Academic literature on the topic 'Politique agricole – Cameroun'

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Journal articles on the topic "Politique agricole – Cameroun"

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Madi, Ali. "Politique agricole et élasticité de l'offre dans les exploitations de la zone cotonnière au Cameroun." Économie rurale 222, no. 1 (1994): 18. http://dx.doi.org/10.3406/ecoru.1994.4927.

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Pedelahore, Philippe, Rosine Tchatchoua, Menimo Tonka, Mireille Ntsama, and Nadine Andrieu. "Resituer l’adoption des propositions techniques de la recherche dans les stratégies d’adaptation des exploitants agricoles familiaux." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 33. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10112.

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Abstract:
L’innovation technique est souvent présentée comme le levier principal de l’amélioration des performances économiques et des conditions de vie des exploitants agricoles familiaux (EAF). Elle constitue de ce fait un moyen d’adaptation face à la variabilité de l’environnement socio-économique. L’objectif de cette étude a été d’analyser la place du recours à l’adoption de propositions techniques issues de la recherche au sein de l’ensemble des stratégies d’adaptation mobilisées par les producteurs pour préserver, voire pour améliorer, leurs conditions de vie et celles de leurs descendants. A travers la réalisation d’entretiens semi-directifs et directifs auprès d’un échantillon représentatif d’EAF du Grand Sud Cameroun, cette étude a montré que le développement des migrations et des activités non agricoles, l’extension des surfaces cultivées, et la diversification des productions agricoles marchandes étaient des stratégies d’adaptation plus fréquemment mobilisées que l’adoption de propositions techniques. Cette étude a souligné le fait que l’amélioration des itinéraires techniques et des performances des exploitations familiales ne peuvent constituer la seule orientation des politiques de recherche et de développement. L’augmentation des mobilités spatiales et professionnelles des producteurs encourage à développer des politiques de recherche et de développement plus attentives à la gestion des territoires et des hommes et aux interactions entre les différents secteurs de l’économie nationale.
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Yebga, Solange Ngo. "Initiatives locales de la société civile en santé reproductive au Cameroun: Étude de cas des associations en milieu urbain." Regions and Cohesion 2, no. 1 (March 1, 2012): 25–48. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2012.020102.

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Abstract:
The notion of civil society became popular and generalized in Africa during the 1990s, through the initiatives of international bodies like the World Bank and agencies for international development. In Cameroon, the economic recession caused by the deterioration of exchange rates and falling prices of agricultural raw materials (coffee, cocoa, and co on) has favored the emergence of these actors alongside the state in managing and improving the living conditions of those urban populations. In the field of reproductive health, civil society, through associations, is pursuing public orientation through services of education, promotion, and diffusion. Observing the Association for the Struggle against Violence against Women (ALFV in French) ALFV and Women, Health, and Development in Sub-Saharan Africa (FESADE in French) shows how a health policy is operationalized via endogenous initiatives. This research, which is mainly empirical, was conducted between 2006 and 2009 with institutional health managers and managers of associative structures in Yaoundé and throughout Cameroon. Spanish la noción de sociedad civil se populariza y vulgariza en África hacia los años 90 bajo la iniciativa de instancias internacionales como el Banco Mundial y las agencias de desarrollo. En Camerún, la recesión económica debida a la caída de las tasas de cambio y a la baja en las materias primas agrícolas (café, cacao, algodón) favoreció la emergencia de dicha sociedad paralelamente al Estado en la gestión y mejoramiento de las condiciones de vida de las poblaciones urbanas. Por ejemplo, en el campo de la salud reproductiva, la sociedad civil, en la forma de asociaciones, lleva a cabo acciones públicas a través de los servicios de educación, promoción y difusión. La observación de los ejemplos de la Asociación para la Lucha contra la Violencia contra la Mujer (ALVF en francés) y de Mujer, Salud y Desarrollo en el África subsahariana (FESADE en francés) permite ver cómo se operativiza una política de salud a través de iniciativas endógenas. Esta investigación esencialmente empírica fue desarrollada entre 2006 y 2009 con los responsables institucionales de salud y con los responsables de las estructuras asociativas de Yaoundé y Camerún. French La notion de société civile se popularise et se vulgarise en Afrique vers les années 90 à l'initiative d'instances internationales comme la Banque mondiale et des agences d'aide au développement. Au Cameroun, la récession économique due à la détérioration des termes de l'échange et à la chute des prix des matières premières agricoles (café, cacao, coton) a favorisé l'émergence de cet intervenant aux côtés de l'Etat dans la gestion et l'amélioration des conditions de vie des populations urbaines. Dans le domaine de la santé reproductive, la société civile, sous la forme d'associations par exemple, poursuit les orientations publiques à travers des services d'éducation, de promotion et de diffusion. En observant les exemples de l'ALVF et de la FESADE, nous étudions comment s'opérationnalise une politique de santé à travers des initiatives endogènes. Ce e recherche, essentiellement empirique, a été menée entre 2006 et 2009 auprès de responsables institutionnels de santé et de responsables des structures associatives à Yaoundé et dans d'autres villes du Cameroun.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Sandrine, Kouna Binélé Marlise, Awono Mbassi Tatiana, Menyengue Eric François, Jakpou Njipnang Doris Nadine, and Mopi Touoyem Fabrice. "Le marché des produits vivriers et développement socio-économique dans l’Arrondissement de Sa’a (Région du Centre, Cameroun)." European Scientific Journal ESJ 17, no. 16 (May 31, 2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n16p72.

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Abstract:
L’économie rurale de bon nombre de pays en Afrique subsaharienne est essentiellement basée sur les activités agricoles. La crise économique des années 1980 qui a causé la baisse des prix des cultures de rente, a amené les agriculteurs à se lancer massivement dans les cultures vivrières. C’est ainsi que les campagnes sont devenues des lieux de ravitaillement pour les villes environnantes. L’objectif de cet article est d’évaluer l’apport du marché des produits vivriers au développement socio-économique de l’Arrondissement de Sa’a. Pour cela, l’étude s’est appuyée sur une recherche documentaire, des observations directes sur le terrain, des enquêtes par questionnaires auprès d’un échantillon de 425 acteurs intervenant dans la chaine de production, de transport, de commercialisation et de consommation des produits vivriers. Des entretiens semi-structurés ont aussi été réalisés avec les responsables des services déconcentrés du Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural et les autorités de la Commune de Sa’a. Il ressort des analyses effectuées que le marché de Sa’a accueille un flux important de produits vivriers qui proviennent des différents bassins de production . Plusieurs acteurs interviennent à des différents niveaux dans le marché des produits vivriers à Sa’a. L’on a d’une part les commerçants parmi lesquels on retrouve les productrices-commerçantes, les immigrés saisonniers, les colportrices ou collectrices, les grossistes, les revendeuses et les détaillantes. D’autre part, l’on distingue les non commerçants qui regroupent les transporteurs, les consommateurs et les pouvoirs publics. Ces produits vivriers sont commercialisés à travers un circuit court, intermédiaire ou long. Leur commercialisation concerne beaucoup plus les femmes et génère des bénéfices qui vont de 3000 à 60000 FCFA pour les commerçantes, et 15000 à 35000FCFA en moyenne pour les transporteurs par moto taxi le jour du « grand marché ». Ces revenus enregistrés leur permettent d’augmenter leur capital et d’investir dans d’autres activités plus décentes et rentables. La Commune de Sa’a fait également des recettes importantes le jour du «grand marché». Les recettes collectées lui permettent de construire des infrastructures sociales. Il est donc important de le prendre en compte dans les politiques de développement parce qu’il représente un atout non négligeable pour le développement local.
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Dissertations / Theses on the topic "Politique agricole – Cameroun"

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Bisseck, Raphaël Emmanuel. "La politique agricole camerounaise : essai sur l'autonomie de l'état au Cameroun." Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA01A001.

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Abstract:
La politique agricole camerounaise est a la fois un projet gouvernemental, le produit d'un jeu d'institutions et un enjeu social qui oppose diverses forces sociales. Ainsi percue, elle permet de degager les relations qu'entretient l'etat avec la societe civile, son degre d'autonomie
The cameroonian agricultural policy is a gouvernemental projet the product of a system of institutions and the expression of social conflicts. So analysed, it can help to evalue the autonomy of the state in cameroon
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Ebene, Nyamnding Elise Mireille. "Politiques agricoles et crise de l'économie camerounaise (1960-1998)." Bordeaux 3, 2011. https://extranet.u-bordeaux-montaigne.fr/memoires/diffusion.php?nnt=2011BOR30067.

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Abstract:
« Politiques agricoles et crise de l’économie camerounaise (1960-1998) » est une réflexion historique sur les avatars de l’agriculture camerounaise depuis l’indépendance en 1960, jusqu’à 1998, date de la première évaluation de la réforme de la politique agricole post-crise. Dans une approche résolument constructiviste, la thèse revisite l’origine du « tout cultures de rente » opérée par les autorités camerounaises postcoloniales en matière agricole. La vulnérabilité d’un tel choix ne s’est pas fait attendre. L’État, constatant ses échecs répétitifs a tenté des solutions, notamment à travers la Révolution verte et les comices agro-pastoraux. Des ajustements qui ont incontestablement retardé la ruine d’une politique viciée dans ses fondations. Mais, ils ne pouvaient prévenir la crise consécutive à la brutale chute des cours des matières premières fétiches, sur lesquelles l’Etat fondait son projet d’accumulation primitive. Cette désillusion allait être à l’origine de d’une nouvelle approche plus novatrice et plus diversifiée en apparence mais au fond rigoureusement identique si l’on en juge par l’accent remis sur l’intensification des cultures de rente traditionnelles
This thesis which is entitled : “Politiques agricoles et crise de l’économie camerounaise (1960-1998)” in English “The role of the Cameroon’s agricultural policies in the wreck of the national economy from 1960 to 1998”, appears to be a historical essay on the misadventures of Cameroonian agriculture since the country became independent in 1960 up till the fateful years of the economic crisis which stroke Cameroon in the years 1990. Using a constructivist approach, the work goes back into the remote past, during the colonial period to point out colonial choices based on the production of commercial cash crops. A choice which the government of Cameroon inherited from the French and English colonial masters. The essay shows that colonization deeply influenced the way the government foresaw the place of Agriculture into the independent Cameroon. It also stresses the response it gave to the frequent misfortune of the choice of the government, the successive attempts of solutions that were forwarded. The implementation of the Green Revolution on the one hand and the instauration of Agricultural Shows happened to be the major attempts the government brought to sustain its policies. These attempts certainly delayed the wreck of an agricultural policy staled in its basements but could not prevent the economic structural crisis that erupted with the sudden fall of the main export cash crops on which the economic development of Cameroon depended. A disillusion which guided the government toward a new and more innovative approach based on a more diversified Agriculture bound to protect the economy from the instable international market. But the new policy seems not to be very different from the former one considering the strong emphasis the government still puts on the exportation of the same cash crops
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Bisseck, Raphaël Emmanuel. "La Politique agricole camerounaise essai sur l'autonomie de l'état au Cameroun /." Lille 3 : ANRT, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37611941w.

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Madi, Ali. "Politique agricole et elacticite de l'offre dans les exploitations de la zone cotonniere au cameroun." Montpellier, ENSA, 1994. http://www.theses.fr/1994ENSA0001.

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Abstract:
Le coton, avec une contribution aux exportations (en valeur relative) en constante progression et touchant pres de deux millions d'habitants dans la partie septentrionale, presente mieux que tout autre produit agricole, un bon exemple du role que l'agriculture camerounaise est appelee a jouer. La presente etude avait pour objectif d'analyser le systeme productif dans lequel s'insere le coton et d'apprecier les reactions des paysans face aux modifications economiques, en nous basant sur le concept d'elasticite de l'offre agricole, afin de donner quelques elements pour la mise en place d'une politique dans le domaine. Les differents resultats auxquels nous avons aboutis, montrent que la reaction des paysans, a quelle que modification que ce soit, est fonction de l'objectif de production et de la structure de production caracterisee par le niveau de la capitalisation. Cependant, pour la plupart d'entre elles, dans le cadre du plan d'ajustement structurel auquel est soumis l'economie camerounaise et dans l'optique de la devaluation inevitable du cfa, les exploitations paysannes de la zone cotonniere peuvent maintenir le niveau actuel de l'offre aussi bien pour le coton que pour les cultures vivrieres. Elles peuvent amorcer une phase de croissance a condition que les pouvoirs publics arrivent a maitriser les phenomenes inflationnistes lies souvent aux devaluations des monnaies
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Mfewou, Abdoulay. "Migrations, dynamiques agricoles et problèmes fonciers dans le bassin de la Bénoué (Nord Cameroun)." Paris 7, 2009. http://www.theses.fr/2009PA070073.

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Abstract:
A partir des années 1970, des courants migratoires venus de l'Extrême-Nord, d'abord organisés et encadrés par l'administration, puis libres, ont fait tripler la population dans certaines zones de la région du Nord-Cameroun. La densité de peuplement dépasse aujourd'hui les 20 hab. /km2. Les migrants devaient combler un vide démographique et faire progresser la spéculation cotonnière et les cultures de céréales. Toutefois, le vide n'était qu'apparent, car ces espaces appartenaient économiquement aux éleveurs et politiquement aux lamidats Peuls qui les avaient conquis au début du XIXe siècle. Les migrants, par leur arrivée massive, remettaient en cause l'usage premier de ces espaces, consacrés à l'élevages, ainsi que les aires protégées de la région du Nord. La région de Lagdo, en aval d'un barrage réalisé de 1977 à 1982, résume toute l'histoire de ces migrants et des enjeux que pose le phénomène migratoire, tant sur le plan technique que foncier et politique. Au travers de cette étude des Migrations, des dynamiques agricoles et des problèmes fonciers dans le Bassin de la Bénoué (Nord-Cameroun), cette région a servi de laboratoire pour élaborer une histoire locale du développement. La conduite des enquêtes a été fondée sur des connaissances tirées d'un recensement de la population de Lagdo effectué par la Mission d'Etude pour l'Aménagement de la Vallée Supérieure de la Bénoué (MEAVSB) en 2001. Ge recensement avait été réalisé à partir d'un échantillon de 1 507 chefs exploitations agricoles choisi parmi une population avoisinant 10 000 habitants et localisée autour de quatre villages du périmètre irrigué de Lagdo (Gounougou, Ouro Doukoujé, Béssoum, et Dingalé). Nos enquêtes ont concerné le même échantillon de population paysanne et ont été effectuées par trois enquêteurs travaillant sous notre supervision. Les données ont été recueillies à l'aide d'un questionnaire individuel portant sur les productions agricoles, les migrations et les enjeux de la question foncière. Le questionnaire s'adressait aux chefs d'exploitation et s'intéressait donc aux changements sociaux au cours des quatre dernières décennies. L'analyse des données a été traité avec le logiciel SAS (SAS, Institut 2004) pour la taille de la population étudiée et les données quantitatives. Il ressort de nos résultats que la création de la Société Agro-industrielle de la Bénoué (SAIB), à un endroit névralgique du Nord Cameroun, a réveillé plusieurs conflits fonciers qui étaient en sommeil, opposant différents acteurs de développement (migrants, SAIB, lamido, éleveurs,. . . ). Cette installation de la société a provoqué le départ de 36 % des paysans de la zone qui ont trouvé refuge dans les villages voisins (Ouro-Labo I et II, Bamé, Ngon, Rabinga, Gouna, Mayo Rey. . . ). Même après plusieurs tentatives de médiations conduites par l'administration à travers un protocole d'accord signé et après la médiation apportée par les institutions religieuses (musulmane, catholique et protestante), la SAIB est entrée en crise dès la première année de son existence et connaît donc dès son arrivée des difficultés de fonctionnement, conduisant à un abandon total de ses activités. Agronomiquement, si ces conflits n'affectent pas les rendements des cultures en champ (riz, maïs, muskuwari, coton arachide. . . ), ils occasionnent un bouleversement social parmi les paysans. Les résultats agricoles sont fonction de la quantité de pluies enregistrées (1 000mm en 2005), de la qualité du sol et des facteurs de productions (semences, engrais, herbicides, main d'œuvre. . . ). Le phénomène migratoire a provoqué mathématiquement l'augmentation de la superficie dans l'ensemble de la zone cotonnière, soit 203 020 ha pour une production de coton-grain de 220 300 tonnes et 422 150 ha pour une production de semences sèches (sorgho S. P, muskuwari, sorgho à cycle long, maïs, arachide, riz, haricot/niébé, vaondzou, soja), soit 390 720 tonnes dans la zone cotonnière. Les superficies cultivées dans les quatre villages étudiés se répartissent en cultures principales (375 ha de riz en saison des pluies, 265 ha de riz en saison sèche avec 3 500 kg/ha en moyen, 630 ha de sorgho avec 1 200 kg/ha, 475 ha de muskuwari 1 500 kg/ha, 380 ha de maïs avec 1 500 kg/ha, 310 ha de coton avec 1 600 kg/ha, 125 ha d'arachide avec 1 200 kg/ha). Les cultures secondaires (niébé, sésame, manioc, oignon, patate douce, aubergine) et les arbres fruitiers ne représentent que 2 % des superficies cultivées. La majorité de ces produits se cultivent en saison des pluies (d'avril à octobre). Il en résulte que la production de céréales (600 kg/personne/an) est trois fois supérieure aux besoins alimentaires des populations (200 kg/personne/an environ selon les normes PAO), ce qui explique qu'une majeure partie de la production rizicole est commercialisée. Elle est cependant loin de satisfaire les besoins alimentaires de la région. Les prix des spéculations varient en fonction de la demande sur le marché, soit 16 000 Fcfa pour 100 kg de sorgho, 12 000 Fcfa pour 100kg de maïs, 32 000 Fcfa pour 90kg de riz, 13 000 Fcfa pour 90kg de muskuwari, 16 000 Fcfa pour 100 kg de haricot/niébé, 14 000 Fcfa pour 100 kg d'arachide. L'installation des migrants dans la vallée de la Bénoué montre des résultats de productions agricoles (muskuwari, maïs, riz, coton. . . ) très fluctuante d'une année à l'autre, qui peuvent être positifs ou négatifs. Cependant, le conflit foncier récurrent par manque de sécurisation en zone rurale laisse les paysans dans une situation de précarité et nécessite une reforme agraire. Mais, les prises d'otage des enfants d'éleveurs et l'insécurité des personnes l'emportent sur les problèmes fonciers dans le Nord-Cameroun. Cette insécurité risque d'asphyxier économiquement la région et de devenir un fléau à éradiquer avant de reparler développement
From 1970s, migratory currents come from Extreme-Nord region, at first organized and supervised by the administration, then free, made the population triple in certain zones of the North-Cameroon region. The density of populating exceeds 20 hab. / km2 today. The migrants had to fill a demographic space and make progress the cotton speculation and the cultures of cereal. However, the space was only visible, because these spaces belonged economically to the breeders and politically to the Fulani lamidats which had conquered them at the beginning of the XIXth century. The migrants, by their massive arrival, questioned the first usage of these spaces, dedicated in breedings, as well as the areas protected from the region of the North. The Lagdo zone, downstream to a dam realized from 1977 till 1982, summarizes all the history of these migrants and the stakes which puts the migratory phenomenon, both on the plan technical and land and political. Through this study of the Migrations, the agricultural dynamics and the land problems in the valley of Benoue ( North-Cameroon), this region served as laboratory to elaborate a local history of the development. The led of investigations was based on knowledge pulled by a population census of Lagdo made by the Mission of Study for the Development of the Superior Valley of the Benoue ( MEAVSB) in 2001. This census had been realized from a sample of 1 507 leaders farms chosen among a population bordering 10 000 inhabitants and located around four villages of the perimeter irrigated by Lagdo (Gounougou, Ouro Doukouje, Bessoum, and Dingale). Our inquiries concerned the same sample of peasant population and were made by three investigators working under our supervision. The data were collected by means of an individual questionnaire concerning the agricultural productions, the migrations and the stakes in the land question. The questionnaire addressed the leaders of exploitation and was thus interested in the social changes during the last four decades. The data analysis was treated with the software SAS (SAS Institute 2004) for the size of the studied population and the quantitative data. It emerges from our results that the creation of the Agro-industrial Society of Benoue (SAIB), in a neuralgic place of the North Cameroon, woke several land conflicts which were in sleep, setting various actors of development (migrants, SAIB, lamido, breeders). This installation of the society provoked the departure of 36 % of the farmers of the zone who found refuge in the nearby villages (Ouro-Labo I and II, Bame, Ngon, Rabinga, Gouna, Mayo Rey). Even after several attempts of mediations driven by the administration through a signed draft agreement and after the mediation brought by convent schools (Moslem, Catholic and Protestant), the SAIB entered in crisis from the first year of its existence and thus knows from its arrival of the difficulties of functioning, driving to a total abandonment of its activities. Agronomically, if these conflicts do not affect the returns on the cultures in field (rice, corn, muskuwari, cotton groundnut, they causes a social turnover among the farmers. The agricultural results are a function of the quantity of registered rains (1 000 mm in 2005), of the earth quality and the factor of productions (seeds, fertilizers, weed-killers, hand of work). The migratory phenomenon provoked mathematically the increase of the surface in the whole of the cotton zone, either 203 020 ha for a production of 220 300 ton cotton-grain and 422 150 ha for a production of dry seeds (sorghum S. P, muskuwari, sorghum with long cycle, corn, groundnut, rice, bean / niebe, vaondzou, soya), or 390 720 tons in the cotton zone. Surfaces cultivated in four studied villages divide up into main cultures (375 ha of rice in rainy season, 265 ha of rice in dry season with 3 500 kg / ha in means, 630 ha of sorghum with 1 200 kg / ha, 475 ha of muskuwari 1 500 kg / ha, 380 ha of corn with 1 500 kg / ha, 310 ha of cotton with 1 600 kg / ha, 125 ha of groundnut with 1 200 kg / ha). The secondary cultures (niebe, sesame, manioc, onion, sweet potato, eggplant) and fruit trees represent only 2 % of the cultivated surfaces. The majority of these products become enlightened in rainy season (from April till October). As a result the production of cereal (600 kg / person / year) is three times superior to the food needs of the populations (200 kg / person / year approximately according to the standards FAO), what explains that a major part of the production rizicole is marketed. It is however far from satisfying the food needs of the region. The prizes of the speculations vary according to the request on the market, that is 16 000 Fcfa for 100 kg of sorghum, 12 000 Fcfa for 100 kg of corn, 32 000 Fcfa for 90 kg of rice, 13 000 Fcfa for 90 kg of muskuwari, 16 000 Fcfa for 100 kg of bean / niebe, 14 000 Fcfa for 100 kg of groundnut. The installation of the migrants in the valley of Benoue shows results of agricultural productions (muskuwari, corn, rice, cotton) very fluctuating from one year to the next, who can be positive or negative. However, the recurring land conflict due to the lack of reassurance in rural zone leaves the farmers in a situation of precariousness and requires one re-form agrarian. But, the hostage taking of the children of breeders and the insecurity of the persons take it on the land problems in the North-Cameroon. This insecurity risks to suffocate economically the region and to become a plague to be eradicated before speaking again development
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Pédelahore, Philippe. "Stratégies d'accumulation des exploitants agricoles : l'exemple des cacaoculteurs du Centre Cameroun de 1910 à 2010." Thesis, Toulouse 2, 2012. http://www.theses.fr/2012TOU20047.

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Abstract:
Cette thèse, réalisée au Cameroun, analyse les stratégies et les trajectoires d’accumulation en surfaces cacaoyères de trois générations de planteurs couvrant la période 1910-2010. Pour cela, nous avons réalisé des entretiens semi directifs auprès d’un échantillon de 82 planteurs représentatifs des différentes tailles d’exploitations cacaoyères. L’analyse des trajectoires montre que si l’accumulation en surfaces cacaoyères est de quelques hectares pour les deux premières générations de planteurs, la génération actuelle conduit depuis trente ans, surtout dans les zones de fronts pionniers, des processus d’accumulation pouvant atteindre plusieurs dizaines d’hectares. Ces hauts niveaux d’accumulation en surfaces cacaoyères sont majoritairement le fait d’exploitants disposant d’importants volumes de capitaux financiers provenant d’activités non agricoles, généralement urbaines. La mobilité spatiale, vers les fronts pionniers ou vers la ville, et la mobilité professionnelle, qui permet de mêler activités agricoles et non agricoles, apparaissent ainsi comme les stratégies les plus performantes pour accumuler d’importantes surfaces cacaoyères. Ces stratégies conduisent au développement de grandes exploitations cacaoyères patronales ou capitalistes qui renforcent les processus de marchandisation de la terre et de la force de travail. Ces grandes exploitations entrent en concurrence pour l’accès au foncier avec les petites exploitations familiales et conduisent à une prolétarisation d’une partie des agriculteurs les plus pauvres. Ces résultats incitent à développer des politiques de recherche moins centrées sur l’amélioration des pratiques techniques et des rendements et plus attentives à la mobilité de la force de travail et des capitaux financiers entre les différents secteurs de l’économie nationale et du territoire. Ils invitent aussi L’Etat à ne pas abandonner au seul jeu du marché la gestion et le devenir des hommes et des territoires
This thesis, which was undertaken in Cameroon, analyses the cocoa surface area accumulation trajectories and strategies of three generations of cocoa planters, covering the period 1910-2010. To do so, we carried out semi-structured interviews with a sample of 82 planters representing different sized cocoa plantations. The analysis of their trajectories shows that while the first two generations of planters accumulated just a few hectares of cocoa land, over the past thirty years, the current generation has accumulated several dozens of hectares, particularly in the frontier areas. Farmers with large amounts of financial capital generated through non-agricultural, and generally urban, activities mainly are responsible for these high levels of accumulation of cacao land. Spatial mobility, in the direction of the frontier regions or towards the city, and professional mobility, which allows agricultural and non-agricultural activities to be mixed, thus appears to be the most effective strategy for accumulating large surface areas for cocoa production. These strategies lead to the development of large capitalist and enterprise cocoa plantations that reinforce the commoditization of land and labour. These large plantations compete with small family farms over land, leading to the proletarianisation of some of the poorest farmers. These results suggest that there is a need to develop research policies which focus less on improving technical practices and yields and more on the mobility of the labour force and of financial capital between the different sectors of the national economy and between regions. The results also indicate that the government should not abandon the management and future of these people and territories to the free market alone
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Achancho, Valantine. "Le rôle des organisations paysannes dans la professionnalisation de l'agriculture en afrique subsaharienne : le cas du Cameroun." Phd thesis, AgroParisTech, 2012. http://pastel.archives-ouvertes.fr/pastel-00935522.

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Abstract:
Dans tous les continents et en particulier dans les pays d'Afrique subsaharienne, les organisations paysannes ont toujours été au centre des politiques de développement de l'agriculture. Nombreuses et diversifiées, les organisations paysannes du Cameroun font l'objet d'une attention particulière de la part des pouvoirs publics qui depuis près de quatre décennies mettent en place des programmes de développement dont l'objectif principal est d'appuyer la professionnalisation de l'agriculture, à travers une structuration organisée du milieu rural. Le présent travail de recherche analyse le rôle des organisations paysannes dans la professionnalisation de l'agriculture. Il aborde et clarifie les notions de professionnalisation de l'agriculture et d'organisations paysannes à travers une approche sociologique et met en évidence la logique des programmes dits de professionnalisation, de même que les dynamiques d'organisation de producteurs agricoles qui évoluent au Cameroun. L'étude s'appuie sur des données d'observation des dynamiques d'organisations paysannes au Cameroun de 1994 à 2012 ainsi que du suivi des initiatives des projets d'appui aux organisations paysannes et aux filières agricoles. Les données collectées portent également sur une enquête réalisée auprès de 70 organisations paysannes dans les régions de l'Ouest, du Nord-ouest, du Sud-ouest, du Littoral et du Sud du Cameroun. Ces enquêtes ont permis de réaliser des entretiens de groupe avec environ 350 paysans issus d'organisations paysannes, et en particulier d'avoir des discussions plus approfondies avec 20 responsables d'organisations paysannes sur leur parcours et la nature de leur leadership. Sur la base des résultats obtenus, il a pu être établi que la professionnalisation de l'agriculture s'inscrit dans la logique des nouvelles offres " d'innovation " proposées par les partenaires du développement, avec pour objectif de contribuer au développement d'une agriculture plus performante dans les pays d'Afrique subsaharienne." [...] Suite et fin du résumé dans la thèse.
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Douya, Emmanuel. "De la formation et de l'évolution des prix agricoles dans l'ouest du Cameroun." Montpellier 1, 1988. http://www.theses.fr/1988MON10023.

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Abstract:
Les marches agricoles sont caracterises au cameroun par deux systemes de regulation. Le premier consiste a laisser jouer les mecanismes du marche, c'est a dire une regulation de l'offre et de la demande. Le second entend maitriser le marche en administrant les prix, evitant ainsi toute fluctuation. Theoriquement ces systemes s'excluent mais qu'en est-il en realite? comment fonctionnent ces deux marches? quels sont les rapports de force qui s'exercent? telles sont quelques unes des questions auxquelles cette etude a l'ambition d'apporter des elements de reponse. A partir des quelques produits de reference de l'ouest du cameroun, nous analysons successivement la formation des deux types de prix et leur evolution. De cette analyse se degage une hypothese selon laquelle l'administration des prix ne permet la maitrise du marche que si l'etat detient le monopole de la commercialisation, sinon le marche lui echappe et dans ce cas, c'est le grossiste qui, en depit de quelques reserves, oriente le marche
Agricultural markets are charaterized, in cameroon, by two regulation pattens of prices. Indeed markets regulate themselves throught supply and demand or, the autohorities, to prevent any fluctuation, can manage prices. Theoretically, theses models are poles apart but, how far have we got really? what are the aperating conditions of the markets? which are the mediums connections? there are any of questions that this study did choose to answer. Analysing in succession the two food prices determination, througt some agricultural produces of the west cameroon, and their time dependence, the study shows that the authorities have to monopolize complety the commercialization before managing prices. It shows also that the wholesaler, in liberal exchange case, is the medium which commands the market
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Books on the topic "Politique agricole – Cameroun"

1

N'Sangou, Arouna. Politique agricole et autosuffisance alimentaire: L'exemple du Cameroun. Yaoundé]: République du Cameroun, Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Institut des sciences humaines, Centre des recherches économiques et démographiques, 1986.

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2

Table ronde sur la politique agricole du Cameroun (1990 Yaoundé, Cameroon). Actes de la Table ronde sur la politique agricole du Cameroun, 29-30 nov. 1990. [Yaoundé]: République du Cameroun, Ministère de l'agriculture, Division des projets agricoles, 1990.

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3

Politique agricole du Cameroun. [Yaoundé]: République du Cameroun, Ministère de l'agriculture, Division des projets agricoles, 1990.

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Book chapters on the topic "Politique agricole – Cameroun"

1

Kam Yogo, Emmanuel D., and Oliver C. Ruppel. "CHAPITRE 15 : POLITIQUE AGRICOLE ET GOUVERNANCE FONCIÈRE AU CAMEROUN." In Environmental law and policy in Cameroon - Towards making Africa the tree of life | Droit et politique de l'environnement au Cameroun - Afin de faire de l'Afrique l'arbre de vie, 350–71. Nomos Verlagsgesellschaft mbH & Co. KG, 2018. http://dx.doi.org/10.5771/9783845294360-351.

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