Academic literature on the topic 'Politique et gouvernement – Madagascar'

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Dissertations / Theses on the topic "Politique et gouvernement – Madagascar"

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Razaranaina, Jean-Claude. "La démocratie politique à Madagascar." Nantes, 2004. http://www.theses.fr/2004NANT4002.

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Abstract:
La démocratie politique à Madagascar est le thème traité. La première partie conçoit la Démocratie comme méthode de gouvernement et science du pouvoir à partir du sens original et oeuvres des chercheurs en la situant au sein des principes juridiques. On y décrit les approches démocratiques dans le système de droit malagasy. La deuxième partie analyse le processus d'application de la démocratie à Madagascar et le problème y afférent nés des mouvements politiques par lesquels on veut conquérir le pouvoir en niant le droit. Toutefois, les lacunes observées découlent du vide juridique. Enfin, on constate une démocratie politique libérale évolutive à Madagascar mais qui nécessite l'amélioration du cadre juridique et du mode de participation du peuple et l'implication du Fokonolona<br>The subject of this research is political democracy in Madagascar. In the first part, democracy is conceived as a way to govern and a science to the power as its original meaning and as demonstrated in the works of the researchers. In this part then, democracy follows the legal principles. The second part analyses the process of democracy enforcement in Madagascar and the problems relevant frequently to political events : that's to conquer power in denying law. In this way, political phenomena lead to legal facts. Gaps from legal loophole are noticed there. At the end, we observe a political liberal democracy that wants an improvement of the scope of the law and the participation of the people throughout the "Fokonolona" in Madagascar
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Galibert, Didier. "Les gens du pouvoir à Madagascar : État postcolonial, légitimités et territoire : 1956-2002." La Réunion, 2006. http://elgebar.univ-reunion.fr/login?url=http://thesesenligne.univ.run/06_10_DGallibe.pdf.

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Abstract:
La thèse étudie le champ de pouvoir de l'État postcolonial à Madagascar, depuis la formation d'une arène politique démocratisée à partir de la loi-cadre de 1956 jusqu'à la crise majeure de l'année 2002. La première partie concerne le processus de nationalisation du champ politique, à travers les "pèlerinages" des élites et la formation d'un horizon insulaire de l'exercice du pouvoir. Dans la seconde partie, la thèse aborde les difficultés de la refondation postcoloniale du territoire, dans le rapport aux héros fondateurs et aux lieux de mémoire, la définition d'un maillage administratif sans rapport avec les cultes traditionnels, l'affirmation de modalités nouvelles de politisation des identités. La troisième partie évoque la crise d'autorité déclenchée par l'intrusion du modèle de la modernité politique occidentale dans une société largement déterminée par les variantes précoloniales de la monarchie sacrée<br>The thesis concerns the formation of Madagascar's political elite in the years between the promulgation of the loi-cadre of 1956 and the accession to power of Marc Ravalomanana in 2002. The text is divided into three parts : the first concerns the contours of the national political space as this has been constituted during the postcolonial period. The second concerns the use of memories of the past to compose a sense of a national political territory corresponding to the island of Madagascar. Part three examines the unequal concept of political rights as these have emerged from the past. Old concepts of ritual status have combined with other influences to produce differing conditions of citizenship. By means of the historical analysis of some leading political families, the ideological aspects of inequality are considered in a context notable more for the relatively short duration of political careers than for constitution of veritable political dynasties
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3

Lahiniriko, Denis. "Les structures politiques à Tananarive : union, unanimisme et divisions partisanes dans la culture politique nationaliste malgache (1945-1958)." Paris 1, 2012. http://www.theses.fr/2012PA010621.

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Abstract:
L'objet de celle étude est d'analyser le rôle des structures politiques dans l'évolution du contexte politique de l'après-guerre el notamment leur place et leur participation au mouvement d'émancipation pour mieux l'éclairer et le comprendre. Une réflexion temporelle à deux vitesses est adoptée. D'abord, à travers les structures du mouvement revendicatif en privilégiant, dans un premier temps, toute la durée de la période coloniale. La seconde vitesse temporelle est celle des événements. L'objectif est de contribuer à l'étude du nationalisme malgache en abordant une réflexion sur la culture politique nationaliste. Une première partie correspond à la domination du MDRM de la vie politique malgache. On démontrera que dans sa domination, le parti de la Rénovation ne laisse quasiment pas d'espace libre dans le champ politique aux autres partis nationalistes. Notamment au PDM et au MSM. Une seconde partie concerne la période allant de l'insurrection fi la veille de la Loi-Cadre. Caractérisée par le recul des partis politiques comme principal moyen de lutte nationaliste au profit des associations. Enfin une troisième partie est consacrée à la période comprise entre la Loi-Cadre à la formation de la Première République pendant laquelle on assiste à la reformation des partis politiques comme instrument de lutte essentiel dont les nationalistes se servent pour faire aboutir leurs revendications. Elle est marquée également par la division entre ces acteurs politiques dont les conséquences sont lourdes en cette veille de l'indépendance. C'est dans ce sens qu'elle permet de comprendre l'évolution de la culture politique nationaliste qui passe de l'unanimisme à l'unionisme.
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Randriamampionona, Hubert. "Les aspects judiciaires de la rébellion de 1947 à Madagascar." Lyon 3, 2007. http://www.theses.fr/2007LYO33041.

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Abstract:
L'année 1947 marquait la fin de l'espoir d'émancipation du peuple malgache, né en novembre 1945 avec l'élection à la première Constituante des docteurs Ravoahangy et Raseta sur la base de slogans prônant une indépendance totale et immédiate de Madagascar. En effet, s'ils tempérèrent par la suite leur revendication initiale en revenant à la notion flou d'un Etat libre dans le cadre de l'Union française, des éléments radicaux travaillant dans i'ombre du Mouvement Démocratique de la Rénovation Malgache, parti créé en février 1946 pour aider ces élus malgaches à affronter les nombreuses échéances électorales, en profitèrent pour fomenter une rébellion qui éclata dans la nuit du 29 mars 1947. Dès le lendemain, une répression judiciaire s'abattait sur le MDRM désigne comme le principal responsable des évènements par le pouvoir colonial. L'intervention des institutions judiciaires n'apporta pas la garantie d'une justice impartiale et indépendante. Depuis leur mise en place au début du XXe siècle , outre la présence prédominante d'administrateurs en leur sein, elles n'avaient été qu'un moyen d'administration supplémentaire entre les mains du pouvoir colonial. Par ailleurs, la réforme judiciaire initiée en 1946 dans les territoires de la France d'Outremer n'avait fait que renforcer l'emprise administrative. Ainsi le rôle des tribunaux fut réduit à une simple légalisation de la répression inique menée par la Sûreté générale et les administrateurs provinciaux. Les débats du procès des parlementaires et autres leaders du MDRM qui se déroula de juillet à octobre 1948 devant la Cour criminelle de Tananarive et qui devait permettre de faire la vérité sur l'origine des événements ne peut que mettre en lumière l'emploi de procédés douteux, dans les locaux de la Sûreté générale, pour obtenir des aveux dits spontanés. Malgré ces révélations accablantes, le ministère public obtint finalement la condamnation inéluctable des chefs du MDRM grâce la production, à la dernière minute, de témoins à charge fournis, une fois de plus, par la Sûreté générale<br>The year 1947 marked the end of hope for the emancipation of the people of Madagascar, born in November 1945 with the election of the doctors Ravoahangy and Raseta at the first Constituent on the basis of slogans advocating a total and immediate independance of Madagascar. Indeed, if they changed their original request by referring to the concept of a blur free state within the French Union, the radical elements working in the shadow of the Movement of Democratic Renovation Malagasy, party established in February 1946 to help those elected officials prepare many elections, took the opportunity to foment a rebellion which broke out during the night of march 29, 1947. The next day, the judicial repression fell on the MDRM designated as the chief executive officer of events by the colonial authorities. The intervention of the judiciary did not guarantee an impartial and independent justice. Since their installation, in the early twentieth century, in addition to the dominant presence of administrators within them, they were also a way of administration additional in the hands of colonial authorities. In addition, judicial reform initiated in 1946, in the French colonies overseas had only strengthened the administrative grip. Therefore, the role of the courts was reduced to a simple legalization of unjust repression inducted by the General Security Department and the provincial administrators. The discussions in the trial of parliamentarians and other leaders of MDRM, which took place from July to October 1948 before the Criminal Court of Antananarivo, which was designed to determine the truth about the origin of events did only demonstrate that the use of dubious methods in the premises of the General Security Deppent to obtain confessions so-called spontaneous. Despite these damning revelations, the public prosecutors finally got the inevitable court sentence of the leaders MDRM, using witnesses provided at the last minute, once again, by the General Security Department
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Randriamaro, Jean-Roland. "Mainty, côtiers et luttes politiques à Madagascar : le PADESM (Parti des Déshérités de Madagascar), 1946-1956." Paris 7, 1993. http://www.theses.fr/1993PA070034.

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Abstract:
Cette étude porte sur le Padesm, un parti politique qui constituait une des figures importantes du mouvement d'émancipation malgache de l'après deuxième guerre aux côtés du MDRM, du MSM, et du PDM entre autres. Présenté habituellement comme un parti de collaborateurs et d'anti-indépendantistes, le Padesm qui regroupait d'un côté les Mainty, les "noirs", c'est-à-dire les descendants d'esclaves et de serviteurs royaux, et de l'autre les côtiers, constituait le principal adversaire du MDRM dans la compétition pour la récupération de l'héritage colonial. Ce travail tente d'analyser le processus de lutte pour l'indépendance à Madagascar en essayant de rompre avec l'approche manichéenne et déterministe de l'historiographie nationaliste, en insistant sur l'existence d'une dialectique entre le Padesm et le MDRM. Il essaie également de restituer les ambiguïtés de cette période : au niveau des rapports entre les partis et le pouvoir, au niveau des rapports entre les partis, au niveau des rapports internes à chaque parti, au niveau des rapports entre l'administration et les colons, entre l'administration et les indigènes, etc. Il est enfin une contribution à l'étude de l'identité malgache en se penchant sur les mainty, sur leurs rapports avec les autres groupes sociaux, notamment les "côtiers" et les Fotsy, les "blancs", c'est-à-dire les Hova et Andriana, hommes libres et nobles<br>This study concerns the Padesm, a political party which was one of the important figures of Malagasy's emancipation movement post second world war side to the MDRM, to the MSM, and to the PDM, usually presented as collaborators'party and against the independence, the Padesm, which was composed of Mainty, "black people", slaveries'descendants and kings'servitors, and coast men, constitued the main adversary of the MDRM in political rivalry, for colonial heritage appropriation. This work tries to analyse the fight's process in Madagascar for independence, by tempting to break with dualist and determinist approach of nationalist historiography, by insisting on the existence of a dialectic between the Padesm and the MDRM. It tries to restore the ambiguities of this period: on the relationships between parties and government, between parties, administration and farmers, administration and indigenous, etc. Finally this research is a contribution to the study of Malagasy's identity, specially Mainty's case, more particularly their relationships with the other social groups, as coast men and fotsy, "white men", in other words the hova and the andriana, free and noble people
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Razafimbelo-Harisoa, Marie Solange. "La radiodiffusion à Madagascar : Perspective historique et usages sociaux." Paris 2, 2010. http://www.theses.fr/2010PA020098.

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Abstract:
Ce travail propose une étude de la radiodiffusion à Madagascar depuis son origine en 1931 à aujourd’hui, à travers une double observation d’un paysage radiophonique dynamique et d’une histoire sociale et politique mouvementée avec des faits marquants. Il s’agit pour nous d’étudier l’interaction entre la radiodiffusion et la vie sociale et politique à Madagascar. Notre problématique s’est orientée à la fois vers l’histoire dans laquelle s’est construite la radiodiffusion malgache et vers le peuple malgache qui a reçu cette radio et, dans une certaine mesure, lui a en retour donné sa marque. Notre questionnement de recherche s’articule donc autour d’une double approche historique et sociologique. La première partie de la thèse permet de retracer et d’analyser l’évolution du paysage radiophonique et la vie sociale et politique à Madagascar. La seconde partie aborde la radiodiffusion à deux niveaux : en amont, nous étudions les conditions (politiques, juridiques, économiques, religieuses et culturelles) de production de la radio et, en aval, nous présentons les résultats d’une étude de réception auprès des auditeurs portant sur leurs modalités d’écoute et les représentations qu’ils se font de ce média. Notre étude est la première à établir une étude approfondie sur l’histoire de Madagascar et de sa radio depuis plus de 80 ans, et à l’aborder simultanément du point de vue historique et sociologique, c’est-à-dire, orientée vers le passé et attentive au présent.
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Al, Dabaghy Camille. "La fabrique transnationale d'une échelle de gouvernement : la commune à Madagascar et à Diégo-Suarez sous la Troisième République (1993-2010)." Thesis, Paris, EHESS, 2019. http://www.theses.fr/2019EHES0183.

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Abstract:
Réformes de décentralisation, gestion de l’eau, gestion des ordures ménagères, voirie, marché, état civil… : sous la Troisième République, l’aide au développement a pris pour objet la plupart des politiques ou des services qui comptent dans le processus de la reconstruction de l’institution communale, introduite par l’administration coloniale à la fin du XIXe siècle mais supprimée entre 1973 et 1993. L’enquête porte sur cette transnationalisation croissante et conjuguée de la politique de décentralisation et de l’action publique communale dans les années 1990 et 2000. Sur la base de matériaux archivistiques et ethnographiques, elle réinscrit ce processus dans le temps moyen du gouvernement colonial, examine ses modalités récentes et interroge ses effets sur le double plan de la figure de l’institution communale et de la capacité politique des communes, telles qu’elles se dessinent au centre, pour l’ensemble des communes, et à Diégo-Suarez, pour une commune urbaine en particulier. La thèse d’abord décrit le travail de production de l’aide et de l’action publique aux interfaces toujours plus nombreuses et fragmentaires entre organisations d’aide et administrations domestiques. Elle montre que l’aide s’est inscrite dans la division interne du travail administratif et politique de gouvernement, que se sont arrimées les luttes entre acteurs de l’aide et acteurs publics malgaches et les luttes domestiques entre acteurs politico-administratifs malgaches pour la maîtrise de l’action publique, que ces luttes sont réglées par une grammaire partagée de la décision souveraine sous régime d’aide. L’enquête montre par ailleurs le jeu répété et démultiplié de l’aide s’est traduit par la prééminence acquise progressivement dans la reconstruction de la commune, à l’échelle nationale comme à l’échelle locale, par d’élites politico-administratives malgaches qui cumulent, diachroniquement ou symboliquement, des positions dans l’aide et des positions dans les administrations publiques. Ce sont des élites qui incarnent, légitiment et défendent la transnationalisation de l’action publique. Elle montre enfin que les édiles municipaux d’une ville comme Diégo-Suarez se sont bien engagées dans des stratégies de construction de leur capacité d’action sur la mise en dépendance à l’égard de l’aide. Mais que, si les interventions d’aide ont affecté la figure de l’institution communale, le fonctionnement même de l’organisation municipale, c’est sans accroître significativement sa capacité politique. Rien ne s’institutionnalise véritablement de l’accès des acteurs municipaux aux ressources qui leur permettraient de décider et d’agir en conséquence<br>Decentralization reforms, water management, household waste management, roads, markets, civil status, etc.: under the Third Republic, development aid focused on most of the policies or services that count in the process of rebuilding the municipal institution, introduced by the colonial administration at the end of the 19th century but abolished between 1973 and 1993. The survey focuses on this increasing and combined transnationalisation of decentralisation policy and municipal public action in the 1990s and 2000s. On the basis of archival and ethnographic materials, it re-establishes this process in the average time of the colonial government, examines its recent modalities and questions its effects on the dual level of the figure of the communal institution and the political capacity of the communes, as they appear in the centre, for all the communes, and in Diego Suarez, for a particular urban commune. The thesis first describes the work of aid production and public action at the increasingly numerous and fragmented interfaces between aid organisations and domestic administrations. It shows that aid has become part of the internal division of administrative and political work of government, that the struggles between Malagasy aid and public actors and the domestic struggles between Malagasy political and administrative actors for the control of public action have been established, that these struggles are regulated by a shared grammar of sovereign decision-making under the aid regime. The survey also shows that the repeated and multiplied play of aid has resulted in the pre-eminence gradually acquired in the reconstruction of the municipality, at both national and local level, by Malagasy political and administrative elites who cumulate, diachronically or symbolically, positions in aid and positions in public administrations. They are elites who embody, legitimize and defend the transnationalization of public action. Finally, it shows that the municipal councils of a city like Diego Suarez have been well engaged in strategies to build their capacity to act on aid dependency. But that, if the aid interventions have affected the figure of the communal institution, the very functioning of the municipal organization, it is without significantly increasing its political capacity. Nothing is truly institutionalized about the access of municipal actors to the resources that would allow them to decide and act accordingly
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François, Axelle. "La structuration d'un État malgache au XIXe siècle : de l'apogée du royaume merina à la mise en place du protectorat français." Toulouse 1, 2007. http://www.theses.fr/2006TOU10041.

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Abstract:
Après s'être imposés comme tribu dominante à Madagascar, les Merina ont su instaurer envers les pays européens, une politique d'équilibre, qui leur a permis de conserver une certaine indépendance et ce, jusqu'à l'action ultime de colonisation des français, qui marque la fin de la monarchie merina. Les Merina ont su tenir en échec, et ce pendant de longues années, les prétentions colonialistes françaises. La persévérance de la Cour d'Imerina et la politique intransigeante de son gouvernement, ont été les principaux atouts de la population malgache. Néanmoins, face à la détermination française et dépourvue de l'aide de son fidèle allié qu'était l'Angleterre, Madagascar a été contraint d'accepter l'instauration officielle d'un protectorat, en 1895. Cette victoire a été le prix de nombreuses années de lutte au cours desquelles les Français n'ont cessé de modifier et d'adapter leur politique afin de s'imposer face à un peuple malgache, enclin à défendre la terre sacrée de ses ancêtres contre toute ingérence étrangère<br>After having imposed themselves as the dominant tribe in Madagascar, the Merina were able to establish a political stability towards the European countries. This enabled them to maintain a certain independence until the ultimate action of the French colonization, which marks the end of the Merina monarchy. During many years, the Merina were able to hold the French colonialist claim in check. The perseverance of the court of Imerina and its intransigent government policy, were the principal assets of the Malagasy populaiton. Nevertheless, facing the determination of the French and deprived of the support of its faithful allied which was England, Madagascar was compelled to accept, in 1895, the official protectorate introduction. This victory was the cost of many years of fight during which the French did not stop modifying and adapting their policy in order to impose themselves towards the Malagasy people who were inclined to defend the crowned ground of their ancestors against any foreign interference
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Tsaboto, Jean. "Mutation sociale et politique de la société antemoro au XIXe siècle (Sud-Est de Madagascar)." Paris, EHESS, 2003. http://www.theses.fr/2003EHES0179.

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Abstract:
Dans le Sud-Est de Madagascar, aux XVIIe et XVIIIe siècles, un équilibre du pouvoir s'instaura entre nobles et roturiers dans le cadre d'un royaume antemoro fondé par des descendants d'immigrants islamisés, et dans un royaume antesaka édifié par des Maroseràña de la côte ouest. L'irruption brutale du pouboir merina, dont l'administration contrôla le commerce avec l'outremer, instaura impôts et corvées (après 1824), puis introduisit le christianisme et la scolarisation (1878), bouleversa profondément ces sociétés. A ces facteurs externes de changement s'ajoutèrent des facteurs internes liés aux rapports entre groupes statutaires, ainsi qu'aux enjeux représentés par le contrôle des hommes et des rizières. L'attitude du gouvernement merina, s'appuyant sur les nobles en pays antemoro et antesaka, et sur les Zafisoro dans la région de Farafangana, contribua à élargir le fossé entre communautés. Les tensions débouchèrent sur des conflits que la mobilité des populations et les idées véhiculées par le christianisme firent évoluer en guerres révolutionnaires. Les roturiers antemoro (en 1851, 1883, 1894, moments de crise entre Madagascar et la France) et antesaka(en 1895) réussirent à briser les hiérarchies de leurs royaumes et émancipèrent les esclaves pour former de nouveaux groupes sociaux. Ces derniers se dotèrent d'une structure "royale" en pays antesaka (1895) et antemoro (1937). Sur Faranfangana, à partir de 1852, une situation de conflit quasi-permanent s'instaura entre Zafisoro et Antefasy. Les traces de ces conflits, qu'aggrave la pression sur la terre, se font sentir aujourd'hui encore<br>In the South-East of Madagascar, in the XVIIth and XVIIIth centuries, a political balance was established between nobles and commoners, in the Antemoro kingdom, founded by descendants of islamized immigrants, and in the Antesaka kingdom built up by Maroseràña who came from the West Coast. The violent irruption of the Merina power, whose administration controlles foreign trade, set up taxes and fatigues (after 1824), and introduced chritianity and schooling (1878), disrupted these societies. Internal elements added to these external factors, connected with balance of power between social strata and with fights in order to control men and rice-fields. The policy of the Merina government, which chose to get support from the nobles in the Antemoro and Antesaka countries, and from the Zafisoro in the Farafangana, worsened the gap between social groups. Tensions gave birth to conflicts that population mobility and influence of Christian ideology turned into revolutionary wars. The Antemoro (in 1851, 1883, 1894, periods of crisis between Madagascar and France) and Antesaka commoners (in 1895) managed to break up hierarchies of their kingdoms and set free their slaves with whom they formed new social groups. These groups built up "royal" structures in the Antesaka (1895) and Antemoro (1937) regions. In the Frafangana area, since 1852, tension between Antefasy and Zafisoro has benn permanent. The afternath of these conflicts still affects the whole region today; they are worsened by demographic presure on arable land
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Nirhy-Lanto, Hery Andriamahazo. "La mutation de la classe politique malgache : un problème du temps présent." Thesis, Paris, INALCO, 2014. http://www.theses.fr/2014INAL0024.

Full text
Abstract:
La vie politique de Madagascar, durant 54 ans d’indépendance, est jalonnée de crises post-électorales et de mouvements de contestation socio-politiques multiples. De ce constat, le peuple malgache se sent en droit de disposer de ses richesses et de vivre un développement soutenu à partir d’une considération des valeurs traditionnelles. Madagascar exige une vraie mutation de la classe politique qui s’avère être inéluctable, mais le principal doute est de savoir si elle ira dans le sens escompté… Des résistances à cet élan se font sentir cardivers enjeux politiques et économiques, aussi bien internes qu'internationaux, exigent la mise aux pas du pays vers le modèle stéréotypé du développement à l’occidentale. Par conséquent, les termes « démocratie, bonne gouvernance, mondialisation » apparaissent galvaudés au point parfois de perdre la précision et la pertinence nécessaires à la compréhension des systèmes de valeurs et d'échanges politiques qu'ils sont supposés fonder et véhiculer. D’autres corollaires à ces superficiels changements imposés se font jour : prolifération d’acteurs politiques avec la multitude de groupements que cela suppose. Sachons que l’île compte actuellement 150 partis et associations politiques enregistrés auprès du ministère de l’Intérieur alors que, face à l’évolution politique,aucune « opposition » digne de ce nom ne se manifeste positivement. En fin de compte, Madagascar se trouve confrontée à des problèmes d'ordre culturel, historique, institutionnel, économique et social, face à cette inévitable mutation de sa classe politique. Après un essai de définition de la notion de pouvoir à Madagascar etun survol descriptif des acteurs politiques malgaches durant la colonisation, une étude sur le fondement de la classe politique actuelle a été menée afin de déceler les motifs réels de cette résistance à la mutation. Des difficultés socio-économiques internes viennent s'ajouter aux intérêts internationaux géopolitiques et économiques. Une observation particulière a été entreprise sur le comportement des investisseurs et décideurs français. Il s'agit, en fait, d'une illustration réelle et précise des comportements pater familias que la France adopte auprès de ses partenaires africains<br>The political life of Madagascar is marked by post-election crises and sociopolitical protests, during its 54 years of independence. From this observation, Malagasy people feel entitled to enjoy their riches and live a sustained development based on consideration of traditional values. Madagascar demands a real transformation of its political class. This change seems inevitable, but the main question is whether it will go to the expected direction... Opposition to this impulse is felt, since domestic and international political and economic issues require that Madagascar conforms to the stereotypical pattern of western development. Therefore, the words “democracy, good governance, globalization” seem so overused. By this way, sometimes, they lose the necessary precision and relevance for an understanding of system of values and political exchanges they are supposed to express and establish. Other corollaries of these superficial changes that were imposed are emerging, namely the proliferation of political stakeholders that involve a multiplication of related groups. Infact, there is currently about 150 political parties and associations that are registered at the Ministry of DomesticAffairs. However, with these political developments, no real “opposition” manifest positively. Ultimately, faced with this famous and inevitable change of its political class, Madagascar is encountering cultural, historical, institutional, economic and social problems. To uncover the real motives of this resistance to change, first, atentative definition of the concept of power in Madagascar and a descriptive overview of the Malagasy politicians during the colonial period is conducted. Afterwards, a study on the basis of the current Malagasy political class is performed. In addition to domestic social and economic difficulties, there are international geopolitical and economic interests. A particular observation is undertaken on the behavior of French investors and policymakers. This is actually a real and accurate illustration of pater familias behaviors that France adopts vis-à-vis its African partners
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