Academic literature on the topic 'Positivisme juridique'

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Journal articles on the topic "Positivisme juridique"

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Blais, François. "Avortement, éthique sociale et positivisme juridique." Articles 18, no. 2 (August 6, 2007): 63–78. http://dx.doi.org/10.7202/027152ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cet article a pour objectif de défendre un point de vue positiviste du droit de certaines erreurs et confusions commises à son égard. L'auteur se sert d'un récent article de G. Legault (« La parole du philosophe éthicien est-elle crédible? ») et reprend certaines affirmations identifiant le mouvement pro-choix à la doctrine positiviste. L'auteur tente de démontrer que ce rapprochement, pour l'essentiel, ne tient pas et qu'il repose sur une méconnaissance du positivisme juridique contemporain. En dernière partie, l'auteur discute de certains intérêts théoriques et pratiques d'une conception plus large du concept de droit telle que privilégiée par le positivisme juridique.
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Troper, Michel. "Le positivisme juridique." Revue de Synthèse 106, no. 118-119 (June 28, 1985): 187–204. http://dx.doi.org/10.1163/19552343-106118119005.

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Gouttefarde, Fabien. "Positivisme juridique et Modernité." Revue générale de droit 37, no. 1 (October 28, 2014): 7–20. http://dx.doi.org/10.7202/1027129ar.

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Abstract:
En quoi le positivisme juridique constitue-t-il une philosophie du droit résolument moderne ? Telle est la question que nous nous posons à travers cet article. Le constat que nous proposons ici ne préjuge pas du caractère particulièrement adéquat du positivisme juridique par rapport à notre époque contemporaine, mais plutôt de sa pertinence en lien avec la Modernité, que l’on fera remonter, avec les grands découpages historiques, à 1492. Avec elle, l’Homme se réapproprie le droit qui se veut désormais affranchi de toute théodicée et de toute valeur, hormis celle de l’utilité sociale, considérée comme consubstantielle au droit et qui préfigure l’utilitarisme et le fonctionnalisme. Mais le positivisme juridique rencontre peut-être ici aussi ses limites intrinsèques, marquées par l’atrophie de la dimension explicative au bénéfice de la dimension descriptive. En ce sens, paradoxalement, le positivisme juridique justifie une démarche sociologique sur le droit. Démarche née de la démystification et de la banalisation de l’objet droit, mais qui s’évertue pourtant à en critiquer les fondements.
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Belley, Jean-Guy. "Le pluralisme juridique comme orthodoxie de la science du droit." Canadian journal of law and society 26, no. 2 (August 2011): 257–76. http://dx.doi.org/10.3138/cjls.26.2.257.

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Abstract:
RésuméJean-Guy Belley se centre ici sur l'opposition individus/organisations, en la rattachant aux transformations de l'idée de pluralisme juridique. L'idée—mais non le concept, plus tardif—apparaît au début du XXèmesiècle, forgée par des juristes contestataires opposés au positivisme formaliste alors dominant, et attirés par la sociologie et l'anthropologie du droit. Cette démarche s'inscrit dans la mouvance du réalisme juridique, mais avec la particularité de remettre en question la centralité de l'État dans la production des règles de droit. Ce premier pluralisme juridique va contribuer au renouveau de la doctrine et favoriser le développement de la sociologie du droit, sans toutefois parvenir à ébranler durablement la position dominante du positivisme chez les juristes. Par contraste, le « nouveau pluralisme juridique » a vocation à s'ériger en nouvelle orthodoxie du droit: paradoxalement, l'idée de pluralisme juridique, née d'une recherche d'émancipation intellectuelle par rapport au carcan du formalisme (et parfois d'émancipation de la vie sociale elle-même par rapport à l'État), s'est transformée dans le cadre de la seconde modernité en nouvelle orthodoxie, celle d'une doctrine du droit en phase avec la domination impersonnelle qu'exercent sur la société contemporaine les ordres juridiques pluriels, lesquels émanent des grandes organisations, économiques en particulier.
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Ladavac, Nicoletta Bersier. "Le cercle autour de Hans Kelsen." Les cercles viennois de l'entre-deux-guerres 94 (2022): 69–83. http://dx.doi.org/10.4000/11ve9.

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Abstract:
Les cercles de Vienne, phénomène culturel particulier, ont marqué la culture viennoise pendant une trentaine d’années à partir de la fin du xixe siècle. Imprégnés par une réflexion épistémologique appliquée à la science, les cercles de Vienne étaient composés de philosophes, de mathématiciens et de scientifiques. Le plus célèbre fut sans doute le Wiener Kreis organisé par Moritz Schlick en 1922, auquel ont participé des philosophes et des scientifiques ; il se caractérisait par une forte recherche épistémologique des sciences, reposant sur l’approche philosophique du positivisme logique. Autour de Hans Kelsen, figure de référence de tout juriste, s’est également formé un cercle, le Kelsen-Kreis, ayant pour finalité la diffusion du célèbre texte de Hans Kelsen, la Reine Rechtslehre (Théorie pure du droit), par lequel Kelsen se proposait de critiquer et surtout de refonder la science juridique sur des bases scientifiques et selon une méthodologie scientifique. Le Kelsen-Kreis regroupait des personnes s’intéressant à l’œuvre de Kelsen et à ses idées juridiques novatrices, afin de les étudier et de les développer. La méthode de recherche du Kelsen-Kreis était la même que celle du Wiener Kreis, avec lequel il entretenait des contacts et des échanges scientifiques. Le Kelsen-Kreis a développé des problématiques essentielles en matière de science juridique : l’orientation générale néo-positiviste et néo-empirique antimétaphysique, l’affirmation de la primauté gnoséologique de la science juridique, la pertinence de la vérité des propositions juridiques sur la base de leur structure logico-formelle, et l’analyse philosophico-juridique considérée comme une activité logico-épistémologique.
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Badimboli Atibasay, Jean-Faustin. "La double impuissance du positivisme juridique au regard de la normativité du droit international." Revue générale de droit 33, no. 1 (November 26, 2014): 1–38. http://dx.doi.org/10.7202/1027542ar.

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Abstract:
La question de la juridicité du droit international est aujourd’hui encore sujet à controverse. Soucieux de faire du droit l’objet d’une étude scientifique, le positivisme juridique ne s’intéresse qu’aux normes qui sont issues de procédures formelles de création. Il en résulte un mode dépensée dichotomique qui, paradoxalement, ne permet pas de bien cerner le seuil de normativité du droit international. Les développements récents dans ce domaine du droit lancent, certes, un défi à ce positivisme exclusif; mais en même temps, ils ne relancent pas moins le débat entre défenseurs et détracteurs du droit international. Dans ce contexte, la question de savoir si le positivisme juridique peut fonder ce droit ou, à défaut, le nier judicieusement est éminemment importante pour le juriste.
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Viala, Alexandre. "Le positivisme juridique : Kelsen et l'héritage kantien." Revue interdisciplinaire d'études juridiques 67, no. 2 (2011): 95. http://dx.doi.org/10.3917/riej.067.0095.

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Kaufmann, Arthur. "Par-delà le droit naturel et le positivisme juridique vers l’herméneutique juridique." Revue interdisciplinaire d'études juridiques 81, no. 1 (2019): 61. http://dx.doi.org/10.3917/riej.082.0061.

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BELLEY, Jean-Guy. "L’État et la régulation juridique des sociétés globales." Sociologie et sociétés 18, no. 1 (September 30, 2002): 11–32. http://dx.doi.org/10.7202/001041ar.

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Abstract:
Résumé À rencontre de la doctrine du positivisme juridique qui accorde le monopole du droit à l'État, la notion de pluralisme juridique suggère que la réalité sociale du droit s'exprime à l'extérieur aussi bien qu'à l'intérieur de l'organisation étatique. L'auteur retrace l'évolution des conceptions du pluralisme juridique depuis le début du vingtième siècle chez les juristes et les spécialistes des sciences sociales qui ont contribué à l'émergence puis à l'institutionnalisation de la sociologie du droit. Il propose une problématique du pluralisme juridique fondée d'une part sur une définition générique et opératoire du droit, d'autre part sur un intérêt privilégié porté à la dynamique de centralisation/décentralisation de la régulation juridique au sein des sociétés occidentales contemporaines.
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Bernatchez, Stéphane. "La controverse doctrinale sur la légitimité du juge constitutionnel canadien." Articles 19, no. 2-3 (November 19, 2008): 89–113. http://dx.doi.org/10.7202/040226ar.

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Abstract:
Résumé La constitutionnalisation des droits et libertés dans la Charte canadienne des droits et libertés continue de susciter des débats quant à la légitimité du contrôle constitutionnel par les tribunaux. L’auteur analyse la controverse doctrinale sur la justice constitutionnelle en présentant les différentes idées élaborées par les critiques de ce contrôle et les théories qui cherchent à en justifier la légitimité. Selon l’auteur, ce débat demeure marqué par le positivisme juridique, ce qui laisse entrevoir la nécessité de repenser la fonction du juge constitutionnel sur la base de conceptions plus satisfaisantes du jugement juridique, de la séparation des pouvoirs et de la démocratie.
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More sources

Dissertations / Theses on the topic "Positivisme juridique"

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Zhiyong, Wang. "Le positivisme juridique dans la Chine ancienne." Paris 10, 1996. http://www.theses.fr/1996PA100136.

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Abstract:
Apres avoir retrace le contexte historique de la naissance et du developpement du legisme, l'auteur analyse tout d'abord, dans la douxieme partie, les presupposes philosophiques du legisme qui se composent de quatre elements, c'est-a-dire l'epistemologie empiriste, le postulat de la nature humaine mauvaise, l'evolutionnisme et la these demographique, enfin, l'amoralisme. Ensuite, l'auteur analyse les principes du legisme du point de vue de la theorie du droit. S'opposant au confucianisme, qui se fonde sur la morale, le legisme se fonde sur la loi et la menace de la sanction ; il ignore et meprise les principes moraux ; il reconnait la primaute du droit positif, c'est ce droit seul qui constitue le fondement de l'ordre social ; il fait du droit une technique essentielle du pouvoir, la derniere partie se consacre aux etudes comparatives sur le legisme et le confucianisme, ainsi que sur le legisme et le positivisme juridique, pour montrer que le legisme chinois peut etre considere comme un positivisme juridique dans le sens large du terme, dans la mesure ou le legisme est une theorie du droit etatique dans laquelle le droit est un ensemble de commandements issus de l'etat, appuyes par ses sanctions et dont la validite est totalement independante de la morale et de la religion. En revanche, le legisme chinois ignore l'origine epistemologique etablie par la pensee europeenne entre droit et morale et ne se pose pas comme une approche de la science du droit
After have retraced the historical contexts of the birth and the development of legalism, author analyse at first, the philosophical foundation of legalism that is composed of four elements : the empirical epistemology, the postulate of bad human nature, the evolutionism and amoralism. Secondly, author analyse the principles of the legalism from the point of view of general theory of law. Opposed to confucianism, who is build on the moral, the legalism is built upon the law and the sanction, and disregard the morals principles ; the legalism confirm the primacy of the positive law that is the only foundation of social order, and make the law become the essential technique of power. In the final party, author make the comparatives studies on the legalism and the confucianism, on the legalism and the legal positivism, for demonstrating that legalism may be considered one of the legal positivism insofar as legalism is the theory of state of law acceding to which the law is ensemble of the rules supported by the sanction of severe punishment and of the recompense, the validity of the positive law is independent of the moral and of the religion. By contraires, the legalism is ignorant of the epistemological origin established by the european thought between the moral and the law
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Bligh, Grégory. "Les bases philosophiques du positivisme juridique de H.L.A. Hart." Thesis, Paris 2, 2016. http://www.theses.fr/2016PA020076.

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Abstract:
Cette thèse cherche à reconstituer les bases philosophiques de la pensée juridique de H.L.A. Hart (1907-1992), figure majeure du positivisme juridique anglo-saxon au XXe siècle, et professeur de jurisprudence à l'université d'Oxford de 1952 à 1968. Ses travaux demeurent largement méconnus en France.Dégager les sources philosophiques du « positivisme analytique » de Hart permettra, premièrement, de reconstruire le dialogue entre le juriste d'Oxford et certaines figures importantes de la théorie du droit continentale. Hart oppose d’importantes critiques à certaines formes continentales de positivisme juridique, comme le normativisme de Hans Kelsen ou le réalisme scandinave d'Alf Ross. Cependant, cette thèse montrera également qu'il est possible d'établir des rapprochements étroits entre la pensée de Hart et celle du juriste francophone Chaïm Perelman. L'étude des bases philosophiques de la pensée juridique de Hart offre ainsi des points de contact intéressants entre ces différentes cultures juridiques.Deuxièmement, cette thèse cherche à faire ressortir l'influence déterminante de la philosophie du langage ordinaire qui se développa à Oxford au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Notre propos s'appuiera notamment sur un « premier corpus » de textes philosophiques publiés avant son accession à la chaire de jurisprudence en 1952, ainsi que sur les travaux préparatoires à son ouvrage The Concept of Law (1961). Nous défendons l'idée que ses prises de position philosophiques se retrouvent dans sa réflexion juridique et permettent de comprendre la cohérence de son œuvre, ainsi que la forme d'empirisme juridique qui sous-tend sa conception de la notion de Constitution
This thesis bears on the implicit epistemology and methodological considerations underlying the legal philosophy of H.L.A. Hart (1907-1992), the major representative of XXth century legal positivism in the English speaking world, and Oxford chair of jurisprudence (1952-1968). His work remains little known in France.We will seek to answer the view that Hart might not really have been durably influenced by ordinary language philosophy. We will address these questions by examining a corpus of earlier (overlooked) articles which he published as a young Oxford linguistic philosopher. This “early work” consists of the articles which Hart published before he in was elected to the Oxford chair of jurisprudence. Our view is that the work in general philosophy which he did in this early period is crucial to understand some of the positions which he defends in his legal writings. This thesis will thus show that Hart was active in the epistemological debate opposing the Oxford philosophers and the British representatives of logical atomism and logical empiricism. It will also show that these early positions are carried over into his later jurisprudence, including his major work The Concept of Law (1961).Shedding light on these philosophical foundations of Hart’s legal theory will ultimately allow us to reconstruct the debate opposing his own “analytical positivism” and Continental forms of positivism, such as Hans Kelsen’s normativism or Alf Ross Scandinavian legal realism. It will also allow us to draw important parallels between Hartian legal theory and that of the francophone philosopher Chaïm Perelman
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Van, Ouwerkerk Sebastiaan. "Penser les formes d’État : un état de la pensée publiciste française." Thesis, Toulouse 1, 2019. http://www.theses.fr/2019TOU10002/document.

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Terreaux, Claude. "Sortir du positivisme juridique aujourd'hui : la solution de Jean Domat." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040091.

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Abstract:
La présente thèse a pour objet de démontrer que la conception du droit de Jean Domat (1625-1696) constitue une issue au positivisme juridique dominant aujourd'hui. Ce dernier fait obstacle à toute interrogation philosophique, n'a pas pu s'opposer à des débordements totalitaristes et contribue à une prolifération des textes qui mène à l'éclatement du lien social. Une pensée sur le droit aujourd'hui doit être facile à concevoir, toujours présente ; il faut qu'elle puisse se sentir dans l'action. Elle doit aussi animer tout le droit, privé comme public et permettre un contrôle complet des règles venant du pouvoir par les membres et responsables de la société, et être partageable par tous, de quelques croyances, religions et opinions qu'ils soient, pour éviter les critiques communautariennes. Il lui faut enfin être issue de l'examen du droit lui-même plutôt qu'être déduite d'une doctrine imposée, être capable de faire obstacle aux déviances politiques et enfin être logique dans ses développements pour être acceptée. Jean Domat découvre que le droit est animé par deux principes :"Nous ne devons pas faire à autrui ce que nous n'aimerions pas qu'autrui nous fasse ; nous devons faire à autrui ce que nous aimerions qu'autrui nous fasse". Ces principes répondent à ces critères. Il reconstruit et présente le droit privé d'une part, et le droit public d'autre part, en montrant comment ils s'organisent selon ces deux principes. Il démontre par une présentation réussie de tout le droit privé que les relations de droit entre particuliers peuvent dans le détail être toutes régies par ces deux principes. Il fait voir également comment l'action politique du Prince peut et doit être conduite par eux. Le Prince est soumis comme quiconque à ces exigences et ne dispose pas de prérogative particulière. Enfin, Jean Domat pose que le sujet n'a pas à obéir à une loi qui ne serait pas conforme à ces principes. Nous montrons que sa pensée, qui a été oubliée, présente une profonde nouveauté tant à son époque que dans le débat contemporain et permet de redonner sens au droit
This doctoral thesis aims to demonstrate that the conception of the law developed by Jean Domat (1625-1696) constitutes an alternative to legal positivism, which is the dominant approach today. Legal positivism impedes any philosophical interrogation; it was unable to oppose totalitarian excesses, and it contributes to the multiplication of texts, which disrupts social cohesion. A theory of the law today should be pervasive and easy to conceptualize. This theory needs to be action-oriented. It needs to inspire all spheres of the Law, be it private law or public law, and should be designed to place all rules imposed by the government under the complete control of the members and leaders of society. This thought should be shareable by everyone, regardless of creed, religion and opinion, hence avoiding communautarian criticism. Moreover, this theory needs to be the result of an examination of the Law itself rather than being deducted from an imposed doctrine. It needs to be able to stand in the way of political abuses and be logical in its developments to be accepted. Jean Domat discovered that the Law is inspired by two principles: “we shall not do to others what we would not like others do to us; we shall do to others what we would like others do to us”. Both principles are in line with the above-mentioned criteria. Jean Domat reconstructs and presents both private law and public law, and shows that they are organized according to these two principles. He presents the whole of private law and demonstrates that the details of the legal relationships between private individuals are all be governed by these two principles. He also shows that they can and should inspire the political action of the Prince. The Prince does not have any particular status: he is subjected to these requirements, as everybody else. Finally, Jean Domat postulates that a subject does not have to obey a law that is not in conformity with these principles. In this doctoral thesis, I show that his thought, that has been forgotten, is highly original for his time. It is also of high relevance in contemporary debate, as it can help us give some new meaning to the law. sunti as doles dolorisintur a consedi de voluptatur molorporum audae voluptio perferovid quiaerferum aut digendus consedi
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Brunet, Pierre. "Le concept de représentation dans la théorie de l'État." Paris 10, 1997. http://www.theses.fr/1997PA100136.

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Abstract:
Le concept de representation est tres generalement ecarte des discussions constitutionnelles theoriques au motif que le procede releve de la fiction, car il ne peut y avoir de representation veritable qu'a la condition que le representant se comporte exactement comme le represente. Ainsi, le concept de representation est-il au mieux une erreur qu'il appartient a la science du droit de corriger, au pire, un mensonge recouvrant une ideologie dont il convient de se debarrasser. Une telle attitude est pour le moins etonnante de la part des theoriciens positivistes (normativistes ou realistes). Ces derniers pretendent en effet decrire le droit positif sans jamais porter de jugement de valeur a son egard. Or, ecarter le concept de representation parce qu'il est errone ou ideologique releve moins de la description du droit positif que d'un jugement de valeur. Une autre attitude est donc possible et souhaitable. Cette derniere se fonde sur un constat simple : les systemes juridiques se servent du concept de representation. Il faut donc comprendre en quoi ce concept est necessaire aux systemes juridiques ou pourquoi ils en ont besoin? aussi nous a-t-il semble pertinent de renverser la question classiquement posee a l'egard du concept de representation. Au lieu de nous interroger sur les normes juridiques qu'il faudrait deduire de telle theorie de la representation, nous nous sommes interesses a la theorie de la representation qu'impose tel ou tel systeme de normes. Comme on le voit, la demarche se veut d'inspiration kelsenienne, et donc positiviste, il ne s'agit pas de proposer une nouvelle theorie de la representation mais de decrire la theorie de la representation que produit un systeme juridique parce que cette theorie est necessaire a son fonctionnement. On peut alors comprendre qu'un systeme juridique ne contient pas seulement des normes mais aussi des justifications de ces normes, justifications dont toute description du droit positif doit tenir compte
In most of the theoretical constitutional discussions, the concept of representation is treated as fiction because it is assumed that no one could represent another if the first doesn't behave exactly like the second does. Though, to say that an assembly represents people is either, at the best, an erroneous statement that legal science should correct or, at the worst, a lie or an ideology that every one should get rid of. But never comes the question why legal (or constitutional) systems use such concept like representation. That such a question is never asked is for the less amazing from legal theory and, above all, from positivist legal theory (normativist or realistic). Indeed, it is supposed to describe positive law so we should expect that it also describes the use of certain concepts like representation. The fact that postivist legal theory stays far from that concept proceeds from a value judgement which is obviously in contradiction with the purely descriptive methodology. Another position seems possible and would be founded on that simple constatation that legal systems do use concept of representation so the relevant point is then to understand why. It's then necessary to turn classical theoretical question upside down and instead of looking for the legal norms that should be deduced from theory of representation we are concerned with the theory of representation that legal norms need. The method is kelsenian and positivist. The point is not to suggest a new theory of representation but to describe the theory of representation that any legal system produces. The theoretical assumption is that legal systems do not only contain norms but also justifications of these norms (ideologies) that a positivist description must take in account - which doesn't mean that it takes it at face value. The enquiry starts with the end of the old regime, gives a large extent to the french revolution and a shorter to the modern period (the fifth republic is included)
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Stylianidis, Nicholas. "Les fondements épistémologiques du positivisme analytique : vers une théorie du droit préinstitutionnelle." Paris 10, 1994. http://www.theses.fr/1994PA100068.

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Abstract:
La thèse porte sur les fondements épistémologiques du positivisme juridique de tendance analytique. Par fondements épistémologiques, on entend la cohérence interne et logique de ce courant théorique. Par positivisme juridique-analytique on entend une théorie du droit qui insiste sur la séparation entre le droit et la morale, sur les sources sociales du droit et qui met l'accent sur l'étude du langage juridique. Apres une systématisation des composants (tout méthodologiques que substantiels) de cette théorie, la thèse identifie ses incohérences internes et essaye de reconstruire la théorie du sens des énonces juridiques, selon les présupposés fondamentaux du positivisme analytique-normatif. Cette reconstruction ne peut pas résoudre les problèmes de cette théorie : la thèse des sources sociales du droit est méthodologiquement inacceptable et n'est pas compatible avec la thèse de ce même courant qui insiste sur le caractère normatif du droit. Ainsi, la thèse esquisse une théorie du droit alternative, en soutenant que les sources du droit sont, aussi, pré-institutionnelles et que le sens des énoncés juridiques est, aussi, non-conventionnel ou référentiel
The thesis examines the epistemological foundations of analytical positivism, i. E. The internal and logical coherence of analytical legal positivism. Analytical legal positivism insists on the separation of law and morality and on the social sources of law. At the same time, according to this theory, a particular importance and emphasis should be given to the study of legal concepts and language. After a systematization of the components (both methodological and substantive) of this theory, the thesis identifies its internal inconsistencies and tries to reconstruct the theory of meaning of legal statements according to an extended interpretation of the presuppositions of analytical legal positivism. This reconstruction cannot offer an adequate solution to the problems of this theory: the social sources thesis of law is methodologically implausible and is not compatible with the normativity thesis of legal positivism, that insists on the normative character of law. Consequently, the thesis stetches an alternative theory of law and suggests that the sources of law are pre-institutional and that the meaning of legal statements is also pre-conventional and referential
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Cottereau, Marc. "La séparation entre droit et morale : analyse d'une thèse constitutive du positivisme juridique." Thesis, Toulouse 1, 2018. http://www.theses.fr/2018TOU10036.

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Abstract:
La distinction entre positivisme et antipositivisme est érigée en opposition canonique. Cependant, il s’avère qu’il s’agit bien souvent d’étiquettes qui sont maniées afin de caractériser une multitude de positions. Cette utilisation est alors source d’ambiguïtés et d’incompréhensions. Il s’agira ici de revenir sur ce qu’est le positivisme juridique (dans la tradition hartienne notamment) et notamment sur une de ses thèses constitutives, la thèse de la séparation entre droit et morale, dans la mesure où c’est elle qui cristallise l’opposition entre positiviste et jusnaturaliste. Cette thèse de la séparation dispose que l’existence du droit est une chose et ses mérites moraux en sont une autre (formule de John Austin). Cette séparation entre droit et morale est conceptuelle et non normative. Cela implique que la validité du droit ne dépend pas de ses mérites moraux. Ainsi, cette thèse de la séparation n’est pas équivalente à la thèse de la distinction entre droit et moral et à celle de l’absence de connexions nécessaire entre droit et moral. Elle est à la fois plus importante et plus limitée que ces dernières. L’objet de cette thèse est de clarifier nos pensées. Elle a un objectif thérapeutique en tant qu’elle vise à nous soigner de nos illusions. Cette thèse permettra alors en creux de dissoudre un certain nombre de questionnements et de controverses en montrant que les chercheurs avaient bien souvent en tête autre chose lorsqu’ils prétendaient attaquer ou refuser le positivisme juridique et sa thèse de la séparation. Une grande partie des débats n’avaient en réalité pas lieu d’être et reposaient uniquement sur une incompréhension partagée. In fine, cette thèse pourrait être comprise comme une tentative de réduction de la fracture entre des traditions juridiques différentes, mais pas incompatibles. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le positivisme et le jusnaturalisme (moral ou fondationnaliste) ne donnent pas des réponses opposées à une seule et même question, mais répondent à des questions différentes. Cette thèse peut alors être comprise comme une tentative de justifier une sorte de réallocation des ressources intellectuelles disponibles. Elle n’a pas pour but de montrer qu’il n’y a plus rien à dire sur la séparation entre droit et morale, mais que nous en avons trop dit, délaissant ainsi d’autres domaines théoriques d’une importance pourtant cruciale pour la recherche. De même, la question de la séparation entre droit et morale ne devrait pas parasiter notre réflexion théorique, mais plutôt permettre une clarification des débats contemporains sur la question plus générale des relations (contingente ou non) entre le droit et la morale. En clarifiant ce qu’est la thèse de la séparation, ainsi que l’ensemble des croyances portant sur les conséquences de son acceptation par les chercheurs, on en viendra alors à se demander si elle n’est pas une donnée intuitive fondamentale de la pensée juridique et non plus seulement une thèse constitutive du positivisme juridique. Si c’est le cas, alors l’opposition entre positivisme et antipositivisme peut être dissoute. Nous serions tous, pour faire simple, des positivistes. Toutefois, certains seraient des libéraux, d’autres des moralistes ; certains endosseraient une forme de réalisme morale, alors que d’autres seraient plus sceptiques ; certains seraient des positivistes inclusifs alors que d’autres auraient une préférence pour le positivisme exclusif, etc
Le résumé en anglais n'a pas été communiqué par l'auteur
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Giroux, Michel. "Enseigner la common law en français : réquisitoire à l'encontre d'un monopole du positivisme juridique." Acfas-Sudbury, 2005. https://zone.biblio.laurentian.ca/dspace/handle/10219/64.

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Hardy, Hugo. "Postures et impostures du juspositivisme : Une histoire critique de la notion de positivisme juridique dans la littérature savante anglo-saxonne, XIXe-XXe siècles." Thesis, Université Laval, 2011. http://www.theses.ulaval.ca/2011/28201/28201.pdf.

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Lerman-Enriquez, Alix. "Esthétique et méthodologie juridique formaliste : pour un symbolisme esthétique appliqué au droit." Paris 10, 2001. http://www.theses.fr/2001PA100177.

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Abstract:
Depuis les travaux de Ernst Kantorowicz, l’étude du droit sous l’angle esthétique est un thème récurrent dans la pensée juridique ; Depuis lors, de nombreux travaux ont vu le jour pour comparer l’art et le droit. Nos travaux s’inscrivent dans cette ligne de réflexion. Plus particulièrement, dans le cadre de notre thèse, nous cherchons à présenter le droit et plus précisément sa méthodologie juridique comme un objet digne d’appréciation esthétique. Il s’agit donc d’une étude de la pensée sur le droit et non d’une étude qui viserait à traiter du seul droit positif. C’est ainsi que restreignant notre étude à la méthodologie juridique formaliste scientifique (qui comprend les courants jusnaturalistes modernes et positivistes juridiques), nous établissons, d’une part, un parallèle entre l’histoire artistique et l’histoire de la méthodologie juridique de rationalité scientifique. D’autre part, nous procédons à une étude synchronique aux 18 et 20èmes siècles de l’art et du formalisme juridique. Dans un second temps, il s’agit en effet de savoir comment à une période donnée art et méthodologie juridique formaliste s’interpénètrent. Les parallèles ainsi établis entre la théorie du droit et l’art font ensuite l’objet d’une explication théorique puisée dans la philosophie symboliste. Ainsi dans ce cadre, le droit n’est plus considéré comme un instrument abstrait de rationalisation des rapports sociaux, mais comme un système dépendant d’un contexte culturel et artistique environnant. De ce point de vue donc, le droit et de façon subséquente sa méthodologie, deviennent objets de créativité et de potentialité esthétique.
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More sources

Books on the topic "Positivisme juridique"

1

Grzegorczyk, Christophe. Le positivisme juridique. Bruxelles: Story-Scientia, 1992.

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2

Jestaz, Philippe, writer of added commentary, ed. Droit naturel et positivisme juridique. Paris]: Dalloz, 2013.

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3

MacCormick, Neil. Pour une théorie institutionnelle du droit: Nouvelles approches du positivisme juridique. Paris: Librairie générale de droit et de jurisprudence, 1992.

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4

Sintez, Cyril. Le constructivisme juridique: Essai sur l'épistémologie des juristes. Paris: Éditions mare & martin, 2014.

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5

Pollozhani, Bajram. Krijimi i së drejtës dhe roli i teknikës juridike: Aspekte komparative. Prishtinë: Logos-A, 2003.

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6

Scarpelli. Qu'est-ce que le positivisme juridique ? LGDJ / Montchrestien, 1996.

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7

G, BLIGH. LES BASES PHILOSOPHIQUES DU POSITIVISME JURIDIQUE DE H.L.A. HART. IUV, 2017.

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8

G, BLIGH. LES BASES PHILOSOPHIQUES DU POSITIVISME JURIDIQUE DE H.L.A. HART. IUV, 2017.

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9

Critical legal positivism. Aldershot, England: Ashgate, 2002.

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10

No Place for Ethics: Judicial Review, Legal Positivism, and the Supreme Court of the United States. Rowman & Littlefield Publishers, Incorporated, 2023.

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Book chapters on the topic "Positivisme juridique"

1

"Mythe et Positivisme Juridique." In Mythes grecs et droit, 163–203. Les Presses de l’Université de Laval, 2017. http://dx.doi.org/10.1515/9782763734811-008.

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2

Herrera, Carlos-Miguel. "Heinrich Triepel et la critique du positivisme juridique à Weimar." In Crise et pensée de la crise en droit, 87–112. ENS Éditions, 2002. http://dx.doi.org/10.4000/books.enseditions.38000.

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3

"Normes juridiques et État d’un point de vue « réaliste »." In Les positivismes juridiques au XXe siècle. Normativismes, sociologismes, réalismes, 45–62. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p41p.6.

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4

"Normes juridiques et État chez Duguit et dans la tradition fonctionnaliste." In Les positivismes juridiques au XXe siècle. Normativismes, sociologismes, réalismes, 31–44. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p41p.5.

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5

"Le normativisme « impur » de Hart et le droit étatique comme paradigme." In Les positivismes juridiques au XXe siècle. Normativismes, sociologismes, réalismes, 63–91. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p41p.7.

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6

"Back Matter." In Les positivismes juridiques au XXe siècle. Normativismes, sociologismes, réalismes, 92. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p41p.8.

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7

"Normes juridiques et État dans la Sociological Jurisprudence et chez Ehrlich." In Les positivismes juridiques au XXe siècle. Normativismes, sociologismes, réalismes, 23–30. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p41p.4.

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8

"Le normativisme pur de Kelsen et l’identité du droit et de l’État." In Les positivismes juridiques au XXe siècle. Normativismes, sociologismes, réalismes, 1–22. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p41p.3.

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9

"Front Matter." In Les positivismes juridiques au XXe siècle. Normativismes, sociologismes, réalismes, II—VI. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p41p.1.

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10

"Table of Contents." In Les positivismes juridiques au XXe siècle. Normativismes, sociologismes, réalismes, VII—VIII. Presses de l'Université Laval, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1h0p41p.2.

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