Academic literature on the topic 'Politique forestière – Cameroun'

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Journal articles on the topic "Politique forestière – Cameroun"

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Sangué-Fotso, Robert. "La gestion des parties prenantes dans le cadre d'une politique RSE dans le secteur de l’exploitation forestière au Cameroun : le cas des PME." Mondes en développement 193, no. 1 (March 23, 2021): 69–88. http://dx.doi.org/10.3917/med.193.0073.

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Copet-Rougier, Elisabeth. "Du Clan à la chefferie dans l'est du Cameroun." Africa 57, no. 3 (July 1987): 345–63. http://dx.doi.org/10.2307/1160718.

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Abstract:
IntroductionLes sociétés gbaya et mkako de l'Est-Cameroun constituent une frontière entre deux mondes. Les Mkako sont à la limite bantoue du nord-ouest du bassin congolais tandis que les Gbaya représentent le monde oubanguien dans les savanes à galeries forestières. Qualifiées autrefois d'anarchiques, ces sociétés partagent des caractéristiques communes: acéphales, dénuées de pouvoir politique centralisé, de règies de succession relatives au rôle de leader, sans hiérarchie lignagère ni organisation segmentaire, sans toujours de référence au territoire, elles reposent sur une organisation patriclanique caractérisée par la fluidité des unités sociales dans une disposition où le clan ne constitue pas toujours à proprement parler un groupe «corporate». Enfin, l'un de leurs traits marquant réside dans l'antagonisme entre l'idéologie égalitaire sans cesse affirmée et la compétition des homines importants, ou bien l'émergence de leaders, qui se fondent sur des rapports d'inégalité, aussi ténus qu'ils puissent être.
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Mbatu, R. S. "Analysis of the effects of sectoral and subsectoral forces on forest policy related issues: the case of Cameroon's forest policy sector Analyse des effets des forces sectorielles et sous-sectorielles sur les questions liées à la gestion forestière: le cas du secteur de politique forestière au Cameroun Análisis de los efectos de las fuerzas sectoriales y subsectoriales en temas relacionados con la política forestal: el caso del sector de la política forestal del Camerún." International Forestry Review 19, no. 2 (June 1, 2017): 180–91. http://dx.doi.org/10.1505/146554817821255105.

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Kana, Romain, Norbert Sonne, Barthelemy Ondua, Patrick Tadjo, and Benjamin Ondo. "Améliorer la compétitivité du bois de sciage légal en provenance de la zone agroforestière au Cameroun." Afrika Focus 28, no. 2 (February 26, 2015): 63–81. http://dx.doi.org/10.1163/2031356x-02802005.

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Abstract:
Depuis 1997, année d’attribution de la première forêt communautaire au Cameroun, le bois de sciage artisanal, issu des forêts communautaires, a du mal à trouver de la place dans le marché domestique pourtant en pleine expansion. La faible compétitivité de l’offre des forêts communautaires est un des freins importants pour la réduction de la pauvreté en milieu rural telle que souhaitée dans les nouvelles politiques forestières en Afrique Centrale. Le présent article, issu des travaux d’une équipe du Fonds Mondial pour la Nature et des structures partenaires, met en évidence les facteurs explicatifs de la faible compétitivité des forêts communautaires sur le marché domestique et propose en guise de conclusions, quelques stratégies dont la mise en oeuvre permettra à la foresterie communautaire de jouer pleinement son rôle dans l’approvisionnement des marchés domestiques, la gestion durable des ressources agroforestières et la réduction de la pauvreté en milieu rural.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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BRUN-PICARD, Yannick. "ELOUNDOU, André Jules (2016) Les défis de la politique de régénération et d’aménagement forestiers au Cameroun. Paris, L’Harmattan, 204 p. (ISBN 978-2-343-09376-5)." Cahiers de géographie du Québec 61, no. 172 (2017): 136. http://dx.doi.org/10.7202/1042720ar.

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Ngendakumana, S., M. P. Feudjio, S. Speelman, P. A. Minang, S. Namirembe, and P. Van Damme. "Implementing REDD+: learning from forest conservation policy and social safeguards frameworks in Cameroon Mise en œuvre de la REDD+: Leçons apprises des politiques de conservation forestière et des cadres de sauvegardes sociales au Cameroun Implementación de REDD+: aprendizaje de los marcos de políticas de conservación forestal y de salvaguardas sociales en Camerún." International Forestry Review 19, no. 2 (June 1, 2017): 209–23. http://dx.doi.org/10.1505/146554817821255187.

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Dissertations / Theses on the topic "Politique forestière – Cameroun"

1

Linjouom, Ibrahim. "L' évolution de la politique, du droit et de l'administration des forêts au Cameroun." Paris 2, 2008. http://www.theses.fr/2008PA020006.

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Abstract:
Les cadres politiques et institutionnels de la politique forestière au Cameroun ont été marqués par une complexité de l'héritage multiculturel colonial, et ils ont beaucoup évolué dans le temps pour des raisons diverses. L'étude de la formation du droit forestier tropical dans les anciennes colonies, notamment françaises et britanniques a permis d'expliciter les différentes sources du droit forestier institué au Cameroun depuis son origine marquée par les premières directives forestières allemandes instituées en 1900.
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Komon, Jean-Paul. "L'économie du bois au Cameroun : analyse structurelle du secteur forestier et perspectives de son développement." Montpellier 1, 1987. http://www.theses.fr/1987MON10007.

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Abstract:
Depuis 1973, la politique de developpement de l'economie du bois au cameroun vise trois objectifs : d'abord la promotion des nationaux dans la profession forestiere, ensuite la diversification et le renforcement des moyens de gestion et de valorisation des forets, enfin l'amelioration de la contribution du bois a l'expansion economique nationale. C'est en droite ligne de cette politique que les responsables economiques nationaux ont encourage par le biais de multiples avantages fiscaux et financiers, le developpement d'un secteur national, lequel s'est superpose sur une structure productive totalement dominee par le capital etranger et largement extravertie. Le dualisme et la desarticulation qui caracterisent l'economie du bois au cameroun, ont contribue en grande partie a alterer les resultats du secteur bois et a detourner les entreprises sylvoindustrielles des objectifs definis par le plan. En ce moment, l'avenir immediat de l'economie du bois semble bouche par l'etroitesse du marche local, l'insuffisance des ressources financieres et des infrastructures. La relance de l'activite forestiere en crise suppose d'abord la transformation de la desarticulation par des systemes de production de groupe, ensuite la promotion d'unites de taille appropriee au marche local et enfin l'adaptation de la politique des institutions financieres et administratives aux problemes du secteur bois
Since 1973, the policy for development of timber economy in cameroon comprises three objectives firstly, the promotion of national companies in forestry, secondly the diversification and reinforcement of administrative and forest valorisation methods and finally an improvment in the timber industry's contribution to the expansion of the national economy. As a direct result of this policy, those responsable for the national economy have by means of multiple financial and fiscal advantages encouraged the development of a national forestry sector, which has been superimposed on a production structure completely dominated by foreign capital and for the most part extrovert. The characteristic dualisme and disarticulation of the timber economy. In cameroon, have largely contributed, to the alteration of results in the timber sector and to the "sylvoindustrial" companies diversion from the objectives specified in the project. Now the future of the timber economy seems blocked by the narrow local market and insufficient infrastructures and financial resources. The revival of foresting activities would require a transformation of disarticulation by means of group production systems, the promotion of units whos size would be relative to the local market and the adjustement of financial and administrative institutions to the problems to timber sector
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Tonye, Daniel. "Évaluation de l'impact de la gestion des forêts communautaires au Cameroun." Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25188/25188.pdf.

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Abstract:
Depuis plus d’une décennie, le Cameroun implique dans sa politique forestière, les populations locales dans la conservation et la gestion durable des ressources forestières nationales et la lutte contre la pauvreté. Si le processus de foresterie communautaire (FC) est porteur d’espoir pour certains, il crée des soucis à d’autres à cause des difficultés liées à sa mise en application sur le terrain. L'objectif général de cette étude était d’intégrer les organisations paysannes à l’évaluation de l'impact des forêts communautaires sur les conditions de vie des populations locales au Cameroun. Les résultats d’études précédentes et celles issues d'une enquête conduite dans le milieu d’étude ont fourni une meilleure connaissance de la situation. L’enquête a été menée pour comprendre les difficultés liées à l'acquisition d'une forêt communautaire et les indicateurs de leur impact sur les conditions de vie des populations. Trente deux (32) organisations paysannes qui possédaient des forêts communautaires, et quatre (4) personnes ressources du Ministère de la Forêt et de la Faune (MINFOF) ont été interviewés. Les résultats ont montré que, la durée d’acquisition d’une forêt communautaire est longue (4 ans) pour la majorité des organisations paysannes (OP) (47 %), et les coûts y relatifs sont élevés, variant entre 10 000 000 FCFA et 19 999 995 FCFA, pour 47% des organismes. Les O.N.G. jouent un rôle clé dans l’accompagnement des OP qui ont établies des comités de gestion dans le processus d'acquisition de forêts communautaires. Tous les organismes interviewés font face à des difficultés à élaborer un plan simple de gestion (PSG). 75 % des répondants ont cité le manque d'expertise et de moyens financiers comme obstacles majeurs dans l'exécution de leur PSG. Des problèmes surgissant au sein des organisations sont résolus par les communautés elles-mêmes, alors que ceux opposant les organisations aux entités externes, le sont par une autorité établie. Une observation importante de notre étude est que, toutes les OP acceptent la décision ministérielle qui limite l'exploitation de la forêt communautaire au niveau artisanal. Notre étude indique aussi que, les PSG influencent les conditions de vie des populations locales. Toutefois, des études ultérieures sont nécessaires pour évaluer l'impact écologique des forêts communautaires au Cameroun.
For more than a decade, Cameroon involves in its forest policy, the local communities in the conservation and the sustainable management of the national forest resources and the struggle against poverty. If the process of community forest is a source of hope for some, it could create worries to others because of the difficulties linked to its implementation. The general objective of this study was to integrate the local organizations into the evaluation of the impact of community forest management on the living conditions of local communities in Cameroon. Results of previous studies and a survey conducted in the country revealed clues knowledge of the situation. The survey was conducted to understand the difficulties linked with the acquisition of a community forest and the indicators of their impact on the living conditions of the populations. Thirty two farmers’ organizations which owned communities forests, and four resource persons of the Ministry of forest and fauna (MINFOF) were interviewed. Results showed that, the duration needed to acquire a community forest is long (4 years) for the majority of the organizations (47 %), and the related costs were high, varying between 10 000 000 fcfa and 19 999 995 fcfa, for 47% of the organizations. NGOs played key role in accompanying the organizations who have an established management comity in the process of community forest acquisition. All the interviewed organizations faced difficulties in elaborating their simple management program (SMP). Seventy five per cent (75 %) of the referees quoted the lack of expertise and financial means as main obstacles in the execution of their SMP. Problems rising within the organization are solved by the communities themselves, while those opposing the organizations and external entities are solved through an established authority. A major observation of our study is that, all the organizations agree with the ministerial decision to limit the exploitation of community forest to an artisanal one. Our study reveals also that, SMP has effects on the living conditions of the local communities. But, subsequent studies are necessary to investigate the ecological impact of community forest in Cameroon.
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Nlend, V. Georges Boniface. "Analyse sociologique des causes de la marginalisation des communautés locales et examen des conditions et conséquences de leur capacitation dans la gouvernance forestière au Cameroun." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/33430.

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Abstract:
La plupart des travaux réalisés depuis une vingtaine d’années sur la gouvernance forestière au Cameroun ont [exhaustivement] analysé l’économie forestière camerounaise, en en relevant particulièrement les dimensions problématiques et les aspects dysfonctionnels que Greenpeace (2007) résume en parlant d’un authentique échec. Ces travaux présentent un tableau détaillé qui indique entre autres constats rémanents, que le pouvoir de décision et les compétences de conduite des affaires sont plus que jamais confisqués dans les logiques néo-patrimoniales portées par les autorités étatiques et les élites, au détriment des populations indigènes et des communautés villageoises dont les diverses incompétences chroniques (intellectuelles, techniques, citoyennes et politiques) sont cependant atténuées par l’action de veille déployée par les organisations de la société civile. Cependant, ces travaux ne produisent pas un cadre général d’explication dans lequel l’ensemble des dysfonctionnements relevés s’articulent et se structurent. C’est cette omission théorique fondamentale de la recherche que vise à combler la présente thèse consacrée à l’analyse sociologique des causes de la marginalisation des communautés locales dans la gouvernance forestière au Cameroun, notamment à travers l’opérationnalisation d’une perspective d’explication socio-historique et d’une approche conceptuelle qui s’inscrivent dans la profondeur de la théorie critique et de l’économie politique. En effet, le souci de cette thèse –non monographique et essentiellement théorique –est de débusquer les logiques opératoires incarnées par les différents Régimes des forêts qui ont été pratiqués au Cameroun depuis l’époque coloniale allemande jusqu’à la Réforme dite environnementale et participative de 1994, avec l’objectif d’identifier les déterminants sous-jacents qui structurent la marginalité endémique des communautés locales, tout en favorisant aujourd’hui l’éclosion de dynamiques non étatiques de capacitation des communautés villageoises. Construite sur le concept de “contraintes structurelles”, notre thèse suggère une analyse novatrice dont la préoccupation est de proposer une explication générale des “trends séculaires” (Immanuel Wallerstein, 2000) qui soutendent l’exploitation industrielle des ressources forestières telle qu’elle s’est déployée jusqu’ici dans la modernité politique camerounaise. De l’analyse des données, il apparait qu’au regard du passage factice du régime colonial de la collectivité politique camerounaise au statut d’État indépendant, l’ouverture de l’activité industrielle forestière aux indigènes n’a jamais été concluante, notamment à cause de la rupture paradigmatique manifestée par l’irruption d’une modernité capitaliste dont les indigènes n’avaient jamais ni élaboré le projet, ni tenu les leviers opérationnels, autrement dit de l’opposition structurelle originaire qui plaçait la propriété des institutions, du pouvoir, du capital, bref toute la structure de l’économie forestière capitaliste et tout le système de la production forestière industrielle aux mains des Européens et des élites indigènes qui leur succèdent. En d’autres termes, la manifestation de dysfonctionnements irréductibles –dont la marginalisation des communautés villageoises semble être l’une des expressions les plus emblématiques –dans la mise en oeuvre des réformes trouve ultimement son explication dans l’abstraction historique des réformes du contexte dans lequel elles sont destinées à s’appliquer. Fondée sur la réflexivité critique et développée en examinant la structure de déploiement de l’histoire, l’originalité de notre thèse est de proposer une démarche radicale d’analyse de ce phénomène constamment établi par la littérature scientifique des vingt dernières années, en en révélant sa structuration complexe ainsi que son articulation à l’historicité problématique de la collectivité politique africaine moderne. En effet, à cause du caractère total de la violence coloniale et des conditions exogènes de naissance de l’État africain moderne, mais également de la cristallisation des modes arbitraires de conduite des affaires publiques et de gestion des ressources collectives et de l’enracinement structurel de la corruption, l’exploitation industrielle de la forêt va se déployer au détriment de la biodiversité et des systèmes écologiques, et surtout sur l’exclusion des communautés indigènes qui, au-delà de la profonde déstabilisation dont elles sont victimes du rapport colonial et capitaliste à la forêt, ne bénéficient d’aucune retombée substantielle et durable, tant sur le plan politique et de la participation citoyenne que sur le plan de la viabilité matérielle et des conditions socio-économiques de vie.
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Awono, Abdon. "Enjeux et dynamiques de l’exploitation des Produits Forestiers Non-Ligneux au Cameroun." Thesis, Montpellier 3, 2016. http://www.theses.fr/2016MON30053.

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Abstract:
Les produits forestiers non ligneux constituent l’une des richesses des écosystèmes forestiers du Bassin du Congo. A ce titre, nombre de chercheurs y ont vu un gage de lutte contre la pauvreté parce que capables de relancer la croissance à travers les revenus, l’alimentation et la santé dont ces produits sont tributaires. La crise économique des années 1980 qui a durement frappé la plupart des pays de la région, a également contribué à renforcer cette confiance dans le rôle économique des PFNL. Avec la crise, l’agriculture ne pouvait plus être la seule référence lorsqu’il s’agissait d’assurer les revenus des ménages. En fait, les chocs économiques successifs des années 1980 s’étant traduits par la baisse du pouvoir d’achat des ménages face aux effets conjugués de la chute brutale des produits de base tels le cacao, le café et la banane d’une part et la dévaluation du franc CFA en 1994 d’autre part, les populations se sont ruées sur des sources de revenus alternatives. L’exploitation plus intensive des PFNL s’inscrit dans cette dynamique. Au plan environnemental, de nombreux auteurs ont affirmé que, contrairement au bois, l’exploitation des PFNL aurait pour effet de retarder la conversion des forêts tropicales, grâce à son impact faible et surtout la volonté des populations à les conserver en connaissance de cause. Aussi, plus de deux décennies après, il y a lieu de se demander si ce mouvement des populations vers les PFNL a produits tous les effets escomptés. En d’autres termes, les PFNL ont-ils comblé les attentes des populations par rapport à la lutte contre la pauvreté et la création d’emplois en Afrique centrale ? L’objectif général de cette étude consiste à évaluer la contribution effective des PFNL à l’économie des ménages et l’impact de leur gestion sur l’environnement, en se limitant au Bassin du Congo et en insistant sur les expériences conduites dans la région au cours des 2-3 dernières décennies
The involvement of rural people in forest management is determinant in sustainable management of forests. These people are relying on forest products, especially Non timber forest products they have been collecting for centuries. A good understanding of the valuing conditions of these products is essential in the Congo Basin. The implication of the private sector in adding value to NTFP is another challenge that will be analyzed in my thesis. By giving more attention to NTFP we create the conditions of equity in forest management. Overall the work attached to this thesis is important for sustainable forest management in Cameroon. Many articles, books and book chapters were published on the issue and number of presentations has been given during international conferences related to forests
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Viard-Crétat, Aurore. "La déforestation évitée : socio-anthropologie d'un nouvel « or vert » : entre lutte contre le changement climatique et aide au développement, du laboratoire guyanais à l'expertise forestière au Cameroun." Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0148.

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Abstract:
Fondé sur l'idée de lutter contre la déforestation par des compensations financières via les marchés carbone, le dispositif Redd+ a généré une nébuleuse d'initiatives de préparation. Ma thèse croise une approche d'études sociales des sciences et l'anthropologie du développement pour interroger les dynamiques qui sous-tendent ce succès diplomatique. Premièrement, une généalogie de la question forestière comme problème global décrit les racines politiques et techniques du paysage institutionnel actuel et du cadrage opéré par le Redd +. Puis une étude multi-sites analyse les enjeux récents du Redd+ à la lumière des réseaux transnationaux d'expertise et des métrologies, dispositifs matériels, standards administratifs, technologies sociales et registres discursifs qui les accompagnent. Les pratiques de quantification du carbone forestier en Guyane sont examinées pour mettre à jour les enchevêtrements matériels, sociaux et politiques entre recherche scientifique et coopération internationale. Le processus complexe de préparation du Cameroun en vue d'un programme de la Banque mondiale montre ensuite le décalage entre la rhétorique d'innovation et les facteurs d'enrôlement d'acteurs et d'institutions aux priorités divergentes. Finalement, on analyse l'articulation entre d'une part, l'imbrication des pratiques de savoirs dans les enjeux politiques du développement, et d'autre part, leur rôle paradoxal de dépolitisation de ces enjeux. Plus qu'un outil innovant, le Redd+ apparaît comme une promesse dont le succès repose sur sa capacité à renouveler le système d'aide, tout en ancrant l'économie verte comme principal projet de réconciliation entre environnement et développement
Redd+ scheme is based on the idea to reduce deforestation through financial compensation originating from the carbon markets. It has entailed numerous readiness initiatives, renewing the international forest agenda. This thesis combines social studies of sciences and anthropology of development to address the dynamics that underpin this diplomatic success. A genealogical approach to the structuration of forest as a global problem describes the political and technical roots of the current institutional landscape and of the framing that the Redd+ scheme promotes. A multisite study then analyses present-day stakes in relation with transnational networks of expertise and metrologies, material devices, administrative standards, social technologies and discursive registers they rely on. Forest carbon quantifying practices in French Guiana are investigated to highlight the complex material, social and political links existing between the scientific research and international cooperation issues. Cameroon's intricate process to access World Bank funding emphasizes the discrepancy between the rhetoric of innovation promoting Redd+ and the constraints and incentives that make diverse actors engage with this scheme. Eventually, we show how knowledge practices are embedded in political issues pertaining to development, while also depoliticising those issues. More than an innovative tool to fight deforestation and climate change, Redd+ can be seen as a promise, the success of which relies on its capacity to renew the global development apparatus, while entrenching the green economy as the main political project to reconcile development and environment
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Robillard, Marine. "Pygmées Baka et voisins dans la tourmente des politiques environnementales en Afrique centrale." Phd thesis, Museum national d'histoire naturelle - MNHN PARIS, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00863420.

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Abstract:
Dans le bassin du Congo, la forêt n'est plus uniquement aujourd'hui le territoire des populations forestières ancestrales. Ceux-ci partagent l'espace forestier avec une multitude d'autres acteurs : exploitants forestiers, sociétés de safari, ONG de conservation de la biodiversité ou de défense des populations autochtones... Si les regards et les représentations sur la forêt sont différents, parfois antagonistes, tous ces acteurs sont amenés à gérer ensemble les ressources et les territoires d'une forêt devenue plurielle sous l'injonction des instances internationales et des nouvelles préoccupations mondiales. Ce travail brosse le portrait d'une zone forestière dans la complexité de ses composantes et de ses changements dynamiques. Il met en évidence comment les nouvelles modalités de gouvernance imposée, en dépit de leur normativité, s'hybrident avec les formes locales de gouvernance et produisent des effets inattendus.
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Singer, Benjamin. "Putting the national back in forest-related policies : the international forests regime and the evolution of policies in Brazil, Cameroon and Indonesia." Paris, Institut d'études politiques, 2009. http://www.theses.fr/2009IEPP0024.

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Abstract:
La relation entre le régime forestier international (RFI) et les politiques affectant les forêts (PAF) est une question souvent posée dans la gestion des forêts tropicales, mais l'absence de recherche rigoureuse à ce sujet a donné lieu à un certain nombre de conceptions erronées quant à l'influence que l'un porte sur l'autre. Cette étude tente d'analyser cette question en se basant sur 12 cas d'étude dans 3 pays (Brésil, Cameroun et Indonésie) et selon la perspective des politiques publiques. Un survol du RFI montre sa pluralité et son caractère fragmentaire. Il est composé à la fois d'éléments formels, notamment les négociations et les quelques accords été obtenus, et d'éléments informels, à savoir les principes de gestion forestière. Quant aux PAF brésiliennes, camerounaises et indonésiennes, elles ont beaucoup évolué sur les 4 dernières décennies mais de manière différente selon le cas d'étude, la période et le secteur. Afin de faire la lumière sur les mécanismes qui sous-tendent ces variations dans le changement, un nouvel outil théorique est élaboré pour expliquer l'évolution des politiques étudiées et qui se base sur un nouveau concept, celui de projection de réseau. Ce dernier se définit comme la perception qu'ont les acteurs des réseaux d'action publique qui les entourent telles qu'ils les voient ou voudraient les voir. Cette approche nous permet non seulement d'expliquer les changements observés, mais aussi de montrer (i) que le rôle de la sphère nationale reste prépondérante dans l'évolution des PAF et (ii) que ce sont les composantes informelles du RFI (les principes de gestion forestière) qui ont influencé les PAF de manière la plus importante
The relationship between the International Forests Regime (IFR) and Forest-Related Policies (FRPs) is a frequently studied issue in forest management, but the lack of rigorous research on the subject has given rise to a number of erroneous assumptions about the influence of one on the other. This study looks at this question by focusing on 12 case-studies in 3 countries (Brazil, Cameroon and Indonesia) from a public policy perspective. An overview of the IFR shows its plurality and fragmentary character. It is composed of both formal elements (negotiations and the few agreements that have been reached) and informal elements (namely forest management principles). As for Brazilian, Cameroonian and Indonesian FRPs, they have all evolved considerably over the past four decades but change varies according to the case-study, period covered and the sector. In order to shed light on the mechanisms that underlie these variations in change, a new theoretical tool is established to account for the evolution of policies studied and is based on a new concept, that of network projections. These may be defined as the perception that actors have of policy networks that surround them as they see them or wish to see them. This approach not only allows us to explain changes observed, but also show (i) that the role of the national sphere remains the main source of change in FRPs, and (ii) that within the IFR it is informal components (i. E. , forest management principles) that have most influenced FRPs
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Book chapters on the topic "Politique forestière – Cameroun"

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Kam Yogo, Emmanuel D., and Oliver C. Ruppel. "CHAPITRE 21 : ELEMENTS D’INTRODUCTION AU DROIT FORESTIER CAMEROUNAIS." In Environmental law and policy in Cameroon - Towards making Africa the tree of life | Droit et politique de l'environnement au Cameroun - Afin de faire de l'Afrique l'arbre de vie, 476–501. Nomos Verlagsgesellschaft mbH & Co. KG, 2018. http://dx.doi.org/10.5771/9783845294360-477.

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