Academic literature on the topic 'Pluviométrie – Afrique centrale'

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Journal articles on the topic "Pluviométrie – Afrique centrale"

1

Servat, É., J. E. Paturel, H. Lubès-Niel, B. Kouamé, J. M. Masson, M. Travaglio, and B. Marieu. "De différents aspects de la variabilité de la pluviométrie en Afrique de l'Ouest et Centrale non sahélienne." Revue des sciences de l'eau 12, no. 2 (April 12, 2005): 363–87. http://dx.doi.org/10.7202/705356ar.

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Abstract:
La sécheresse observée depuis plus d'une vingtaine d'années dans les pays sahéliens se fait également ressentir plus au sud dans des régions d'Afrique aux climats plus humides. Cette baisse de la pluviométrie et la diminution des apports en eau de surface qu'elle entraîne y sont de nature à pénaliser les différents projets de développements liés à l'eau. Le programme ICCARE mené par l'ORSTOM a pour objet l'identification et les conséquences de cette variabilité climatique dans l'ensemble de la zone non sahélienne d'Afrique de l'Ouest et Centrale, en s'appuyant sur les données de deux cents postes pluviométriques et sur un ensemble de méthodes alliant représentations cartographiques et procédures statistiques de détection de ruptures dans les séries chronologiques, univariées et multivariées. La simple étude des séries chronologiques de hauteurs précipitées annuelles fait apparaître une nette et brutale fluctuation du régime pluviométrique dans toute la région considérée, à la fin des années 1960 et au début des années 1970. D'une manière générale, il apparaît que ce sont les zones à régime pluviométrique extrême qui ont subi les modifications les plus importantes : les plus arrosées (de la Guinée à la Côte d'Ivoire) et les plus arides (la bordure sahélienne au nord de la zone étudiée). Entre les deux, le phénomène est d'intensité plus nuancée. Les différentes procédures statistiques appliquées aux séries de hauteurs annuelles précipitées soulignent l'existence d'une rupture survenue à la fin des années 1960 ou au début des années 1970, et donc en phase avec ce qui a été observé et étudié au Sahel. D'autres variables permettant une caractérisation plus "qualitative" du phénomène ont également été étudiées. Elles apportent un complément d'information quant aux manifestations de cette variabilité pluviométrique et montrent que la variabilité climatique se traduit à différents niveaux (durée des saisons des pluies, quantités précipitées hors saisons des pluies, etc.). L'examen des séries chronologiques depuis l'origine des stations a permis de resituer l'événement observé dans une perspective historique faite d'alternances de périodes sèches et de périodes humides. Le phénomène observé à la fin des années 1960 et au début des années 1970 apparaît, cependant comme le plus significatif du point de vue statistique. Si les causes premières d'apparition du phénomène sont, à l'heure actuelle, encore insuffisamment expliquées, et ce même si certaines activités humaines y ont, sans aucun doute, contribué, cette baisse de la pluviométrie a, bien entendu, des conséquences importantes sur la disponibilité des ressources en eau dans ces régions. Si la carence pure et simple n'est pas à craindre dans ces régions où les quantités précipitées restent importantes dans l'absolu, les effets de cette variabilité climatique peuvent, malgré tout, se révéler désastreux, en ce sens qu'ils modifient les données d'un équilibre déjà souvent mis à mal par ailleurs (pression anthropique et déforestation par exemple).
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2

Descroix, Luc, Aïda Diongue Niang, Gérémy Panthou, Ansoumana Bodian, Youssouph Sane, Honoré Dacosta, Moussa Malam Abdou, Jean-Pierre Vandervaere, and Guillaume Quantin. "Évolution récente de la pluviométrie en Afrique de l’ouest à travers deux régions : la Sénégambie et le bassin du Niger moyen." Climatologie 12 (2015): 25–43. http://dx.doi.org/10.4267/climatologie.1105.

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Abstract:
La mousson ouest-africaine rythme le calendrier agricole de toute l’Afrique de l’Ouest; celui-ci est de plus en plus court au fur et à mesure que l’on se déplace vers le Nord, comme la durée et l’abondance de la mousson diminuent. Après une période de sécheresse de 1968 à 1995, l’Afrique de l’Ouest connaît plutôt depuis la fin du dernier millénaire un retour à des conditions pluviométriques plus humides; celles-ci, aux latitudes soudano-sahéliennes, sont similaires, en termes de moyenne et de variabilité interannuelle, à celles qui ont été observées de 1900 à 1950. L’objectif est de montrer en quoi l’évolution pluviométrique récente explique la dynamique hydrologique et agronomique de la région ouest-africaine, en particulier l’occurrence accrue des inondations et le faible regain des rendements agricoles en dépit du retour à une pluviométrie plus favorable. Des méthodes statistiques simples sont utilisées dans deux sous-régions, la Sénégambie et le bassin du Niger Moyen, pour mettre en évidence l’évolution, sur la période 1950-2013, des caractéristiques de la mousson qui ont un intérêt hydrologique et agronomique (cumuls annuels, pluies extrêmes, date de début et de fin et durée de la saison des pluies). On observe que les périodes 1900-1950 et 1995-2015 peuvent être considérées comme des périodes de pluviométrie moyenne, les périodes 1951-1967 et 1968-1995 étant des périodes respectivement humides et sèches. Par ailleurs, on observe une augmentation des jours de pluie de fort cumul bien plus rapide que celle de la pluie elle-même. Enfin, si la saison des pluies est à présent sensiblement plus longue que durant la phase sèche, on observe pourtant ces dernières années dans le Sahel central un retour des « mauvais » hivernages au sens agronomique du terme.
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3

Grillot, Myriam, Jonathan Vayssières, François Guerrin, and Philippe Lecomte. "Modélisation conceptuelle de la gestion adaptative de la biomasse face à l’aléa climatique en systèmes agro-sylvopastoraux." Cahiers Agricultures 27, no. 5 (September 2018): 55004. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2018034.

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Abstract:
Le recyclage de la biomasse végétale et animale joue un rôle central dans le fonctionnement des systèmes agro-sylvopastoraux. En Afrique de l’Ouest, la variabilité des précipitations impacte les pratiques de gestion de cette biomasse pour nourrir les hommes, le bétail, le sol et les plantes. Cette étude décrit un modèle d’action conceptuel basé sur des règles ≪ si-alors-sinon » qui représentent les décisions de gestion de la biomasse des ménages agricoles. L’étude souligne les conséquences en cascade d’un aléa pluviométrique sur le calendrier des activités agricoles, les quantités et la nature des biomasses mobilisées. Les activités les plus directement impactées sont le semis et la récolte des cultures, l’alimentation animale et, indirectement, la fertilisation des sols et la gestion des stocks alimentaires. Le modèle d’action regroupe les principales règles et modalités de gestion constituant les pratiques des ménages agricoles. Il est défini pour quatre types de ménages agriculture-élevage selon leurs activités dominantes : agricultureversusélevage et vivrierversusvente. Les ménages vivriers et élevage sont plus sensibles aux variations pluviométriques. Ils présentent une gestion plus adaptative car ils sont davantage dépendants de leur propre production. Ce modèle d’action a été conçu en vue de son intégration dans un modèle à base d’agents pour simuler les conséquences de l’aléa pluviométrique sur les flux de biomasses résultant des interactions entre les ménages agricoles d’une communauté villageoise en Afrique de l’Ouest.
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4

Nguimalet, Cyriaque-Rufin, and Didier Orange. "Caractérisation de la baisse hydrologique actuelle de la rivière Oubangui à Bangui, République Centrafricaine." La Houille Blanche, no. 1 (February 2019): 78–84. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2019010.

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Abstract:
Ce papier revisite l'évolution hydroclimatique de l'Oubangui à Bangui à la faveur d'une nouvelle série hydropluviométrique de 1935 à 2015. Pour cela, les données annuelles pluviométriques et hydrologiques de l'Oubangui à Bangui ont été analysées avec différents tests statistiques (indices pluviométrique et d'écoulement, recherches de ruptures, coefficients de tarissement). La série pluviométrique n'indique toujours qu'une seule cassure en 1970, ce qui confirme l'exceptionnalité de cette rupture climatique en Afrique Centrale. Par contre, la série hydrologique permet d'identifier quatre périodes hydrologiques différentes : 1935-1959, 1960-1970, 1971-1982 et 1982-2013. La dernière période montre un déficit moyen de -22 % (2 893 m3/s) par rapport au débit moyen annuel sur toute la période étudiée (3 700 m3/s.). Les relations moyennes pluie/débit n'ont pas évolué au cours de ces périodes hydroclimatiques, semblant indiquer que le fonctionnement hydrologique de l'Oubangui n'a pas changé du fait de la rupture climatique de 1970. Cela est attribué à la faible anthropisation de ce bassin et la faible évolution de son couvert végétal. Cependant la comparaison de l'évolution annelle du coefficient de tarissement avec le volume mobilisé par l'aquifère pour soutenir les écoulements de l'Oubangui indique clairement un changement de contribution de la nappe avant et après 1970, puis après 2000.
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Dissertations / Theses on the topic "Pluviométrie – Afrique centrale"

1

Bakam, Victor. "Les fluctuations pluviométriques en Afrique centrale : étude régionale." Lille 1, 1996. http://www.theses.fr/1996LIL12037.

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Abstract:
Les problèmes qui se posent dans une recherche en climatologie tropicale sont la faible densité du réseau d'observations , l'inégale répartition spatiale des appareils de mesure, et la médiocrité de certaines séries du fait de l'importance des lacunes. La valeur des résultats d'analyse et des conclusions est fonction de la rigueur dans la critique des ordonnées et de la répartition spatiale du réseau de stations à étudier. En Afrique centrale, l'analyse des relevés pluviométriques des stations les plus fiables sur la période 1946-1985 montre l'évolution pluviométrique caractéristique des changements climatiques observés à l'échelle continentale et planétaire dans la seconde moitie du vingtième siècle. L'analyse en composantes principales permet une approche globale de la chronique de l'évolution pluviométrique, et de l'organisation spatiale du champ de variabilité. Les cartes d'organisation des champs pluviométriques et les graphiques des scores des années sur les axes factoriels offrent des images probantes des fluctuations pluviométriques sur la période étudiée. Ces fluctuations pluviométriques dans la région sont en relation étroite avec la diversité du milieu physique ; mais aussi, il existe une relation de cause à effet entre l'activité des deux centres d'action qui commandent la répartition des pluies en Afrique centrale et la baisse de la pluviométrie. Le bilan global est une déficience pluviométrique généralisée en rapport avec la défaillance de l'anticyclone de Ste-Hélène et son corollaire, la prépondérance de l'activité de l'harmattan saharien. La partie nord connaît un déficit bien plus marqué que la partie sud. Si la tendance observée depuis le début des années soixante-dix se poursuit jusqu'à la fin du siècle, les moyennes mensuelles caractéristique des régimes pluviométriques en milieu intertropical africain devront subir de profondes modifications, en particulier si l'on considère une normale (de l'omm) qui irait de 1970 à l'an 2000
The problems about research in tropical climatology are mainly the lwo density of observations post, the inequal spatial repartition of measurements and the very bad quality of some series, because of the importance of missing datas. The value of results and conclusions depend of the exactness in reviewer of existing datas and their spatial repartition. In central africa, the study of rainfall comming from the best stations in the period going from 1946 to 1985 shows the evolution and the main climatic change seen at continental and planet scale in the second half of the twentieth century. The main componment analysis allows a global approch of rainfall evolution and spatial organisation of rainfall field variability. The maps show the spatial organisation of rainfall variability field, and the graphs of annual score s on factorial axes give pictures of the chronologic rainfall flucturations. These rainfall fluctuations in the region are in closely accordance with the diversity of the physical milieu; otherwise, there is a relation between the rainfall diminution and the activity of the two actions center which deal with the spatial organisation of rainfield. The final result is a general rainfall deficiency irrelevant to the weakening of st. Helena anticyclone and the reinforcement of harmattan winds comming from sahara. In the north, the faillure of rainfall is more important than in the south. If the trend observes since 1970 continues, the monthly rainfall means which caracterise african intertropical rainfall regimes should be modified. Mainly if the normal rainfall period runs from 1970 to 2000, according to the 30 years wmo recommandations
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