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LEDUC, Caroline, Nathalie HOULFORT, and François-Albert LAURENT. "L’intérêt et l’engagement syndical des travailleuses de l’industrie de la construction." Revue multidisciplinaire sur l'emploi, le syndicalisme et le travail 10, no. 2 (June 21, 2017): 44–65. http://dx.doi.org/10.7202/1040294ar.

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Abstract:
La participation syndicale des femmes demeure un enjeu important, malgré la présence accrue de celles-ci au sein de différentes instances syndicales. Il est soulevé que l’intérêt des femmes pour le syndicalisme accuse un certain retard, comparativement à celui que lui accordent les hommes, et que ce retard est particulièrement marqué dans le milieu de la construction. Le présent article vise à tester un modèle théorique des facteurs expliquant l’intérêt des travailleuses de la construction pour l’engagement syndical. Une étude corrélationnelle a été réalisée auprès de 230 travailleuses de la construction au Québec afin de déterminer le rôle de facteurs organisationnels, interpersonnels et individuels dans le fait qu’elles sont intéressées à s'engager syndicalement. Les résultats suggèrent que l’intérêt des travailleuses de la construction pour l’implication syndicale est multifactoriel. Entre autres, il semble que l’implication actuelle, les connaissances syndicales et le sentiment d’efficacité personnelle de la travailleuse jouent un rôle important dans son désir de s’impliquer. Les résultats obtenus permettent de dégager des pistes d’action que les organisations syndicales pourraient mettre sur pied afin d’inciter plus de femmes à s’impliquer dans leur syndicat.
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Renaud, Stéphane, and Suzanne Dupuis. "Les impacts de la présence de la rémunération variable sur la participation aux activités syndicales locales." Revue multidisciplinaire sur l'emploi, le syndicalisme et le travail 5, no. 2 (November 1, 2010): 39–64. http://dx.doi.org/10.7202/1000019ar.

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Abstract:
Le but de cet article est de connaître les impacts de la présence de la rémunération variable sur la vie syndicale, particulièrement sur la participation aux activités syndicales locales. Pour répondre à cette question de recherche, nous avons émis trois hypothèses basées sur deux approches théoriques, soit la théorie de l’équité d’Adams (1965) et la théorie du conflit industriel de Wheeler (1985). Nous croyons que la participation aux activités syndicales locales sera accrue dans les syndicats où il y a présence de rémunération variable de nature individuelle par rapport aux syndicats où il n’y en a pas. Par ailleurs, nous croyons que la présence de la rémunération variable de nature collective aura l’effet contraire sur la participation syndicale, c’est-à-dire que les membres participeront moins que dans les syndicats où il n’y en a pas. Enfin, notre troisième hypothèse est conséquente des deux premières à l’effet que les membres des syndicats où il y a de la rémunération variable de nature individuelle participeront plus que ceux où il y de la rémunération variable de nature collective. Afin de vérifier empiriquement nos hypothèses, nous avons conduit une enquête par questionnaire auprès de l’exécutif des syndicats locaux de quatre fédérations affiliées à la CSN. Des 894 questionnaires acheminés, 234 questionnaires utilisables nous été retournés. Bien que les résultats démontrent que notre modèle est adéquat pour expliquer la participation syndicale, nos trois hypothèses sont infirmées. Nos résultats démontrent que les membres des syndicats où il y a de la rémunération variable de nature individuelle participent moins que les autres alors que ceux ayant de la rémunération variable de nature collective participent plus et conséquemment la troisième hypothèse est aussi infirmée. Cet article se termine par la conclusion qui inclut les implications pour les acteurs en relations industrielles et identifie des pistes pour de futures recherches.
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Klein, Juan-Luis, and Jean-Marc Fontan. "Syndicats et collectivités dans la gouvernance locale : une recherche exploratoire à Montréal." Recherche 44, no. 2 (February 11, 2004): 239–66. http://dx.doi.org/10.7202/007691ar.

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Abstract:
Résumé La mondialisation, avec la conséquente mobilité accrue des capitaux et des entreprises, oblige le mouvement syndical à revoir ses stratégies d’action. Le besoin de se mobiliser pour conserver les emplois met les syndicats en relation avec les autres acteurs des collectivités locales. Habitués à interagir avec des acteurs d’envergure nationale et de nature sectorielle, les syndicats québécois découvrent le potentiel du local en tant que terrain d’alliances et en tant que base d’un rapport de forces favorable. Quels sont les effets de l’insertion des syndicats dans la dynamique locale sur la lutte syndicale ? C’est la question qui a motivé la recherche-action dont s’inspire ce texte. La recherche permet de mieux comprendre les effets de l’action collective sur la structuration des collectivités locales. La mobilisation syndicale ne déclenche pas de façon automatique la solidarité locale. Et celle-ci ne suffit pas pour réussir à conserver les emplois. Mais, la présence d’une interaction entre syndicats et communauté, permet de mettre en place des organisations propices à l’apprentissage collectif et à des mobilisations futures. C’est aussi que l’interaction syndicat-communauté renforce aussi bien la mobilisation communautaire que la gouvernance locale.
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Murray, Gregor, and Pierre Verge. "La représentation syndicale au-delà de l'entreprise." Les Cahiers de droit 35, no. 3 (April 12, 2005): 419–66. http://dx.doi.org/10.7202/043291ar.

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Abstract:
L'actuel régime juridique de représentation syndicale perçoit le syndicat primordialement comme un agent local de négociation collective et l'investit à cette fin d'un pouvoir de représentation exclusif d'une collectivité particulière de salariés. Privilégiant la représentation sur le plan de l'entreprise, il ne prend en considération la réalité syndicale que partiellement. La réalité de la représentation syndicale est en effet plus riche et plus variée. L'action syndicale s'exerce sur un grand nombre de plans à l'égard d'une variété d'objets. Le présent texte traite de la représentation syndicale au-delà de l'entreprise sous ses diverses formes et, plus particulièrement, de la participation des syndicats au sein de différentes instances étatiques au Québec. A partir d'une distinction entre la représentation du salarié en tant que salarié et du salarié en tant que citoyen, il veut d'abord établir généralement les différentes dimensions de la représentation syndicale au-delà de l'entreprise. Il s'attarde ensuite aux manifestations de cette représentation au Québec pour tenter d'en dégager les traits significatifs. Au Québec, l'appréhension du rôle des groupements syndicaux ne saurait être complète sans aller au-delà de l'entreprise. Dans ces sphères plus vastes, plusieurs d'entre eux exercent des actions ou, à tout le moins, une influence qui concernent aussi bien le salarié en tant que tel que le salarié-citoyen. Saisie globalement, la représentation syndicale est toutefois loin d'équivaloir à une intégration des mouvements syndicaux à la gouverne de l'État. Au Québec, sans doute peut-on aller jusqu'à parler d'une certaine « inclusion », dans la mesure où les groupements syndicaux sont appelés à participer, à titre consultatif, à diverses institutions à vocation particulière, sans pour autant avoir part à la détermination des orientations de l'État. Au fédéral, la reconnaissance étatique de la représentativité des groupements syndicaux paraît relativement marginale, surtout depuis l'abolition de certains grands organismes étatiques de consultation. En sens inverse, il y a toutefois lieu de tenir compte de l'émergence de nouveaux organismes dont la mission s'étend à certains aspects de la restructuration économique, particulièrement la formation professionnelle, et qui se caractérise par une forte participation syndicale. Lorsqu'il s'agit du salarié-citoyen, la représentation syndicale subit la concurrence de la part de divers autres groupements établis en fonction de nouvelles identités. La composition des organismes établis par la loi devient alors franchement multipartite. De surcroît, les critères de représentativité des groupements appelés à participer, dont ceux de nature syndicale, sont absents, ce qui affaiblit leur légitimité. D'importants courants d'opinion contemporains favorisent même la représentation directe et exclusive du citoyen-individu, par rapport à l'État, aux dépens de toute intermédiation fonctionnelle. Les acquis de la représentation syndicale, quoique perfectibles, témoignent cependant déjà de façon significative de la présence de divers intérêts collectifs dans la société québécoise, ainsi que de la vocation des groupements syndicaux à participer à leur expression.
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GAGNON, Mona-Josée. "Les femmes dans le mouvement syndical québécois." Sociologie et sociétés 6, no. 1 (September 30, 2002): 17–36. http://dx.doi.org/10.7202/001271ar.

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Abstract:
Résumé Cet article essaie de faire le point, à la lumière de ressources bibliographiques très limitées, sur la place des femmes dans le mouvement syndical québécois et sur l'idéologie véhiculée par les centrales syndicales en rapport avec la condition féminine. Prenant appui sur une brève revue des idéologies sociétales québécoises concernant la femme (1940-1970), on passe en revue les trois centrales syndicales québécoises, particulièrement la C.S.N. et la F.T.Q., mais aussi la C.E.Q., sous l'angle idéologique ainsi que politique (présence des femmes). Cette démarche se complète de considérations générales sur la syndicalisation des femmes québécoises et sur leur militantisme, ainsi que sur l'attitude en général des structures et dirigeants syndicaux du Québec en regard du travail féminin. Des hypothèses sont posées visant à expliquer les orientations différentes des deux centrales ouvrières, C.S.N. et F.T.Q., dans l'expression de leur préoccupation vis-à-vis de leurs membres féminins. On identifie enfin les choix fondamentaux s'offrant présentement aux centrales syndicales (protectionnisme ou égalitarisme) et on souligne la nécessité de combler leur retard à intégrer la dimension féministe à leur réflexion politique ainsi qu'à leur pratique syndicale.
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Bourque, Reynald, and Sébastien Riffaud. "Présence syndicale et autonomie des équipes d’opérateurs cuvistes dans l’industrie de l’aluminium." Articles 62, no. 1 (May 10, 2007): 66–95. http://dx.doi.org/10.7202/015798ar.

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Abstract:
Cet article présente les résultats d’une recherche sur l’autonomie d’équipes de travail d’opérateurs cuvistes de deux alumineries utilisant une technologie similaire, dont l’une est syndiquée et l’autre non syndiquée. L’hypothèse voulant que la présence syndicale favorise l’autonomie des équipes de travail est infirmée par les résultats de notre étude. La discussion des résultats met en évidence les facteurs qui ont contribué à une plus grande autonomie des équipes de travail dans l’établissement non syndiqué et conduit à une réévaluation de l’effet de la présence syndicale sur le travail en équipe.
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Hébert, Gérard. "La législation sur les relations du travail au Canada et le C.P. 1003." Articles 50, no. 1 (April 12, 2005): 85–116. http://dx.doi.org/10.7202/050993ar.

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Abstract:
Au cours du vingtième siècle, les syndicats ont joué un rôle majeur dans le système australien des relations industrielles. Ce rôle a été confié au mouvement syndical par la Commonwealth Conciliation and Arbitration Act de 1904. Cette loi, la base du système d'arbitrage australien, encourageait fortement l'adhésion syndicale et consacrait effectivement les syndicats comme unique voix des travailleurs. Les immigrants en Australie y trouvent alors un mouvement syndical fort et bien organisé pouvant les accueillir. Plusieurs immigrants n'ont eu d'autre choix que de devenir syndiqués. Un bon nombre d'ateliers fermés de facto existaient, plus particulièrement pour les travailleurs manuels dans les secteurs manufacturiers, du transport et de la construction, tous employeurs importants de main-d'œuvre immigrante en provenance de milieux non anglophones (IMNA). En conséquence, les taux de densité syndicale pour les IMNA ont toujours été plus élevés que ceux des australiens d'origine et des immigrants anglophones. Cet article s'intéresse à la façon dont les syndicats ont relevé les défis posés par un groupe d'immigrants membres, les femmes IMNA. Nous examinons le niveau de service offerts à celles-ci par les syndicats, l'étendue de la participation de ces syndicalistes dans leurs syndicats et les priorités qu'elles représentent pour ceux-ci. La documentation existante sur ce sujet souligne le manque de services spéciaux pour satisfaire aux besoins des IMNA syndiqués féminins. On y indique également que ces membres ont un bas niveau de participation dans les activités syndicales telles les votes et la présence aux assemblées, qu'elles sont grandement sous-représentées dans les postes d'officiers et que les syndicats ne s'attardent pas aux préoccupations importantes pour les immigrantes. On conclut en outre que ces facteurs amènent les IMNA femmes syndiquées à être aliénées envers les syndicats et à percevoir ceux-ci de façon négative. Ces prétentions sont cependant sujettes à débat sur au moins deux volets. D'abord, ces études ont été menées durant les années 1970 ou au début des années 1980 et leurs conclusions peuvent ne pas tenir pour les années 1990. Ensuite, ces prétentions pourraient aussi bien s'appliquer aux membres féminins de langue anglaise. Notre recherche vise alors à vérifier si les conclusions tirées dans le passé valent encore et à déterminer s'il y a des différences entre les membres féminins anglophones et les IMNA vis-à-vis leurs syndicats. Cette étude s'appuie sur des données provenant de trois sources : une enquête par questionnaire auprès de tous les syndicats de l'État de Victoria avec un taux de réponse de 55% (N=128), des études de cas de six syndicats en procédant à des entrevues et à des analyses des dossiers, ainsi qu'une enquête par questionnaire auprès d'un échantillon des membres de ces syndicats. Ce dernier questionnaire a été traduit dans dix langues et a connu un taux de réponse de 56% (N=1730). Notre étude démontre que même si une variété de services aux IMNA ont connu une expansion dans les années 1980 et au début des années 1990, un seul service, un cours de formation, visait spécifiquement les IMNA féminins syndiqués et tel service n'était offert que par cinq syndicats. Nous expliquons ce manque de service par trois facteurs interreliés : les ressources syndicales limitées, le statut minoritaire des IMNA féminins dans la plupart des syndicats et les attitudes des dirigeants syndicaux à plein temps. Comparé à leur proportion du nombre total de membres, les IMNA féminins, en dépit d'améliorations durant les années 1980, demeurent sous-représentées de façon significative parmi les dirigeants syndicaux à plein temps, plus particulièrement au niveau supérieur. Cependant, nous avons observé des taux de participation similaires des IMNA et des membres féminins anglophones dans la plupart des activités syndicales visant les membres. Finalement, les priorités industrielles majeures de ces deux groupes de membres sont similaires. Les deux groupes veulent voir leurs syndicats se concentrer sur les préoccupations traditionnelles, telles la sécurité d'emploi et les conditions de travail. Cependant, les IMNA syndiqués féminins accordent beaucoup plus d'importance aux sujets reliés aux immigrants que leurs collègues anglophones.
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Didry, Claude. "La production juridique de la convention collective: La loi du 4 mars 1919." Annales. Histoire, Sciences Sociales 56, no. 6 (December 2001): 1253–82. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900033977.

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Abstract:
RésuméL’objet de cet article est d’explorer les ressorts du travail juridique qui conduisit à l’élaboration de la catégorie légale de convention collective en France. À la fin du XIXe siècle, la réflexion juridique, partant des limites de l’institution syndicale, identifia d’autres modèles de la collectivité. À côté de celle fondée sur l’existence préalable d’une personne morale collective, le syndicat, les juristes envisagèrent un type de collectivité moins formalisé, le « groupement », défini comme la base de la représentation des travailleurs dans la conciliation et l’arbitrage des nombreuses grèves qui se déroulaient en dehors de toute présence syndicale. Ils devaient composer enfin avec la conception de la collectivité comme agrégation d’engagements individuels volontaires, inhérente au monde du droit civil. La loi de 1919, en ajustant ces trois conceptions de la collectivité, fit du « groupement » le lieu d’action du syndicat. Elle orienta pour longtemps le devenir du mouvement ouvrier français, en ancrant l’activité syndicale dans le fonctionnement d’instances représentatives élues du personnel.
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Gagné, Diane, and Marie-Josée Dupuis. "Quand le syndicat devient vecteur d’inégalités : les effets des clauses « orphelins » sur l’association syndicale." Articles 71, no. 3 (October 19, 2016): 393–417. http://dx.doi.org/10.7202/1037658ar.

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Abstract:
Depuis les années 1980, les syndicats locaux doivent souvent gérer les compressions demandées par la partie patronale lors des rondes de négociation. Disposant de très peu de marge de manoeuvre dans sa négociation, le syndicat se voit contraint de choisir entre une précarité généralisée et une précarité réservée à un groupe de travailleurs. Il en arrive à faire des compromis qui l’amènent à devenir un vecteur d’inégalités économiques et sociales, plutôt qu’un moteur d’amélioration des conditions des travailleurs. Les diverses clauses de disparité de traitement confèrent des droits et des avantages différents à certaines catégories de salariés travaillant pour un même employeur, que ce soit en raison de leur statut d’emploi (Bernier, 2011), de leur affiliation syndicale ou de leur date d’embauche (Côté, 2008). L'objectif principal de cette étude est de traiter des conséquences qu'ont eu la présence de ces clauses « orphelins », ainsi que leur contestation, sur les deux syndicats locaux étudiés. Également, nous souhaitons fournir des pistes de réflexion quant à ses impacts sur le collectif syndical. En effet, nous avons observé, chez les deux syndicats étudiés, que l'on refuse de considérer la double échelle salariale comme étant de la discrimination, et ce, pour deux principales raisons. D'abord, les exécutifs locaux sont peu familiers avec la notion de discrimination. Leurs connaissances se limitent souvent à la discrimination directe, alors que les plaignants allèguent une discrimination indirecte désavantageant les salariés les plus récemment embauchés, et donc plus jeunes. Secundo, les syndicats ne se reconnaissent aucune part de responsabilité dans l'entente intervenue en raison du contexte économique et juridique de la négociation et des fortes pressions exercées par l'employeur. En conclusion, nous aborderons les différents effets de la négociation de clauses « orphelins », soit la persistance des inégalités et la difficulté de mettre en oeuvre la norme d'égalité en milieu syndiqué.
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Adanhounme, Armel Brice, and Christian Lévesque. "L’action syndicale à l’international vue du Sud : du global au local ou du local au global?" Articles 68, no. 2 (June 11, 2013): 239–60. http://dx.doi.org/10.7202/1016318ar.

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Abstract:
RésuméCe texte propose une relecture du débat sur l’action syndicale à l’international entre la construction de coalitions globales et le développement de réseaux locaux. Il se base sur le récit des représentants syndicaux du secteur minier au Ghana et au Mexique. Les stratégies syndicales sont saisies sous les trois dimensions analytiques que sont les espaces de l’action syndicale à l’international, les modes d’interaction et le cadre de référence. L’objectif de l’article vise à comprendre comment les syndicats nationaux naviguent entre le local et le global, et les facteurs qui les poussent et les attirent vers les espaces transnationaux.Alors que les deux syndicats sont engagés dans un processus de renouvellement de leur action, leur stratégie transnationale diffère : les Ghanéens sont engagés dans le développement de nouvelles aptitudes et de nouveaux savoir-faire et les Mexicains dans la construction des coalitions. Ces constats suggèrent que l’action syndicale à l’international est fonction des contingences nationales. Primo, le syndicat ghanéen intervient surtout au niveau continental africain et privilégie le développement des compétences locales et nationales. De son côté, le syndicat mexicain est présent aussi bien au niveau continental nord-américain que transnational, notamment dans des campagnes de solidarité. Secundo, les Ghanéens entretiennent de faibles liens avec les autres syndicats. De l’autre, les Mexicains sont engagés dans un large répertoire d’action avec les syndicats nord-américains et les fédérations internationales. Tertio, les Ghanéens conçoivent leurs intérêts sur la base d’une forte identité clanique et définissent leur engagement international en termes de ressources. Pour leur part, les Mexicains bâtissent des coalitions transnationales sur la base d’une identité de classe.Allant au-delà de la dichotomie entre le local et le global, les stratégies syndicales à l’international sont socialement construites et localement enracinées. Elles s’expliquent par la dynamique de l’économie politique dans laquelle se trouvent insérés ces syndicats et les structures d’opportunité transnationale à leur portée.
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DURAND, Claude. "L’influence du partenaire sur les formes d’action syndicales." Sociologie et sociétés 1, no. 1 (September 30, 2002): 89–104. http://dx.doi.org/10.7202/001222ar.

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Abstract:
Résumé Quels rapports existent entre les orientations patronales et les formes d'action syndicale? L'auteur s'attache à cette question à partir des résultats d'une enquête menée auprès de 1 080 militants syndicaux français. Une typologie des formes d'action syndicale est mise à contribution dans l'analyse de ces rapports avec des partenaires différents quant à leurs orientations économiques, quant à leur statut (entreprises privées ou publiques) et quant à leur propension à la négociation. Cette mise en rapports fait ressortir les degrés de perméabilité des orientations des partenaires, variables selon les situations qui structurent leurs débats, et suggère quelques hypothèses pour rendre compte de la présence ou de l'absence de divergences dans leurs projets respectifs.
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Fiorito, Jack, Paul Jarley, and John T. Delaney. "The Adoption of Information Technology by U.S. National Unions." Articles 55, no. 3 (April 12, 2005): 451–76. http://dx.doi.org/10.7202/051328ar.

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Abstract:
Les syndicats aussi ont été enveloppés par la vague de la révolution de l'information. Ils ont utilisés la technologie de l'information et des communications (TIC) pour effectuer des campagnes d'organisation syndicale sur l'internet, pour tenir informés leurs membres des développements spécifiques reliés tant aux négociations qu'aux grèves et, plus généralement, pour améliorer les communications avec les membres, pour épauler certains efforts d'ordre politique ou d'ordre des négociations et pour des campagnes d'organisation. Un journal en ligne, publié pas des conseillers syndicaux provenant de plusieurs syndicats, fait état d'une foule d'exemples d'innovation et de créativité dans l'emploi des TIC et, plus particulièrement, dans l'internet (Ad Hoc Committee on Labor and the Web 1999). Un article récent en première page de l'AFL-CIO's America® Work intitulé : « Campagne d'organisation virtuelle » décrit comment les organisateurs syndicaux à travers le pays s'emparent du pouvoir de l'internet pour atteindre et mobiliser les membres (Lazarovici 1999 : 9). Pourquoi s'en préoccuper ? Au delà du fait que l'information est critique pour les syndicats, il existe des notions théoriques bien établies qui laissent croire à une influence des TIC sur les résultats que peut obtenir un syndicat. Le concept de Barney (1997) d'organisation comme source d'un avantage concurrentiel durable, notion sensiblement identique à celle de Leibenstein (1966) connue antérieurement sous l'idée d'une X-efficacité conserve toute sa pertinence ici. Quoique les syndicats ne sont pas habituellement en concurrence les uns avec les autres, l'emploi efficace des TIC leurs offre une possibilité d'améliorer les services aux membres, de bonifier leurs efforts au plan des relations politiques et publiques, d'améliorer leur performance au plan des négociations et leur habileté à organiser les nouveaux membres. Ainsi, les TIC offrent une source potentielle d'avantage concurrentiel, lorsque des syndicats se retrouvent effectivement en compétition. D'une manière plus importante, elles présentent un levier potentiel lorsque les syndicats sont en compétition avec les employeurs sur la forme de gouvernement d'un lieu de travail (i.e. l'unilatéralisme de l'employeur versus la détermination conjointe syndicat-employeur des conditions de travail). Un modèle dont le syndicat se sert. On doit généralement s'attendre à ce que des modèles d'innovation s'appliquent à un cas particulier de l'emploi des TIC. L'usage des TIC par un syndicat constitue un phénomène relativement nouveau et, partant, se qualifie comme une innovation (Daft 1982). De plus, la méta-analyse de Damanpour (1991) porte à croire que l'innovation est un phénomène organisationnel général, en ce sens que les organisations qui innovent dans un secteur ou sous une forme en particulier ont tendance à le faire dans d'autres secteurs et sous d'autres formes. Ainsi, les effets anticipés sous forme d'hypothèses par Delaney, Jarley et Fiorito (1996) devraient s'avérer les mêmes dans le cas de l'usage des TIC. Ceci nous amène à croire que certaines variables organisationnelles et environnementales affecteront l'usage des TIC au fur et à mesure que les rapports coûts-bénéfices seront connus. Dans les termes de la théorie des organisations, cette situation reflète essentiellement l'approche de la contingence structurelle. Les données. Notre source principale de données provient du Survey of Union Information Technology (Suit), une enquête par la poste effectuée au cours de l'été et de l'automne 1997. Une lettre d'introduction personnalisée expliquait la nature de l'étude, en garantissait le caractère confidentiel, offrait de fournir les résultats et demandait la participation. Un échantillon de 120 syndicats nationaux menant des activités aux États-Unis a été constitué à l'aide de l'annuaire de Gifford des organisations syndicales (1997). (Plusieurs incluent le membership de grands syndicats canadiens, tels les Machinistes, les Routiers et les Travailleurs de l'acier.) Soixante-quinze syndicats retournèrent des questionnaires utilisables. Les résultats. La rationalisation s'avère un effet positif et significatif sur une échelle multi-énoncés comprenant diverses formes et usages des TIC. La décentralisation ne montre aucun effet si l'on s'en tient au modèle de base ; cependant, la présence de covariances pour l'usage des TIC dans l'industrie, d'une part, et pour l'usage des TIC associé à une innovation antérieure, d'autre part, fait apparaître un effet positif, à la hauteur des attentes. Une mesure d'envergure stratégique échoue constamment à fournir une conclusion significative au plan statistique. La taille présente un impact positif consistant et fort, sauf dans la situation d'innovation antérieure. Au départ, la mesure de l'emploi des TIC en industrie présente un impact positif très impressionnant, sauf que, comme la taille, l'effet s'évanouit devant la présence d'une mesure d'innovation antérieure. On ne décèle pas non plus d'appui à la prévision d'un effet négatif sur le changement au plan de l'effectif syndical. Enfin, l'innovation antérieure est suivie d'un effet positif fort sur l'emploi des TIC par un syndicat. Conclusion. Le changement et l'innovation constituent sans aucun doute des enjeux vitaux pour les syndicats, au moment où ils doivent faire face au déclin de leur status. Un leadership nouveau à la FAT-COI et dans les syndicats nationaux considère sérieusement l'innovation et se demande comment cette dernière peut conduire à un renouvellement du syndicalisme. Les TIC, en particulier, deviendront probablement un facteur clef au moment où les syndicats tentent de formuler des stratégies de renouvellement dans la tourmente de la révolution de l'information. Il ne faudrait pas non plus considérer les TIC comme un élixir magique. Le déclin du syndicalisme est plutôt attribuable à une combinaison de facteurs et il faudrait être naïf pour penser qu'un changement quelconque pourrait contrer de tels effets. De toute manière, les TIC contiennent la promesse d'un outil puissant pour bonifier l'effort d'organisation, les services aux membres, l'efficacité au plan politique, à la table des négociations, au plan d'une plus grande solidarité entre les membres et d'une meilleure communication entre les membres et leurs leaders. Elles peuvent également prendre une valeur symbolique importante en aidant les syndicats à laisser croire qu'ils sont dans le coup (Shostak 1997) ou bien en les aidant à surmonter leur image de « dinosaure » (Hurd 1998). Si le fait d'utiliser les TIC en association avec d'autres innovations constitue une transformation, cela ne permettrait pas pour autant de conclure à une nouvelle forme de syndicalisme (e.g. un Cybersyndicat). Au minimum, il serait plus sûr d'affirmer que l'adoption des TIC aura probablement des effets remarquables sur la manière dont les syndicats assument leurs rôles conventionnels et il se peut que les TIC deviennent un catalyseur en les incitant à jouer de nouveaux rôles.
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Notebaert, Gérard. "L’impact du cadre législatif sur le taux de syndicalisation des intérimaires au Québec et en France." Articles 61, no. 2 (November 28, 2006): 223–46. http://dx.doi.org/10.7202/014169ar.

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Abstract:
L’industrie du travail intérimaire a connu une expansion remarquable au cours des dernières décennies. Le présent article a pour but de comparer la situation des travailleurs intérimaires au Québec et en France et d’expliquer les causes de leur très faible taux de syndicalisation. Pour ce faire, nous ferons les portraits schématiques de l’industrie de l’intérim, décrirons les cadres réglementaires qui régissent le travail intérimaire, examinerons certaines caractéristiques des régimes de représentation collective et analyserons les conditions dans lesquelles s’exerce le syndicalisme des intérimaires dans chacun de ces pays. Si les caractéristiques propres au travail intérimaire rendent difficiles l’organisation et la mobilisation syndicale de cette catégorie de travailleurs en raison de leur dispersion au sein d’une multitude d’entreprises utilisatrices, le très faible taux de présence syndicale dans cette industrie découle également d’autres facteurs spécifiques à chacun de ces pays et que nous tâcherons d’identifier.
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Verge, Pierre. "Une solidarité sans frontières ? Le droit canadien et l’action syndicale de solidarité transaméricaine." Les Cahiers de droit 48, no. 3 (April 12, 2005): 331–49. http://dx.doi.org/10.7202/043934ar.

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Abstract:
Différents facteurs influent sur la propension des groupements syndicaux de première ligne à s’engager dans des actions de solidarité syndicale transnationale, notamment celle qui unit des salariés d’une même entreprise implantée dans plusieurs pays. Quel est l’impact d’un droit national — le droit canadien, en l’occurrence — sur une telle action ? Est ainsi principalement susceptible d’intervenir la loi qui régit l’activité courante de négociation collective des syndicats en cause. Essentiellement, elle leur confère à cette fin le monopole de représentation d’une collectivité locale de salariés au sein de l’entreprise ou de l’un des ses établissements et établit un droit périodique de grève, action notamment interdite durant la convention collective. L’emprise du précédent aménagement juridique de la liberté syndicale du syndicat local n’empêche pas de légitimer, au regard de sa finalité juridique, son objectif de solidarité transnationale. De même, les retombées d’accords-cadres internationaux liant des entreprises transnationales et des instances syndicales ne contredisent pas la formule de négociation collective locale envisagée par la loi. Il en va toutefois autrement d’une action de coalition de solidarité transnationale. Le précédent droit de grève, temporellement limité, est, en effet, manifestement dysfonctionnel devant les exigences de la grève de solidarité. En revanche, la solidarité syndicale transnationale peut se manifester sans entraves particulières à travers différentes techniques de publicisation des vues syndicales, comme la distribution de tracts ou le piquetage. Elles participent effectivement de la liberté fondamentale d’expression dans la société. Le précédent bilan conduit à se demander, à l’égard du phénomène grandissant de l’entreprise-réseau, notamment celle d’envergure transnationale, si les milieux syndicaux en viendront à trouver relativement désavantageux le présent aménagement légal de l’action syndicale locale, en particulier en ce qui a trait aux limites qu’il impose à la grève de solidarité, particulièrement celle d’envergure transnationale. Dans l’affirmative, trouveraient-ils appui à leur volonté de remise en cause de ce régime classique dans les ententes de coopération en matière de travail liant le Canada et d’autres pays américains ou, encore, dans le droit de l’Organisation internationale du travail (OIT) ?
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Bourque, Reynald, and Claude Rioux. "Restructuration industrielle et action syndicale locale." Relations industrielles 56, no. 2 (October 21, 2002): 336–64. http://dx.doi.org/10.7202/000028ar.

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Abstract:
Résumé La restructuration de l’industrie du papier au Québec a eu un impact majeur sur l’action syndicale. Cet article présente les changements intervenus dans les pratiques syndicales de la Fédération des travailleurs du papier et de la forêt (FTPF-CSN) et de ses syndicats affiliés, notamment en ce qui a trait à la demande de nouveaux services découlant de l’implication syndicale dans la réorganisation du travail. Nous analysons également les effets de ces changements sur les relations entre la FTPF et ses syndicats locaux, ainsi que les problèmes et les défis inhérents au renouvellement des pratiques syndicales.
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Bourque, Reynald, and Sossie Der Stepanian. "L'effet de la présence syndicale sur le travail en équipe dans l'industrie du vêtement." Recherche 42, no. 3 (April 12, 2005): 489–515. http://dx.doi.org/10.7202/057473ar.

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Abstract:
Cet article présente les principaux résultats d'une recherche sur le travail en équipe dans deux usines québécoises de vêtement qui ont mis en place une organisation du travail inspirée du modèle japonais de production allégée. Ces deux usines ont une taille et une gamme de produits semblables, mais l'une est syndiquée et l'autre non syndiquée. Bien que les salariés bénéficient de meilleures conditions de travail et d'une plus grande autonomie dans l'organisation du travail en équipe dans l'usine syndiquée, la présence syndicale n'a pas empêché l'augmentation de la charge de travail et du stress découlant de l'implantation d'un système de production allégée.
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Chênevert, Denis, and Michel Tremblay. "Le rôle des stratégies externes et internes dans le choix des politiques de rémunération." Articles 57, no. 2 (July 28, 2003): 331–53. http://dx.doi.org/10.7202/006783ar.

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Abstract:
Résumé La présente étude, réalisée auprès de 252 entreprises québécoises, a permis de mettre en évidence que les politiques de rémunération sont davantage influencées par les stratégies internes de l’organisation que par leurs stratégies externes. Plus spécifiquement, les entreprises qui préconisent les équipes autonomes de travail, la qualité totale et la gestion participative optent davantage pour des politiques de rémunération orientées vers la performance individuelle et collective, tendent à accorder un pourcentage de bonis plus élevé et à favoriser une plus grande transparence dans leurs mécanismes de gestion. Les résultats montrent également que la présence syndicale joue un rôle déterminant dans le choix des politiques de rémunération.
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McShane, Steven L. "Sources of Attitudinal Union Militancy." Articles 40, no. 2 (April 12, 2005): 284–302. http://dx.doi.org/10.7202/050134ar.

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Abstract:
Les attitudes relatives à l'activité militante des syndicats ainsi que leur puissance ont beaucoup retenu l'attention au cours de la dernière décennie à la suite du développement du syndicalisme dans des industries et des professions qui, auparavant, n'avaient guère connu de relations conflictuelles. La plupart des travaux ont tente de découvrir si ces attitudes proviennent surtout de la conjoncture du milieu de travail ou des opinions et des valeurs ayant cours dans la société que les travailleurs transposent dans la profession ou à l'usine. Ainsi, même si la recherche est devenue très sophistiquée, la question n'en est pas pour autant résolue à cause de constatations contradictoires. L'objectif principal de la présente étude est de déceler l'importance relative de plusieurs groupes de variables en considérant les deux dimensions que revêt le militantisme syndical, c'est-à-dire le militantisme en milieu de travail et le militantisme du syndicat lui-même. Les cinq catégories, qui représentent quatorze indicateurs, comprennent des facteurs démographiques, familiaux, sociaux, professionnels et d'activisme en milieu de travail. La détermination de leur contribution relative se fonde sur une analyse de régression graduée normalisée de manière à refléter l'importance causale implicite des dits facteurs. L'étude compare aussi la corrélation des deux mesures de l'attitude militante des syndicats avec une mesure du comportement des individus à l'endroit du syndicalisme en général. Le but de cette comparaison est d'établir dans quelle mesure les attitudes militantes sont distinguées du comportement à l'endroit du syndicalisme ou peuvent s'y comparer, et, de ce fait, permettre une meilleure compréhension de la façon dont ces attitudes s'alignent avec les opinions que l'on professe sur le syndicalisme. Les données sur lesquelles repose l'étude furent tirées d'une enquête à laquelle ont répondu 297 membres (sur une possibilité de 482) d'un syndicat d'employés municipaux du sud de l'Ontario. Les trois variables dépendantes — le militantisme syndical, l'activisme syndical en milieu de travail et l'attitude générale à l'endroit du syndicalisme — ont été rendues opérationnelles à partir de questions multiples très crédibles. Les mesures furent établies à partir d'abord d'un échantillon initial recueilli six mois plus tôt suivi de l'analyse des données qui ont servi à l'étude. L'analyse des facteurs (par rotation oblique) dissociait nettement les questions relatives au pouvoir du syndicat du militantisme sur les lieux du travail. Le troisième facteur identifiait les questions portant sur l'appréciation du syndicalisme, mais la moitie de ces questions valaient aussi pour le facteur du militantisme sur les lieux du travail. Ainsi, l'attitude du syndique à l'endroit du syndicalisme semble en quelque sorte similaire à sa volonté de s'engager dans une activité de lutte. Les analyses de régression normalisée laissent présager que la volonté de s'engager dans une activité de lutte (c'est-à-dire le militantisme sur les lieux du travail) est rattachée davantage aux antécédents et à des facteurs sociaux qu'à la conjoncture du milieu de travail, alors que les caractéristiques de l'emploi et les attitudes syndicales et professionnelles sont davantage reliés à sa propre perception de ce que devrait être le pouvoir du syndicat (le militantisme syndical). Les résultats en ce qui concerne l'attitude à l'endroit du syndicalisme se rapprochent plus de l'activisme syndical en milieu de travail que du militantisme du syndicat. Ainsi, on peut considérer dans une certaine mesure le militantisme sur les lieux du travail comme la composante fondamentale de la confiance au syndicalisme. En plus de la distinction entre les deux attitudes militantismes et de leur correspondance avec le comportement à l'endroit du syndicalisme en général, les constatations rapportées ont montre l'importance des facteurs sociaux comme explication de ces attitudes. Des corrélations significatives entre les deux attitudes militantismes et l'adhésion syndicale de même que le comportement des amis ont souligne le fait que ces attitudes se concilient socialement et que, en conséquence, elles doivent être soutenues socialement. Aussi, plus un syndique est intègre à un milieu de culture syndicale par les liens de l'amitié, plus il est probable qu'il appuiera les actions collectives et le pouvoir du syndicat.
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Leclair, Marie, and Pascale Petit. "Présence syndicale dans les établissements : quel effet sur les salaires masculins et féminins ?" Economie et statistique 371, no. 1 (2004): 23–47. http://dx.doi.org/10.3406/estat.2004.7274.

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Rhéaume, Jacques, Marie-France Maranda, Jean-Simon Deslauriers, Louise St-Arnaud, and Louis Trudel. "Action syndicale, démocratie et santé mentale au travail1." Nouvelles pratiques sociales 20, no. 2 (July 17, 2008): 82–110. http://dx.doi.org/10.7202/018450ar.

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Abstract:
Résumé La problématique de la santé mentale au travail est très présente dans les milieux syndicaux, replaçant au coeur de l’action syndicale l’importance de la qualité de vie au travail. Plusieurs recherches participatives, inspirées de la psychodynamique de travail et des récits de pratiques ont permis d’explorer le vécu et la réflexion de militants syndicaux sur la santé mentale au travail, tant dans leur travail à l’intérieur des structures syndicales que dans leurs interventions dans divers milieux de travail. Les nouvelles formes d’organisation du travail, marquées par l’idéologie néoproductiviste portent atteinte à la santé mentale de nombre de travailleurs et travailleuses, y compris chez les représentants et militants syndicaux. La difficile démocratisation au travail constitue un risque important pour la santé mentale au travail, un signe peut‑être de la toujours présente aliénation au travail.
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Béroud, Sophie, and Jean-Michel Denis. "La reconnaissance de représentativité comme source d’intégration ? L’Union syndicale Solidaires à la recherche d’un positionnement original." Articles 70, no. 2 (June 30, 2015): 285–305. http://dx.doi.org/10.7202/1031486ar.

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Abstract:
Constituée à la fin des années 1990, l’Union syndicale Solidaires a pris une part importante dans les mobilisations sociales. Au travers de ses syndicats SUD, elle apparaît comme l’une des composantes radicales du mouvement syndical en France, tout comme l’un des acteurs majeurs dans la contestation des effets de la crise économique et des politiques de rigueur. Cet article montre que, tout en jouant un rôle important dans la contestation sociale, l’Union syndicale Solidaires (USS) est également engagée dans un processus de reconnaissance de sa représentativité et de sa place dans le système de relations professionnelles. Pour faire vivre le syndicalisme combatif qu’elle entend défendre, l’organisation est, en effet, obligée de gagner en audience et en visibilité. Tout en contestant les règles du système de relations professionnelles, tel qu’elles bénéficiaient aux acteurs dominants au sein de ce dernier, Solidaires réclamait un changement de celles-ci. La réforme des règles de représentativité, lancée en 2008, a été de ce point de vue plutôt positive pour l’Union. Cependant, elle a engendré des dynamiques ambivalentes en son sein : elle a facilité les conditions d’implantation de ses syndicats dans le secteur privé, tout en l’obligeant à rationaliser ses structures, mais aussi ses pratiques, dans un souci d’efficacité. Une tension existe ainsi entre, d’un côté, une stratégie de développement syndical pensée d’une certaine façon « à froid », non plus dans les phases de mobilisation sociale, mais davantage en lien avec les opportunités créées par le nouveau régime de représentativité et, de l’autre, l’importance de certains référents identitaires très présents dans l’organisation (reconnaissance de l’autonomie des structures de base, refus de toute centralisation, critique des permanents syndicaux).
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Camerlynck, G. H. "Le bilan de l’année 1969 en droit du travail français." Relations industrielles 25, no. 2 (April 12, 2005): 369–75. http://dx.doi.org/10.7202/028134ar.

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Abstract:
Cette nouvelle chronique, qu'assure le professeur G.H. Camerlynck, de la Faculté de droit et des sciences économiques de Paris, permettra au lecteur de faire le point de révolution annuelle du droit du travail français. Ce système et l'aménagement juridique nord-américain des relations du travail, au départ si différents, commenceraient-ils à converger à certains égards ? Acceptation, maintenant, par le premier, d'une présence syndicale dans l'entreprise ; tendance plus accentuée, pour ce qui est du second, notamment au Québec, à la négociation par grands secteurs...
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Brès, Luc, Emmanuel Raufflet, Geneviève Dionne, and Isabelle Ménard. "Les formes d’action syndicale en matière environnementale." Économie et Solidarités 42, no. 1-2 (March 5, 2015): 85–104. http://dx.doi.org/10.7202/1029012ar.

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Abstract:
Si les liens entre environnement et organisations syndicales ont été trop peu étudiés, les données disponibles montrent une relation difficile ou du moins particulière entre ces deux thèmes. Prenant appui sur une étude empirique que nous avons mise en oeuvre, le présent article contribue à éclairer la compréhension de la relation entre ces thèmes en identifiant des formes d’action syndicale en environnement. L’analyse et la sélection de plus d’une cinquantaine d’initiatives à travers le monde prenant la forme d’organisations syndicales nous ont en effet conduits à proposer une typologie des formes de l’action syndicale en environnement. Dans les lignes qui suivent, nous nous proposons de présenter cette typologie et de l’illustrer en nous appuyant sur des exemples tirés de notre étude.
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Groulx, L. H. J. "Syndicalisation locale et action ouvrière : analyse de cas." Relations industrielles 31, no. 1 (April 12, 2005): 84–97. http://dx.doi.org/10.7202/028684ar.

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Abstract:
Après avoir établi la chronologie d'une lutte syndicale au niveau local, l'auteur présente les diverses formes de consciences syndicales et de leaderships d'action, et dégage le processus interne de cette action syndicale par rapport au système des relations du travail.
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Duguet, Emmanuel, and Pascale Petit. "La présence syndicale réduit-elle la discrimination salariale à l'encontre des femmes ? Un examen sur l'année 2002." Revue d'économie politique 119, no. 3 (2009): 401. http://dx.doi.org/10.3917/redp.193.0401.

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Béland, François. "L'Anti-Congrès." Articles 13, no. 3 (April 12, 2005): 381–97. http://dx.doi.org/10.7202/055589ar.

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Abstract:
Souvenons-nous des étudiants de 1968. Dès janvier, ils ébranlent les fondements des organisations syndicales qui les représentent et des administrations scolaires ou universitaires qui gèrent leurs artivités académiques. Les nouvelles revendications s'expriment hors des cadres traditionnels : l'A.G.E.U.M. est exclue de la grève des étudiants de la Faculté des sciences sociales de l'Université de Montréal. Les revendications des « nouveaux » étudiants sont inconnues des « anciens » militants syndicaux : méthodes pédagogiques libertaires, refus de toute hiérarchie universitaire ou scolaire et responsabilité de l'étudiant envers le savoir qu'on lui enseigne. Pendant l'été, les associations étudiantes collégiales et universitaires engagent des animateurs syndicaux étudiants. L'U.G.E.Q. abandonne le rôle d'encadrement idéologique et organisationnel que lui avaient légué ses fondateurs. Elle refuse toute mission représentative, elle s'en remet au « milieu » étudiant, lieu de spontanéité et de créativité culturelle et politique, tandis que les plus militants de ses membres font un « tour du Québec », rencontrent les permanents syndicaux étudiants et les leaders locaux des institutions d'enseignement. Un cahier de revendications et un nouveau mode d'action revendicative émergent lors d'une session d'étude organisée par l'U.G.E.Q. : la semaine syndicale d'août. Militants, animateurs, leaders locaux sont présents à cette véritable préfiguration d'octobre, réunion d'un combat nouveau, comme le congrès de février 1969 allait en marquer la fin apocalyptique. Éclatent les événements d'octobre (1968). Logique, l'U.G.E.Q. informe, prête assistance technique, mais ne dirige pas. Les centres d'action sont les unités locales, plus ou moins militantes, qui se transforment en communautés libertaires révolutionnaires. L'unité du mouvement est donnée par quelques revendications, par l'intention libertaire commune et par les expressions idéologiques raffinées de leaders locaux dont l'audience s'élargit grâce aux média d'information. Après les événements d'octobre, les directions des cégeps prennent les mesures disciplinaires que l'on sait : exclusion de leaders, interdiction d'assemblées, renvoi d'étudiants, suspension de professeurs, saisies de journaux étudiants, contrôle des présences étrangères sur les campus, etc. L'U.G.E.Q. se révèle impuissante à organiser la résistance des étudiants et à empêcher l'application de ces mesures. En fait, ce n'est déjà plus son rôle : coordonner, informer n'est pas organiser. Donc, contestée de l'intérieur, incapable de réagir aux actions les plus vexatoires des administrations scolaires, asphyxiée par une grave crise financière, l'U.G.E.Q. disparaît en juin 1969 de l'horizon politique et syndical du Québec à la suite d'un congrès en parfaite continuité historique avec les événements qui l'avaient précédé depuis presque un an et demi. Il nous semble en effet que le congrès de février 1969 doit se comprendre comme la dernière manifestation d'un cycle commencé en janvier 1968. Le syndicalisme étudiant que le Québec avait connu pendant la révolution tranquille, disparaît avec la conjoncture politique qui avait favorisé ce mode d'organisation. Des revendications nouvelles, des actions nouvelles, le fractionnement des organisations syndicales en groupuscules politiques ne sont pas des événements indépendants les uns des autres, ils se présenteront en une même et courte période historique, contemporaine d'événements similaires en d'autres pays. Ce sera une période d'interrogation radicale de la pensée occidentale, du capitalisme qui la soutient, de la techno-structure qui en profite, du contenu de l'enseignement, de la hiérarchie des savoirs, des titres universitaires qui la cristallisent ; cette interrogation est pourtant inconditionnellement liée à chacune des formations sociales dont elle manifeste les contradictions. Le congrès de février reprend l'ensemble des débats, questions et affrontements caractéristiques de cette période troublée. Les groupuscules, survivants de la dislocation des organisations syndicales, le domineront. Tellement que ce qui demeure de syndicats étudiants verront leurs représentants s'organiser spontanément en groupuscules à l'intérieur du congrès même. Le congrès est le lieu de leur rencontre ultime. C'est d'eux qu'il sera question ici,) des thèmes de leur discours, homonymiques de par leur condition commune d'étudiant ; à la fois opposition à la « rigidité de l'intelligence contemporaine », exorcisme de la parole et copie fidèle de l'académisme.
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St-Onge, Sylvie, Victor Y. Haines, and Alain Klarsfeld. "La rémunération basée sur les compétences." Articles 59, no. 4 (September 19, 2005): 651–80. http://dx.doi.org/10.7202/011333ar.

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Abstract:
Cette étude s’intéresse aux déterminants et aux incidences de la rémunération basée sur les compétences. Les données ont été colligées par questionnaire auprès de 189 responsables de la gestion des ressources humaines à l’emploi d’entreprises du secteur privé comptant plus de 200 employés. Les résultats confirment que l’adoption de la rémunération basée sur les compétences est positivement reliée à la culture de gestion participative. Après avoir contrôlé pour la taille de l’entreprise et la présence syndicale, les résultats montrent que, comparés aux autres, les répondants qui sont à l’emploi des organisations où l’on adopte la rémunération des compétences sont statistiquement plus portés à estimer (a) que leur organisation est plus performante tant sur le plan de la finance que des ressources humaines et (b) que leur processus de gestion du rendement est plus efficace tant pour réaliser la stratégie d’affaires que pour traiter équitablement le personnel.
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Costa, Hermes Augusto. "Le syndicalisme portugais et l’austérité : entre la force des protestations et la fragilité des alliances." Articles 70, no. 2 (June 30, 2015): 262–84. http://dx.doi.org/10.7202/1031464ar.

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Abstract:
L’adoption de mesures d’austérité pour surmonter la crise des dettes souveraines de ces dernières années a accentué la fragilité des syndicats en tant qu’institutions, en mettant aussi à l’épreuve leur capacité de résistance en tant que mouvements. Il n’en demeure pas moins que les syndicats ont cherché à réagir, en s’insurgeant contre les politiques d’austérité. Toutefois, le syndicalisme demeure «orgueilleusement seul», touché par des divisions internes et influencé par des tendances partisanes, semblant dès lors peu enclin à former des alliances avec d’autres groupes et mouvements. Ces derniers, pourtant, partagent souvent des préoccupations semblables à celles des syndicats (la lutte contre la précarité au travail en constituant le meilleur exemple). Dans la première partie de l’article, nous synthétisons quelques-unes des mesures d’austérité, décrivons brièvement les deux principales confédérations syndicales portugaises ainsi que certains acteurs socioprofessionnels, et analysons leurs discours face à la crise. Dans la seconde partie, nous abordons les caractéristiques et les moments principaux des réactions syndicales et de la protestation sociale plus ample face à l’austérité. Finalement, nous identifions certains défis externes et internes auxquels le syndicalisme est confronté au Portugal. D’une part, les syndicats doivent résister aux pressions externes dictées par les politiques d’austérité; d’autre part, ils doivent adopter une action proactive «à partir de l’intérieur», en s’ouvrant à de nouveaux publics (travailleurs précaires non syndiqués, fortement touchés par la crise et l’austérité) et, par conséquent, à de nouvelles formes de protestation sociale. La création d’un syndicat dans le secteur de la musique, du spectacle et de l’audiovisuel et la lutte dans un centre d’appels dans le secteur de la santé sont, à cet égard, deux défis à l’autonomie et à la rénovation des pratiques syndicales, et elles constituent, peut-être, la voie d’un «syndicalisme de travailleurs précaires», inexistant jusqu’à présent.
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Hennebert, Marc-Antonin. "Les relations de travail au sein des entreprises multinationales : quand les syndicats empruntent la voie de l’international." Revue multidisciplinaire sur l'emploi, le syndicalisme et le travail 5, no. 2 (November 1, 2010): 65–84. http://dx.doi.org/10.7202/1000020ar.

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Abstract:
Les relations de travail se déclinent aujourd’hui dans divers espaces normatifs et territoriaux. Si les dynamiques locales et nationales demeurent la clé de voûte pour comprendre ces relations, les acteurs sociaux s’investissent de plus en plus dans l’élaboration de nouveaux cadres de relations de travail destinés à prendre la mesure de l’internationalisation des entreprises et des enjeux que ce phénomène soulève. À cet effet, nous assistons depuis quelques années à l’émergence d’alliances syndicales internationales visant à fournir un espace de concertation et de développement de stratégies communes aux syndicats représentant les travailleurs d’une même multinationale. Sur la base d’une étude de cas et d’un matériel empirique ayant impliqué la réalisation d’entretiens semi-directifs dans une douzaine de pays différents, cet article vise à présenter l’expérience des syndicats d’une multinationale canadienne dans la mise en place d’une de ces alliances et dans le développement de plans d’actions internationaux. Nous argumenterons notamment que malgré les nombreuses conditions d’effectivité qui se posent à ces alliances, ceux-ci s’avèrent particulièrement bien adaptés au défi que représente le développement d’un contre-pouvoir syndical au sein des multinationales pour deux principales raisons. D’une part, parce que leur forme organisationnelle en réseau permet une certaine souplesse dans les modes de collaboration entre acteurs d’horizons institutionnels variés et, d’autre part, parce qu’elles permettent un point de rencontre à tout le moins partiel entre les traditions européennes et nord-américaines en matière de pratiques syndicales internationales.
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Yerochewski, Carole, and Diane Gagné. "Quand le droit conforte les stratégies syndicales reproduisant les arrangements institutionnels sources de discrimination systémique." Articles 72, no. 3 (September 27, 2017): 551–73. http://dx.doi.org/10.7202/1041097ar.

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Abstract:
Cet article présente un cas de mobilisation contre les discriminations systémiques envers des travailleuses procurant des services d’assistance aux personnes (en anglais, care-workers), en grande majorité Noires et Haïtiennes, qui occupent des emplois aux normes dégradées dans des agences de placement fournissant du personnel pour un seul organisme parapublic. À l’intersection des mutations en cours dans la gestion de la main-d’oeuvre et de la réorganisation de la prise en charge des services d’assistance aux personnes, ce cas est représentatif de la façon dont se redessinent les frontières de la relation d’emploi. Les travailleuses mobilisées étant syndiquées, il permet aussi d’explorer un éventail d’attitudes syndicales. Une stratégie syndicale prédomine : elle consiste à défendre ou gérer la négociation collective institutionnalisée. Elle est encouragée par un ensemble d’institutions qui produisent des constructions contradictoires des enjeux d’égalité et du problème des discriminations. Si ces arrangements institutionnels ouvrent une brèche aux « innovations » patronales et confortent l’adoption de stratégies syndicales visant à préserver la relation bilatérale d’emploi, cet article soutient que cette stratégie est aussi symptomatique de la vision moniste avec laquelle les syndicats abordent l’effritement du modèle dominant de la relation d’emploi, en le réduisant aux conflits d’intérêts entre employeurs et travailleurs. Or, cet effritement est aussi le résultat des réorganisations mutuelles et réciproques des différentes formes sociales de division du travail entre classes, sexes et races. Mais en ne s’interrogeant pas sur ce qui a fondé le compromis de la société salariale, soit la minoration ou l’exclusion de groupes de populations de la norme d’emploi à temps plein et permanent, les syndicats accordent la priorité à des stratégies qui participent, comme l’illustre le cas choisi, si ce n’est à la création de normes discriminatoires, du moins, à la légitimation de frontières entre ceux qui ont accès à des emplois de qualité et les autres.
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Bourque, Reynald. "Coopération patronale-syndicale et réorganisation du travail." Articles 54, no. 1 (April 12, 2005): 136–67. http://dx.doi.org/10.7202/051223ar.

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Abstract:
Cette étude présente les principaux résultats d'une recherche menée au Québec auprès de huit syndicats locaux des secteurs de la métallurgie et du papier affiliés à la CSN, qui ont négocié des ententes de participation syndicale à la gestion de l'organisation du travail au début des années 1990. La recherche a porté sur les contextes, les processus et les résultats de la coopération patronale-syndicale dans chacun des cas étudiés au cours de la période 1990 à 1997. L'analyse révèle d'abord que ces ententes, conclues pour la plupart dans un contexte de réduction des emplois, aménagent des modalités de participation formelle des syndicats à la gestion de l'organisation du travail. Les principaux changements intervenus concernent l'élargissement des tâches, le décloisonnement des métiers et le travail en équipe. Ces changements se sont accompagnés dans tous les cas de modifications aux règles conventionnelles de gestion des emplois et d'un allongement de la durée des conventions collectives. L'analyse longitudinale met en évidence un recul ou un plafonnement de la participation syndicale dans la majorité des cas après quelques années d'expérimentation. Les principaux facteurs associés au déclin de la participation syndicale sont l'imposition unilatérale par l'employeur de changements organisationnels et la perception de la part des salariés d'un partage inéquitable des gains découlant de la réorganisation du travail.
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Bélanger, Paul. "Mutations du syndicalisme québécois : hypothèse en vue d'une recherche." Articles 9, no. 3 (April 12, 2005): 265–79. http://dx.doi.org/10.7202/055407ar.

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Abstract:
Le syndicalisme québécois présente une particularité notable: alors qu'ailleurs au Canada, depuis 1956, à toutes fins pratiques le pluralisme syndical a fait place à l'unité, au Québec l'adhésion des ouvriers est partagée entre deux grandes centrales syndicales : la CSN et la FTO. On peut sous-estimer l'importance de ce phénomène en soulignant que la CSN s'est progressivement dégagée d'une idéologie traditionaliste pour s'adapter à une situation industrielle moderne et qu'elle se rapproche ainsi des positions de la FTQ: il ne resterait entre elles que les différences secondaires que la tendance naturelle des organisations à survivre empêcherait de surmonter. Mais une telle explication rendrait difficilement compte de la rivalité intersyndicale et du dynamisme de chacune des centrales; surtout elle laisserait entrevoir que la CSN n'a pas contribué à la transformation du Québec, qu'elle a même été un obstacle au changement, à la remorque du mouvement irréversible vers la modernisation. Si, au contraire, le pluralisme syndical au Québec a un sens, il ne peut se comprendre que relié à l'ensemble de la situation historique québécoise. Il n'est pas suffisant de parler de contexte et de rappeler la culture nationale des Canadiens français; il faut faire ressortir les principaux éléments constitutifs de la société québécoise et surtout essayer d'en esquisser les rapports. Les éléments de la situation sont connus: il s'agit de ce que plusieurs auteurs québécois ont nommé: le social, le national et l'industrialisation. Et l'examen de l'évolution du syndicalisme québécois apparaît fécond pour apercevoir les types de rapports qui se sont établis et s'établissent aujourd'hui entre eux. C'est donc à partir des orientations des syndicats et de leurs transformations que nous découperons des périodes dans cette évolution. Notre hypothèse veut que dans un passé récent l'existence de plusieurs centrales syndicales était liée à la relative autonomie du nationalisme et de l'industrialisation; que la « Révolution tranquille » peut être définie comme un effort, partiellement réussi, de gérer la tension entre la modernisation et le nationalisme; et que l'avenir du Québec n'est pas indifférent à la façon dont les centrales syndicales vont lier, dans leurs orientations, les trois éléments: modernisation, nationalisme et socialisme.
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Fontan, Jean-Marc, and Juan-Luis Klein. "Mouvement syndical et mobilisation pour l’emploi." Articles 19, no. 1 (November 19, 2008): 79–102. http://dx.doi.org/10.7202/040209ar.

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Abstract:
Résumé L’article présente les résultats d’une recherche portant sur les processus de mobilisation syndicale à la suite de fermetures d’entreprises. Les mobilisations étudiées permettent de comprendre comment le répertoire d’action du mouvement syndical s’élargit en réaction contre les nouvelles contraintes auxquelles il est confronté. Bien que la recherche ait porté sur treize cas de mobilisation, l’article reprend trois de ces cas dans une courte monographie permettant de saisir à la fois le contexte de la lutte et le processus de mobilisation. L’analyse des luttes étudiées nous permet de dégager un certain nombre de constats et d’illustrer comment l’action syndicale est en mesure d’innover. L’article nous permet de caractériser le contexte dans lequel prennent place les luttes pour l’emploi. Un contexte où il est de plus en plus important pour les institutions de développer des stratégies novatrices contribuant à maintenir un lien élevé de connectivité aux grandes sources de pouvoir et d’avoir.
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RAPHAËL, Edna. "Les femmes et le syndicat américain." Sociologie et sociétés 6, no. 1 (September 30, 2002): 55–77. http://dx.doi.org/10.7202/001615ar.

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Abstract:
Résumé L'auteur présente des documents renseignant sur la condition actuelle de la femme dans les syndicats américains. Les statistiques démontrent l'avantage économique que représentent ces membres. Les écrits traitant des avantages sociaux propres aux femmes syndiquées sont aussi considérés. Le mouvement syndical américain longtemps dominé par les hommes a tendance à abandonner ses pratiques discriminatoires envers les femmes. À la suite d'actions intentées par le gouvernement, et plus récemment de réunions et de conférences organisées par les activistes féminines, on s'attend que les syndicats américains défendent avec plus de vigueur, à l'avenir, les intérêts des femmes.
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Nadeau, Denis. "Monopole de représentation syndicale et droits individuels des salariés : l’incontournable défi de la diversité !" Colloque international : « Les systèmes de représentation au travail : à la mesure des réalités contemporaines ? » 53, no. 1 (February 20, 2012): 139–59. http://dx.doi.org/10.7202/1007830ar.

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Abstract:
À l’heure où la plupart des institutions régissant notre vie collective québécoise et canadienne sont sujettes à d’importantes remises en cause, le monopole de représentation syndicale n’échappe pas au même examen critique, et ce, d’autant qu’il est confronté à l’incontournable et stimulante réalité de la diversité. Le présent texte aborde les difficultés et défis qui sont posés aux syndicats en ces temps de redéfinition et propose quelques pistes de réflexion pour appréhender l’avenir.
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Sexton, Jean. "Face à l'avenir après cinquante ans: éditorial." Relations industrielles 50, no. 1 (April 12, 2005): 3–8. http://dx.doi.org/10.7202/050989ar.

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Abstract:
Le monopole de représentation octroyé au syndicat accrédité constitue la caractéristique la plus particulière du régime nord-américain de relations du travail. Il est demeuré pratiquement inchangé depuis plus de cinquante ans, tant au Canada qu'aux États-Unis. Plusieurs critiques ont cependant été formulées à son endroit au cours des dernières années. Le monopole de représentation syndicale est pointé du doigt lorsqu'on veut expliquer la baisse, dramatique aux États-Unis, de la syndicalisation et les difficultés d'implantation de la négociation collective. On dit aussi le monopole de la représentation trop rigide pour s'adapter aux nouveaux modèles de gestion des ressources humaines, populaires dans un nombre croissant d'entreprises. Cet article présente d'abord les principales critiques auxquelles fait face le monopole de représentation syndicale. Par la suite, il analyse et discute les différentes propositions de changement qu'on retrouve dans la littérature nord-américaine.
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Veilleux, Diane. "Proposition d'une conception organiciste de la représentation syndicale selon le Code du travail du Québec." Les Cahiers de droit 34, no. 3 (April 12, 2005): 899–948. http://dx.doi.org/10.7202/043239ar.

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Abstract:
En se syndiquant, les salariés adhèrent collectivement à un régime de représentation qui transcende leur choix et leurs intérêts individuels au bénéfice d'un intérêt collectif qu'est chargé de dégager et défaire prévaloir le syndicat accrédité. En quoi consiste alors ce régime de représentation et quel est le rôle des différents acteurs de ce régime ? En tentant d'apporter les éléments de réponse à ces questions, le présent texte offre un cadre d'analyse du concept de représentation syndicale que sous-tend le Code du travail du Québec. L'approche organiciste qui exclut toute relation contractuelle entre le syndicat et les salariés qu'il représente est au coeur même de l'analyse. Dans une première section, l'auteure explique comment la relation juridique entre le syndicat accrédité et les salariés de l'unité d'accréditation dérogent aux règles de droit commun de droit privé et assimile plutôt le pouvoir de représentation syndicale au mandat représentatif de droit public. La deuxième section traite du lien juridique entre le syndicat accrédité et les personnes qui décident et agissent en son nom et pour son compte au moment de l'exercice du mandat représentatif. L’auteure privilégie la théorie de la réalité et distingue ainsi les organes de gestion, les organes de représentation et les mandataires du syndicat accrédité. La troisième section met en relief les conditions que doivent respecter les représentants du syndicat accrédité pour engager la volonté et la responsabilité de ce dernier aux yeux des tiers à l'occasion de l'accomplissement d'actes ou de faits juridiques liés à l'exercice du mandat représentatif. L'auteure conclut que la mise en évidence des organes du syndicat accrédité et de leurs pouvoirs quant à l'exercice du mandat représentatif est nécessaire pour assurer le caractère distinct du syndicat accrédité, ainsi qu'une plus grande transparence de son fonctionnement à l'égard des salariés qu'il représente.
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Desfonds, Michelle. "La révision de l’organisation du travail dans le réseau de la santé et des services sociaux : amorce d’une démarche." Le dossier : L’organisation du travail dans le réseau de la santé et des services sociaux 10, no. 2 (January 28, 2008): 55–68. http://dx.doi.org/10.7202/301403ar.

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Abstract:
Résumé Signé en novembre 1993 dans un contexte économique et politique difficile, l'accord-cadre intervenu entre le gouvernement du Québec et la Centrale de l'enseignement du Québec a ouvert un nouveau champ de négociation : l'organisation du travail. L'article présente la démarche de révision de l'organisation du travail amorcée par les trois fédérations des syndicats du réseau de la santé et des services sociaux affiliés à la CEQ engageant les parties nationales, les syndicats et les employeurs. Après avoir réalisé le bilan de cette expérience, les trois fédérations, la FPSSS, la FSPPSSSQ et l'UQII identifient les conditions d'exercice d'un processus de réorganisation du travail qui déboucherait sur de nouvelles formes plus démocratiques d'organisation du travail : participation des syndicats à la révision de l'organisation du travail, reconnaissance réelle des syndicats par les employeurs, règles claires, mécanismes de gestion des conflits, transparence de l'information, révision des pratiques syndicales, ouverture à un syndicalisme de proposition, formation des travailleuses et des travailleurs.
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Vallée, Guylaine. "Les codes de conduite des entreprises multinationales et l’action syndicale internationale." Articles 58, no. 3 (January 16, 2004): 363–94. http://dx.doi.org/10.7202/007492ar.

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Abstract:
Résumé Les syndicats, comme d’autres acteurs de la société civile, ont recours à plusieurs moyens d’action pour convaincre les entreprises multinationales de se doter d’un code de conduite, d’en respecter les termes ou de les amender. Des règles de droit encadrent ces moyens d’action, qu’il s’agisse de propositions d’actionnaires ou de campagnes de boycott et de piquetage. Dans le présent article, nous présentons sommairement ces règles et tentons de voir les opportunités qu’elles créent et les limites qu’elles imposent aux acteurs, en particulier aux syndicats. Envisagées sous cet angle, il ressort que les règles du droit corporatif, du droit constitutionnel de la liberté d’expression et du droit civil constituent des ressources juridiques venant nourrir les nouveaux moyens d’action internationale des syndicats, ce qui, inévitablement, conduit à s’interroger sur le rôle du droit du travail dans la protection ou la promotion des nouveaux modes d’exercice de la liberté syndicale.
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De Rudder, Véronique, and François Vourc’h. "Assignation et discrimination racistes : enquêtes dans le monde du travail en France." Diversité urbaine 8, no. 1 (August 13, 2008): 7–23. http://dx.doi.org/10.7202/018614ar.

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Abstract:
Résumé Cet article présente une synthèse de résultats de recherches sociologiques menées sur le racisme dans les entreprises et les organisations syndicales depuis quinze ans. En France, la question des discriminations dites « raciales » comme problème social et la mise en place d’un dispositif public destiné à les réprimer est relativement récente. Cependant, il y existe toujours, bien qu’il y soit généralement dénié ou ignoré, un racisme systémique, notable dans différents domaines, qui désavantage tendanciellement immigrants et descendants d’immigrants en matière d’emploi, de salaire, etc. Au sein des entreprises, les stéréotypes dévalorisants permettant de faire porter à ces derniers la responsabilité de leur situation s’ajoutent aux divers moyens d’intimidation et de réduction au silence des travailleurs minoritaires. Les organisations syndicales dénoncent le racisme patronal, mais éprouvent beaucoup de difficulté à traiter directement du racisme et des discriminations, et ce, pour diverses raisons. Si des luttes contre les traitements discriminatoires ont pu être menées, parfois avec succès, elles ont généralement été non relayées au niveau syndical national.
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Badowski, Zbigniew. "Podstawy prawne i działalność chrześcijańskiego związku zawodowego "Dźwignia" (1906-1939)." Prawo Kanoniczne 31, no. 3-4 (December 10, 1988): 223–70. http://dx.doi.org/10.21697/pk.1988.31.3-4.12.

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Abstract:
L’article montre l’apport de l’Eglise Catholique dans l’activité sociale développée parmi les ouvriers sur le territoire de la Pologne. Pour présenter ce problème on s’est servi de l’exemple de „DŹWIGNIA” („LEVIER”) qui fut l’un des syndicats qui groupaient les ouvriès. Ce syndicat, inspiré par l’esprit chrétien, fut fondé le 24.05.1906 â Varsovie et il avait pour initiatrices les soeurs de la Congrégation du Nom de Jésus, guidées par deux prêtres largement connus pour leurs oeuvres sociales, le père M. GODLEWSKI et le père J. MATULEWICZ. La création de ce syndicat fut en réalité une mise en pratique des enseignements sociaux contenus dans l’encyclique „Rerum novarum” publiée en 1891 par le pape Léon XIII. Le Syndicat Chrétien „DŹWIGNIA” fonctionnait à base d’une autorisation ratifiée légalement par les Autonités de l’Etat de l’époque. Les statuts de 1906 et 1922 en étaient l’acte instrumentaire. Conformément à ces statuts le syndicat avait pour but de développer une activité instructive, sociale et économique parmi les ouvrières syndiquées. Le syndicat „DZWIGNIA”, qui fut l’un des nombreux syndicats dont l’activité se déroulait à cette période, défendait avec succès les syndiquées contre la menace de l’extrême misère, assurait la possibilité d’obtenir du travail, s’efforçait de leur permettre de bénéficier des biens culturels et veillait au développement de la formation professionnelle. L’activité de ce syndicat se situe entre les années 1906-1939.
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Adib, Sherazad. "Et elles, qu’en pensent-elles? Table ronde sur les comités de condition féminine." Notes d'action 19, no. 1 (February 15, 2007): 129–46. http://dx.doi.org/10.7202/014066ar.

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Abstract:
Et elles, qu’en pensent-elles? Elles, ce sont ces femmes qui animent les comités de condition féminine (CCF) des trois plus grandes centrales syndicales du Québec. Les CCF sont vieux déjà de plus de 30 ans. Trois femmes ont accepté de se prêter à un exercice rétrospectif et analytique, indispensable pour mettre le présent numéro de Recherches féministes en perspective. Il s’agit de : Marie-France Benoît, de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), responsable depuis 1998 du CCF/CSN ; Carole Gingras, de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec FTQ), responsable depuis plus de vingt ans du CCF/FTQ; et Chantal Locat, de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), responsable depuis novembre 2004 du CCF/CSQ.
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Hamel, Pierre. "Les enjeux actuels de l’emploi : vers une nouvelle définition de l’action collective." Action collective, action syndicale, no. 8 (January 26, 2016): 127–36. http://dx.doi.org/10.7202/1034804ar.

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Abstract:
Aux côtés des organisations syndicales, depuis quelques années au Québec, se sont mises sur pied des organisations populaires qui interviennent sur les conditions minimales de travail, le chômage, les droits des travailleurs. Après avoir présenté quelques questions que soulève l’organisation du travail dans le contexte actuel, le texte se termine sur quelques pistes de discussions qui partent d’un rappel de certaines difficultés que traverse le mouvement syndical tant au niveau de son image que des stratégies qu’il met de l’avant. Suivent une table-ronde et une brève présentation de trois organisations qui oeuvrent dans ce secteur.
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Larose, Gérald, and Pierre Hamel. "Syndicats et organisations populaires : élaboration d’une perspective de lutte sur les conditions de vie." Logement et luttes urbaines, no. 4 (February 4, 2016): 141–45. http://dx.doi.org/10.7202/1035052ar.

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Abstract:
Depuis plusieurs années la présence du mouvement syndical aux côtés des organisations populaires sur le terrain des conditions de vie a souvent été intermittente et n’a pas permis de déboucher sur une stratégie à long terme. Au printemps dernier le Conseil Central de Montréal de la Confédération des Syndicats Nationaux (C.S.N.) organisait un Sommet populaire pour amorcer un débat avec les organisations populaires concernant les conditions de vie et les enjeux du développement de la région métropolitaine par rapport aux perspectives d’action et de lutte qu’il serait possible de définir conjointement. Dans cette entrevue on aborde principalement les raisons qui ont motivé le Conseil Central à lancer ce sommet de même que les suites qu’il en attend.
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Brunelle, Dorval, and Christian Deblock. "Les mouvements d’opposition au libre-échangisme dans les Amériques et la constitution d’une Alliance sociale continentale." Nouvelles pratiques sociales 13, no. 2 (May 1, 2003): 131–47. http://dx.doi.org/10.7202/000818ar.

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Abstract:
Résumé L’article offre un tour d’horizon des oppositions montées par les organisations syndicales, sociales, environnementales et autres des trois pays de l’Amérique du Nord contre l’Accord de libre-échange nord-américain, l’ALENA, avant de présenter les oppositions et coalitions mises en place contre le projet de création d’une Zone de libre-échange des Amériques (ZLEA). Il s’agit de rendre compte des stratégies auxquelles le mouvement syndical et les autres mouvements sociaux ont eu recours afin de mettre en place une opposition sociale et politique à l’ALENA, plus tard, au projet de ZLEA, et de mettre en relief les pratiques et les alternatives qui visent à consolider le projet d’Alliance sociale continentale.
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Chartier, Roger. "La démocratie syndicale." Relations industrielles 12, no. 1-2 (February 17, 2014): 96–123. http://dx.doi.org/10.7202/1022600ar.

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Abstract:
Sommaire L'auteur définit d'abord certains concepts comme « démocratie » et « bureaucratie ». Il fait une analyse critique des principaux éléments de la démocratie syndicale et en présente les critères qu'il juge les plus justes. Enfin, il examine brièvement l'influence éventuelle de la fusion CMTC-CCT sur la solution du problème de la démocratie syndicale.
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Choko, Maude. "La nouvelle trilogie de la Cour suprême du Canada relative à la liberté d’association : source de réjouissance pour les travailleurs autonomes ?" Les Cahiers de droit 57, no. 3 (September 28, 2016): 427–56. http://dx.doi.org/10.7202/1037540ar.

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Abstract:
En janvier 2015, la Cour suprême du Canada a rendu une nouvelle trilogie relative à la protection constitutionnelle de la liberté d’association. Ce faisant, elle reconnaissait pour la première fois une protection constitutionnelle au « droit de grève » en vertu de la liberté d’association proclamée par l’article 2 d) de la Charte canadienne des droits et libertés. Par cette trilogie, la Cour suprême renversait également une décision antérieure en décidant que l’exclusion des membres de la Gendarmerie royale du Canada du régime établi par la Loi sur les relations de travail dans la fonction publique et leur inclusion dans un programme alternatif non syndical, imposée par le Règlement de la gendarmerie royale du Canada étaient inconstitutionnelles. Le présent texte se penche sur la nouvelle interprétation que donne la Cour suprême à la liberté d’association, en invoquant les obligations internationales du Canada en matière de liberté syndicale telle que prévue par les normes de l’Organisation internationale du travail. Il analyse l’impact de la trilogie sur les travailleurs autonomes qui ne sont couverts par aucun régime de relations du travail. Dans cette perspective, il évalue dans quelle mesure la nouvelle portée dévolue à la protection constitutionnelle garantie par l’article 2 d) de la Charte est de nature à favoriser l’exercice par ces travailleurs autonomes de leur liberté syndicale.
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Harrisson, Denis, and Normand Laplante. "Confiance, coopération et partenariat : un processus de transformation dans l'entreprise québécoise." Articles 49, no. 4 (April 12, 2005): 696–729. http://dx.doi.org/10.7202/050972ar.

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Abstract:
Les transformations de l'organisation du travail reposent sur les relations de confiance entre les principaux agents du travail et de la gestion. Nous présentons quatre cas de coopération concertée vers une réorganisation de la production dans des établissements manufacturiers syndiqués. Le processus de mise en confiance se fonde sur la présence de personnes réputées et compétentes. La répétition de l'expérience, la durée des contacts interpersonnels et l'échange d'informations jugées crédibles permettent de consolider la confiance entre les représentants syndicaux et les membres de la direction qui solutionnent des problèmes particuliers au processus de transformation de l'organisation du travail dans leur établissement. Les ententes patronales syndicales sont de nature consensuelle et permettent la flexibilité recherchée par les acteurs. Des facteurs hors de leur contrôle les incitent toutefois à cosigner ces ententes et à cristalliser de nouvelles formes de relations fondées sur la coopération.
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BROWN, E. Richard, William J. MCCARTHY, Alfred MARCUS, John R. FROINES, Dean BAKER, Cornelia DELLENBAUGH, and Thomas MCQUISTON. "Les politiques anti-tabac en milieu de travail : les attitudes des travailleurs et les rôles de la direction et des syndicats." Sociologie et sociétés 18, no. 2 (September 30, 2002): 137–50. http://dx.doi.org/10.7202/001108ar.

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Abstract:
Résumé Afin de mieux comprendre la réticence chez beaucoup de travailleurs et de syndicats à appuyer les politiques antitabac et les programmes d'éducation sur les lieux de travail, les auteurs ont fait enquête auprès des membres d'un syndicat national de travailleurs dans des industries à haut risque. L'article présente les résultats de deux enquêtes. Quatre répondants sur dix se sont déclarés fumeurs, mais neuf sur dix fumeurs ont déclaré qu'ils aimeraient arrêter de fumer. Quoique les non-fumeurs ont montré une tendance plus forte à appuyer des restrictions antitabac sur les lieux de travail, trois sur quatre fumeurs ont aussi appuyé des restrictions. Le pourcentage des répondants qui appuyait la préoccupation de l'entreprise et du syndicat pour l'usage du tabac en dehors du milieu du travail et le pourcentage qui s'y opposait était à peu près égal. En général, les répondants qui croyaient que l'employeur et le syndicat travaillaient pour améliorer la santé et la sécurité au travail ont montré une tendance plus forte à appuyer des politiques antitabac. Les auteurs discutent des implications de ces résultats pour leurs hypothèses et pour les programmes d'éducation antitabac sur les lieux de travail.
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Tremblay, Louis-Marie. "La concurrence syndicale : CSN-FTQ." Commentaires 19, no. 3 (January 20, 2014): 381–83. http://dx.doi.org/10.7202/1021276ar.

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Abstract:
Sommaire L'auteur analyse les implications de la querelle présente entre la CSN et la FTQ. Il compare un mouvement syndical construit sur la possession d'un pouvoir monopolistique à un autre où existent parallèlement des organismes concurrents.
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