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Journal articles on the topic 'Porc – Croissance'

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1

RENAND, G., C. LARZUL, E. LE BIHAN-DUVAL, and P. LE ROY. "L’amélioration génétique de la qualité de la viande dans les différentes espèces : situation actuelle et perspectives à court et moyen terme." INRAE Productions Animales 16, no. 3 (May 10, 2003): 159–73. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.3.3657.

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Abstract:
Les efforts d’amélioration génétique de nos populations d’animaux domestiques exploitées pour la production de viande ont porté jusqu’à présent essentiellement sur les critères de production, principalement la vitesse de croissance en vif mais aussi, de plus en plus, la croissance musculaire. Seules les qualités technologiques de la viande de porc sont actuellement intégrées dans les schémas d’amélioration génétique du fait de leur impact économique, de la mise en évidence de gènes à effet majeur (HAL sur la viande ’pisseuse’ et RN sur la viande ’acide’) et de l’existence de prédicteurs du rendement technologique mesurables en abattoir (pH, réflectance, perte en eau). Il est ainsi possible de poursuivre l’amélioration de la croissance musculaire tout en maintenant le niveau des qualités technologiques dans nos populations porcines. Chez les volailles, une part croissante de la production est utilisée par les industries de transformation. Comme chez le porc, il a été montré que les mesures de pH, de réflectance et de perte d’eau sont génétiquement liées au rendement technologique. Par contre, alors qu’il existe une relation génétique légèrement défavorable chez le porc, ces critères n’apparaissent pas liés génétiquement aux caractères de production chez les volailles. La sélection des qualités sensorielles se heurte pour l’instant à l’absence de prédicteurs mesurables en abattoir. Les recherches actuelles visent principalement à mettre en évidence les relations génétiques entre caractères de production et qualités sensorielles. Chez les volailles et le lapin, une sélection sur la croissance n’a pas d’impact sur les qualités sensorielles si l’âge à l’abattage n’est pas modifié. Par contre la réduction de l’âge à l’abattage des volailles, consécutive à la sélection sur la croissance, induit un accroissement de la tendreté et une réduction de la flaveur liés à la moindre maturité des animaux. Chez le porc, les relations génétiques entre croissance musculaire et qualités sensorielles sont assez nettement défavorables et une dégradation de ces dernières pourrait être évitée si une sélection pour accroître la teneur en lipides intramusculaires était possible. Chez les bovins, les quelques études menées en France permettent d’assurer qu’une sélection sur la croissance musculaire devrait être plutôt favorable à la tendreté, mais défavorable à la flaveur. Comme dans le cas du porc, une sélection sur la teneur en lipides intramusculaires permettrait de pallier cet effet négatif. Dans ces deux espèces, l’amélioration simultanée de la croissance musculaire et de la teneur en lipides intramusculaires se heurte non pas tant à l’existence d’une relation génétique négative entre ces deux objectifs, mais surtout à la difficulté d’obtenir un prédicteur fiable et non destructif de cette teneur chez des animaux qui sont particulièrement maigres. Cette difficulté milite pour la recherche de gènes qui soient à la fois impliqués dans ces qualités et sélectionnables grâce à un polymorphisme facilement détectable.
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2

QUINIOU, N. "Apports énergétiques et croissance du porc." INRAE Productions Animales 9, no. 2 (April 17, 1996): 141–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.2.4043.

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Abstract:
L’objectif de cet article est d’étudier les conséquences d’une variation des apports énergétiques sur la croissance du porc. La première partie est consacrée à la présentation des facteurs de variation de la nature du gain de poids intrinsèques à l’animal (poids vif, génotype, sexe). La seconde partie a pour objectif de faire le point des connaissances actuelles sur les conséquences d’une variation des apports d’énergie sur la croissance. Il en ressort que les lois de réponse des dépôts, tant chimiques que tissulaires, en fonction des apports d’énergie, diffèrent entre les types de porcs selon leur potentiel de croissance. En particulier, les dépôts de protéines et de tissu maigre augmentent avec les apports d’énergie suivant une relation linéaire-plateau dont les paramètres sont affectés par le génotype, le type sexuel et le poids vif. Parallèlement, les dépôts de lipides et de tissu adipeux augmentent linéairement avec les apports d’énergie, la pente de cette relation n’étant affectée ni par le génotype ni par le type sexuel dans un intervalle de poids donné. Il en résulte des différences relativement importantes entre les types de porcs en terme de gain de poids associé à l’apport d’énergie (de 19 à 41 g par MJ supplémentaire d’énergie digestible ingérée).
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3

MOUROT, J. "Mise en place des tissus adipeux sous-cutanés et intramusculaires et facteurs de variation quantitatifs et qualitatifs chez le porc." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 353–63. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3761.

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Abstract:
Le choix de la matière première lipidique dans l’alimentation du porc est particulièrement important. Il est bien connu qu’il existe une relation entre la nature des acides gras ingérés et ceux qui vont se déposer dans le tissu adipeux et à un degré moindre dans le muscle. Ce choix va donc conditionner la qualité de la viande. Des études récentes laissent aussi apparaître un rôle important du taux et de la nature des acides gras alimentaires sur la mise en place et le développement des tissus adipeux chez le fœtus lors de la gestation. Chez la truie, l’accroissement du taux de lipides alimentaires augmente l’adiposité de la carcasse du porcelet à la naissance et favorise la prolifération des précurseurs adipocytaires qui, par la suite, donneront les adipocytes. Un taux excessif de lipides alimentaires durant la gestation peut donc à terme induire une adiposité plus élevée chez le porc charcutier. L’origine des acides gras intervient également sur ces mêmes paramètres. L’huile de coprah, comparée à celle de tournesol et au saindoux semble stimuler la prolifération adipocytaire avec toutes les conséquences que ceci peut avoir sur l’obésité future du porc. Toutefois un mode d’alimentation restreint chez le porc en croissance semble minimiser ces conséquences. Chez le porc en croissance, l’accroissement du taux de lipides dans l’alimentation semble favoriser les dépôts de lipides dans les tissus adipeux. Une source de matière grasse insaturée, particulièrement riche en acide linoléique, favorise le potentiel de synthèse des lipides et peut donc accroître l’adiposité de la carcasse. Ces matières grasses insaturées ayant aussi des conséquences sur la qualité technologique des tissus adipeux, on ne peut qu’en recommander une utilisation raisonnable au cours de la croissance et si possible éviter de les incorporer aux aliments des porcs au-delà de 70 kg de poids vif pour un abattage à 105-110 kg.
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Tuong, N. P. "Note sur l'utilisation du tannate de berbérine Bertamix ND ) comme activateur de croissance dans l'élevage des porcs au Viêt-nam." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, no. 3 (March 1, 1991): 361–62. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9178.

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Abstract:
Les auteurs présentent les résultats d'une étude sur l'effet du tannate de berbérine (BertamixND), comme activateur de croissance pour les porcs, extrait de Cossinium fenestratum (Gaertn) Colebr. et de l'écorce du tronc de Terminalia chebula Retz, deux plantes largement disponibles au Viêt-nam. L'addition du BertamixND au taux de 5 p. 1000 dans le régime alimentaire de porcs âgés de 3 à 5 mois entraîne un gain de poids de 21 % et améliore l'indice de consommation de 17,3 % : soit une réduction de 0,76 UF/kg de gain de poids. Son intérêt pour accroître les performances de croissance chez le porc charcutier au Viêt-nam est discuté.
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5

Musewa, Angella, Kristina Roesel, Delia Grace, Michel Dione, and Joseph Erume. "Detection of Erysipelothrix rhusiopathiae in naturally infected pigs in Kamuli District, Uganda." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (September 9, 2018): 97. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31229.

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Abstract:
L’érysipèle des porcs est une maladie économiquement importante qui affecte toutes les étapes de la production de porc. Les pertes les plus importantes peuvent survenir chez les producteurs de porc d’engraissement, suite à une mort subite ou à une septicémie aiguë. Les porcs survivants souffrent souvent de boiteries chroniques, d’arthrite et d’endocardite, entraînant une croissance corporelle médiocre. L’agent causal est la bactérie ubiquitaire Erysipelothrix (E.) rhusiopathiae. Elle est également capable d’entrer dans la peau des personnes qui manipulent des animaux et de la viande infectés, et ainsi causer une infection. Afin de montrer la présence de l’agent responsable chez les porcins, des échantillons de sérum provenant de 426 porcs sélectionnés au hasard ont été recueillis auprès d’élevages dans quatre sous-comtés (Bugulumbya, Butansi, Kitayunwa et Namwendwa) dans le district de Kamuli en Ouganda, dans le cadre d’une large étude multipathogène menée par l’International Livestock Research Institute en 2013. Par la suite, 100 échantillons de viande de porc fraîche ont été prélevés auprès de 67 boucheries opérant dans les mêmes sous-comtés pour isolement et culture bactérienne. Dans l’ensemble, des anticorps contre E. rhusiopathiae ont été détectés dans 308 sur 460 (67 %) sérums, et 45 sur 100 (45 %) échantillons de viande de porc fraîche étaient contaminés par E. rhusiopathiae. C’est la première étude rapportant l’occurrence d’E. rhusiopathiae chez les porcs et dans la viande de porc en Ouganda.
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QUINIOU, N., D. RENAUDEAU, A. COLLIN, and J. NOBLET. "Effets de l’exposition au chaud sur les caractéristiques de la prise alimentaire du porc à différents stades physiologiques." INRAE Productions Animales 13, no. 4 (June 18, 2020): 233–45. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.4.3783.

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Abstract:
L’exposition des porcs à des températures ambiantes élevées s’accompagne d’une chute des performances chez le porcelet sevré, le porc en croissance et la truie en lactation. Cet effet négatif de la chaleur s’exerce notamment via une diminution de la consommation spontanée d’aliment. Après avoir exposé les mécanismes impliqués dans la thermorégulation et les difficultés rencontrées pour définir la zone de confort thermique, cet article présente les effets de la température sur les caractéristiques de la prise alimentaire chez le Porc en s’appuyant sur les résultats d’un programme expérimental développé depuis 1996 à l’INRA de St-Gilles. Ainsi, il apparaît que le Porc a un comportement essentiellement diurne quelle que soit la température ambiante. Dans la gamme des températures étudiées, la moindre consommation alimentaire au chaud résulte, dans un premier temps, d’une diminution de la taille des repas alors que leur fréquence n’est pas modifiée. Cependant, d’après les résultats obtenus chez les truies allaitantes, l’accroissement de l’intensité du stress thermique provoque également une réduction du nombre de repas. Lorsque la température varie au cours de la journée autour d’une valeur moyenne de confort, le porc en croissance et la truie allaitante adaptent leur prise alimentaire aux conditions thermiques et parviennent à compenser leur moindre consommation en période chaude par une ingestion d’aliment accrue pendant les périodes fraîches de la journée. Cependant, sous des températures moyennes élevées (supérieures à la zone de thermoneutralité), la consommation alimentaire plafonne pendant les périodes fraîches et ne permet plus de compenser la chute de consommation lors des périodes chaudes.
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Igbokwe, Ikechukwu Onyebuchi, and Chima Victor Maduka. "Disease burden affecting pig production in Nigeria: Review of current issues and challenges." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (July 3, 2018): 87. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31290.

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Abstract:
L’intérêt croissant pour la production porcine, source complémentaire de protéine animale, se manifeste au Nigeria par une augmentation de la population de porcs. Dans les régions où il n’existe aucune restriction religieuse à la production et à la consommation de porc, la survenue de maladies représente la contrainte majeure à une production profitable de cochons. Les maladies importantes du porc, signalées dans les régions du pays où elles sont présentes, sont recensées dans cette synthèse. La peste porcine africaine, la fièvre aphteuse, la brucellose, la trypanosomose, la babésiose, l’épérythrozoonose, les helminthoses, les coccidioses et les autres parasitoses ont des effets négatifs sur la production (augmentation de l’indice de consommation, réduction du taux de reproduction et de la croissance) aussi bien que sur la mortalité des porcelets et des cochons adultes. Les pertes économiques causées par la charge de morbidité et les stratégies de lutte inadéquates sont des problèmes auxquels est confrontée l’industrie porcine. Les risques de diffusion de zoonoses, comme la grippe, la trypanosomiase, les larva migrans, le ténia, la gale, la cryptosporidiose, la balantidiase, l’ankylostomose, l’amibiase et la tungose (due à Tunga penetrans), à partir de porcs infectés sont réels. Il est essentiel de proposer aux éleveurs des ressources et des services vétérinaires permettant des stratégies de lutte efficaces. Il est également nécessaire de faire une révolution conceptuelle afin de développer la viabilité de la production porcine dans le pays.
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RINALDO, D., and J. LE DIVIDICH. "Influence de la température ambiante sur les performances de croissance du porc." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 2, 1991): 57–65. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4318.

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Abstract:
L’objectif de cet article est de préciser les effets de la température ambiante sur le métabolisme énergétique, les performances de croissance et les besoins nutritionnels du porc en croissance-finition en élevage intensif et d’estimer son optimum thermique. Au plan énergétique, la température critique est estimée à environ 20°C en croissance et 15°C en finition. Elle correspond à une utilisation maximale de l’énergie alimentaire et sa signification zootechnique est discutée. La température ambiante influence la nature des dépôts tissulaires, l’accrétion lipidique étant la plus affectée. Pour ce qui est des performances, en alimentation libérale, la consommation spontanée d’aliment d’un porc de 60 kg diminue de 22 g/j/°C entre 10 et 20°C, sans effet sur le gain de poids. Entre 20 et 30°C, cette diminution est plus marquée (73 g/j/°C) et s’accompagne d’une réduction du gain de poids (40 g/j/°C) et de l’adiposité corporelle. L’indice de consommation décroît de 0,044 unité/°C entre 10 et 20°C et est minimal vers 25°C. En tenant compte des objectifs de réduction du coût alimentaire et de l’état d’engraissement des carcasses, la température optimale pour le porc en croissance-finition élevé sur caillebotis béton est de 24-25°C. Les études d’interaction avec l’alimentation ont montré qu’au froid les animaux valorisent bien les aliments riches en fibres alors qu’au chaud les meilleures performances sont obtenues avec des rations concentrées en énergie. Ces études ont également permis d’estimer l’accroissement du besoin énergétique à 25 kJ EM/kg 0,75 /j/°C entre 20 et 12°C et de montrer que, pour un même gain de poids ou de muscle, le besoin journalier en acides aminés est indépendant de la température ambiante.
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BROSSARD, L., N. QUINIOU, J. Y. DOURMAD, and J. VAN MILGEN. "Prise en compte de la variabilité individuelle dans la modélisation de la réponse des porcs en croissance aux apports alimentaires." INRAE Productions Animales 25, no. 1 (March 31, 2012): 17–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.1.3192.

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Abstract:
Chez le porc en croissance, la connaissance des besoins nutritionnels, notamment en acides aminés, est nécessaire pour formuler des aliments permettant d'optimiser l’efficacité alimentaire et potentiellement de réduire l’impact environnemental de cette production. Cependant, tous les animaux ne présentent pas les mêmes besoins et donc pas les mêmes réponses à des apports équivalents, ce qui résulte de la variabilité du potentiel des animaux au sein d'un groupe. Cet article présente les outils disponibles pour évaluer la variabilité individuelle des besoins en acides aminés chez le porc en croissance. Nous montrons ensuite comment il est possible d'intégrer cette variabilité aux outils de modélisation afin d'optimiser les stratégies d'alimentation. Si les techniques expérimentales actuelles permettent une détermination individuelle des besoins, la représentativité des résultats obtenus sur la variabilité des besoins est limitée par le nombre restreint d’animaux étudiés. Tout en nécessitant un nombre important de données, l’intégration de la variabilité individuelle dans les modèles mathématiques de croissance du porc offre la possibilité d’analyser la variabilité des besoins de façon dynamique et sur des populations plus grandes. En utilisant ces modèles pour simuler des populations d’animaux et non plus un individu unique, des stratégies alimentaires adaptées aux populations considérées peuvent être définies pour optimiser leurs résultats zootechniques et économiques tout en minimisant l’impact environnemental. L’apport de la modélisation et la prise en compte de la variabilité individuelle amènent également à envisager le développement de nouvelles pratiques telles que l’alimentation de précision.
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HENRY, Y. "Affinement du concept de la protéine idéale pour le porc en croissance." INRAE Productions Animales 6, no. 3 (June 28, 1993): 199–212. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.3.4200.

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Abstract:
Cet article traite des données récentes sur les relations d’équilibre entre les acides aminés dans l’alimentation du porc en croissance, au travers du concept de la protéine "idéale". Après avoir précisé les limites de ce concept, sur le plan de la constance des rapports entre les teneurs en acides aminés indispensables et celle en lysine, prise comme référence, sont considérés les ratios entre les acides aminés limitants secondaires (tryptophane, thréonine, méthionine et acides aminés soufrés) et la lysine, compte tenu des spécificités de leur rôle fonctionnel au plan métabolique et physiologique. Pour cela, l’incidence des écarts entre le profil de composition en acides aminés de la protéine alimentaire et celui de la protéine idéale (excès de protéines) sur l’ingestion alimentaire et les performances de croissance est étudiée selon la nature de l’acide aminé le plus limitant. En raison de sa faible contribution aux processus métaboliques autres que ceux concernant la synthèse de protéines corporelles, la lysine constitue une référence stable pour l’expression des rapports entre les acides aminés. A la différence de la lysine, le tryptophane interagit fortement et négativement avec les protéines excédentaires (acides aminés neutres de grande taille) au niveau de l’appétit et de la croissance, en liaison avec un dysfonctionnement du système sérotoninergique. Ceci met en défaut la constance du rapport tryptophane / lysine, qui devrait être corrigé sur la base d’un ratio minimum tryptophane / acides aminés neutres de 4 %, pour se prémunir d’un risque d’excès de ces derniers dans certaines protéines alimentaires. Dans le cas de la thréonine, lorsqu’elle est limitante, il ressort une interaction positive avec les acides aminés non indispensables (acide glutamique). L’équilibre méthionine / cystine a été reconsidéré en fonction des données récentes de la bibliographie. En conclusion, les recommandations concernant les rapports acides aminés / lysine pour le porc en croissance ont été réactualisées.
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LEFAUCHEUR, L. "Les différents types de fibres musculaires chez le porc. Conséquences sur la production de viande." INRAE Productions Animales 2, no. 3 (July 10, 1989): 205–13. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.3.4414.

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Abstract:
Le muscle squelettique est essentiellement composé de fibres musculaires généralement classées en fonction de leur vitesse de contraction et/ou de leur métabolisme énergétique. Les fibres musculaires se différencient essentiellement pendant les périodes embryonnaire, foetale et post-natale précoce. Un pourcentage élevé de fibres à contractions lentes et de fibres de faible diamètre semble favorable pour les qualités technologiques et organoleptiques de la viande. Au plan des performances de croissance, le nombre total de fibres musculaires, critère définitivement fixé avant la naissance, et la quantité d’ADN sont les principaux facteurs déterminant le potentiel de croissance musculaire. La croissance en diamètre n’est importante à considérer qu’après avoir tenu compte du nombre total de fibres. En conclusion, la recherche d’un grand nombre de fibres musculaires et du maximum de fibres à contractions lentes semble pouvoir répondre aux impératifs d’une production en quantité d’une viande de qualité.
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MONTAGNE, L., J. P. LALLES, I. LE HUEROU-LURON, and N. LE FLOC’H. "Comment favoriser par des voies nutritionnelles l’adaptation physiologique et microbiologique des porcelets au sevrage ?" INRAE Productions Animales 22, no. 1 (February 14, 2009): 25–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.1.3329.

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Abstract:
Le sevrage est une période critique de l’élevage du porc, caractérisée par une susceptibilité accrue aux désordres digestifs entraînant diarrhées et baisse de croissance. La réglementation européenne de janvier 2006 interdisant l’utilisation d’antibiotiques comme facteurs de croissance dans les aliments de sevrage a stimulé la recherche de substances alternatives pour limiter les problèmes du sevrage, en améliorant le fonctionnement digestif de l’animal. La présente revue synthétise et illustre les effets de différentes solutions alternatives aux antibiotiques sur l’ingestion et la digestion, la physiologie de la muqueuse intestinale, la microflore et les défenses de l’animal.
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SELLIER, P., J. BOUIX, G. RENAND, and M. MOLÉNAT. "Les objectifs et les critères de sélection : Les aptitudes bouchères : croissance, efficacité alimentaire et qualité de la carcasse." INRAE Productions Animales 5, HS (December 2, 1992): 147–59. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4278.

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Abstract:
Les programmes de sélection sur les aptitudes bouchères ont un double objectif : l’abaissement du coût de production et l’amélioration de la qualité du produit. Cet article rappelle un certain nombre de données de base sur les aptitudes bouchères : courbe de croissance, évolution de la composition chimique et tissulaire chez l’animal en croissance (notion d’allométrie), énergétique de la croissance (relation entre efficacité alimentaire et croissance musculaire), développement des tissus musculaire et adipeux, qualités de la viande et du gras. Les objectifs et les critères de sélection sont décrits pour chacune des espèces bovine, ovine et porcine. L’importance relative accordée aux différents caractères (vitesse de croissance, efficacité alimentaire, teneur en viande de la carcasse, qualité de la viande) varie selon l’espèce. Chez les bovins allaitants et les ovins, l’évaluation génétique des mâles repose dans un premier temp sur le contrôle individuel et dans un second temps sur le contrôle de descendance. Chez le porc, la composition corporelle peut être estimée avec précision sur l’animal vivant (échographie aux ultra-sons) et le contrôle individuel a été largement utilisé dans les deux dernières décennies.
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HENRY, Y. "Alimentation du porc pour la production de viande maigre : évolutions récentes et perspectives." INRAE Productions Animales 6, no. 1 (February 27, 1993): 31–45. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4185.

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Abstract:
La production porcine a bénéficié, au cours des dernières décennies, de progrès importants et continus réalisés par la sélection pour une croissance sans cesse plus forte de tissus maigres et un dépôt décroissant de gras, en réponse à la demande des consommateurs. Cet article examine les changements intervenus dans l’alimentation en considérant les évolutions récentes et les perspectives, compte tenu de l’évolution prévisible des performances de production et de l’apport des nouvelles technologies. L’importance du progrès génétique en faveur de la croissance des tissus maigres a conduit en premier lieu à envisager une modélisation de la prévision des besoins nutritionnels (énergie, protéines et acides aminés, minéraux), dont les variations se traduisent notamment par des exigences moins marquées en énergie que par le passé et par un accroissement important des besoins en acides aminés relativement à l’apport énergétique. Grâce à cette démarche de modélisation, il est désormais possible de définir de nouvelles stratégies d’alimentation adaptées pour la production de viande maigre (plan de rationnement alimentaire, choix du type d’aliment pour une phase de production déterminée), en fonction des conditions particulières de production et à l’aide de systèmes d’évaluation des aliments suffisamment discriminants (énergie nette, digestibilité iléale des acides aminés). En outre, l’augmentation de certains intrants alimentaires (azote, phosphore) pour une production accrue de viande maigre implique une gestion raisonnée de leurs apports, afin de prévenir des rejets excessifs dans l’environnement (eau, atmosphère). La tendance à une certaine dégradation de la qualité de la viande, notamment sous l’angle technologique et organoleptique, au fur et à mesure des progrès de la sélection sur la croissance musculaire, oblige à une prise en compte, par l’alimentation, des exigences de qualité des produits, qu’il s’agisse des dépôts gras ou des tissus maigres (importance du gras intramusculaire). Il en est de même avec le recours à de nouvelles technologies permettant, soit de préserver le potentiel de croissance musculaire (utilisation du porc mâle entier), soit de le stimuler (facteurs de croissance). En dernier lieu, après avoir considéré les effets de l’alimentation sur la conformation des carcasses, en relation avec l’amélioration du développement musculaire, les conséquences d’un amaigrissement excessif des truies sur les performances de reproduction sont évoquées en liaison avec la mobilisation et la reconstitution des réserves lipidiques corporelles. Ce problème d’équilibre entre les tissus musculaire et gras constitue un enjeu important pour l’évolution future de l’alimentation du porc maigre. Au plan de l’application, les nouvelles approches nutritionnelles, basées sur l’établissement de lois de réponse qui prennent en compte la diversité à la fois des types génétiques (depuis les plus gras jusqu’aux plus maigres) et des conditions d’élevage et de milieu devraient permettre, dans chaque cas, de définir les conditions optimales de production d’un type de porc particulier.
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Kouakou, N'Goran David Vincent, Cho Euphrasie Monique Angbo-Kouakou, Gningnini Alain Koné, Kouadio Bertin Kouame, François de Paul Yéboué, and Maryline Kouba. "Valorisation des tourteaux d’amandes d’hévéa et d’anacarde chez le porc en postsevrage et en croissance." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (September 12, 2018): 81. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31256.

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Abstract:
La valorisation du tourteau détoxiqué d’amandes d’hévéa (Hevea brasiliensis) (TH) et du tourteau d’amandes déclassées de cajou (Anacardium occidentale) (TA) dans l’alimentation animale a été étudiée chez les porcs croisés de 28 jours (sevrage) à 180 jours. Ces animaux, répartis au sevrage en cinq lots, ont reçu soit un régime témoin (RT), soit un des quatre régimes expérimentaux contenant 7,5 % ou 15 % de TH (TH7,5 et TH15) ou de TA (TA7,5 et TA15). Les croissances journalières ont été de 246 ± 26, 198 ± 41, 191 ± 31, 154 ± 20 et 153 ± 31 g.j-1 de 29 à 89 jours d’âge, et de 511 ± 84, 456 ± 74, 463 ± 140, 460 ± 53 et 504 ± 48 g.j-1 de 90 à 180 jours d’âge, respectivement pour les régimes TH7,5, TH15, TA7,5, TA15 et RT. Les poids vifs à 180 jours ont été de 74 ± 6, 71 ± 10, 65 ± 12, 61 ± 5 et 65 ± 5 kg respectivement pour les mêmes régimes. Les résultats suggèrent que le TH et le TA peuvent être incorporés à 15 % sans effet néfaste dans la ration alimentaire des porcs locaux en postsevrage et en croissance en milieu tropical. Aussi, l’utilisation de ces tourteaux dans l’alimentation des porcs permettrait à la Côte d’Ivoire de réduire sa dépendance vis-à-vis de certaines matières premières importées comme le tourteau de soja.
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LE FLOC’H, M. "Conséquences d’un état inflammatoire ou infectieux sur le métabolisme et le besoin en acides aminés chez le porc." INRAE Productions Animales 13, no. 1 (February 18, 2000): 3–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.1.3763.

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Abstract:
Les modifications métaboliques associées aux états inflammatoires et infectieux sont susceptibles de modifier les besoins nutritionnels des animaux notamment en protéines et en acides aminés. L’organisme réoriente le flux des acides aminés vers les tissus impliqués dans la réaction inflammatoire ou la réponse immunitaire au détriment des tissus assurant la croissance. Ces acides aminés sont utilisés pour la synthèse des protéines de l’inflammation et de l’immunité dont le profil est différent de celui des protéines participant à la croissance, engendrant alors des besoins spécifiques en acides aminés. Par exemple, le besoin en acides aminés soufrés, notamment en cystéine, est fortement augmenté chez les animaux en situation de sepsis (nom donné aux états inflammatoires généralisés). La cystéine est utilisée dans la synthèse de glutathion dont la production est fortement augmentée lors des états inflammatoires. Chez le porc, on dispose encore de très peu de données expérimentales permettant d’établir les besoins spécifiques en acides aminés. La lysine n’est probablement pas un acide aminé limitant pour la réaction immunitaire alors que les concentrations sériques d’immunoglobulines sont influencés par la teneur en thréonine de l’aliment. La couverture de ces besoins spécifiques permettrait de limiter la chute des performances de croissance observées chez des animaux dont le système immunitaire est activé.
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Ossebi, Walter, Simplice Bosco Ayssiwede, Félix Nimbona, Richard Malou, Mariame Diop, and Ayao Missohou. "Entraves au développement de la filière porcine en Casamance (Sénégal) : que disent les acteurs du sous-secteur ?" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (August 9, 2018): 15. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31286.

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Abstract:
Au Sénégal, l’élevage de porc connaît une croissance annuelle de 3,5 % et couvre 15 % de la production nationale de viande blanche. Longtemps négligé par les pouvoirs publics, il suscite désormais un intérêt de la part des politiques de développement qui y consacrent des projets et programmes d’amélioration. Pour accompagner ce changement de paradigme, il est nécessaire de cerner les contraintes de cet élevage. C’est ainsi qu’une étude descriptive transversale a été menée en deux passages (février et mars 2016) dans les trois régions de la Casamance sous forme d’entretiens individuels et/ou au sein de groupes de discussion impliquant 85 acteurs (70 éleveurs, 14 techniciens d’élevages et 1 fabricant d’aliments). Les résultats ont montré que l’élevage de porc était une activité secondaire que beaucoup d’éleveurs songeaient à abandonner en raison des difficultés rencontrées. L’alimentation des porcs et les maladies restent un véritable défi du fait de la faible disponibilité des aliments et des médicaments, ou du prix élevé des aliments. Ceci explique la pratique de la divagation des porcs, qui accentue les problèmes sanitaires. A en croire les éleveurs, l’élevage de porc est caractérisé par une reconstitution périodique du cheptel, nécessitée par le déstockage forcé lors des épizooties de peste porcine africaine. Aussi la logique socioculturelle de l’éleveur peut limiter l’investissement et constituer un frein au développement de l’élevage porcin. L’essor de cet élevage dans la Casamance naturelle dépendra d’une meilleure maîtrise de l’alimentation, de la conduite d’élevage, du suivi de reproduction, et d’une prophylaxie adéquate contre des maladies parasitaires et infectieuses.
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JONDREVILLE, C., P. S. REVY, A. JAFFREZIC, and J. Y. DOURMAD. "Le cuivre dans l’alimentation du porc : oligo-élément essentiel, facteur de croissance et risque potentiel pour l’Homme et l’environnement." INRAE Productions Animales 15, no. 4 (September 15, 2002): 247–65. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.4.3706.

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Abstract:
Le Cu est un oligo-élément essentiel qui participe à de nombreuses fonctions physiologiques dont le métabolisme du Fe, la fonction immunitaire et la protection contre les stress oxydants. Le foie joue un rôle central dans le métabolisme et l’homéostasie du Cu : selon les apports et le statut de l’animal, le Cu est stocké, excrété via la bile ou distribué vers les organes. Les besoins nutritionnels en Cu du porc en croissance sont inférieurs à 10 mg/kg d’aliment et peuvent théoriquement être couverts par les seules matières premières, sans supplémentation. Cependant, utilisé pour ses propriétés de facteur de croissance, le Cu est introduit à 150 à 250 ppm dans l’aliment du porcelet en post-sevrage et permet d’en améliorer la vitesse de croissance. Cette pratique est sans incidence sur la qualité des produits consommés par l’Homme, si elle est limitée à la seule période de post-sevrage. Elle a cependant pour conséquence d’augmenter les quantités de Cu appliquées lors de l’épandage des lisiers de porc et conduit à une accumulation de cet élément dans les sols. L’une des solutions pour réduire les rejets de Cu est d’en limiter les apports alimentaires au niveau du besoin. Cette approche nécessite de bien connaître et de hiérarchiser les composants alimentaires susceptibles d’influer significativement sur la disponibilité du Cu. Certains agents complexants, comme les phytates, les fibres ou les matières grasses ainsi que certains éléments minéraux, comme le Zn et le Ca sont en effet des facteurs de variation possibles de la disponibilité du Cu. Leur impact sur les besoins reste cependant à évaluer, de même que les critères d’évaluation du statut en Cu restent à préciser.
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FAURE, J., L. LEFAUCHEUR, and B. LEBRET. "Adaptation du métabolisme énergétique du porc au cours de la croissance et production de viande porcine de qualité." INRA Productions Animales 28, no. 5 (January 14, 2020): 369–82. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.5.3040.

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Abstract:
Cet article de synthèse présente comment l’adaptation métabolique des porcs en croissance à différents facteurs de variation internes ou externes, notamment à l’échelle des voies métaboliques du tissu musculaire, influence les composantes de la qualité des viandes et l’efficacité de production. A l’échelle musculaire, les modalités de régulation de l’homéostase assurée par le complexe enzymatique « AMP-activated protein kinase » (AMPK) sont détaillées. L’activité de l’AMPK, senseur énergétique participant à la stimulation des voies glucidiques et glycolytiques ainsi qu’à la régulation du métabolisme oxydatif, peut être considérée comme un marqueur de l’adaptation musculaire in vivo et post-mortem. Cet article souligne ainsi que les relations entre les caractéristiques musculaires, la qualité de la viande et l’efficience de la production sont complexes et multifactorielles. L’efficacité métabolique et la qualité de la viande dépendent, au niveau de l’animal, du type du muscle, de l’évolution du métabolisme au cours de la croissance et des voies métaboliques musculaires sollicitées face à une perturbation énergétique.
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NOBLET, J., V. BONTEMS, and G. TRAN. "Estimation de la valeur énergétique des aliments pour le porc." INRAE Productions Animales 16, no. 3 (May 11, 2003): 197–210. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.3.3660.

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Abstract:
Cet article présente la démarche adoptée pour le calcul des données de valeur énergétique, pour le porc, des matières premières (n = 120) des Tables publiées par l’INRA et l’AFZ en 2002. Elle propose également des méthodes simplifiées pour le calcul des valeurs énergétiques de produits dont la composition chimique diffère de celle rapportée dans les Tables. Les résultats sont basés sur la compilation des données de la bibliographie et l’utilisation des connaissances les plus récentes en termes de concepts. Six valeurs énergétiques résultant de la combinaison de trois modes d’expression (ED, EM ou EN) et de deux stades physiologiques (porc en croissance et truie adulte) sont proposées. Les effets de facteurs de variation de la valeur énergétique tels que la technologie (granulation, broyage …) ou le niveau d’alimentation sont également abordés, mais les données disponibles dans la bibliographie ne permettaient pas de les prendre en compte, du moins de façon systématique.
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BONNET, M., I. LOUVEAU, I. CASSAR-MALEK, L. LEFAUCHEUR, and P. Y. RESCAN. "Comprendre le développement des muscles et des tissus adipeux : un préalable pour maîtriser les qualités des carcasses et des produits des animaux d’élevage." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 137–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3021.

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Abstract:
Les qualités des carcasses et des viandes/chairs des espèces d’intérêt agronomique (mammifères, espèces aviaires et poissons) dépendent en grande partie des caractéristiques et des proportions relatives des différents compartiments tissulaires, principalement les fibres et le tissu conjonctif musculaires et les tissus adipeux. Dans cette revue, nous décrivons la mise en place de ces trois compartiments au cours du développement embryonnaire et foetal, ainsi que leur croissance après la naissance ou l’éclosion. Les fibres musculaires et le tissu conjonctif des muscles du tronc sont issus de domaines embryonnaires distincts de ceux à l’origine des muscles des membres et de la tête. L’origine embryonnaire des adipocytes blancs reste à établir, mais est vraisemblablement multiple et dépendante de la localisation anatomique des tissus adipeux. La croissance post-embryonnaire des muscles et des tissus adipeux implique la prolifération puis la différenciation de cellules progénitrices non-embryonnaires. Le nombre total de fibres musculaires est fixé aux deux tiers ou aux quatre cinquièmes de la gestation chez le bovin et le porc respectivement, et dès la naissance chez les volailles alors qu’il augmente encore après l’éclosion chez certains poissons. Le nombre d’adipocytes augmente durant la croissance foetale et dans une moindre mesure après la naissance. Des interactions entre tissus au cours de la croissance, auparavant suggérées, sont maintenant démontrées par l’identification de protéines sécrétées par les cellules musculaires et adipeuses qui participent au dialogue entre tissus.
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BONNEAU, M. "Administration de GRF ou de somatotropine chez le porc et les volailles : effets sur les performances, la qualité des viandes et la fonction de reproduction." INRAE Productions Animales 5, no. 4 (October 29, 1992): 257–67. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.4.4239.

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Abstract:
Chez des porcs nourris à volonté, l’administration de somatotropine porcine (pST) pendant la période de finition entraîne une diminution de l’ingéré alimentaire (2-22%), une accélération de la croissance (jusqu’à 47%) et une amélioration de l’efficacité alimentaire (3-38%), en relation avec une réduction du dépôt de gras corporel (7-44%). Le pourcentage de muscles dans la carcasse est augmenté de 2 à 23%. En liaison avec l’augmentation du poids de certains organes (foie, coeur, etc.), le rendement à l’abattage est réduit de 1 à 4%. L’administration de GRF (Growth Hormone-Releasing Factor) ou d’un analogue du GRF a les mêmes effets qualitatifs que celle de pST. L’amplitude des effets de la pST peut varier en fonction : 1) de la dose de pST. L’ingéré alimentaire et le dépôt de gras décroissent linéairement avec la dose alors que la réponse en termes d’efficacité alimentaire ou de dépôt de muscle plafonne au delà de la dose seuil qui permet d’obtenir la vitesse de croissance maximale. 2) des modalités d’administration. Les formes d’administration lente semblent moins efficaces qu’une injection journalière. 3) de l’âge et du poids. Les effets de la pST administrée pendant la phase de croissance ou chez des porcs lourds sont similaires, qualitativement et quantitativement, à ceux observés pendant la période de finition. 4) du génotype, du sexe et de la castration. Les effets de la pST sont d’autant plus importants que le potentiel de croissance musculaire de l’animal est plus faible. Les effets de la pST sur le pourcentage des différents types de fibres musculaires ne sont pas clairs, bien que l’on observe une augmentation générale de leur surface de section transversale. Les effets de la pST sur les caractéristiques musculaires peuvent varier fortement selon le muscle considéré. Les propriétés physiques et sensorielles de la viande ne sont généralement pas ou peu modifiées par le traitement pST. Outre l’impact sur la composition du muscle et du gras, on observe assez souvent une légère dégradation de la tendreté. L’impact d’un traitement par la pST sur la venue en puberté des cochettes n’est pas clair. Il semble bien cependant que, s’il devait y avoir un effet négatif, celui-ci soit facilement réversible, dès l’arrêt du traitement. L’administration de pST pendant la gestation n’a aucun effet sur la portée. L’intérêt d’un traitement par la pST pendant la lactation reste controversé. Bien que la somatotropine semble être impliquée dans la régulation de la croissance chez les oiseaux, l’administration de GRF ou de somatotropine n’a que des effets transitoires (ou même, le plus souvent, aucun effet) sur les performances de croissance et la composition des carcasses de poulet...
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LEBRET, B., and J. MOUROT. "Caractéristiques et qualité des tissus adipeux chez le porc. Facteurs de variation non génétiques." INRAE Productions Animales 11, no. 2 (July 2, 2020): 131–43. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.2.3925.

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Abstract:
En production porcine, la réduction de l’adiposité des carcasses au profit de la teneur en maigre obtenue par l’amélioration génétique et l’évolution des conditions d’élevage, a entraîné l’apparition de défauts de qualité des tissus adipeux. La qualité de ces tissus ne peut guère être améliorée par les technologies de transformation, elle dépend des caractéristiques des tissus à l’abattage, celles-ci étant déterminées par les conditions d’élevage des animaux en interaction avec leur type génétique. Les composantes nutritionnelle, organoleptique et technologique de la qualité des tissus adipeux sont fonction de leur composition chimique : teneurs en lipides et en eau, importance de la trame conjonctive, et de la nature des acides gras constitutifs des lipides. Ainsi, tout facteur intrinsèque ou extrinsèque à l’animal entraînant une variation de composition du tissu adipeux modifie en conséquence la qualité de ce tissu. La composition du tissu adipeux varie selon la localisation anatomique, l’adiposité globale de la carcasse et le type sexuel. Parmi les facteurs d’élevage, l’alimentation, en particulier la nature des acides gras ingérés, la supplémentation du régime alimentaire en vitamine E ou en minéraux, l’administration de promoteurs de croissance (hormone de croissance, béta-agonistes) ainsi que la température d’élevage influencent les propriétés de la fraction adipeuse de la carcasse. Les effets des facteurs d’élevage sur les caractéristiques des tissus adipeux du porc et leurs relations avec la qualité sont relativement bien établis. La maîtrise de la qualité des tissus adipeux est donc maintenant accessible, et ne dépend plus que de l’importance relative accordée à la qualité dans les coûts de production, au sein de la filière porcine.
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BIDANEL, J. P., and D. MILAN. "La recherche de QTL àl’aide de marqueurs : résultats chez le porc." INRAE Productions Animales 13, HS (December 22, 2000): 223–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.hs.3842.

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Abstract:
Le programme de détection de QTL dans une population F2 issue du croisement entre les races porcines Meishan (MS) et Large White (LW) réalisé à l’INRA est présenté. Des mesures de croissance, de composition corporelle, de qualité de la viande, de développement sexuel mâle et femelle, de prolificité et de réactivité comportementale et neuroendocrinienne ont été effectuées sur 530 mâles et 573 femelles F2, nés de 6 verrats et 17 truies F1, eux-mêmes issus de 6 verrats LW et 6 truies MS. Le génotype de l’ensemble des animaux a été déterminé à l’aide de séquenceurs automatiques pour un total de 115 marqueurs microsatellites couvrant l’ensemble du génome porcin. Les données ont été analysées par chromosome (analyse multipoint) à l’aide d’une procédure du maximum de vraisemblance prenant en compte la structure familiale des données. Des QTL ont été mis en évidence ou suggérés sur l’ensemble des chromosomes, à l’exception des chromosomes 16 et 18.
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REVY, P. S., C. JONDREVILLE, J. Y. DOURMAD, and Y. NYS. "Le zinc dans l’alimentation du porc : oligo-élément essentiel et risque potentiel pour l’environnement." INRAE Productions Animales 16, no. 1 (February 9, 2003): 3–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.1.3639.

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Abstract:
Le zinc est un oligo-élément essentiel qui intervient dans la plupart des fonctions biologiques de l’animal. La perte d’appétit, la diarrhée, le retard de croissance ou la parakératose sont les principaux symptômes d’une carence en zinc qui peuvent apparaître chez le porc recevant une alimentation non supplémentée en zinc. La méconnaissance des besoins en zinc du porc et des facteurs de variation de sa disponibilité conduit à l’incorporer de manière excessive dans les aliments. Cette pratique génère des rejets importants et augmente le risque de pollution des sols cultivés. L’ajustement des apports de zinc aux besoins de l’animal et l’amélioration de sa disponibilité sont des solutions qui permettent d’en réduire les apports. Une revue des données de la littérature nous permet d’estimer les besoins en zinc du porc en fonction du poids vif. L’utilisation d’additifs, notamment de phytase microbienne, permet d’améliorer la disponibilité du zinc. A partir des résultats de la littérature, nous estimons que l’activité de 1000 unités de phytase microbienne par kg d’aliment est équivalente à une addition de 24 et 19 mg/kg de zinc sous forme de sulfate chez le porcelet de respectivement 15 et 25 kg. Ces estimations sont à valider expérimentalement. D’autres voies d’amélioration de la disponibilité du zinc doivent également être explorées.
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MOUROT, J. "Utilisation du glycérol en alimentation porcine." INRAE Productions Animales 22, no. 5 (December 9, 2009): 409–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.5.3365.

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Abstract:
Le développement de l’agrochimie va mettre sur le marché des matières premières des coproduits qui pourront être utilisés en alimentation animale. Afin de pouvoir les valoriser en production animale, il est nécessaire de montrer la bonne efficacité des ces coproduits en terme de performances de croissance, de qualité de la viande et aussi d’économie de production. Le développement de la production de diester à partir de la transestérification de l’huile de colza pourra permettre de disposer de glycérol. Son utilisation semble possible en alimentation animale. Les différentes données expérimentales montrent que, chez le porc, le glycérol alimentaire, à la dose de 5% d’introduction dans l’alimentation ne modifie pas l’appétence de l’aliment et n’a pas d’action négative sur les performances de croissance, sur la conversion énergétique des aliments et sur la composition tissulaire de la carcasse. Certains paramètres de la qualité de la viande sont améliorés comme la rétention d’eau et la teneur en lipides des muscles ce qui peut être bénéfique pour le rendement de transformation et la qualité organoleptique de la viande.
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MEUNIER-SALAÜN, M. C., D. BIZERAY, V. COLSON, V. COURBOULAY, J. LENSINK, A. PRUNIER, V. REMIENCE, and M. VANDENHEEDE. "Bien-être et élevage des porcs." INRAE Productions Animales 20, no. 1 (March 6, 2007): 73–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.1.3438.

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Abstract:
Le développement intensif de la production porcine découle d’une meilleure maîtrise de l’environnement des animaux, d’une prophylaxie des maladies infectieuses, d’une alimentation au plus près des besoins nutritionnels des porcs et d’une sélection génétique orientée vers des performances de croissance et de reproduction optimales. Parallèlement, certaines pratiques se sont avérées défavorables au bien-être du porc. Au cours des dernières décennies la recherche sur le bien-être s’est principalement intéressée aux réponses comportementales et physiologiques au logement, à l’alimentation et à la conduite des animaux. Les résultats ont souligné des difficultés d’adaptation notamment liées à une modification des liens sociaux, une restriction des surfaces individuelles, un appauvrissement du milieu de vie, et des pratiques d’élevage génératrices d’inconfort, de peur ou de douleur. Cette synthèse présente la nature des réponses observées dans ces différentes situations tout en soulignant les voies d’amélioration disponibles pour une meilleure harmonie entre les animaux et leur milieu de vie.
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LEFAUCHEUR, L., I. LOUVEAU, S. SCHNOEBELEN, P. ECOLAN, and M. BONNEAU. "Intérêt et limites du modèle Meishan pour l’étude de la croissance musculaire chez le porc." INRAE Productions Animales 9, no. 3 (June 17, 1996): 219–23. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.3.4054.

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MEUNIER-SALAUN, M. C., and M. PICARD. "Les facteurs des choix alimentaires chez le porc et les volailles." INRAE Productions Animales 9, no. 5 (October 20, 1996): 339–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.5.4073.

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Abstract:
Les porcs et les volailles subissent au cours de leur croissance des changements d’aliment qui nécessitent une adaptation rapide. L’emploi de substances stimulant l’ingestion des aliments vise à minimiser les difficultés et à accroître la capacité de l’animal à adopter le nouvel aliment. La propriété d’un aliment à être facilement consommé sous-tend la notion de palatabilité dont la plupart des définitions proposées considèrent les réactions de l’animal vis-à-vis de son environnement alimentaire. La majeure partie des études sur la palatabilité ont recours à des méthodologies dans lesquelles les animaux sont soumis à des situations de choix avec la possibilité d’une participation active dans le cas du conditionnement opérant. L’analyse critique des procédures de choix montre que les choix dépendent fortement du contexte dans lequel ils s’opèrent et résultent de la confrontation de paramètres intégrant l’animal, l’aliment et l’environnement dans une dimension spatio-temporelle dynamique. L’analyse fine des comportements met l’accent sur les caractéristiques éthologiques impliquées dans l’activité alimentaire, avec le rôle de l’expérience et des facteurs sociaux en particulier. Une meilleure appréciation de la motivation alimentaire de l’animal permet ainsi de mieux cerner la notion de choix.
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DOURMAD, J. Y., and Y. HENRY. "Influence de l’alimentation et des performances sur les rejets azotés des porcs." INRAE Productions Animales 7, no. 4 (September 27, 1994): 263–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.4.4174.

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Abstract:
Dans les zones de production porcine intensive, l’élimination des déjections devient un problème crucial, en raison principalement des risques de pollution des eaux par les nitrates et des émanations d’ammoniac. L’azote excrété dans les urines et les fèces correspond à la fraction de l’apport alimentaire non retenue dans les protéines corporelles. Dans les conditions habituelles d’alimentation, le porc à l’engrais excrète en moyenne l’équivalent de 15 à 20% de l’azote ingéré, par voie fécale, et 40 à 45% par voie urinaire, soit au total environ 60 à 70% de l’ingéré. La modélisation permet de prévoir avec précision l’importance des rejets azotés en fonction des apports alimentaires de protéines et des performances des animaux. Les différents résultats disponibles montrent qu’il est possible de réduire préventivement les rejets azotés des porcs, en modifiant la stratégie d’alimentation ou les performances. Un aliment adapté à chaque stade physiologique et un meilleur ajustement de l’équilibre en acides aminés, constituent deux méthodes complémentaires et efficaces pour réduire l’excrétion azotée des animaux. Une réduction de 15 à 25% des rejets d’azote dans le lisier et des émanations d’ammoniac dans l’atmosphère peut être envisagée, sans augmentation importante du coût alimentaire. On peut également souligner l’effet intéressant de l’amélioration du niveau des performances, sur la limitation des rejets. En période de reproduction, le paramètre le plus important est le nombre de porcelets produits par truie et par an, alors que, chez le porc en croissance, l’excrétion est principalement affectée par l’indice de consommation.
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Lizardo, R., J. Peiniau, Y. Lebreton, and A. Aumaitre. "Effets de l'incorporation de pulpe de betterave dans les aliments du porcelet et du porc en croissance : performances de croissance, digestibilité et composition corporelle." Annales de Zootechnie 46, no. 3 (1997): 281–94. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19970308.

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Février, C., I. Birlouez-Aragon, and S. Alloussi. "Utilisation du lactose hydrolysé par le porc en croissance et devenir du galactose dans le cristallin." Reproduction Nutrition Développement 31, no. 3 (1991): 329. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19910349.

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RENAUDEAU, D., N. MANDONNET, M. TIXIER-BOICHARD, J. NOBLET, and J. P. BIDANEL. "Atténuer les effets de la chaleur sur les performances des porcs : la voie génétique." INRAE Productions Animales 17, no. 2 (March 20, 2004): 93–108. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.1.3556.

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Abstract:
La température ambiante est l’un des principaux facteurs climatiques affectant les performances des porcs en période estivale dans les régions tempérées et toute l’année dans les régions tropicales. Les températures ambiantes élevées ont des effets directs principalement sur les fonctions de reproduction du mâle ou de la femelle ou indirectement via une réduction de l’ingestion alimentaire sur les performances de lactation et de croissance. Après avoir brièvement rappelé les principes de la thermorégulation chez le porc et les effets de la chaleur sur leurs performances en fonction du stade physiologique, cet article fait le point sur les solutions utilisables pour atténuer les effets négatifs du climat chaud, en particulier, sur la possibilité de sélectionner des animaux thermotolérants. Cette approche consiste à produire des animaux moins sensibles au stress thermique et/ou ayant une thermorégulation plus efficace. Une des principales difficultés est de comprendre les mécanismes physiologiques impliqués dans l’adaptation à la chaleur et la nature des antagonismes entre les caractères de production et d’adaptation. Cette étape préliminaire conditionne le choix des critères mais également de la meilleure méthode de sélection. Comparativement aux autres espèces (volaille et ruminant), la variabilité génétique de la tolérance à la chaleur et les critères physiologiques ou zootechniques utilisables dans une démarche de sélection chez le porc sont assez peu connus. Cependant, des indicateurs de la sensibilité à la chaleur (Heat Shock Protein), de la thermogenèse (consommation résiduelle, protéines découplantes) ou de la thermolyse (rythme respiratoire, conductivité thermique cutanée) pourraient être des bons critères à considérer pour l’obtention d’une lignée thermotolérante.
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GILBERT, H., Y. BILLON, L. BROSSARD, J. FAURE, P. GATELLIER, F. GONDRET, E. LABUSSIÈRE, et al. "Sélection pour la consommation alimentaire moyenne journalière résiduelle chez le porc : impacts sur les caractères et défis pour la filière." INRA Productions Animales 30, no. 5 (June 29, 2018): 439–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.5.2274.

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Abstract:
L’amélioration de l’efficacité alimentaire est un enjeu majeur pour la compétitivité de la filière porcine. Elle est classiquement mesurée en élevage par l’indice de consommation, indicateur économique de l’efficacité d’utilisation des aliments pour la croissance. Un critère alternatif indépendant des performances des animaux, la Consommation Moyenne Journalière Résiduelle (CMJR), a été proposé dans les années 1960. Cet article synthétise les résultats obtenus à partir de la sélection divergente de deux lignées à l’INRA, une lignée à CMJR faible, animaux consommant moins que prédit pour leurs besoins de production et d’entretien, et donc plus efficaces, et une lignée à CMJR élevée, animaux consommant plus que prédit pour leurs besoins, moins efficaces. Ces recherches montrent qu’il est possible de sélectionner pour la CMJR chez le porc en croissance avec un impact limité sur les caractères de production et de reproduction femelle, permettant ainsi de diminuer les quantités d’aliments utilisées en élevage. La dégradation des paramètres de qualité technologique de la viande en réponse à l’amélioration génétique de l’efficacité alimentaire est un point de vigilance dans les stratégies de sélection, de même que la composition nutritionnelle de la ration alimentaire. Finalement, la capacité de réponse à des stress ou à des changements de conditions d’élevage ne semble pas affectée par la sélection, contrairement à ce qui est suggéré dans la littérature en réponse à la sélection pour une CMJR réduite. Les défis qui résultent de ces résultats pour poursuivre l’amélioration de ce caractère en production tout en répondant à l’évolution des contraintes de l’élevage sont discutés.
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FAUCONNEAU, B. "Dossier : Le déterminisme génétique du développement musculaire." INRAE Productions Animales 9, no. 3 (June 17, 1996): 211–31. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.3.4049.

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Abstract:
Les rendements en viande et leur qualité sont étroitement liés au développement musculaire. Les caractéristiques quantitatives et qualitatives des muscles se mettent en place essentiellement dans les phases embryonnaire et néonatale du développement musculaire. Le nombre de fibres musculaires, qui conditionne la taille adulte des muscles, est ainsi déterminé très précocement. Une part du pourcentage des différents types de fibres, qui conditionnent les caractéristiques contractiles et métaboliques des muscles, et donc leur aptitude à la transformation en viande, est également déterminée précocement. Les phases post-natales d’élevage, et notamment la puberté, contribuent pour une part plus modeste à la détermination des caractéristiques qualitatives. Le contrôle du développement musculaire dans les stades précoces représente donc un enjeu important pour la maîtrise de la production de viande. Les facteurs qui régulent le développement des muscles dans les stades précoces sont encore peu connus. Les facteurs intrinsèques, et surtout l’origine génétique, jouent un rôle prépondérant. L’INRA s’intéresse au déterminisme génétique du développement musculaire chez différentes espèces d’intérêt zootechnique depuis les volailles jusqu’aux bovins. Les recherches s’appuient en particulier sur des modèles génétiques (souches, lignées, variants génétiques) ayant des performances de croissance globale et/ou des potentialités de développement musculaire très différentes. La confrontation des résultats obtenus sur le développement musculaire précoce de modèles génétiques chez différentes espèces est particulièrement intéressante sur deux points : l’apport de ces modèles génétiques sur la connaissance des mécanismes de différenciation musculaire précoce et les indications fournies par ces modèles sur l’hypothèse d’un déterminisme précoce de la croissance musculaire. Au sein de la Direction Scientifique des Productions Animales, une réflexion propre sur le contrôle de la croissance et du développement des animaux domestiques a été menée grâce à des actions de type AIP et à la constitution d’un groupe Croissance en 1993. Ce groupe a organisé une réunion scientifique ayant pour objectif de faire l’état des recherches menées à l’INRA sur le contrôle du développement musculaire de modèles génétiques dans différentes espèces domestiques. Les réflexions issues de cette réunion et les principaux résultats qui y ont été présentés font l’objet du présent dossier. Ce dossier est introduit par une contribution générale sur l’intérêt des modèles pour la connaissance de la variabilité génétique globale du développement musculaire. Une autre contribution, réalisée par un chercheur étranger, permet à titre introductif d’insister sur l’importance relative des facteurs environnementaux par rapport aux facteurs génétiques sur la variabilité globale du développement musclaire précoce. Les contributions suivantes font le point des connaissances acquises par des équipes INRA sur le porc, le bovin, le lapin et la volaille. L’ensemble des résultats montre que, comparées aux lignées ou souches à croissance lente, les lignées ou souches à croissance rapide possèdent une aptitude plus importante à un développement hyperplasique du muscle dans les phases foetale (bovins, porc, poulet) et néonatale (dinde). Il n’est pas encore établi s’il s’agit d’une susceptibilité intrinsèque des cellules précurseurs aux facteurs qui contrôlent le développement musculaire ou si des différences dans l’expression de facteurs humoraux ou paracrines sont le support de cette aptitude. Ces différences d’intensité dans le développement musculaire sont parfois associées à des différences de précocité. Les travaux présentés permettent notamment de définir des critères directs ou indirects d’évaluation du nombre et du type de fibres de certains muscles dans un objectif d’amélioration quantitative et qualitative de la viande par sélection génétique, mais aussi par la maîtrise des conditions environnementales particulières dans les jeunes stades de développement. Il apparaît également important d’approfondir ce type de recherche pour identifier s’il existe des gènes plus spécifiquement responsables des différences de développement musculaire dans les stades précoces et dans les phases néonatales. Ces gènes pourraient par exemple être utilisés comme gènes marqueurs en sélection génétique sur la croissance musculaire. Il semblerait enfin intéressant de tenter d’établir un lien entre les travaux sur le développement musculaire et sa réceptivité à des facteurs de croissance et les quelques gènes majeurs impliqués dans des défauts de qualité (gène halothane) ou des caractéristiques qualitatives du muscle (potentiel glycolytique, génotype culard).
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Auguste Emmanuel, ISSALI, MPIKA Joseph, MOKOLO Jean Baptiste, and ATTIBAYEBA P. "Response of Cucurbitaceae seedlings, Cucurbita mochata, Cucurbita pepo and Lagenaria siceraria to the fertilization by pig dejecta at Brazzaville, Congo." Journal of Applied Biosciences 150 (June 30, 2020): 15469–76. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.150.7.

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Abstract:
Objective: To assess the main effects of three “Species” of Cucurbitaceae and two “Status” of their seedlings, individually taken, their interactions related to three variables measured on stem, three variables measured on leaf and one variable measured on flower were tested. Methodology and Results: Cucurbita moschata, Cucurbita pepo and Lagenaria siceraria were used as genotypes. They were planted according to a completely random block arrangement. Growth variables were measured on the stem, leaf and flower. The General Linear Model combining the comparison of means according to the Student Newman-Keuls test as well as the Student t or Z test with two samples at the risk threshold of 5% were applied. With regard to the first of the 3 interactions, the variations of the diameter at the collar (DC), diameter of the rod (DT) and length of the rod (LT) were independent of the variations of "Species" and "Status "authorizing the classifications of the variants of the aforementioned factors. For the second of the 3 interactions, the fluctuations in leaf length (LF), blade width (IL) and blade length (LL2) were independent of the simultaneous fluctuations of the species and the Prohibiting Status any classification. Regarding the third interaction, the variations in the number of flowers produced (NFP) were independent of those concomitant with the Species and Status, allowing no classification of the same variants of the above factors. For the first of the 3 interactions mentioned above, concerning the main effects "Species" and "Status", Lagenaria siceraria recorded both the highest diameter at the collar and the longest stem as well as a greater growth of plants seedlings treated with pork manure. This suggests that growth in Cucurbitaceae is genotype dependent. It is also influenced by pork manure. Concerning the same main effects "Species" and "Status", linked to the third interaction, Cucurbita pepo and the seedlings treated with organic manure from pigs expressed the greatest cumulative effective number of flowers (EFFCUM). Conclusion and application of the results: Factors "Species" and "Status" can be studied simultaneously, because they do not interact on the DC, DT, LT and EFFCUM. Lagenaria siceraria believes very well relative to the first 3 variables mentioned above while Cucurbita pepo expresses a high cumulative number of flowers. Three kilograms of pork manure are necessary to allow good growth of the stem and diameter of Largenaria siceraria. The latter should be used for the production of aboveground biomass while Cucurbita pepo should be used for the production of fruit. Key words: Growth variables, GLM of Anova, organic pig manure, interaction. RESUME Objectif : Pour évaluer les effets principaux, de trois "Espèces" et deux "Statuts" des plants de semis, pris individuellement, leurs interactions liées à trois variables mesurées sur la tige, trois variables mesurées sur la feuille et une variable mesurée sur la fleur ont été testées. Méthodologie et Résultats : Cucurbita moschata, Cucurbita pepo and Lagenaria siceraria were used comme génotypes. Ils ont été plantés selon un dispositif en bloc complètement aléatoire. Des variables de croissance ont été mesurées sur la tige, la feuille et la fleur. Le Modèle Géneral Linéaire associant la comparaison de moyennes selon le test de Student Newman-Keuls ainsi que le test t ou Z de Student à deux échantillons au seuil de risque de 5 % ont été appliqués. En ce qui concerne la première des 3 interactions, les variations du diamètre au collet (DC), diamètre de la tige (DT) et longueur de la tige (LT) ont été indépendantes des variations de "l’Espèce" et du "Status" autorisant les classifications des variantes de facteurs pré-cités. Pour la seconde des 3 interactions, les fluctuations de la longueur de la feuille (LF), de la largeur du limbe (IL) et de la longueur du limbe (LL2) ont été indépendantes des fluctuations simultanées de l’espèce et du Statut interdisant toute classification. Concernant, la troisième interaction, les variations du nombre de fleurs produites (NFP) ont été indépendantes de celles concomitantes de l’Espèce et du Status ne permettant aucune classification des mêmes variantes de facteurs sus-cités. Pour la première des 3 interactions sus-mentionnées, concernant les effets principaux "Species" et "Status", Lagenaria siceraria a enregistré à la fois le plus haut diamètre au collet et la tige la plus longue ainsi qu’une plus grande croissance de plants de semis traités avec la fumure de porc. Ceci suggère que la croissance chez les Cucurbitaceae est genotype dépendant. Elle est aussi influencée par la fumure de porc. Concernant les mêmes effets principaux "Species" et "Status", liés à la 3e interaction, Cucurbita pepo et les plants de semis traités avec la fumure organique de porc ont exprimé le plus grand nombre effectif cumulé de fleurs (EFFCUM). Conclusion et application des résultats : Facteurs "Species" et "Status" peuvent être simultanément étudiés, car ils n’interagissent pas sur le DC, DT, LT ainsi que l’EFFCUM. Lagenaria siceraria croit très bien relativement aux 3 premières variables sus-citées alors que Cucurbita pepo exprime un haut effectif cumulé de fleurs. Trois Kilogrammes de fumure de porc sont nécessaires pour permettre une bonne croissance de la tige et du diamètre de Largenaria siceraria. Ce dernier devrait être utilisé pour la production de la biomasse aérienne alors que Cucurbita pepo devrait l’être pour la production de fruits.
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LABROUE, F. "Facteurs de variation génétiques de la prise alimentaire chez le porc en croissance : le point des connaissances." INRAE Productions Animales 8, no. 4 (September 23, 1995): 239–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.4.4132.

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Abstract:
L’objectif de cet article est d’examiner les différents facteurs génétiques qui influencent la prise alimentaire, avant d’étudier la possibilité d’inclure un critère de comportement alimentaire dans les objectifs de sélection. Le type génétique peut entraîner des variations importantes (10 à 20%) du niveau de consommation et influencer les caractéristiques (fréquence, taille, durée) des repas. Les valeurs d’hétérosis pour la consommation moyenne journalière (5 à 10% de la moyenne parentale) sont du même ordre de grandeur que celles rapportées pour la vitesse de croissance ou l’efficacité alimentaire. Les écarts de consommation entre les trois génotypes pour le gène Hal varient entre 5 et 15%. La moyenne des estimées pour l’héritabilité de la consommation alimentaire en conditions réelles d’alimentation ad libitum est 0,32. Les corrélations génétiques moyennes entre la consommation moyenne journalière d’une part, le gain moyen quotidien, l’indice de consommation et le taux de muscle d’autre part, sont respectivement de l’ordre de 0,75, 0,40 et -0,45. Les répercussions économiques éventuelles de la prise en compte de l’appétit dans les objectifs de sélection sont discutées sur la base de ces paramètres génétiques moyens.
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Perez, JM, Y. Henry, D. Sauvant, L. Jacquot, V. Ricca, G. Conseil, M. Lemarié, et al. "Efficacité comparée des systèmes d'évaluation énergétique des aliments pour la prévision des performances de croissance du porc." Annales de Zootechnie 39, no. 3-4 (1990): 193–218. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19900304.

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LEBRET, B. "Conséquences de la rationalisation de la production porcine sur les qualités des viandes." INRAE Productions Animales 17, no. 2 (May 20, 2004): 79–91. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.2.3555.

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Abstract:
Le porc est la viande la plus consommée en France actuellement. La production nationale a doublé depuis les années 60, grâce à la mise en place d’un plan de rationalisation de la production. Les performances techniques des élevages (prolificité, vitesse de croissance, proportion de tissus maigres des carcasses) ont fortement progressé, grâce aux importants progrès réalisés en génétique, en nutrition animale et dans la conduite des élevages. Ces gains de productivité ont permis de répondre à la demande croissante pour une viande de plus en plus maigre à un prix compétitif. Cependant, l’élevage porcin rationalisé est maintenant jugé responsable d’une détérioration de la qualité des produits proposés aux consommateurs. Après une présentation des composantes de la qualité des carcasses et des viandes de porc, l’article fait le point sur l’effet de l’accroissement de la productivité sur ces qualités. Les faits majeurs sont l’augmentation de la teneur en muscle des carcasses, ainsi que l’identification de gènes à effet majeur sur la qualité de viande (HAL et RN) et l’éradication des allèles défavorables n (dans les lignées maternelles) et RN-. L’indice de qualité de viande, seul critère de qualité inclus dans les programmes de sélection, est resté globalement stable depuis 20 ans dans les races contrôlées, conformément à l’objectif fixé. Une évaluation du progrès génétique réalisé en race Large White depuis 1977 montre une réduction du pH ultime et du rendement à la cuisson des viandes, alors que le taux de lipides intramusculaires, composante favorable aux propriétés sensorielles, est resté stable. L’aptitude à la transformation en produits secs de la bardière s’est dégradée, toutefois ce défaut peut être corrigé en partie par une alimentation appropriée distribuée aux animaux. En conclusion, la rationalisation de la production porcine a permis d’améliorer les qualités des carcasses, sans entraîner de dégradation majeure des qualités des viandes dans les races utilisées en production standard, voire de les améliorer dans les lignées où la fréquence des allèles n et RN- était élevée.
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GIDENNE, Thierry, Luc MAERTENS, and Laurence DROUILHET. "Efficacité alimentaire en cuniculture : voies d'améliorations, impacts technico-économiques et environnementaux." INRA Productions Animales 32, no. 3 (November 22, 2019): 431–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2019.32.3.2946.

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Abstract:
Comme l'alimentation est le premier poste composant le coût de production (± 60 % du coût total) en élevage, la mesure de l'efficacité alimentaire est un indicateur majeur pour juger la performance et la rentabilité d'un élevage. L'amélioration de l'efficacité alimentaire est aussi un enjeu pour réduire l'impact environnemental de l'élevage, par la réduction des rejets animaux et une moindre production de matières premières alimentaires. Cette efficacité se mesure couramment par l'indice de consommation, et en cuniculture conventionnelle, l'indice de consommation économique (ICe = maternité+engraissement) a été réduit de 10 % (3,8 vs 3,4) ces 15 dernières années, de même que les rejets azotés et phosphorés. Cette amélioration provient des progrès conjoints sur la maîtrise sanitaire, l'alimentation (notamment les stratégies de restriction), la maîtrise du logement et le potentiel génétique des animaux. Cette article de synthèse résume l'impact de ces facteurs pour améliorer l'efficacité alimentaire en cuniculture conventionnelle. Après la gestion sanitaire, les performances reproductives du troupeau sont un levier majeur d'amélioration de l'ICe. L'usage d'aliments préservant la santé digestive du lapin en croissance, associé à une stratégie appropriée de restriction post-sevrage sont aussi de bons leviers. Les recherches en génétique peuvent contribuer à réduire l'ICe par 2 voies, l'amélioration de la vitesse de croissance et/ou la réduction de la consommation d'aliment à croissance fixée. L'impact environnemental de la cuniculture varie entre 7,6 et 10,5 kg d'équivalent CO2/kg de carcasse produite (légèrement supérieure au poulet) et ne diffère pas de celui du porc. À l'avenir, il semble possible d'améliorer encore l'efficacité alimentaire, et donc de réduire à la fois les intrants et les rejets, pour atteindre un ICe proche de 3,0 similaire aux systèmes porcins.
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HENRY, Y. "Signification de la protéine équilibrée pour le porc : intérêt et limites." INRAE Productions Animales 1, no. 1 (February 11, 1988): 65–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.1.4437.

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Abstract:
Après une première globalisation sur la base de la teneur en protéines du régime, le besoin azoté du porc en croissance a pris une signification composite par la prise en compte des besoins en acides aminés indispensables séparément les uns des autres, pour aboutir finalement à la notion de besoin en protéine équilibrée présentant une composition constante en acides aminés. L’amélioration de l’équilibre en acides aminés, associée à une réduction du taux de protéines dans l’aliment, est désormais rendue possible par la supplémentation à l’aide d’acides aminés industriels : en premier lieu la lysine seule, qui est généralement l’acide aminé le plus limitant des aliments pour porcs, puis la lysine avec les autres acides aminés limitants secondaires (thréonine, tryptophane, méthionine). En dehors de leur caractère limitant, des cas d’excès de certains acides aminés peuvent se présenter : déséquilibre entre acides aminés ramifiés, excès d’arginine, déséquilibre entre les acides aminés neutres qui pourrait expliquer l’effet dépressif d’un taux de protéines excessif sur l’ingestion alimentaire. Dans un deuxième temps, nous avons analysé les limites du concept de la protéine équilibrée : non constance de la composition en acides aminés des protéines fixées, différences dans le devenir métabolique des acides aminés, nécessité de prendre en compte la disponibilité des acides aminés. Par ailleurs, en dehors de l’économie de protéines, les bénéfices à attendre de l’amélioration de l’équilibre en acides aminés s’étendent à l’économie d’énergie alimentaire et à une stimulation de la consommation volontaire d’aliment, ce qui permet de viser tout à la fois un abaissement du coût de l’alimentation et une valorisation optimale des potentialités des génotypes à forte intensité de dépôt de tissus maigres.
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Keambou, T. C., Y. Manjeli, B. A. Hako, F. Meutchieye, and J. C. Awono. "Effets comparés d’un aliment concentré et de l’aliment traditionnel des éleveurs sur les performances de croissance et économique des porcelets de race locale au Nord Cameroun." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 63, no. 3-4 (March 1, 2010): 77. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10101.

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Abstract:
L’effet d’un aliment concentré et de l’aliment traditionnel sur les performances pondérales du porc local du Nord Cameroun, et leur impact sur les revenus des éleveurs ont été comparés en milieu paysan pendant 75 jours. Au terme de l’essai, les porcelets alimentés avec le concentré ont présenté un poids de près de 60 p. 100 supérieur à celui des porcelets alimentés traditionnellement, soit un poids final respectivement de 26 et 16,1 kg. De même, les gains moyens quotidiens ont été de 206 et 74 g pour les porcelets soumis respectivement à l’aliment concentré et à l’aliment traditionnel. Sur le plan économique, la marge brute obtenue avec le concentré a été de 2 837,14 contre 950 francs CFA en moyenne avec les rations traditionnelles. Cette étude a montré qu’il serait possible d’améliorer la productivité des porcs de race locale du Nord Cameroun et ainsi le revenu des éleveurs en améliorant l’alimentation des animaux.
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CHILLIARD, Y., and A. OLLIER. "Alimentation lipidique et métabolisme du tissu adipeux chez les ruminants. Comparaison avec le porc et les rongeurs." INRAE Productions Animales 7, no. 4 (September 27, 1994): 293–308. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.4.4176.

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Abstract:
Les effets de la supplémentation en lipides des rations pour vaches laitières sont récapitulés, en particulier pour ce qui concerne l’efficacité énergétique, la production laitière, le bilan énergétique et les variations de poids vif et d’état corporel. La supplémentation lipidique ne modifie pas le gain de poids vif ou d’état corporel après le pic de lactation mais tend à accroître la perte de poids vif en début de lactation, malgré l’accroissement du bilan énergétique calculé. La supplémentation lipidique tend à accroître le dépôt des lipides corporels chez le ruminant en croissance. Elle diminue la synthèse de novo d’acides gras dans les tissus adipeux, sans changer l’activité de la lipoprotéine lipase ni la capacité d’estérification totale des acides gras in vitro. La libération basale d’acides gras libres par le tissu adipeux in vitro, et les réponses lipolytiques beta- adrénergiques, sont accrues par les acides gras polyinsaturés protégés. La supplémentation en lipides accroît le dépôt des lipides corporels chez le porc en croissance lorsqu’il est dans un environnement chaud ou à la neutralité thermique. Chez la truie en lactation, elle accroît l’ingestion d’énergie et la sécrétion des lipides du lait, tout en diminuant la perte de poids vif. La supplémentation lipidique diminue la synthèse de novo d’acides gras et la libération basale de glycérol par le tissu adipeux de porc, et tend à accroître les réponses lipolytiques beta-adrénergiques simultanément à un accroissement de la fluidité membranaire et à une diminution de l’activité de la phosphodiestérase. Les lipides corporels sont accrus chez les rongeurs qui reçoivent des régimes enrichis en lipides, mais de façon moins marquée avec les lipides riches en acides gras polyinsaturés. L’activité de la lipoprotéine lipase du tissu adipeux est diminuée. La synthèse d’acides gras dans le foie est fortement diminuée par les acides gras polyinsaturés, et de façon moindre dans les tissus adipeux. La réponse beta-adrénergique de la lipolyse des tissus adipeux est diminuée, l’estérification est augmentée, et une résistance à l’insuline apparaît, en particulier avec les acides gras saturés. Il existe d’importantes interactions entre la supplémentation des rations en lipides, l’espèce animale et l’état physiologique. Les acides gras ingérés sont orientés prioritairement vers la mamelle pendant la lactation, ce qui explique la faible réponse des tissus adipeux, en particulier chez les ruminants où la supplémentation en lipides n’augmente que faiblement l’ingestion d’énergie.
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MOUROT, J., M. KOUBA, and G. SALVATORI. "Facteurs de variation de la lipogenèse dans les adipocytes et les tissus adipeux chez le porc." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 311–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3892.

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Abstract:
Le porc, longtemps considéré comme un fournisseur de corps gras, a fait l’objet, dans les années 50, de nombreuses critiques de la part des consommateurs vis-à-vis de son adiposité. Des programmes de sélection et une meilleure connaissance des besoins alimentaires ont permis de réduire fortement l’adiposité de la carcasse et d’en augmenter la teneur en viande. Dans le même temps, des recherches sur la lipogenèse ont été conduites sur la croissance et le développement des tissus adipeux. Ces travaux, qui ont essentiellement concerné les tissus adipeux externes ou internes, sont relativement anciens et doivent être réactualisés. En effet, les porcs actuels ont une adiposité de la carcasse inférieure à 20 % alors qu’en 1960, l’adiposité était supérieure à 40 %. Les études actuelles sont aussi davantage orientées vers la connaissance du tissu adipeux intramusculaire en relation avec les qualités organoleptiques de la viande. Ce tissu est formé d’adipocytes essentiellement groupés le long des faisceaux de fibres. La teneur en lipides de la viande étant jugée trop faible par les consommateurs, il faudrait envisager de doubler la quantité de tissu adipeux intramusculaire. Les travaux présentés dans cet article ont montré que les adipocytes intramusculaires ont une capacité de synthèse lipidique supérieure à celle des adipocytes des tissus adipeux externes. On peut espérer stimuler la lipogenèse intramusculaire par des facteurs d’élevage, mais il est vraisemblable que le facteur limitant restera le nombre d’adipocytes. Il faut donc envisager de stimuler la prolifération adipocytaire, ce qui nécessite de connaître les mécanismes qui contrôlent cette multiplication. Actuellement, les travaux s’orientent vers la recherche de marqueurs de la prolifération des adipocytes intramusculaires chez le porc, mais aussi chez les autres espèces animales pauvres en lipides intramusculaires comme les volailles ou le lapin.
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JUSTE, Catherine, Y. DEMARNE, and T. CORRING. "Effet du niveau et de la qualité de l'ingéré lipidique sur la sécrétion biliaire du porc en croissance." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 5B (1986): 1191. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860816.

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Prandini, A., M. Morlacchini, M. Moschini, A. Piva, L. Fiorentini, and G. Piva. "Performances de croissance et composition corporelle du porc lourd italien entre 80 et 160 kg de poids vif." Annales de Zootechnie 45, no. 1 (1996): 75–87. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19960107.

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BERRI, C. "La viande de volaille : des attentes pour la qualité qui se diversifient et des défauts spécifiques à corriger." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 115–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3018.

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Abstract:
La consommation de viande de volaille est en plein essor au niveau mondial. En raison de son coût attractif, elle constitue une matière première de choix pour l’industrie de la transformation, mais doit répondre à des exigences technologiques de plus en plus fortes. Comme chez le porc, le contrôle du pH post-mortem est un élément majeur de la qualité des viandes de volailles. De plus, des signes de myopathies dégénératives ont récemment fait leur apparition chez les animaux dont la croissance et les rendements en viande sont les plus élevés, avec des conséquences en termes de qualité mais aussi de bien-être animal. Réduire l’incidence des défauts de qualité passe par une meilleure compréhension des mécanismes génétiques et physiologiques d’élaboration du tissu musculaire pour proposer des outils d’aide à la sélection ou au pilotage fin des facteurs d’élevage.
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SEVE, B. "Alimentation du porc en croissance : intégration des concepts de protéine idéale, de disponibilité digestive des acides aminés et d’énergie nette." INRAE Productions Animales 7, no. 4 (September 27, 1994): 275–91. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.4.4175.

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Abstract:
La valeur énergétique nette d’un aliment est déductible de sa teneur en énergie digestible selon une équation valable pour le porc à tous les stades physiologiques. Elle modifie la hiérarchie des matières premières en abaissant celles riches en protéines ou en fibres et en relevant celles riches en amidon ou en matières grasses. La protéine idéale théorique, de valeur biologique 1, est l’équivalent de l’énergie nette pour la couverture du besoin azoté. L’approche expérimentale de cette protéine par la suppression des excès d’acides aminés, laisse espérer une importante marge de progrès du rendement d’utilisation de l’azote absorbé. Ce rendement mesure une disponibilité métabolique de l’acide aminé limitant peu dépendante des matières premières utilisées. Celles-ci doivent être caractérisées plutôt par la disponibilité digestive de leurs acides aminés mesurable par leur digestibilité iléale. L’additivité des apports par différents constituants du régime nécessite une correction de leur digestibilité apparente pour les pertes endogènes non spécifiques de chacun d’entre eux, et la digestibilité "vraie" ainsi calculée peut être prédite à partir de leurs teneurs en subtances spécifiques. Toutefois, la présence dans l’indigestible "vrai" d’une fraction endogène spécifique pose le problème de sa quantification et de son coût de synthèse. L’apport minimum d’acide aminé limitant digestible (lysine) par unité d’énergie nette est toujours indépendant du niveau d’ingestion d’énergie chez le porc de moins de 55 kg, alors qu’il est plus faible, et augmente avec le niveau de rationnement, chez le mâle castré plus lourd. Les apports minima des autres acides aminés sont déduits de rapports optimaux à la lysine déterminés expérimentalement. Certains déséquilibres par excès relativement à l’équilibre idéal nécessitent une correction (tryptophane/acides aminés neutres) ou un plafonnement des apports (thréonine). Des mécanismes d’épargne d’acides aminés essentiels (thréonine) par des non essentiels pourraient modifier leurs rapports optimaux à l’azote total.
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Henry, Y. "Effets d'une réduction du taux de lysine dans le régime sur l'ingestion alimentaire et la croissance du porc en finition." Annales de Zootechnie 44, no. 3 (1995): 201–15. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19950301.

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GUILLOU, D., and E. LANDEAU. "Granulométrie et nutrition porcine." INRAE Productions Animales 13, no. 2 (April 18, 2000): 137–45. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.2.3775.

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Abstract:
La description de la granulométrie des aliments ne fait pas l’objet de recommandation en nutrition porcine. Pourtant, de nombreux travaux sur le broyage des graines ont démontré le rôle de la granulométrie comme facteur de variation de la valeur alimentaire ou comme facteur étiologique de troubles digestifs chez le porc. Une base de données quantitatives a été élaborée à partir de 23 études expérimentales pour tenter d’établir des lois de réponse de la valeur alimentaire à la variation de la taille des particules. Chez les animaux en croissance (porcelets sevrés et porcs charcutiers) la digestibilité fécale de l’énergie est réduite de 0,6 point et la digestibilité fécale de l’azote de 0,8 point lorsque le diamètre médian des particules augmente de 100 μm. Parmi les critères zootechniques, seul l’indice de consommation des porcelets sevrés a pu être mis en relation avec le diamètre médian : il augmente de 0,03 point lorsque le diamètre médian augmente de 100 μm. Ces amplitudes sont faibles en comparaison des autres sources d’hétérogénéité de l’utilisation digestive et métabolique des aliments. L’étude de l’influence de la granulométrie est rendue difficile par l’existence d’effets indirects sur la nutrition, tels que la stabilité des mélanges, ou par ses interactions avec les opérations élémentaires de la fabrication d’aliments autres que le broyage (par exemple la granulation). Le choix d’une taille de particules optimale est de plus soumis à des facteurs non nutritionnels tels les propriétés d’écoulement des pulvérulents. Les contraintes techniques pèsent aujourd’hui plus lourd que les avantages nutritionnels dans le choix d’une qualité de mouture.
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