Academic literature on the topic 'Politique et gouvernement – Mozambique – 20e siècle'

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Journal articles on the topic "Politique et gouvernement – Mozambique – 20e siècle"

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Lévesque, Francis. "Le contrôle des chiens dans trois communautés du Nunavik au milieu du 20e siècle." Études/Inuit/Studies 34, no. 2 (2011): 149–66. http://dx.doi.org/10.7202/1004074ar.

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Abstract:
Le contrôle des chiens des Inuit par les autorités fédérales et provinciales au Nunavik fait l’objet d’un vif débat depuis plus d’une décennie. Depuis 1999, la Société Makivik accuse le gouvernement canadien et le gouvernement québécois d’avoir orchestré l’abattage des chiens du Nunavik dans les années 1950 et 1960 afin de favoriser l’assimilation des Inuit à la société canadienne. Pour leur part, les gouvernements d’Ottawa et de Québec ainsi que leurs corps policiers respectifs — Gendarmerie royale du Canada (GRC) et Sûreté du Québec (SQ) — nient catégoriquement avoir appliqué une politique d’élimination des chiens qui aurait eu pour objectif d’imposer un mode de vie nouveau aux Inuit. Cet article traite du contrôle des chiens au Nunavik durant cette période à partir d’événements survenus dans les communautés de Kuujjuaraapik, Puvirnituq et Kangirsujuaq.
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Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Abstract:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.
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Dissertations / Theses on the topic "Politique et gouvernement – Mozambique – 20e siècle"

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Chichava, Sergio Inacio. "Le "vieux Mozambique" : étude sur l'identité politique de la Zambézie." Bordeaux 4, 2007. http://www.theses.fr/2007BOR40016.

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Pormchana, Manop. "Les ministres thaïlandais : étude socio-politique des membres du gouvernement depuis 1932." Paris 2, 2003. http://www.theses.fr/2003PA020079.

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Ayissi, Antoine-Claude. "Le développement politique au Cameroun : de l'autoritarisme politique aux revendications des jeunes." Paris 10, 1997. http://www.theses.fr/1997PA100040.

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Abstract:
Notre étude porte sur le développement politique au Cameroun de l'autoritarisme politique aux revendications des jeunes (1960 1990. Il s'agit d'une monographie socio-politique dont le cadre théorique s'appuie sur trois supports épistémologiques : l'anthropologie urbaine, la sociologie dite de la socialisation, et la science politique dans son versant inhérent au rapport Etat/Sociétés civiles notamment dans la dialectique entre ces deux entités qui fondent "la production de la société" Camerounaise. Cette ossature heuristique triangulaire pose les jalons de la lecture théorique que nous proposons de la ville Africaine d'aujourd'hui. Ce regard vise à expliquer, suivant une perspective diachronique, les canaux de la politisation des générations post-indépendante. Après avoir analyser la crise de l'autoritarisme (première partie), le mode de fonctionnement du système autoritaire, le mode d'accumulation des ressources politiques et le système néo-patrimonial de la régulation politique au Cameroun (Chap. 1 et 2). Après avoir mis en exergue une ébauche théorique de l'anthropologie urbaine, la sociologie politique, nous poserons les étapes historiques de l'encadrement et la reproduction sociale (ou projet) par le système scolaire sous l'ex-parti unique (Chap. III et IV), et des enjeux sectoriels que ces moments mettent en branle. Ainsi nous expliciterons brièvement les théories de la socialisation politique, de leur naissance américaine, à leur ré-interprétation française, due notamment à Annick Percheron. Cette perspective diachronique sera de coupée en socialisations primaire et secondaire. Elle aboutira sur une présentation des mobilisations urbaines, notamment celles des étudiants jusqu'aux revendications démocratiques mettant en jeu les aspirations au changement social depuis 1990-1992. Dans le cadre socio-politique de compression des personnels appartenants au premier employeur (l'Etat).
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Raad, Nazih. "La vie politique et économique au Liban après 1943." Montpellier 1, 1985. http://www.theses.fr/1985MON10063.

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Nérard, François-Xavier. "Protestation et dénonciations dans l'URSS stalinienne, 1928-1941 : étude d'une pratique sociale et politique." Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010503.

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Abstract:
Le mécontentement dans l'URSS de Staline ne peut pas emprunter les formes habituelles de protestation sociale: celles-ci sont réprimées et détournées dès la fin des années vingt : grèves, manifestations et tracts politiques disparaissent progressivement ; en revanche, le pouvoir stalinien développe dès 1928 une pratique, enracinée dans les mentalités russes, celle de la dénonciation. La révélation au pouvoir de dysfonctionnements, de turpitudes et de déviances devient un phénomène essentiel. Encouragés, codifiés et contrôlés par le pouvoir, les " signaux " vont permettre aux soviétiques de dire leur mal-être, leurs frustrations, mais également de manifester leur haine et d'assouvir leurs vengeances. Pour le pouvoir, l'existence de ces dénonciations semble suffire : leur traitement pèche par inefficacité, par manque de moyens et de volonté politique. Ce système marque la fin de la protestation collective. Grâce a lui, le pouvoir isole les individus, sans pour autant les écouter.
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Contreras, Osorio Rodrigo. "Le renversement de la politique : pouvoir politique, démocratie libérale et néo-conservatisme au Chili." Paris, EHESS, 2005. http://www.theses.fr/2005EHES0043.

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Abstract:
Dans cette thèse nous essayons de faire une critique de la démocratie libérale en Amérique latine en nous servant du cas chilien. Pour ce faire, nous développons trois thèses interdépendantes. La première est que la stabilité et la légitimité du système démocratique libéral dépend des possibilités et des conditions réelles et objectives dont disposent les citoyens pour établir des relations d'échange horizontales et équitables car ce sont elles qui assurent l'autonomie effective des personnes et l'égalité réelle des droits. Ensuite, nous affirmons que, aussi bien au Chili que dans le reste de l'Amérique latine, la démocratie libérale vit dans un contexte marqué par un ensemble de limitations et de contradictions qui affectent sa stabilité et sa légitimité. Notre deuxième thèse est donc que ces limitations et ces contradictions découlent de la manière dont est exercé et distribué le pouvoir dans chacun de nos pays, étant donné que le degré de démocratisation économique, politique et sociale dépend de cela, tout comme en dépendent les possibilités de distribution de la richesse et de tous les bénéfices qu'une société peut ofrir à ses membres. Cela nous amène à notre troisième thèse : la distribution et l'exercice du pouvoir dans nos sociétés, et spécialement dans le cas du Chili, est le résultat d'un ordre social libéral défini à partir d'une interprétation autoritaire de la doctrine libérale ; interprétation qui n'est pas conjoncturelle, mais obéit au contraire à un transformisme historique de l'autoritarisme, qui est lié à la sensibilité et à l'attachement idéologique de type néo-conservateur caractéristiques du groupe dominant chilien<br>In this thesis we try to make a critical study of free market democracy in Latin America using the example of Chile. In order to accomplish this we develp three independent theses. The first one is that the stability and legitimacy of a free market democratic system depend on the possibilities and real conditions and objectives available to the citizens to establish horizontal and equal relational exchanges because it is these that ensure the effective autonomy of people and real equality of rights. Subsequently, we affirm that in Chile as well as in the rest of Latin AMerica, free market democracy exists in a context marked out by an ensemble of limitations and contradictions that affect its stability and legitimacy. Thus, our second thesis is that these limitations and contradictions arise from the way which power is exercised and distributed in each of our countries, given that the degree of economic, political and social democratisation depends on this, as do all the possibilities of distribution of wealth and all advantages that a society can offer to its members. This leads us to our third thesis : the distribution and exercise of power in our societies, and especially in the case of Chile, are the result of a free market social order defined from an authoritarian interpretation of a free market doctrine; an interpretation that is not accidental, but, on the contrary, obeyx the historic transformation of authoritarianism that is connected to the sensibility and the neo-conservative ideological attachment, characteristic of the dominant group in Chile
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Ocampo, Alcantar Rigoberto. "Le système politique mexicain : l'épuisement d'un modèle corporatif." Paris 3, 1995. http://www.theses.fr/1995PA030126.

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Abstract:
L'objectif de cette these est d'etudier le systeme politique mexicain, a partir des theories du corporatisme et du neo-corporatisme. Nous effectuons l'analyse de ce systeme au travers des caracteristiques de sa structure corporative et de son evolution apres la revolution de 1910. Ce travail de recherche nous mene a differencier les elements corporatifs des neo-corporatifs dans l'ensemble du systeme politique afin de demontrer notre hypothese centrale: le systeme politique mexicain se definit comme un systeme fonde sur des elements corporatifs et neo-corporatifs; la crise politique qu'il traverse depuis la fin des annees quatre-vingts correspond a l'epuisement de sa strucutre corporative<br>The objective of this thesis is to study the mecixan political system on the basis of the corporatist and neo-corporatist theories. We carry out an analysis of its structural characteristics and of its evolution after the revolution of 1910. Our aim by doing so is to distinguish the corporatist elements from the neo-corporatist ones un the entire political system in order to verify our central hypothesis: the mexican political system can be defined as a system based on corporatist and neo-corporatist elements; the political crisis the country has been going through since the beginning of the eighties reflects a wearing out of corporatist structure
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Oliveira, Chaia Rômulo. "La réforme de l'État : administration et politique au Brésil." Bordeaux 4, 1999. http://www.theses.fr/1999BOR40027.

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Abstract:
Cette thèse porte sur la transition politique bresilienne, c'est-a-dire le passage d'un pouvoir autoritaire a un gouvernement civil et democratique (1974-1985). Elle prend en consideration les interets et les ideologies des investisseurs prives nationaux, lies a ceux etrangers qui, selon l'evangile de la privatisation, donnent priorite a la liberalisation du marche bresilien. Cela veut dire que nous ne nous arretons pas a un gouvernement en particulier. Mais a tous ceux pour qui le travail l'exige, en les replacant dans leur contexte. En d'autres termes, il s'agit d'une etude du bresil contemporain ou l'etat a cesse de financer les investissements publics, et ouvert le marche. Cela correspond a un besoin de modernisation des structures du pays, pour le rendre capable d'accueillir les investissements internationaux et entrer dans le nouvel ordre mondial, a l'epoque de la troisieme revolution industrielle. Mais nous nous interessons aussi a la phase la plus obscure que le pays ait connu au cours de son histoire, a savoir l'autoritarisme militaire. Nous etudions la mobilisation des elites politiques et financieres a l'interieur de la machine d'etat, y compris de la federation, surtout a partir des annees 30. Elles sont considerees comme etant les principaux acteurs de la societe dans le processus d'ouverture du pays a la liberalisation commerciale. Le referentiel theorique retenu dans cette these s'accorde a l'idee d'une proposition d'une reforme de l'etat et du role joue par les elites locales dans ce processus. Les elements d'explication autour de cette question sont lies aux aspects politiques, institutionnels et economiques du pays. On prend en consideration la participation et l'influence des elites dans le processus de decision strategique de l'etat et la liberalisation de son marche interieur, en cernant les elements qui font vivre a ce pays les difficultes actuelles, et qui sont liees a son anachronisme structurel<br>This thesis is a study about the political brazilian transition, from the passage of the autoritarian gouvernment to the democratic one (1974-1985). We consider the interests and the ideologies of the national private investors, wich are connected to foreign ones that follow the privatisation evangile, wich wants the liberalisation of the brazilian market. It means that we do not stay attached to one specifical gouvernement in particular,instead several gouvernements are studied in the mesure that the work requires in order to their context. In others words, it is a study of the contemporary brazil, when the state stops to finance the public investments, giving the place to an open market. The advent of an open market asks for a modernisation of the ancient structures of the country, in order to be able to receive the international investments and to enter in the new order era, in the era of the third industrial revolution. But we are also interested in the most obscur phase that political brazilian system had lived during a moment of its history : the military autoritarism. In this context, we take into consideration the movement of the political and financial elites in the interior of the state's machine, including the federation, mainly after 1930's years. These elites are seen as the principal actors ol the society in the process of political opening of the country to commercial liberalization. The theoretical reference analysed in this thesis corresponds to the ideas that are accorded the best to the proposition of a stale reform, and to the role of the national elites in this process. The explicative elements that turns around this question are adapted to the political, economical and institutional aspects of the country. We also consider the participation and the influency of these elites in the process of strategical decision of the slate and the liberalization of its internal market. All the analysis consider current difficulties of the country that are attached to its structural anachronism and its historical past
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Kaval, Musa. "Etude comparative des mouvements islamistes en Turquie, en Iran et en Egypte." Paris 10, 1992. http://www.theses.fr/1992PA100012.

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Abstract:
Les mouvements islamistes, en Turquie, en Iran et en Egypte sont étudiés d'une part, dans la dimension historique et politique des Etats moderne de ces pays, d'autre part, dans une perspective historique et théologique (de l'islam). Ils sont ainsi abordés en tant que forces politico-religieuses opposées à l'ordre établi, base sur une conception laïque ou séculière de l'Etat. Les questions traitées sont notamment : le déclin de l'ordre ancien, le processus de modernisation, de naissance des courants politiques et théologiques contemporains (en Turquie, en Iran et en Egypte). La mise à l'écart de la religion comme support des Etats modernes et l'émergence de l'idée de la création de l'Etat islamique, les facteurs d'apparition et de renforcement des mouvements islamistes ; le problème d'identité et de référence ; la conception de l'homme et de la liberté; la souveraineté et le régime valable selon ces mouvements et leur modalités d'action et d'organisation. La démarche suivie dans cette étude est d'établir les ressemblances qui réunissent ces mouvements et les différences qui les séparent<br>Islamic movements in Turkey, Iran and Egypt are studied on the one hand in terms of the historical and political dimension of the modern of these countries and on the other hand through a historical and theological (Islamic) perspective. They are tms addressed as politico-religions forces opposed to the established order, based on a lay or secular conception of the state. The questions treated are principally the following : the decline of the old order, the process of modernization, but of contemporary political and ideological trends (in turkey, Iran and Egypt), the holding back of religion as support for modern states and the emergence of the idea of the creation of the Islamic state, factors in the appearance and reinforcement of Islamic movements, the problem of identity and reference; the conception of man and liberty; legitimate sovereignty and regime in accordance with these movements and their forms of action and organization. The approach taken is this study is to establish the similarities which unify these movements and the differences which separate them
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Torres, Parés Javier. "Solidarité et conflit : le parti libéral mexicain dans les relations entre le mouvement ouvrier du Mexique et celui des Etats-Unis : 1900-1923." Paris, EHESS, 1985. http://www.theses.fr/1985EHES0011.

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1

Derriennic, Jean-Pierre. Nationalisme et Démocratie: Réflexion sur les illusions des indépendantistes québécois. Boréal, 1995.

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2

Démocraties, régimes autoritaires et totalitarismes de 1900 à nos jours: Pour une histoire politique comparée du monde développé. 4th ed. Hachette supérieur, 2013.

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3

Argyle, Ray. Turning points: The campaigns that changed Canada : 2004 and before. White Knight Publications, 2004.

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4

Pray TV: Televangelism in America. Routledge, 1990.

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5

James, Ferguson. Grenada: Revolution in reverse. Latin America Bureau (Research and Action), 1990.

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6

America transformed: Sixty years of revolutionary change, 1941-2001. Cambridge University Press, 2008.

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7

Greenberg, Cheryl Lynn. "Or does it explode?": Black Harlem in the Great Depression. Oxford University Press, 1991.

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8

Or does it explode?: Black Harlem in the Great Depression. Oxford University Press, 1997.

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9

This blessed plot: Britain and Europe from Churchill to Blair. Macmillan, 1998.

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10

Young, Hugo. This blessed plot: Britain and Europe from Churchill to Blair. Macmillan, 1998.

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