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Journal articles on the topic 'Prévention de la transmission sexuelle du sida'

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Sangho, O., N. Telly, A. Sogodogo, et al. "Connaissances, attitudes et pratiques des jeunes lycéens de Niono sur les IST, le VIH et le SIDA." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 16, no. 2 (2021): 13–19. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v16i2.1864.

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Abstract:
Objectif : L’objectif était d’étudier les connaissances, attitudes et pratiques des jeunes lycéens de Niono en matière d’IST, de VIH et du SIDA. Matériel et méthodes : Il s’agissait d’une étude transversale ayant concerné 369 élèves du lycée MICHEL ALLAIRE et du lycée Public L’étude s’est déroulée d’avril 2016 à mars 2017. L’échantillon a été aléatoire et l’interview en mode face à face. Les données ont été analysées sur SPSS 20.0. Résultats : L’âge moyen était de 17,62 ans ±1,8 ans. Le sexe masculin prédominait avec 56%. La majorité avait entendu parler des IST, du VIH et du Sida (95,90%), beaucoup plus lors des causeries (43,9%). Environ 42% et 46% ne connaissaient pas de signes d’IST et ne savaient qu’est-ce que c’est qu’une séropositivité. Les rapports sexuels étaient cités par 32% élèves comme voies de transmission. La majorité (74%) savait que le multiple partenariat augmentait le risque de ces maladies. Le préservatif était le moyen de prévention le plus cité soit 44,2%. Près de 63% ont accepté volontairementle test de dépistage. Un quart avait affirmé avoir réalisé le test et 35,2% avait déjà eu un contact sexuel dont 18,5% était âgé de 12 à 14 ans. La curiosité fut la raison évoquée par 68,5%. Parmi ceux en activité sexuelle, 45,4% n’ont pas utilisé le préservatif au cours du premier rapport sexuel. Conclusion :Cette étude nous montre une bonne connaissance des élèves sur l’existence des IST, VIH et sida, malgré quelques disparités avec leursattitudes et pratiques sexuelles.
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Galinier-Pujol, A., M. Rotily, N. Sannino, Noëlle Escaffre, and A. Messiah. "La sexualité aux temps du sida en population vulnérable : éléments d'une enquête auprès de détenus." Population Vol. 56, no. 6 (2001): 1011–41. http://dx.doi.org/10.3917/popu.p2001.56n6.1041.

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Abstract:
Résumé Mf ssiah Antoine, Fscakfrf Noëlle. Sanmno Nadine. Rotii y Michel, Gai inif r-Pi joi Anne - La sexualité aux temps du sida en population vulnérable : éléments d'une enquête auprès de detenus Cet article analyse les données concernant la vie sexuelle avant leur incarcération de détenus admis entre décembre 1995 et mars 1997 au centre pénitentiaire de Marseille (520 hommes et 54 femmes majeurs) Comparés à la population generále, les detenus sont plus jeunes, plus souvent célibataires, moins diplômés, et plus souvent sans emploi avant l'emprisonnement Ils ont commence leur vie sexuelle plus tôt, ont été victimes de viols et ont eu recours à la prostitution plus souvent que les adultes en général Le partenariat multiple est pour eux plus frequent, et le repertoire des pratiques sexuelles plus diversifie Des constats analogues se dégagent lorsque les détenus incarcères plusieurs fois sont comparés à ceux incarcères pour la premiere fois bn outre, les détenus incarcères plusieurs fois sont plus souvent utilisateurs de drogues injectables, séropositifs pour le V1H. et il en va de même pour leur dernier partenaire sexuel hn contrepartie, ils ont plus fréquemment eu recours à un test de dépistage pour le VIH et utilisent davantage de préservatifs, tout comme l'ensemble des detenus comparés à la population generále Après prise en compte de ces comportements préventifs, on montre que le risque de transmission sexuelle du VIH est plus élevé chez les multi-incarcerés que chez ceux incarcérés une seule fois Dans un contexte de plus grande vulnérabilité sociale et sexuelle, les detenus ont un risque d'exposition et de transmission sexuelle du VIH supérieur a celui de la population generále Le nombre d'incarcérations est un bon marqueur du degré de vulnérabilité et du risque.
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Dab, William, Nathalie Beltzer, and Jean-Paul Moatti. "Les modèles d'analyse des comportements à risque face à l'infection à VIH : une conception trop étroite de la rationalité." Population Vol. 48, no. 5 (1993): 1505–34. http://dx.doi.org/10.3917/popu.p1993.48n5.1534.

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Abstract:
Résumé Moatti (Jean-Paul), Beltzer (Nathalie), Dab (William) - Les modèles d'analyse des comportements à risque face à l'infection à VIH : une conception trop étroite de la rationalité Les recherches en sciences sociales sur la prévention de l'infection à VIH ont établi des liens entre des connaissances et des croyances sur le SIDA d'une part, des attitudes individuelles et collectives face aux personnes infectées et au risque de transmission d'autre part ; mais elles ont également mis en évidence l'ambiguïté de ces relations avec les comportements déclarés. Comme dans de nombreux autres domaines de la prévention sanitaire, les recherches ont confirmé qu'une amélioration du niveau d'information sur le risque n'est clairement pas une condition suffisante pour provoquer des modifications de comportements individuels tendant à diminuer celui-ci. En matière d'analyse des déterminants de l'exposition au risque de transmission sexuelle du VIH, la littérature internationale est demeurée jusqu'à présent dominée par le recours à des modèles psychosociologiques préexistants (Health Belief Model ou « modèles de croyances pour la santé », théorie de l'apprentissage social, etc.), qui ont notamment servi de référence à l'intervention « communautaire » de prévention mise en œuvre avec un certain succès dans la communauté homosexuelle et bisexuelle de San Francisco. L'article développe une critique des limites de ces modèles en termes d'explication et de prédiction des comportements face au risque de transmission du VIH, et s'efforce de démontrer qu'ils reposent implicitement sur une conception réductrice de la rationalité individuelle qui assimile celle-ci à la seule exposition nulle au risque et à la recherche de la sécurité absolue. Une confrontation de ces modèles psychosociologiques avec la théorie de l'utilité espérée, modélisation classique en micro-économie des comportements des agents face au risque et à l'incertitude, ainsi qu'une application empirique de cette théorie aux données de l'enquête ACSF, permet de souligner d'autres logiques sous-jacentes à la persistance d'expositions individuelles au risque de transmission sexuelle du VIH ; et d'illustrer le fait que des stratégies de non changement, ou de changement «intermédiaire», ne donnant aucune garantie réelle de protection face au risque VIH, puissent néanmoins s'avérer comme les plus cohérentes avec les rationalités effectives des individus. En conclusion, l'article suggère quelques pistes pour des analyses moins mécanistes des comportements qui seraient susceptibles de mieux tenir compte du contexte spécifique et de la dynamique temporelle dans laquelle s'inscrivent les expositions au risque d'infection par le VIH ; ces analyses pourraient utilement s'appuyer sur les développements théoriques les plus récents tant de la recherche micro-économique que la recherche psychosociologique.
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Katako Theo, Mukonkole. "APPROCHE CONATIVE DE PREVENTION DE LA TRANSMISSION DU VIH CONTRIBUTION A LA CONSTRUCTION D’UN DISPOSITIF D’EDUCATION SEXUELLE DES COUPLES DU MANIEMA SUR LE VIH/SIDA." Journal of Advanced Research in Medical and Health science (ISSN 2208-2425) 9, no. 10 (2023): 42–47. http://dx.doi.org/10.53555/qt5j8j83.

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Abstract:
La problématique du VIH/SIDA ne cesse de préoccuper le monde. Cette maladie continue à faire de ravages en Afrique et particulièrement en RDC où l’activisme sexuel est érigé en mode de vie dans certaines catégories sociales et dans certains milieux notamment dans les sites d’exploitations minières, des régions à forte concentration populaire comme les camps de déplacés de guerre,… Conscients de la gravité de la situation, les Gouvernements des pays Africains, à l’instar de celui de la RDC, ont développés de concert avec les agences du système des Nations unies intéressées aux questions de la santé et de développement, des programmes, des actions et des interventions d’envergure orientés vers la sensibilisation des couches vulnérables à l’adoption des attitudes responsables en matière de prévention de cette pandémie. Le personnel soignant aussi a connu des formations continues et continue à être formé sur cette question en vue du développement de leurs capacités professionnelles en la matière.
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AHOUANSOU STANISLAS SONAGNON, HOUNDJI, GNAMIEN KONAN BAH MODESTE, FRANÇOIS KOUAKOU YAO, and JÉRÔME EVANNO. "REPRÉSENTATIONS SOCIALES DU VIH/SIDA ET PRATIQUES SEXUELLES À RISQUES CHEZ LES USAGERS DE DROGUES À ABIDJAN (CÔTE D’IVOIRE)." Annuaire Roumain d'Anthropologie 2023, no. 60 (2023): 35–52. http://dx.doi.org/10.59277/annanthrop.2023.60.04.

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Abstract:
Cette étude vise à analyser les représentations sociales du VIH/SIDA chez les usagers de drogues (UD) à Abidjan (Côte d’Ivoire). Elle a été réalisée dans le cadre du projet de Réduction des Risques (RdR) auprès des usagers de drogues à Abidjan (Côte d’Ivoire). Ce projet comportait des discussions de groupe, des entretiens individuels avec les usagers de drogues-Travailleu-(rs) (ses) de Sexe et Hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres Hommes. Nous rappelons que bien avant la mise en place de ce projet (RdR) à Abidjan, une étude (quantitative) bio comportementale approuvée par le comité d’éthique et réalisée en 2014 à Abidjan par l’ONG française Médecins du Monde, a révélé une prévalence élevée du VIH (9,8%), d’hépatites virales B et C (10,9% et 2,4%), de la tuberculose (2,9%) et de la syphilis (2,4%) au sein de la population usagère de drogues. Fort de ces constats, la présente recherche qualitative a été initiée. La technique d’effet boule de neige a été utilisée pour le choix des participants et des observations ont été conduites sur six (06) sites de consommation de drogues dits „fumoirs” ou „ghettos” à Abidjan. En sommes 30 personnes ont été interrogées à travers vingt-deux entretiens individuels et un focus group regroupant huit (08) personnes usagères de drogues. La théorie de la représentation a été utilisée. Elle (la représentation sociale) permet de rendre compte des attitudes et pratiques sexuelles des usagers de drogues. Il ressort des résultats que, bien qu’il y ait les antirétroviraux (ARV) pour le traitement du VIH/Sida et malgré toutes les campagnes de sensibilisation sur les modes de transmission et de prévention sur cette pathologie, les usagers de drogues à Abidjan, âgés en général de 15 à 45 ans, perçoivent cette maladie comme synonyme de mort. L’image véhiculée par le VIH/Sida est la peur, l’amaigrissement, la perte des cheveux et la mort. En outre, la dépendance à la drogue et l’infection au VIH/Sida sont appréhendées par certains usagers de drogues comme un sort lancé par un membre de leur famille.
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Popovic, Nashira, Qiuying Yang, and Chris Archibald. "Tendances d’utilisation de la prophylaxie pré-exposition pour le VIH dans huit provinces canadiennes, 2014 à 2018." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 56 (2021): 275–83. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i56a02f.

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Abstract:
Contexte : Le Canada a approuvé les objectifs mondiaux du Programme commun des Nations Unies sur le VIH et le Sida visant à mettre fin à l’épidémie du syndrome d’immunodéficience acquise (sida), notamment en réduisant à zéro les nouvelles infections par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) d’ici à 2030. Compte tenu de l’efficacité de la prophylaxie pré-exposition (PPrE) pour prévenir les nouvelles infections, il est important de mesurer et de rendre compte de l’utilisation de la PPrE afin de contribuer à la planification des programmes et des politiques de prévention du VIH. Méthodes : Les estimations annuelles des personnes utilisant de la PPrE au Canada ont été générées pour la période de 2014 à 2018 à partir de l’ensemble de données géographiques de surveillance des ordonnances d’IQVIA. On a utilisé un algorithme pour distinguer les utilisateurs de fumarate de ténofovir disoproxil/emtricitabine (TDF/FTC) pour la PPrE de ceux qui l’utilisent dans le cadre d’un traitement ou de la prophylaxie post-exposition. Nous fournissons le nombre estimé de personnes qui utilisent la PPrE dans huit provinces canadiennes par sexe, groupe d’âge, spécialité du médecin prescripteur et type de paiement. Résultats : Le nombre estimé d’utilisateurs de PPrE a augmenté de façon spectaculaire au cours de la période d’étude de cinq ans : il est multiplié par 21, passant de 460 en 2014 à 9 657 en 2018. La prévalence estimée de la PPrE était de 416 utilisateurs par million de personnes dans les huit provinces en 2018. Presque tous les utilisateurs de PPrE étaient des hommes. L’utilisation a augmenté chez les deux sexes, mais l’augmentation a été plus importante chez les hommes (par 23 fois) que chez les femmes (par 5 fois). L’utilisation a augmenté dans toutes les provinces, bien qu’il y ait des différences entre les provinces relativement à la prévalence de l’utilisation, à la répartition par âge et aux types de médecins prescripteurs. Conclusion : L’utilisation de la PPrE au Canada a augmenté entre 2014 et 2018, ce qui témoigne d’une meilleure connaissance et d’une plus grande adhésion à son utilisation pour prévenir la transmission du VIH. Elle est toutefois inégale en fonction de l’âge, du sexe et de la géographie. Puisque les nouvelles infections au VIH continuent de se produire au Canada, il sera important d’affiner l’utilisation de la PPrE, car les populations à risque plus élevé d’infection au VIH doivent se voir offrir la PPrE dans le cadre de soins de santé sexuelle complets.
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Dupras, André. "La prévention et l’éducation sexuelle au regard du sida : crise des valeurs et des mesures." Service social 45, no. 1 (2005): 61–78. http://dx.doi.org/10.7202/706715ar.

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Abstract:
Le succès mitigé de l'éducation sexuelle préventive révèle la présence d'une crise de la prévention du sida. Les limites des actions préventives et leurs effets pervers seraient redevables à une conception réductrice, mécanique et normalisante de la sexualité. Une seconde approche est proposée afin de sortir de la crise et de renouveler les stratégies de prévention. Elle préconise une vision globalisante et positive de la sexualité axée sur la conquête d'une plus grande autonomie sexuelle.
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Knolle, Helmut. "Nombre passé de partenaires dans les modèles de transmission du SIDA par voie sexuelle." Population Vol. 48, no. 1 (1993): 111–23. http://dx.doi.org/10.3917/popu.p1993.48n1.0123.

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Abstract:
Résumé Knolle (Helmut) - Le nombre passé de partenaires dans les modèles de transmission du SIDA par voie sexuelle Dans les modèles de transmission du SIDA qui tiennent compte de l'hétérogénéité des comportements sexuels, il faut introduire des hypothèses explicites sur le choix des conjoints La population est ici divisée en strates selon le nombre passé de partenaires sexuels et divers types de choix sont envisagés La matrice correspondante et des hypothèses sur le risque infectieux permettent d'établir une matrice de transmission de l'infec- tion, dont la valeur propre dominante fournit un seuil en deçà duquel l'épidémie ne se développe pas L'homogamie réduit la probabilité de diffusion d'une épidémie de SIDA dans la population generále.
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Adoun, M. A. Serge Djossa, Bernard Roy, Nancy Gros-Louis McHugh, Marie-Noëlle Caron, and Marie-Pierre Gagnon. "Les technologies de l’information et de la communication (TIC) et la promotion de la santé sexuelle chez les jeunes autochtones du Québec." Recherches amérindiennes au Québec 43, no. 2-3 (2014): 49–57. http://dx.doi.org/10.7202/1026106ar.

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Abstract:
Cette étude visait à documenter les habitudes et préférences des jeunes (13-25 ans) des Premières Nations (PN) du Québec en regard des technologies de l'information et de la communication (TIC). Elle fut réalisée dans le cadre d'une évaluation de faisabilité d'interventions utilisant les TIC pour la promotion de la santé sexuelle et reproductive (SSR). Selon le questionnaire qui a été présenté à 192 participants par sondage électronique, plus de 60 % des répondants ont un accès régulier aux outils technologiques les plus mentionnés dans la littérature portant sur les interventions utilisant les TIC pour la promotion de la SSR et la prévention des ITSS/VIH/sida auprès des adolescents. Toutefois, ils préfèrent Internet comme canal pour recevoir de l'information sur la SSR.
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Besson, R. "De la prévention sida à l’éducation pour la vie sexuelle en institution médico-sociale : un parcours de 20ans." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 61 (October 2013): S293. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2013.07.295.

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Knolle, Helmut. "Nombre passe de partenaires dans les modeles de transmission du SIDA par voie sexuelle." Population (French Edition) 48, no. 1 (1993): 111. http://dx.doi.org/10.2307/1534128.

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J.-M. M. "Le Conseil national du sida et la pénalisation de la transmission sexuelle du VIH." Revue Francophone des Laboratoires 2006, no. 383 (2006): 12. http://dx.doi.org/10.1016/s1773-035x(06)80209-1.

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Caumes, É., and D. Camus. "Zika, sexe, et moustiques… la transmission sexuelle du virus complique la surveillance épidémiologique et la prévention." Journal de Pédiatrie et de Puériculture 29, no. 5 (2016): 278–88. http://dx.doi.org/10.1016/j.jpp.2016.06.001.

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Bajos, Nathalie, Stéphanie Pryen, Josiane Warszawski, and Anne Serre. "Sexualité vénale et gestion du risque de transmission sexuelle du sida. Une analyse des données de l'enquête ACSF." Sciences sociales et santé 15, no. 3 (1997): 31–60. http://dx.doi.org/10.3406/sosan.1997.1401.

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Azoumah, K. D., A. A. Lawson-Houkporti, K. E. Djadou, et al. "Bilan de la prévention de la transmission mère-enfant du VIH-sida à l’hôpital de Bè à Lomé." Journal de Pédiatrie et de Puériculture 24, no. 1 (2011): 1–7. http://dx.doi.org/10.1016/j.jpp.2010.10.005.

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Katako Théo, Mukonkole, and Alphonse Masandi Milondo. "APPROCHES COGNITIVE ET AFFECTIVE DE PREVENTION DE LA TRANSMISSION MERE-ENFANT DU VIH." International Journal For Research In Health Sciences And Nursing 9, no. 4 (2023): 12–23. http://dx.doi.org/10.53555/hsn.v9i4.2303.

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Abstract:
Dans cette étude, nous avons voulu contribuer à la construction d’un dispositif d’éducation sexuelle des couples du Maniema sur le VIH/SIDA. A l’issu du traitement des données, les résultats renseignent que : Les chrétiens sont plus informés sur la lutte contre la TME du VIH que les non chrétiens. Les raisons à la base de cette différence restent à déterminer par les études ultérieures en cette matière. L’état civil n’impacte pas de manière significative les résultats des enquêtés, bien que les distributions y afférentes soient faiblement dispersées ; et que le genre ne permet pas de différencier le rendement des sujets en matière de la lutte contre la TME du VIH. Le milieu d’habitation n’a pas influencé le niveau de connaissance des sujets enquêtés. La différence entre les opinions exprimées par les chrétiens et les non chrétiens en matière des paramètres de lutte contre la transmission de la mère à l’enfant du VIH est non significative. La religion ne constitue pas une variable-prédictrice de différence d’opinions en matière du PTME. Les hommes et les femmes perçoivent de manière analogue les réalités concernant la TME dans leur milieu de vie. Le milieu d’habitation des répondants n’a pas agi de manière significative sur leurs attitudes face à la TME.
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Kêdoté, N. M., A. Brousselle, F. Champagne, and D. Laudy. "Prévention de la transmission mère-enfant du VIH/sida au Bénin : le consentement des femmes au dépistage est-il libre et éclairé ?" Éthique & Santé 8, no. 4 (2011): 173–79. http://dx.doi.org/10.1016/j.etiqe.2011.07.003.

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Bawe, LD, F. Agbéko, A. Kotosso, et al. "Connaissances, attitudes et pratiques du personnel soignant sur l’hépatite virale B au Centre Hospitalier Régional Lomé Commune en 2018." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 16, no. 2 (2021): 20–25. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v16i2.1865.

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Abstract:
Objectifs: Décrire les connaissances, attitudes et pratiques du personnel soignant du Centre Hospitalier Régional Lomé Commune par rapport au risque de contamination etcomplications de l’hépatite viral B. Patients et méthodes : Il s’est agi d’une étude transversale, descriptive à visée analytique de type Connaissances, Attitudes et Pratiques qui s’est déroulée au Centre Hospitalier Régional Lomé Commune. Résultats : Le taux de participation à cette enquête était de 76% avec une prédominance masculine 50,68%). Les catégories professionnelles les plus représentées étaient les techniciens supérieurs de santé (32,2%), les infirmiers (28,1%) et les sages-femmes (17,8%) avec une moyenne d’âge de 36 ans (25-59 ans). L’étiologie virale de l’hépatite B était connue dans 96,6% des cas et les voies de transmission sanguine, sexuelle et mère-enfant ont été citées dans respectivement 94,52%, 78,08% et 74,66%. Les médecins maîtrisaient de façon significative les signes évocateurs de l’hépatite virale B que les sages-femmes et les infirmiers (p = 0,019). Le ténofovir était connu dans 52,7% comme molécule utilisée dans le traitement de l’hépatite B et la vaccination a été évoquée comme moyen de prévention dans 98,63%. Seulement un tiers des enquêtés (36,99%) demandaient la sérologie de l’hépatite virale Ben cas d’accident d’exposition au sang. Le taux de couverture vaccinale du personnel soignant était de 65,10%. Les niveaux de connaissances, d’attitudes et de pratiques étaient significativement meilleurs chez les sages-femmes (p<0,005). Conclusion : La faible couverture vaccinale du personnel soignant impose des actions de formations continues et de sensibilisation couplées d’une subvention de vaccination.
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Boushab, MB, FZ Fall-Malick, A. Diallo, and ML Ould salem. "Connaissances, attitudes et pratiques de la population du Hodh El Gharbi (Mauritanie) face au virus de l'immunodéficience humaine(VIH)." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie, November 17, 2016. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v0i0.911.

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Abstract:
Il s'agit d'une enquête transversale, descriptive et analytique menée au centre hospitalier d'Aïoun sur la période du 1er janvier au 31 mai 2013. L'objectif global de notre travail était de décrire les connaissances, attitudes et pratiques sur le VIH/SIDA des patients reçus en consultation pour une infection sexuellement transmissible (IST). De façon spécifique, notre travail visait à évaluer les comportements sexuels à risque d'infection par le VIH et l'acceptation du test de dépistage volontaire chez ces consultants. Le dépistage volontaire du VIH n'était pas gratuit. L'information était recueillie à partir d'un questionnaire auto rempli. En cinq mois, 167 patients ont consenti à participer à l'étude soit 15,84%.Le sex-ratio H/F était de 0,65 et l'âge moyen était de 30 ± 5 ans [15-45ans]. Plus de la moitié (58,1%) provenait du milieu rural. Parmi eux 89,2% étaient non instruits. Les connaissances générales sur les modes de transmission du VIH étaient erronées dans 94,6% des cas. Le préservatif n'avait jamais été utilisé par les enquêtés (91,6%). Le principal motif de consultation était les leucorrhées (45,5%) suivies des mictions douloureuses (22,2%). Le dépistage volontaire pour le VIH était effectué par 4,8% des enquêtés. Un lien statistiquement significatif a été retrouvé entre la connaissance des modes de transmission du VIH, l'âge, le sexe, la provenance, le niveau d'éducation scolaire, le manque d'information et l'absence d'utilisation du préservatif.Nos résultats ont révélé chez les consultants pour IST, des connaissances, attitudes et pratiques qui exposent à une grande vulnérabilité au VIH. A l'issue de ce travail, vu le lien étroit entre les IST et le VIH, nous recommandons le développement de stratégies globales de prévention (population générale) et ciblée (consultants IST) afin de réduire le risque d'infection par le VIH dans la région, en particulier chez les porteurs d'IST. Mots clés : VIH, IST, fausses croyances, comportements, attitudes, Aïoun
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Namaste, Viviane, T. H. Vukov, Nada Saghie, et al. "HIV and STD Prevention Needs of Bisexual Women: Results from Projet Polyvalence." Canadian Journal of Communication 32, no. 3 (2007). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2007v32n3a1871.

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Abstract: This article presents the findings from a community-based action research project seeking to contribute to HIV/AIDS and STD prevention by addressing the often marginalized sexual health needs of people with bisexual practices. Projet Polyvalence conducted 30 interviews with bisexual women in Montréal, employing participatory-action research methods to gather their perspectives on the gaps in existing prevention information. The action component of the project built on the needs identified in the interviews to develop relevant educational materials that will constitute the first participatory prevention campaign on HIV/STDs for people with bisexual practices in Canada. Résumé : Cet article présente les résultats d’un projet de recherche-action communautaire dont l’objectif est d’apporter une nouvelle contribution à la prévention du VIH/SIDA et des MTS en se centrant sur un aspect souvent ignoré, les besoins en matière de santé sexuelle des personnes ayant des pratiques bisexuelles. Projet Polyvalence a mené 30 entrevues avec des femmes bisexuelles à Montréal, en employant des méthodes de recherche-action participative pour comprendre quelles lacunes existent, selon ces personnes, dans l’information disponible sur la prévention. En fonction des résultats obtenus lors de ces entrevues, le volet action de ce projet consiste à développer des matériaux d’éducation pertinents qui constitueraient la première campagne de prévention participative sur les VIH/ MTS pour les personnes qui ont des pratiques bisexuelles au Canada.
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Salviano, Ana Laura Góes, Giovanna Rocha Santana, Claudio Alberto Gellis de Mattos Dias, et al. "Connaissance des formes de prévention et de contagion des IST chez les élèves inscrits dans les écoles publiques de la ville de Macapá, Amazonie, Brésil." Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, December 16, 2020, 05–16. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/sante/prevention-et-de-contagion.

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Abstract:
La sexualité a commencé à être considérée comme une portée positive de l’action humaine, dans ce contexte, elle a commencé à valoriser l’éducation sexuelle, soulevant des discussions sur son importance. Le but de cet article était d’analyser les connaissances sur les formes de contagion et la prévention des IST. Cette étude a été menée dans 03 écoles publiques de niveau élémentaire et secondaire. L’échantillon se composait de 287 élèves inscrits régulièrement dans ces écoles couvrant la 8e année / 7e année de l’école primaire jusqu’à la 3e année de l’école secondaire. Des données sur le sexe, l’âge, l’état matrimonial, le niveau de scolarité et d’autres ont été recueillies dans le cadre de la présente étude. La plupart des participants ont déjà été en contact avec le terme IST; cependant, il a encore des croyances sur ses formes de transmission. Il est nécessaire d’aborder la sexualité avec un aspect plus naturel et positif de la vie humaine, en fournissant la libre discussion des normes et des modèles de comportement et le débat sur les attitudes.
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Telly, Nouhoum, Benoit Tolofoudié, Mama Sy Konaké, et al. "Prévention et prise en charge des enfants nés de mères infectées par le VIH au Centre de Santé de Référence (CSRéf) de la commune IV du district de Bamako." Mali Santé Publique, October 31, 2018, 47–54. http://dx.doi.org/10.53318/msp.v8i01.1469.

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Abstract:
La transmission de la mère à l'enfant est la principale cause d'infection chez l'enfant, elle peut survenir au cours de la grossesse, de l'accouchement ou de l'allaitement maternel. Dans les pays développés le risque de transmission de la mère à l'enfant a été réduit à moins de 1% grâce à la large diffusion de l'administration du traitement antirétroviral (TARV) chez les femmes enceintes et chez les enfants exposés au VIH. La présente étude a pour but de décrire la qualité de la PTME au CSRéf de la Commune IV du district de Bamako. Nous avons mené une étude transversale sur les données de janvier 2013 à décembre 2014 et dont la collecte a été réalisée de Février à Avril 2016, en exploitant tous les dossiers des nourrissons nés de mères séropositives ainsi que ceux de leurs mères. Les données ont été analysées par SPSS version 16. La protection des informations collectées sur les sujets de l'étude a été garantie. Dans cette étude 55,6% des mères étaient non scolarisées, 71,1% diagnostiquées avant la grossesse avec une charge virale indétectable chez 38,9%. Toutes étaient sous ARV avec 92,2% de bonne observance. Chez 98,3% des enfants la PCR1 a été réalisée avant l'âge de 2 mois après la naissance et la PCR2 après 6 mois de naissance chez 90,0% des enfants, près de 99% ont reçu l'ARV à la naissance et la même proportion le cotrimoxazole après 4 semaines , mais 91,7% ont fait une infection néonatale. La PCR1 était positif seulement chez 2,8%. Nous avons enregistré 2,2% de perdu de vue. Des efforts doivent être faites pour améliorés les statistiques pour l'atteinte des objectifs de la lutte contre le VIH et le sida.
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Djossu, Sègnon Eurydice Elvire, Damien Barikissou Georgia, Coovi Nonwanou Ignace Tokpanoude, et al. "Utilisation Régulière du Préservatif par les Couples Sérodiscordants au Bénin." European Scientific Journal ESJ 27 (March 7, 2024). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.3.2024.p346.

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Introduction : L’utilisation du préservatif au sein des couples sérodiscordants au Virus de l’Immunodéficience Humaine (VIH) est une stratégie de prévention efficace et largement recommandée, en complément aux autres méthodes de prévention. Pourtant, les réalités socio culturelles africaines réduisent l’utilisation du préservatif aux relations extraconjugales ou occasionnelles. L’objectif de cette étude était d’une part de déterminer la prévalence et les facteurs associés à l’utilisation régulière du préservatif masculin au sein des couples sérodiscordants de la ville de Parakou et d’autre part de décrire les raisons qui motivent l’adoption ou non de ce comportement. Cadre et méthodes d’étude : Cette étude s’est déroulée sur les sites de prise en charge (PEC) de la ville de Parakou, au nord-est du Bénin. Il s’est agi d’une étude transversale multicentrique mixte, quantitative et qualitative. Sur la base d’un échantillonnage non probabiliste par commodité, les participants ont été recrutés sur la période de 7 mois, allant d’août 2022 à février 2023. Les sujets séropositifs au VIH reçus sur les sites de suivi et dispensation d’antiretroviraux (ARV) pendant la période d’étude, âgés de 18 ans et plus, engagés dans une relation sérodiscordante à long terme et consentants ont été retenus. Pour le volet quantitatif de l’étude, un échantillonnage non probabiliste par commodité a permis de recueillir des données sociodémographiques, économiques, comportementales de même que les antécédents à partir d’un questionnaire. Quant au volet qualitatif, il s’est agi de recueillir les perceptions et motivations des enquêtés, dans le but descriptif, afin d’expliciter les données recueillies par l’enquête quantitative. Résultats : Au total, 299 participants ont été enquêtés dans le cadre de l’enquête quantitative parmi lesquels 18 ont été entretenus pour le volet qualitatif. L’utilisation régulière du préservatif concernait moins de 5% des enquêtés (4,68%). Dans cette population d’utilisateurs réguliers du préservatif, les jeunes (71,43% avaient entre 30 et 49 ans) et les femmes (85,71%) étaient les plus représentés. La plupart d’entre eux (71,43%) avaient un niveau d’instruction secondaire et plus et résidaient en milieu urbain (78,57%), avec un revenu inférieur à 50.000 francs CFA (64,28%), étaient mariés (85,71%) sous un régime polygame dans 57,14% des cas. Près de 29% des sujets utilisant systématiquement le préservatif dans leur couple étaient testés positifs pour l’hépatite B et 21,43% démontraient une mauvaise observance du traitement antiretroviral (TAR). L’évaluation de leurs connaissances a révélé que 92,86% d’entre eux connaissaient le préservatif comme moyen de prévention de la transmission du VIH mais seulement 7,14% connaissaient le rôle préventif de la thérapie anti retrovirale (TAR) et aucun celui de la prophylaxie pré-exposition (PrEP). Les facteurs associés à l’utilisation régulière du préservatif étaient : l’attitude des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) face à la maladie (p = 0,039) et le stade clinique de l’infection (p = 0,007). Les perceptions des enquêtés sur l’utilisation du préservatif au sein du couple se rapportaient aux relations occasionnelles ou débutantes. Les facteurs facilitant l’utilisation régulière du préservatif étaient : une utilisation du préservatif antérieure au dépistage positif, les recommandations insistantes des agents de santé, la gratuité des préservatifs, la communication saine sur le VIH dans le couple, et les menaces des conjoints. Les barrières retrouvées étaient : l’absence de partage du statut sérologique avec le conjoint, la mauvaise perception de l’usage du préservatif dans un couple stable, le déni de la maladie ou la banalisation du risque de transmission et le besoin de prouver à l’autre son amour et sa confiance. Conclusion : L’utilisation régulière du préservatif au sein des couples stables sérodiscordants est trop faible pour que cette stratégie puisse réduire efficacement à elle seule le risque de transmission sexuelle de l’infection au partenaire séronégatif. Les raisons du rejet du préservatif sont essentiellement d’ordre social et conjugal tandis que certains facteurs cliniques améliorent les chances d’adopter ce comportement. Le rôle du système de santé est déterminant pour l’accompagnement de ces couples. Des actions de sensibilisation doivent être menées à l’endroit de la population générale afin d’améliorer en amont de l’infection la perception de l’utilisation du préservatif au sein du couple. Introduction : Condom use in HIV-serodiscordant couples is an effective and widely recommended prevention strategy, complementing other prevention methods. However, African socio-cultural realities restrict condom use to extramarital or casual relationships. The aim of this study was to determine the prevalence and factors associated with regular condom use among serodiscordant couples in the city of Parakou, and to describe the reasons for adopting or not adopting this behavior. Study setting and methods : This study was carried out at care sites in the city of Parakou, in northeastern Benin. It was a mixed quantitative and qualitative multicenter cross-sectional study. Based on non-probability sampling for convenience, participants were recruited over the 7-month period from August 2022 to February 2023. HIV-positive patients received at antiretroviral (ARV) monitoring and dispensing sites during the study period, aged 18 and over, engaged in a long-term serodiscordant relationship and consenting were selected. For the quantitative part of the study, non-probability sampling was used to collect socio-demographic, economic and behavioral data, as well as antecedents, using a questionnaire. As for the qualitative component, the aim was to collect the perceptions and motivations of the respondents, for descriptive purposes, in order to clarify the data collected by the quantitative survey. Results : A total of 299 participants were interviewed for the quantitative survey, 18 of whom were interviewed for the qualitative component. Regular condom use concerned less than 5% of respondents (4.68%). In this population of regular condom users, young people (71.43% aged between 30 and 49) and women (85.71%) were the most represented. Most of them (71.43%) had a secondary education or higher, lived in urban areas (78.57%), had an income of less than 50,000 CFA francs (64.28%), were married (85.71%) and were polygamous in 57.14% of cases. Nearly 29% of subjects who systematically used condoms in their relationship tested positive for hepatitis B, and 21.43% showed poor compliance with ART. An assessment of their knowledge revealed that 92.86% knew about condoms as a means of preventing HIV transmission, but only 7.14% knew about the preventive role of antiretroviral therapy (ART), and none about pre-exposure prophylaxis (PrEP). Factors associated with regular condom use were : Persons living with HIV's attitude to the disease (p = 0.039) and clinical stage of infection (p = 0.007). Respondents' perceptions of condom use within the couple were related to occasional or beginning relationships. Factors facilitating regular condom use were : habitual condom use prior to positive testing, insistent recommendations from health workers, free condoms, healthy communication about HIV within the couple, and threats from HIV-negative spouses. As for the barriers found, these were: failure to share serostatus with the partner, bad perception of condom use in a stable couple, denial of the disease or trivialization of the risk of transmission, and the need to prove love and trust to the partner. Conclusion : Regular condom use in stable serodiscordant couples is too low for this strategy alone to be effective in reducing the risk of sexual transmission of infection to the HIVnegative partner. The reasons for condom rejection are essentially social and marital, while certain clinical factors improve the chances of adopting this behavior. The role of the healthcare system is decisive in supporting these couples. Public awareness campaigns are needed to improve the general perception of condom use within couples.
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Levy, Joseph. "érotisme." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.094.

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Abstract:
En anthropologie, les concepts de sexe (renvoyant aux dimensions biologiques), de sexualité (renvoyant aux conduites entourant la relation sexuelle et à la reproduction) et de genre (renvoyant aux constructions socioculturelles associées à la masculinité et à la féminité) dominent comme référents, alors que celui d’érotisme est peu employé. Pourtant, dès les débuts de l’anthropologie moderne, Malinowski (1930) avait souligné, dans son étude sur la sexualité des Trobriandais, l’intérêt de la notion d’érotisme, qu’il reprend pour définir certains aspects de la culture locale associés à la sensualité, aux sentiments et au plaisir. Ce concept d’érotisme se retrouve en filigrane dans l’un des premiers ouvrages collectifs en anthropologie sexuelle en le situant dans une perspective comparative (Marshalls et Suggs 1971). La définition reste cependant trop axée sur les dimensions biologiques et comportementales et ne tient pas compte des constructions historiques, culturelles et des variations dans les significations qui sont associées à ces conduites et leur expérience. Reiss (1986) souligne l’intérêt de l’étude des scénarios culturels, qui incluent la prise en compte et la signification des comportements, privilégiant, une approche proposée par Simon et Gagnon (1984), et du contexte qui oriente l’expression érotique. Sa notion de réponse érotique ne se situe cependant pas dans une perspective constructiviste, tout comme d’autres dimensions postulées comme universelles, que ce soit l’autorévélation de soi (self-disclosure) ou les états de conscience altérés qui accompagneraient l’activité érotique, mais dont les caractéristiques et les variations ne sont pas explicitées. Dans le cadre des études sur la sexualité brésilienne, la notion d’érotisme est reprise et définie comme « un système culturellement constitué à part entière [...], un système de formes symboliques intersubjectives qui acquiert une signification subjective seulement à travers des médiations sociales et culturelles successives », associé à une « esthétique ou [...] une économie des plaisirs corporels ». En insistant sur les « plaisirs corporels » et les « significations érotiques », une perspective constructiviste et interprétative est ainsi établie (Parker 1989, p.58 et 60). La notion d’érotisme n’est pas reprise au moment où « l’anthropologie redécouvre la sexualité » (Vance 1991), suite à la critique des modèles théoriques essentialistes et culturalistes, et aux répercussions de l’épidémie du VIH/sida sur la discipline anthropologique. La dimension construite de la sexualité et des expériences affectives qui dépendent des contextes culturels est néanmoins affirmée (Tuzin 1991; Leavitt 1991), avec une remise en question de l’adéquation trop étroite entre les scénarios culturellement définis et les comportements sexuels, comme le suggère la pratique des saignées péniennes répétées des Ilahita Arapesh de Nouvelle-Guinée et la place de l’expérience de plaisir dans la construction du processus érotique. L’approche constructiviste dans l’étude de l’érotisme est aussi affirmée par Elliston (1995) dans sa critique des travaux sur les rituels homoérotiques en Nouvelle-Guinée, en particulier ceux de Herdt (1981,1982, 1984) sur les Sambia. Notant que la notion de pratiques sexuelles n’a pas fait l’objet d’une théorisation approfondie et que l’articulation assumée entre l’homosexualité ritualisée et la dimension érotique semble constituer une projection des conceptions occidentales sur des conduites dont la signification serait tout autre, elle propose des modalités de mise en place d’une anthropologie de l’érotisme qui se baserait plutôt sur la prise en compte des catégories émiques. Des travaux sur les contextes coloniaux et postcoloniaux s’interrogent aussi sur la construction du désir et du plaisir (Manderson et Jolly 1997) et Mankekar (2004) propose la notion d’« erotics » pour référer aux « désirs sexuels et aux plaisirs construits à l’intersection du psychique et du structurel [et] contester l’hypothèse que l’érotique pourrait être “purement” instinctif ou primordial ou se situer en dehors du domaine du socius » (p. 404). Elle établit aussi un lien entre le désir érotique et le désir de consommation des objets qu’elle définit comme « l’affect de consommation » (commodity affect) qui inclut tout un registre d’émotions (désir, plaisir, aspirations, etc.) liées à l’attraction esthétique que les objets provoquent, élargissant ainsi le champ de l’érotisme à des sphères non sexuelles. Cette extension au champ sociopolitique se retrouve dans le contexte cubain avec la notion proposée par Allen (2012) de « pratiques du désir » (practices of desire) qui « forment l’une des parties d’un processus complexe constitué par des expériences incorporées, qui incluent le genre, la race et la couleur, et la nationalité » (p. 326), à la fois sur le plan des itinéraires personnels des individus, de leurs expériences du désir et de leurs relations intersubjectives, pour montrer comment des « actions infrapolitiques individuelles » de résistance peuvent avoir des répercussions sur le plan macropolitique. L’élargissement du champ de l’érotisme, articulé aux dimensions émotives et corporelles, est proposé par Azam (2013). Selon elle, la notion de sexualité, en étant associée aux actes sexuels ou renvoyant à l’identité de genre, ne peut suffire à rendre compte de la complexité de ce champ et elle en propose la définition suivante : « Aux fins de cette recherche, j’identifie les composantes de l’érotisme, ou l’amour érotique, comme renvoyant au désir (incluant l’inclinaison et l’attraction), l’expression de ce désir ou attirance, soit par des moyens verbaux ou gestuels), et le plaisir (ce qui signifie toute satisfaction du désir, que ce soit par le regard, l’approche, la conversation, le toucher, etc.) » (p.56). Cette approche élargie est reprise par Newmahr (2014) qui propose le concept d’érotisme asexuel (asexual eroticism), mais cette extension risque, néanmoins, de réduire son potentiel heuristique. Soulignant que les dimensions théoriques dans l’étude de l’érotisme sont plutôt rares, elle constate que cette analyse reste arrimée à l’amour romantique ou à la sphère génitale, mais ignore la pléthore des expressions asexuelles et les formes d’excitation présentes dans différents contextes et types de relations. Les analyses empiriques ne tiennent pas compte de l’expérience érotique, ses significations et son statut dans le quotidien des individus et elle suggère d’étudier l’érotisme sur le plan phénoménologique comme une « expérience émotionnelle, en explorer la structure sous-jacente, les conditions et le contexte de l’érotisme comme émotion […] L’érotisme n’est pas le mieux compris comme un état d’excitation spécifiquement sexuelle ou génitale, mais comme un état émotionnel corporel plus large de “charge” » (p.211). Pour rendre compte de l’articulation entre le plaisir et les valeurs de modernité chez les jeunes de la classe moyenne du Kenya, Spronck propose la notion de « bon sexe » (good sex), qui inclut les dimensions de la « connaissance somato-sensorielle » (body-sensorial knowledge) pour étudier les « qualités sensuelles de la sexualité comme médiateurs et modeleurs de la connaissance sociale » (p. 3). Les pratiques érotiques renvoyant aux dimensions de « sentiments sexuels et de désir sexuel » (p.19) permettent de saisir comme l’expérience, les significations sociales et les sensations corporelles s’articulent entre elles et sont interprétées par les acteurs. Le concept de séduction pourrait aussi être associé au champ de l’érotisme. Forme particulière de communication, elle se fonderait sur des rituels à la fois verbaux et non verbaux faisant appel à de nombreux éléments culturels qui alimentent le paraître, conditionnent son esthétique et définissent les codes de conduite (Boëtsch et Guilhem 2005). Les rituels mis en œuvre relèveraient « à la fois de l’auto-séduction, de la théâtralisation et de la mimésis» (p.185), rejoignant par certains aspects la notion de charme qui se construit, comme le montre l’exemple des Peuls Djeneri du Mali, en faisant appel à des catégories corporelles, à des référents esthétiques, à des normes d’expression corporelle et à des représentations sociales des processus physiologiques, mettant ainsi en évidence l’imbrication étroite du biologique et du social (Guilhem 2008). Dans l’ensemble de ces réflexions théoriques, l’apport de Bataille (1957) à la conceptualisation de l’érotisme en anthropologie reste peu évident, alors qu’il propose un triple modèle de l’inscription érotique dans les représentations et l’expérience : le corps, le cœur et le sacré. Dans l’érotisme des corps, dominerait, lors de la rencontre, la violence sans laquelle « l’activité érotique atteint plus difficilement la plénitude » (p. 25). Dans ce modèle, c’est la révélation de soi et les états de conscience modifiés liés à la dissolution des limites et au trouble qui leurs sont associés qui dominent. Dans l’érotisme des cœurs, on retrouve la passion amoureuse, rattachée à la souffrance de ne pouvoir réussir totalement la fusion avec l’être aimé et cette précarité affective « appelle la mort, le désir de meurtre ou de suicide » (p. 28), liant ainsi étroitement Éros et Thanatos, alors que l’érotisme sacré renverrait à une expérience de type mystique. Le rapport à la violence, à la mort et à la finitude se prolonge, chez Bataille, par les liens qu’il établit entre l’érotisme, l’interdit, la transgression et l’excès. Ces thèmes rejoignent les réflexions philosophiques et anthropologiques sur la place du dionysiaque comme mode d’expression érotique, associée à l’orgiasme, à l’excès et au désordre (Maffesoli 1982), qui interviendraient lors de la transgression des interdits, comme le suggèrent les rituels d’« effervescence collective », Durkheim (2008 [1912]). La conjonction entre le danger et le plaisir érotique n’est pas non plus très problématisée, alors qu’elle semble se manifester dans des conduites extrêmes, des formes de sadomasochisme ou dans la prise de risques liés à la transmission du VIH/sida (Lévy 1996). Ce survol de la notion d’érotisme suggère, en définitive, une nouvelle orientation des recherches anthropologiques qui, après avoir déconstruit la notion de sexe pour la distinguer de celles de sexualité et de genre, s’interrogent à présent sur les différentes dimensions de l’érotisme et ses arrimages aux constructions socioculturelles, aux champs du politique et de l’économie, à la fois sur les plans macrosociologique et microsociologique. L’attention portée sur la subjectivité, les sensations, les sentiments et les affects, mais aussi le désir et le plaisir (Arnfred 2014), n’est cependant pas sans poser des problèmes théoriques importants. En effet, cet accent oriente l’anthropologie vers des aspects psychologiques et idiosyncrasiques, une orientation qui nécessite de préciser l’articulation entre culture, individualité et érotisme.
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