Academic literature on the topic 'Poésie du XVIIIème siècle'

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Journal articles on the topic "Poésie du XVIIIème siècle"

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Aravecchia, Massimiliano. "De la Caserne au volcan : les Poésies érotiques de Parny entre xviiie siècle et modernité." Tangence, no. 109 (September 8, 2016): 111–29. http://dx.doi.org/10.7202/1037387ar.

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Abstract:
Malgré la renommée qui l’a accompagné de son vivant, Évariste Parny (1753-1814) demeure un auteur oublié de nos jours. Parmi les causes de cet oubli, la condamnation que les poètes romantiques (notamment Lamartine) ont prononcé contre la volupté et l’impiété de ses oeuvres tient une place de choix. Néanmoins, ses Poésies érotiques (1778) informent à bien des égards l’évolution de la poésie lyrique à la frontière entre Ancien Régime et xixe siècle. L’amalgame de biographie et de fiction annonce chez Parny la problématique définition du sujet lyrique propre au romantisme ; en outre, l’insistance sur une destinataire unique et les traits d’exotisme de son oeuvre constituent autant d’éléments qu’exploiteront les poètes du xixe siècle. L’originalité majeure des Poésies érotiques repose essentiellement sur le renouveau du genre élégiaque : à travers l’addition d’un livre d’« Élégies », le poète met en perspective son expérience amoureuse ; il ouvre ainsi le « chant du moi » à une temporalité qu’ignorait la poésie « fugitive » du xviiie siècle et qui prélude au topos romantique de la fuite du temps.
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Henderson, Diana E. "Where Had All the Flowers Gone? The Missing Space of Female Sonneteers in Seventeenth-Century England." Renaissance and Reformation 35, no. 1 (November 19, 2012): 139–65. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v35i1.19078.

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Abstract:
Les petits lieux de la poésie lyrique — et en particulier le sonnet — offraient un espace dans lequel les femmes du XVIIe siècle se sont retrouvées. Mais ensuite, qu’est-il advenu en Angleterre de l’immense potentiel du sonnet féminin, en particulier après le premier quart du XVIe siècle ? Les chercheurs ont mis l’emphase sur les changements formels et de genre (essor de l’épigramme, l’hégémonie du couplet), et ont affirmé que le sonnet a décliné pour des raisons culturelles et artistiques (guerre civile, ombres de Shakespeare et de Milton). Toutefois, la poésie des XVIIe et XVIIIe siècles présente un défi aux récits de l’histoire de la littérature et à la présomption que les femmes ont perçu le pétrarquisme comme un territoire masculin. Au contraire, cette époque est celle où les femmes ont adapté les forms et les résonances du sonnet aux nouvelles réalités sociopolitiques, et avancé des revendications autoriales par la même occasion. Plusieurs de ces sonnets ont été mis de côté en raison de leur caractère paratextuel, ou viennent à peine d’être découverts grâce à des études de manuscrits récentes. Ces sonnets mettent en lumière néanmoins la conscience artistique de ces auteurs féminines, et comment le récit d’histoire peut obscurcir la poésie que l’on considère. Il est donc temps de revoir nos présomptions au sujet du sonnet anglais et de remettre en question les constructions du romantisme et de la dominance shakespearienne, afin de redécouvrir l’héritage du sonnet du XVIIe siècle.
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Hopes, Jeffrey. "La poésie de guerre au XVIIIe siècle." XVII-XVIII. Revue de la société d'études anglo-américaines des XVIIe et XVIIIe siècles 44, no. 1 (1997): 37–59. http://dx.doi.org/10.3406/xvii.1997.1365.

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Loubère, Stéphanie. "« Musa levis gloria magna » : la recusatio chez les poètes élégiaques des Lumières." Tangence, no. 109 (September 8, 2016): 41–65. http://dx.doi.org/10.7202/1037384ar.

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Abstract:
Les cheveux flottants, l’élégie a traversé les siècles de sa démarche inégale, et fait résonner ses chants déliés sans jamais se fixer en un lieu. Comme son inspiration, ses inflexions sont vagabondes mais reconnaissables à leur étrange façon d’imposer leur légèreté avec une morgue discrète. Peu de formes poétiques ont poussé aussi loin l’art de cultiver l’indécision sur l’ambition qu’elles poursuivent : à l’âge classique, l’élégie reste le genre insaisissable apparu lorsque les poètes antiques ont brigué une gloire en dehors de la grande tradition héroïque et donné au roman du coeur ses lettres de noblesse poétiques. Ses diverses métamorphoses et les débats qui ont accompagné sa survie littéraire n’ont jamais effacé cette ambiguïté constitutive, qui fait d’elle un genre en quête de reconnaissance dans un système de hiérarchie qu’elle contribue, de par son existence même, à renverser. C’est ainsi qu’au xviiie siècle, l’élégie a participé de près à l’effervescence problématique de la poésie, en un siècle dont la métromanie peut se comprendre à la fois comme signe d’une vigueur et comme symptôme d’un déclin. Dans ce contexte, l’élégie a focalisé un certain nombre de questions qui renvoient plus ou moins directement à la « crise de la poésie » qui affecte le siècle.
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Bony, Alain. "Perspectives nouvelles sur la poésie anglaise du xviiie siècle." Études anglaises 57, no. 3 (2004): 321. http://dx.doi.org/10.3917/etan.573.0321.

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Gladu, Kim. "Le débat sur le style pastoral au xviiie siècle : Madame Deshoulières, modèle de l’élégiaque galant." Tangence, no. 109 (September 8, 2016): 89–109. http://dx.doi.org/10.7202/1037386ar.

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Abstract:
La querelle sur le genre pastoral, qui occupera la critique des années 1685 à 1730, suppose une entreprise de redéfinition générique selon laquelle les théoriciens chercheront de nouveaux modèles pouvant exemplifier la nouvelle pastorale française et galante qu’ils envisagent. C’est ainsi que la réception critique qu’on fera des oeuvres de Madame Deshoulières participera au développement d’un style champêtre moderne qui sera pleinement investi par les poètes de la fin du siècle. Dans cette optique, on verra s’affirmer un goût renouvelé pour l’élégie, genre généralement délaissé dans la première moitié du siècle, qui accompagnera cette fois la vogue en faveur d’une poésie sentimentaliste. Deux facteurs semblent alors avoir contribué à faire de Madame Deshoulières un modèle dans ce domaine : d’abord, elle constitue une figure marquante de ce passage du genre de l’élégie vers un mode élégiaque adossé à l’esthétique galante et rattaché à une promotion des genres mineurs ; ensuite, les qualités de naturel et de délicatesse qu’on accorde au style de la poétesse ont favorisé sa mise à profit dans le cadre d’une revalorisation de la sensibilité servant désormais de socle à la poésie pastorale en général et à l’élégie en particulier.
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Menant, Sylvain. "Matinées galantes et philosophiques dans la poésie française du XVIIIe siècle." Cahiers de l'Association internationale des études francaises 45, no. 1 (1993): 55–70. http://dx.doi.org/10.3406/caief.1993.1806.

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Buiguès, Jean-Marc. "La razón de la enseñanza. La poesía en los colegios jesuitas del siglo XVIII: pedagogía y bibliotecas (1758-1767)." Cuadernos de Estudios del Siglo XVIII, no. 25 (October 25, 2017): 17. http://dx.doi.org/10.17811/cesxviii.25.2015.17-58.

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Abstract:
RESUMENEl presente trabajo pretende analizar las Prácticas e industrias para promover las Letras Humana del P. Francisco Javier Idiáquez, una guía para la enseñanza del latín y del griego en los colegios de jesuitas publicada en 1758. El estudio se centrará en determinar qué lugar (horario, niveles, tipo de ejercicios pedagógicos, obra y manuales de poesía) ocupa la poesía en ella a la par que se intentará ver qué evoluciones al respeto ofrecen las Prácticas con la Ratio atque Institutio Studiorum Societatis Iesu de 1598 y el Arte de Nebrija, sobre todo en la versión del P. Juan de la Cerda. Por otra parte, se establecerán las listas de las obras de poesía de los inventarios de las bibliotecas de Colegios de jesuitas de Murcia y Medina del Campo redactados a raíz de la expulsión. El análisis de los libros de poesía se hará en función del origen de los autores (castellanos, catalanes, italianos), de las épocas de redacción y publicación (Antigüedad, Edad media, Renacimiento, etc.) y de los distintos cánones poéticos en debate a mediados del siglo XVIII en España. También se tratará de comparar el corpus de obras aconsejadas por las Prácticas con el abanico de libros de poesía que ofrecían las bibliotecas, de cotejar la teoría y la práctica de la enseñanza de la poesía con las posibles lecturas de poemas que ofrecían las bibliotecas.PALABRAS CLAVEPoesía, enseñanza, jesuitas, Francisco Javier Idiáquez, bibliotecas, siglo XVIII. RÉSUMÉCe travail se donne pour but d’étudier les Prácticas e industrias para promover las Letras Humanas du P. Francisco Javier Idiáquez, un guide publié en 1758 et destiné à l’enseignement du latin et du grec dans les collèges jésuites. Cette étude se centrera sur deux points: déterminer la place qu’y occupe la poésie (horaires, niveaux, type d’exercices pédagogiques, oeuvres et manuels de poésie) et s’efforcer de voir quelles évolutions les Prácticas offrent dans ce domaine par rapport à la Ratio atque Institutio Studiorum Societatis Iesu de 1598 et à l’Arte de Nebrija, surtout par rapport à la version du P. Juan de la Cerda. Par ailleurs, on dressera les listes des oeuvres de poésie des inventaires des bibliothèques de collèges de jésuites de Murcie et de Medina del Campo rédigés à la suite de leur expulsion. L’analyse des livres de poésie se fera en fonction de l’origine des auteurs (castillans, catalans, italiens, etc.), des époques de rédaction et de publication (Antiquité, Moyen Âge, Renaissance, etc.) et des différents canons poétiques objets de débats dans les années centrales du XVIIIe siècle en Espagne. Il s’agira également de comparer le corpus d’oeuvres conseillées par les Prácticas à l’éventail des livres de poésie qu’offrent les bibliothèques, de confronter la théorie et la practique de l’enseignement de la poésie aux posibles lectures de poèmes que proposaient les bibliothèques.MOTS-CLÉPoésie, enseignement, jésuites, Francisco Javier Idiáquez, bibliothèques, XVIIIe siècle.
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Van der Schueren, Éric. "L’éclat, le gémissement et la plainte. De l’oraison funèbre classique ou de l’impondérable élégie en prose (Bossuet et Fléchier)." Tangence, no. 109 (September 8, 2016): 67–87. http://dx.doi.org/10.7202/1037385ar.

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Abstract:
La plainte a trouvé, dès l’Antiquité grecque, sa forme fixe en poésie dans l’élégie. Mais elle ne lui appartient pas en propre et a contaminé, depuis l’Antiquité, les genres en prose. Dans la France classique, le premier d’entre eux semble être l’éloquence funèbre, où la déploration se mêle à l’élévation spirituelle de son public. Or, dans la suite des prescriptions de Cicéron, toujours admises alors, la poésie et ses ornements ne peuvent se retrouver dans la prose. Malgré cette injonction répétée, sinon respectée, Bossuet et Fléchier, appelés à faire l’oraison funèbre de telle ou telle grande figure défunte de leur temps, n’hésiteront pas à recourir aux tonalités et aux moyens de l’élégie, tout en respectant les contraintes propres à l’éloquence dans son absolu mais aussi à la pratique d’un genre qui s’inscrit d’abord dans un rituel chrétien et eucharistique. Cette difficile négociation entre prestiges poétiques et prescriptions taxinomiques de l’éloquence sacrée est ici analysée, à partir de certains textes comme de leurs commentateurs du xviiie siècle.
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Le Ménahèze, Sophie. "Ut pictura poesis non erit : les épisodes dans la poésie descriptive au xviiie siècle." L'information littéraire Vol. 57, no. 4 (December 1, 2005): 15–22. http://dx.doi.org/10.3917/inli.574.0015.

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Dissertations / Theses on the topic "Poésie du XVIIIème siècle"

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Tomas, Stéphanie. "Les contes en vers au XVIIIème siècle." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040155.

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Abstract:
Cette thèse se propose d’étudier les contes en vers au XVIIIème siècle, production foisonnante et féconde mais qui n’a jamais fait l’objet d’une analyse d’ensemble. Véritable phénomène de mode, comme le conte de fées qui le précède, le conte en vers est pratiqué par les auteurs reconnus, à l’image de Voltaire, comme par les plumes de second ordre, tel Grécourt, l’auteur le plus prolifique du temps. Genre marginal non codifié par les théoriciens et décrié par les tenants de l’orthodoxie littéraire, le récit versifié, qui relève de la poésie fugitive, se présente comme une émanation directe de l’art de la conversation si prisé à l’époque qu’il impose des thèmes aux écrivains et modèle la poétique des textes. Oscillant entre divertissement mondain et genre littéraire à part entière, témoignant de la crise de la poésie au siècle des Lumières, le conte en vers incarne la recherche d’une nouvelle voie poétique empreinte d’humilité, de légèreté et de simplicité et récusant la gravité et le sublime. Notre travail, qui se limite aux textes imprimés, adopte successivement trois perspectives : sociologique, historique et générique. Poésie de société, création collective et sérielle, le conte manifeste le goût du persiflage et du badinage propre à l’époque. L’approche diachronique vise quant à elle à éclairer les temps forts de la vogue du conte de 1715 à la Révolution mais aussi à dégager une continuité transhistorique en déterminant les sources ainsi que la postérité du genre. Le conte est enfin envisagé dans son rapport aux autres genres qu’il se plaît à imiter et à détourner. Libertin par sa philosophie, le conte l’est surtout par son écriture allusive et subversive
This thesis means to study the 18th century verse tale, a rich and diverse work which has never been the subject of an overall analysis. A real fashion phenomenon, just like the fairy tale that preceded it, the verse tale was practiced by well-known authors (Voltaire) as well as second rate writers such as Grécourt, the most prolific. The narrative put into verse was a minor genre with no code which was disparaged by the supporters of literary orthodoxy. It falls within the province of transient poetry and comes straight from the art of conversation, which was so highly prized at the time that it imposed themes on writers and shaped the poetics of the texts. Between refined entertainment and fully-fledged literary genre, the verse tale, which underlines the crisis poetry was going through at the Age of the Enlightenment, embodies the search for a new poetic way marked by humility, lightness and simplicity and objecting to solemnity and the sublime. Our work, which is limited to printed texts, adopts three different angles: successively, the sociological, historical and generic angles. Tales, which are society poems and collective and serial works, are an indication of the taste for mockery and banter characteristic of this time. As for the diachronic approach, it aims at throwing light on the peaks of the vogue for tales from 1715 to the Revolution but also at bringing out a transhistoric continuity by establishing the origins as well as the posterity of the genre. Tales are also viewed in connection with the other genres it delights in imitating and twisting. They are libertine because of their philosophy but above all because of their allusive and subversive writing
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Soubrenie, Elisabeth. "La poésie de la solitude en Grande-Bretagne au XVIIIe siècle : 1725-1785." Paris 3, 1993. http://www.theses.fr/1994PA030135.

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Abstract:
Au 18e siecle s'affirme le rayonnement britannique, tandis que se pose la question de la legitimite de la solitude : l'individu peut-il a tout moment quitter la societe ? misanthropie et philanthropie s'affrontent, et, entre 1725 et 1785 la poesie repond diversement. Dans une solitude studieuse et physico-theologique se developpent un art de vivre imite des anciens (thomson), et un penchant pour la melancolie contemplative (t. & j. Warton). A la recherche des limites de la solitude dans le spectacle familier ou sublime de la nature (dyer, thomson, cowper), le poete decouvre l'infini (young, hervey); mais son errance mal maitrisee l'entraine au naufrage metaphysique. Ce desarroi est renforce par l'interrogation religieuse : la solitude est-elle une initiation douloureuse menant a dieu, ou le signe de l'alienation decretee par un dieu terrible ? la hantise de la folie et l'attrait du suicide augmentent. Or, a la chute dans la spirale de l'isolement repond la reconquete partielle d'un centre dans l'asile du jardin (landscape gardening). Si la me nace du neant demeure (graveyard school), loin des extremes se poursuit la quete du juste milieu (gray), dans le respect de la chaine des etres. L'activite poetique peut avoir un role cathartique (green); la poesie peut aussi etre l'oeuvre de la folie (smart), a moins d'enfermer la solitude dans le paradoxe rhetorique d'une presence allegorique et tutelaire
In prosperous 18th-century britain the right for the individual to leave society for solitude was much debated. Through cross-currents of philanthropy and misanthropy, the response of poetry from 1725 to 1785 was manifold. Not only did the enjoyement of intellectually fruitful solitude develop on physico-theological lines (thomson), but also a growing awareness of the pleasures of melancholy (t. & j. Warton). Searching the limits of solitude through gentle or sublime nature (excursion poets, thomson, cowper), man was soon faced with the infinite (young, hervey), before collapsing beyond a point of no return. Disarray was stressed by religious questioning : was solitude an ordeal toward reunion with fod, or a token of man's alienation from god's grace ? despite the fear of madness and the appeal of suicide, the fall into the abyss of isolation was counterbalanced by a somewhat recevered sense of the self as a reliable centre, beyond loomng nothingness (graveyard school), landscape gardens also sheltered the quest for a decent aurea mediocritas (gray) within the great chain of being the poet could laugh off his fear into; poetry-writing (green), but poetry could also be the work of madness (smart), unless it remained framed by neoclassical poetic diction, turning solitude into a paradoxical tutelary presence
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Germano, Pedro da Silva. "La poésie en langue portugaise des juifs "sefardim" d'Amsterdam : (XVIIe-XVIIIe siècles)." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2003PA040272.

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Abstract:
From the end of 16th century, some Jews of Iberian origin exiled from Portugal found refuge in the Netherlands and became known as the "Portuguese [Hebrew] nation" or simply as the "Portuguese Jews". The initial three congregations of Amsterdam merged in 1638 to form the "Holy Congregation for the study of the Torah", which settled in the edifice of the present-day Portuguese-Synagogue, the "Esnoga", inaugurated in 1675. In this study we refer to the members of this communitiy by using the designations "Iberian Jews" or, mor frequently, the Hebrew plural of Sepharad - Sephardim - or the corresponding French word "séfarades". In Chapters I and II we give a brief historical and critical introduction to the culture of Sephardim. We outline the history of the great Sephardic Diaspora, including the establishment and evolution of the Amsterdam communities in Chapter I and we refer to the Iberian heritage strongly maintained to this day in Chapter II. The purpose of this investigation is described in Chapter III: we identified and analyzed a corpus of poetic texts, lato sensu, written in Portuguese by the Iberian Jews of Amsterdam. These textes consist of approximately four thousand four hundred verses and were published between 1624 and 1781. Their origin, date, formal structure and contents are very diverse. For the purposes of this study, we grouped them by subjetct and addressee, and reproduced them according their sources in volume II. In the Chapter IV we give a literary approach to the transcribed poems from the point of view of: (i) aesthetics, (ii) classical and baroque taste, both Iberian and European; and (iii) the Lusitanian culture of the Sephardim. The third volume is a tentative establishment of a bibliography of bibliograhies published between te 18th and 20th centuries referring to the texts written in Portuguese by the Sephardim of Amsterdam
Un petit nombre de Juifs, ou de nouveaux-chrétiens, d'origine ibérique se sont réfugiés aux Pays-Bas à partir de la fin du XVIe siècle ; d'autres les ont suivis. On les désignait jusqu'au XIXe siècle par les expressions "Juifs portugais" ou Juifs de la "Nation [hébrai͏̈que] portugaise". Cependant, nous leur attribuons l'appelation "Juifs ibériques" ou plus fréquemment le pluriel hébreu de Sefarad, sefardim, ou la forme francisée séfarades. Après l'union des trois premières communautés d'Amsterdam qu'ils avaient formées entre 1597 et 1618, les sefardim instituèrent en 1638 la Sainte Communauté pour l'Etude de la Torah, communauté qui s'installa dans l'édifice de l'actuelle "Esnoga" inaugurée en 1675. Au chapitre I nous dressons un aperçu historique de la grande diaspora séfarade et de l'installation et évolution des communautés d'Amsterdam dont les activités religieuses, intellectuelles et administratives sont analysées au chapitre II sous l'angle de l'héritage ibérique ténacement préservé jusqu'à nos jours. Mais l'objectif prioritaire de notre étude est la fixation et l'analyse d'un corpus de poèmes, lato sensu, environ quatre mille quatre cents vers écrits en langue portugaise à Amsterdam par ces Juifs d'origine ibérique pendant deux siècles, plus précisément entre 1624 et 1781. Nous avons groupé et reproduit ces poèmes dont la prove-nance, la datation, la structure formelle et le contenu sont très diversifiés, selon leurs thèmes et destinataires dans le volume II. L'approche littéraire des poèmes transcrits est ébauchée, au Chapitre IV du volume I, sous l'angle de l'esthétique et du goût classique et baroque, ibérique et européen et de la culture lusitanienne des sefardim. Un troisième volume correspond à un essai d'une bibliographie des bibliographies publiées entre le XVIIIe et le XXe siècles concernant les textes des sefardim amstelodamois en langue portugaise
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Courcelles, Dominique de. "L'écriture dans la pensée de la mort en Catalogne : les "goigs" en Catalogne de la fin du Moyen Age au XVIIIe siècle." Paris, EHESS, 1988. http://www.theses.fr/1988EHES0309.

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Abstract:
Le mot "goigs" designe les poemes chantes qui, a partir de la fin du ma en catalogne, celebrent en langue catalane au cours des offices de l'eglise les "joies" de la vierge et des saints. Ces joies, ce sont les sept joies de la vierge, de sa salutation par l'ange a son assomption, et les joies celestes des saints, en reversion de leurs souffrances. Les "goigs" sont diffuses sous la forme de feuillets imprimes comportant le poeme hagiographique, le verset et l'oraison de l'office latin du saint concerne, l'image du meme saint. Les "goigs" sont une "ecriture" croyante de la parole de l'ange, adaptee a des conditions historiques qui sont autant litteraires que sociales ou spirituelles. Le secret de leur enonciation, portant sur la mort et le passage, est decelable par l'analyse de leur configuration textuelle, de l'image du saint, de la situation des utilisateurs au seuil de l'autel. Prononces avec un officiant legitime grace a un don de monnaie, devant le "corps de pouvoir" du saint, relique ou statue miraculeuse, ils font partie des echanges symboliques lies a la pensee de la mort et des morts et effectues par chaque groupe social paroissial, selon l'utopie proposee par l'eglise. Immobilisation de la parole de l'ange, les "goigs" ne peuvent se passer des corps: aux corps des saints repondent les corps d'"ecriture" des feuillets ou la lettre se dedouble en figure projetee des saints et les corps immobiles des fideles. Par le detour de l'immobilisation de ces corps est represente le passage de la mort
The word "goigs" designates the poems in the catalan vernacular which, since the end of the middle ages in catalonia, have been sung during church services to celebrate the "joys" of the virgin and the saints. These joys are the seven joys of the virgin, from her salutation by the angel to her assumption, and the saint's celestial joys in compensation for their sufferings. The "goigs" are distributed in the form of printed leaflets with the hagiographic poem, the appropriate verse and prayer from the latin service, and the image of the saint. The "goigs" are a holy writing of the angel's word, adapted to the historical conditions which are as much literary as social or spiritualtheir meaning dealing with death and transition may be discerned by the analysis of their textual configuration, of the saint's image, of the user's position before the altar. Performed by a legitimate officiant, thanks to a gift of money, before the saint's "powerful body", relic or miraculous statue, they form part of the symbolical exchanges bearing on ideas of death and made by each social parish group, according to the utopia proposed by the church. To immobilize the angel's word, the "goigs" cannot exist without bodies: the bodies of the saints comply with the writing's bodies of the leaflets, where the written letter splits into a projected figure of the saints, and the immobile bodies of the faithful
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Langle, Catherine. "L'ombre du cloître au XVIIIème siècle." Grenoble 3, 1994. http://www.theses.fr/1994GRE39044.

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Abstract:
Le cloître est un motif omniprésent au XVIIIe siècle. Il donne d'abord lieu à la satire des "vices monastiques" et des querelles théologiques sur les conséquences de la chute d’Adam. Alors que les romans de mœurs dénoncent les vocations forcées, il devient, pour les libertins, le cadre de transgressions émancipatrices. A leur suite, les "philosophes" critiquent l'ascétisme des moines et, avec les physiocrates, leur célibat. Leurs nouvelles options anthropologiques les amènent à reprouver les vœux perpétuels comme une forme d'assujettissement contre-nature. Vers 1770, les héroïdes exaltent, de manière ambiguë, un héroïsme du renoncement, auquel répond la parodie du romanesque monastique. En même temps, le thème passe à la scène, ou il suggère la création d'atmosphères sombres. Pendant la révolution, les dramaturges l'exploitent à des fins idéologiques, pathétiques, et spectaculaires. Influence par le roman noir anglais, il devient alors un motif privilégié du mélodrame naissant. Le cloître littéraire semble toujours renvoyer à autre chose qu'à lui-même. Cependant, au confluent de ces images obscures, on retrouve l'obsession persistante du conflit entre nature et grâce, hérité d'un XVIIe siècle augustinien dont le XVIIIe siècle s'affranchit en promouvant le naturel". Eveillant la méfiance des lumières, qui valorisent chez les individus une autodétermination les rendant capables d'œuvrer (dans le siècle), l'ombre du cloître continue pourtant à les fasciner. Mais seul Chateaubriand saura en faire un sujet poétique, accomplissant le projet des héroïdes
The monastery theme is omnipresent in the XVIIIe century. First, it provides a setting for the satire of "monastic vices" and theological quarrels about the consequences of Adam’s fall. Whereas the morality novels expose forced vocations, it becomes, for the libertines, the place of emancipatory transgressions. Following them, the "philosophers" criticize the monks' asceticism. And, along with the physiocrats, their celibacy their new anthropological options lead them to condemn perpetual vows as being an anti-natural form of subjection. Around 1770, the heroids magnify, in an ambiguous way, a heroism of the renunciation, to which the parody of monastic romanesque is the answer. At the same time, the theme goes on stage, where it suggests the creation of gloomy atmospheres. During, the French Revolution, the playwrights use it to ideological, pathetic and spectacular ends. Influenced by the English gothic novel, it then becomes a priviedged theme of the dawning melodrama. The literary convent always seems to echo something different from itself. Yet, where these dark images merge, it is possible to find the persistant obsession of the between nature and grace, inherited from an augustinian XVIIe century from which the englightened emancipated themselves by promoting the "natural". Awakening the suspiscion of the enlightened, who valorize in the individuals a self-determination enabling them to operate (within the century), the shadow of the cloister still keeps fascinating them. But Chateaubriand alone will manage to turn it into poetic matter, thus carrying out the heroids' scheme
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Rey, Christine. "État des connaissances médicales au XVIIIème siècle." Montpellier 1, 1992. http://www.theses.fr/1992MON11147.

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Hasquenoph, Sophie. "Les Dominicains de Paris au XVIIIème siècle." Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010595.

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Abstract:
Les Dominicains de paris au XVIIIeme siècle appartiennent à trois couvents : Saint-Jacques, Saint-Honoré et noviciat général. Cette présente étude analyse les différentes activités des religieux entre 1700 et 1730, l'organisation et la composition des communautés, enfin leur engagement personnel dans la crise janséniste. Une seconde partie centralisée sur les années 1730-1785, présente la vie quotidienne et la pensée des dominicains parisiens à l'heure de l'offensive éclairée des philosophes. Le thème de la décadence est ici souligné, alors que l'image du dominicain est décrié par les contemporains et que l'ordre dans sa globalité est vivement remis en cause. Enfin, la troisième partie expose les prises de position dominicaines à la veille et pendant la révolution française. Certaines destinées individuelles sont évoquées en parallèle avec celle de la dernière communauté parisienne, disparue en octobre 1793. Après cette date, l'ordre dominicain n'existe plus dans la capitale. Seuls survivent quelques religieux isoles, qui ne pourront participer à la reconstruction de l'ordre au XIXeme siècle
The dominicans of Paris in the XVIIIe century belong the three couvents : Saint-Jacques, Saint-Honoré and noviciat general. This present study analyses the differents friar's activities between 1700 and 1730, the organization and the communities's compositions, at last their personnal part in the jansenist crise. One second part, centralized on the years 1730-1785, presenties the daily live and the pariens's thought, dominicans on time of the philosophers's light offensive. The subject of the "decadence" is here underlined, then the Dominican's picture is discredited of the contemporaries and the order as a whole is violently critizies. At last, the third party exposes the friars attitudes before and during the french revolution. Some individuals fates are evoqued parallel with to their of the last parisian community, vanished in october 1793. After this date, the Dominican order never existes in the city. Only a few isoles friars take part in the order's reconstruction in the XXe century
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Eldem, Edhem. "Le commerce français d'Istanbul au XVIIIème siècle." Aix-Marseille 1, 1989. http://www.theses.fr/1989AIX10006.

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Abstract:
Fondee sur une documentation presque exclusivement francaise, cette these est une tentative d'analyse de l'activite commerciale francaise dans la capitale ottomane pendant ce qui fut, sans aucun doute, la periode la plus florissante du commerce francais du levant. La premiere partie est constituee par une analyse quantitative et qualitative des echanges commerciaux entre istanbul et marseille, de leur part au commerce global de la ville et enfin de l'evolution, modifications et des mutations de ce commerce pendant le dix-huitieme siecle. La seconde partie est entierement consacree aux aspects financiers et monetaires de la question et en particulier au commerce des especes et de la lettre de change. Elle porte notamment sur l'apparition, dans la seconde moitie du siecle, d'un commerce de banque et de reseaux internationaux de lettres de change qui firent d'istanbul une place bancaire etroitement liee aux autres centres financiers et bancaires d'europe, constituant ainsi une preuve de l'integration progressive -sous certains aspects et pour certaines classes sociales- de l'economie ottomane dans le systeme occidental. Enfin, la troisieme partie traite de la gestion et des aspects humains et sociaux du commerce : principaux acteurs et leurs role et importance respectifs, relations entre francais et ottomans, prob- lemes de concurrence, conflits et collaborations, techniques et strategies commerciales. . . Une atten- tion particuliere est accordee a l'etendue du role des communautes non musulmanes qui se constituerent progressivement en agents du commerce francais, prefigurant ainsi le role preponderant qu'elles seraient amenees a jouer au dix-neuvieme siecle dans la vie economique de l'empire, ainsi qu'a l'analy- se de certains aspects de la politique economique ottomane et de l'attitude du gouvernement face a l'influence et a la puissance croissantes des negociants europeens et de leurs "associes" minoritaires.
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Simonetta, Laetitia. "La connaissance par sentiment au XVIIIème siècle." Thesis, Lyon, École normale supérieure, 2015. http://www.theses.fr/2015ENSL1035/document.

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Abstract:
Le XVIIIe siècle n’est pas seulement le siècle de la raison, il est aussi celui où le sentiment s’impose dans l’esprit de certains philosophes pour rendre compte de la façon dont certains objets sont connus. Le moi ainsi que les valeurs morales et esthétiques sont, par excellence, des objets qui échappent à une analyse rationnelle ainsi qu’aux perceptions issues des sens externes. Ils se donnent dans cette expérience intérieure qu’est le sentiment. La particularité de celui-ci est que, alors qu’il est une impression d’ordre affectif, constituée de perceptions de plaisir et de douleur, il est amené à représenter autre chose que l’état purement subjectif de l’âme. Tout le problème est de déterminer à quel point le sentiment constitue un mode de connaissance irréductible : est-il un principe de connaissance à part entière, à côté de la sensation et de la réflexion, ou simplement la manière de connaître de celui qui, ayant développé des habitudes de penser et de sentir, a l’impression de juger de façon immédiate ? Reconnu comme fait mais n’ayant pas de fondement clairement assignable, il est sujet aux interprétations les plus contradictoires. Placé au croisement d’un courant métaphysique et d’un courant empiriste radical, il incarne une des notions qui manifestent le plus fortement la diversité des écoles qui perdurent au siècle des Lumières
The 18th century is not only the age of reason, it is also the time when the sentiment becomes very important in the mind of some philosophers to explain how a certain kind of objects are known. The self as well as the moral and esthetic values are, par excellence, objects that escape both the rational analysis and the perceptions derived from external senses. They are given in an internal experience called sentiment, whom particularity is to represent something different from the pure subjective state of mind, although it is an affective impression, made of perceptions of delight and pain. The problem is to determine in what extent the sentiment represent an irreducible way of knowing: is it a source of knowledge of its own, next to sensation and reflection, or is it just an impression one’s get of judging immediately which occults a succession of unconscious judgments? Acknowledged as a fact, but lacking obvious foundation, it is likely to receive the most contradictory interpretations. At the intersection of a metaphysical current and an empiricist one, it embodies one of the notions that exhibit the diversity of schools which remains in the Enlightenment
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Morel, Josiane. "La relation éducative au cours du XVIIIème siècle." Phd thesis, Université de Bourgogne, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01015333.

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Abstract:
Du collège d'Ancien Régime tel qu'il est reconsidéré dans le Traité des études de Charles Rollin en 1726 à l'éducation familiale consentie aux enfants d'Almane dans Adèle et Théodore (1782) de Stéphanie de Genlis en passant par l'anthropologie éducative, Émile ou de l'Éducation (1762) de Rousseau et l'institution princière du Cours d'étude (1776) selon Condillac, les écrits d'éducation du XVIIIe siècle semblent avoir réservé une part importante à la relation éducative. De fait, le rapport établi entre maître et disciple pose question dans un monde en pleine effervescence intellectuelle où l'idée de perfectibilité humaine s'empare des esprits. Le corpus établi forme un ensemble de modalités éducatives variées, oscillant entre éducation domestique et éducation publique puis entre vision idéale et représentation d'une certaine réalité dans une société qui manifeste un intérêt renouvelé pour le monde de l'enfance et de la famille. Ainsi, on cherche à comprendre la qualité et la nature du lien établi entre maître et disciple et à inscrire sa conception dans les champs des savoirs et de leur transmission. On tente avant tout d'examiner comment s'édifie la pensée pédagogique au cours du XVIIIe siècle. La réflexion, souvent conduite par des lettrés extérieurs au monde éducatif, se fonde sur des aspirations et valeurs généralement controversées, tantôt nouvelles tantôt tirant leur légitimité d'un héritage ancien christianisé. Puis est abordé le contrat éducatif du collège noué dans la relation éducative selon Charles Rollin. Le discours pédagogique du Traité des études évoque les idées de reconnaissance et d'élévation du maître dans le respect du caractère et de l'authenticité de l'élève. Se dévoile alors un lien d'âme nourri de pouvoir et d'affection, proche du concept de filiation. Suit une étude de la relation éducative dans les variables du préceptorat. Si Rousseau entend conduire Émile à l'état d'homme dans une rêverie prométhéenne où dominent l'être et la reconnaissance de l'altérité, Condillac rejette toute immédiateté éducative pour Ferdinand de Parme. Cette relation éducative, conçue au nom de l'idéal pédagogique des Lumières, pour former un prince éclairé, interdit la rencontre humaine du gouverneur et de son disciple. Enfin, follement éprise de l'idée d'éducation, Genlis met en lumière toute l'ambivalence du lien éducatif confiné au microcosme familial. Là rien n'est jamais laissé au hasard et la passion d'éduquer consume l'individu en devenir. Les différentes formes de relations éducatives qui apparaissent dans les écrits de Rollin, Rousseau, Condillac et Genlis font poindre l'idée neuve, dès le XVIIIe siècle, qu'est nécessaire une liaison particulière entre maître et élève pour que s'épanouisse toute situation d'éducation.
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Books on the topic "Poésie du XVIIIème siècle"

1

Masson, Nicole. La poésie fugitive au XVIIIe siècle. Paris: Champion, 2002.

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2

La poésie fugitive au XVIIIe siècle. Paris: H. Champion, 2002.

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3

Trocard, Catherine. Aspects de l'allégorie dans les arts et la poésie: Le XVIIIe siècle anglais. Grenoble: IVR Imprimerie, 1985.

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4

L' intimisme du XVIIIème siècle. Paris: L'Harmattan, 2005.

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5

Un prix littéraire à Rouen au XVIIIe siècle: Le concours de poésie de l'Académie de l'Immaculée Conception de 1701 à 1789. [Mont-Saint-Aignan, France]: Publications de l'Université de Rouen, 2001.

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6

Criminalité en Berry au XVIIIème siècle. [Toulouse?]: Royer, 2001.

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7

Place, Françoise. Les émancipations à Valenciennes au XVIIIème siècle. Valenciennes: Association généalogique Flandre-Hainaut, 2001.

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8

Aubin, Anne-Marie. Moeurs et coutumes en Berry au XVIIIème siècle. Paris: Royer, 1998.

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Krackenberger, Didier. Inventaire d'un château haut-sâonnois au XVIIIème siècle: Champtonnay. 2nd ed. [Gray]: D. Krackenberger, 1999.

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10

Krackenberger, Didier. Inventaire d'un château haut-sâonois au XVIIIème siècle (Champtonnay). [Besancon: Burs?, 2001.

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Book chapters on the topic "Poésie du XVIIIème siècle"

1

Faivre, Antoine. "Figures d'Hermès Trismégiste à la fin du XVIIIème siècle." In Bibliothèque de l'Ecole des Hautes Etudes, Sciences Religieuses, 131–37. Turnhout: Brepols Publishers, 2000. http://dx.doi.org/10.1484/m.behe-eb.4.00934.

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2

Verbaal, Wim. "La conversion de la poésie au xiie siècle." In Instrumenta Patristica et Mediaevalia, 313–28. Turnhout: Brepols Publishers, 2016. http://dx.doi.org/10.1484/m.ipm-eb.5.111113.

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3

Ems, Grégory. "L’ars pronuntiandi dans les collèges jésuites au XVIIe siècle." In Poésie latine à haute voix (1500-1700), 43–75. Turnhout: Brepols Publishers, 2013. http://dx.doi.org/10.1484/m.latin-eb.4.00139.

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4

Vignes, Jean. "Poésie gnomique et genre satirique en France au xvie siècle." In Latinitates, 33–56. Turnhout: Brepols Publishers, 2011. http://dx.doi.org/10.1484/m.latin-eb.4.00083.

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5

Mazel, Florian. "La compétition chevaleresque dans la poésie lyrique de langue d’oc (XIIe-XIIIe siècles)." In Agôn. La compétition, Ve-XIIe siècle, 161–79. Turnhout: Brepols Publishers, 2012. http://dx.doi.org/10.1484/m.hama-eb.1.101221.

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6

Meyers, Jean. "La prière dans la poésie de Sedulius Scottus." In La prière en latin, de l’Antiquité au XVIe siècle : formes, évolutions, significations, 177–93. Turnhout: Brepols Publishers, 2006. http://dx.doi.org/10.1484/m.cem-eb.3.253.

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7

Ferrand, Mathieu. "Les exercices de composition et de déclamation poétiques dans les collèges risiens au début du XVIe siècle." In Poésie latine à haute voix (1500-1700), 19–41. Turnhout: Brepols Publishers, 2013. http://dx.doi.org/10.1484/m.latin-eb.4.00138.

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8

Ciccia, Marie-Noëlle. "L’Ailleurs dans la poésie satirique du xviiie siècle au Portugal." In Poésie de l’Ailleurs, 241–56. Presses universitaires de Provence, 2014. http://dx.doi.org/10.4000/books.pup.8463.

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9

Rideau, Gaël. "Les usages de la poésie dans les processions en France au XVIIIe siècle : formes et débats." In La poésie délivrée, 35–48. Presses universitaires de Paris Nanterre, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/books.pupo.10188.

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10

Nelligan, Émile, PASCAL BRISSETTE, and AUDRÉE WILHELMY. "POÉSIE." In Livres québécois remarquables du XXe siècle, 207–19. Presses de l'Université du Québec, 2012. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv18pgpnn.19.

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Conference papers on the topic "Poésie du XVIIIème siècle"

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Barbieri, Luca. "« Je fais l’eau avec ma voix » : Paul Claudel et la (méta)physique de l’eau." In XXV Coloquio AFUE. Palabras e imaginarios del agua. Valencia: Universitat Politècnica València, 2016. http://dx.doi.org/10.4995/xxvcoloquioafue.2016.2939.

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Abstract:
De retour en Chine en juin 1906 en tant que consul de France, Claudel entreprend l’écriture de L’Esprit et l’Eau, sa deuxième des Cinq Grandes Odes qui paraîtront en 1910. Le 9 septembre il renseigne son ami et écrivain André Suarès à propos de l’avancement du texte : « J’écris en ce moment une espèce d’Ode sur cette eau essentielle en nous qui est le besoin d’être parfaitement liquide et translucide. Ce n’est point l’impur qui fermente, c’est le pur qui est séminale ». Ces quelques lignes ne sauraient pas du tout réduire la symbolique claudélienne de l’eau telle qu’elle est élaborée dans ce poème de Claudel. Elles suffisent, pourtant, à donner une idée de la profondeur avec laquelle le poète s’approprie le thème de l’eau. Image de vie et d’éternité, de liberté et de pureté, mais aussi de purification, ainsi que « lien liquide » réunissant les êtres entre eux et avec leur Créateur, l’élément fluide ne pouvait pas faire défaut dans la poésie claudélienne. Et, de fait, il est présent dans toutes ses manifestations physiques et métaphysiques. Ainsi eaux bibliques, liturgiques, terrestres, marines et corporelles sont toutes idéalement canalisées dans l'immense bassin symbolique que constitue cette ode. Un poème grandiose, par lequel le poète entendait célébrer le siècle nouveau, mais aussi fermer définitivement une période turbulente de sa vie passée (« Et moi aussi, je l’ai donc trouvée à la fin la mort qui me fallait ! […] J’ai connu l’amour de la femme. / […] J’ai connu cette source de soif »). Public et privé, divin et humain, corporel et spirituel se diluent donc dans ce poème, à l'image de ce qu’écrivait Gaston Bachelard : « l’eau, dans son symbolisme, sait tout réunir ». C’est justement la variété de ce symbolisme que je me propose d’illustrer dans ma communication.DOI: http://dx.doi.org/10.4995/XXVColloqueAFUE.2016.2939
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