Places) ou encore anglo-saxons (Berry, Greene). S’illustrant tout au long de son œuvre, la theía moîra n’est ni assignable à une signification définitive, ni réductible à une traduction unique, ni associable à un champ thématique déterminé. Cette disparité s’avérant problématique et propre à susciter l’étonnement, notre travail propose un modèle interprétatif pour la theía moîra articulé autour d’une double exigence. En premier lieu, notre travail montre les insuffisances des analyses existantes de la theía moîra en insistant particulièrement sur les tendances réductrices inhérentes à ces études (approche sceptique, ironique, taxinomique, génétique ou encore anachronique). En second lieu, notre travail établit une méthode d’étude de la theía moîra centrée autour de pôles de significations (sophistiques, socratiques, extatiques, techniques, épistémologiques et politiques) dans le but de comprendre la complexité de la theía moîra. Plus précisément, notre travail montre que ces pôles de significations suivent le plus souvent un triple mouvement de formulation, de mise à l’écart et de réactivation au sein du corpus platonicien et que ce triple mouvement entend répondre à la variété des problèmes et des difficultés qui parcourent l’œuvre de Platon
Surprisingly, scholars have always paid a relatively limited attention to Plato’s theía moîra - an academic silence which proved damaging to its exegetical analysis. Notwithstanding the contributions of German (Zeller), French (Souihlé, Des Places) or British and American (Berry, Greene) specialists, who all tried to interpret the theía moîra, these attempts failed to offer a satisfactory analysis of Plato’s θεία μοῖρα. Though Plato refers to the theía moîra many times in his work, it is extremely difficult to either precisely define or to supply a definitive translation of the theía moîra. Nor can one easily make it fit into any preconceived thematic field.This disparity, as surprising as it may seem, nevertheless poses a certain number of problems. Our work aims to provide an interpretative framework for the theía moîra revolving around two main axes. First, we will demonstrate the limits of the existing body of scholarly work by pointing out the over-simplification of the theía moîra inherent to those studies (particularly the skeptical, ironic, taxonomic, genetic and anachronistic approaches). Second, so as to understand the complexity of the meaning of the theía moîra, our work intends to establish a methodology built upon pivotal aspects and meanings (sophistic, Socratic, ecstatic, technical, epistemological and political). More precisely, the ambition of this work is to show that these pivotal aspects and meanings are very often guided by a triple principle of formulation, neglect and rediscovery and that this triple principle serves to provide an answer to the multiplicity of questions and difficulties which readers are accustomed to meet in Plato’s work
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Marier, Martin. "Le Dieu de Platon : essai sur le Daimon-Socrate comme paradigme de la rationalité platonicienne." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/28855/28855.pdf.

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Ortega, Manez Maria. "Mimèsis en jeu. Une analyse de la relation entre théâtre et philosophie." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040170.

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Abstract:
Théâtre et philosophie présentent au long de leur histoire des modes d’interaction divers. L’approche privilégiée est ici l’analyse de la querelle qui opposa, au Ve siècle av. J.-C. en Grèce, deux de leurs représentants : Aristophane et Platon. Une analyse des œuvres qui véhiculent leurs attaques respectives permet de dégager les enjeux de cet affrontement ainsi que d’en mesurer la portée. Depuis cette perspective, la notion de mimèsis apparaît mise en jeu : terme d’origine théâtrale et portant essentiellement le sens du « jeu » de l’acteur, la mimèsis est utilisée par Platon comme l’argument majeur de sa critique de la poésie, autant que comme point d’articulation entre les deux mondes de son ontologie. La seconde partie de notre entreprise est consacrée à l’étude de l’élaboration platonicienne de ce concept dans la République. Cette synthèse est également opérée sur un plan littéraire par le dialogue en tant que forme d’écriture à la croisée entre philosophie et théâtre, que l’on aborde à travers l’étude des dialogues de Platon de ce double point de vue. On parvient ainsi à montrer, à partir des éléments analysés, qu’au cœur de l’opposition entre philosophie et théâtre s’ancre une liaison profonde, dont la nature contradictoire n’aura cessé de se manifester par la suite à travers le problème philosophique et le paradigme théâtral de la représentation
Theatre and philosophy present diverse modes of interaction throughout their history. In order to interrogate their relationship, this investigation will focus on the analysis of the quarrel which, in the fifth century B.C. in Greece, opposes two of their representatives, Aristophanes and Plato. An analysis of the works that launch their respective attacks will enable us to reveal the stakes of this confrontation, as well as to evaluate their impact. From this perspective, the notion of mimèsis appears at stake but also « at play » – hence, it is en jeu: term of theatrical origins which essentially contains the meaning of the actor’s « play », mimèsis comprises not only the central argument of Plato’s critique of poetry, but furthermore, the articulation point between the two worlds of his ontology. The second part of our research is dedicated to the study of Plato’s elaboration of this concept in the Republic. This synthesis is also operated on a literal level by the dialogue as a writing form at a crossroads between philosophy and theatre, which we will approach through the examination of Plato’s dialogues from this double point of view. Taken together the different elements of our analysis reveal that, at the heart of their opposition, lies a deep bound whose contradictory nature has not ceased to manifest itself in the philosophical problem and the theatrical paradigm of representation
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Pinard, Giorgia. "La perception de Socrate dans les études philosophiques en france et en italie de 1900 à 1950." Thesis, Paris 4, 2012. http://www.theses.fr/2012PA040160.

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Abstract:
Ce projet, sous le contrôle et la responsabilité de M. le Pr. Carlos Lévy, Professeur de l’Université Paris-Sorbonne, et de M. le Pr. Emidio Spinelli, professeur à l’Université de Rome La Sapienza, se propose comme objectif un travail approfondi, critique et comparatif des études de philosophie ancienne ayant Socrate comme sujet, en France et en Italie, entre 1900 et 1950. Il ne s'agit pas de poursuivre une coincidentia oppositorum, mais d'analyser une polarité dialogique en mouvement perpétuel et une altérité qui s’enrichit de la prise de conscience des différences spécifiques. Quatre leitmotive guident l'analyse des onze représentations socratiques: La Politique, introduite par un paragraphe sur Socrate et la ville d'Athènes et suivie par les interprétations de Léon Robin et George Bastide; l'Ethique, qui concerne la valeur morale du message de Socrate, développé par Antonio anfi, Jean Patocka et Piero Martinetti; la Religion, sur le problème de son « évangile avant la lettre », traité par Jean André Festugière, Michele Federico Sciacca, Ernesto Buonaiuti et Carlo Mazzantini; et le Dialegesthai, car sa façon de dialoguer devient fondamental dans les interprétations de Guido Calogero et Giuseppe Rensi
Under the direction of Professor Carlos Lévy (Sorbonne University) and Professor Emidio Spinelli (Rome University) this dissertation provides a critical comparative study of ancient philosophy. It focuses on the perception of Socrates’s work in France and Italy between 1900 and 1950. Rather than limiting the analysis to the unity of opposites, the goal consists of exploring the perpetual, dynamic polarity inherent in the dialogue. Moreover, this study aims at emphasizing the contrast that is fueled by a growing awareness of the underlying differences. Four leitmotive guide the work of eleven Socratic representations: First, La Politique, which is introduced by a paragraph on Socrate et la ville d’Athenes and followed by the works of Léon Robin and George Bastide. Second, Etique, which focuses on the moral value of Socrates’ discourse and which is developed by Antionio Banfi, Jean Patocka and Piero Martinetti. Third, Religion, which deals with the issue of his “gospel before the written word,” discussed by Jean André Festugière, Michele Federico Sciacca, Ernesto Buonaiuti etCarlo Mazzantini. And last, Dialegesthai, because its way of communicating becomes fundamental in the works of Guido Calogero and Giuseppe Rensi
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Savard, Dave. "L'art de la citoyenneté : le Protagoras de Platon et la question de l'enseignement de la vertu." Master's thesis, Université Laval, 2005. http://hdl.handle.net/20.500.11794/63514.

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Abstract:
La présente recherche vise à faire ressortir certaines particularités chez deux grands penseurs de la Grèce Antique: Protagoras le sophiste et Socrate le philosophe. Le but fondamental de cette étude sera d'établir l'importance de cette maïeutique (la question de l'enseignement de la vertu en relation avec l'art de la citoyenneté) selon ces deux grands penseurs: Socrate ainsi que Protagoras. En effet, le Protagoras de Platon est un ouvrage qui suscite beaucoup de questions, surtout chez certains membres de la communauté philosophique qui s'y intéressent. En revanche, bien que Platon soit la source principale de cette œuvre, il est un témoin peu fiable de l'histoire de la philosophie. C'est la raison pour laquelle cette recherche est essentiellement basée sur l'étude du dialogue du Protagoras de Platon. II serait utile d'explorer d'autres dialogues de Platon afin d'approfondir cette analyse sur la question de l'enseignement de la vertu, mais l'auteur de cet ouvrage a préféré limiter sa recherche à une seule œuvre : Le Protagoras.
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Émond, Steeve. "La définition socratico-platonicienne du "philosophe"." Doctoral thesis, Université Laval, 2003. http://hdl.handle.net/20.500.11794/44427.

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Abstract:
À la lumière des textes platoniciens, cette thèse cherche à relever les quelques indices laissés par Platon en ce qui concerne la description et les qualités requises à la formation des philosophes. Implicitement décrites à travers une série de thèses philosophiques, ce travail désire regrouper en un seul texte les indications éparpillées à travers toute la littérature platonicienne. Au fond, l’objectif est de reconstituer la définition du philosophe en s’inspirant du modèle par excellence : Socrate d’Alopèce. Or, il est impossible de mener ce travail à bon terme si le but du sage et le chemin qui mène à la sagesse n’ont pas été clairement affranchis des textes de Platon. De plus, il sera intéressant de comparer la vision du philosophe selon Socrate par rapport à celle des penseurs avant lui, ainsi que celle de Platon, des sophistes et également d’Aristote. Inutile de dire qu’il est clairement impossible de définir le philosophe s’il n’est pas d’abord comparé à la philosophie. C’est pourquoi cette thèse devra également faire diversion pour parvenir à une juste compréhension de la philosophie telle que décrit par Socrate et Platon. De plus, ce travail s’intéressera aux dérivés de la philosophie que sont la rhétorique et la sophistique. La description des sophistes permettra de faire ressortir plus nettement les qualités nécessaires et utiles au philosophe. Les philosophes grecs s’entendaient sur le fait qu’il est plus facile pour un philosophe de sombrer du côté de la sophistique que le sophiste de s’élever vers les Idées dites philosophiques. Il sera donc important de bien distinguer le vrai philosophe de son simulacre qu’est le sophiste. Pour terminer, cette thèse cherchera à interpréter bien que confusément ce qu’est devenue la philosophie au cours des siècles. Il est moins que certain que la philosophie moderne puisse être encore comparée à la philosophie grecque. Les motifs des philosophes contemporains semblent être fort différents de ceux que préconisaient les Grecs anciens. En effet, l’important pour les Grecs était de changer leur société en éduquant et en élevant la jeunesse. De nos jours, la philosophie concentre davantage ses efforts sur la philologie et sur l’histoire de Sa philosophie. C’est parce qu’il voudrait croire à tout qu’il m peut pins croire en rien. Ne pouvant rien croire, il ne peut rien dire et cependant c’est la parole qui est son seul instrument. Certes, chacun sait bien parler de son métier, mais comment parler de celui des autres? Comment parler de ce qu’on ne connaît pas et comment affirmer ce qu’on ne croit pas? Chacun sont alors les homes de sa compétence, mais chacun veut aussi pouvoir parler de tout; encore faudrait-il pour cela posséder le moyen de parler avec vraisemblance de ce qu’on ne connaît pas, avec chaleur de ce qu’on ne croit pas. Et l’individu, constatant ainsi le divorce qui se produit en lui entre le savoir et le discours, entre la croyance et l’affirmation, éprouve le besoin de se replier sur le plan du verbe et d’apprendre, sinon l’art de penser, du moins l’art de parler. (Page 101) Devant l’impossibilité de croire et devant l’impossibilité d’agir, le repliement de la pensée sur le plan du verbe permet cette solution en apparence merveilleuse, en réalité paresseuse, de pouvoir parler de tout sans savoir, de pouvoir tout affirmer sans rien croire, de pouvoir tout suggérer sans rien faire. (Page 101) C’est cet art que réclamaient les Athéniens, c’est cet art que leur apportèrent les sophistes. Les sophistes, écrit M. Rivaud, « ne veulent pas être des spécialistes; ils prétendent, comme les philosophes de nos jours, parler de toutes les spécialités d’une façon plus pertinente que ceux qui les pratiquent... Leur premier domaine est celui du langage. Ici leur œuvre est capitale, encore que mal connue... La grammaire est leur œuvre; nos enfants à l’école parlent encore le langage qu’ils ont établi... Mais ayant tout, le sophiste est maître dans l’art de la parole. Or, parler utilement c’est convaincre, c’est plaider une thèse, et le procédé technique est d’autant meilleur qu’il se permet de défendre une cause en apparence plus désespérée. Avec une bonne méthode on peut tout plaider. L’avocat, formé par le sophiste, innocentera le criminel et confondra l’innocent. La cause la plus mauvaise est celle qui lui plaidera le plus, puisque son art y éclate avec plus de perfection » (Page 102)
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Kim, Iouseok. "Les attitudes émotionnelles des interlocuteurs dans les premiers dialogues de Platon." Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010604.

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Abstract:
Cette thèse porte sur quelques aspects dramatiques des premiers dialogues de Platon, plus précisément, les attitudes émotionnelles des interlocuteurs. Dans les dialogues, les interlocuteurs de Socrate ne cessent d'éprouver diverses émotions au cours de l'examen moral. C'est par leurs réactions émotionnelles que l'examen philosophique est rendu plus riche et plus visible. Du fait que le Socrate des premiers dialogues s'occupe exclusivement de la question morale, on peut supposer que les personnages dramatiques représentent la conception conventionnelle de la moralité de l'époque. Les émotions de chaque interlocuteur nous permettent de voir son adhésion aux divers domaines moraux comme l'éducation, la politique, la religion, etc. En convoquant des personnages concrets et vifs au champ de l'examen élenctique, Platon arrive à rendre plus visible et plus vive sa critique morale de la moralité populaire. Le recours aux discours argumentatifs ne suffit pas pour montrer la possibilité de l'avènement d'une philosophie morale. Au lieu de systématiser son projet moral de manière architectonique, Platon semble alors utiliser le caractère dramatique afin de mettre en lumière son idée morale fondée sur la réflexion rationnelle. C'est exactement là que se· trouve la fonction philosophique des éléments dramatiques des premiers dialogues.
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Books on the topic "Platon – Et Socrate"

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La piété chez Platon: Une lecture conjuguée de l'Euthyphron et de l'apologie de Socrate. Paris: L'Harmattan, 2009.

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2

Awona, Léopold Ebode. Grille de lecture active des oeuvres philosophiques: Appliqué à L'Apologie de Socrate de Platon et à De la médiocrité à l'excellence de Njoh Mouelle. Editions L'Harmattan, 2018.

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Book chapters on the topic "Platon – Et Socrate"

1

Rowe, Christopher J. "Hommes et Monstres: Platon et Socrate Parlent de la Nature Humaine *." In Agonistes, 139–55. Routledge, 2017. http://dx.doi.org/10.4324/9781315263144-9.

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2

"Remarques sur la mollesse (malakia) chez Platon et Xénophon." In Les philosophes face au vice, de Socrate à Augustin, 35–55. BRILL, 2020. http://dx.doi.org/10.1163/9789004432390_004.

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3

Vergnières, Solange. "Socrate (469-399 av. J.-C.) et Platon (427-347 av. J.-C.) : la juste mesure et la vie bonne." In Histoire raisonnée de la philosophie morale et politique, 58–68. La Découverte, 2001. http://dx.doi.org/10.3917/dec.caill.2001.01.0058.

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"("Note sur Platon et Aristote", p.93-121.)." In Plato and Socrates (RLE: Plato), 132–341. Routledge, 2012. http://dx.doi.org/10.4324/9780203101605-18.

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