Academic literature on the topic 'Pologne – Relations extérieures – Allemagne (Est)'

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Journal articles on the topic "Pologne – Relations extérieures – Allemagne (Est)"

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Kalic, Jovanka. "L'État et l'Église en Serbie au XIIIe siècle." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 46 (2009): 129–37. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0946129k.

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Abstract:
(francuski) Ce texte reprend l'introduction d'une communication pr?sent?e lors de la Conf?rence international organis?e a Belgrad en 2008, sous l'intitule 'La r?ciprocit? serbo-bulgare dans le monde byzantin du XIIIe si?cle'. L'auteur de cette communication observe les rapports entre l'Etat et l'Eglise au sein de la Serbie dans le cadre plus large de la sc?ne internationale au lendemain de la prise de Constantinople (1204) lors de la IVe croisade et durant la longue ?clipse de l'Empire grec byzantin qui se solda par une profonde modification de l'espace des Balkans. Sans avoir jou? un r?le significatif dans l'av?nement m?me de cette politique ? leurs fronti?res, la Serbie et la Bulgarie ont ?t? contraintes de s'y adapter. C'est alors que ces Etats ?tablissent d'intenses relations avec le monde occidental. L'un comme l'autre acc?dent au rang de monarchie gr?ce aux couronnes royales respectivement envoy?es par le pape Innocent III pour la Bulgarie, et Honorius III pour la Serbie (1217). Selon des conceptions de l'?poque, un tel acte ?quivalait ? une reconnaissance politique internationale. S'agissant de la Serbie l'auteur montre toutefois que l'?tablissement de relations soutenues avec le monde occidental, et ce avant tout avec les pays d'Europe centrale (Hongrie, Moravie, Allemagne, Pologne) ?tait d?j? ant?rieur ? 1204. Puis, il en vient a l'observation des rapports entre l'Etat et l'Eglise dans les terres serbes sur les bases des listes recensant les ?v?ch?s de Eglise orthodoxe serbe. Une place importante revient ici aux Notitiae episcopatuum du XIIIe si?cle. Datant de l'?poque de Saint Sava, la plus ancienne liste est conserv?e dans la Collection des actes juridiques du monast?re de Krusedol, alors que la seconde remonte ? l'?poque du roi Stefan Milutin et de l'?v?que Nikodim, soit au debut du XIVe si?cle. Ces listes des ?v?ch?s montrent que l'organisation de l'Eglise suivait le d?veloppement de l'Etat.
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Jewsiewicki, Bogumil. "Pardon." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.112.

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Abstract:
Vingt ans après la deuxième guerre mondiale, en pleine guerre froide, les évêques polonais écrivent, au grand dam de l’État, à leurs homologues allemands « nous pardonnons et demandons pardon ». Depuis, l’usage du pardon dans la politique nationale et internationale est devenu monnaie courante. Presque toujours le pardon est demandé pour les actes commis par des générations précédentes, une démarche entrée dans la culture politique depuis peu. Rappelons à titre d’exemple qu’alors que son père refusait de demander pardon à titre de premier ministre du Canada pour des actes posés par des générations antérieures, Justin Trudeau, l’actuel premier ministre, ne s’en prive pas. Mobilisée dans la résolution des conflits, la démarche de réconciliation incorpore le pardon. Ainsi, cet objet d’étude de la théologie, de la morale, de la religion et de la philosophie est désormais principalement étudié par la science politique. Par l’homologie, le pardon passé de la relation entre Dieu et l’individu aux rapports interpersonnels puis aux rapports entre les communautés et les États, est devenu un objet politique. Le long vingtième siècle occidental, entre les hécatombes des guerres mondiales, l’Holocauste et les génocides, a mis sociétés et individus devant le défi de la reconstruction du social et du politique après l’impardonnable. Hannah Arendt (1958), Jacques Derrida (2001) et Wole Soyinka (2000), mais avant tout femmes et hommes « ordinaires » ont fait face au défi de reconstruire l’humain à la sortie de l’expérience de l’inhumain. “Si cela veut dire que cet homme qui a tué fils, si cela veut dire qu’il redevienne humain afin que nous tous puissions ravoir votre humanité … alors j’accepte » (Krog : emplacement 3486, toutes les traduction sont les miennes, BJ) a déclaré Cynthia Ngewu témoignant lors des audiences de la Commission Vérité et Réconciliation sud-africaine sur l’amnistie. Paul Ricoeur (2000), le plus influent des chercheurs universitaires ayant analysé le pardon dans la perspective d’un vivre-ensemble aux confluents de la philosophie, de l’éthique et de la théologie chrétienne, soutient que le véritable pardon délie « l’agent de son acte ». La culture chrétienne, aujourd’hui largement laïcisée, est un sous-bassement des usages du pardon pour la reconstruction d’un vivre-ensemble. En reconnaissant ce fait, il ne faut pas perdre de vue que le pardon est une préoccupation ancrée non seulement dans les trois grands monothéismes mais aussi dans le bouddhisme, l‘hindouisme et autres systèmes philosophiques ou de croyance en Asie, Océanie, Afrique, etc. Cependant, on ne comprend pas toujours le pardon à l’identique. Son utilisation pour la résolution des conflits ne va pas sans malentendus. Lorsque, pour désengorger son système de justice, l’État rwandais recourt à l’institution locale de gacaca, on est loin de l’apaisement d’un conflit au sein de la communauté d’une colline, l’octroi du pardon ou plus précisément l’acceptation du génocidaire étant conditionnés à la reconnaissance par celui-ci de son crime. Lorsque, dans une société occidentale, on s’inspire de la pratique hawaïenne de ho’opononpono pour la thérapie familiale, les acteurs n’ont ni mêmes attentes, ni même compréhension du pardon. Lorsqu’en 2012, dans la lettre ouverte commune aux nations de Pologne et de Russie, le patriarche Cyrille et l’archevêque Michalik offrent un pardon réciproque, en ont-ils la même compréhension ? La théologie du premier est de tradition grecque, celle de l’autre de tradition latine ? Retrouver l’humain, après l’expérience du génocide, de la colonisation, de l’esclavage peut aussi bien conduire à obéir à l’injonction d’inspiration chrétienne de Desmond Tutu « Pas d’avenir sans pardon » qu’à la réserve de Mahatma Gandhi . « Le faible ne peut pardonner. Le pardon est attribut du fort ». Cependant, pardonner pourrait permettre d’investir, au moins symboliquement, la position de ce dernier ? Est-ce pourquoi la position de Gandhi à l’égard du pardon a évolué ? De toute évidence, la réflexion anthropologique sur le sujet s’impose. Pourtant, les courants dominants de la discipline accordent peu d’intérêt au pardon, à l’exception des publications issues de l’anthropologie juridique, de l’anthropologie de la morale, de l’anthropologie psychologique ou de l’anthropologie des religions. Il se pose donc la question de savoir si la méthodologie de ces dernières leur viendrait de l’éthique ou de la théologie, ce dont manquerait l’anthropologie ? Or, Barbara Cassin trouve dans l’hyperbole de l’offre de pardon « absolu » dans l’Évangile (« le pardon n’est vraiment pardon – perfection du don - que lorsqu’il pardonne l’impardonnable, remet l’imprescriptible… » (2004 : 894), une structure ressemblant à celle du potlatch. Le contre-don perpétue le processus de « dépense » selon Georges Bataille (1967) de même que le don et contre-don de Marcel Mauss (2012). On retrouve cette même structure de relance dans l’offre de pardon « absolue », toujours en avance sur la demande. Dans la tradition nord-américaine de la discipline, Ruth Benedict (1946) offre une autre entrée « anthropologique » au pardon. La honte et la culpabilité seraient deux principes distincts de contrôle social de l’individu, elle s’en sert pour différencier la société japonaise de la société étasunienne. La première valoriserait l’honneur et la fierté alors que la seconde mettrait de l’avant la conscience individuelle. La mondialisation de la culture nord-américaine, aurait porté à l’échelle de la planète la prépondérance de la conscience individuelle et donc l’importance du pardon autant dans les relations interpersonnelles que dans celles entre les corps sociaux. Que ce soit l’entrée par le don ou par la conscience individuelle comme principe de contrôle social, la théologie des religions monothéistes, plus précisément la théologie chrétienne et plus encore la théologie protestante sont mobilisées. Il est donc impossible de conclure sans poser la question de l’universalité du pardon, de son usage qui ne serait pas affecté par le soupçon du prosélytisme chrétien. L’issue de cette réflexion finale devrait permettre de décider si le pardon demeure pour l’essentiel un objet de la théologie ou bien serait également celui de l’anthropologie. Revenons à l’exemple sud-africain, Antije Krog commente ainsi le témoignage de Cynthia Ngewu : « Le pardon chrétien dit : Je vous pardonne puisque Jésus m’a pardonné. (…) Le pardon africain dit : Je vous pardonne afin que vous puissiez et que puisse commencer à guérir ; que nous tous puissions redevenir nous-mêmes comme nous devrions l’être » (…) tous les Sud-Africains noirs formulent le pardon en termes de cette interrelation » (2009 : emplacement 3498 et 3489). Changeons de continent tout en conservant la comparabilité des expériences historiques. Roy L. Brooks (2004) écrit à la même époque que les excuses et les reparation constituent l’expiation laquelle impose États-Unis une réciproque obligation civique de pardonner. Ce pardon permet d’abandonner le ressentiment. Krog et Brooks suggèrent que ce que ce pardon dépasse le cadre de la chrétienté occidentale permettant aux gens de « réinterpréter les concepts occidentaux usés et mis à mal dont le pardon ». (Krog 2009 : emplacement 3494) Barbara Cassin souligne que la conception théologico-politique actuelle établit une hiérarchie entre celui qui pardonne et celui à qui on pardonne. En latin classique, il y a condescendance dans la relation duelle entre le sujet dont relève la décision souveraine d’oublier, d’ignorer, d’amnistier et son bénéficiaire. Les langues européennes en tirent la conception du pardon. Par contre, en Grèce ancienne on pardonnait en comprenant ensemble, en entrant dans la raison de l’autre. Cette horizontalité du pardon a été remplacée par la verticalité du pardon qui relève du politique. À partir des traditions grecques et judéo-chrétiennes, puis en passant par la pensée et les actions de Gandhi, Mandela et Martin Luther King, Martha Nussbaum (2016) se penche sur l’actuelle éthique du pardon. Elle reconnait la légitime colère des victimes laquelle afin de briser la condescendance et ouvrir la voie à l’acceptation du pardon libérée du sentiment de rétribution. Son approche semble répondre à l’expérience des victimes des individus en position d’autorité, crimes longtemps tus au nom de maintien de l’ordre social. Dans les récits d’expériences de la mort et de la vie sous le régime soviétique, dont Svetlana Alexievitch (2016) s’est faite historienne/romancière, le pardon de tradition chrétienne occidentale est absent. Le mot n’est prononcé qu’une seule fois et c’est par une femme soldat soviétique racontant comment en Allemagne conquise un soldat soviétique a tiré sur des civiles. En référence au temps de leur rencontre, les années 1990, elle dit à Alexievitch : « De nouveaux mots ont fait leur apparition : « pitié », « pardon » …Mais comment pardonner ? » (2016 : 394). Dans les récits des Soviétiques rassemblés par Alexievitch, le lecteur de sensibilité latine s’étonne de trouver le « comprendre ensemble » de tradition grecque plutôt que le « pardonner ». Tamara Oumniaguina, brancardière à Stalingrad raconte : « Je traîne notre blessé et je pense : « Est-ce que je retourne chercher l’Allemand, ou non ? » […] J’ai continué à les trainer sous les deux. » […] L’homme n’a qu’un seul cœur, et j’ai toujours pensé à préserver le mien. » (2016 : 412). Au plus profond de l’enfer de la déshumanisation, préserver son humanité c’est aussi permettre à l’agresseur de reconstituer la sienne. L’une étant la condition de l’autre, délier l’agresseur de son inhumanité c’est reconstruire l’humanité entière.
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Dissertations / Theses on the topic "Pologne – Relations extérieures – Allemagne (Est)"

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Juneau, Jean-François. "Entre internationalisme et défense d'intérêts spécifiques : la politique des communistes est-allemands (KPD/SED) à l'égard de la Pologne, 1945-1950." Master's thesis, Université Laval, 2004. http://hdl.handle.net/20.500.11794/17933.

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Keller-Michaux, Astrid. "La Pologne et sa coopération culturelle avec la France et l'Allemagne : la coopération bilatérale et trilatérale de la Pologne avec ces deux pays entre 1990 et 1998." Nancy 2, 2000. http://www.theses.fr/2000NAN21033.

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Abstract:
La présente thèse s'inscrit dans le contexte européen de l'après 1989 et dans la perspective d'adhésion de la Pologne à l'Union européenne ; l'auteur approfondit la question du "retour à l'Europe" de la Pologne, en s'intéressant en particulier aux nouvelles relations culturelles qu'elle développe depuis 1990 avec l'Allemagne et la France, au niveau bilatéral comme dans le cadre du Triangle de Weimar, coopération politique qui s'est instaurée entre ces trois pays à partir de 1991 et qui s'est élargie à d'autres domaines, notamment culturel et éducatif. Le thème central de la thèse, la culture en Pologne, est tout d'abord étudié d'un point de vue historique, politique, social et identitaire. La problématique de la coopération culturelle bilatérale et trilatérale complète l'étude sur la culture en Pologne, et impose à l'auteur de se pencher sur plusieurs disciplines, historique, politico-économique et sociologique, afin de mettre en lumière les réelles motivations et les enjeux de celle-ci. En effet, le passé non seulement permet de mieux comprendre l'état actuel des relations et la perception sociale des trois pays, mais aussi, de mesurer les enjeux du Triangle de Weimar, en terme politique et en terme socio-culturel. En étudiant l'évolution des représentations sociales et culturelles, l'auteur insiste sur l'effort qu'il reste à faire, dans les pays occidentaux tels qu'en France et en Allemagne, pour favoriser une meilleure connaissance sur et de la Pologne et des pays d'Europe Centrale. L'étude des présences culturelles et linguistiques de la France et de l'Allemagne en Pologne montre d'autre part des divergences dans la conception qu'ont ces deux nations de la culture, mais révèlent également que les instruments des politiques culturelles concourent à faire émerger des sentiments positifs, à favoriser l'apprentissage des langues étrangères et à redonner à l'Europe un visage plus humain
This thesis is grounded in the context of post-'89 Europe and in anticipation of Poland's accession to the European Union. The thesis examines Poland's "return to Europe", in particular the new cultural relations it has developed since 1990 with Germany and France. The thesis also explores the political cooperation that the three countries have undertaken both bilaterally and trilaterally within the Weimar Triangle framework since 1991, and which has grown to include other spheres, notably cultural and educational. The thesis' central theme, that of culture in Poland, is initially examined from historical, political, social and self-identificatory points of view. The question of bilateral and trilateral cultural cooperation finishes the study of culture in Poland, and compells the author to make use of several disciplines - historic, political, economic and sociology - in order to bring to light the real motivations and agendas at stake. In effect, the past permits us to not only better understand the present state of relations and social perception among the three countries, but also to measure the political and socio-cultural accomplishments of the Weimar Triangle project. In presenting the evolution of these social and cultural representations, the author emphasizes that more needs to be done, in other Western countries as well as in France and Germany, to promote a better understanding of Poland and other countries in Central and Eastern Europe. The study of France's and Germany's cultural and linguistic presence in Poland demonstrates on the one hand the different conceptions that these two countries have of culture, but on the other hand reveals that these competing instruments of cultural policy are creating positive sentiments, are promoting foreign language study, and are giving Europe a more human face
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SZMILICHOWSKI, MONICA. "Societe et discours politique dans la pologne des annees 1930 : l'allemagne et la russie dans la vision polonaise." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010320.

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Abstract:
L'objet general de la presente these sont les relations qu'a entretenu la pologne avec ses deux voisins principaux que sont l'allemagne et la russie bolchevique pendant la decennie qui precede la deuxieme guerre mondiale, c'est-a-dire la periode allant de 1930 a 1939. Plus particulierement sont analysees les representations polonaises de l'allemagne et de la russie bolchevique a travers les ecrits de la presse gouvernementale et de l'opposition pendant l'entre-deux-guerres. Le discours polonais sur les pays limitrophes (que ce soit a travers la presse ou dans le cadre de l'etude litteraire de l'epoque traite) tentait dans son premier elan de fixer des frontieres qui separaient la pologne d'une realite qui etait consideree comme etrangere. Au-dela de cette fonction primaire, les images des autres s'efforcaient de situer la pologne par rapport a cette realite etrangere, elles contribuaient a la definition de ce que fut compris comme la specificite de la culture et de l'identite nationale polonaises. Les points de rencontres entre les images des voisins et la vision de la culture, de la politique et, finalement du caractere national polonais, sont nombreux. Parmi les problemes que le discours polonais sur les pays voisins essaie de resoudre, nous trouvons celui des rapports entre la pologne et l'europe d'une part entre la pologne et l'orient de l'autre. La pologne se comprend comme faisant partie de l'europe, de l'occident, de la civilisation chretienne. L'allemagne, percue comme un corps social, bien qu'appartenant a cette meme europe n'en est pas moins une excroissance particuliere manquee. L'existance de la russie est percue par la pologne comme un abime qui risque d'engloutir la pologne dans ses immenses espaces a caractere asiate
The subject which is being discussed during the present doctorate treats of the relations between poland and its two principal neighbours, germany and russia during the decade which preceeded the second world war, precisely from 1930 to 1939. Are being analyzed the polish representations and images of germany and post-revolutionnary russia through the writings of the polish newspapers of that period; the newspapers controlled by the government as well as the ones of the principal oppositional parties. The polish discours treating the representations of its two neighbours (being analyzed through the press and through the writings of the polish litterature of that time) tented at first to fix the barriers which separated poland from a kind of reality it conidered strange and alien. Apart from this primary function the images of the others tried to position poland in relation to this alien reality; they contributed considerably to the definition of what was understood as a specificity of the polish culture and national identity. The points of friction of these representations are numerous and they refer to the images of russia and germany on one hand and the polish national caracter on the other. Among the problems manifested in relation to the polish discours of its neighbours, we find the political and cultural connection poland had with europe on one side and with what is being considered as the east or orient on the other side. Poland understands itself as being an active part of europe, of the west and of the christian civilisation. Germany, although it is being considered as a social entity and a part of that same europe poland feels connected to, is nonetheless perceived as an alien body cutting the european continent in half. The existence of russia is regarded by poland as being an abyss swallowing poland and the polish national and cultural identity in its immense asiatic vastness
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Hébert, Emmanuelle. "Passé(s) recomposé(s) : les commissions d’historiens dans les processus de rapprochement en Pologne (Pologne-Allemagne, Pologne-Russie)." Thesis, Paris 10, 2018. http://www.theses.fr/2018PA100024.

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Abstract:
L’objectif de notre thèse de doctorat est d’analyser les commissions d’historiens dans les processus de rapprochement en Pologne. Deux cas d’étude sont privilégiés : la commission polono-allemande sur les manuels scolaires et le groupe polono-russe sur les questions difficiles. Ce travail se base sur deux sources principales : une série d’entretiens et des recherches dans les archives. A ce corpuss’ajoutent des sources complémentaires : observations participantes et analyse de discours politiques, de sondages et de la presse.Les points de vue de part et d’autre divergent, voire s’opposent. Les historiens cherchent alors, selon Ricoeur, un récit qui peut favoriser le rapprochement. Ce dialogue sur l’histoire correspond tout à fait à ce qui est demandé aux commissions d’historiens. Dès lors, pourquoi ces commissions ont-elles été créées ? Comment fonctionnent-elles et pourquoi continuent-elles de fonctionner ? Nous formons les hypothèses que, premièrement, ces commissions ont été créées dans un objectif de rapprochement, voire de réconciliation. Deuxièmement, leur fonctionnement — et sa prolongation— dépend de trois variables : le contexte, les mandats, les acteurs.Notre thèse s’articule en cinq points. Les trois premières parties portent sur chacune des trois variables évoquées : contexte, mandats, acteurs. La quatrième partie porte sur les sphères d’influence de ces commissions et les débats qu’elles engendrent : politique et religion, débats publics, débats scientifiques. La dernière partie se concentre sur les projets de ces commissions :l’ouvrage commun ou les centres de dialogue du côté polono-russe, le manuel commun d’histoire du côté polono-allemand
The objective of my PhD thesis is to analyse historical commissions in the processes of rapprochement in Poland. Two cases studies are selected: the Polish-German school book commission and the Polish-Russian group for difficult matters. This work relies on two main sources:a series of interviews and research conducted in the archives. Other sources are complementary to this main corpus: participatory observations, analysis of political discourses, opinion polls and themedia.From one part to another, the points of view differ, or even oppose themselves. Historians then lookfor, according to Ricoeur, a narrative which could favour rapprochement. This dialogue on history matches exactly with what is asked for the historical commissions. Then, why are these commissions created ? how do they work and why do they continue to function ? The first hypothesis assumes that these commissions are created in an objective of rapprochement, or even reconciliation. The second one assumes that their functioning – and its continuation – depends on three variables:context, mandates, actors. My thesis is structured on five points. The first three parts concern each of the three variables cited:context, mandates, actors. The fourth part relates to the spheres of influence of the commissions and the debates they induce: politics and religion, public debate, scientific debate. The last partfocuses on the projects of the commissions: the common book or the centres for dialogue on the Polish-Russian side, the common historical schoolbook on the Polish-German one
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Dakowska, Dorota. "Les fondations politiques allemandes dans la politique étrangère : de la genèse institutionnelle à leur engagement dans le processus d'élargissement de l'Union européenne." Paris, Institut d'études politiques, 2005. http://www.theses.fr/2005IEPP0040.

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Abstract:
Cette thèse analyse l’insertion des fondations politiques allemandes dans l’action publique extérieure et son interférence avec les dynamiques partisanes. Proches des partis politiques allemands, bien que financées quasi exclusivement sur fonds publics, les fondations constituent un prisme utile pour éclairer, au plus près des acteurs, les dynamiques de politisation et de dépolitisation des enjeux liés à leur dotation en ressources. Recourant aux outils sociologiques de l’analyse de l’action publique et des relations internationales, ce travail étudie la manière dont l’insertion simultanée des fondations dans plusieurs champs d’action constitue une ressource singulière, mobilisable par ces organismes. Un regard historicisé porté sur le phénomène permet d’en analyser les conditions particulières d’émergence : l’autonomisation de la politique étrangère allemande dans la période de guerre froide, les luttes interministérielles pour la définition légitime de la politique d’aide au développement. Pour l’analyse de la politique étrangère, l’étude de l’imbrication entre acteurs étatiques et non étatiques éclaire la manière dont ce système particulier est légitimé au niveau de l’administration, notamment à travers les usages de l’image d’ONG et du pluralisme. L’analyse des modes d’action des fondations en Pologne permet d’affiner les approches transitologiques de « l’assistance à la démocratie ». De même, l'examen des interactions partisanes auxquelles participaient les fondations dans le contexte de pré-adhésion, et des forums de socialisation mis en place au niveau européen, associant les représentants des pays candidats, permet d’éclairer l’élargissement de l’UE par le bas
This PhD thesis analyses the German political foundations as actors of both foreign policy and transnational party cooperation. As party related, publicly financed organisations the German foundations may be considered as brokers between different institutional fields and this position is their main resource. At first the conditions of foundations’ emergence in the post-war Germany are analysed: the beginnings of the German Foreign policy during the Cold War, the interministerial struggles for the definition of the development policy. Analysing the intrication of public and private actors in the conduct of the Foreign policy allows studying the legitimating of this policy at the administrative level, such as the construction and strategic use of the NGO image by the foundations. The case study of foundations’ involvement in Poland during the transformation process throws new light on usual approaches of “democracy assistance”, as an interactive perspective is proposed. Moreover, observing foundations’ action as mediators to the transnational party cooperation during the EU enlargement allows studying the mechanisms of party affiliation preceding the accession of new member states. Thus, socialisation forums and transnational norm dynamics are revalorised, which goes beyond the conditionality framework dominating the enlargement studies
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Normann, Christine. "The influence of EU member states upon the European Neighbourhood Policy : a comparative analysis of Germany, France and Poland and their respective regional concepts and modes of interaction in the European decision-making process." Paris, Institut d'études politiques, 2011. http://www.theses.fr/2011IEPP0076.

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Abstract:
Ce projet de recherche aborde „L'influence des Etats membres de l'UE sur la Politique Européenne de Voisinage : Une analyse comparative de l'Allemagne, la France et la Pologne avec leurs concepts régionaux et leurs modes d'interaction dans le processus décisionnel européen ». Il analyse d'abord l'identité européenne et régionale de ces pays. Ensuite, il met l'accent sur les concepts régionaux – l'Ostpolitik Européenne de l'Allemagne, l'Union Méditerranéenne de la France et le Partenariat Oriental de la Pologne – ainsi qu'au modes d'interaction – selon les attentes soit de l'institutionnalisme du choix rationnel soit de l'institutionnalisme sociologique – pendant les négociations européennes entre 2006 et 2009. Enfin, l'analyse des effets de ce débat sur la PEV est intégrée dans les discussions actuelles du contexte plus large de l'approfondissement et l'élargissement de l'UE, des modèles d'intégration différenciée et d'une politique étrangère européenne. Combinant les théories du constructivisme, du nouvel institutionnalisme et de l'européanisation et étant basé sur une triangulation méthodologique de l'analyse du discours et d'interview d'experts, ce projet de recherche met en évidence l'importance d'analyser non seulement l'interaction entre le niveau européen et le niveau national (nouvel institutionnalisme), mais aussi l'interaction entre les Etats membres. Ainsi, l'approche théorique de l'Européanisation – qui n'inclut pas seulement le « uploading » et le « downloading » mais aussi le « crossloading » - devrait évoluer, par exemple par la différentiation entre « forced crossloading » et « voluntary crossloading » développé dans ce projet de recherche
The main objective of this research project is to analyse “The influence of EU member states upon the European Neighbourhood Policy: A comparative analysis of Germany, France and Poland with their respective regional concepts and modes of interaction in the European decision-making process”. Hence, it firstly studies the European and regional identities of these selected EU member states. Secondly, it focuses on their different regional concepts – the European Ostpolitik of Germany, the Mediterranean Union of France and the Eastern Partnership of Poland – and their modes of interaction – according to the assumptions of rational choice or sociological institutionalism - during the European negotiations taking place between 2006 and 2009. Thirdly, it considers the effects of this debate upon the ENP taking into account also ongoing discussions in the broader European context of deepening and widening the EU, of models of differentiated integration and the question of a European foreign policy. Combining the theories of constructivism, new institutionalism and Europeanisation and being based on a methodological triangulation of discourse analysis and expert interviews, this research project comes to the conclusion that besides the analysis of the interaction between the European and the national level (new institutionalism), the study of the interaction among the EU member states is important. Hence, Europeanisation as a theoretical approach including not only the mechanisms of uploading and downloading but also of crossloading needs to be further developed, for instance by differentiation into forced and voluntary crossloading elaborated in this research project
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Books on the topic "Pologne – Relations extérieures – Allemagne (Est)"

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Fritsch-Bournazel, Renata. L' Allemagne: Un enjeu pour l'Europe. Bruxelles: Complexe, 1987.

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L' Allemagne: Un enjeu pour l'Europe. Bruxelles: Editions Complexe, 1987.

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