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Journal articles on the topic 'Porc (viande) – Teneur en protéines'

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MOUROT, J., and B. LEBRET. "Modulation de la qualité de la viande de porc par l’alimentation." INRAE Productions Animales 22, no. 1 (February 14, 2009): 33–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.1.3330.

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Abstract:
Parmi les facteurs d’élevage influençant la qualité de la viande chez le porc, l’alimentation joue un rôle central. Le niveau et le profil de distribution de la ration (restriction puis réalimentation) influencent la vitesse et la composition du gain de poids (protéines/lipides) aux niveaux corporel et tissulaire, et, donc, la composition de la carcasse et des tissus. La qualité sensorielle de la viande peut être ainsi modifiée, notamment via la teneur en lipides intramusculaires. L’équilibre entre les principaux nutriments, notamment les protéines et l’énergie de la ration, conditionnent également la vitesse et la nature des dépôts tissulaires, pouvant ainsi affecter la qualité sensorielle des viandes. La nutrition constitue un puissant levier pour modifier le profil lipidique des viandes porcines, la teneur en acides gras (polyinsaturés n-3 notamment), et par suite leur valeur nutritionnelle.
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LARZUL, C., P. E ROY, G. MONIN, and P. SELLIER. "Variabilité génétique du potentiel glycolytique du muscle chez le porc." INRAE Productions Animales 11, no. 3 (June 3, 1998): 183–97. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.3.3937.

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Abstract:
Le potentiel glycolytique du muscle (PG) se réfère à la teneur en glycogène musculaire chez l’animal vivant et est défini comme le potentiel de production d’acide lactique lors de la glycolyse post mortem. Le PG varie selon le muscle considéré : il est plus fort dans les muscles de type blanc que dans les muscles de type rouge. La valeur du PG dépend aussi du moment de la mesure : elle est plus élevée lorsque le muscle est prélevé par biopsie sur l’animal au repos que lorsqu’il est prélevé sur la carcasse dans l’heure qui suit l’abattage. Une relation de type linéaire puis en plateau lie le pH ultime au PG, et la valeur-seuil de PG au-delà de laquelle le pH ultime reste constant dépend du muscle considéré. La valeur du PG est très fortement influencée par le gène majeur RN (viande acide), qui est à l’origine de la position très particulière occupée de ce point de vue par la race Hampshire ("effet Hampshire"). L’allèle RN-, responsable de l’augmentation substantielle (+ 70 %) de la teneur en glycogène des muscles de type blanc rapide (Long dorsal par exemple), est presque complètement dominant. En dehors du gène RN, le PG présente une variabilité polygénique appréciable (héritabilité de 20-25 %). Ce caractère est lié positivement au rapport muscle/gras de la carcasse et à la teneur en glycogène résiduel de la viande. Il est lié négativement au pH ultime et au rendement à la cuisson de la viande. Les animaux porteurs de l’allèle RN-se caractérisent par une forte élévation du rapport eau/protéines du muscle. Plusieurs faits indiquent que le métabolisme énergétique du muscle est à tendance plus oxydative chez les animaux à PG génétiquement plus fort. Le potentiel glycolytique du muscle, caractère mesurable chez l’animal vivant (sur une biopsie du Long dorsal), est un critère de sélection à prendre en considération pour l’amélioration génétique de la qualité de la viande de porc.
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RENAND, G., C. LARZUL, E. LE BIHAN-DUVAL, and P. LE ROY. "L’amélioration génétique de la qualité de la viande dans les différentes espèces : situation actuelle et perspectives à court et moyen terme." INRAE Productions Animales 16, no. 3 (May 10, 2003): 159–73. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.3.3657.

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Abstract:
Les efforts d’amélioration génétique de nos populations d’animaux domestiques exploitées pour la production de viande ont porté jusqu’à présent essentiellement sur les critères de production, principalement la vitesse de croissance en vif mais aussi, de plus en plus, la croissance musculaire. Seules les qualités technologiques de la viande de porc sont actuellement intégrées dans les schémas d’amélioration génétique du fait de leur impact économique, de la mise en évidence de gènes à effet majeur (HAL sur la viande ’pisseuse’ et RN sur la viande ’acide’) et de l’existence de prédicteurs du rendement technologique mesurables en abattoir (pH, réflectance, perte en eau). Il est ainsi possible de poursuivre l’amélioration de la croissance musculaire tout en maintenant le niveau des qualités technologiques dans nos populations porcines. Chez les volailles, une part croissante de la production est utilisée par les industries de transformation. Comme chez le porc, il a été montré que les mesures de pH, de réflectance et de perte d’eau sont génétiquement liées au rendement technologique. Par contre, alors qu’il existe une relation génétique légèrement défavorable chez le porc, ces critères n’apparaissent pas liés génétiquement aux caractères de production chez les volailles. La sélection des qualités sensorielles se heurte pour l’instant à l’absence de prédicteurs mesurables en abattoir. Les recherches actuelles visent principalement à mettre en évidence les relations génétiques entre caractères de production et qualités sensorielles. Chez les volailles et le lapin, une sélection sur la croissance n’a pas d’impact sur les qualités sensorielles si l’âge à l’abattage n’est pas modifié. Par contre la réduction de l’âge à l’abattage des volailles, consécutive à la sélection sur la croissance, induit un accroissement de la tendreté et une réduction de la flaveur liés à la moindre maturité des animaux. Chez le porc, les relations génétiques entre croissance musculaire et qualités sensorielles sont assez nettement défavorables et une dégradation de ces dernières pourrait être évitée si une sélection pour accroître la teneur en lipides intramusculaires était possible. Chez les bovins, les quelques études menées en France permettent d’assurer qu’une sélection sur la croissance musculaire devrait être plutôt favorable à la tendreté, mais défavorable à la flaveur. Comme dans le cas du porc, une sélection sur la teneur en lipides intramusculaires permettrait de pallier cet effet négatif. Dans ces deux espèces, l’amélioration simultanée de la croissance musculaire et de la teneur en lipides intramusculaires se heurte non pas tant à l’existence d’une relation génétique négative entre ces deux objectifs, mais surtout à la difficulté d’obtenir un prédicteur fiable et non destructif de cette teneur chez des animaux qui sont particulièrement maigres. Cette difficulté milite pour la recherche de gènes qui soient à la fois impliqués dans ces qualités et sélectionnables grâce à un polymorphisme facilement détectable.
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HERPIN, P., M. DAMON, J. F. HOCQUETTE, F. MÉDALE, L. MOSONI, G. STÉPIEN, C. WRUTNIAK-CABELLO, and G. CABELLO. "Implication des mitochondries dans la biologie musculaire : un rôle clé au cours du développement, de la croissance et de la fonte musculaire." INRAE Productions Animales 19, no. 4 (September 13, 2006): 245–63. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.4.3493.

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Abstract:
Cette synthèse concerne les recherches récemment effectuées à l’INRA sur le rôle des mitochondries dans la régulation du développement, de la croissance et des propriétés du muscle des animaux d’élevage et dans le déterminisme de la fonte musculaire au cours du vieillissement chez l’homme. La relation entre activité mitochondriale et développement musculaire a été confirmée. Au-delà de la relation entre métabolisme oxydatif, densité mitochondriale et type contractile des fibres, nous montrons que les caractéristiques intrinsèques des organites diffèrent en fonction des isoformes de myosine présentes. Les mitochondries participent à la définition du type contractile et à la différenciation des myoblastes, via le dialogue mitochondries-noyau auquel participent trois gènes cibles majeurs de l’organite : c-Myc (répresseur), Calcineurine et myogénine (stimulateurs). L’importance de la voie d’action mitochondriale de la T3 pour la régulation de la itochondriogenèse et de l’activité de l’organite est confirmée à la fois in vitro et in vivo. Aucune relation claire n’a été mise en évidence entre la quantité de lipides intramusculaires (LIM), un déterminant important de la qualité des viandes, et l’activité mitochondriale. La teneur en LIM semble davantage corrélée avec la différenciation des adipocytes intramusculaires et l’importance des flux de lipides dans le muscle qu’avec une voie métabolique particulière. Les protéines découplantes, UCP2, UCP3 (chez le porc) et avUCP (chez le poulet) sont régulées différemment mais il reste difficile de conclure sur leur rôle physiologique. UCP3 et avUCPs sont des effecteurs importants de l’effet thermogénique de la T3 et pourraient jouer un rôle dans le contrôle du métabolisme basal, tandis qu’avUCP semble être un régulateur métabolique majeur chez le poulet. Les travaux concernant l’activité mitochondriale en relation avec le vieillissement ont produit un certain nombre de résultats divergents par rapport à la littérature : absence d’accumulation de délétions de l’ADN mitochondrial et d’altération de l’expression de gènes mitochondriaux ou nucléaires avant un âge très avancé. Pourtant, la production mitochondriale d’H2O2 augmente avec l’âge et le vieillissement accroît la sensibilité de la respiration mitochondriale au calcium, deux phénomènes susceptibles de participer à l’induction «facilitée» d’une mort cellulaire. En conclusion, que ce soit chez l’animal ou l’homme, les mitochondries musculaires participent à de nombreuses fonctions physiologiques en liaison avec leurs différentes activités biologiques.
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PICARD, B., B. LEBRET, I. CASSAR-MALEK, L. LIAUBET, C. BERRI, E. LE BIHAN-DUVAL, F. LEFEVRE, J. F. HOCQUETTE, and G. RENAND. "Des marqueurs génomiques au service de la qualité de la viande." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 183–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3024.

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Abstract:
Le séquençage et l’annotation du génome des principaux animaux producteurs de viande ou de chair, ont permis l’essor des études de génomique au cours de la dernière décennie. Les techniques utilisées concernent d’une part la détection de mutations sur des régions du génome (QTL : « Quantitative Trait Loci »). Cette approche dite de génomique structurale a permis la détection de gènes majeurs (mutations ayant un effet majeur sur un caractère), comme le gène « culard » chez le bovin et le mouton, les gènes halothane et « Rendement Napole » chez le porc. Des QTL associés à une qualité, comme la vitesse de chute de pH chez le poulet, ont été identifiés. D’autre part, le niveau d’expression des gènes mesuré au travers de l’abondance relative d’ARN messagers et de protéines est analysé respectivement dans les études de transcriptomique et de protéomique. Des protéines ou des ARN messagers dont l’abondance est associée à une composante de qualité de viande, ont été identifiés chez le porc, le bovin, le poulet et la truite. Ils constituent des biomarqueurs d’intérêt pour la compréhension et la maîtrise des qualités d’intérêt pour chaque espèce. Le développement en cours d’outils d’évaluation de la qualité à destination des acteurs des filières permettra des applications sur l’animal vivant pour l’évaluation de son potentiel de qualité et l’adaptation de la conduite d’élevage à ce potentiel. Sur la carcasse, ils serviront à orienter sa destination bouchère ou celle des pièces ou morceaux de découpe. Ces biomarqueurs seront également utiles pour fournir des mesures phénotypiques pour la sélection génomique appliquée à la qualité de la viande.
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COMBES, S. "Valeur nutritionnelle de la viande de lapin." INRAE Productions Animales 17, no. 5 (October 5, 2004): 373–83. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.5.3610.

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Abstract:
Les aliments pour l’homme, outre leurs aspects nutritionnels de couverture des besoins, ont acquis depuis peu une valeur santé. Face à ce phénomène, de nouveaux besoins de connaissances concernant les constituants des aliments sont apparus. Cet article a pour objet de montrer les points forts et les lacunes dans les connaissances relatives à la valeur nutritionnelle de la viande de lapin. 50 publications ont été sélectionnées. Pour des lapins aux âges et poids commerciaux d’abattage, les teneurs en protéines (21 + 1,5 % de viande fraîche), eau (72,5 + 2,5 % de viande fraîche) et minéraux totaux (1,2 + 0,1 % de viande fraîche) sont similaires dans les différents travaux et ne nécessitent pas d’autres investigations. Les principales causes de variations de la teneur en lipides (5 + 3,3 % de viande fraîche) sont connues et bien décrites (région anatomique et alimentation principalement). La viande de lapin est pauvre en sodium (49 mg/100 g) mais riche en phosphore (277 mg/100 g). Les teneurs en certains éléments tels le fer (1,4 mg/100 g), le cuivre ou le sélénium ne sont pas suffisamment bien établies. Par ailleurs les teneurs d’autres oligo-éléments n’ont à notre connaissance jamais été évaluées. Enfin, les données disponibles semblent indiquer que la viande de lapin montre un profil global en vitamines proche de celui observé chez le poulet. Il est cependant nécessaire de confirmer ces observations. La viande de lapin présente une teneur en cholestérol relativement basse comparativement aux autres viandes de 59 mg/100g et un ratio en acides gras oméga 6 / oméga 3 avantageux de 5,9. L’équilibre en acide gras de la viande de lapin, animal monogastrique et herbivore, montre par ailleurs une remarquable plasticité en fonction de l’équilibre en acide gras de la ration.
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LEBRET, B., and B. PICARD. "Les principales composantes de la qualité des carcasses et des viandes dans les différentes espèces animales." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 10, 2020): 93–98. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3013.

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Abstract:
La viande et la chair de poisson constituent une source essentielle de protéines, de vitamines et de micronutriments pour l’alimentation humaine. Les produits carnés représentent une activité économique importante au niveau mondial ; le niveau et l’évolution de leur consommation varient fortement selon les espèces et les zones géographiques. Le volume des productions doit répondre à l’accroissement de la population mondiale, tout en considérant les composantes environnementales, sociétales et économiques du développement durable. Cet article constitue une introduction générale au numéro spécial « Le muscle et la viande ». Il définit les principales composantes de qualité des carcasses, de la viande ou de la chair communes aux différentes espèces animales. Dans les articles suivants les principales filières (bovin, ovin, porc, poulet, poisson) sont présentées : production, consommation,problèmes de qualité spécifiques et attentes des acteurs, enjeux et questions de recherche prioritaires.
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MOUROT, J., M. KOUBA, and G. SALVATORI. "Facteurs de variation de la lipogenèse dans les adipocytes et les tissus adipeux chez le porc." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 311–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3892.

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Abstract:
Le porc, longtemps considéré comme un fournisseur de corps gras, a fait l’objet, dans les années 50, de nombreuses critiques de la part des consommateurs vis-à-vis de son adiposité. Des programmes de sélection et une meilleure connaissance des besoins alimentaires ont permis de réduire fortement l’adiposité de la carcasse et d’en augmenter la teneur en viande. Dans le même temps, des recherches sur la lipogenèse ont été conduites sur la croissance et le développement des tissus adipeux. Ces travaux, qui ont essentiellement concerné les tissus adipeux externes ou internes, sont relativement anciens et doivent être réactualisés. En effet, les porcs actuels ont une adiposité de la carcasse inférieure à 20 % alors qu’en 1960, l’adiposité était supérieure à 40 %. Les études actuelles sont aussi davantage orientées vers la connaissance du tissu adipeux intramusculaire en relation avec les qualités organoleptiques de la viande. Ce tissu est formé d’adipocytes essentiellement groupés le long des faisceaux de fibres. La teneur en lipides de la viande étant jugée trop faible par les consommateurs, il faudrait envisager de doubler la quantité de tissu adipeux intramusculaire. Les travaux présentés dans cet article ont montré que les adipocytes intramusculaires ont une capacité de synthèse lipidique supérieure à celle des adipocytes des tissus adipeux externes. On peut espérer stimuler la lipogenèse intramusculaire par des facteurs d’élevage, mais il est vraisemblable que le facteur limitant restera le nombre d’adipocytes. Il faut donc envisager de stimuler la prolifération adipocytaire, ce qui nécessite de connaître les mécanismes qui contrôlent cette multiplication. Actuellement, les travaux s’orientent vers la recherche de marqueurs de la prolifération des adipocytes intramusculaires chez le porc, mais aussi chez les autres espèces animales pauvres en lipides intramusculaires comme les volailles ou le lapin.
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Mouzoun, Séraphin, Toussaint O. Lougbegnon, Laurent G. Houessou, and Jean T. C. Codjia. "Valorisation du porc-épic à crête (Hystrix cristata) par les communautés des réserves de biosphère de Pendjari et du W (Bénin)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 335 (March 15, 2018): 39. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.335.a31498.

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Abstract:
La demande croissante de viande de brousse en Afrique menace d’extinction de nombreuses espèces animales. Certaines sont en situation précaire, tel le porc-épic à crête (Hystrix cristata). Menacé d’extinction, il reste chassé dans plusieurs pays africains pour sa viande, très prisée par les populations locales, mais aussi ses poils modifiés en piquants. Peu connu, il présente des particularités qui lui sont spécifiques. Seul représentant de la famille des hystricidés au Bénin, il est exploité à diverses fins, dont l’alimentation humaine, en tant que source de protéines pour les populations locales, et la médecine traditionnelle. Par des enquêtes, des entrevues, des discussions informelles et des observations de terrain, nous avons étudié les usages du porc-épic à crête par les populations des réserves de biosphère de Pendjari et du W au Bénin. Cette espèce animale est utilisée dans quatre domaines : alimentation, pharmacopée, commerce et ornement. Les fréquences d’usage répertoriées sont la nourriture (100 % des personnes interrogées), la pharmacopée (80,3 %), le commerce (37,5 %) et l’ornement-artisanat (2,2 %). Les parties qui présentent les valeurs d’usage (VU) les plus élevées, toutes catégories d’usage confondues, sont la chair et la peau (viande) (VU = 1,00), les piquants (VU = 0,76) et l’estomac (VU = 0,42). La gestion effective du porc-épic à crête et de son milieu de vie suppose de conduire des recherches plus approfondies, notamment sur son importance économique et les éventuelles possibilités de son élevage en captivité.
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OUHAYOUN, J. "La composition corporelle du lapin. Facteurs de variation." INRAE Productions Animales 2, no. 3 (July 10, 1989): 215–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.3.4415.

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Abstract:
Dans les élevages de lapins spécialisés, la production d’une femelle est de l’ordre de 45 lapereaux abattus par an, soit 60 kg de viande. Généralement de format adulte moyen (4 kg) ces lapereaux fournissent en 10-11 semaines une carcasse de 1,3 kg dont les morceaux nobles (83 % de la carcasse), comestibles à 85 %, sont particulièrement maigres (moins de 3 % de tissu gras). L’espèce cunicole est riche en races de formats très différents. Celles-ci représentent un potentiel important de diversification qualitative de la viande. En particulier, les races géantes sont intéressantes dans la mesure où la découpe et la transformation se développent. Les principales caractéristiques bouchères des carcasses : le rendement à l’abattage, le rapport muscle/os et éventuellement l’adiposité peuvent être modifiées par sélection en race pure. L’amélioration de la vitesse de croissance par sélection ou par augmentation de la teneur en protéines de l’aliment, qui favorise la voie glycolytique du métabolisme énergétique musculaire, peut entraîner une dégradation de la qualité de la viande. Lorsque la vitesse de croissance des lapereaux est accrue, soit par un meilleur équilibre des nutriments (protéines/ énergie, notamment), soit par un apport alimentaire élevé (nourriture à volonté, teneur en lest minimum), les caractéristiques corporelles sont modifiées. Les proportions des tissus précoces (tractus digestif, squelette et éventuellement peau) sont réduites, celles des tissus tardifs (tissu musculaire et surtout tissu adipeux) sont augmentées ; par conséquent, le rendement à l’abattage, le rapport muscle/os et l’adiposité sont favorisés. Chez le lapin, herbivore monogastrique, la supplémentation en lipides de l’aliment, destinée à élever le niveau énergétique de la ration sans abaisser celui des glucides indigestibles, peut intervenir sur la stabilité thermique et chimique des graisses corporelles.
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CLINQUART, A., J. L. HORNICK, C. VAN EENAEME, and L. ISTASSE. "Influence du caractère culard sur la production et la qualité de la viande des bovins Blanc Bleu Belge." INRAE Productions Animales 11, no. 4 (October 3, 1998): 285–97. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.4.3955.

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Abstract:
Lorsqu’on les compare à des sujets mixtes de la même race, les taurillons Blanc Bleu Belge (BBB) culards réalisent des gains quotidiens moyens au moins aussi élevés tout en consommant moins d’aliments. L’amélioration de l’efficacité alimentaire est expliquée principalement par la composition des gains de poids : la carcasse d’un sujet BBB culard contient au moins 60 kg de muscle en plus et 30 kg de graisse en moins que celle d’un sujet mixte abattu au même poids vif. Lorsque le poids vif augmente, on observe, dans les deux types, une augmentation du rendement à l’abattage et de la proportion de viande maigre dans la carcasse. La composition chimique et les qualités organoleptiques des viandes sont, elles aussi, influencées par le caractère culard. La teneur en gras est réduite et la proportion d’acides gras polyinsaturés est augmentée chez le culard, ce qui constitue un avantage nutritionnel. L’évolution plus rapide du pH post mortem chez le taurillon culard ne peut expliquer que très partiellement les différences observées pour les qualités sensorielles. La couleur plus pâle de la viande est liée en grande partie à sa faible teneur en myoglobine. L’avantage du culard en matière de tendreté, expliqué par une teneur faible en collagène, n’apparaît pas dans un morceau noble de la carcasse à faible teneur en collagène. Enfin, dans la majorité des études disponibles à ce jour, la capacité de rétention d’eau de la viande produite par les culards apparaît peu différente de celle des non culards. Les concentrations de plusieurs métabolites sanguins indiquent une répartition des nutriments favorable au dépôt de protéines et défavorable au dépôt de graisses chez le culard. Lors de l’engraissement, les particularités endocriniennes concernent essentiellement l’hormone de croissance et l’insuline ; elles peuvent expliquer la répartition particulière des nutriments.
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HENRY, Y. "Signification de la protéine équilibrée pour le porc : intérêt et limites." INRAE Productions Animales 1, no. 1 (February 11, 1988): 65–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.1.4437.

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Abstract:
Après une première globalisation sur la base de la teneur en protéines du régime, le besoin azoté du porc en croissance a pris une signification composite par la prise en compte des besoins en acides aminés indispensables séparément les uns des autres, pour aboutir finalement à la notion de besoin en protéine équilibrée présentant une composition constante en acides aminés. L’amélioration de l’équilibre en acides aminés, associée à une réduction du taux de protéines dans l’aliment, est désormais rendue possible par la supplémentation à l’aide d’acides aminés industriels : en premier lieu la lysine seule, qui est généralement l’acide aminé le plus limitant des aliments pour porcs, puis la lysine avec les autres acides aminés limitants secondaires (thréonine, tryptophane, méthionine). En dehors de leur caractère limitant, des cas d’excès de certains acides aminés peuvent se présenter : déséquilibre entre acides aminés ramifiés, excès d’arginine, déséquilibre entre les acides aminés neutres qui pourrait expliquer l’effet dépressif d’un taux de protéines excessif sur l’ingestion alimentaire. Dans un deuxième temps, nous avons analysé les limites du concept de la protéine équilibrée : non constance de la composition en acides aminés des protéines fixées, différences dans le devenir métabolique des acides aminés, nécessité de prendre en compte la disponibilité des acides aminés. Par ailleurs, en dehors de l’économie de protéines, les bénéfices à attendre de l’amélioration de l’équilibre en acides aminés s’étendent à l’économie d’énergie alimentaire et à une stimulation de la consommation volontaire d’aliment, ce qui permet de viser tout à la fois un abaissement du coût de l’alimentation et une valorisation optimale des potentialités des génotypes à forte intensité de dépôt de tissus maigres.
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SELLIER, P., J. BOUIX, G. RENAND, and M. MOLÉNAT. "Les objectifs et les critères de sélection : Les aptitudes bouchères : croissance, efficacité alimentaire et qualité de la carcasse." INRAE Productions Animales 5, HS (December 2, 1992): 147–59. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4278.

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Abstract:
Les programmes de sélection sur les aptitudes bouchères ont un double objectif : l’abaissement du coût de production et l’amélioration de la qualité du produit. Cet article rappelle un certain nombre de données de base sur les aptitudes bouchères : courbe de croissance, évolution de la composition chimique et tissulaire chez l’animal en croissance (notion d’allométrie), énergétique de la croissance (relation entre efficacité alimentaire et croissance musculaire), développement des tissus musculaire et adipeux, qualités de la viande et du gras. Les objectifs et les critères de sélection sont décrits pour chacune des espèces bovine, ovine et porcine. L’importance relative accordée aux différents caractères (vitesse de croissance, efficacité alimentaire, teneur en viande de la carcasse, qualité de la viande) varie selon l’espèce. Chez les bovins allaitants et les ovins, l’évaluation génétique des mâles repose dans un premier temp sur le contrôle individuel et dans un second temps sur le contrôle de descendance. Chez le porc, la composition corporelle peut être estimée avec précision sur l’animal vivant (échographie aux ultra-sons) et le contrôle individuel a été largement utilisé dans les deux dernières décennies.
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MOUROT, J. "Utilisation du glycérol en alimentation porcine." INRAE Productions Animales 22, no. 5 (December 9, 2009): 409–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.5.3365.

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Abstract:
Le développement de l’agrochimie va mettre sur le marché des matières premières des coproduits qui pourront être utilisés en alimentation animale. Afin de pouvoir les valoriser en production animale, il est nécessaire de montrer la bonne efficacité des ces coproduits en terme de performances de croissance, de qualité de la viande et aussi d’économie de production. Le développement de la production de diester à partir de la transestérification de l’huile de colza pourra permettre de disposer de glycérol. Son utilisation semble possible en alimentation animale. Les différentes données expérimentales montrent que, chez le porc, le glycérol alimentaire, à la dose de 5% d’introduction dans l’alimentation ne modifie pas l’appétence de l’aliment et n’a pas d’action négative sur les performances de croissance, sur la conversion énergétique des aliments et sur la composition tissulaire de la carcasse. Certains paramètres de la qualité de la viande sont améliorés comme la rétention d’eau et la teneur en lipides des muscles ce qui peut être bénéfique pour le rendement de transformation et la qualité organoleptique de la viande.
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Boodhoo, K., C. Lisette, and S. J. Santchurn. "Transformation artisanale de la viande de porc à Rodrigues : pratiques de fabrication et qualité des produits." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 3 (June 30, 2015): 103. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10161.

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Abstract:
L’île Rodrigues est connue pour ses produits traditionnels fabriqués à base de porc. Cependant, et contrairement à la production agricole y compris l’élevage porcin (1, 2, 3), le secteur de la transformation de la viande porcine a été peu étudié. Cette étude a été menée pour préciser les caractéris­tiques du secteur de la transformation de la viande de porc, notamment les profils socio-économiques des transforma­teurs, les types de produits fabriqués, les matières premières, ingrédients et additifs utilisés, les techniques et matériel de fabrication, ainsi que les modes de stockage et de condi­tionnement des produits finis. Une évaluation du niveau de conformité des unités de fabrication a également été effec­tuée au regard de la réglementation mauricienne sur l’hygiène alimentaire.Une enquête auprès de tous les transformateurs de porc recensés (n = 57) a été réalisée de décembre 2010 à janvier 2011 à l’aide d’un questionnaire et d’une liste de contrôle. Excepté pour deux unités semi-industrielles, le secteur est constitué de petites unités de fabrication de charcuterie, opérant majoritairement à temps partiel (96 p.100), et gérées principalement par des hommes (65 p.100). Les principaux produits fabriqués sont la saucisse chinoise, le jambon rodriguais et le boudin noir (figure 1). Le kitouz, le boucané, le rôti de porc, le porc salé, la galantine, la saucisse créole et le bacon rodriguais sont également produits mais surtout pour des occasions festives. Les techniques de fabri­cation les plus utilisées sont le salage et le séchage, la cuisson n’étant employée que pour certains produits, comme le rôti de porc et le boudin noir. La viande de porc provient d’élevages locaux, alors que les ingrédients comme les épices, le sel et le sucre sont importés de l’île Maurice.Tous les artisans charcutiers recensés (n = 57) fabriquaient leurs produits dans la cuisine familiale à l’aide de matériel de faible coût, et en adoptant une technologie rudimentaire et empirique, et des recettes traditionnelles. La plupart des transformateurs ne suivaient pas les codes de bonnes pratiques de fabrication et étaient bien en-deçà des normes d’hygiène requises par la réglementation mauricienne. Quatre-vingts pour cent d’entre eux n’avaient pas de système de contrôle de leur procédé de fabrication. Ainsi, par exemple dans la fabrication des sau­cisses chinoises, le degré de hachage de la viande pouvait varier d’un hachage grossier à très fin. Les quantités d’ingré­dients étaient mesurées de façon approximative en utilisant des cuillères et des tasses. Parmi ces artisans, 88 p.100 n’éti­quetaient pas leurs produits après l’emballage. Par ailleurs, en début de la chaîne de fabrication, l’abattage du porc s’effec­tuait souvent dans des conditions insalubres augmentant ainsi les risques de contamination microbiologiques de la carcasse. La plupart des artisans (95 p.100) stockait la viande fraîche à température ambiante, favorisant ainsi la multiplication des germes. Pour ces diverses raisons, les produits finis étaient clai­rement hétérogènes au niveau des dimensions, de la teneur en gras, de la couleur, de l’aspect général et de la durée de conservation.En conclusion, les fabricants devront mettre en oeuvre les bonnes pratiques de fabrication et d’hygiène de base, afin d’assurer une qualité standard des produits finis et d’améliorer leur qualité sanitaire. Une étude ultérieure sera réalisée pour mieux définir la qualité microbiologique des produits.
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DOURMAD, J. Y., C. LE MOUEL, and P. RAINELLI. "Réduction des rejets azotés des porcs par la voie alimentaire : évaluation économique et influence des changements de la Politique Agricole Commune." INRAE Productions Animales 8, no. 2 (April 22, 1995): 135–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.2.4120.

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Abstract:
Dans les régions de productions animales intensives, l’élimination des déjections constitue un problème crucial, en raison principalement des risques de pollution des eaux par les nitrates et de l’air par l’ammoniac. On a envisagé récemment, comme alternative ou en complément du traitement des effluents, des solutions préventives visant à réduire les rejets azotés à la source. Il s’agit principalement de mieux adapter l’apport protéique de l’aliment et d’améliorer les performances des animaux. Dans le contexte de la nouvelle politique agricole commune (PAC), nous avons tenté d’évaluer le coût de cette approche préventive. Les résultats montrent que la réforme de la PAC induit des modifications importantes dans la formulation des régimes. On constate ainsi une réduction de 1 à 1,5 point de la teneur en protéines des aliments qui s’accompagne d’une diminution de l’excrétion azotée de 0,2 à 0,4 kg/porc. Cependant, cette évolution est très sensible aux rapports de prix entre sources de protéines et d’énergie. La modification de la conduite de l’alimentation permet de réduire le rejet azoté jusqu’à 500 g/porc, tout en réduisant le coût “ matières premières ” de l’aliment de 8 à 13 F/porc (3 à 5%). Mais cette approche induit des investissements supplémentaires au niveau de l’élevage en terme de stockage et de distribution d’aliment. L’amélioration de l’équilibre du régime en acides aminés s’accompagne d’une augmentation du coût alimentaire d’autant plus importante que l’on s’éloigne de la solution optimale. Une réduction du rejet azoté de 500 g/porc entraîne ainsi un coût supplémentaire de 2 à 4 F /porc. Si l’on combine l’amélioration de la stratégie d’alimentation et l’amélioration de l’équilibre protéique du régime, on peut réduire le rejet azoté d’environ 20 à 25 % sans augmenter significativement le coût matières premières de l’aliment.
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LEBRET, B. "Conséquences de la rationalisation de la production porcine sur les qualités des viandes." INRAE Productions Animales 17, no. 2 (May 20, 2004): 79–91. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.2.3555.

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Abstract:
Le porc est la viande la plus consommée en France actuellement. La production nationale a doublé depuis les années 60, grâce à la mise en place d’un plan de rationalisation de la production. Les performances techniques des élevages (prolificité, vitesse de croissance, proportion de tissus maigres des carcasses) ont fortement progressé, grâce aux importants progrès réalisés en génétique, en nutrition animale et dans la conduite des élevages. Ces gains de productivité ont permis de répondre à la demande croissante pour une viande de plus en plus maigre à un prix compétitif. Cependant, l’élevage porcin rationalisé est maintenant jugé responsable d’une détérioration de la qualité des produits proposés aux consommateurs. Après une présentation des composantes de la qualité des carcasses et des viandes de porc, l’article fait le point sur l’effet de l’accroissement de la productivité sur ces qualités. Les faits majeurs sont l’augmentation de la teneur en muscle des carcasses, ainsi que l’identification de gènes à effet majeur sur la qualité de viande (HAL et RN) et l’éradication des allèles défavorables n (dans les lignées maternelles) et RN-. L’indice de qualité de viande, seul critère de qualité inclus dans les programmes de sélection, est resté globalement stable depuis 20 ans dans les races contrôlées, conformément à l’objectif fixé. Une évaluation du progrès génétique réalisé en race Large White depuis 1977 montre une réduction du pH ultime et du rendement à la cuisson des viandes, alors que le taux de lipides intramusculaires, composante favorable aux propriétés sensorielles, est resté stable. L’aptitude à la transformation en produits secs de la bardière s’est dégradée, toutefois ce défaut peut être corrigé en partie par une alimentation appropriée distribuée aux animaux. En conclusion, la rationalisation de la production porcine a permis d’améliorer les qualités des carcasses, sans entraîner de dégradation majeure des qualités des viandes dans les races utilisées en production standard, voire de les améliorer dans les lignées où la fréquence des allèles n et RN- était élevée.
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LE FLOC’H, M. "Conséquences d’un état inflammatoire ou infectieux sur le métabolisme et le besoin en acides aminés chez le porc." INRAE Productions Animales 13, no. 1 (February 18, 2000): 3–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.1.3763.

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Abstract:
Les modifications métaboliques associées aux états inflammatoires et infectieux sont susceptibles de modifier les besoins nutritionnels des animaux notamment en protéines et en acides aminés. L’organisme réoriente le flux des acides aminés vers les tissus impliqués dans la réaction inflammatoire ou la réponse immunitaire au détriment des tissus assurant la croissance. Ces acides aminés sont utilisés pour la synthèse des protéines de l’inflammation et de l’immunité dont le profil est différent de celui des protéines participant à la croissance, engendrant alors des besoins spécifiques en acides aminés. Par exemple, le besoin en acides aminés soufrés, notamment en cystéine, est fortement augmenté chez les animaux en situation de sepsis (nom donné aux états inflammatoires généralisés). La cystéine est utilisée dans la synthèse de glutathion dont la production est fortement augmentée lors des états inflammatoires. Chez le porc, on dispose encore de très peu de données expérimentales permettant d’établir les besoins spécifiques en acides aminés. La lysine n’est probablement pas un acide aminé limitant pour la réaction immunitaire alors que les concentrations sériques d’immunoglobulines sont influencés par la teneur en thréonine de l’aliment. La couverture de ces besoins spécifiques permettrait de limiter la chute des performances de croissance observées chez des animaux dont le système immunitaire est activé.
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LESSIRE, M. "Qualité des viandes de volaille : le rôle des matières grasses alimentaires." INRAE Productions Animales 8, no. 5 (October 24, 1995): 335–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.5.4147.

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Abstract:
D’année en année, la consommation de viande de volaille va croissante en France au détriment des autres produits carnés. Cet engouement a pour raisons essentielles un prix resté modéré et la moindre teneur en lipides des viandes de volaille. Or, le poulet en particulier est devenu de plus en plus gras. L’objet de cet article est de préciser les facteurs d’origine alimentaire responsables de l’engraissement des oiseaux. L’augmentation du niveau énergétique de la ration, et surtout du rapport calories sur protéines accroissent beaucoup plus l’engraissement du poulet que la quantité des lipides ingérés. A l’inverse, la nature de ces lipides peut modifier profondément les profils en acides gras des dépôts adipeux et avoir ainsi un effet sur la stabilité et la qualité organoleptique et diététique du produit.
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TESSERAUD, S., I. BOUVAREL, P. FRAYSSE, S. MÉTAYERCOUSTARD, A. COLLIN, M. LESSIRE, and C. BERRI. "Optimiser la composition corporelle et la qualité des viandes de volailles en modulant le métabolisme par les acides aminés alimentaires." INRAE Productions Animales 27, no. 5 (December 12, 2014): 337–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.5.3081.

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Abstract:
Pour optimiser la composition corporelle et la qualité des viandes tout en garantissant l’efficacité des systèmes de production, il faut comprendre et maîtriser les mécanismes régulant l'utilisation métabolique des nutriments. Dans cette synthèse, nous présentons les généralités concernant la régulation nutritionnelle du métabolisme. Quelques exemples choisis et représentatifs (i.e. apports en protéines et acides aminés, rythme d’apport) sont utilisés pour illustrer ce type de recherche en privilégiant les résultats obtenus lors d’études récentes et en précisant leur intérêt pratique. Nous détaillons leur incidence sur la qualité des produits, et plus généralement l’efficacité des systèmes de production de viande de volaille, au travers d’études impliquant des recherches fondamentales et appliquées. Sont abordés les aspects concernant la composition corporelle et la qualité de la viande en lien avec sa sensibilité à l’oxydation ou avec son pH. Par exemple, chez le poulet, le pH ultime constitue un élément clé dont dépendent plusieurs caractéristiques technologiques et sensorielles de la viande. Il est en grande partie déterminé par la teneur en glycogène du muscle au moment de la mort des animaux, qui dépend entre autres du statut nutritionnel des animaux. Le défi de l’ensemble de ces travaux est de générer des connaissances scientifiques originales, mais aussi de permettre d’optimiser les apports alimentaires (quantitatifs, qualitatifs et rythmes) au cours du développement et en fonction des objectifs de production.
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HENRY, Y. "Alimentation du porc pour la production de viande maigre : évolutions récentes et perspectives." INRAE Productions Animales 6, no. 1 (February 27, 1993): 31–45. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4185.

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Abstract:
La production porcine a bénéficié, au cours des dernières décennies, de progrès importants et continus réalisés par la sélection pour une croissance sans cesse plus forte de tissus maigres et un dépôt décroissant de gras, en réponse à la demande des consommateurs. Cet article examine les changements intervenus dans l’alimentation en considérant les évolutions récentes et les perspectives, compte tenu de l’évolution prévisible des performances de production et de l’apport des nouvelles technologies. L’importance du progrès génétique en faveur de la croissance des tissus maigres a conduit en premier lieu à envisager une modélisation de la prévision des besoins nutritionnels (énergie, protéines et acides aminés, minéraux), dont les variations se traduisent notamment par des exigences moins marquées en énergie que par le passé et par un accroissement important des besoins en acides aminés relativement à l’apport énergétique. Grâce à cette démarche de modélisation, il est désormais possible de définir de nouvelles stratégies d’alimentation adaptées pour la production de viande maigre (plan de rationnement alimentaire, choix du type d’aliment pour une phase de production déterminée), en fonction des conditions particulières de production et à l’aide de systèmes d’évaluation des aliments suffisamment discriminants (énergie nette, digestibilité iléale des acides aminés). En outre, l’augmentation de certains intrants alimentaires (azote, phosphore) pour une production accrue de viande maigre implique une gestion raisonnée de leurs apports, afin de prévenir des rejets excessifs dans l’environnement (eau, atmosphère). La tendance à une certaine dégradation de la qualité de la viande, notamment sous l’angle technologique et organoleptique, au fur et à mesure des progrès de la sélection sur la croissance musculaire, oblige à une prise en compte, par l’alimentation, des exigences de qualité des produits, qu’il s’agisse des dépôts gras ou des tissus maigres (importance du gras intramusculaire). Il en est de même avec le recours à de nouvelles technologies permettant, soit de préserver le potentiel de croissance musculaire (utilisation du porc mâle entier), soit de le stimuler (facteurs de croissance). En dernier lieu, après avoir considéré les effets de l’alimentation sur la conformation des carcasses, en relation avec l’amélioration du développement musculaire, les conséquences d’un amaigrissement excessif des truies sur les performances de reproduction sont évoquées en liaison avec la mobilisation et la reconstitution des réserves lipidiques corporelles. Ce problème d’équilibre entre les tissus musculaire et gras constitue un enjeu important pour l’évolution future de l’alimentation du porc maigre. Au plan de l’application, les nouvelles approches nutritionnelles, basées sur l’établissement de lois de réponse qui prennent en compte la diversité à la fois des types génétiques (depuis les plus gras jusqu’aux plus maigres) et des conditions d’élevage et de milieu devraient permettre, dans chaque cas, de définir les conditions optimales de production d’un type de porc particulier.
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HOCQUETTE, J. F., I. ORTIGUES-MARTY, M. DAMON, P. HERPIN, and Y. GEAY. "Métabolisme énergétique des muscles squelettiques chez les animaux producteurs de viande." INRAE Productions Animales 13, no. 3 (June 18, 2000): 185–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.3.3780.

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Abstract:
Le muscle est d’importance économique majeure chez les animaux producteurs de viande. Ses principales fonctions physiologiques sont la thermogenèse, la posture et l’activité physique de l’animal. Ces fonctions et la croissance du muscle ont des besoins spécifiques en énergie, entraînant parfois des compétitions pour l’utilisation des différents nutriments. Ces régulations métaboliques modifient les efficacités de production et d’utilisation de l’ATP, et certaines caractéristiques musculaires déterminantes pour les qualités de la viande. Par exemple, un métabolisme musculaire plus glycolytique est associé à une meilleure utilisation du glucose, à une plus grande sensibilité du muscle à l’insuline, à un développement accru du muscle, à une réduction de ses dépenses énergétiques, et à une augmentation de sa teneur en glycogène. L’amélioration de la croissance musculaire par la sélection génétique induit un métabolisme musculaire moins oxydatif avec, comme conséquence, moins de lipides intramusculaires. Une augmentation des apports énergétiques favorise les dépôts de protéines, de glycogène et de lipides intramusculaires. Toutefois, des apports excessifs induisent une résistance du muscle à l’insuline favorisant le développement des tissus adipeux de la carcasse. Le turnover des nutriments et leur répartition entre les voies anaboliques (lipogenèse, glycogenèse) ou cataboliques (glycolyse, lipolyse, oxydation) intramusculaires restent à préciser. L’activité physique des animaux et la lutte contre le froid modifient les caractéristiques musculaires en favorisant le métabolisme oxydatif. La question qui se pose aujourd’hui est donc : l’optimisation des efficacités de production et d’utilisation de l’ATP est-elle compatible avec l’amélioration des qualités de la viande, déterminées notamment par les taux de glycogène et de lipides intramusculaire.
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THERIEZ, M. "Conséquences de l’augmentation de la prolificité sur l’élevage des agneaux et sur la production de viande." INRAE Productions Animales 4, no. 2 (May 31, 1991): 161–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.2.4328.

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Abstract:
L’accroissement de la taille de la portée entraîne une réduction du poids de chacun des agneaux produits. Cette diminution est de l’ordre de 20 % par agneau supplémentaire dans les races "classiques" et voisine de 15 % pour les races prolifiques. La composition chimique des nouveau-nés évolue également avec la prolificité : leurs teneurs en protéines et en lipides diminuent avec leur poids à la naissance. Les agneaux de faible poids ont plus de difficultés à s’adapter à l’environnement et leur taux de mortalité au cours des premières 48 heures est très supérieur à celui des agneaux plus lourds. Au cours de la période d’allaitement (6-8 semaines), la consommation de lait des agneaux multiples et leur croissance sont inférieures en valeur absolue (g/j) à celles des simples, mais identiques en valeur relative (g/kg PV/j). Il en résulte, à 6-7 semaines, une différence de poids vif d’environ 2,4 kg par kg d’écart de poids à la naissance, quel que soit le mode d’allaitement. Ces différences s’accentuent si les agneaux sont placés en conditions difficiles (pâturage) après sevrage, elles se maintiennent si les conditions d’élevage sont très favorables (bergerie). A partir de 10-12 kg de poids vif, la composition corporelle des agneaux, et plus particulièrement leur teneur en lipides, dépend de leur poids à la naissance. Plus l’agneau est léger à la naissance et plus sa teneur en lipides à un poids déterminé sera élevée. Cette différence est due à la réduction du potentiel de croissance du squelette par suite de la sous-nutrition in utero. Il est indispensable de réduire le poids à l’abattage des agneaux multiples, pour produire des carcasses à état d’engraissement constant. Un kg de moins à la naissance entraîne une diminution de 0,6 à 1 kg du poids de la carcasse.
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Sika Piba, NA, M. Karamoko, CFD Adou, A. Otchoumou, and KP Kouassi. "Effet du régime et de la teneur en protéines brutes alimentaires sur le rendement en viande de l’escargot Achatina fulica (Bowdich, 1720)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 8, no. 5 (March 25, 2015): 2296. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v8i5.31.

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SEVE, B. "Alimentation du porc en croissance : intégration des concepts de protéine idéale, de disponibilité digestive des acides aminés et d’énergie nette." INRAE Productions Animales 7, no. 4 (September 27, 1994): 275–91. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.4.4175.

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Abstract:
La valeur énergétique nette d’un aliment est déductible de sa teneur en énergie digestible selon une équation valable pour le porc à tous les stades physiologiques. Elle modifie la hiérarchie des matières premières en abaissant celles riches en protéines ou en fibres et en relevant celles riches en amidon ou en matières grasses. La protéine idéale théorique, de valeur biologique 1, est l’équivalent de l’énergie nette pour la couverture du besoin azoté. L’approche expérimentale de cette protéine par la suppression des excès d’acides aminés, laisse espérer une importante marge de progrès du rendement d’utilisation de l’azote absorbé. Ce rendement mesure une disponibilité métabolique de l’acide aminé limitant peu dépendante des matières premières utilisées. Celles-ci doivent être caractérisées plutôt par la disponibilité digestive de leurs acides aminés mesurable par leur digestibilité iléale. L’additivité des apports par différents constituants du régime nécessite une correction de leur digestibilité apparente pour les pertes endogènes non spécifiques de chacun d’entre eux, et la digestibilité "vraie" ainsi calculée peut être prédite à partir de leurs teneurs en subtances spécifiques. Toutefois, la présence dans l’indigestible "vrai" d’une fraction endogène spécifique pose le problème de sa quantification et de son coût de synthèse. L’apport minimum d’acide aminé limitant digestible (lysine) par unité d’énergie nette est toujours indépendant du niveau d’ingestion d’énergie chez le porc de moins de 55 kg, alors qu’il est plus faible, et augmente avec le niveau de rationnement, chez le mâle castré plus lourd. Les apports minima des autres acides aminés sont déduits de rapports optimaux à la lysine déterminés expérimentalement. Certains déséquilibres par excès relativement à l’équilibre idéal nécessitent une correction (tryptophane/acides aminés neutres) ou un plafonnement des apports (thréonine). Des mécanismes d’épargne d’acides aminés essentiels (thréonine) par des non essentiels pourraient modifier leurs rapports optimaux à l’azote total.
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Odafe Shalome, G., and T. I. Uwadiae. "Characteristics and chemical composition of Quails, Coturnix japonica, reared in cages." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 62–68. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2909.

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Abstract:
Matured quails were examined for their physical and chemical characteristics. Body length values ranged from 16.4 to 19.0 cm. Longitudinal circumference measured from 30.0 - 36.3 cm; latitude circumference ranged between 21.0 - 27.0 cm. Height of birds ranged from 10.0 - 11.0 cm; neck length measured between 4.0 and 6.3 cm; and limb length varied from 3.0 - 3.2cm. Live weight measurements of the birds ranged from 0.35 - 0.37kg, while slaughter weight was 0.32 - 0.36kg carcass weight ranged from 0.31 - 0.35kg while dressed weight was 0.17 - 0.18kg. Carcass percentage ranged from 91.5 - 95.4 while dressing percentage was 49.4 - 51.6. Crude protein levels were high ranging from 28.94% to 34.20%; ether extract 14.09 - 17.02 % while ash content was from 0.88 to 0.94%. Quail meat had firm texture, sweet smelling odor and slightly dark in color. It is recommended increasing the production of quails in order to increase animal protein supply and consumption in Nigeria is highly recommended. Les cailles mûres ont été examinées pour leurs caractéristiques physiques et chimiques. Les valeurs de longueur corporelle variaient de 16,4 à 19,0 cm. Circonférence longitudinale mesurée de 30,0 à 36,3 cm ; la circonférence de la latitude variait entre 21,0 et 27,0 cm. La taille des oiseaux variait de 10,0 à 11,0 cm ; longueur du cou mesurée entre 4,0 et 6,3 cm ; et la longueur des membres variait de 3,0 à 3,2 cm. Le poids vif des oiseaux variait de 0,35 à 0,37 kg, tandis que le poids à l'abattage était de 0,32 à 0,36 kg, le poids de la carcasse variait de 0,31 à 0,35 kg tandis que le poids habillé était de 0,17 à 0,18 kg. Le pourcentage de carcasse variait de 91,5 à 95,4 tandis que le pourcentage d'habillage était de 49,4 à 51,6. Les niveaux de protéines brutes étaient élevés allant de 28,94% à 34,20%; extrait d'éther 14,09 - 17,02% tandis que la teneur en cendres était de 0,88 à 0,94%. La viande de caille avait une texture ferme, une odeur douce et une couleur légèrement foncée. Il est recommandé d'augmenter la production de cailles afin d'augmenter l'approvisionnement en protéines animales et la consommation au Nigeria est fortement recommandée.
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Ndelekwute, E. K., C. O. Okereke, E. D. Assam, and R. Obongekpe. "Evaluation of dietary effect of cassava peel meal bio-improved with calopogonium mucunoides on nutrient retention and growth performance of broiler chickens." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 91–101. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2910.

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Abstract:
Due to skepticism that follows the use of cassava peel meal, it has been advocated that its nutritive value for poultry be improved. Thus an experiment was conducted to evaluate the dietary effect of cassava peel meal (CPM) improved by supplementing with Calopogonium mucunoides (CM) on apparent nutrient digestibility, growth, meat yield and internal organs of broiler chickens. The CPM was improved by mix-grinding 1000g of it with fresh and succulent leaves CM at 0, 10, 20, 30 and 40% levels, respectively and included in the diets. One hundred and forty-four (144), one day old Hubbard chicks were used. They were grouped into six treatments (T1-T6), replicated into three and with eight birds/replicate in a completely randomized design (CRD). Treatment 1 (T1) was the control diet without CPM, T2 contained unimproved CPM while T3 – T6 contained CPM mixed with 10, 20, 30 and 40% CM, respectively. Feed and water were offered ad libitum for 49 days. Results showed that CM improved the crude protein, ether extract and fibre content of CPM. Live weight and Feed: gain ratio were better (P<0.05) with improved CPM but negatively affected by unimproved CPM at the starter phase. Also at the starter phase feed intake was not altered significantly (P>0.05). At the finisher phase while the live weight was increased by 20-40% improved CPM, the feed intake was reduced (P<0.05). Best feed: gain ratio was recorded by 40% improved CM. Unimproved CPM reduced digestibility of dry matter, protein, ether extract and energy utilization; dressed percentage, the weight of breast, gizzard, kidney, pancreas and small intestine but increased bile volume and caeca size. Therefore, it is recommended that 40% C. muconoides could be used to improve cassava peel meal for inclusion in diets of broiler chickens A cause du scepticisme qui suit l'utilisation de la farine d'écorce de manioc, il a été préconisé que sa valeur nutritive pour la volaille soit améliorée. Ainsi, une expérience a été menée pour évaluer l'effet diététique de la farine d'écorce de manioc (le 'CPM') améliorée en complétant avec Calopogonium mucunoides (le 'CM') sur la digestibilité apparente des nutriments, la croissance, le rendement en viande et les organes internes des poulets de chair. Le 'CPM' a été amélioré en mélangeant 1000 g de celui-ci avec des feuilles fraîches et succulentes 'CM' à des niveaux de 0, 10, 20, 30 et 40% respectivement et inclus dans les régimes. Cent quarante- quatre (144) poussins Hubbard d'un jour ont été utilisés. Ils ont été regroupés en six traitements (T1-T6), répliqués en trois et avec huit oiseaux / répliques dans un plan complètement randomisé (le 'CRD'). Le traitement 1 (T1) était le régime témoin sans CPM, T2 contenait du CPM non amélioré tandis que T3-T6 contenait du CPM mélangé à 10, 20, 30 et 40% de 'CM', respectivement. Des aliments et de l'eau ont été offerts à volonté pendant 49 jours. Les résultats ont montré que le 'CM' améliorait la teneur en protéines brutes, en extrait d'éther et en fibres du 'CPM'. Le poids vif et le rapport alimentation : gain étaient meilleurs (P <0,05) avec un 'CPM' amélioré, mais affectés négativement par un 'CPM' non amélioré lors de la phase de démarrage. De même, lors de la phase de démarrage, la prise alimentaire n'a pas été modifiée de manière significative (P> 0,05). Lors de la phase de finition, alors que le poids vif était augmenté de 20 à 40% de 'CPM' amélioré, la prise alimentaire était réduite (P <0,05). Le meilleur rapport alimentation : gain a été enregistré par une 'CM' améliorée de 40%. Le CPM non amélioré réduit la digestibilité de la matière sèche, des protéines, de l'extrait d'éther et de l'utilisation de l'énergie ; pourcentage habillé, le poids du sein, du gésier, des reins, du pancréas et de l'intestin grêle mais augmentation du volume de la bile et de la taille des caecas. Par conséquent, il est recommandé d'utiliser 40% de muconoides de C. pour améliorer la farine de pelure de manioc à inclure dans l'alimentation des poulets de chair.
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Ogunjobi, F. V., M. A. Adeyemi, and E. O. Akinfala. "Evaluation of prebiotic activity of conventional fibre feedstuffs in the diets of pigs." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 76–90. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2901.

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Abstract:
Over the years, significant research efforts have been made to improve livestock welfare and productivity. In part, this has been achieved through the use of in-feed antibiotics to enhance production and maintain animal health. More recently, the risks of residual effects, cross- resistance and development of antibacterial resistant strains especially on animal and final consumers of animal products provided justification for prohibition, hence the continuous search for suitable and cost-effective alternatives. This study evaluated the prebiotic activity of four fibre feedstuffs in diets of pigs. Twenty growing crossbred (Large White × Hampshire) pigs with a mean weight of 40±0.50 Kg were randomly allotted to four fibre feedstuffs namely palm kernel cake (PKC), brewer's dried grain (BDG), wheat offal (WO) and rice bran (RB) as well as maize in a 14-day feeding trial to examine their effect on the growth of non-pathogenic gut microbiota. The experimental pigs were randomly allocated to the diets in a completely randomized design with four animals per treatment. The arabinoxylan-oligosaccharide concentrations, proximate and cell wall composition of fibre feedstuffs, short chain fatty acids concentrations, apparent nutrient digestibility in the experimental animals, and the activities of bacteria in the guts of the experimental pigs were evaluated. Results showed significant difference (p<0.05) in arabinoxylan-oligosaccharide concentration among treatment groups. The short chain fatty acids (SCFAs) concentrations were significantly (p<0.05) affected by fibre sources both at the foregut and hindgut of pigs. Also, the SCFAs concentrations produced in the hindgut were numerically (p >0.05) higher compared to the values in the foregut of pigs. The results also demonstrated that acetate and butyrate were mainly produced in the foregut while the concentration of propionate in addition to butyrate increased in the hindgut of pigs. The digesta acetate concentration was negatively correlated with dietary acid detergent fibre (ADF) and cellulose in the foregut. All the fibre feedstuffs promoted the growth of non-pathogenic Lactobacillus than maize in the foregut and hindgut, hence, palm kernel cake, brewer dried grains, wheat offal and rice bran could elicit prebiotic activity in the gut of growing pigs and enhance animal welfare. A cause du scepticisme qui suit l'utilisation de la farine d'écorce de manioc, il a été préconisé que sa valeur nutritive pour la volaille soit améliorée. Ainsi, une expérience a été menée pour évaluer l'effet diététique de la farine d'écorce de manioc (le 'CPM') améliorée en complétant avec Calopogonium mucunoides (le 'CM') sur la digestibilité apparente des nutriments, la croissance, le rendement en viande et les organes internes des poulets de chair. Le 'CPM' a été amélioré en mélangeant 1000 g de celui-ci avec des feuilles fraîches et succulentes 'CM' à des niveaux de 0, 10, 20, 30 et 40% respectivement et inclus dans les régimes. Cent quarante-quatre (144) poussins Hubbard d'un jour ont été utilisés. Ils ont été regroupés en six traitements (T1-T6), répliqués en trois et avec huit oiseaux / répliques dans un plan complètement randomisé (le 'CRD'). Le traitement 1 (T1) était le régime témoin sans CPM, T2 contenait du CPM non amélioré tandis que T3-T6 contenait du CPM mélangé à 10, 20, 30 et 40% de 'CM', respectivement. Des aliments et de l'eau ont été offerts à volonté pendant 49 jours. Les résultats ont montré que le 'CM' améliorait la teneur en protéines brutes, en extrait d'éther et en fibres du 'CPM'. Le poids vif et le rapport alimentation : gain étaient meilleurs (P <0,05) avec un 'CPM' amélioré, mais affectés négativement par un 'CPM' non amélioré lors de la phase de démarrage. De même, lors de la phase de démarrage, la prise alimentaire n'a pas été modifiée de manière significative (P> 0,05). Lors de la phase de finition, alors que le poids vif était augmenté de 20 à 40% de 'CPM' amélioré, la prise alimentaire était réduite (P <0,05). Le meilleur rapport alimentation : gain a été enregistré par une 'CM' améliorée de 40%. Le CPM non amélioré réduit la digestibilité de la matière sèche, des protéines, de l'extrait d'éther et de l'utilisation de l'énergie ; pourcentage habillé, le poids du sein, du gésier, des reins, du pancréas et de l'intestin grêle mais augmentation du volume de la bile et de la taille des caecas. Par conséquent, il est recommandé d'utiliser 40% de muconoides depour améliorer la farine de pelure de manioc à inclure dans l'alimentation des poulets de chair.
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AGABRIEL, J. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 20, no. 2 (June 7, 2007): 107–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.2.3442.

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Abstract:
L’alimentation des ruminants : un problème d’actualitéDans la conduite et la réussite d’un système de production de Ruminants, l’alimentation du troupeau reste un domaine très important qui continue de poser de nombreuses questions à la fois pratiques et théoriques. Pour l’éleveur, les postes récolte des fourrages et des céréales, achats d’aliments et entretien des surfaces fourragères représentent plus de 50 % des charges opérationnelles de son exploitation. Nourrir quotidiennement son troupeau lui impose de faire des choix de types de rations et en amont des choix stratégiques de long terme, sur la conduite de son système fourrager en considérant ses contraintes de milieu naturel, de bâtiments ou de stockage. La gestion de l’alimentation est directement liée à tous les autres choix stratégiques de l’activité d’élevage, le niveau de croissance des jeunes animaux, la reproduction, l’allotement la quantité et la qualité de la production. Pour le chercheur en nutrition animale, les enjeux sont devenus multiples et son positionnement a évolué : la recherche de la production maximale soutenue par l’alimentation a fait place à la volonté d’atteindre un optimum à la fois biologique, technique et économique selon les milieux dans lequel l’élevage est conduit. Il doit faire en sorte que la ration calculée par ses modèles satisfasse les besoins de l’animal selon les objectifs de production de l’éleveur, mais qu’elle participe également au bon état sanitaire et de bien-être du troupeau, qu’elle garantisse la qualité des produits et minimise l’impact défavorable des rejets sur l’environnement. La recherche en nutrition et alimentation des ruminants porte à la fois sur les fourrages, la physiologie digestive et métabolique de l’animal et son comportement alimentaire. En tenant compte de la complexité des mécanismes biologiques, les modèles nutritionnels doivent pouvoir simuler avec le maximum de précisions les flux de matières à travers le tube digestif et les organes sur des pas de temps variables, à la fois de court et de long terme. Cela reste un sujet perpétuellement en évolution qui exige aussi de synthétiser les connaissances sous forme d’outils d’aide à la décision et qui soit capable de présenter la qualité de ces outils et leurs limites d’usage. Une recherche qui se développe avec l’INRALes recherches pour aider à déterminer les choix d’alimentation des animaux en condition de production se sont concrétisées au cours du 20ème siècle. Les systèmes d’alimentation en énergie, azote et minéraux ont été développés en France après 1945. A l’INRA, le département Elevage des Ruminants sous l’impulsion de R. Jarrige avait initié une révision majeure des principes et des unités pratiques de terrain en 1978 en proposant un système énergétique construit sur la base de deux unités fourragères, lait et viande (UFL, UFV), un système des Protéines Digestibles dans l’Intestin (PDI) et des Tables complètes à la fois des besoins des animaux et de la valeur alimentaire des aliments. C’est notamment dans le domaine de la valeur nutritionnelle des fourrages que ces travaux étaient particulièrement riches. Ces «systèmes INRA» avaient alors été complétés par la première ébauche d’un modèle complètement nouveau de prévision de l’ingestion (système des Unités d’Encombrements UE) qui sera fortement remanié et amélioré dix ans plus tard lors de la révision de 1988. Ce nouvel ensemble, prévision de l’ingestion, estimation des besoins nutritionnels, a également permis d’accroître l’offre d’outils pratiques de terrain. En complèment des Tables imprimées, un outil informatique d’accompagnement et de rationnement «INRAtion» a été proposé dès 1992. Celui-ci s’est ensuite enrichi de l’outil de calcul de la prévision de la valeur des aliments «Prevalim;» et tous deux sont devenus des réceptacles appliqués des nouveautés scientifiques concernant les systèmes INRA. Mais, près de vingt ans après le dernier «Livre Rouge de l’Alimentation des bovins, ovins et caprins», une mise à niveau des ouvrages écrits s’imposait également et il est apparu nécessaire de proposer une actualisation des connaissances des principes du rationnement des ruminants. Les travaux des équipes de recherches ont permis de progresser aussi bien sur la caractérisation de la valeur des fourrages et des matières premières, que sur l’estimation des besoins des animaux et des apports nutritionnels recommandés dans des situations très diverses. Au delà des recommandations statiques, focalisées sur l’objectif de satisfaire les besoins, les lois de réponses dynamiques des pratiques alimentaires sont mieux connues et quantifiées. Elles permettent de mieux simuler les conséquences de la diversité des situations. L’objectif de l’ouvrage «Alimentation des bovins, ovins et caprins - Tables INRA 2007», sorti en février aux éditions Quæ, est ainsi de remettre sous la forme connue et largement adoptée par tous les acteurs des filières de l’élevage ruminant ces nouveaux résultats. Des documents complémentairesCependant le niveau scientifique choisi de l’ouvrage récemment paru et sa taille volontairement réduite pour en faire un ouvrage facilement accessible ont contraint les auteurs à aller à l’essentiel, les frustrant sans aucun doute d’une description et d’une discussion de fond de leurs résultats.En reprenant l’exemple de 1987 où le «livre rouge» publié par INRA Editions était complété par un numéro détaillé du Bulletin CRZVde Theix, nous avons donc décidé de publier un dossier dans la Revue INRA Productions Animales qui complète l’ouvrage de février. Ce dossier regroupe majoritairement des présentations et les explications des choix qui ont prévalu au développement des nouveaux modèles sous-tendus dans les recommandations. Il comporte 5 articles qui éclairent des points clés des innovations introduites en 2007, et qui correspondent soit à des nouveaux modèles mécanistes des fonctions de l’animal, soit à des méthodes de prévision de la valeur des fourrages, soit à des remises en cause plus profondes de l’ensemble apports, besoins comme c’est le cas pour la nutrition minérale.Toutefois, ce dossier n’est pas exhaustif des «nouveautés» du livre 2007. Certaines avaient été déjà publiées, soit dans des revues scientifiques, soit dans des sessions des «Rencontres Recherches Ruminants». Sans aucun doute d’autres viendront encore les compléter par la suite.Ainsi sont étudiés successivement des apports scientifiques sur la valeur des aliments et sur les besoins des animaux :1 - La dégradabilité des protéines dans le rumen (DT) et la digestibilité réelle des protéines alimentaires dans l’intestin grêle (dr). La valeur azotée des fourrages repose sur la bonne estimation de ces deux paramètres, qui sont la clé du calcul du système des protéines digestibles dans l’intestin PDI (article de M.-O. Nozières et al).2 - Les nouvelles valeurs minérales et vitaminiques des aliments. La possibilité de raisonner en éléments phosphore et calcium absorbables apporte de nouvelles précisions et modifie considérablement les quantités recommandées. L’article précise et actualise les Apports Journaliers Recommandés (AJR) d’éléments minéraux majeurs. Les autres minéraux, oligo-éléments et vitamines sont également revus de façon systématique et approfondie (article de F. Meschy et al).3 - De nouvelles équations statistiques de prévision de la digestibilité de la Matière Organique (dMO) des fourrages par la méthode pepsine-cellulase établies sur une banque de données couvrant une gamme plus importante de fourrages et de modes de conservation. La valeur énergétique des fourrages dépend en effet étroitement de la digestibilité de leur matière organique. Son estimation sur le terrain peut se faire à partir de méthodes de laboratoire comme la digestibilité pepsine-cellulase, utilisée en France depuis plus de vingt ans. Cette méthode est proposée pour sa bonne précision (article de J. Aufrère et al).4 - La composition du gain de poids chez des femelles adultes en période de finition qui permet de calculer ensuite directement le besoin en énergie et en protéines de l’animal. Ce modèle est suffisamment souple pour proposer un besoin face à un objectif de croissance donné, mais il propose aussi un niveau de croissance pour une ration d’un niveau énergétique donné. Ce nouveau modèle a été spécifiquement développé pour tenir compte de la très grande variabilité des situations pratiques rencontrées : la race, l’âge, le format, l’état d’engraissement initial et la vitesse du gain attendu (article de F. Garcia et J. Agabriel).5 - La capacité d’ingestion d’aliments par les vaches laitières au cours de leur lactation complète. Ce tout nouveau modèle s’adapte à tous types de vaches primipares, multipares et propose le nouveau concept de «lait potentiel» pour mieux décrire cette capacité d’ingestion. Ce concept est nécessaire pour répondre aux diverses stratégies des éleveurs dans la conduite de leurs animaux et qui ne souhaitent pas nécessairement les mener à leur maximum de production. Le modèle tient en effet compte de l’état initial de la vache au vêlage et des modifications d’état corporel qui accompagnent obligatoirement la conduite de la lactation (article de P. Faverdin et al).La Rédaction de la Revue a estimé judicieux de publier dans ce même numéro d’INRA Productions Animales, un travail très récent sur la teneur en matière grasse du lait de vache et sa prévision, qui pourra dans les années à venir se traduire concrètement dans les outils d’accompagnement de nos recommandations (article de Rulquin et al).A l’occasion de la publication de ce dossier, nous voulons plus particulièrement remercier tous les participants des Unités et Installations Expérimentales de l’INRA sans qui ces résultats ne seraient pas, ainsi que tout le personnel des Unités de Recherches qui ont participé dans les laboratoires ou derrière leurs écrans : l’Unité de Recherches sur les Herbivores (URH) de Clermont-Ferrand-Theix, l’Unité Mixte de Recherches sur la Production Laitière (UMR PL) de Rennes, l’Unité Mixte de Recherches Physiologie et Nutrition Animale (UMR PNA) de Paris, l’Unité Mixte de Recherches sur les Ruminants en Région Chaude (UMR ERRC) de Montpellier.
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