Academic literature on the topic 'Poésie de la Renaissance – Thèmes, motifs'

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Journal articles on the topic "Poésie de la Renaissance – Thèmes, motifs"

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Foulon, Brigitte. "Thèmes bédouins dans la poésie descriptive andalouse classique : transformation et adaptation." Arabica 56, no. 2 (2009): 147–69. http://dx.doi.org/10.1163/157005809x438433.

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Abstract:
AbstractLa présence récurrente de la thématique bédouine dans la poésie andalouse est généralement attribuée à l'importation de motifs orientaux. En effet, comment expliquer autrement que les Andalous, sans aucune expérience du désert, aient, dans leur production, multiplié les allusions aux espaces désolés et arides, et accordé une place de premier choix à la flore et au bestiaire arabiques? Si le caractère exogène de ces thèmes et motifs ne fait guère de doute, cela ne signifie pas pour autant que les auteurs andalous aient intégré ceux-ci en l'état dans leurs compositions. Nous tenterons de déterminer, dans cette étude, comment ils ont procédé pour se les approprier et les faire fonctionner dans leur réseau de représentations. Vu l'ampleur de la question, nous nous bornerons ici à explorer cette problématique dans deux contextes particuliers:– celui, d'abord, des poèmes évoquant la Fitna berbère, et en particulier la destruction de Cordoue, qui réactualisent le thème des vestiges des campements (atlāl). Nous nous focaliserons sur les textes d'Ibn Šuhayd (382/992-426/1035) et d'Ibn Hazm (384/994-456/1064), les deux auteurs phares de cette période.– celui, ensuite, des vers dédiés au thème du voyage nocturne (surā) au Ve/XIe siècle, en nous appuyant sur le corpus poétique d'Ibn Hafağa (450/1058-533/1139).
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Nouss, Alexis. "Wundgelesenes." Études françaises 38, no. 1-2 (August 18, 2004): 219–38. http://dx.doi.org/10.7202/008402ar.

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Abstract:
Résumé La lecture de Paul Celan par Jacques Derrida ne peut être reçue et comprise de la même manière que les relations établies avec d’autres philosophes, écrivains ou artistes. Le présent article tente d’étudier cette spécificité en une double perspective : d’une part, la nature particulière d’un tel lien tissé sur un mode identificatoire, interrogé autour des thèmes de la circoncision, des cendres de la Shoah, de la mort et du regard voilé ; d’autre part, ce que la lecture de Celan par Derrida permet de dégager d’une lecture-blessure dont les motifs se retrouvent aussi bien dans la poésie même de Celan. Se dessine alors la possibilité d’une pensée de la lecture comme procédure herméneutique, dont la lettre et le corps seront les figures emblé­matiques.
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Jacques, Hélène. "Structures rythmiques dans Le passage de l’Indiana : ressacs et dérives du sens." L’Annuaire théâtral, no. 30 (May 5, 2010): 140–59. http://dx.doi.org/10.7202/041477ar.

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Abstract:
Les théories du rythme en poésie contemporaine mettent en lumière la construction formelle du Passage de l’Indiana de Normand Chaurette. Structurée à la manière d’une partition musicale, la pièce fonctionne selon un système de répétitions qui instaure une temporalité favorisant les retours. En repérant et en comparant des unités signifiantes (répliques, thèmes et motifs) qui sont répétées dans la pièce, il appert que le sens de ces unités se transforme selon l’endroit où elles se situent. L’intrigue qui paraît, de premier abord, fragmentée et stagnante en raison des multiples répétitions progresse, au contraire, grâce aux déplacements de sens qu’implique la reproduction. Ces déplacements se vérifient également chez les personnages : chacun répète les répliques des autres personnages et leur attribue un sens nouveau en jouant un autre rôle. Grâce au jeu dans le jeu, l’identité des personnages est mouvante.
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Roessli, Jean-Michel. "Assimilation chrétienne d’éléments païens." Dossier 70, no. 3 (August 31, 2015): 507–16. http://dx.doi.org/10.7202/1032789ar.

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Abstract:
Cette brève contribution a pour but de revenir sur une question soulevée par Miguel Herrero de Jáuregui (« Christian Assimilation of “Pagan” Elements : An Apologetic Concept ? », New Perspectives on Late Antiquity, edited by David Hernández de la Fuente, Cambridge, 2011, p. 380-392), à propos de la façon dont les historiens de l’Antiquité tardive envisagent les contacts ou échanges entre Juifs, chrétiens et païens et, plus particulièrement, les phénomènes d’acculturation ou d’appropriation culturelle. Cette question est abordée à la lumière de la figure d’Orphée, dont Miguel Herrero se sert pour illustrer sa thèse dans le domaine de l’iconographie religieuse, alors qu’il recourt à d’autres thèmes ou motifs pour vérifier son hypothèse dans la sphère des rites et de la poésie. La question soulevée est de savoir si l’opinio communis selon laquelle certains éléments de la culture païenne ont été « assimilés » à et par la culture chrétienne (et peut-être juive avant elle) est une représentation biaisée qui se fonde sur une construction apologétique plus ou moins inconsciente ou s’il s’agit d’une réalité culturelle historiquement attestée.
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Abi-Rached, Naoum. "La poesie dialectale libanaise." Hawliyat 9 (December 24, 2018): 39–56. http://dx.doi.org/10.31377/haw.v9i0.304.

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Abstract:
Pendant longtemps, dans les pays arabes et dans les esprits de certains, la prose fut considérée comme un genre mineur ; seul l'art poétique méritait bien ses lettres de noblesse. Il s'agit d'une idée dont les racines remonteraient à la période antéislamique qui aurait réservé à la poésie et aux poètes une place de prédilection. Par la suite, avec l'avènement de l'islam et sous les quatre premiers califes, la poésie se fit plus discrète pour revenir plus forte que jamais avec les Omeyyades et puis avec les Abbassides. La période dite de décadence que nous situons schématiquement entre le XIIIe et le XIXe siècle, n' a pas dérogé à cette règle. Les Mille et Une Nuits, que certains considèrent comme le chef-d'œuvre par excellence de la littérature de l'imaginaire populaire arabe, ne sont toujours pas classées par les spécialistes arabes dans le genre « sérieux » ; cette œuvre est rangée sous la rubrique du conte populaire. Les reproches formulés par l'intelli- gentsia al-&üssa à l'encontre des Mille et Une Nuits et de toutes les œuvres qui appartiennent au même genre soutiennent que ni les thèmes traités ne sont nobles, ni la langue utilisée n'est correcte ni soutenue. La conclusion en fut qu'il s'agit bien là d'un genre mineur destiné à amuser le peuple et à alimenter l'ima- ginaire du vulgum pecus ou la 'âmma. Durant les siècles qui ont précédé la renaissance Nama, la prose, lorsqu 'elle n'avait pas pour objet la philosophie falsafa, la grammaire, les sciences de la religion, l'exégèse coranique ou les sciences d'une manière plus large, et qu'elle ne satisfaisait pas aux principes de l'éloquence et de la rhétorique Fasâ&a et balâàa, n'appartenait pas au corpus du adab au sens noble du terme.
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Uhl, Magali. "Images." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.126.

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Abstract:
Image matérielle ou image mentale, émanation du geste humain ou production de l’esprit, artefact ou souvenir, l’image recouvre une multiplicité de formes et de significations qui vont des rêves aux dessins d’enfants, des ombres projetées aux peintures célébrées, des traces mnésiques aux images numériques. Tout autant confrontée à cette tension entre matérialité et virtualité, la connaissance anthropologique sur les images, comme les nombreux domaines du savoir qui lui sont associés (sociologie, sémiologie et études médiatiques, principalement) ont proposé des manières distinctes d’aborder les images, abandonnant toutefois aux sciences de l’esprit (psychanalyse et sciences cognitives) la dimension imaginative. Ainsi, deux voies se sont historiquement tracées pour intégrer les apports de la représentation imagée et se partagent, aujourd’hui encore, le domaine de l’anthropologie des images. D’un côté, l’image comme support au discours permet de questionner le potentiel culturel, politique et idéologique de l’image que les chercheurs vont déceler dans des corpus de représentations (publicités, images de la presse, cartes postales, selfies, snapshots et autres illustrations culturelles); de l’autre, l’image comme instrument de recherche dans laquelle la production visuelle des chercheurs (captations photographiques ou filmiques, tableaux, croquis, dessins et plans) est une manière d’accéder à leur terrain d’étude avec parfois pour ambition de proposer une visualisation de leurs résultats de recherche. Pour le dire avec Douglas Harper (1988), l’image peut aussi bien être un objet d’étude sur lequel on porte le regard qu’un instrument de recherche qui conduit ce regard. Si l’anthropologie s’est saisie dès le début du 20e siècle du potentiel expressif et cognitif de l’image avec les travaux photographiques de Margaret Mead et de Gregory Bateson sur les usages sociaux du corps dans la culture Balinaise (1942), et ceux, filmiques, de Robert Flaherty à travers son documentaire sur la population inuite de l’Arctique (1922), c’est l’iconologue et anthropologue Aby Warburg qui, à la même époque, a le plus insisté sur la complémentarité de ces deux formes d’images (matérielles et mentales) comme de ces deux postures de recherche (sur les images et avec les images). En effet, son projet d’un Atlas (2012) – composé de milliers de photographies et baptisé du nom de la déesse grecque de la mémoire, Mnemosyne – avait pour ambition de retracer, par la collecte et l’assemblage d’images, des invariants anthropologiques qui traverseraient les époques et les continents (de la Grèce antique à la Renaissance florentine; des Bacchantes romaines au peuple Hopi d’Arizona), et dont la mise en correspondance permettrait, par-delà les discours, une lecture visuelle de l’histoire culturelle. Dans cette méthode d’interprétation iconologique, les représentations matérielles et l’imagination sont intimement liées dans le processus de connaissance anthropologique : les images sont tout à la fois la source du savoir et son véhicule. Le terme de « formules de pathos » que Warburg propose, exprime, dès lors, le caractère idéal-typique du motif imaginaire qui se répète de représentation en représentation à travers les époques, les espaces et les cultures. La proposition qui, par ailleurs, est faite de mettre le détail au cœur de la démarche de recherche, en insistant sur l’attention aux motifs discrets mais persistants – comme la forme d’un drapé ou le tracé d’un éclair – retrouvera plus tard l’un des impératifs de l’anthropologie interprétative formulée par Geertz et l’effort ténu de description que sa mise en pratique exige (1973). Elle rejoindra également celui de l’anthropologie modale (Laplantine 2013) qui milite pour un mode mineur de la connaissance, à l’image des lucioles qui ne brillent la nuit que pour celles et ceux dont l’acuité sensible est mise au service de cette contemplation. Malgré sa radicalité, le parti pris de considérer les images comme la trame à partir de laquelle l’anthropologie se constitue comme savoir a ceci de fascinant qu’il inspire nombre de recherches actuelles. En effet, dans une société saturée par le visuel et dans laquelle les écrans forgent en partie le rapport au monde, cette voie originale trouve aujourd’hui un écho singulier dans plusieurs travaux d’envergure. Georges Didi-Huberman (2011 : 20) reprend, à son compte, le défi warburgien, autrement dit « le pari que les images, assemblées d’une certaine façon, nous offriraient la possibilité – ou, mieux, la ressource inépuisable – d’une relecture du monde ». De son côté, Hans Belting (2004 : 18) insiste sur le fait que « nous vivons avec des images et nous comprenons le monde en images. Ce rapport vivant à l’image se poursuit en quelque sorte dans la production extérieure et concrète d’images qui s’effectue dans l’espace social et qui agit, à l’égard des représentations mentales, à la fois comme question et réponse ». On le voit, l’héritage de l’iconologie a bel et bien traversé le 20e siècle pour s’ancrer dans le contemporain et ses nouveaux thèmes transversaux de prédilection. Les thèmes de l’expérience et de l’agentivité des images sont de ceux qui redéfinissent les contours de la réflexion sur le sujet en lui permettant de nuancer certains des épistémès qui lui ont préexisté. Désamorçant ainsi le partage épistémologique d’un savoir sur les images, qui témoignerait des représentations véhiculées par les artefacts visuels, et d’un savoir avec les images, qui les concevrait comme partenaires de recherche, on parle désormais de plus en plus d’agir des images aussi bien du côté de l’interprétation culturelle que l’on peut en faire, que du travail des chercheurs qui les captent et les mettent en récit. Par ailleurs, le fait que l’image est « le reflet et l’expression de son expérience et de sa pratique dans une culture donnée [et qu’à] ce titre, discourir sur les images n’est qu’une autre façon de jeter un regard sur les images qu’on a déjà intériorisées (Belting 2004 : 74) », relativise également cet autre partage historique entre image intérieure (mentale) et image extérieure (représentationnelle), image individuelle (idiosyncrasique) et image publique (collective) qui s’enracine dans une généalogie intellectuelle occidentale, non pas universelle, mais construite et située. L’agir des images est alors tout aussi bien l’expression de leur force auratique, autrement dit de leur capacité à présenter une réalité sensible, à faire percevoir une situation sociale, un prisme culturel ou un vécu singulier, mais aussi, celle de leur agentivité comme artefact dans l’espace public. Dans le premier ordre d’idées, l’historienne et artiste Safia Belmenouar, en collectant et en assemblant des centaines de cartes postales coloniales, qui étaient le support médiatique vernaculaire en vogue de 1900 à 1930, montre, à travers un livre (2007) et une exposition (2014), comment les stéréotypes féminins réduisant les femmes des pays colonisés en attributs exotiques de leur culture se construisent socialement, tout en questionnant le regard que l’on porte aujourd’hui sur ces images de femmes anonymes dénudées répondant au statut « d’indigène ». La performance de l’image est ici celle du dessillement que sa seule présentation, en nombre et ordonnée, induit. Dans le deuxième ordre d’idées, l’ethnologue Cécile Boëx (2013) n’hésite pas, dans ses contributions sur la révolte syrienne, à montrer de quelle manière les personnes en lutte contre le pouvoir se servent des représentations visuelles comme support de leur cause en s’appropriant et en utilisant les nouvelles technologies de l’image et l’espace virtuel d’Internet. Les images sont ici entendues comme les actrices des conflits auxquels elles prennent part. L’expérience des images, comme le montre Belting (2004) ou Laplantine (2013), est donc aussi celle dont nous faisons l’épreuve en tant que corps. Cette plongée somatique est, par exemple, au cœur du film expérimental Leviathan (2012), réalisé par les anthropologues Lucien Castaing-Taylor et Véréna Paravel. Partant des images d’une douzaine de caméras GoPro fixées sur le corps de marins de haute mer partis pêcher au large des côtes américaines de Cape Cod, le documentaire immersif fait vivre l’âpre expérience de ce métier ancestral. À l’ère des pratiques photographiques et filmiques amateures (selfies, captations filmiques et montages par téléphones cellulaires) et de l’explosion des environnements numériques de partage (Instagram, Snapchat) et de stockage des données (big data), le potentiel immersif de l’image passe désormais par des pratiques réinventées du quotidien où captation et diffusion sont devenues affaire de tous les corps, indépendamment de leur position dans le champ social et culturel. Critiquées pour leur ambiguïté, leur capacité de falsification et de manipulation, les images ont aussi ce potentiel de remise en cause des normes hégémoniques de genre, de classe et d’ethnicité. Prises, partagées et diffusées de manière de plus en plus massive, elles invitent à l’activité critique afin de concevoir la visualité dans la diversité de ses formes et de ses enjeux contemporains (Mirzoeff 2016). Si aujourd’hui, dans un monde traversé de part en part par les images, l’anthropologie de l’image est un domaine de recherche à part entière dont l’attention plus vive à l’expérience sensible et sensorielle qui la singularise est le prérequis (Uhl 2015), l’iconologie comme méthode anthropologique spécifique répondant aux nouveaux terrains et aux nouvelles altérités a encore du chemin à parcourir et des concepts à inventer afin de ne pas s’enfermer dans le registre instrumental auquel elle est trop souvent réduite. Pour penser l’image dans le contexte actuel de sa prolifération et de la potentielle désorientation qu’elle induit, la tentative d’une iconologie radicale, telle qu’initiée par Warburg, demeure d’une évidente actualité. <
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Dissertations / Theses on the topic "Poésie de la Renaissance – Thèmes, motifs"

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Latella, Cecilia. "« Giovane donna in Mezzo 'l campo apparse ». Figure Di Donne guerriere nella tradizione letteraria occidentale." Thesis, Tours, 2009. http://www.theses.fr/2009TOUR2003/document.

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Abstract:
Les femmes guerrières, de Camille à Bradamante, de Marphise à Clorinde, représentent des personnages fixes de l’épique, des poèmes et des romans chevaleresques. Présentes dès l’époque classique, elles re-émergent dans l’épopée française du XII siècle pour s’intégrer ensuite définitivement aux poèmes italiens du XV siècle. Elles vont connaître leur apogée grâce aux grands poèmes chevaleresques de la Renaissance. Les imitations et les réécritures de ces poèmes diffusent le personnage des femmes guerrières dans l’Europe entière. Le champ géographique et historique de notre thèse, après un premier chapitre introductif consacré à l’épopée classique, est constitué par des textes italiens, français, anglais et espagnols qui datent du Moyen Age au début du XVIIe siècle. Nous étudiont les étapes les plus remarquables de cette filiation littéraire intertextuelle ainsi que le sens changeant des guerrières dans le système des rapports de pouvoir entre personnages masculins et féminins
From Camilla to Bradamante, from Marfisa to Clorinda, women warriors are fixed characters in epic, chivalric poems and romances. Described from ancient times, they re-emerge in French epic of XII cent. before being integrated by XV cent. Italian poems, where they will know the height of their glory during the Renaissance. Imitations and rewritings of those poems are responsible for the great European diffusion of characters of woman warrior. After an introductory chapter about classical epic, the historical and geographical area of my thesis concentrate on Italian, French, English and Spanish texts dating from Middle Ages to early XVII cent. My research study the notable stages of this intertextual literary filiation and the changing significance of women warriors in the system of power between male and female characters
Da Camilla a Bradamante, da Marfisa a Clorinda, le donne guerriere costituiscono dei personaggi fissi dell’epica, dei poemi e dei romanzi cavallereschi. Presenti dall’età classica, esse riemergono nell’epica francese del XII secolo per poi inserirsi definitivamente nella poesia italiana del Quattrocento, conoscendo infine il loro apogeo nei grandi poemi cavallereschi del Rinascimento. Le imitazioni e le riscritture di tali poemi diffondono questi personaggi in tutta Europa. Dopo un primo capitolo dedicato all’epica classica, lo spazio storico-geografico della nostra tesi è formato da testi italiani, francesi, spagnoli e inglesi che vanno dal Medioevo agli inizi del Seicento. Il nostro studio analizza le fasi fondamentali di tale filiazione letteraria intertestuale e il cambiamento del significato delle guerriere nel sistema di rapporti di potere tra personaggi maschili e femminili
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Delvallée, Ellen. "Poétiques de la filiation. Clément Marot et ses maîtres : Jean Marot, Jean Lemaire et Guillaume Cretin." Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017GREAL006/document.

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Abstract:
Ce travail porte sur l’évolution de la poésie française au début de la Renaissance, à travers la dette de Clément Marot envers ses maîtres de la génération précédente, les « Grands Rhétoriqueurs » Jean Lemaire, Guillaume Cretin et Jean Marot (le père de Clément). La récente réhabilitation des Rhétoriqueurs a laissé en grande partie intact le présupposé d’une « révolution marotique » : le fils Marot aurait développé un style poétique plus simple, moins grandiloquent que ses prédécesseurs, et renoncé à ses devoirs épidictiques et historiographiques au profit de formes plus courtes et de sujets plus légers. Notre thèse remet en question ce présupposé, de même que la frontière arbitraire entre le Moyen Âge et la Renaissance traditionnellement établie vers 1500 par l’histoire littéraire française. Notre postulat est que l’esthétique de Marot doit aussi être étudiée de façon « généalogique », et notre objectif a été de réévaluer les influences qui ont joué un rôle direct pour la former. Tout d’abord, grâce à des analyses comparées précises de la poésie épidictique de circonstance que les poètes de notre corpus ont adressée à leurs protecteurs (en particulier les déplorations funèbres et travaux historiographiques et de propagande), nous montrons comment les œuvres des trois rhétoriqueurs de la génération précédente évoluaient déjà en réponse à des changements affectant la culture et les devoirs attachés aux milieux de cour ; et comment ces changements, à leur tour, ont annoncé et nourri les innovations de leur successeur. Ensuite, nous analysons le témoignage que Clément donne lui-même de cette évolution, notamment à travers ses hommages réguliers aux trois maîtres qui l’ont éduqué ou conseillé, manifestant ainsi sa dette ou au contraire s’en écartant, mais jamais de façon polémique. Que ce soit en évitant ostensiblement leurs pratiques poétiques ou bien en les copiant tacitement, que ce soit en se présentant comme un élève reconnaissant ou bien comme un poète mûri et autonome, Marot fils n’a eu de cesse d’élaborer une histoire de la poésie récente tout en fondant en même temps une biographie idéalisée. En étudiant à la fois d’indéniables mutations des genres poétiques et le récit personnel qui les met en évidence et leur prête parfois un sens rétrospectif, nous montrons comment les poèmes de Marot construisent un scénario de succession caractérisé par la variété et la subtilité plutôt que par le genre de rupture mise en scène par des mouvements littéraires postérieurs
This dissertation focuses on the evolution of French poetry in the early Renaissance, by way of Clément Marot’s debt to three writers of the previous generation, the “grands rhétoriqueurs” Jean Lemaire, Guillaume Cretin, and Jean Marot (Clément’s father). The recent rehabilitation of the rhétoriqueurs has left the premise of a “Marotic revolution” largely untouched, for the younger Marot developed a simpler, less grandiloquent poetic style than his predecessors and abandoned the duties of epideictic historiography in favor of shorter forms and lighter subjects. Our research challenges this premise, along with the artificial border between the Middle Ages and the Renaissance traditionally set around the year 1500 by French literary history. We contend that Marot’s art has to be studied in a “genealogical” light as much as on its own terms, and our goal was to reevaluate the influences that played a most direct role in shaping it. First, through close comparative readings of the occasional epideictic poetry addressed by the four writers of the corpus to their patrons (in particular funeral laments, historiography and propaganda works), our thesis shows how the work of three rhétoriqueurs of the last was already evolving in response to shifts affecting court culture and its duties; and how these changes, in turn, announced and nurtured their successor’s innovations. Second, we analyze Clément’s own account of this process: for it was his habit to salute the three masters who trained or advised him, thereby acknowledging his debt – or moving past it, albeit never in a polemical fashion. Whether he ostensibly avoided their poetic practices or tacitly copied them, whether he presented himself as a grateful apprentice or as a mature author making his mark, the younger Marot kept sketching out a history of recent poetry along with a tale of his own life. By studying actual, objective changes regarding poetic genres together with the personal narrative that highlights and makes retrospective sense of some of them, we show how Marot’s work implies and builds up a succession scenario, characterized by variety and subtlety rather than by the kind of rupture dramatized by later literary movements
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Descoings, Karine. "Sed desiderium superest : poétique de la nostalgie dans les élégies d’exil d’Ovide et dans les Elegiae de Petrus Lotichius Secundus (1528-1560)." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040293.

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Abstract:
Ce doctorat est consacré à la poétique de deux auteurs élégiaques dont l’oeuvre latine fut inspirée par l’expérience de l’exil. Ovide composa les Tristes et les Pontiques au Ier siècle après J. -C. , au bord de la mer Noire, tandis que le poète allemand Petrus Lotichius Secundus rédigea ses Elegiae entre 1551 et 1560 en Allemagne, en France et en Italie. Après l’analyse minutieuse des jeux intertextuels, nous avons cherché, derrière la disparité des circonstances qui entourèrent la genèse de ces ouvrages, dans quel principe s’enracine la parenté profonde sensible à la lecture de ces vers antiques et humanistes. Les recueils d’Ovide, variation novatrice sur la thématique et l’axiologie de l’élégie romaine traditionnelle, sont construits autour de la notion ambiguë de desiderium (désir nostalgique). Ils devinrent le creuset de l’écriture de nombreux poètes. Dans cette oeuvre matrice, nous avons étudié les formes et les objets du desiderium : la patrie du poète, son épouse, sa poésie et ses amis. Nous voulions cerner la spécificité de ce sentiment, qui, en revêtant plusieurs masques, s’étend sur une large partie du spectre des affects, de l’ethos au pathos, pour dégager la singularité des vers d’exil dans le vaste paysage de l’élégie romaine. La douleur de l’éloignement et de la séparation, le regret d’un espace et d’un temps perdus forment aussi le noyau thématique des vers de Lotichius. En dialoguant avec le modèle ovidien, dans des circonstances politiques et idéologiques hostiles dont l’exil est une métaphore parfaite, il élabora une personnalité littéraire et une poétique singulières. Il cherchait à prolonger la tradition de l’élégie antique, tout en restant en adéquation avec son époque
The present thesis studies the poetics of two Latin Elegiac authors, whose works were influenced by exile. Ovid composed his Tristia and Epistulae ex Ponto on the shores of the Black Sea in the first century A. D. The German poet Petrus Lotichius Secundus penned his Elegiae between 1551 and 1560 in Germany, France and Italy. The thesis initially undertakes a detailed study of intertextual relations. It then seeks to display, beyond the disparity of circumstances surrounding the genesis of these corpora, the guiding principle that indelibly links these ancient and humanist verses for the reader. Ovid’s books, an innovative variation upon the themes and the axiology proper to traditional Roman Elegy, are constructed around the ambiguous notion of desiderium (nostalgic desire). They became a source for many poets. I examined the forms and objects of desiderium in this seminal work : the poet’s country, his wife, his poetry and his friends. I wanted to describe the specific quality of this sentiment, as it takes on a variety of guises and extends itself over a large part of the spectrum of affect (ethos and pathos). Close analysis reveals the singularity of Ovid’s late books in the landscape of Roman Elegy. The pain caused by distance and separation, the nostalgic longing for an irretrievable place and time, also reside at the thematic heart of Lotichius’ writing. In his dialogue with the Ovidian model, amidst unforgiving political and ideological circumstances of which exile constitutes the perfect metaphor, Lotichius elaborated a literary personality and a poetics that were truly his own. He sought to prolong the ancient Elegiac tradition, all the while remaining a man of his time
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Jourdan, Gledel Marie Françoise. "Jean Cocteau : danse et poésie." Rennes 2, 1998. http://www.theses.fr/1998REN20018.

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Abstract:
Jean Cocteau, poète aux écritures multiples, intègre très tôt l'art chorégraphique dans sa création poétique. Ainsi, réalités quotidiennes sublimées, décalages rythmiques, figures emblématiques et autres thèmes ou motifs récurrents se répondent de poésies en ballets. Cette interaction danse poésie a un retentissement certain dans son oeuvre, lui assurant une profonde cohésion. La poésie devient chez Cocteau une force vitale imprégnant le monde, force que seul le poète medium peut capter. Puisant aux diverses sources du mysticisme, jean Cocteau développe une vision d'un univers pluridimensionnel de mondes emboîtés à l'infini, abolissant toute notion de temps, simple reflet de l'emboîtement des espaces. Hésitant entre secret et explications, l'attitude paradoxale de Cocteau déroute la critique et donne naissance a de nombreux malentendus. Cocteau, fascine par la création chorégraphique, perpétue pourtant à sa manière une tradition française du ballet théâtre. A son exemple d'autres écrivains (Claudel, Cendrars, Picabia, Valery, Gide) vont tenter l'aventure et ce mouvement, particulièrement manifeste dans l'entre-deux guerres ravive les questionnements sur la relation entre danse et poésie et sur la pureté en art
Jean Cocteau, poet with numerous types of writing, very early integrated choregraphic art into his poetic creation. That way sublimated daily reality, symbolic characters and many other recurrent themes and patterns can be found again and again both in his poems and ballets. This interaction between poetry and dance had definite repercussions in his works leading to a deep cohesion. Poetry became in Cocteau's works a strength that filled the whole world and that only the poet as a medium could fully grasp. Drawing from the various sources of mysticism, Cocteau develops a view of a 'pluridimensional' universe made of worlds that endlessly fit together, abolishing the concept of time, reflecting merely the interlocking of space. Vacillating between secrecy and explanations, Cocteau's paradoxical choices dismayed the critics and gave birth to many misunderstandings. And yet in his own way Cocteau, fascinated by the choregraphic creation, carried on the French traditions of 'ballet-theatre'. Following his example, other writers (Claudel, Cendrars, Picabia, Valery, Gide) tried the adventure and this movement which was most patent between the two wars reopens the debate on the relation between dance and poetry and on the purity in art
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Vegehan-Marshall, Cécile. "Poésie, politique et ironie dans l'oeuvre de Tony Harrison." Bordeaux 3, 2007. https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-01526177.

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Abstract:
Parce qu’elle louvoie constamment entre les extrêmes, surprenant son public là où il ne s’y attend pas, la poésie de Tony Harrison est inclassifiable. A l’instar de l’ironie, son mode d’écriture privilégié, elle est à la fois iconoclaste et traditionaliste, populaire et élitiste, pudique et publique, inclusive et exclusive. Tony Harrison imprime sa marque dans le canon, entre résistance et rébellion, fidélité et originalité, grâce à des traductions audacieuses de textes dramatiques classiques. De même, il revisite la forme sonnet, confronte la langue poétique aux théories sur l’hégémonie culturelle et invite la problématique galvaudée du scholarship boy dans l’Angleterre thatchériste. Dans sa quête d’une poésie publique, ce trouble-fête socioculturel s’approprie des media, ainsi que des lieux de production et de représentation non-conformistes. Brouillant les frontières génériques entre poésie, théâtre et cinéma, entre art et reportage, Tony Harrison impose les rimes et les formes strictes, apparaissant paradoxalement comme le plus traditionaliste des poètes anglais contemporains. Il revisite ainsi l’esthétique tragique pour que la poésie survive aux traumas du vingtième siècle, tout en exhibant une tendance irrépressible à l’ironie. De la ritualisation de la représentation théâtrale à la mise en scène de la littérarité, la poésie de Tony Harrison s’offre en spectacle, écumant les poètes, les langues, les dialectes et les idiolectes pour célébrer les plaisirs de l’écriture
Since the 1970s, Tony Harrison has constantly played with expectations and relished paradoxes. His poetry, like irony, his favourite mode of writing, defies categories. It is both iconoclastic and traditionalist, popular and elitist, self-conscious and public, inclusive and exclusive. Starting his career with the translation and modernisation of dramatic classics, he has made his mark in the poetic canon with his appropriation of the sonnet form. Half-way between resistance and rebellion, homage and originality, he confronts poetic language with theories of cultural hegemony, and invites the outmoded scholarship boy debate into Thatcherist Britain. In his quest for public poetry, he appropriates non-conformist media and cultural venues. While blurring the traditional distinctions between poetry, theatre and cinema, between art and reportage, Tony Harrison imposes rhymes and strict poetic forms, thus paradoxically appearing to be the most traditional of contemporary English poets. He revives Greek tragedy so that poetry might survive the traumas of the twentieth century, but demonstrates an irrepressible tendency for irony. Thus, he endows the theatrical performance with a ritual quality while, at the same time, debunking the artificiality of poetic language. Tony Harrison’s poetry exhibits texts, poets, languages, dialects and idiolects to celebrate the pleasures of poetry
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Slaoui, Mostafa. "Le trait dominant de la poétique arabe classique : la notion d́excellence." Paris 3, 1989. http://www.theses.fr/1989PA030141.

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Abstract:
A cote de la notion d'organisation et celle de l'innovation, la notion d'excellence poetique constitue le trait qui domine la poetique arabe classique. Diversifiee a travers les jugements de valeur et les modeles d'excellence, cette notion continua d'etre cultivee au fil des siecles. Dans un premier temps, elle etait la (note) que le critique prononce a propos de la valeur d'un poeme. Ensuite, elle est devenu une sorte de modele compose de plusieurs criteres que le poete doit prendre en consideration pour meriter le qualificatif (excellent). Enfin, la notion d'excellence poetique s'est transforme en un "systeme" qui permet, tant au poete qu'au critique, de tester l'efficacite des elements succeptibles de realiser la poetique du texte
Bisides the notion of organization and innovation, the idea of poetic excellence is the dominant characteristic of the classic arabic poetics. This notion has been cultived through many centuries by the diversification in judgements of value and several theoretic models. In the beginning, it was the criterom of evaluation applied to a poem by a literary critic. Later, it has developed to a kind of model composed by many criteria which have to be adopted by a poet as to be worthy to be colled "excellent". Finally, the notion of poetic excellence has transformed to a control system in order to check the efficiency of the poetic elements within a text
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Rabu, Franck. "Poésie et peinture dans l'oeuvre de René Char." Nantes, 2000. http://www.theses.fr/2000NANT3036.

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Abstract:
Cette étude envisage l'inscription du pictural dans l'ensemble de l'oeuvre poétique de René Char. En repérant les indices de représentations picturales dans les poèmes de l'auteur, nous démontrons comment la peinture devient la texture du langage poétique. Après avoir effectué une typologie des textes picturaux de Char et une synthèse de ses critères esthétiques fondamentaux, nous avons envisagé à travers la description les enjeux de la perception visuelle dans l'espace des poèmes-tableaux. Conçue comme ornement et symbole, la référence picturale façonne implicitement une interpénétration entre poésie et création plastique. La fusion entre le mot et l'image est établie par Char mais sans que l'un des deux éléments ne se substitue à l'autre. Les poèmes peuvent être alors appréciés comme des tableaux animés où lignes, formes et couleurs traduisent les intentions de l'auteur. Si la vision picturale sert d'adjuvant au langage poétique, nous pouvons affirmer que Char instaure un lieu idéal où correspondent signes iconiques et marques poétiques. Les oeuvres des peintres du XXème siècle tels Picasso, Matisse, Mirô, de Stae͏̈l, Giacometti ou Lam ainsi que celles de la Tour ou Poussin entretiennent aujourd'hui encore des relations privilégiées et essentielles avec la poétique de Char.
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Le, Meur-Weissman Nadine. "La terre divine dans la poésie grecque d'Homère à Eschyle." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040001.

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Abstract:
La déesse terre apparait essentiellement, dans l'épopée homérique, comme témoin de serments. Elle se distingue mal, en tant que personne divine, de l'élément qu'elle personnifie et n'est jamais représentée comme anthropomorphe. L'ensemble de la poésie dite "homérique" représente la terre comme l'un des principaux moteurs du cycle de la vie et de la mort. La déesse terre joue un rôle de second ordre dans les poèmes homériques, nettement dominés par les dieux olympiens. Hésiode accorde en revanche à la déesse terre, Gaia, une place essentielle dans sa théogonie, en particulier par le rôle de mère, à la fécondité particulièrement remarquable qu'il lui attribue. La terre se distingue par le caractère monstrueux qui caractérise à la fois son aspect physique, certains de ses actes, et sa descendance. Gaia joue enfin un rôle important dans le mythe de succession que met en scène la théogonie en tant que puissance détentrice des arrêts du destin. Chez Eschyle, la terre est aussi représentée principalement comme une déesse mère. Le dramaturge modifie même certaines généalogies divines, comme celle de Prométhée, pour les rattacher à la terre. Il fait d'autre part des hommes, en particulier des "autochtones", ses enfants. Divinité des passages chthoniens, la terre permet en outre des communications entre le monde des vivants et celui des morts. Déesse oraculaire enfin, elle peut jouer, par son savoir, un rôle fondamental dans l'action.
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Cho, Yun-Kyung. "L'écriture du corps dans la poésie surréaliste (Éluard, Desnos, Pérat) : vers le "surcorporel"." Paris 3, 2003. http://www.theses.fr/2003PA030005.

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Abstract:
Notre étude suit la quête de trois poètes surréalistes, Eluard, Desnos et Péret, en relation avec celle de leurs amis peintres. Dans ce parcours, la question du corps est fondamentale, car celui-ci est d'une part un excellent support d'expression de leur imagination, de leurs fantasmes personnels et de leurs visions nouvelles, et d'autre part, un lieu important de fusion du verbal et du visuel. En révélant les aspects négligés du corps, à savoir le corps comme partie, altérité, intériorité et pulsion, les peintres les relient sans contradiction au corps comme intégrité, identité, extériorité et raison. Ce polymorphisme du corps plastique s'intensifie dans les images des poètes, qui à la fois recoupent celles des peintres et s'en éloignent. Le corps tel qu'il est figuré par chacun de nos trois poètes résume leur propre poétique. L'écriture éluardienne, qui véhicule une image médiatrice du corps, abolit la distance entre les choses, les êtres et les arts. L'image morcelée, morte et hybride du corps desnosien habite une écriture qui ne cesse de détruire et de recomposer les mots. La poésie de Péret manifeste le pouvoir métamorphosant du corps féerique et grotesque en corrélation avec la puissance mobile de l'écriture. Les corps surréalistes, moyens de communiquer l'incommunicable, de réaliser l'impossible et d'explorer l'interdit, correspondent au " point suprême " qui n'est pas immuablement prescrit mais où les contradictions trouvent leur solution. A partir de cette incomplétude du corps qui prépare sans cesse son renouvellement, les surréalistes en montrent la pluralité, et dégagent à travers celle-ci un degré supérieur de corporéité, que nous appelons " le surcorporel "
This thesis examines the work of three surrealist poets, Eluard, Desnos, Péret, in the light of their relations with numerous artists. The body has a central role in such a study owing to the fact that it was an excellent vehicle for their imagination, their fantasies and their new vision of the world and of the role of art in that world. It also represents a focal point for the fusion of all that is verbal and visual. The painters revealed certain neglected aspects of the body notably its analysis into separate parts, its relation to others, the inner world and its impulses. They linked these aspects with traditional aspects : unity, identity, reason and the external world, without contradiction. The polymorphic approach to the body is intensified in the images given by the poets which group those of the painters while at the same time establishing a certain distance for them. The body such as it figures in the writing of the three poets provides a summary of their poetry. Eluard who saw the body as an intermediary, abolished the distance between nature, livingbeings and the arts. Desnos' habit of continually deconstructing and recomposing words is symptomatic of his view of the body separated into parts and reconstructed. Péret shows in his dynamic poetry a power of metamorphosis that corresponds to his fairylike vision of the body. The surrealist body, a means of communicating the uncommunicable, of creating the impossible and of exploring the prohibited, corresponds to the " point suprême " which itself evolves out of the artists' work and where all contradictions are resolved. Taking this corporeal incompleteness, which is in a constant state of change, as a starting point, the surrealists showed its plurality and developped a higher level of corporality that we have come to call the " surcorporel "
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Zimbris, Sandrine. "La poésie et l'intimité ou L'identité et l'être au monde." Limoges, 2010. http://aurore.unilim.fr/theses/nxfile/default/9bd8fe97-3879-40e9-bbbf-15077ab4ffa3/blobholder:0/2010LIMO2009.pdf.

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Abstract:
Le poème est le coquillage où résonne la musique du monde. Il est par essence une épiphanie, il est le lieu d'une sorcellerie évocatoire et de charmes. L'intimité devient cette charnière de l'identité à la poésie. A la recherche de leurs intimités, Guy Goffette et Philippe Jaccottet dans leurs expériences poétiques découvrent leurs identités et envisagent d'explorer le monde et de s'intégrer en lui en tant qu'être humain, en tant que poéte, en tant qu'habitant de la vraie vie. En effet, nos deux poètes dans la perception poétique posent deux interrogations majeures, l'intimité pourrait permettre un être au monde et ils sont à la recherche de la vraie vie, comme Arthur Rimbaud. En effet, pour Guy Goffette "la vraie vie est ailleurs" et pour Philippe Jaccottet "mourir, hors du dérèglement des sens est triste et sans aucun profit". L'identité et la quête de Jaccottet baignent dans le monde séraphique, celui de Guy Goffette dans une réelle exaltation du tourment. Les deux poètes s'accordent sur la nécessité du respect de l'intimité et de reconnaître que la vraie vie est ailleurs. Le poète imagine, se déplace, il est le mage, le dehors et le dedans. La modernité de la poésie c'est son caractère accessible à tous. Comme le dit Paul Eluard " la poésie sera faite pour tous non pour un".
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Laforte, Conrad. Chansons de facture médiévale retrouvées dans la tradition orale: Répertoire recueilli de 1852 à nos jours. Québec, Qué: Nuit blanche éditeur, 1997.

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Todorov, Tzvetan. Éloge de l'individu: Essai sur la peinture flamande de la Renaissance. Paris: Biro, 2001.

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Todorov, Tzvetan. Éloge de l'individu: Essai sur la peinture flamande de la Renaissance. Paris: Adam Biro, 2000.

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Titien, portraitiste. Paris: Gallimard, 2006.

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Szwajcer, Bruno. La nostalgie dans l'œuvre poétique d'Alfred de Musset. Paris: Librairie Nizet, 1995.

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The earthly paradise and the Renaissance epic. New York: Norton, 1989.

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The sexuality of Christ in Renaissance art and in modern oblivion. 2nd ed. Chicago: University of Chicago Press, 1996.

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Telling tears in the English Renaissance. Leiden, The Netherlands: E.J. Brill, 1996.

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Poetry with a purpose: Biblical poetics and interpretation. Bloomington: Indiana University Press, 1988.

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Calame, Claude. Poétique des mythes dans la Grèce antique. Paris: Hachette supérieur, 2000.

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