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Dissertations / Theses on the topic 'Platon, Platon'

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1

Eming, Knut. "Tumult und Erfahrung Platon über die Natur unserer Emotionen." Heidelberg Winter, 2006. http://deposit.d-nb.de/cgi-bin/dokserv?id=2838321&prov=M&dok_var=1&dok_ext=htm.

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2

Labarbe, Jules. "L'Homère de Platon /." Paris : les Belles lettres, 1987. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34908797j.

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3

Piérart, Marcel. "Platon et la cité grecque : théorie et réalité dans la constitution des "Lois /." Paris : les Belles lettres, 2008. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41327810r.

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4

Steiner, Peter M. "Psyche bei Platon /." Göttingen : Vandenhoeck und Ruprecht, 1992. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35598451q.

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5

Fontaine, Patrick. "Platon, non-philosophe." Paris 10, 2006. http://www.theses.fr/2006PA100051.

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Abstract:
L'embarras de la tradition à distinguer Platon et Socrate témoigne d'une réception traditionnelle de la philosophie : générale mais pas universelle. Nous renouvelons la lecture de Platon grâce à la non-philosophie de Laruelle, qui propose une approche universelle de la tradition. Laruelle pose le problème de la réception de la pensée, et Platon fait du personnage de Socrate la figure essentielle de la réception. Il y a une pensée platonicienne, en laquelle Socrate tient cette place déterminante d'être, dans un dispositif insurmontable, le pivot fondamental et révélateur. L'accueil est le signe d'un dispositif que Platon met en place : le dispositif de la réception de toute pensée selon l'identité humaine. Nous ne lisons plus Platon depuis la prise de parole de la tradition philosophique, mais selon le réel humain que Platon pose (et non pas " vise ", comme la tradition le croit). Nous posons, avec Laruelle, qu'il y a une pensée d'homme, depuis l'homme, selon l'homme en son immanence radicale, Platon en lui-même comme tout homme, réel
The embarrassment of the tradition to distinguish Plato and Socrates testifies to a traditional reception from philosophy : general but not universal. We renew the reading of Plato thanks to the not-philosophy of Laruelle, which proposes a universal approach of the tradition. Laruelle poses the problem of the reception of the thought, and Plato made of the character of Socrates the essential figure of the reception. There is a Platonic thought, in which Socrates holds this determining place to be, in an insurmountable device, the fundamental and revealing pivot. The reception is the sign of a device that Plato sets up: the device of the reception of very thought according to the human identity. We do not read any more Plato since the speech of the philosophical tradition, but according to human reality that Plato poses (and not "aims", as the tradition believes it). We pose, with Laruelle, that there is a thought of man, since the man, according to the man in his radical immanence, Plato in itself like any man, reality
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6

Colloud-Streit, Marlis. "Fünf platonische Mythen im Verhältnis zu ihren Textumfeldern /." Fribourg : Acad. Press [u.a.], 2005. http://deposit.ddb.de/cgi-bin/dokserv?id=2703828&prov=M&dokv̲ar=1&doke̲xt=htm.

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7

Wilke, Brigitte. "Vergangenheit als Norm in der platonischen Staatsphilosophie /." Stuttgart : F. Steiner, 1997. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37068389x.

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8

Karfík, Filip. "Die Beseelung des Kosmos : Untersuchungen zur Kosmologie, Seelenlehre und Theologie in Platons Phaidon und Timaios /." München ; Leipzig : K. G. Saur, 2004. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb392334232.

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9

Osseweijer, Franke Martin. "Plato's "Laches" tussen "Apologie" en "Epistula VII" /." Leiden : Rijksuniversiteit te Leiden, 1998. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb370307555.

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10

Lembeck, Karl-Heinz. "Platon in Marburg : Platon-Rezeption und Philosophiegeschichtsphilosophie bei Cohen und Natorp /." Würzburg : Königshausen & Neumann, 1994. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb374512794.

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11

Testut-Prouha, Arnaud. "Théocrite, lecteur de Platon." Thesis, Montpellier 3, 2017. http://www.theses.fr/2017MON30103/document.

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Abstract:
Il s'agit de montrer que l'art poétique de Théocrite s'appuie sur des éléments littéraires et spéculatifs propres à Platon : dialogue, mimèsis, genres, mythes, images
This is to show that Theocritus poetic art is based on literary and speculative elements specific to Plato : dialogue, mimesis, genres, myths, images
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Lossi, Annamaria. "Nietzsche und Platon : Begegnung auf dem Weg der Umdrehung des Platonismus." Würzburg Königshausen & Neumann, 2006. http://deposit.d-nb.de/cgi-bin/dokserv?id=2839837&prov=M&dokv̲ar=1&doke̲xt=htm.

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13

Jardry, Jérôme. "L'"autarkeia" chez Platon." Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010624.

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Abstract:
Pour Platon, le monde et l'homme bon sont tous deux dans cette situation de n'avoir d'autre ami que soi-même. L'"autarkeia", définie comme auto-suffisance est un idéal dans la philosophie grecque, chez Socrate par exemple, et pour Xénophon et Aristote. Platon en propose toutefois un traitement original : quasiment absent des textes, le concept d'"autarkeia" structure l'ensemble de la philosophie de Platon. L'enjeu principal est de déterminer si l'autarcie peut être définie comme relative, ou si elle ne peut conserver un sens qu'en étant absolue. Le sens de l'autarcie pose problème pour l'homme bon -le philosophe, pour l'homme dans la cité, pour le monde et pour les Formes. L'"autarkeia" met en évidence la tension entre le rapport au désir (qui présuppose le manque), et l'exigence de fonder la philosophie et la dialectique, sur un principe (anhypothétique, c'est-à-dire auto-suffisant). C'est toutefois le sens absolu de l'autarcie qui rend possible une métaphysique : l’autarcie apparaît donc comme une condition du discours philosophique
According to Plato, the world and the good man share this way of being : having no friend but themselves. Autàrkeia, or self-sufficiency, is an ideal for Greek philosophers, for Socrates for example, and according to Xenophon or Aristotle. However, Plato deals with autârkeia in an original way : autârkeia can be considered as a guideline for Plato 's philosophy, while the concept is almost missing in the texts. Can self-sufficiency be defined as relative? Or would il be merely be absolute, as the only possible meaning. The problem needs to be examined for the good man -the philosopher-, for citizens, the world and Forms. Autârkeia highlights the contradiction between desire (which presupposes lack), and the necessity to ground philosophy (and dialectic) on a principle (an "anhypothetic" one, which means: self-sufficient). Yet, metaphysics is grounded on the absolute meaning of autàrkeia: self-sufficiency is therefore a main condition of philosophical logos
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14

Coquio, Henri. "Platon : l'être et l'image." Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA010636.

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Abstract:
La thèse a pour objet le statut ontologique de l'image chez Platon, lequel convoque l'ensemble de la philosophie platonicienne. L'image revêt à la fois un sens noétique, comme représentation, renvoyant à la mimesis, et un sens ontologique, comme autre que l'essence, désignant un certain non-être. Dans un premier temps, il s'agit de distinguer l'image de l'Idée en général; dans un second temps, de penser la relation de l'image et du langage à travers une interprétation du Cratvle. Les deux derniers moments sont consacrés respectivement à la question de l'image dans son rapport au monde, et à la question de l'image dans son rapport à l'homme au sein de la culture.
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15

Barbero, Daniel Robert. "L’ Archê chez Platon." Nice, 2005. http://www.theses.fr/2005NICE2026.

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Abstract:
Ce travail tente de présenter l’Archê comme un pli suréminent qui détermine le double champ sémantique de l’originaire et de l’autorité. Platon conforme le mot à l’usage courant, mais en ce qui concerne la chose, il nous a semblé que la pensée platonicienne tente d’en organiser la souveraine supériorité, l’extériorité, et la transitivité, selon le rapport de la mimêsis. A quelque échelon que ce soit de l’intelligible ou du sensible, le rapport mimétique possède la propriété de maintenir le modèle dans le retrait. Le modèle absolu (objet au livre VI de la République de la promesse du mégiston mathêma est le « souverain Bien ». En lui-même, le Bien se maintient dans un statut transcendant en se retirant au delà des essences ; et au niveau de sa traduction dans le logos, , le Bien se trouve maintenu dans la distance par la suspension du mode discursif dialectique, remplacé par l’analogie. Par nature, le Bien , conçu ou projeté comme Archê, est désimpliqué des chaînes causales qui se développent dans le devenir ; et de ce fait son pouvoir ne peut être que non coercitif. Le Bien, de même que l’ensemble de l’intelligible, se retire au sein de l’Aion, dont le temps n’est qu’« image mobile ». Si belle qu’elle apparaisse à l’âme étonnée du philosophe, la procession cosmique n’est qu’une dérivation analogique d’un modèle dont la beauté pure et simple a suscité dans la conscience du Démiurge l’émotion admirative et le désir imitatif. Le philosophe est donc l’homme qui, grâce au Noûs, mis en phase par l’ascèse sur l’Intellect démiurgique, ressaisit énergétiquement la beauté originaire et initiale de l’Archê dans la beauté dérivée des images dissipées dans l’inertie de la chôra. Cette ressaisie est appelée périagogê au livre VII de la République. Par définition inconsistante, l’image n’est cependant pas totalement illusion, non-être, car elle véhicule un résidu déclassé de l’être qui, traité comme support iconique, peut être converti en son modèle. Le philosophe, maître de lui-même par l’archontat du Noûs, est l’agent de cette libérale conversion vers l’Archê, alors que le philodoxe, esclave de son avidité épithumique, se laisse gagner par l’inertie de la chôra, et ne saisit les images que dans le sens processif qui dresse, entre sa conscience et l’être, un écran sur lequel ne manqueront pas de miroiter les simulacres rentabilisés par le sophiste. Le devoir du philosophe est donc de sauver les phénomènes en les rapportant à la souveraineté du modèle, et de sauver la cité en appliquant le modèle du Bien dans l’exercice éthique de l’arétê, et en se tenant prêt à assurer une souveraineté politique dont l’indexation sur l’Archê constitue une garantie suffisante contre toute dérive tyrannique
This work is trying to present the Archê as a supereminent fold that determines the double semantic area of the originary and the authority. Plato conforms the word to the current use, but concerning the thing itself, it appeared to us that the platonic thought tries to organize its sovereign superiority, exteriority, transitivity according to the relation of mimêsis. At whatever level of the intelligible or the sensible, the mimetic relation has the property of maintaining the pattern in pull back. The absolute pattern (object in the VIth book of the Republic of the promise of the mégiston mathêma) is the sovereign Good. In itself, the Good is maintaining itself in a transcendant statute withdrawing beyond the beings, and at the level of its translation in the logos, the good is maintained distant by the suspension of the discursive mode of the dialectic, replaced by analogy. According to its nature, the Good, conceived or projected as Archê is desinvolved of the causal chains that are developping themselves in the becoming, and because of that, its power cannot be anything but no-coercitive. The Good, as well as the whole intelligible, withdraws itself within the aion, of which the time is a mobile image. However beautiful it appears to the astonished soul of the philosopher, the cosmic procession is nothing but an analogic derivation of a pattern whose pure and simple beauty has determined in the conscience of the Demiurge the admirative emotion and the imitative desire. The philosopher is therefore the man who, by courtesy of the Noûs, accorded by the ascetism to the Intellect of the Demiurge, recovers energetically the originary ant initial beauty of the Archê in the derivated beauty of the images dissipated in the inercy of the chôra. This recovering is called périagogê in the VIIth book of the Republic. By definition insubstantial, the image is nevertheless no total illusion, no-being, because it vehicles a remainder declassified of the being, who, treated as an iconic support, can be converted to its pattern. The philosopher, master of himself by the command of the Noûs is the agent of this liberal conversion towards the Archê, while the philodoxer, slave of his epithumic greediness, gives himself up to the inercy of the chôra, and seizes the images only in the processive sense that sets between the conscience and the being a screen upon which will sparkle the pretences made cost-effective by the sophist. The duty of the philosopher is therefore to save the phenomenons reporting them to the sovereignty of the pattern, and to save the city applying the model of the Good in the ethic exercise of the arétê, and getting ready to assume a political sovereignty which indexation to the archê constitutes a sufficent guaranty of no-coercition to set the most efficient rampart against any drift towards tyranny
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Svanefjord, Natasha. "Varför är Platon poet?" Thesis, Södertörns högskola, Institutionen för kultur och lärande, 2015. http://urn.kb.se/resolve?urn=urn:nbn:se:sh:diva-30074.

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González, Suárez Amalia Amorós Cèlia. "La conceptualización de lo femenino en la filosofía de Platón /." Madrid : Ed. Clásicas, 1999. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37110154x.

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18

Baxter, Timothy M. S. "The "Cratylus" : Plato's critique of naming /." Leiden ; New York ; Köln : E. J. Brill, 1992. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35620219g.

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Heit, Helmut. "Der Ursprungsmythos der Vernunft : zur philosophiehistorischen Genealogie des griechischen Wunders /." Würzburg : Königshausen & Neumann, 2007. http://bvbr.bib-bvb.de:8991/F?func=service&doc_library=BVB01&doc_number=015638111&line_number=0001&func_code=DB_RECORDS&service_type=MEDIA.

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Schefer, Christina. "Platon und Apollon : vom Logos zurück zum Mythos /." Sankt Augustin : Academia Verl, 1996. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36175180s.

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Bouvier, Julien. "La statuaire morale de Platon." Phd thesis, Université de Grenoble, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00942269.

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Abstract:
La statuaire morale de Platon est l'activité "modelant par la parole" (République, IX, 588 b 10) de "multiples statues de l'excellence" (Banquet, 222 a 3-4) et consistant aussi à "se façonner soi-même" (République, VI, 500 d 6) d'après elles. Elle implique donc un double cheminement: l'un va des images contenues dans les Dialogues, aux valeurs qu'elles désignent, tandis que l'autre conduit à envisager l'éthique platonicienne comme une forme particulière d'art de l'existence. Sur ce second point, la thèse soutenue se situe ainsi dans l'optique de la pensée de Michel Foucault. Sur le premier point en revanche, elle a consisté à interroger le statut du langage platonicien, la nature des procédés rhétoriques mis en œuvre, ainsi que celle des figures utilisées. Ce double examen permet d'affirmer que la définition de l'éthique platonicienne comme statuaire morale n'est pas une simple métaphore: c'est une image, mais qu'il faut situer parmi les multiples images forgées par Platon. Elle se révèle alors apte à orienter la lecture et la compréhension des Dialogues.
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Lamarche, Vincent. "Constance et temporalité selon Platon." Lille 3 : ANRT, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37614902q.

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Pouraud, Christine. "La Notion d'âme chez Platon." Lille 3 : ANRT, 1991. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37617690q.

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Tambrun, Brigitte. "Pléthon le retour de Platon /." Paris : J. Vrin, 2006. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb410617768.

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Ramón, Cámara Begoña. "Bien et principe chez platon." Thesis, Paris 10, 2016. http://www.theses.fr/2016PA100027.

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Abstract:
La thèse de doctorat Bien et principe chez Platon, écrite par Begoña Ramón et dirigée par les Professeurs Tomás Calvo et Francis Wolff, vise à combler une lacune dans les études sur l’Idée du Bien chez Platon. En fait, bien qu’on ait beaucoup écrit sur le Bien chez Platon, cette question d’intérêt constant n’a jamais été étudiée de manière adéquate et suffisante. Le présent travail tente d’apporter pour la première fois une définition du contenu et du sens du Bien claire, précise et systématique, qui permette d’expliquer la fonction fondatrice de cette Idée dans la philosophie de Platon tant pour l’éthique, la politique, la théorie de la connaissance que pour l’ontologie. Selon la méthode suivie dans ce travail, cette définition doit être inférée des textes mêmes de Platon plutôt que d’une spéculation sur ce qu’on appelle « les doctrines non écrites » du philosophe. En ce sens, on trouvera dans ce travail une interprétation de toute la philosophie de Platon — comprise comme un système unitaire et cohérent — basée sur une étude détaillée de dix dialogues fondamentaux pour le problème du Bien qui couvrent toutes les phases de la pensée platonicienne, à savoir, le Lysis, le Gorgias, le Phédon, le Banquet, la République, le Parménide, le Politique, le Philèbe, le Timée et les Lois
The doctoral thesis Good and Principle in Plato, written by Begoña Ramón and supervised by Prof. Tomás Calvo and Prof. Francis Wolff, fills a gap in the studies on the Idea of Good in Plato. Although a great deal has been written about the Good in Plato, this topic of permanent interest has never been studied in an adequate and sufficient way. The present work tries to provide for the first time a clear, precise and systematic definition of the content and meaning of Good that can explain the function that this Idea fulfills in Plato’s philosophy as the foundation of ethics, politics, theory of knowledge and ontology. According to the method followed in this work, that definition must be inferred from Plato’s texts themselves rather than from his so-called “unwritten doctrines”. Therefore, this dissertation offers an interpretation of Plato’s philosophy—understood as a unified and coherent system—based on a detailed study of ten dialogues that are essential for the problem of Good and that encompass all the phases of Plato’s thought, i. e., Lysis, Gorgias, Phaedo, Symposium, Republic, Parmenides, Statesman, Philebus, Timaeus, and Laws
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Brisson, Luc. "Mythe et philosophie chez Platon." Paris 10, 1985. http://www.theses.fr/1985PA100304.

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Kouam, Clément. "Science et politique chez platon." Lille 3, 1988. http://www.theses.fr/1988LIL30028.

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Rogue, Christophe. "Platon, le risque de l'économie." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2003PA040156.

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Abstract:
Une vulgate répandue fait de Platon le tenant d'une politique idéale, déniant tout droit de cité au phénomène économique. S'il n'y a d'économie que purement libérale, délivrée de toute régulation politique, alors peut-être une telle lecture est-elle possible. Mais là est le malentendu: n'y a-t-il d'économie que libérale? Ce travail montre comment Platon, loin de négliger l'économie, est à la source de la pensée économico-politique. On découvre comment Platon a su à la fois reconnaître ce risque fondamental qu'est l'économie pour la cité, tout en sachant aussi bien reconnaître la nécessité de courir ce risque. On s'aperçoit alors que sa politique, loin de rejeter l'économie, est entièrement pensée dans son rapport à elle. La première partie du travail remonte aux sources de l'activité philosophique. Traditionnellement présentée comme désintéressée, la philosophie n'en naît pas moins dans le climat ambigu du commerce des hommes. Pour se démarquer de sophistes qui donnent une valeur économique au logos, Platon est très tôt conduit, sous l'influence de Socrate et de conceptions traditionnelles, à formuler une théorie de la valeur. La deuxième partie montre comment cette théorie devient le soubassement idéologique d'une Callipolis née de la nécessité économique. Platon repère nettement la conflictualité propre à l'économie, et son lien essentiel à l'histoire. Concevant sa cité sur un modèle organique naturel, il met tout en oeuvre pour déjouer ce risque. Cependant, impasses théoriques et déceptions personnelles le conduisent à réviser son projet. La troisième partie montre alors comment Platon, tout en conservant ses objectifs de maîtrise du désordre économique, reprend son projet de cité dans un sens plus réaliste. On constate combien les Lois doivent s'interpréter comme une véritable économie politique. Avec un souci aigu du détail, Platon rebâtit une cité dont pas un élément, de l'urbanisme aux lois sur le culte, n'obéisse à une raison économique
A common interpretation considers Plato as a supporter of an ideal policy, giving no credit to economics. If an economy can only be liberal, without any form of political control, then maybe such an interpretation makes sense. But here's the pitfall: is economic liberalism the epitome of all economies? Plato does not disregard economics at all. On the contrary, this work shows that he should be considered as a founder of political economics. He was the very first to identify the economy as a risk for the city and yet, at the same time, he acknowledged that this risk had to be run. Thus, his political thought, far from disregarding the economy, has an ever-present bond with it. The first part goes back to the origin of philosophy. Philosophy has always been held as a disinterested activity. Yet it emerged at an ambiguous time when trading prevailed among men. In order to avoid any confusion with the sophists, who claimed that the logos had an economic value, Plato soon defined his own theory of value, influenced by Socrates and traditional views. The second part shows how this theory became the ideological background of the Callipolis. The city stems from need and the necessity for an economy. Plato immediately saw its conflicting nature and its link to history. Modelling his city on a natural organism, he left nothing unattended in order to prevent this risk. Yet, some theoretical impasses and personal disappointments led him to alter his views. The third part thus explains how Plato revised his plans in a more realistic way, with his idea of mastering the economic disorder still in mind. One can then see how much the Laws are to be read as a real political economy. With an acute sense of details, Plato builds again a city in which every element, from town-planning to laws on worship, has an economic ground
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Helmer, Étienne. "Économie et politique chez Platon." Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010625.

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Abstract:
Les rapports de l' économie et de la politique chez Platon n' ont pas été étudiés car selon les historiens, l'économie ancienne était immergée dans la politique. De l'économie platonicienne ne furent retenues que les prescriptions données dans les Dialogues à son sujet. La rivalité perçue par Platon entre les acteurs économiques et le politique concernant l'édification de la cité n' a pas été perçu. Contre Xénophon, contre ce qu' Aristote lui attribue, Platon refuse d'assimiler le monde de l'économie et celui de la politique, et détermine les conditions nécessaires à l'autonomie de la politique, en discernant l'efficience politique de l' efficience économique. Car si l' économie fait matériellement la cité, elle peut aussi la défaire en raison du dérèglement que l' anthropologie de Platon attribue à nos appétits. La politique véritable fait faire la cité en vue de son unité, et en est la cause proprement dite. Pour que la politique soit possible, il faut donc rendre l'économie politique.
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Teisserenc, Fulcran. "Discours et image chez Platon." Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010550.

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Abstract:
Nous avons cherché à comprendre les raisons pour lesquelles Platon compare si fréquemment le discours à une image et jusqu'à quel point l'assimilation des deux est justifiée aux yeux de l'auteur. Nous avons divisé notre propos en trois parties: la première, située au niveau du nom et consacrée au Cratyle, examine dans quelle mesure il est possible de conférer à la ressemblance un pouvoir instituant dans le langage, et de reconnaître dans le mot l'image de la chose; la seconde, préparée par l'échec de la première tentative, recherche, en suivant les analyses du Sophiste, les modalités d'une correspondance réglée entre les entrelacements eidétiques et les combinaisons verbales de la proposition dialectique; la troisième, s'intéressant aux rapports entre discours, montre en quels sens un schème mimétique est susceptible de coordonner au discours dialectique les espèces inférieures du discours philosophique, qu'il soit cosmologique dans le Timée, ou politique dans la République
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Pouraud, Christine. "La notion d'âme chez Platon." Paris 4, 1988. http://www.theses.fr/1987PA040414.

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Abstract:
La notion d'âme chez Platon est intimement liée à l'ontologie platonicienne. C'est parce que l'être universel , un + repos et mouvement , un + monde des idees , est lui-même " animé " , c'est parce qu'il contient une âme , l'âme universelle , qui n'est autre que le mouvement de relation entre les idées , que l'âme individuelle de par sa parenté avec l'intelligible , peut définitivement être conçue , à l'image de l'être , comme une entité mixte de même et d'autre , comme une entité-désir , capable de se tourner à la fois vers l'intelligible et vers le sensible. Au point de vue de la constitution de l’univers, nous avons été amené à penser que l'âme-mouvement ne nait pas au seul contact de l'espace et de la matière, comme l'a dit Plotin, qu'elle n'est pas uniquement médiatrice entre l'intelligible et le sensible , mais qu'elle est déjà dans l'intelligible lui-même , médiatrice entre l'un et les idées. Ainsi, c'est parce que l'âme universelle est présente dans la totalité de l’univers, que l'âme individuelle est capable de remonter toute l'échelle des étant-beaux, pour se perdre dans la contemplation de l'un
Plato's notion of the soul is closely linked to platonic ontology. It's because the universal being, one + rest and movement , one + the world of ideas , is himself " animated ", it's because he has a soul , the universal soul , which is the movement of ideas in relationship to each other , that the individual soul , by its kinship with the intelligible , may definitely be conceived , in the image of the being , as a mixed entity of self and other , as an entity-wish , capable of turning towards the intelligible and the sensible at the same time. Regarding the constitution of the universe , we've been lead to believe that the soul-movement isn't born only with the contact of space and matter , as Plotin said , that it isn't only the intermediary between the intelligible and the sensible , but that it's already in the intelligible itself , intermediary between one and the ideas. Thus, it's because the universal soul is present in the totality of the universe, that the individual soul is capable of climbing the ladder of beautiful beings, to lose himself in the contemplation of the one
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Lamarche, Vincent. "Constance et temporalité selon Platon." Paris 4, 1988. http://www.theses.fr/1988PA040054.

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Abstract:
En dépit de ce que pourraient laisser croire les divisions du Timée (27d), Platon accorde aux êtres temporels une dignité et une constance réelles quoique relatives, en ménageant, au prix d'un double "parricide", la possibilité d'un moyen-terme entre le statut qu'il réserve à l'intelligible et celui que les relativistes assignaient au sensible. Il voit en l'existence du temps et en notre participation à ses "formes" (l'"était" et le "sera") un indice de la détermination du "devenir" par l'"être" et l'un des principaux gages de la bienveillance divine à notre égard. Dans le Philebe et le Parménide, il attribue enfin au temps la structure d'un mixte" d'"infini" et de "limite", et assure l'intelligibilité du devenir temporel au moyen de distinctions qui ne sont point sans évoquer celles dont Aristote fera usage dans sa physique
In spite of what the divisions of the Timaeus (27d) might suggest, Plato grants dignity and constancy to temporal beings, by allowing, thanks to a double "parricide", the possibility of an intermediate between the status he reserves to the intelligible and the one attributed to the tangible world by the relativists. In the existence of time and in our participation in its "forms" (the "was" and the "will be"), he sees an evidence of the interaction between "being" and "becoming", and a sign of divine concern. In the Philebus and in the Parmenides, he conceives time as a "mixture" of "limit" and "infinity", and settles the intelligibility of temporal becoming by means of distinctions which seem to announce Aristotle’s physics
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Labidi, Abdallah. "L'irrationalité mathématique chez Platon." Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010629.

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Abstract:
Platon ou plutôt la philosophie platonicienne a été influencée par les mathématiciens grecs. Cette influence que notre philosophe a subie des mathématiques est particulièrement perceptible dans le problème fatal de la géométrie grecque et presque de la pensée grecque, dans la théorie de l'irrationnel. La rencontre de l'irrationnel par les pythagoriciens venait, en effet, heurter les idées reçues sur la géométrie et sur la correspondance entre les éléments de cette science et le monde des nombres. Tout particulièrement la √2 ou plutôt le calcul approché de cette racine semble inspirer la méthode platonicienne de la dichotomie. En effet, de même que pour déterminer la valeur de la √2 on a procédé par l'encadrement par défaut et par excès, de même dans la dialectique dichotomique on a procédé par encadrement par le haut et par le bas à déterminer l'OUSIA de toute chose, et partant le logos. Ainsi le logos apparaît comme encadré par défaut, par l'infrasensible, et par le haut par, le suprarationnel : un logos encadré des deux cotés par l'alogos.
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Laurent, Jérôme. "Procession et participation selon platon." Paris 4, 1989. http://www.theses.fr/1989PA040019.

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Abstract:
La pensee de plotin explique l'ordre du monde par un mouvement d'expansion de l'un absolument absolu au multiple plus ou moins organise de la nature. Cette procession est le resultat de l'activite parfaite des idees et de la temporaite de l'ame, nous avons voulu montrer quelle place centrale est laissee a la theorie platoncienne de la participation et comment le vitalisme poltinien ne s'explique que double d'une ontologie rigoureuse : les phenomenes sensibles sont donc fondes et par les intelligibles et par la derivation processionnelle. Quelle est la continuite des niveaux de la procession ? quel est le role des differentes sortes de raisons ? quelle est la place de la providence ? comment penser la matiere ? ces questions nous ont conduit a analyser les problemes de la beaute et de la laideur, de l'incarnation et de la mort et, d'une maniere generale, de la perfection et de l'imperfection. La complementarite de la procession et de la participation interdit de maintenir un dualisme strict, mais n'impose pas pour autant une interpretation emanatiste de plotin. La doctrine des deux actes, le dynamisme psychique et le role de la contemplation permettent a plotin de penser le monde indissociablement varie, comme l'etre lui-meme, et unique comme le premier principe
Plotinus'thought explains the state of things by a movement of expansion from the one, absoluetely absolue, to the more or less organized multiplicity of nature. Such a procession results from the perfect activity of ideas and temporality of soul. We aimed at demonstrating that a central place is given to plato's theory of participation and how plotinus vitalism cannot be understood without a rigorous ontolgy : thus, the sensible phenomena are founded by the intelligible ideas as well as processionary derivation. Which continuity should we attribute to the different levels of procession ? which role should we confer to the different sorts of logoi ? what is the place of providence ? how to think matter ? these questions led us to analyse the problems of beauty and ugliness, of incarnation and death. And, in general, problems of perfection and imperfection. The complementarity of procession and participation makes it impossible to maintain a strict dualism, but does not consequently allow us emanatistic interpretation of plotinus. The two-act doctrin, psychic dynamism and the role of contemplation let plotinus think that the world is varied, as the being is itself, and unique as the first principle
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Binayemotlagh, Saïd. "Etre et liberté chez Platon." Strasbourg 2, 1998. http://www.theses.fr/1998STR20021.

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Abstract:
Ce travail etudie le rapport entre l'etre et la liberte chez platon. Le mot liberte etant ici entendu au sens metaphysique du terme. Apres avoir degage les fondements de la doctrine platonicienne de la liberte, demontre comment ceux-ci se trouvent deja chez platon, bien avant les stoiciens, nous entrons au vif du sujet. La recherche de l'origine de la liberte nous ayant revele l'interet vif et fondamental de platon pour une liberte de type interieur, nous nous interrogeons a present sur sa signification et son elaboration. Aussi, au niveau des parties 1 et ii, nous examinerons les notions de l'un et de l'etre. Notions fondamentales pour la conception platonicienne de la liberte. Parties purement metaphysiques que ces deux parties, dans lesquelles nous essayons de montrer comment chez platon la liberte decoule tout naturellement de l'etre. Cette liaison, les textes analyses au cours des parties iii et iv, la montrent davantage. Or, qu'il aspire a gouverner, tel alcibiade, qu'il represente le philosophe, tel le prisonnier de la caverne, qu'il accepte heroiquement la mort, tel socrate dans le phedon ou, enfin, qu'il apparaisse sous le jour de l'amoureux, l'homme en quete de l'etre est toujours en meme temps le chevalier a la recherche de la liberte. Ces deux quetes n'en font qu'une. Au terme de ce travail, qui comporte egalement 4 annexes, nous evoquons l'actualite de la doctrine platonicienne de la liberte en sa relation avec l'etre
The purpose of this study is to attempt to explain the relationship between being and metaphysical liberty as conceived by plato. First, we shall study the origin of this problem, so as to prove how plato, before the stoiciens, has formed and developed the doctrine of metaphysical liberty. Then we will proceed as follows : in part one et two, will be envisaged plato's doctrine of being and the way it fits together with his conception of internal liberty. Part three studies the articulation between liberty and man's being. Part four, will examine some further texts related to the concrete research of being and liberty. In conclusion, we will show how both plato's doctrine of being and his conception of liberty are relevant to the current era
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Mekhitarian, Aram S. "Emergences du Tupos chez Platon." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 1997. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/212122.

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Yazdani, Zenouz Khosrow. "La vision tragique du monde chez les Grecs : (Homère, les tragiques et Platon)." Thesis, Paris 1, 2014. http://www.theses.fr/2014PA010529/document.

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Abstract:
Ce travail se propose d'examiner la vision tragique des Grecs, en partant de son origine, Homère, pour voir ensuite comment elle se maintient, s'intensifie et parfois même se trouve abandonnée (chez Eschyle et Sophocle), puis se trouve enfin radicalement combattue par la théologie sotériologique de Platon. La vision tragique est une vision religieuse, structurée par la hiérarchie des destins -ceux des dieux, des héros, des hommes vivants et des habitants de !'Hadès. Entre la race des dieux et celle des hommes s'ouvre un abîme : les dieux ne sont pas mortels et les humains ne sont pas immortels. L'ingérence constante des dieux dans les affaires des hommes a le plus souvent comme résultat la souffrance, le malheur et la mort. Le monde d'après la mort est un lieu où les psychai demeurent, telles des ombres, inconscientes de leur propre existence et de celle des autres. Au cœur de cette vision, l'homme n'est pas libre et ne choisit pas, il n'est pas responsable de ses actes et ne mérite pas ce qu'il subit. Si l'on supprime une seule de ces quatre croyances fondamentales, ou si on assiste à une décision prise par un dieu bon, juste ou compatissant, on ne peut parler de vision tragique. Ce travail s'attache donc essentiellement aux textes où elle s'est exprimée dans toute sa pureté: Homère (L’Iliade), Eschyle (Les Perses), et Sophocle (Les Trachiniennes, Ajax, Antigone et Œdipe roi). Une attention particulière est portée aux mots qui la traduisent. Mais une vision différente s'oppose dès l'Odyssée et l'Orestie, vision anti-tragique qui trouve sa forme achevée dans la religion de Platon. La dernière partie de ce travail s'efforce d'en dégager les points principaux. Platon estime qu'il existe en l'homme un élément de nature divine et immortelle, d'où la substitution d'une théologie de la délivrance et de l'assimilation au divin à une théologie de la séparation. Le sage remplace le héros, ce n'est plus la mort glorieuse qui est une « belle mort» et qui doit être chantée, c'est celle de Socrate, le servant d'Apollon. Selon cette pensée philosophico-religieuse, l'homme est libre, il choisit et il est responsable, et mérite donc désormais les châtiments et les récompenses qui lui sont réservés. De plus, la théologie platonicienne est fondamentalement une théodicée: les dieux ne peuvent être que bons, l'origine du mal réside dans l'existence de deux âmes du Monde: une bonne et une mauvaise. Le message de la théologie tragique est la résignation devant le mystère. Platon se donne pour mission divine d'acheminer l'âme vers le salut, et, avec cette théologie anti-tragique, il crée un lien différent entre les dieux, les sages, les hommes, le destin, l'après-mort et la psychè
This work proposes to examine the tragic vision of the Greeks, going back to its origins, i.e. Homer, in order to see how it is maintained, intensifies, and even finds itself abandoned (in Aeschyluses work or in Sophocleses one). Then we'II see how this vision was completely defeated by Plato's soteriological theology. The tragic vision is a religious vision, structured by the hierarchy of the Fates -Those of the gods, heroes, living men, and the inhabitants of Hades. Between the race of gods and that of humans there is an abyss: the gods are not mortal and humans are not immortal. The constant meddling of the gods in the affairs of humans most often results in suffering, unhappiness, and death. The world after death is a place where souls reside, that of shadows, unconscious of their own existence and the existence of others. At the heart of this vision, man is not fee and does not choose; he is not responsible for his acts and does not deserve what he undergoes. If one suppresses one of these four fundamental beliefs, or if one assists in a decision 111ade by a good, fair, or compassionate god, one cannot speak of tragic vision. Therefore, this work focuses essentially on the texts where it is expressed in all of its purity: Homer (The Iliad), Aeschylus (The Persians), and Sophocles (The Trachiniae, Ajax, Antigone, and Oedipus the King). Particular attention is given to the words that translate it. But a different vision opposes from the Odyssey and Oresteia, an anti-tragic vision which finds its form completed in the religion of Plato. The last part of this work strives to bring out the principal points. Plato assesses that there exists in man an element of divine and immortal nature, hence the substitution of a theology of deliverance and the assimilation to the divine with a theology of separation. The sage replaces the hero, it is no longer the glorious death that is a “beautiful death" and which must be chanted, it is that of Socrates, the servant of Apollo. According to this philosophico-religious thought, man is fee, he makes choices, and he is responsible, and thus deserves from this time forward the punishments and rewards that are in store for him. Furthermore, Platonic theology is fundamentally a theodicy: the gods can only be good, the origin of evil resides in the two souls of the World: the good and the bad. The message of tragic theology is the resignation to the mystery. Plato takes on as a divine mission moving the soul towards salvation, and with this anti-tragic, he creates a different link between the gods, the sages, men, destiny, the afterlife and the psyche
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Sattler, Stefan Georg. "Der griechische Fortschrittsbegriff - dargestellt an Platon /." Berlin : Verl. dissertation.de, 2000. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37635052f.

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St-Laurent, Jean-Philippe. "La notion de beau chez Platon." Thèse, Trois-Rivières : Université du Québec à Trois-Rivières, 2001. http://www.uqtr.ca/biblio/notice/tablemat/03-2232586TM.html.

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Auffret, Thomas. "Mesure et juste mesure chez Platon." Thesis, Paris 1, 2014. http://www.theses.fr/2014PA010569.

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Abstract:
On examine ici deux concepts fondamentaux touchant la genèse et la structure du système platonicien, en proposant de les rapporter à deux modèles empruntés à la mathématique ancienne. Le premier est un postulat, usuellement désigné sous le nom d’axiome d’Eudoxe – Archimède, le second un algorithme de calcul : l’anthyphérèse. Tous deux ressortissent à la théorie mathématique développée par Théétète à la suite des travaux logistiques de Théodore ; il a semblé que leur articulation constituait le socle théorique de la réponse platonicienne à la thèse protagoréenne de l’homo mensura. On a suggéré de replacer cette dernière dans le cadre d’une polémique ancienne regardant la consistance du concept mathématique de mesure, dont la notion naïve fut remise en cause par la découverte successive des rapports incommensurables puis d’ensembles non–archimédiens : les angles mixtilignes. Cela impliquait de réexaminer les rapports possibles entre mathématiques et sophistique : on a choisi à cet effet l’exemple de la quadratrice d’Hippias d’Élis. Il convenait aussi d’envisager la liaison étroite qu’entretiennent la dialectique platonicienne et cette science métrétique rénovée que Platon nomme «juste mesure». On a tenté de montrer comment celle-ci pouvait informer certains procédés de celle-là, à partir de l’étude de quelques passages des dialogues qui jalonnent la dernière période de Platon. La théorie de la division appliquée aux Idées, comme l’analyse et la constitution des mixtes cosmologique, politique et individuel ont ainsi paru pouvoir être examinées dans le cadre de cette hypothèse
Two mathematical notions seem to structure Plato’s theory of measure. The first one is a postulate, usually known as the “Eudoxus axiom”, the other an algorithm called “anthuphairesis”. Both of them belonged to the mathematical theory developed by Theaetetus expanding Theodorus’ logistics. The main hypothesis of this work is that they constitute the core of Plato’s response against the Homo mensura thesis elaborated by Protagoras. We have thus proposed to replace Protagoras’ theory in the enlarged context of a serious crisis affecting the logical consistency of the mathematical notion of measure, provoked by the discovery of incommensurable magnitudes as well as non–Archimedean sets, exemplified by mixtilinear angles. This implied to examine anew the links between ancient sophistic and mathematics, and particularly Plato’s critics against Hippias’ quadratrix. It was also required to study the close relation between platonic dialectic and the new art of measurement exposed by Plato in the Statesman. Thus, by studying some passages mainly taken from Plato’s last dialogues, an attempt has been made to show how the higher art of measurement could inform dialectics. Plato’s theory of division, as well as the analysis and the generation of the mixed structures which constitute the universe, the city and the individual man have thus been tentatively reduced to this model
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Lendja, Ngnemzue Ange Bergson. "Platon, Lemaître et la question cosmologique." Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010544.

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Abstract:
Le démiurge de Platon et l'atome primitif de Lemaître sont deux intuitions inédites, que la thèse considère comme des artifices théoriques d'astronomie antiobservationnelle. La genèse de ces artifices renvoie à la thématisation présocratique de l'unité cosmique (1ère partie), principe matériel dans son éclosion ionienne, et principe abstrait dans l'école pythagoricienne (chap. 1 er). Platon institutionnalise les formes intelligibles et platonise les présocratiques (mathématisation du principe quadruple d'Empédocle et dépassement de la controverse être/devenir qui opposa éphésiens et éléates) (chap. 2). Lemaître, contemporain d'Einstein, est tributaire d'une unité cosmique marquée par la gravitation relativiste, qui disqualifie le système classique ayant, en son temps, déclassé le mouvement et les substances aristotéliciens (chap. 3). La théorisation (2ème partie) montre comment Platon fait du démiurge le concept axial de son astronomie géométrique, qui adjoint le monde sensible en devenir aux formes intelligibles, en n'en gardant que la trame (khora). L'univers est conforme aux normes mathématiques (proportion, symétrie, etc. ) (Chap. 4). La perspective dynamique de Lemaître émerge contre le modèle stationnaire d'Einstein/De Sitter, aristotélicien en son fond (Chap. 5). Au bout, deux configurations apparaissent (3ème partie) : sphérique et homogène, l'univers de Platon repose sur le triangle, figure fondamentale dont les combinaisons forment des enveloppes avec quatre polyèdres réguliers: tétraèdre, octaèdre, icosaèdre, hexaèdre. L'« âme du monde» en assure la dynamique (Chap. 6). D'interprétation quantique, la singularité cosmique de Lemaître développe le modèle d'un univers issu de l'explosion (big bang) d'un atome primitif : l’isotope du neutron (Chap. 7).
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Merker, Anne. "La vision chez platon et aristote." Paris 12, 2000. http://www.theses.fr/2000PA120058.

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Abstract:
Platon inscrit la vue dans une problematique touchant l'humanite d'une ame divine exilee dans un corps de forme humaine. La vision est le sens par lequel l'ame peut engager une sortie de cet exil pour retrouver son etat originel, mais aussi le sens par lequel l'eloignement vis-a-vis de ce qui est reellement peut encore augmenter. La definition des images speculaires joue dans cette problematique un role decisif ; l'image donnee par le miroir se forme sans aucune reflexion - fait generalement meconnu par l'exegese moderne -, et s'apparente a un veritable engendrement d'une realite de second ordre, une copie imitant un original. Par la, platon s'ecarte resolument de la voie qu'empruntait deja l'optique grecque, encore naissante a son epoque avec hippocrate de chios (contemporain de socrate), qui volatilisait l'image speculaire en une simple vision indirecte. La perspective d'aristote se separe totalement de celle de platon. Preoccupe avant tout par des questions epistemologiques, aristote prend soin de garantir a la vision une verite que le systeme platonicien lui otait. La couleur herite d'une realite nouvelle ; l'acte de la vision se voit octroyer une achronie radicale, qui garantit la simultaneite de l'etat de la chose vue et de la vision effective par l'ame de cet etat. Par cette achronie de la vision, c'est l'unite du temps lui-meme qui se trouve garantie. Mais la theorie d'aristote, developpee dans le de anima et le de sensu en relation etroite avec une problematique epistemologique de verite et de connaissance, se trouvera inoperante lorsqu'il s'agira de rendre comptede phenomenes (arc-en-ciel, halo) que l'optique grecque de l'epoque virtualisait par la reflexion. Aristote sera ainsi amene a delaisser localement sa propre theorie pour adopter une theorie de la vision par une emission hors de l'oeil, emission qu'il avait pourtant severement critiquee.
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KOKKORIS, PANAGIOTIS. "L'amour et le desir chez platon." Paris 4, 1988. http://www.theses.fr/1988PA040035.

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Abstract:
La problematique du desir compris comme un "projet" de l'ame raisonnable, a travers les dialogues de platon : alcibiade, gorgias et la republique, livre quatre, cinq et six. Cette premiere partie traite de l'aspect positif de l'amour. L'aspect negative de l'amour est aborde a travers le banquet et le phedre suivant la problematique de platon dans la problematique de platon dans le banquet : que signifie eros, quelles sont ses oeuvres ? cette these met en relief la creativite du desir erotique en particuliere le discours et met l'accent sur la personnalite de socrate qui incarne l'eros-figure de platon
The problematique of desire understood as a project of a reasonable soul through plato's dialogues : alcibiades, gorgias and the republique, books four, five and six. Part one treats the positif aspect of love. The negative aspect of love is aproached through "the synposium" and "the phaedros" following plato's problematic in the "symposium" : what is "eros" ? what are its works ? this thesis pleces the creative power of erotic desire in the foreground especially the discourse and places the accent on socrate's personality for socrates incarnates plato's "eros-figure"
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Bouttes, Bernard. "Platon et le debordement de l'etre." Paris 4, 1989. http://www.theses.fr/1988PA040091.

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Abstract:
Il s'agit de montrer, par la lecture de plusieurs dialogues platoniciens, le chemin inapparent et impense le long duquel la metaphysique de platon effectue sa percee, conquiert sa methode et pose les fondements de toute metaphysique future; ce chemin ne precede pas tel quel. Le texte platonicien et il ne s'agit donc pas de le re-constituer apres coup : il n'est en effet rien d'autre que le chemin de l'interpretation, depuis que "nous sommes un dialogue" avec la philosophie platonicienne (nietzsche, heidegger). L'interpretation semble faire violence aux textes : mais ce sont les textes eux-memes qui sont pris necessairement dans le rapt originel qui les laisse a eux-memes, a ce qu'ils decident comme tradition, a la finitude de ce qu'ils commencent ainsi. Ce rapt n'est rien d'autre que leur verite (aletheia), lisiere de leur texture, bordure fabuleuse qui les travaille et les de-borde sans les confiner. Puisqu'ils ne cessent de nous aborder et de nous interpeller "par dessus bord"
To's text, and the question is not to reconstitute it a posteriori; it is indeed nothing else than the way of interpretation since, as it has been phrased, "we are a dialogue" with plato's philosophy (nietzsche, heidegger). The interpretation seems to do violence to the texts, but the very texts are necessarily caught in the original rape which leaves them to themselves, to what they decide in the way of tradition, to the finiteness of what they have thus initiated. This rape is nothing else than their verity (aletheia), the fringe of their texture, the fabulous border which travails them, overbrims them without confining them, since they keep on addressing and challenging us, as it were, "overboard"
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Tordjman, Pierre-Alexandre. "L'invention de la philosophie chez Platon." Paris 8, 2002. http://octaviana.fr/document/181323036#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract:
Le but de ce travail est de donner une interprétation de l'invention de la philosophie chez Platon. Il nous a semblé que pour être cohérente, une telle interprétation devait pouvoir être énoncée d'un point de vue non-philosophique. En effet, une interprétation philosophique de l'invention de la philosophie chez Platon impliquerait certains problèmes qui invalideraient la cohérence de sa démarche. Au-delà de la difficulté d'identifier ce que pourrait être une interprétation philosophique, une telle identification aboutirait nécessairement à une réduction du sens de la philosophie platonicienne au point de vue adopté. Nous avons plutôt tenté de transposer, d'une manière que nous avons appelée nai͏̈ve, certains éléments de connaissances non philosophiques, et d'être attentif à la dimension littéraire de l'œuvre. Notre interprétation relève à la fois d'un certain réductionnisme matérialiste et de la critique littéraire. Le premier permet d'essayer de dire des choses qui ont un sens littéral, la seconde prend en compte la dimension poétique de l'œuvre platonicienne. Nous avons conclu que l'invention de la philosophie chez Platon est un événement littéraire
The aim of this work is to give an interpretation of Plato's invention of Philosophy. It has appeared to us that, in order to be consistent, such an interpretation should be elaborated from a non philosophical point of view. A philosophical interpretation of Plato's invention of Philosophy would confront us with problems damaging to its own consistency. Beyond the difficulty of identifying clearly what a philosophical interpretation would be, such an identification would necessarily result in a reduction of the meaning of Plato's Philosophy to our interpretative approach. This reduction could not analyse the novelty of the platonic invention as it would mainly recognize its own philosophical stand in that of Plato's Philosophy. Instead, we have adopted a reductionist and materialist approach wich we have qualified as naive. This seemed to us necessary in order to give interpretations whose meaning can be intended literally. At the same time we have been cautious to give all its relevant importance to the poetic aspect of Plato's Dialogues in the invention of his Philosophy. We have reached the conclusion that Plato's invention of Philosophy is a literary event
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Macé, Arnaud. "L'agir et le pâtir chez Platon." Paris 12, 2002. http://www.theses.fr/2002PA120046.

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Abstract:
Les dialogues de Platon ne semblent pas constituer un moment significatif de l'histoire de l'agir et du pâtir: ils présenteraient au mieux quelques intuitions, qui ne trouvent leur accomplissement que dans la doctrine aristotélicienne des catégories. Les passages qui, dans les dialogues, témoignent d'un usage technique de ces concepts n'indiqueraient que le fait que Platon, le temps d'un débat avec une autre pensée, en vient à parler le langage d'un autre. La présente étude a pour but de montrer que les dialogues témoignent au contraire d'un examen précis et systématique du sens de ces concepts, d'une critique de l'usage qu'en ont fait ses prédécesseurs, et d'une extension de celui-ci. Trois étapes peuvent être dégagées dans l'élaboration platonicienne de l'agir et du pâtir. Une première série de textes, situés pour l'essentiel dans la période dite " socratique ", propose un examen des éléments et de l'ordre spécifique à la relation agent/patient, qui permet à Platon d'établir que les conceptions morales de ses contemporains manifestent une compréhension insuffisante des effets de l'action morale. Du Phédon aux Lois en passant par le Théétète, le Sophiste et le Phèdre, Platon se confronte à la façon dont ses prédécesseurs ont pu faire usage de ces concepts dans le domaine physique; il s'agit là encore pour Platon d'affirmer l'insuffisance de ses prédécesseurs quant à la compréhension de la causalité de l'action. Qu'il s'agisse de morale et de politique, ou de physique, il semble ainsi que personne n'ait su déterminer de manière satisfaisante ce qu'un agent fait à un patient, et, plus encore, ce qui constitue la chose la plus active dans l'univers, à savoir l'âme. La troisième partie du présent travail suit, à travers la République, le Timée et les Lois, la constitution d'une théorie générale de l'agir et du pâtir chez Platon, dans laquelle les interactions morales, politiques et physiques sont analysés dans les mêmes termes et conformément aux mêmes lois.
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Tonning, Guillaume. "Courage et vérité : Platon et Nietzsche." Paris 10, 2006. http://www.theses.fr/2006PA100013.

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Platon se sert dans le Lachès du courage comme d'un outil pour accomplir une transvaluation en faveur de la vérité avant de le passer sous silence. Une lecture critique du dialogue fait apparaître cette double opération. Elle permet également de mettre en évidence les fondements d'une alternative au système de la vérité. Le courage devient, plutôt que son auxiliaire, le principe d'une connaissance renonçant à l'essence pour recevoir la chose dans l'intimité d'une peur accueillante. Cette possibilité d'une compréhension intéressée est reprise par Nietzsche qui, repensant dans le cadre de la volonté de puissance et de la lutte des forces la question du rapport de connaissance, fait du courage l'affect fondamental dont procèdent tout don et toute réception véritables. C'est alors, au prix d'une transvaluation à rebours, au sein d'un corps courageux et savant que la connaissance, conçue comme incorporation du flux, devient possible hors de toute référence à la vérité
In the Laches Plato uses courage as an instrument to accomplish a transvaluation in favour of truth and then makes it silent. A critical reading of this dialogue shows this double aspect and points out the basis of an alternative to the system of truth. Instead of becoming its auxiliary, courage become the principle of a knowledge which renounces to the essence to receive the thing into the intimacy of a welcoming fear. Nietzsche recovers the possibility of such a comprehension. Reconsidering the question of the relationship of knowledge in the setting of will to power and the struggle of forces, he makes of courage the fondamental affect from which derives all true giving and receiving. It is then that knowledge intended as an incorporation of the flux becomes possible outside any reference to the truth. This happen at the cost of an upside down transvaluation inside a courageous and learned body
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Balansard, Anne. "Technè dans les dialogues de platon." Paris 10, 1997. http://www.theses.fr/1997PA100197.

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Abstract:
La question de la techne dans les dialogues de platon n'est pas ignoree de la critique, que la perspective adoptee soit historique (place du concept dans une histoire des techniques et des mentalites), ou philosophique (fonction du concept dans la philosophie platonicienne, et plus particulierement, fonction du paradigme technique dans la fondation de l'ethique socratique). Ces deux perspectives presentent toutefois le meme defaut : la comprehension de la techne dans les dialogues est embarrassee de presupposes modernes sur la technique definie comme processus, procedes methodiques employes a la production d'un objet ou a l'obtention d'un resultat. Or, le concept de techne presente une extension tres differente des concepts modernes de technique ou d'artisanat : il recouvre les "arts liberaux" comme les "arts mecaniques". Une analyse du champ semantique de techne dans les dialogues permet de resaisir le concept dans son usage sophistique. L'empreinte de la sophistique est visible dans la structure du vocabulaire de la techne : dans la presence de substantifs derives d'adjectifs en @@@@ (derives herites de la sophistique), et dans la presence d'une cesure entre le champ de demiourgos (terme qui designe l'artisan) et le champ de techne. Cette enquete semantique conduit a repenser des motifs juges socratiques (l'analogie entre techne et arete) ou platoniciens (le principe de la repartition des taches dans la republique, la techne politique du politique, le demiurge du timee) dans le cadre d'un debat avec la sophistique. Mais c'est aussi la question du s dialogue comme forme et matiere du philosopher qui est posee. Le concept de techne n'est pas le lieu d'une "theorie" socratique ou platonicienne : c'est un concept dialogique (objet de discours parce que principe de pouvoir pour l'interlocuteur du philosophe); c'est un concept dialectique (que le philosophe s'approprie par l'elenchos ou l'entreprise de definition). La techne s'avere dans l'oeuvre du dialogue
Critics are known to show an interest in the subject of techne in the platonic dialogues : on the one hand, as a concept for the history of techniques; on the other hand, as a concept effective in plato's philosophy, mainly in the socratic method and moral theory (the craft-analogy). But these critics both confuse the concept of techne with the modern concept of "craft", that is to say, a rational and explicable process resulting in an object separate. This misconception justify a new analysis of the vocabulary of techne in the platonic dialogues. Techne means "liberal arts" as well as "crafts". Moreover, the stucture of the vocabulary of techne bears the mark of its sophistic use. This sophistic mark lead us to another approach to the problem of techne in the platonic dialogues. First, the craft-analogy is not constitutive of socrates' moral theory : the craft of virtue is part of the elenchos. Second, some platonic features (the techne of politics in the politicus, the division of labour in the republic, the demiurge in the timaeus) are to be understood as new definitions of sophistic features
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Grasso, Elsa. "Copie, simulacre et vérité chez Platon." Aix-Marseille 1, 2003. http://www.theses.fr/2003AIX10043.

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Abstract:
Mettant en question une lecture qui détermine l'image, dans l'oeuvre de Platon, comme objet d'une critique aussi radicale que générale, cette étude entreprend de dégager une tendance platonicienne à distinguer deux formes de l'image : la copie et le simulacre (eikón et phantasma). Une première partie examine le sens de la copie dans les dialogues, son caractère de conformité, sa fonction didactique, sa valeur de représentation du modèle ou, en particulier, du logos. Une deuxième partie analyse la détermination, dans les dialogues, du simulacre comme représentation fausse, illusoire, ou plus radicalement comme apparence non évaluable en termes de vérité ou de fausseté. Une troisième partie est consacrée au Sophiste, qui exploite de façon structurelle la distinction des deux notions ; il s'agit de montrer que l'opposition des deux images s'y articule fondamentalement à celle de deux formes de logos, copie et simulacre constituant des figures de la vérité et de la fausseté du discours.
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Cürsgen, Dirk. "Die Rationalität des Mythischen : der philosophische Mythos bei Platon und seine Exegese im Neuplatonismus /." Berlin : W. de Gruyter, 2002. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39273753n.

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