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Dissertations / Theses on the topic 'Platon – Et Socrate'

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Lucchelli, Juan Pablo. "Lacan avec Platon : le Socrate de Lacan." Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010526/document.

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Abstract:
Lacan fait de Socrate l’antécédent historique du psychanalyste. Dans son séminaire sur le transfert, il prend appui sur le Banquet de Platon pour démontrer comment Socrate opère une manœuvre digne d’un analyste : quand Alcibiade lui déclare son amour, il le renvoie à Agathon. On peut ainsi dire que l’«interprétation» de Socrate lui dévoile le véritable objet de son désir, en lui prouvant aussi qu’il faut être trois pour aimer : telle serait l’éthique socratique, qui devancerait Freud quand ce dernier formule que «l’exemple est la chose même». Mais ce dialogue de Platon nous intéresse aussi parce qu’il met en relief ce que Lacan appelle la «métaphore de l’amour», à savoir le renversement à travers lequel l’aimé, celui qui se trouve être le centre et l’objet du désir des autres, devient aimant, manifestant ainsi un manque et abandonnant du coup sa position confortable. Ainsi, Lacan se sert de Platon pour comprendre la manière dont opère la psychanalyse : dans toute analyse digne de ce nom s’opère un renversement, une permutation de places, qui permet au sujet de se tourner vers l’inconscient, vers le désir de l’Autre. On peut en dire plus : il n’y a pas d’inconscient à proprement parler avant que ce changement de places énonciatives ne se produise
Lacan makes Socrate the historical antecedent of the psychoanalyst. In his seminar about the transfer, he bases on Plato's Symposium to demonstrate how Socrate makes a maneuver worthy of an analyst: when Alcibiade declares his love to him, he send him back to Agathon. Thus, we can say that the "interpretation" of Socrates reveals the true object of Alcibiade's desire, proving to him that it takes three to love: such is the Socratic ethics. But Plato's dialogue is also interesting as it highlights what Lacan calls the "metaphor of love", namely the reversal through which the loved one, which is the center and the object of the other's desire, becomes the lover, expressing a lack and abandoning his comfortable position. Thus, Lacan uses Plato to understand how the psychoanalysis operates: in any analysis worthy of the name is effected a reversal, a permutation of places, which allows the subject to turn to the unconscious, to the desire of the Other. We can say more: there is no unconscious strictly speaking before a change of enunciative places occurs
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Émond, Steeve. "La théorie socratique de l'allégorie de la caverne selon "La république" de Platon." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp04/mq33630.pdf.

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Bergeron, Martin. "Le lien entre l'induction et la définition dans les dialogues socratiques de Platon." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1999. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk1/tape9/PQDD_0018/MQ43764.pdf.

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4

Mallet, Joan. "La question de la theía moîra chez Platon." Thesis, Montpellier 3, 2018. http://www.theses.fr/2018MON30029.

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Abstract:
La theía moîra dans la philosophie de Platon demeure étonnamment peu étudiée au point même de souffrir d’un silence exégétique préjudiciable malgré des tentatives chez les commentateurs germaniques (Zeller), français (Souilhé, Des Places) ou encore anglo-saxons (Berry, Greene). S’illustrant tout au long de son œuvre, la theía moîra n’est ni assignable à une signification définitive, ni réductible à une traduction unique, ni associable à un champ thématique déterminé. Cette disparité s’avérant problématique et propre à susciter l’étonnement, notre travail propose un modèle interprétatif pour la theía moîra articulé autour d’une double exigence. En premier lieu, notre travail montre les insuffisances des analyses existantes de la theía moîra en insistant particulièrement sur les tendances réductrices inhérentes à ces études (approche sceptique, ironique, taxinomique, génétique ou encore anachronique). En second lieu, notre travail établit une méthode d’étude de la theía moîra centrée autour de pôles de significations (sophistiques, socratiques, extatiques, techniques, épistémologiques et politiques) dans le but de comprendre la complexité de la theía moîra. Plus précisément, notre travail montre que ces pôles de significations suivent le plus souvent un triple mouvement de formulation, de mise à l’écart et de réactivation au sein du corpus platonicien et que ce triple mouvement entend répondre à la variété des problèmes et des difficultés qui parcourent l’œuvre de Platon
Surprisingly, scholars have always paid a relatively limited attention to Plato’s theía moîra - an academic silence which proved damaging to its exegetical analysis. Notwithstanding the contributions of German (Zeller), French (Souihlé, Des Places) or British and American (Berry, Greene) specialists, who all tried to interpret the theía moîra, these attempts failed to offer a satisfactory analysis of Plato’s θεία μοῖρα. Though Plato refers to the theía moîra many times in his work, it is extremely difficult to either precisely define or to supply a definitive translation of the theía moîra. Nor can one easily make it fit into any preconceived thematic field.This disparity, as surprising as it may seem, nevertheless poses a certain number of problems. Our work aims to provide an interpretative framework for the theía moîra revolving around two main axes. First, we will demonstrate the limits of the existing body of scholarly work by pointing out the over-simplification of the theía moîra inherent to those studies (particularly the skeptical, ironic, taxonomic, genetic and anachronistic approaches). Second, so as to understand the complexity of the meaning of the theía moîra, our work intends to establish a methodology built upon pivotal aspects and meanings (sophistic, Socratic, ecstatic, technical, epistemological and political). More precisely, the ambition of this work is to show that these pivotal aspects and meanings are very often guided by a triple principle of formulation, neglect and rediscovery and that this triple principle serves to provide an answer to the multiplicity of questions and difficulties which readers are accustomed to meet in Plato’s work
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Marier, Martin. "Le Dieu de Platon : essai sur le Daimon-Socrate comme paradigme de la rationalité platonicienne." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/28855/28855.pdf.

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Ortega, Manez Maria. "Mimèsis en jeu. Une analyse de la relation entre théâtre et philosophie." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040170.

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Abstract:
Théâtre et philosophie présentent au long de leur histoire des modes d’interaction divers. L’approche privilégiée est ici l’analyse de la querelle qui opposa, au Ve siècle av. J.-C. en Grèce, deux de leurs représentants : Aristophane et Platon. Une analyse des œuvres qui véhiculent leurs attaques respectives permet de dégager les enjeux de cet affrontement ainsi que d’en mesurer la portée. Depuis cette perspective, la notion de mimèsis apparaît mise en jeu : terme d’origine théâtrale et portant essentiellement le sens du « jeu » de l’acteur, la mimèsis est utilisée par Platon comme l’argument majeur de sa critique de la poésie, autant que comme point d’articulation entre les deux mondes de son ontologie. La seconde partie de notre entreprise est consacrée à l’étude de l’élaboration platonicienne de ce concept dans la République. Cette synthèse est également opérée sur un plan littéraire par le dialogue en tant que forme d’écriture à la croisée entre philosophie et théâtre, que l’on aborde à travers l’étude des dialogues de Platon de ce double point de vue. On parvient ainsi à montrer, à partir des éléments analysés, qu’au cœur de l’opposition entre philosophie et théâtre s’ancre une liaison profonde, dont la nature contradictoire n’aura cessé de se manifester par la suite à travers le problème philosophique et le paradigme théâtral de la représentation
Theatre and philosophy present diverse modes of interaction throughout their history. In order to interrogate their relationship, this investigation will focus on the analysis of the quarrel which, in the fifth century B.C. in Greece, opposes two of their representatives, Aristophanes and Plato. An analysis of the works that launch their respective attacks will enable us to reveal the stakes of this confrontation, as well as to evaluate their impact. From this perspective, the notion of mimèsis appears at stake but also « at play » – hence, it is en jeu: term of theatrical origins which essentially contains the meaning of the actor’s « play », mimèsis comprises not only the central argument of Plato’s critique of poetry, but furthermore, the articulation point between the two worlds of his ontology. The second part of our research is dedicated to the study of Plato’s elaboration of this concept in the Republic. This synthesis is also operated on a literal level by the dialogue as a writing form at a crossroads between philosophy and theatre, which we will approach through the examination of Plato’s dialogues from this double point of view. Taken together the different elements of our analysis reveal that, at the heart of their opposition, lies a deep bound whose contradictory nature has not ceased to manifest itself in the philosophical problem and the theatrical paradigm of representation
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Pinard, Giorgia. "La perception de Socrate dans les études philosophiques en france et en italie de 1900 à 1950." Thesis, Paris 4, 2012. http://www.theses.fr/2012PA040160.

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Abstract:
Ce projet, sous le contrôle et la responsabilité de M. le Pr. Carlos Lévy, Professeur de l’Université Paris-Sorbonne, et de M. le Pr. Emidio Spinelli, professeur à l’Université de Rome La Sapienza, se propose comme objectif un travail approfondi, critique et comparatif des études de philosophie ancienne ayant Socrate comme sujet, en France et en Italie, entre 1900 et 1950. Il ne s'agit pas de poursuivre une coincidentia oppositorum, mais d'analyser une polarité dialogique en mouvement perpétuel et une altérité qui s’enrichit de la prise de conscience des différences spécifiques. Quatre leitmotive guident l'analyse des onze représentations socratiques: La Politique, introduite par un paragraphe sur Socrate et la ville d'Athènes et suivie par les interprétations de Léon Robin et George Bastide; l'Ethique, qui concerne la valeur morale du message de Socrate, développé par Antonio anfi, Jean Patocka et Piero Martinetti; la Religion, sur le problème de son « évangile avant la lettre », traité par Jean André Festugière, Michele Federico Sciacca, Ernesto Buonaiuti et Carlo Mazzantini; et le Dialegesthai, car sa façon de dialoguer devient fondamental dans les interprétations de Guido Calogero et Giuseppe Rensi
Under the direction of Professor Carlos Lévy (Sorbonne University) and Professor Emidio Spinelli (Rome University) this dissertation provides a critical comparative study of ancient philosophy. It focuses on the perception of Socrates’s work in France and Italy between 1900 and 1950. Rather than limiting the analysis to the unity of opposites, the goal consists of exploring the perpetual, dynamic polarity inherent in the dialogue. Moreover, this study aims at emphasizing the contrast that is fueled by a growing awareness of the underlying differences. Four leitmotive guide the work of eleven Socratic representations: First, La Politique, which is introduced by a paragraph on Socrate et la ville d’Athenes and followed by the works of Léon Robin and George Bastide. Second, Etique, which focuses on the moral value of Socrates’ discourse and which is developed by Antionio Banfi, Jean Patocka and Piero Martinetti. Third, Religion, which deals with the issue of his “gospel before the written word,” discussed by Jean André Festugière, Michele Federico Sciacca, Ernesto Buonaiuti etCarlo Mazzantini. And last, Dialegesthai, because its way of communicating becomes fundamental in the works of Guido Calogero and Giuseppe Rensi
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Savard, Dave. "L'art de la citoyenneté : le Protagoras de Platon et la question de l'enseignement de la vertu." Master's thesis, Université Laval, 2005. http://hdl.handle.net/20.500.11794/63514.

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Abstract:
La présente recherche vise à faire ressortir certaines particularités chez deux grands penseurs de la Grèce Antique: Protagoras le sophiste et Socrate le philosophe. Le but fondamental de cette étude sera d'établir l'importance de cette maïeutique (la question de l'enseignement de la vertu en relation avec l'art de la citoyenneté) selon ces deux grands penseurs: Socrate ainsi que Protagoras. En effet, le Protagoras de Platon est un ouvrage qui suscite beaucoup de questions, surtout chez certains membres de la communauté philosophique qui s'y intéressent. En revanche, bien que Platon soit la source principale de cette œuvre, il est un témoin peu fiable de l'histoire de la philosophie. C'est la raison pour laquelle cette recherche est essentiellement basée sur l'étude du dialogue du Protagoras de Platon. II serait utile d'explorer d'autres dialogues de Platon afin d'approfondir cette analyse sur la question de l'enseignement de la vertu, mais l'auteur de cet ouvrage a préféré limiter sa recherche à une seule œuvre : Le Protagoras.
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Émond, Steeve. "La définition socratico-platonicienne du "philosophe"." Doctoral thesis, Université Laval, 2003. http://hdl.handle.net/20.500.11794/44427.

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Abstract:
À la lumière des textes platoniciens, cette thèse cherche à relever les quelques indices laissés par Platon en ce qui concerne la description et les qualités requises à la formation des philosophes. Implicitement décrites à travers une série de thèses philosophiques, ce travail désire regrouper en un seul texte les indications éparpillées à travers toute la littérature platonicienne. Au fond, l’objectif est de reconstituer la définition du philosophe en s’inspirant du modèle par excellence : Socrate d’Alopèce. Or, il est impossible de mener ce travail à bon terme si le but du sage et le chemin qui mène à la sagesse n’ont pas été clairement affranchis des textes de Platon. De plus, il sera intéressant de comparer la vision du philosophe selon Socrate par rapport à celle des penseurs avant lui, ainsi que celle de Platon, des sophistes et également d’Aristote. Inutile de dire qu’il est clairement impossible de définir le philosophe s’il n’est pas d’abord comparé à la philosophie. C’est pourquoi cette thèse devra également faire diversion pour parvenir à une juste compréhension de la philosophie telle que décrit par Socrate et Platon. De plus, ce travail s’intéressera aux dérivés de la philosophie que sont la rhétorique et la sophistique. La description des sophistes permettra de faire ressortir plus nettement les qualités nécessaires et utiles au philosophe. Les philosophes grecs s’entendaient sur le fait qu’il est plus facile pour un philosophe de sombrer du côté de la sophistique que le sophiste de s’élever vers les Idées dites philosophiques. Il sera donc important de bien distinguer le vrai philosophe de son simulacre qu’est le sophiste. Pour terminer, cette thèse cherchera à interpréter bien que confusément ce qu’est devenue la philosophie au cours des siècles. Il est moins que certain que la philosophie moderne puisse être encore comparée à la philosophie grecque. Les motifs des philosophes contemporains semblent être fort différents de ceux que préconisaient les Grecs anciens. En effet, l’important pour les Grecs était de changer leur société en éduquant et en élevant la jeunesse. De nos jours, la philosophie concentre davantage ses efforts sur la philologie et sur l’histoire de Sa philosophie. C’est parce qu’il voudrait croire à tout qu’il m peut pins croire en rien. Ne pouvant rien croire, il ne peut rien dire et cependant c’est la parole qui est son seul instrument. Certes, chacun sait bien parler de son métier, mais comment parler de celui des autres? Comment parler de ce qu’on ne connaît pas et comment affirmer ce qu’on ne croit pas? Chacun sont alors les homes de sa compétence, mais chacun veut aussi pouvoir parler de tout; encore faudrait-il pour cela posséder le moyen de parler avec vraisemblance de ce qu’on ne connaît pas, avec chaleur de ce qu’on ne croit pas. Et l’individu, constatant ainsi le divorce qui se produit en lui entre le savoir et le discours, entre la croyance et l’affirmation, éprouve le besoin de se replier sur le plan du verbe et d’apprendre, sinon l’art de penser, du moins l’art de parler. (Page 101) Devant l’impossibilité de croire et devant l’impossibilité d’agir, le repliement de la pensée sur le plan du verbe permet cette solution en apparence merveilleuse, en réalité paresseuse, de pouvoir parler de tout sans savoir, de pouvoir tout affirmer sans rien croire, de pouvoir tout suggérer sans rien faire. (Page 101) C’est cet art que réclamaient les Athéniens, c’est cet art que leur apportèrent les sophistes. Les sophistes, écrit M. Rivaud, « ne veulent pas être des spécialistes; ils prétendent, comme les philosophes de nos jours, parler de toutes les spécialités d’une façon plus pertinente que ceux qui les pratiquent... Leur premier domaine est celui du langage. Ici leur œuvre est capitale, encore que mal connue... La grammaire est leur œuvre; nos enfants à l’école parlent encore le langage qu’ils ont établi... Mais ayant tout, le sophiste est maître dans l’art de la parole. Or, parler utilement c’est convaincre, c’est plaider une thèse, et le procédé technique est d’autant meilleur qu’il se permet de défendre une cause en apparence plus désespérée. Avec une bonne méthode on peut tout plaider. L’avocat, formé par le sophiste, innocentera le criminel et confondra l’innocent. La cause la plus mauvaise est celle qui lui plaidera le plus, puisque son art y éclate avec plus de perfection » (Page 102)
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Kim, Iouseok. "Les attitudes émotionnelles des interlocuteurs dans les premiers dialogues de Platon." Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010604.

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Abstract:
Cette thèse porte sur quelques aspects dramatiques des premiers dialogues de Platon, plus précisément, les attitudes émotionnelles des interlocuteurs. Dans les dialogues, les interlocuteurs de Socrate ne cessent d'éprouver diverses émotions au cours de l'examen moral. C'est par leurs réactions émotionnelles que l'examen philosophique est rendu plus riche et plus visible. Du fait que le Socrate des premiers dialogues s'occupe exclusivement de la question morale, on peut supposer que les personnages dramatiques représentent la conception conventionnelle de la moralité de l'époque. Les émotions de chaque interlocuteur nous permettent de voir son adhésion aux divers domaines moraux comme l'éducation, la politique, la religion, etc. En convoquant des personnages concrets et vifs au champ de l'examen élenctique, Platon arrive à rendre plus visible et plus vive sa critique morale de la moralité populaire. Le recours aux discours argumentatifs ne suffit pas pour montrer la possibilité de l'avènement d'une philosophie morale. Au lieu de systématiser son projet moral de manière architectonique, Platon semble alors utiliser le caractère dramatique afin de mettre en lumière son idée morale fondée sur la réflexion rationnelle. C'est exactement là que se· trouve la fonction philosophique des éléments dramatiques des premiers dialogues.
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Kromicheff, Emmanuel. "La sagesse socratique ou l'exercice de la raison : étude sur les dialogues socratiques de Platon." Dijon, 2002. http://www.theses.fr/2002DIJOL008.

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Lachance, Geneviève. "La conception platonicienne de la contradiction." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040023.

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Abstract:
Cette thèse se rapporte à la notion de contradiction, entendue en son sens logique ou formel. Plus précisément, elle vise à dégager une conception de la contradiction chez un philosophe qui, du point de vue chronologique, précède l’avènement de la syllogistique et de la logique : Platon. À partir de l’examen des dialogues réfutatifs de Platon, il s’agira de mettre en lumière la forme des propositions contradictoires, de déterminer la terminologie et les métaphores utilisées par Platon pour nommer et décrire la contradiction et d’évaluer le contexte dans lequel avait lieu la réflexion platonicienne. L’analyse révélera que Platon se faisait une idée somme toute assez précise de la contradiction logique et qu’il a même eu une influence sur Aristote lorsque ce dernier élabora son célèbre principe de non-contradiction
This thesis examines the notion of contradiction understood in its logical or formal sense. Specifically, it seeks to study that notion in a philosopher who, chronologically speaking, precedes the advent of syllogistic or logic: Plato. Based on an analysis of Plato’s refutative dialogues, this thesis will determine the form given by Plato to contradictory propositions, unveil the terminology and metaphors used by Plato to name and describe contradictions and evaluate the context in which Plato reflected upon contradiction. The analysis will reveal that Plato had a very clear idea of what is a logical contradiction and that he even had an influence on Aristotle when the latter defined his famous principle of non-contradiction
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Lucciano, Mélanie. "Paene Socratico genere : figures de Socrate dans la littérature et la philosophie à Rome de Plaute à Sénèque." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040071.

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Abstract:
Lorsque, au IVe siècle, les Romains rendirent hommage à la sagesse, ils érigèrent une statue de Pythagore. Pline l’Ancien s’en étonne : pourquoi n’a-t-on pas plutôt choisi Socrate ? Cette interrogation reflète l’intégration progressive de la figure du philosophe athénien à Rome, depuis le IIe siècle av. J.C. jusqu’à l’œuvre de Sénèque qui intériorise le modèle socratique d’enseignement.Est d’abord réuni le corpus exhaustif des occurrences de Socrate dans une perspective diachronique. Les passages sont contextualisés dans l’économie de l’œuvre, son genre et les objectifs de chaque auteur. La source grecque est, si possible, identifiée : la présence de Socrate sert alors de marqueur de la lecture des textes de Platon, de Xénophon, mais aussi d’autres Socratiques comme Eschine.Dans un second temps, les textes sont étudiés selon des regroupements chronologiques et thématiques : est alors définie une double réception de Socrate, entre valorisation et mépris, qui s’articule autour de sa grandeur, son rôle fondateur pour les écoles de pensée hellénistiques, sa mort courageuse et, à rebours, sa dénonciation de la rhétorique ou le caractère inutile des propos des Socratiques pour lutter contre les passions. Au mode de vie philosophique qu’incarne Socrate s’oppose parfois celui défini par le mos maiorum, ou encore par le poète élégiaque. Se dévoilent différentes interprétations de Socrate, ancêtre du cynisme et du stoïcisme, probabiliste ou transcendantaliste, ouvrant ainsi la voie à un transfert culturel des œuvres, mais aussi de leurs exégèses. Que ce soit dans une perspective historiographique, philosophique ou littéraire, Socrate devient peu à peu un exemplum, un modèle de vie
When, in 343 B.C., the Romans paid tribute to wisdom, they built a statue of Pythagoras. Why was not Socrates chosen instead ? Pliny the Elder wonders. This interrogation reflects the progressive integration of the figure of the Athenian philosopher in Rome, from the second century B.C. until the work of Seneca which internalises the Socratic teaching model.At first, the exhaustive corpus of the occurrences of Socrates is gathered in a diachronic perspective. The passages are contextualized in the entire work, its genre and the purposes of every author. The Greek sources are, when possible, identified : the presence of Socrates serves then as a marker for the reading of the texts of Plato, Xenophon, but also other Socratics like Aeschines.Secondly, the texts are studied according to chronological and thematic groupings : a double reception of Socrates is then defined, between praise and contempt, which articulates around his greatness, his founding role for the Hellenistic philosophic schools, his courageous death and, on the contrary, his denunciation of rhetoric or the fact that Socratics’ theories are useless to fight against passions. The philosophic lifestyle embodied by Socrates sometimes contrasts with the one defined by the mos maiorum, or by the elegiac poets. Various interpretations of Socrates come to light, as an ancestor of Cynicism and Stoicism, as a sceptic or a transcendentalist, paving the way for a cultural transfer of the Greek philosophical works but also of their exegeses. Whether it be in an historiographic, philosophic or literary perspective, Socrates gradually becomes an exemplum, a model of life
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Ouellette, Patrick. "Socratisme et démocratie athénienne : un rapport de désengagement." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2017. http://hdl.handle.net/11143/11578.

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Abstract:
Ce mémoire veut rendre compte de la relation qu’entretient le Socrate historique avec la cité athénienne en tentant de dégager des témoignages de Platon, de Xénophon et d’Aristophane une pensée politique propre au personnage historique. Notre hypothèse consiste à affirmer que la philosophie socratique s’oppose aux valeurs du régime démocratique athénien dans la mesure où elle recherche l’excellence de l’âme. Constatant que les conditions nécessaires pour obtenir le meilleur jugement politique se font absentes de l’espace public démocratique, Socrate prône un désengagement des citoyens par rapport aux affaires publiques de leur cité. Nous défendons donc l’idée selon laquelle la pensée politique du Socrate de l’histoire peut se comprendre comme un « désengagement » politique puisque Socrate ne détient pas la science politique (vertu-science) et s’oppose à la conception de l’intérêt personnel que promeut sa cité.
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Boutros, Jean-Charles. "La philosophie vive plutôt que la philosophie à vif : Socrate aux périls de Marsyas : recherches sur les modes d'influence chez Platon, précédées d'une étude générale sur la magie et la pensée magique." Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010717/document.

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Abstract:
Afin d’expliciter les modes d’influence intervenant dans les Dialogues de Platon, nous étudions de quelle manière se déploie la magie notamment de Socrate, qui est présenté comme un sorcier par plusieurs interlocuteurs. Une étude générale préliminaire sur la magie portant sur l’anthropologie, les rituels, pathologiques (troubles obsessionnels-compulsifs) ou culturels, et enfin la pensée magique nous fournit un cadre pour envisager comment se manifeste l’influence chez Platon. Différents facteurs influent sur les modes de pensée des individus souvent à leur insu : personnalité, habitudes, société, éthique, ignorance, etc.. La magie oratoire est pratiquée, depuis Gorgias, par divers experts du discours comme les orateurs ou les sophistes, ce qui révèle l’ambiguïté de la magie de Socrate, alors qu’il prétend éliminer le faux et les illusions. Dans le Phèdre, différents types de possession se produisent, certaines incontrôlées, d’autres contrôlées, impliquant un processus d’initiation. La magie de Socrate trouve encore à s’illustrer avec plusieurs cas d’envoûtement marquants, mais aussi un usage d’incantations notamment pour traiter la crainte de la mort. Dans le domaine politique, le législateur recourt aussi aux incantations pour plus d’efficacité, vu qu’elles agissent sur la forme des comportements, contribuent à souder les citoyens et participent au contrôle social. Une législation sur les crimes de magie est aussi édictée
To explain the modes of influence operating in Plato’s Dialogues, we study how Socrates and others use their magic as several interlocutors have called Socrates a sorcerer. A framework is given to our research with a preliminary general study about magic covering anthropology, rituals – pathological (obsessive-compulsive disorders) or cultural – and magical thought. In Plato’s works, the way people think is influenced by many factors often unknowingly: personality, habits, society, ethics, ignorance, etc. Since it had been analyzed by Gorgias, speech experts, such as orators or sophists, have been using oratorical magic in their performances. And then the ambiguity of Socrates’ magic blatantly appears whereas he claims to refute falsehood and eliminate illusions. Different types of possession occur in Phaedrus, some uncontrolled, other controlled, entailing an initiation. Socrates carries out his magic in several striking cases of bewitchment and he also uses incantations in particular to sooth the fear of death. In the political field, the lawgiver finds an interest in using incantations for more effectiveness in his task since they can shape the forms of behaviors, create strong bond between citizens and contribute to social control. A law about crimes of magic is also designed
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Castelnérac, Benoît. "La théorie platonicienne de l'éducation : les rapports de l'opinion et du savoir dans la constitution d'une paideia philosophique." Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010535.

Full text
Abstract:
Cette thèse tente d'identifier quels sont les éléments fondamentaux de l'éducation platonicienne et d'en rendre explicite l'économie et la logique propre dans le cadre plus large du platonisme éthique et politique. Nous souhaitons aborder les oeuvres de Platon dans cette perspective afin de montrer que la théorie platonicienne de l'éducation offre une assise théorique à partir de laquelle peuvent être élaborées des solutions à quelques-uns des nombreux questionnements éthiques et politiques formulés à la fois dans les dialogues et par les interprètes de Platon. Parce que la théorie platonicienne de l'éducation participe à la fois d'une recherche de la connaissance et d'une utilisation pédagogique de l'opinion, aborder le platonisme du point de vue de cette théorie pourrait se révéler particulièrement profitable pour déterminer les prémisses, les raisonnements et le fonctionnement pratique de l'éthique et de la politique platoniciennes.
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Colrat, Paul. "Le mythe du philosophe-roi : savoir, pouvoir et salut dans la philosophie politique de Platonε." Thesis, Normandie, 2019. http://www.theses.fr/2019NORMC005.

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Abstract:
La question du règne des philosophes ne se comprend qu’au prix d’un détour par les marges de la politique classique. D’abord nous avons montré que ces marges sont définies historiquement par un discours qui articule le règne, le savoir et le salut (chapitre I). Puis nous avons montré que la notion de règne, dès lors qu’elle est attribuée à des philosophes, s’établit dans les marges de la notion classique de basilein, en en subvertissant le sens classique (chapitre II). Ensuite nous avons montré que le discours sur le règne des philosophes est une tentative venant des marges de la politique pour subvertir en en faisant usage, c’est-à-dire pour destituer, la liaison classique entre le muthos et l’unification politique (chapitre III), ce qui a impliqué de comprendre comment le philosophe peut être aux marges de la politique tout en en étant le fondement (chapitre IV). Cela nous a conduit à voir que le philosophe est en marge par rapport à l’exigence d’être utile à la cité (chapitre V) et par rapport à l’exigence d’un savoir fondé sur l’expérience (chapitre VI). Enfin, nous avons essayé de montrer que le règne des philosophes s’inscrit dans la recherche du salut de la cité, thème marginal dans les études sur Platon (chapitre VII)
The question of the philosophers’ reign can only be understood at the cost of a detour through the margins of classical politics. First of all, I have shown that these margins have historically been defined by a discourse focusing on the relationship between kingdom, knowledge and salvation (chapter 1). I have then shown that the notion of kingdom itself, when it is attributed to philosophers, positions itself in the margins of the notion of basilein, while actively subverting its classical meaning (chapter 2). The discourse about the philosophers’ reign must therefore be understood as an attempt coming from the margins of politics to use the traditional relation between the muthos and political unification, in order to subvert it, namely, to depose it. This required me to explore the way in which the philosopher can simultaneously be in the margins of politics and at the very foundation of politics (chapter 4). The philosopher’s position in the city is doubly marginal: first, he is not subject to the imperative to be useful to the city (chapter 5), and secondly, he is not subject to the imperative to ground knowledge in experience (chapter 6). Finally, I have set out to show that the philosophers’ reign inscribes itself within a quest for the city’s salvation, a theme that is itself marginal in Plato studies, and deserves more attention than it has hitherto received (chapter 7)
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Mousseau, Fanie. "Elenchos et poésie : l'effet esthétique de Socrate dans le "Charmide" de Platon." Thèse, 2010. http://hdl.handle.net/1866/5974.

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Abstract:
Le Charmide de Platon s’inscrit légitimement dans ce qu’il est convenu de nommer les « dialogues de jeunesse », et nous y constatons la forte présence de ce qui caractérise traditionnellement l’activité philosophique de Socrate, soit la réfutation. Cependant, tandis que les réfutations effectuées directement sur le jeune Charmide ne produisent aucun effet, celui-ci réagit fortement aux réfutations que Socrate fait subir à son tuteur Critias et auxquelles il assiste passivement. Qu’est-ce qui, dans ce qui s’apparente vraisemblablement à une réfutation indirecte, produit l’ébranlement de Charmide? Nous voulons regarder en quoi la réfutation est ici un traitement purgatif non pas par l’usage d’affirmations propositionnelles contradictoires, mais par une certaine dialectique de l’image, celles de Critias et de Socrate devant Charmide. Cette dialectique de l’image en appelant à une réflexion sur la dimension mimétique du rapport qu’entretient le jeune garçon avec ces deux hommes, nous voulons ainsi regarder en quoi la réfutation indirecte de Charmide nous dresse les contours d’une possible activité poétique de Socrate. Cette poésie résisterait à la critique que celui-ci en fait plus tard dans la République par un usage de l’image qui vise non plus à proposer des modèles fixes de la vertu, mais à montrer le mouvement de la pensée, et donc à « sensibiliser » Charmide à l’élan intellectuel qui l’habite et l’anime lui-même. Ainsi, en nous penchant sur la présence dans le Charmide de ce que nous nommons une « réfutation poétique », ce mémoire explore la possibilité de penser ensemble ce qui semble assoir l’intellectualisme socratique des premiers dialogues et la poésie qui, par son absence de visée intellectuelle, est rejetée par le Socrate de la République à moins qu’elle ne prenne la forme d’un « éloge des hommes bons ».
Plato's Charmides is part of what we refer to as the «early dialogues», and we find in these dialogues a major feature of Socrates's philosophy, mainly refutation. However, while these refutations don't have any effects on the young Charmides, he still reacts to Socrates's refutation of Critias. We wonder how this indirect refutation produces such a reaction on Charmides. We look at how refutation represents here a purgative treatment not by using contradictory propositions, but with the use of a certain dialectic of the image, the ones of Critias and Socrates facing Charmides. Examining this dialectic, which refers to the study of the mimetic dimension that the young boy maintains with the two men, we wish to reflect on how the indirect refutation of Charmides draws the outline of Socrates's possible poetical activity. This poetry resists to the critics made later in the Republic pertaining to the use of images relating to certain models of virtue, by showing the motion of thought, and hence guiding Charmides in his own intellectual motion. By reflecting on the «poetical refutation» we find in Plato's Charmides, this thesis explores the possibility of linking what seems to ground Socrates's intellectualism in the early dialogues to the poetry that is rejected par Socrates in the Republic, besides the one that pertains to the «defense of good men».
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Hains, Marylène. "Éducation politique des jeunes Athéniens prodiguée par les Socrate de Platon et de Xénophon." Thèse, 2006. http://hdl.handle.net/1866/16541.

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Boustany, Badih. "L'articulation entre le rapport de Socrate aux dieux et son rapport à la raison : le cas du signe divin." Thèse, 2009. http://hdl.handle.net/1866/3463.

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Abstract:
À très peu de philosophes l’histoire de la pensée occidentale a accordé une place aussi significative qu’à Socrate : nous apprenons tout naturellement à l’édifier comme héros de la rationalité et à reconnaître en lui la figure même du philosophe critique. À plusieurs égards, cette représentation élogieuse nous paraît justifiée, bien que, d’un autre point de vue, elle puisse nous faire sombrer dans la confusion, dès lors que notre regard porte simultanément, et comme pour produire un contraste, sur l’image d’un Socrate se soumettant au daimonion, son étrange signe divin. Comment pouvons-nous justifier, à partir du corpus platonicien, à la fois l’engagement de Socrate vis-à-vis de la rationalité et sa soumission à un phénomène en apparence irrationnel ? De cette question troublante est née la présente étude qui se consacre donc au problème de l’articulation entre le rapport de Socrate aux dieux et son rapport à la raison critique. Plus précisément, nous avons cherché à déterminer s’il existait, sur le plan épistémologique, une hiérarchie entre le daimonion et la méthode d’investigation rationnelle propre à Socrate, l’elenchos. Une telle étude exégétique nécessitait, dans un premier temps, une analyse systématique et approfondie des quelques passages sur le signe divin. Nous avons ensuite exposé deux solutions paradigmatiques au problème du double engagement contradictoire de Socrate, celle de G. Vlastos ainsi que celle de T.C. Brickhouse et N.D. Smith. Enfin, nous avons augmenté cette seconde partie d’un examen spécifique du Phèdre et du Timée, de même que d’un survol des modes de divination pour satisfaire un triple objectif : situer le signe divin en regard de la mantique traditionnelle, déterminer le rôle attribué par Platon à la raison dans le processus divinatoire, et être ainsi en mesure de trancher notre question principale.
To very few philosophers the history of the Western thought granted a place as significant as to Socrates: we quite naturally learn how to identify him as a hero of rationality and to recognize in him the very figure of the critical philosopher. In several respects, this representation of praise appears justified to us, although, from another point of view, it can make us sink in confusion, since our glance carries simultaneously, and like producing a contrast, on the image of Socrates obeying to the daimonion, his uncanny divine sign. How can we justify, starting from the Platonic corpus, both the engagement of Socrates with respect to rationality and his subordination to a seemingly irrational phenomenon? From this disconcerting question was born the present study which is thus devoted to the problem of the articulation between the relation of Socrates to the gods and his relation to the critical reason. More precisely, we sought to determine if there existed, on the epistemological level, a hierarchy between the daimonion and the method of rational investigation peculiar to Socrates, the elenchos. Such an exegetic study required, initially, a systematic and thorough analysis of the few passages related to the divine sign. We then adduced two paradigmatic solutions, that of G. Vlastos as well as that of T.C. Brickhouse and N.D. Smith. Lastly, we added to this second part besides a specific examination of Phaedrus and Timaeus, also a broad survey of the modes of divination, satisfying a triple aim: to make sense of the divine sign in comparison with the traditional art of mantic, to determine the role allotted by Plato to the reason in the divinatory process, and thus to be able to solve our principal question.
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Castelnérac, Benoît. "La théorie platonicienne de l'éducation : les rapports de l'opinion et du savoir dans la constitution d'une paideia philosophique." Thèse, 2003. http://hdl.handle.net/1866/14277.

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Gilbert, Tremblay Ugo. "La disculpation platonicienne : étude sur la signification et l'évolution du concept de faute involontaire dans l’œuvre de Platon." Thèse, 2014. http://hdl.handle.net/1866/12422.

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Abstract:
La présente étude se propose de dégager les significations successives qu’emprunte le fameux paradoxe socratique du mal involontaire dans l’œuvre de Platon. Pour ce faire, notre propos se déclinera en trois principaux développements : 1) le premier consistera à clarifier le sens que recouvraient les catégories du volontaire et de l’involontaire dans l’Antiquité, de manière à éviter toute confusion anachronique avec les acceptions modernes de ces mêmes notions ; 2) le second tâchera de mettre au jour le postulat anthropologique qui fonde chez Platon l’idée qu’aucun homme ne saurait agir méchamment de son plein gré ; 3) le troisième exposera à tour de rôle les trois grands dispositifs de disculpation qu’élabore Platon dans son œuvre : les dispositifs de l’âme ignorante, de l’âme renversée et de l’âme malade. Nous montrerons ainsi comment Platon, à rebours de la théodicée chrétienne classique, cherche à blanchir l’homme de toute implication morale véritable dans la genèse causale de ses « mauvaises » actions.
This study intends to describe the successive meanings borrowed by the famous Socratic paradox of involuntary evil in the work of Plato. For that purpose, our ideas we will developed under three main themes: 1) the first will be to clarify the meaning covered by the voluntary and involuntary categories in ancient times, in order to avoid any anachronistic confusion with the modern meanings of these same concepts; 2) the second will seek to bring to light the anthropological postulate underlying Plato’s idea that no one could do wrong on his own purpose; 3) the third will in turn expose the three major exculpation devices developed by Plato in his work: the ignorant soul devices, of the inverted soul and of the diseased soul. We will thus show how Plato, contrary to the classic Christian theodicy, seeks to absolve human being from any real moral involvement in the causal genesis of his ‘‘bad’’ actions.
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