Academic literature on the topic 'Politique forestière – Madagascar'

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Journal articles on the topic "Politique forestière – Madagascar"

1

Bertrand, A., S. Aubert, P. Montagne, AC Lohanivo, and MH Razafintsalama. "Madagascar, politique forestière : Bilan 1990 – 2013 et propositions." Madagascar Conservation & Development 9, no. 1 (June 30, 2014): 20. http://dx.doi.org/10.4314/mcd.v9i1.4.

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Tassin, Jacques. "Jusqu'où planter des arbres ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 338 (February 11, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.338.a31683.

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Abstract:
Le rôle global des arbres dans la régulation des flux, hydriques ou atmosphériques, en particulier dans la séquestration de carbone, est aujourd’hui scientifiquement acquis et ne saurait plus être remis en cause. Il n’en reste pas moins que la traduction contemporaine de ce constat en vastes programmes de plantations forestières mérite d’être questionnée et évaluée, d’autant que leurs effets futurs sur la fixation de carbone restent eux-mêmes à connaître et quantifier.Plusieurs études publiées au cours de l’année 2018 explorent en particulier les limites de la panacée du reboisement dans les zones de parcours, notamment dans les zones sèches.La toute dernière en date, sous la plume de Diana Davis et Paul Robbins, deux grands noms de la political ecology, montre dans quelle mesure le reboisement obéit encore parfois à des préceptes instaurés durant l’époque coloniale et demeurés vivaces. Par exemple, la notion de« taux de boisement national », création de l’école forestière française de Nancy, et dont la valeur est invariablement fixée à 30-33 %, s’avère une projection de statistiques établies en Europe au début du XIXe siècle. La démonstration était simple : une colonie ne pouvait devenir civilisée que si sa couverture forestière acquérait le même taux que sur le continent considéré comme référence civilisationnelle. Les auteurs montrent combien cette norme statistique, d’abord appliquée aux colonies du Maghreb, s’est diffusée en Asie méridionale, mais aussi en Indonésie, au Viêt Nam, à Madagascar ou au Nigeria.L’application de normes statistiques similaires conduit à établir des plantations forestières dans des sites qui ne sont pas nécessairement appropriés au plan écologique. Il apparaît tout particulièrement que, d’un point de vue écologique, certaines zones géographiques, notamment les espaces de pâturage libre, qui représentent près de la moitié des espaces terrestres, ne gagnent pas forcément à être reboisées. Le pastoralisme extensif en zones sèches apparaît aujourd’hui, aux yeux d’un nombre croissant d’auteurs, comme un mode d’exploitation durable, écologiquement approprié. En recourant à des simulations numériques bioclimatiques, Chris Brierley et ses collègues émettent même l’hypothèse que le pastoralisme, intrinsèquement flexible et ajusté aux variations climatiques, pourrait avoir retardé de plusieurs siècles la désertification de la zone, jadis verte, du Sahara.Cette hypothèse est-elle si farfelue ? Dans certains pays, les espaces pastoraux, sait-on aujourd’hui, stockent globalement autant de carbone que les forêts. C’est notamment le cas de la Californie, comme l’évoquent Pawlok Dass et ses collaborateurs. Or, n’oublient pas de mentionner ces mêmes auteurs, ces terres de parcours représentent un puits de carbone plus résilient que les forêts. Elles souffrent en effet moins durablement des incendies ou des épisodes de sécheresse ou de chaleur extrême. Dans les zones sèches en particulier, la végétation des terres de parcours s’accommode beaucoup mieux que les forêts de la variabilité climatique.Sans aller jusqu’à évoquer une tyrannie de l’arbre, ce qui nous semblerait abusif, l’hybride technico-politique que représente le reboisement à l’échelle gouvernementale gagnerait à être davantage envisagé selon ses deux facettes. Il serait regrettable qu’aux échelles locales comme aux échelles globales l’application forcenée de principes trop exclusivement inhérents aux approches forestières, grandes alliées du contrôle de l’État sur les terres qu’il administre, se traduise par des effets négatifs, tant socio-économiques qu’écologiques.S’agissant tout particulièrement des opérations de reboisement dans les terres de parcours en zone sèche, il semblerait que la controverse ne fasse que commencer.
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Razafintsalama, Voahiraniaina, Tahiana Ramananantoandro, Christophe Belloncle, Gabrielle L. Rajoelison, and Jean-Pierre Sorg. "Utilisations villageoises et potentialités technologiques des bois de forêts secondaires dans le Menabe central, Madagascar." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 320, no. 320 (March 17, 2014): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.320.a20544.

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Abstract:
Les forêts secondaires sont actuellement des composantes importantes de nom- breux paysages forestiers. Dans le Menabe central, au Sud-Ouest de Madagascar, la valorisation des forêts secondaires permet de mieux assurer le maintien des forêts pri- maires qui ont tendance à se raréfier et qui sont actuellement intégrées dans un sys- tème de gestion plus stricte à travers la mise en place d’une aire protégée. Cette étude a été menée pour mieux connaître les utilisations villageoises et les potentialités des forêts secondaires dans la région du Menabe. L’approche socio-économique a permis d’identifier trois types d’utilisations des bois prélevés dans les forêts secon- daires : les constructions permanentes, les constructions légères et les sources d’éner- gie. Trois espèces de forêts secondaires ont été identifiées comme prioritaires dans les choix des villageois : Rhopalocarpus luci- dus, Ziziphus mauritiana et Grewia picta. L’analyse des caractères physico-méca- niques des bois de ces trois espèces a mis en évidence des propriétés technologiques intéressantes, comparables aux quatre espèces de référence devenues rares ou absentes dans leur zone de prélèvement : Hernandia voyroni, Dalbergia spp., Cedre- lopsis grevei, Commiphora mafaiboa. Ces forêts secondaires méritent désormais d’être prises en compte et valorisées dans le cadre des politiques de gestion forestière au niveau national et international pour assurer leur durabilité.
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Bergeret, Anne. "Discours et politiques forestières coloniales en Afrique et à Madagascar." Revue française d'histoire d'outre-mer 80, no. 298 (1993): 23–47. http://dx.doi.org/10.3406/outre.1993.3080.

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Montagne, Pierre, and Bruno Ramamonjisoa. "Politiques forestières à Madagascar entre répression et autonomie des acteurs." Économie rurale, no. 294-295 (November 1, 2006): 9–26. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.894.

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Rives, Fanny. "Bilan et perspectives d'ajustement pour les politiques de décentralisation de la gestion des forêts sèches à Madagascar et au Niger." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 320, no. 320 (March 17, 2014): 97. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.320.a20548.

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Abstract:
À Madagascar, les politiques de lutte contre la déforestation évoluent voire se confrontent au cours du temps. Dans les années 1990, les bilans des approches passées ont conduit à s’orienter vers une décentralisation de la gestion des forêts. Après quinze années d’existence, l’effet de ces politiques au niveau local a été analysé afin d’évaluer les opportunités et les contraintes offertes par ces réformes pour la gestion des forêts et pour le déve- loppement des populations rurales. Cette analyse a été mise en perspective avec une étude de cas au Niger. Les résultats en sont présentés succinctement. Les politiques de décentralisation sont analy- sées comme une stratégie pour faire face à un diagnostic de dégradation des forêts qui peut être assimilé à un diagnostic de vulnérabilité. Ces politiques se sont focali- sées sur le bois énergie, considéré comme usage principal des forêts. Cependant, la mise en œuvre de ces politiques au niveau local a entraîné des changements sur d’autres usages des écosystèmes fores- tiers en raison des interactions entre ces usages. L’article propose des pistes de réflexions pour un ajustement des poli- tiques de décentralisation de la gestion des forêts à Madagascar et au Niger. Ces pistes consistent à intégrer la diversité des usages forestiers dans la mise en œuvre des transferts de gestion et à déve- lopper une gestion adaptative qui émerge d’une interaction entre acteurs établie très en amont dans les processus de transfert de gestion.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Razafindrabe, Alexandra. "Politiques forestières et « bonne gestion » des ressources : le cas de Madagascar." Éthique publique, no. 17, n° 2 (September 1, 2015). http://dx.doi.org/10.4000/ethiquepublique.2324.

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Lavigne Delville, Philippe. "Gérard Buttoud, La forêt et l'Etat en Afrique sèche et à Madagascar : changer de politiques forestières, Paris, Karthala, 1995, 247 p." Bulletin de l’APAD, no. 11 (May 1, 1996). http://dx.doi.org/10.4000/apad.931.

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Dissertations / Theses on the topic "Politique forestière – Madagascar"

1

Rakotovao, Heriniaina Andriananja. "Gouvernance des ressources forestières et aide à la délibération : le cas de la gestion forestière de Manjakatompo." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2006. http://www.theses.fr/2006VERS022S.

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Abstract:
Dans cette thèse, nous montrons que, sous certaines conditions, la gouvernance communautaire et participative constitue une voie intéressante pour préserver la forêt malgache et instaurer un développement durable à l’échelle locale. L’une de ces conditions préalables est l’existence d’un système d’apprentissage social offrant aux acteurs la possibilitéde partager leurs expériences dans un processus de communication. A Madagascar, le dernier bilan de l’évaluation des transferts de gestion fait état d’un déficit de communication entre les parties prenantes et d’une faible organisation des communautés locales. Ce constat justifie le recours à une médiation des connaissances qui peut renforcer les capacités des parties prenantes à mener une action collective. Dans cette optique, nous explorons la pertinence et les limites de la démarche délibérative en termes de gouvernance forestière à travers l’expérimentation d’un outil d’aide à la délibération dénommé : « la matrice de délibération » à Manjakatompo, une région située à 85 km au Sud de la capitale malgache. Il s’agit d’un outil d’évaluation multiacteurs multicritères de scénarios ayant pour vocation d’accompagner les acteurs dans la gouvernance de leurs ressources communes
We argue here that participatory self-governance is a necessary solution to conserve forests in Madagascar and look towards sustainable local development, under certain conditions. One is the existence of a social learning system that provides opportunities for stakeholders to share their experience in a communication process. Last assessment of decentralization of resource management in Madagascar shows that stakeholders lack communication and local communities are weakly organised. This brings us to propose knowledge mediation so as to strengthen actors’ abilities to craft collective action. In this context, we explore the relevance and the limits of deliberative approach in terms of forestry governance through an experimentation of a deliberation support tool called the “deliberation matrix” in Manjakatompo, one region located at 85 km in southern of malagasy capital. It is a multistakeholders multi-criteria appraisal tool of a set of scenarios which aims to guide the stakeholders in governance of their commons resources
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Razafindrabe, Alexandra Malala. "L'analyse de l'impact des politiques forestières. Cas de Madagascar." Thesis, La Réunion, 2015. http://www.theses.fr/2015LARE0010.

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Abstract:
Madagascar est dans cette situation où la difficile gestion des ressources forestières, à cause d'un certain nombre de facteurs liés à la pauvreté des populations, mène à des pertes forestières annuelles considérables. La principale interrogation que nous soulevons dans ce contexte est alors relative à l'impact des politiques forestières qui y sont menées, avec pour objectif d'aboutir à une gestion durable des ressources forestières. Cette thèse de doctorat s'intéresse donc aux effets induits par ces politiques et cherche à savoir si elles répondent réellement aux enjeux posés par le contexte dans lequel elles sont appliquées. Il est donc primordial de définir des modèles d'analyse à plusieurs niveaux, du national au local, de la vision macroéconomique, en passant par le point de vue de l'individu. Pour ce faire, nous utilisons une matrice de comptabilité sociale étendue à l'environnement, une variante de la méthode DEA (data envelopment analysis), un modèle logit, un modèle à équations structurelles avec variables latentes, des séries temporelles et un modèle réduit d'équilibre général calculable. Les principales conclusions sont celles selon lesquelles les acteurs locaux ne sont pas encore suffisamment concernés par la gestion des ressources forestières dont pourtant ils dépendent indéniablement et par ailleurs, les résultats obtenus des politiques restent mitigés, qu'il s’agisse de la politique de taxation ou celle de conservation à laquelle on associe des activités comme l'écotourisme
Madagascar meets a difficult situation regarding forest resources management. Actually, several factors linked to poverty lead to important forest losses each year. In this context, the main question to be tackled with is related to the impact of forest policies implemented in the country, in the aim to achieve a sustainable management in the long run. This thesis deals with the effects involved by these policies and tries to determine whether these policies really give responses to the issues of forest management in Madagascar. Consequently, two points of view have to be taken into consideration: the national one and the local one, through the defintion of macroeconomic and individual models. This analysis uses a social and environmental accounting matrix, the data envelopment analysis method, a logit model, a structural equations model, time series and a reduced computable general equilibrium model. The main conclusions emerging from the studies have given the evidence of the low degree of the Malagasy local actors'involvement in the resources management in spite of their dependence upon it. Besides, empirical results have also shown that all policies are not yet efficient enough
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Aubert, Sigrid. "Gestion patrimoniale et viabilité des politiques forestières à Madagascar : vers le droit à l'environnement ?" Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010321.

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Abstract:
Les forêts "naturelles" de Madagascar sont pourvues d'une diversité biologique considérable et les espèces qu'elles abritent sont pour la plus grande part endémiques. Pourtant ces écosystemes sont grandement menacés. L'état a envisagé de transférer la gestion des ressources naturelles renouvelables aux populations locales afin de promouvoir la viabilité de la gestion des écosystemes. L'option juridique qui semble retenue favorise, au niveau local, l'établissement de systèmes autonomes d'application du droit. Dans ce contexte, la gestion patrimoniale s'offre comme un outil adapté à la complexité issue de la coexistence de systèmes juridiques concurrents encadrant les activités anthropiques sur un même espace de forêt. Cette perspective, loin de restreindre le rôle de l'état, le redéfinit. Maître du jeu, il doit s'efforcer d'établir un climat propice au partage juste et équitable des bénéfices issus de l'exploitation de la biodiversité. Cette thèse entende proposer un modèle conceptuel de l'acquisition et de l'application des connaissances juridiques adapte aux modalités de la gestion patrimoniale des écosystemes forestiers.
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Andriamadison, Haja. "Du problème de la substitution énergétique à la mise en valeur des énergies renouvelables dans les pays en développement : le cas de Madagascar." Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA010010.

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Abstract:
Un des principaux. Obstacles au développement des pays est la mauvaise utilisation des ressources naturelles. Cette constatation semble trouver sa justification dans le cas des pays en développement, et notamment les pays sub-sahariens. A titre d'exemple, nous pouvons citer la surexploitation du bois comme source d'énergie en sachant que ces pays disposent de nombreuses sources d'énergie alternative telle que les énergies renouvelables (l'eau, le soleil, le vent, la biomasse). C'est le cas de Madagascar où les combustibles ligneux (charbon de bois et bois de chauffe) constituent la première source d'énergie (environ 80% de la consommation énergétique totale) alors que le pays subit une crise aigue͏̈ du bois avec une exploitation intensive et irrationnelle de sa forêt. De plus, tout en constituant une opportunité pour les ménages pauvres, la surexploitation du bois à des fins énergétiques participe activement à l'érosion des sols, ce qui est préjudiciable pour un pays dont l'économie est largement dominée par le secteur agricole. L'objectif est de transformer ce cercle vicieux de la dépendance vis-à-vis du bois énergie, en un processus vertueux de production énergétique et cela grâce à l'exploitation des sources d'énergie renouvelable. Ainsi, l'introduction d'une nouvelle méthode de valorisation des énergies traditionnelles permettra d'accroître la compétitivité des énergies renouvelables et de rentabiliser leur exploitation. C'est la notion de "coûtélargi". Une telle démarche servira de base pour. élaborer un processus de substitution énergétique, et constituera pour un pays non producteur de pétrole une nouvelle source de développement durable de son économie.
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Bérard, Marie-Hélène. "Légitimité des normes environnementales et complexité du droit : l'exemple de l'utilisation des Dina dans la gestion locale de la forêt à Madagascar (1996-2006)." Doctoral thesis, Université Laval, 2009. http://hdl.handle.net/20.500.11794/20946.

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Abstract:
En 1996, l'État malgache promulguait la loi 96-025 (loi GELOSE) qui vise à transférer la gestion de certaines ressources naturelles renouvelables aux communautés locales aux moyens de contrats négociés. La stratégie juridique adoptée dans la loi 96-025 est innovatrice à plusieurs égards: elle consiste en une approche de contractualisation du droit, le recours à des médiateurs environnementaux ainsi que l'intégration du droit traditionnel dans le droit étatique. Ce dernier aspect se traduit par l'utilisation du Dina , une convention locale traditionnelle, dans les contrats de . transfert de gestion. Cette intégration des Dina dans la loi 96-025 repose sur le postulat que la dégradation des ressources naturelles est liée à la concurrence sur le terrain de deux systèmes juridiques, l'un moderne et l'autre traditionnel, qui aboutirait à une situation de libre accès. En utilisant les Dina, les ~utorités étatiques prétendent réconcilier le ± légal¿ et le ±légitime¿ et favoriser ainsi une gestion durable de ces ressources. À partir d'une recherche terrain de six mois à Madagascar, qui a permis de réaliser quarante entrevues avec des acteurs privilégiés de la mise en oeuvre de la loi 96-025 et de recueillir trente-deux Dina GELOSE, nous entendons d'abord démontrer que l'utilisation des Dina dans la loi 96-025 n'a pas favorisé une plus grande légitimité des normes environnementales en raison de leur décalage avec les modes de régulation locale, d'une coordination étatique insuffisante de la mise en oeuvre de la loi 96-025 et d'un manque de résonance du développement durable. Dans la deuxième partie de notre thèse, nous nous intéresserons aux conditions de légitimité des normes environnementales dans un contexte juridique pluraliste et marqué par la mondialisation. Privilégiant une approche postmoderne du droit qui s'intéresse au droit étatique en interaction avec le droit local et le droit iritemational, nous proposons trois conditions complémentaires pour construire des règles juridiques légitimes, à savoir, un ancrage local des normes environnementales, une coordination étatique effective de leur mise en oeuvre et enfin, la solidarisation des populations locale's à l'égard des enjeux environnementaux planétaires, tel qu'énoncés par le droit rnternational.
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Rives, Fanny. "Gestion des forêts sèches à Madagascar et au Niger. Vulnérabilité et Fonctions des systèmes socio-écologiques pour comprendre les réformes forestières et leurs effets." Phd thesis, AgroParisTech, 2012. http://pastel.archives-ouvertes.fr/pastel-00809116.

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Abstract:
A Madagascar et au Niger, des politiques de décentralisation de la gestion des ressources naturelles ont émergé dans les années 90. Elles se sont construites en réponse à l'échec des politiques centralisées face à la dégradation des forêts et ont été favorisés par le développement de la reconnaissance à l'international des capacités des acteurs ruraux à gérer leurs forêts. L'application de ces politiques modifie les interactions entre acteurs ruraux et écosystèmes de façon positive et négative. Cette thèse propose un cadre pour analyser les effets attendus et inattendus des réformes forestières sur les forêts et les acteurs ruraux. Ce cadre est appliqué à un cas d'étude à Madagascar et un au Niger, illustrant la décentralisation dans des contextes différents. Le couple humains-écosystèmes forestiers est modélisé comme un système socio-écologique (SES), dont les interactions entre usagers et écosystèmes sont des fonctions du SES. Les politiques forestières sont interprétées comme des stratégies visant à réduire la vulnérabilité des SES. Les résultats montrent que le processus de décentralisation a visé un SES dans lequel une seule fonction, la production de bois énergie, est représentée. Cependant, les systèmes de forêts tropicales sèches sont composés de plusieurs fonctions différentes qui interagissent entre elles. Les nouvelles politiques forestières entrainent l'augmentation de l'expression de certaines des fonctions parmi les 16 identifiées au Niger et les 15 identifiées à Madagascar. Mais elles ont aussi conduit au déclin d'autres fonctions, avec des conséquences pour les acteurs impliqués dans ces fonctions. Pour réduire la vulnérabilité dans les SES des forêts tropicales sèches, des politiques qui intègrent les interactions complexes caractéristiques de ces systèmes doivent être développées.
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Books on the topic "Politique forestière – Madagascar"

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Jigyōdan, Kokusai Kyōryoku. Évaluation des programmes forestiers environnementaux dans le cadre de la mise en œuvre de la politique forestière à Madagascar. Madagascar: Agence japonaise de coopération internationale, 2004.

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Forêts tropicales et mondialisation, les mutations des politiques forestières en Afrique francophone et à Madagascar. Paris, France: L'Harmattan, 2006.

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