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Durand Guiziou, Marie-Claire. "À propos de quelques «dérapages» dans la version espagnole du Cornet à dés de Max Jacob." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 51, no. 3 (December 31, 2005): 238–61. http://dx.doi.org/10.1075/babel.51.3.03dur.

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Abstract:
Résumé Dans cet article, nous proposons une analyse de la traduction espagnole de quatre poèmes en prose de Max Jacob, extraits de son recueil Le Cornet à dés (1917). Notre choix s’est porté sur la traduction de “Tableau de la foire”, “Vie et marée” et, dans la série intitulée ‘Le coq et la perle’ du même recueil, sur “Le soleil est en dentelle” et “Brouillard, étoile d’araignée”, ces deux derniers poèmes se réduisant à un seul vers. C’est en 1924 que Guillermo de Torre, fervent admirateur de Max Jacob et contemporain du poète français, donne la version espagnole du Cornet à dés sous le titre El Cubilete de Dados. Or, il s’agit, à notre connaissance, de la seule traduction espagnole du recueil de poèmes de l’écrivain français, publiée en Espagne. Il nous a donc semblé intéressant de la commenter. Dans le cadre de cet article, nous avons choisi de considérer uniquement les quatre poèmes cités, traduits par de Torre, car ils sont représentatifs des “dérapages” que nous avons détectés dans la traduction espagnole du recueil de poèmes. Notre analyse s’inspire d’une part, des principes théoriques exposés par Etkind Efind dans un ouvrage qui a fait date en traduction littéraire: Un art en crise. Essai de poétique de la traduction poétique et d’autre part, de notre expérience en tant que traductrices d’ouvrages littéraires et enseignantes de traduction. À la lecture des défaillances rencontrées dans les textes traduits que nous commentons ici, une nouvelle traduction du recueil du Cornet à dés de Max Jacob serait à considérée. Au-delà des commentaires et de notre travail d’analyse des textes traduits, il nous a paru honnête de proposer, à notre tour, notre propre traduction des poèmes choisis afin que le lecteur puisse, lui aussi, en faire une lecture critique.
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Blanco-Cordón, Tatiana. "Influencias y confluencias entre la bande dessinée franco-belga y la historieta autobiográfica femenina en España." Neuróptica, no. 3 (July 23, 2022): 37–57. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_neuroptica/neuroptica.202137253.

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Abstract:
Resumen: La Nouvelle Bande Dessinée, que ha dado paso a una nueva época en el panorama historietístico europeo, constituye un referente innegable en la representación del Yo. La lectura de tres historietas autobiográficas de creación femenina nos permitirá observar la influencia de la producción franco-belga en el contexto español y las confluencias entre ambos horizontes. Nuestra atención se centra en el fenómeno migratorio y el ejercicio de memoria en torno al tema de la familia, la mujer, las interacciones sociales y la toma de conciencia intercultural, con el fin de constatar el grado de tradición y de renovación del género autobiográfico en el cómic en Francia y España. Resumée: La Nouvelle Bande Dessinée participe à redessiner la réalité bédéistique en Europe et constitue un référent dans la représentation du Moi. La lecture de trois historietas autobiographiques féminines nous permettra d’observer l’influence de la production franco-belge dans le contexte espagnol et les confluences entre les deux horizons. Nous nous intéressons au phénomène migratoire et à l’exercice de mémoire autour du thème de la famille, la femme, les interactions sociales et la prise de conscience interculturelle, dans le but de vérifier le degré de tradition et de renouvellement du genre autobiographique dans la bande dessinée en France et en Espagne.
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3

Rosano-Grange, Marlène. "Madrid-Bruxelles : la production d’une diplomatie conciliante dans la Politique étrangère et de sécurité commune (Pesc)." Études internationales 48, no. 3-4 (April 16, 2018): 469–88. http://dx.doi.org/10.7202/1044630ar.

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Abstract:
À l’aide d’une approche ethnographique, cet article nuance le poids excessif attribué aux représentations permanentes dans la prise de décision en matière de politique étrangère et de sécurité commune (Pesc) et par là même, la convergence des bureaucraties et des diplomaties des États membres. L’étude du cas espagnol montre en fait que la résistance des services centraux à l’européanisation produit bien un type particulier de diplomatie, celui de la conciliation.
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4

Dorra, Raul, and Blanca Alberta Rodriguez. "Stylistique et sémiotique tensive : Convergences et divergences." Semiotica 2017, no. 219 (November 27, 2017): 239–56. http://dx.doi.org/10.1515/sem-2017-0080.

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Abstract:
RésuméÀ partir de De l’imperfection et deSémiotique des passions (1991), la sémiotique a opéré un tournant vers la reconnaissance du sensible comme fondement de la signification. Suivant cette voie, la sémiotique tensive s’est développée en enrichissant la théorie générale. De leur côté, en étudiant il y a plus d’un siècle la qualité expressive de l’œuvre littéraire, les philologues Amado Alonso et Dámaso Alonso – représentants de la stylistique espagnole – ont posé tôt pour la tradition hispanique le problème de l’affectivité dans le langage. Leurs travaux reprennent l’interprétation par l’école allemande de la stylistique de Bally. Notre article propose de faire un contrepoint entre la perspective de la sémiotique tensive et celle de la stylistique espagnole. Cette entreprise exige de reconnaître les divergences épistémologiques, mais surtout – suivant notre propos – de suggérer des points de rencontre et des visions complémentaires. Tandis que pour la sémiotique tensive l’affectivité est prise en charge par le plan du contenu, pour la stylistique elle se manifeste dans ce qui pour Dámaso Alonso serait – en élargissant la définition de Saussure – le signifiant à proprement parler: l’image acoustique réalisée dans sa matérialité sonore. De sorte que, dans l’échange entre ces deux perspectives disciplinaires, les trouvailles méthodologiques de l’une pourraient être utiles à l’autre, dans la mesure où toutes deux ont en partage l’intérêt pour la manière dont l’affectivité s’exprime.
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Orobitg, Christine. "La lycanthropie dans la prose doctrinale du XVIe et du XVIIe siècle espagnol." Bulletin hispanique, no. 117-2 (December 15, 2015): 549–68. http://dx.doi.org/10.4000/bulletinhispanique.4034.

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Claros, P. "Quelle prise en charge de l'otite en Espagne ?" Médecine et Maladies Infectieuses 27 (March 1997): 38–39. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(97)80211-9.

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Bestani, Abdelkarim, and Boumediene Zaoui. "La coopération internationale pour la mise en œuvre d’une démarche participative dans les politiques de développement rural en Algérie." Revue internationale animation, territoires et pratiques socioculturelles, no. 6 (September 1, 2014): 1–12. http://dx.doi.org/10.55765/atps.i6.245.

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Abstract:
Plusieurs projets de développement, pilotés par des institutions publiques ou non-gouvernementales, ont enregistré un échec officiellement attribué à un manque de budget et des problèmes techniques, mais dû souvent à la faible prise en compte des aspirations et des savoirs des populations concernées. Pourtant, depuis les années 1990, les pays en développement ont pris conscience de l’importance d’intégrer l’approche participative dans leurs stratégies de développement afin d’être plus en phase avec les réalités du terrain et de susciter l’adhésion de la population locale, facteur déterminant de la réussite de l’action. Nous examinons dans le texte qui suit le processus de participation de la population rurale algérienne à une expérience de coopération algéro-espagnole dans la daïra de Hachem, wilaya de Mascara, consistant à introduire un nouveau modèle de développement participatif inspiré du modèle européen LEADER.
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Abi Ayad, Ahmed. "DocumentUn témoignage espagnol sur la prise d'Alger par les Français en 1830." Insaniyat / إنسانيات, no. 19-20 (June 30, 2003): 199–215. http://dx.doi.org/10.4000/insaniyat.6101.

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9

Álvarez Rubio, María Del R. "Entre la imitación y la adaptación: traducciones de las Fábulas literarias de Tomás de Iriarte en Francia (1802-1849)." Çédille 11 (April 1, 2015): 31. http://dx.doi.org/10.21071/ced.v11i.5582.

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Abstract:
Le recueil de Fábulas literarias (1782) de Tomás de Iriarte, l’un des poètes espagnols les plus traduits de son temps et par les générations postérieures, a été longtemps l’un des textes-sources étrangers les plus prisés en France au XIXe siècle dans le genre si cultivé des apologues. Imitées d’abord dans les productions poétiques d’autres auteurs, puis adaptées en vers dans des traductions complètes, ou rendues presque littéralement en prose dans les échantillons des histoires littéraires, les versions françaises des fables d’Iriarte relèvent en grande partie des mécanismes de la réécriture ; en même temps, elles reflètent une naissante conscience historiciste des traducteurs sur leur rôle. Notre but consiste à examiner l’évolution de la réception en français du recueil à travers un corpus choisi et représentatif de ses voies de diffusion pendant la première moitié du XIXe siècle.
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Díaz Alba, Carmen. "Femmes et libre-échange en Amérique latine : le cas du Réseau latino-américain des femmes transformant l’économie." II Solidarités des militants : des figures du changement, no. 58 (February 6, 2008): 103–17. http://dx.doi.org/10.7202/017554ar.

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Abstract:
Résumé Le Réseau latino-américain des femmes transformant l’économie (REMTE, acronyme espagnol) a contribué à rapprocher les questions d’économie et de genre, en incitant les organisations à regarder le libre-échange comme une problématique genrée et en apportant une perspective féministe aux mouvements critiques du libre-échange. Les critiques féministes des théories dominantes sur les mouvements sociaux transnationaux considèrent que : 1) les études transnationales sont biaisées par une vision masculine des mouvements et des stratégies ; 2) l’objet d’analyse porte principalement sur l’État et le court terme ; 3) il est nécessaire d’aborder les dynamiques de genre au sein des mouvements sociaux. Dans cet article, l’auteur montre que la prise en compte de ces critiques nous permet de mieux comprendre le cas du REMTE.
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NOURINE ELAID, Lahouaria. "L’interculturalité en Algérie dans la perspective de l’intégration et la multiplicité." ALTRALANG Journal 1, no. 02 (December 31, 2019): 153–61. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v1i02.31.

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Abstract:
ABSTRACT: Interculturality describes a relation between cultures because it implies, by definition, interaction, obviously each culture can have ways of thinking, feeling and acting. We propose in this work a reflection on the fact that the west of Algeria has experienced a strong Spanish influence characterized by an important Spanish migratory contribution during the French colonization. As oranian, the traces of the Spanish language conserved in the variety of our Arabic dialect, interest me a lot. It is important then to begin the task of recovering our history and our linguistic heritage, a difficult but necessary task. Our communication aims to present the socio-historical elements that demonstrate the interaction in Algerian society. In it, coexist cultural diversity and intercultural dialogue, thus creating a coexistence based on the acceptance of the other, as a different entity, with a different identity. This acceptance of difference and coexistence arises from the consciousness of society and, therefore, of the individual, through the history of an entire society, a plural identity, or rather an identity with several aspects and several facets. This awareness makes it possible to give more prominence to the aspect of harmony and integration of social culture than differences. It is in this perspective that diversity and multiplicity are seen more as factors of wealth and enrichment than as a division. RÉSUMÉ: L'interculturalité décrit une relation entre les cultures parce qu'elle implique, par définition, l'interaction, chaque culture peut évidemment avoir des façons de penser, de sentir et d'agir. Nous proposons dans ce travail une réflexion sur le fait que l'ouest de l'Algérie a connu une forte influence espagnole caractérisée par une importante contribution migratoire espagnole lors de la colonisation française. En tant qu'oranaise, les traces de la langue espagnole conservées dans la variété de notre dialecte arabe, m'intéressent beaucoup. Il est donc important de commencer la tâche de récupérer notre histoire et notre héritage linguistique, une tâche difficile mais nécessaire. Notre communication vise à présenter les éléments socio-historiques qui démontrent l'interaction dans la société algérienne. En cela coexistent la diversité culturelle et le dialogue interculturel, créant ainsi une coexistence basée sur l'acceptation de l'autre, en tant qu'entité différente, avec une identité différente. Cette acceptation de la différence et la coexistence naît de la conscience de la société et, par conséquent l'individu, à travers l'histoire de toute une société, une identité plurielle, ou plutôt une identité avec différents aspects et diverses facettes. Cette prise de conscience permet de donner plus d'importance à l'aspect de l'harmonie et de l'intégration de la culture sociale qu'aux différences. C'est dans cette perspective que la diversité et la multiplicité sont perçues davantage comme des facteurs de richesse et d'enrichissement que comme une division.
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Miranda-Pérez, Fabiola, and Anne-Claire Sanz-Gavillon. "La compréhension des violences faites aux femmes comme problème public dans un contexte post-dictatorial : étude comparée des cas espagnol et chilien." Enfances, Familles, Générations, no. 22 (June 9, 2015): 114–35. http://dx.doi.org/10.7202/1031121ar.

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Abstract:
Depuis la fin des dictatures, en Espagne et au Chili, une importance croissante a été accordée aux politiques d’égalité, notamment à la faveur de l’action des mouvements féminins et féministes qui ont apporté de nouveaux outils permettant d’analyser la réalité sociale. Dans ce contexte, les violences envers les femmes ont pu être conceptualisées comme un problème public et la lutte contre ce phénomène s’est peu à peu convertie en un des axes principaux de l’action publique en matière d’égalité hommes-femmes. La prise en charge de cette question, par les deux États étudiés, s’est traduite par une série de négociations impliquant les différents acteurs du jeu politique. Il en a résulté l’adoption de deux lois reflétant deux lectures différentes du phénomène qui se sont matérialisées dans les expressions de « violence de genre » (violencia de género) et de « violence intrafamiliale » (violencia intrafamiliale). Dans cet article, nous chercherons à analyser les contextes qui ont influencé la compréhension du problème de la violence envers les femmes en Espagne et au Chili. Nous interrogerons les deux approches qui ont été retenues – soit la violence de genre et la violence intrafamiliale – et la portée de ces choix.
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Migoyo, Gonzalo Diaz, and Anne Cayuela. "Le Paratexte au Siecle d'Or. Prose romanesque, livre et lecteurs en Espagne au XVIIe siecle." Hispanic Review 66, no. 4 (1998): 479. http://dx.doi.org/10.2307/474864.

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Manuel, Oliver Cojo. "Third-Party Litigation Funding: Current State of Affairs and Prospects for Its Further Development in Spain." European Review of Private Law 22, Issue 3 (June 1, 2014): 439–68. http://dx.doi.org/10.54648/erpl2014036.

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Abstract:
Abstract: Third-party litigation funding (TPLF) is a promising and fascinating practice that is receiving increasing attention. However, TPLF is still a novel institution, and hence there exists certain controversy as to what it actually stands for. In order to bring some clarity in this regard, a definition of TPLF will be provided. This definition will be used to compare TPLF with other ways of funding litigation disputes, to investigate its origins, and to examine its advantages and disadvantages. Nonetheless, the main purpose of this article is to shed light as to two supplementary issues. On the one hand, this article will show what is the current state of affairs of TPLF. For that purpose, a comparative analysis of several countries will be provided. This will show that TPLF is commonplace in common law countries such as Australia, though virtually non-existent in civil law countries. On the other hand, in order to determine the prospects for TPLF to expand into jurisdictions in which it has not developed so far, Spain will be taken as an example. This analysis will show that the possibilities for TPLF to grow in Spain are rather promising as TPLF may help overcome some of the challenges currently faced by the Spanish civil justice system. In addition, TPLF seems to be legally viable under Spanish law. Resumé: Third-Party Litigation Funding (TPLF) est une pratique prometteuse et fascinante, qui reçoit une attention croissante. Cependant, le TPLF est encore une institution novatrice, à ce titre il existe un certain nombre de controverses concernant ce qu'il représente. Afin d'apporter de la clarté à cet égard, une définition du TPLF sera fournie. Cette définition sera utilisée pour comparer le TPLF avec d'autres moyens de financement de litiges contentieux, pour rechercher ses origines et examiner ses avantages et inconvénients. Néanmoins, le but principal de cet article est de faire la lumière sur deux questions supplémentaires. Dans un premier temps, cet article montrera quelle est la situation actuelle du TPLF. Pour cela, une analyse comparative de plusieurs pays sera établie. Elle démontrera que le TPLF est monnaie courante dans les pays de common law comme l'Australie, et pratiquement inexistante dans les pays de droit civil. Dans un second temps, afin de déterminer les perspectives du TPLF de se développer dans les juridictions où il n'est que peu implanté, l'Espagne sera prise comme exemple. Cette analyse montrera que les possibilités pour le TPLF de se développer en Espagne sont prometteuses puisque le TPLF peut permettre de surmonter certaines difficultés rencontrées actuellement par son système de justice civile. En outre, TPLF semblent légalement viables en vertu du droit espagnol.
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Frotiée, Brigitte, and María Jesús Rodríguez Garcia. "La prise en charge des questions d'égalité femmes-hommes en Espagne (1975-2012)." Revue française des affaires sociales 1, no. 2 (2012): 112. http://dx.doi.org/10.3917/rfas.122.0112.

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Castillo, Juan José, and Maria Teresa Cao. "Design organisationnel, formation et participation des travailleurs dans une usine de moteurs en Espagne." I. Le travail au coeur des mutations des sociétés industrielles, no. 25 (November 5, 2015): 77–82. http://dx.doi.org/10.7202/1033911ar.

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Abstract:
Partant de l’idée de plus en plus admise que les technologies nouvelles peuvent se combiner avec différents modes d’organisation du travail, l’auteur présente les résultats d’une recherche sur les transformations du design du travail et des qualifications dans une usine de fabrication de moteurs en Espagne. Il analyse la place prise par la fonction « entretien » et les répercussions de ce changement, qui a mené à la réorganisation de l’entreprise autour des « groupes de projet » et des « cercles de qualité ». Il fait ressortir les contradictions que vit l’entreprise, entre une gestion de la main-d’oeuvre de type traditionnel (centralisée et rigide) et la nécessité de plus en plus forte de décentraliser cette gestion et d’utiliser les compétences des ouvriers avec flexibilité.
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Papillon, Martin. "Québec : État et Société, Tome 2." Canadian Journal of Political Science 38, no. 2 (June 2005): 487–89. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423905229992.

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Abstract:
Québec : État et Société, Tome 2, Alain G. Gagnon (directeur), Montréal, Éditions Québec Amérique, 2003, pp. 588.Le collectif Québec : État et Société, dirigé par Alain G. Gagnon, en est à sa deuxième mouture en français et publie déjà son troisième ouvrage en anglais. Le volume précédent, sorti en 1994, s'est imposé comme un incontournable pour quiconque s'intéresse aux grands débats politiques et sociaux marquant le Québec d'aujourd'hui. Signe de l'intérêt que suscitent les réflexions politiques sur le Québec à l'étranger, le tome 2, publié en français et en anglais, est également disponible en versions espagnole et portugaise. À l'instar du volume précédent, ce nouveau collectif peint un large portrait des différents enjeux qui sont au cœur de la politique québécoise actuelle, dans une perspective se voulant à la fois pédagogique et analytique. Puisqu'il est impossible de rendre justice à la totalité des vingt-deux textes du volume en quelques lignes, je me contenterai de souligner certains éléments qui, il me semble, donnent le ton à l'ensemble. Deux axes de réflexion dominent à cet égard : d'une part, si les rapports Québec-Canada occupent toujours une place importante, la “question nationale” y est d'abord abordée sous l'angle de la citoyenneté et du défi que représente, pour le projet nationaliste, la prise en compte de la profonde diversité du Québec contemporain. D'autre part, reflétant également l'évolution de l'ordre du jour politique, les défis engendrés par le processus de mondialisation occupent une place beaucoup plus significative dans ce nouveau collectif.
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Lledós, Raquel. "Empreintes et emprunts des avant-gardes dans la poésie espagnole contemporaine : la caja de prosa dans Maniluvios (1972), de José-Miguel Ullán." Recherches, no. 9 (December 1, 2012): 157–75. http://dx.doi.org/10.4000/cher.11614.

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Morin, F., N. Peschanski, A. Ricard Hibon, D. Douillet, and D. Savary. "Retour d’expérience sur les transports Smur des patients Covid-19." Annales françaises de médecine d’urgence 10, no. 4-5 (September 2020): 224–32. http://dx.doi.org/10.3166/afmu-2020-0257.

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Abstract:
Dès la fin du mois de février 2020, les urgentistes français ont été confrontés à une situation inédite et complexe dans la gestion des cas les plus sévères d’infections pulmonaires associées au nouveau coronavirus (SARSCoV- 2). Les informations en provenance de Chine et les recommandations initiales de l’Organisation mondiale de la santé ont rapidement amené à considérer l’intubation et la ventilation mécanique précoce des malades atteints par la pneumonie de la Covid-19. Or, dès la fin du mois de mars 2020, grâce aux retours d’expérience et de prise en charge, d’abord de la part des réanimateurs et urgentistes italiens, puis espagnols, les pratiques et les recommandations concernant les modalités d’oxygénation et de ventilation des patients Covid-19 ont évolué. Le caractère exceptionnel de cette pandémie et la grande adaptabilité des services de Samu/Smur de France, en l’espace de quelques semaines, pour prendre en charge ces patients oxygénodépendants, justifient que nous en fassions le retour d’expérience, et ce, d’autant plus que nous sommes exposés à un risque de recrudescence d’infections respiratoires graves associées au SARS-CoV-2 à court terme, risquant de saturer une nouvelle fois notre système de santé. Nous détaillons donc ici le retour d’expérience des prises en charge médicales préhospitalières concernant principalement les supports d’oxygénation et de ventilation mécanique.
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Rosière, Stéphane. "La diversité ethnique et le maillage administratif des États." Cahiers de géographie du Québec 49, no. 137 (March 9, 2006): 207–24. http://dx.doi.org/10.7202/012301ar.

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Abstract:
RésuméLa prise en compte de la diversité ethnique de la population des États soulève de nombreux problèmes géopolitiques. Cet article porte sur les territoires administratifs attribués à des ethnies. D’une manière générale, les États centralisés refusent de créer de tels territoires. Par ailleurs, les territoires ethniques homogènes n’existent pas, ou sont très rares; il est ainsi relativement difficile de leur donner des limites fonctionnelles. Malgré ces réserves, tous les types d’États sont confrontés à ces difficultés. Cet article examine trois cas européens: la région autonome hongroise de Roumanie (1953 à 1968), le Tatarstan en Russie et le Pays basque en Espagne et en France. Grâce à ces trois exemples, on peut esquisser la complexité des problèmes liés à la création ou au maintien des territoires à caractère ethnique et rappeler que tout découpage administratif, surtout s’il est lié à une ethnie, s’interprète avec précision dans une logique de rapport de force entre centre et périphérie.
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Kronning, Hans. "Prise en charge épistémique et non-concordance des temps dans le discours indirect (libre) en français, en italien et en espagnol." Cahiers Sens public 13-14, no. 1 (2010): 19. http://dx.doi.org/10.3917/csp.013.0019.

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Utrera Torremocha, María Victoria. "RESEÑA de: Carandell, Zoraida (ed.): Traduire pour l’oreille. Versions espagnoles de la prose et du théâtre poétiques français (1890-1930). París: Presses Sorbonne Nouvelle, 2014." Rhythmica. Revista Española de Métrica Comparada, no. 13 (January 1, 2015): 235. http://dx.doi.org/10.5944/rhythmica.16160.

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Meister, Albert, Anna-Maria Levi, and Frédéric Lesemann. "D’une série à l’autre..." International Review of Community Development, no. 1 (January 28, 2016): i—vii. http://dx.doi.org/10.7202/1034814ar.

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Abstract:
La Revue Internationale d’Action communautaire prend dès le printemps 1979 la relève de l’International Review of Community Development créée il y a une vingtaine d’années par le sociologue Albert Meister. La RIAC devient désormais une revue principalement francophone, caractérisée par une attention privilégiée aux pratiques novatrices, qu’elles soient professionnelles ou « militantes », institutionnelles ou « de base », dans les domaines de l’action communautaire ou collective reliés aux champs des services sociaux, de la santé publique et de l’éducation des adultes. Elle s’intéresse particulièrement aux expériences de prise en charge et de réappropriation par les populations de leur santé, de leur « bien-être » (welfare) et de leur éducation et est ouverte aux nouveaux problèmes qui se posent aux « sociétés de services ». Dans cette perspective, elle accueille également des analyses des politiques gouvernementales sociales, sanitaires et/ou éducatives qui structurent le développement des collectivités. Cette revue est produite par quatre centres associés du Québec, de France, de Belgique et de Suisse, avec des correspondants dans d’autres pays dont l’Italie, l’Espagne et l’Amérique latine. Elle conserve son ouverture traditionnelle sur les problèmes actuels de l’organisation socio-sanitaire et éducative des pays « en voie de développement ». Elle est destinée aux professionnels, aux administrateurs et aux militants qui oeuvrent dans les domaines précités. Elle entend être une revue rigoureuse dans sa démarche descriptive et analytique sans pour autant adopter les formes d’une revue académique. Elle vise à devenir un forum entre acteurs impliqués à divers paliers des systèmes de production de services. Dans cette perspective, les numéros seront thématiques, consacrés successivement à la prise en charge communautaire de la santé (mai 1979), aux processus d’éducation populaire (novembre 1979), à la prise en charge communautaire de la vie urbaine : logement, transport, aménagement de l’espace (mai 1980), aux instruments de recherche-action (novembre 1980), etc. La revue paraît deux fois par année, au printemps et en automne. Elle contient des résumés en anglais et en espagnol. Elle est coordonnée et publiée à Montréal. Nous sollicitons les commentaires, les suggestions, les contributions, les collaborations occasionnelles ou permanentes de tous ceux que ces perspectives intéressent.
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Maurizot, A., A. Bura-Rivière, K. Gritli, L. Bertoletti, L. Hernández-Blasco, M. Ciammaichella, M. C. Díaz-Pedroche, M. Alfonso, M. A. Lorente, and M. Monreal. "Comparaison en France, en Italie et en Espagne des modalités de prise en charge de la maladie thromboembolique veineuse." JMV-Journal de Médecine Vasculaire 42, no. 1 (February 2017): 6–13. http://dx.doi.org/10.1016/j.jdmv.2017.01.002.

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Nuq, Amélie. "La congrégation des Tertiaires capucins et la réception des modèles internationaux de prise en charge des jeunes délinquants (Espagne, 1904-1936)." Histoire de l'éducation, no. 140-141 (August 31, 2014): 157–74. http://dx.doi.org/10.4000/histoire-education.2850.

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Glesener, Thomas. "Gouverner la langue arabe: Miguel Casiri et les arabisants du roi d’Espagne au siècle des Lumières." Annales. Histoire, Sciences Sociales 76, no. 2 (June 2021): 227–67. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2021.91.

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Gouverner la langue arabe: Miguel Casiri et les arabisants du roi d’Espagne au siècle des LumièresOriginaire de Tripoli (mont Liban), Miguel Casiri (1708-1791) a exercé une influence importante sur les études arabes en Espagne durant la seconde moitié du xviiie siècle. Son empreinte a été traditionnellement appréciée à l’aune d’une histoire intellectuelle focalisée sur son œuvre, qui négligeait largement son activité en tant qu’agent de la Monarchie hispanique. Or, Casiri a collaboré à la consolidation d’un pôle d’expertise en langue arabe à Madrid à une époque où la couronne entendait réfuter rationnellement certains privilèges urbains appuyés sur des textes et des inscriptions en langue arabe. En exhumant la part prise par Casiri dans ces réformes, cet article analyse les modalités conflictuelles de formation d’un champ linguistique spécialisé adossé à la juridiction royale et met en évidence deux lignes de fracture majeures. L’une porte sur la sélection du personnel employé dans l’expertise linguistique, et en particulier sur la manière de réguler les réseaux de la diaspora maronite – qui ont été d’importants fournisseurs de main-d’œuvre. L’autre concerne la définition de l’expertise en langue arabe, opposant les défenseurs d’un savoir spécialisé contrôlé par une communauté de savants et les tenants d’un savoir pratique soumis aux besoins des commanditaires. À rebours d’une histoire intellectuelle de la langue, cet article propose une histoire politique des arabisants, qui replace la connaissance de l’arabe au cœur de la constitution des savoirs d’État.
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Philippe, A., and M. Verron. "La pathologie suicidaire des migrants." Psychiatry and Psychobiology 3, no. 2 (1988): 115–23. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00001887.

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Abstract:
RésuméLes auteurs s’inspirent de l’hypothèse de Durkheim sur l’anomie pour étudier les risques suicidaires chez les immigrés en France: ayant perdu leurs repères sociaux traditionnels, ils présentent un risque de suicide plus élevé. Les statistiques des causes médicales de décès et les résultats d’une enquête dans 2 régions françaises (1980) auprès de suicidants hospitalisés constituent le matériel analysé.L’incidence du suicide est inférieure chez les étrangers, quels que soient la nationalité, l’âge, et pour les 2 sexes. Cette situation s’explique par les faibles taux de suicide constatés dans les pays d’émigration. Cependant les immigrés ont des taux de suicide supérieurs à ceux de leurs compatriotes. Deux particularités sont notées. La différence Français-étrangers s’amenuise pour les hommes après 60 ans; l’intégration dans le pays d’accueil serait à l’œuvre. Et les jeunes femmes maghrébines ont un taux de suicide égal à celui des Françaises: les conflits intergénérationnels expliqueraient ces nombreux passages à l’acte.Les taux de tentatives de suicide des hommes immigrés sont proches du taux des Français, mais les femmes immigrées ont des taux bien supérieurs à celui des Françaises, particulièrement les adolescentes (4 fois plus élevé). Les suicidants étrangers constituent une population plus féminine (8 tentatives sur 10 sont le fait de femmes), plus jeune. Les jeunes du Maghreb vivent plus fréquemment au domicile de leurs parents, dans une fratrie nombreuse, ils sont plus souvent chômeurs. Ils utilisent moins fréquemment des médicaments lors de la tentative de suicide et consomment plus rarement de l’alcool en association. Espagnols et Portugais font moins souvent de récidives. Les tentatives des Français adultes sont jugées plus graves (prise d’alcool associée, isolement, récidive, coma profond). Les étrangers ont moins de troubles psychiatriques connus, et moins de troubles mentaux en relation avec leur geste suicidaire. Les données concernant l’entourage des étrangers indiquent une incidence moindre de la psychopathologie.Les études internationales ayant une problématique proche apportent des résultats convergents, tant pour les différences d’incidence entre migrants et autochtones, que pour les caractéristiques sociales et médicales. Les tentatives de suicide des immigrés se situent dans un contexte de moindre psychopathologie personnelle ou touchant l’entourage. Ceci confirme l’hypothèse d’un geste plus impulsif et souligne le poids de la situation socioculturelle.
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Maurizot, A., C. Ambid-Lacombe, J. Malloizel Delaunay, G. Lacaze, N. Pros, W. Mokkadem, J. P. Cambou, and A. Bura-Rivière. "Prise en charge de la maladie thrombo-embolique veineuse dans les situations non consensuelles en France, en Italie et en Espagne : étude du registre RIETE." Journal des Maladies Vasculaires 37, no. 5 (September 2012): 266. http://dx.doi.org/10.1016/j.jmv.2012.07.068.

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Vereda, A., K. Blümchen, G. Du Toit, F. De Blay, N. Georgitseas, M. Cassese, and E. Zigmont. "Prise en charge actuelle de l’allergie à l’arachide et utilisation de l’immunothérapie orale (ITO) chez des enfants en France, Allemagne, Italie, Espagne, Suisse et au Royaume-Uni (UE6)." Revue Française d'Allergologie 58, no. 3 (April 2018): 290. http://dx.doi.org/10.1016/j.reval.2018.02.180.

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SAUVANT, D. "Alimentation des vaches laitières : Que penser des normes étrangères ?" INRAE Productions Animales 5, no. 4 (October 29, 1992): 269–70. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.4.4240.

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Abstract:
Les trois articles qui suivent correspondent aux trois conférences que leurs auteurs ont faites le 27 février dernier à Tours, dans le cadre d’une journée organisée par le CAAA (Cycle Approfondi d’Alimentation Animale) et l’AFTAA (Association Française des Techniciens de l’Alimentation Animale). Le thème de cette journée était "Que penser des normes étrangères pour les VHP ?" Ce sujet avait été retenu parce que, grâce aux progrès des circuits d’information, les différents partenaires des filières animales ont un accès facile aux systèmes alimentaires pratiqués à l’étranger. De ce fait, un certain nombre d’entre eux s’interrogent, en toute logique, sur les qualités respectives des systèmes d’unités proposés dans différents pays et quelques uns d’entre eux ont même décidé "d’adopter" un système étranger, comme on achète un téléviseur japonais ou une voiture allemande. Ce type de comportement, admissible au niveau de l’individu ou au niveau de l’entreprise, pour un matériel par exemple, peut avoir des effets pervers lorsqu’il s’agit des unités d’alimentation. En effet, les règles d’usage et légales appliquées dans un pays ne peuvent s’appuyer que sur un langage clair et commun. En outre, on imagine le désarroi de l’éleveur, déjà sollicité à consommer de multiples intrants aux différents niveaux de son exploitation, qui verrait défiler des partenaires se recommandant chacun de tel ou tel système étranger. De grâce, soyons sérieux et raisonnables, l’élevage laitier français de 1992 n’a pas besoin d’un tel facteur de pertubation supplémentaire. Au cours des dernières décennies les chercheurs de l’INRA ont, sous l’impulsion de R. Jarrige, réalisé un effort coordonné unique au monde pour mettre au point, en 1978, et réviser, en 1988, des systèmes d’unités d’alimentation originaux et intégrant les dernières avancées de la recherche. Les chercheurs étrangers qui se sont penchés sur les systèmes INRA sont unanimes pour en reconnaître la qualité. Voici deux illustrations concrètes récentes, prises parmi d’autres, de leurs avis : D. Mertens, chercheur américain connu pour ses travaux et recommandations sur l’ingestion, s’est déclaré enchanté fin 1991 par "l’intelligence et la richesse" du système des unités d’encombrement. Il réfléchit actuellement sur la manière d’en intégrer les concepts dans des recommandations "made in USA". Les chercheurs des Pays-Bas, en particulier S. Tamminga, qui ont toujours conduit une recherche soutenue et de qualité en nutrition des ruminants, viennent de décider d’adopter le système PDI à quelques modifications mineures près. En cela ils suivent des décisions comparables des collègues espagnols, italiens, suisses, belges,... et il est probable qu’un système commun européen d’unités azotées qui, nous l’espérons, verra le jour avant l’an 2000, sera à forte coloration PDI ! Les articles de P. Faverdin, M. Vermorel et J.B. Coulon, F. Meschy et L. Guéguen, réalisent des études comparées des différents systèmes proposés pour raisonner l’ingestion, les apports énergétiques et en minéraux dans le cas des vaches laitières. Ces approches sont originales et ont été conduites avec une grande rigueur et une parfaite objectivité. Leur lecture permet donc de bien faire le point de la situation internationale vis-à-vis de ces systèmes ; elle permet également de se rendre compte que la situation actuelle n’a rien de figé, que l’effort de recherche se poursuit et que des progrès sont encore à venir d’ici la fin du siècle. Les chercheurs ont d’ailleurs déjà dans leurs cartons d’autres systèmes d’unités d’alimentation. Ainsi, une journée d’information était organisée le 26 février 1992, avec le même public, sur le futur "système acides aminés" qui permettra d’être encore plus précis que les PDI. D’autre part, si le besoin s’en fait sentir, en particulier en raison de la nouvelle PAC, les chercheurs de l’INRA pourraient mettre au point des systèmes permettant de mieux raisonner des problèmes tels que la supplémentation en matières grasses ou la fibrosité des rations. Ces différents aspects montrent clairement que dans le monde des sciences agronomiques appliquées, la France se place en fait en position d’exportateur et non d’importateur de systèmes d’unités d’alimentation. Une force motrice essentielle des progrès futurs sera vraisemblablement la diversité croissante des contraintes et des critères d’évaluation de la production animale. En effet, partant d’une situation où l’efficacité alimentaire était l’objectif dominant, on est amené à intégrer progressivement d’autres paramètres : la composition et la qualité du produit élaboré, le rejet de matières d’origine nutritionnelle susceptible de contribuer à la pollution de zones à forte densité d’élevage, le risque pathologique, le bien-être de l’animal... Tout ceci signifie que l’usage classique des systèmes d’unités consistant à calculer la ration à partir des besoins alimentaires, eux-mêmes étroitement dépendants des niveaux de production, devra être à l’avenir progressivement complété par une meilleure prise en compte des lois de réponse des vaches laitières aux variations de leur régime alimentaire.
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Izquierdo Benito, Ricardo. "Alfonso X: un rey ante la historia." Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 11 (June 22, 2022): 533–47. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2022.11.26.

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Abstract:
RESUMENEl año 2021 se ha cumplido el VIII centenario del nacimiento del rey Alfonso X, acontecimiento que tuvo lugar en la ciudad de Toledo el 23 de noviembre de 1221. Nos encontramos ante la figura de uno de los reyes medievales hispanos de mayor relevancia, tanto por las ideas políticas innovadoras que intentó aplicar, aunque no lo consiguió, como, sobre todo, por la gran actividad intelectual que bajo su patronazgo se llevó entonces a cabo y que le ha merecido el apelativo de Sabio como es conocido. Son muchos los historiadores que, desde distintas ópticas (el Arte, el Derecho, la Astronomía, la Música, la Literatura, etcétera) se han acercado a su figura, lo que ha repercutido en que contemos con una bibliografía muy numerosa y de una gran variedad temática. Palabras clave: Historiografía, Imperio alemán, Partidas, Cantigas, Toledo.Topografía: Castilla y León.Periodo: siglo XIII ABSTRACTThe year 2021 has been the eighth centenary of the birth of King Alfonso X, an event that took place in the city of Toledo on November 21, 1221. We are faced with the figure of one of the most important Hispanic medieval kings both for the innovative political ideas that he tried to apply, although he did not succeed, as, above all, because of the great intellectual activity that took place under his patronage then and that has earned him the nickname of Wise as he is known. There are many historians who, from different perspectives (Art, Law, Astronomy, Music, Literature, etc.) have approached his figure, which has resulted in our having a very numerous bibliography and a great thematic variety. Keywords: Historiography, German Empire, Partidas, Cantigas, ToledoToponyms: Castilla y LeónPeriod: 13th century REFERENCIASÁlvarez Martínez, R. 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Acquier, Marie-Laure. "La prose d’idées espagnole et le paradigme de l’économie domestique ou l’économie dans la littérature (XVIe-XVIIe siècles)." Cahiers de Narratologie, no. 18 (July 9, 2010). http://dx.doi.org/10.4000/narratologie.6063.

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Mateus Mora, Angélica. "Intimités et violences : l’intimité conjugale violente et la destruction de l’intimité personnelle." Revista Psicologia e Saúde, July 2, 2014. http://dx.doi.org/10.20435/pssa.v6i1.332.

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Abstract:
L’écrivaine espagnole Mercedes Pinto publie dans l’exil en 1926 le récit littéraire Él. L’auteure décrit une relation conjugale très marquée par une asymétrie de pouvoir entre une épouse dominée et un mari paranoïaque, misanthrope et narcissique. En privilégiant la violence psychique, Luis Buñuel en fait, en 1952, l’objet d’une adaptation cinématographique. Ces deux récits, littéraire et cinématographique, de l’intimité conjugale violente, qui ne peuvent pas être dissociés du contexte social dans lequel ils ont été produits, ne se limitent pas à représenter la violence dans l’intime : ils décrivent également une forme d’intimité conjugale qui est en elle-même et par elle même violence. L’analyse de ces deux représentations de l’intimité conjugale violente permet de caractériser cette forme d’intimité du couple comme un type de relation dans lequel l’intimité se transforme en enfermement ou privation du lien social. Par ailleurs, en distinguant deux niveaux de l’intimité – l’intimité à deux et l’intimité personnelle- l’analyse permet d’établir la signification violente de la logique d’enferment qui, dans sa forme la plus radicale, aboutit à la destruction de l’intimité personnelle. Du patriarcat à la Féminitude: violence sexuelle et conflits de genre dans la prose romanesque de Calixthe Beyala. Mots-clés: Intimité; Violences ; Femmes; Relation conjugale.
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"Grippe espagnole l'immunité innée prise en défaut." Revue Francophone des Laboratoires 2007, no. 391 (April 2007): 19. http://dx.doi.org/10.1016/s1773-035x(07)80123-7.

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"quelle prise en charge de l'otite en Espagne?" Journal de Pédiatrie et de Puériculture 9, no. 8 (1996): 504–5. http://dx.doi.org/10.1016/s0987-7983(97)85079-7.

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Bolzman, Claudio. "Familles espagnoles et italiennes en Suisse et transition vers la vie adulte." Enfances, Familles, Générations, no. 6 (October 4, 2007). http://dx.doi.org/10.7202/016482ar.

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Abstract:
Résumé Dans cet article, nous nous intéressons particulièrement à la transition entre jeunesse et vie adulte dans le domaine familial. Une recherche réalisée en Suisse auprès d’enfants d’Espagnols et d’Italiens issus des classes populaires permet de comprendre les modalités de cette transition pour ces populations. La comparaison avec un groupe contrôle composé d’enfants de Suisses issus d’un milieu social proche permet de saisir les spécificités de la transition pour les enfants d’immigrés sur le plan familial, alors que sur les plans de la formation et de l’emploi il existe de grandes similitudes entre les deux populations. Quatre dimensions principales sont abordées: la durée de la cohabitation entre parents et enfants et les expériences de vie indépendante de ces derniers, différentes questions liées au mariage et à l’arrivée des enfants, la gestion des tâches quotidiennes et de la prise de décision par le couple, les liens intergénérationnels entre parents et enfants après le départ de ces derniers du foyer parental.
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Simon, Nicolas. "Chacun pour soi(e) ? Lobbying, stratégies économiques et commerce international dans le secteur de la soie aux Pays-Bas espagnols (1618)." C@hiers du CRHIDI, 2016. http://dx.doi.org/10.25518/1370-2262.327.

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Abstract:
En mars 1618 fut promulguée, dans les Pays-Bas espagnols, une ordonnance interdisant l’importation de soies issues de territoires étrangers, c’est-à-dire non soumis à la juridiction des archiducs Albert et Isabelle. Cette ordonnance n’est pas la première du genre puisqu’un précédent acte avait déjà été promulgué en 1606 à la suite d’une requête envoyée par la ville d’Anvers et le métier des merciers de cette même ville. Plus globalement, l’acte de 1618 s’intègre dans la logique des ordonnances dites somptuaires visant à réglementer les habillements jugés trop luxueux. À la suite de l’ordonnance de mars 1618, une campagne de lobbying est menée par deux parties opposées. D’un côté se trouvent les marchands, adversaires de l’interdiction d’importer des soies étrangères. Aux antipodes de cette position se trouvent les préparateurs de la soie de cités flamandes et brabançonnes pour qui l’interdiction signifie la possibilité d’écouler plus facilement le fruit de leur labeur. La présente contribution se propose d’analyser le contexte particulier dans lequel fut prise cette ordonnance de même que l’argumentation et les stratégies narratives utilisées par les préparateurs de soie dans leur requête.
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Trédez-Lopez, Mélanie. "De la rue Copernic au Quai d’Orsay : regards croisés sur la prise en charge des réfugiés espagnols en France (1945-1960)." Cahiers de civilisation espagnole contemporaine, no. 23 (December 26, 2019). http://dx.doi.org/10.4000/ccec.8665.

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Nuq, Amélie. "« Combattre les perversions morales qui les ont poussées au mal » : la prise en charge de la déviance féminine par le tribunal pour mineurs de Valence (Espagne, 1939-1958)." Les Cahiers de Framespa, no. 7 (April 19, 2011). http://dx.doi.org/10.4000/framespa.710.

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De Redacción, Consejo. "¡Europa!, a pesar de todo. Una estrategia realista." Revista de Fomento Social, June 30, 2017, 139–56. http://dx.doi.org/10.32418/rfs.2017.286.1421.

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Abstract:
L Europe résiste malgré tout. Malgré le fait que dans un passé non lointain deux référendums, qui avaient eu lieu en France ainsi qu aux défis de la nouvelle réalité mondiale et à l hégémonie émergente de certaines grandes puissances. L événement marquant du «brexit» a provoqué une prise de conscience des Européens. Ce qui en reste est l image d une Union Européenne remplie d aspects négatifs: déficit démocratique structurel, bureaucratie hautaine, institutions bloquées, processus complexes de prise de décisions et une vague de populismes de différents bords qui ne cherchent que la destruction du système de l Union Européenne. Pour les critiques et les plus apocalyptiques, L Europe serait, d un point de vue géostratégique, un net perdant de «l hyper mondialisation », puisque l axe franco allemand ne marche plus depuis longtemps. Cela, ajouté à son manque de démocratie et de transparence et à son incapacité à faire face et aux Pays Bas, avaient servi à bloquer le processus de ratification du projet de la Constitution Européenne, celui ci a été postérieurement repris dans le Traité de Lisbonne, dans lequel sont présents les aspects les plus essentiels du projet constitutionnel ayant échoué. Les «apocalyptiques» croient que le «brexit» est le prélude d une très prochaine disparition de l UE, incapable de faire face à la crise économique et à ses conséquences sociales, à la catastrophe humanitaire des réfugiés syriens, pourrait nous faire nous demander si la construction européenne sera capable de s en sortir avec l imagination dont elle a fait preuve après les successives et périodiques crises qu elle a vécues. Après la description de quelques éléments de la crise actuelle de l UE, l éditorial pose la question suivante : les valeurs fondatrices de l Union Européenne ont elles changé ? Notre éditorial s inscrit dans la réflexion de cette revue sur l Europe, commencée il y a quelques années (les titres des éditoriaux se trouvent dans le tableau récapitulatif final). Il y a cinq ans nous sommes prononcés sur la construction européenne, en faveur de la consolidation, le développement et l approfondissement du système constitutionnel européen d Économie sociale de marché.Nous avons alors voulu promouvoir la resocialisation du projet européen avec de nouvelles énergies, avec une nouvelle clarté et une nouvelle passion tournée vers l Europe. Pour sortir de l impasse actuelle, L UE doit se libérer de cet unique modèle de capitalisme néolibéral qui est précisément à l origine de la crise actuelle. Après l introduction, nous abordons les institutions européennes et leurs résultats, ainsi que ceux produits par les politiques agraires et de cohésion régionale, souvent ignorées ou réduites au silence. Bien sûr, nous n oublions pas les aspects les plus problématiques ou négatifs, plus particulièrement la réponse insuffisante de l Europe face à la grave crise humanitaire syrienne, qui nous remet en cause face au monde et face à nous mêmes. Si la capacité de réponse des gouvernements des grandes puissances face aux grandes crises est aussi limitée, comme nous pouvons le remarquer actuellement, l UE n en est pas une exception. Cependant, dans la quatrième partie, nous présentons les défis auxquels l Europe doit faire face, avec quelques références aux politiques espagnoles développées à partir de l acquis ommunautaire.Dans la cinquième partie et dans la conclusion, nous affirmons que l UE est une réalité institutionnelle pleinement consolidée depuis longtemps, un système d économie sociale de marché hautement compétitif et solidaire et qui est capable de s insérer dans un système de gouvernance démocratique dans un monde hyper mondialisé. L Europe peut conjuguer une mondialisation modérée, une démocratie comme système et le maintien des États. Voici notre conviction : L UE est face à une stratégie réaliste possible et doit miser pleinement sur elle. C est pour cela que nous pouvons dire, malgré tout, L Europe!
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Baurin, Arno, and Jean Hindriks. "Numéro 151 - octobre 2019." Regards économiques, October 22, 2019. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2019.10.22.01.

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Abstract:
Une opinion publique favorableLes décisions d’augmenter l’âge légal à la pension et de «durcir» les conditions de carrière et d’âge pour accéder à la pension anticipée ont remis au centre de la concertation sociale la question de la pénibilité des métiers. Des sondages révèlent que plus de 80 % de la population est favorable à la prise en compte de la pénibilité dans la détermination des conditions d’accès à la pension. La question se pose alors de savoir comment identifier les métiers pénibles. C’est difficile mais ce n’est pas impossible. Quels critères utiliser ?Si l’on regarde les autres pays européens, on doit admettre que la liste des métiers pénibles est parfois folklorique : les toreros en Espagne, les danseurs (sirtaki) en Grèce ou les musiciens jouant d’instrument à vent en Pologne. En Belgique, le rapport des conciliateurs Soete et de Callataÿ mentionne que les partenaires sociaux s’accordent sur le fait que «les éléments de pénibilité doivent être établis de façon objective, mesurable, contrôlable et facilement enregistrable».Deux approches distinctes peuvent être utilisées : une approche (directe) basée sur les conditions de travail, et une approche (indirecte) basée sur l’impact du métier sur la santé et la mortalité. La pénibilité sur base des conditions travailL’approche directe des conditions de travail est la voie qui avait été suivie par le gouvernement Michel Ier. Quatre critères avaient été définis par les partenaires sociaux : le travail physique lourd, l’organisation du travail pesante (en équipe, travail de nuit), les risques pour la sécurité accrus et la charge mentale et émotionnelle. Il avait été établi que si la profession répondait à un (resp., deux, trois) de ces critères, la durée de carrière requise pour une pension anticipée serait réduite de 5 % (resp. 10 %, 15 %). Cette réforme est aujourd’hui dans une impasse.Cette approche est selon nous inadéquate et mène à des discussions sans fin sur la pondération entre les différents critères.Nous proposons donc l’approche indirecte qui offre un raccourci en se limitant à objectiver l’impact du métier sur la santé. Juger de la pénibilité d’un métier sans regarder son incidence sur la santé c’est comme juger de la qualité d’un plat sans le goûter. La pénibilité sur base de la mortalitéNotre premier indicateur consiste à identifier les emplois avec un risque de mortalité élevé. Concrètement, nous utilisons une base de données américaine qui comporte 1.835.072 individus et renseigne leurs niveaux de salaire, d’études ainsi que leurs professions au moment de l’enquête, rassemblées en 91 «groupes de métiers». Ces personnes sont suivies durant 11 années afin de répertorier leurs (éventuelles) dates de décès. Nous observons 160.750 décès, ce qui signifie que91,24 % des individus sont encore en vie à la fin du suivi. Nos résultats montrent qu’il existe un différentiel substantiel de longévité entre différents métiers à âge équivalent. Par exemple, si l’on considère l’espérance de vie d’un homme à 25 ans, nos résultats révèlent que les serveurs, les infirmiers, les militaires ou les métallurgistes ont une longévité sensiblement plus faible (7 ans de moins) que les enseignants, les ingénieurs ou les architectes. On pourrait penser que ce résultat est lié aux différences de revenus ou de genre. Mais si l’on tient compte de ces différences entre métiers nous obtenons une même hiérarchie avec le métier d’enseignant dont la pénibilité relative n’est pas avérée. La pénibilité sur base de la santéL’espérance de vie n’est pas suffisante pour évaluer la pénibilité; car l’espérance de vie en bonne santé (morbidité) est aussi importante. Cependant, contrairement à la mortalité, celle-ci est plus difficile à appréhender. Nous utilisons dans notre analyse la santé autoévaluée (SAE) qui se base sur la question «Comment évaluez-vous votre santé ?» sur une échelle comportant 5 réponses (très bonne, bonne, moyenne, mauvaise et très mauvaise). Nous utilisons une base de donnée européenne qui contient 43.850 individus, avec leur métier, leur niveau d’études, leur salaire et leur SAE. Nous estimons la probabilité de se déclarer en bonne/très bonne santé pour un métier donné (par rapport à une profession de référence), en tenant compte de l’effet sur la santé d’autres facteurs comme le genre, l’âge, le niveau d’études, le salaire et le statut d’indépendant. Nos résultats révèlent par exemple que par rapport aux enseignants, les agriculteurs ou travailleurs du bâtiment ont 41 % moins de chances de se déclarer en bonne santé, les métallurgistes ou techniciens de surface 35% moins de chances, et les policiers ou services de protection 20 % moins de chances.Il convient de préciser que nos résultats sont partiels car faute de données plus exhaustives et détaillées nous ne pouvons distinguer la pénibilité de certains métiers. Nos résultats sont aussi basés sur des données américaines et européennes car nous n’avons pu, à ce stade, nous procurer les données belges. C’est donc un appel à la poursuite de cette analyse de la pénibilité basée sur des données belges de santé et de mortalité. En Belgique les données nécessaires à cette analyse existent via la Banque Carrefour de la Sécurité Sociale. Il faut aussi préciser que la pénibilité varie dans le temps et l’espace et que les indicateurs de pénibilité doivent être recalculés selon la situation et l’époque dans lesquelles ils sont utilisés. Etre policier en période d’alerte terroriste ne présente pas le même risque qu’être policier en temps normal.
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Labrecque, Marie France. "Féminicide." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.011.

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Abstract:
Le recours au terme féminicide, dans son sens premier, a pour but de souligner la spécificité de certains meurtres de femmes. Ce premier sens rejoint celui du terme anglais femicide utilisé et diffusé largement à partir des années 1990. La définition la plus élémentaire est celle selon laquelle le femicide est le meurtre misogyne de femmes par des hommes (Radford et Russell 1992: xi). L’évènement emblématique correspondant à cette définition est celui des meurtres de l’École polytechnique de l’Université de Montréal, le 6 décembre 1989, alors que 14 femmes ont été ciblées explicitement parce qu’elles étaient des femmes et abattues par un homme qui, sur le site même, s’est donné la mort. Plus précisément, comme l’écriront Caputi et Russell (1992: 15), le femicide est le point d’aboutissement ultime d’un continuum de violence et de terreur incluant une large variété d’abus verbaux et physiques, et s’exerçant spécifiquement à l’endroit des femmes. En d’autres termes, on peut parler de femicide lorsque le viol, par exemple, ou encore l’esclavage sexuel, l’inceste, l’hétérosexualité forcée, les mutilations génitales ou celles effectuées au nom de la beauté comme la chirurgie esthétique, provoquent la mort d’une femme. Cette définition est encore largement utilisée, particulièrement dans le monde anglo-saxon, et elle demeure fondamentale. Cependant, il est possible et souhaitable d’y ajouter d’autres dimensions qui relèvent davantage de la structure sociale plus large, notamment en y introduisant plus explicitement le concept de genre. Il revient aux latino-américaines d’avoir proposé des définitions qui tiennent compte de ces dimensions en même temps qu’elles ont imposé le terme féminicide, une traduction littérale du terme espagnol feminicidio. Pour des auteures comme Fregoso et Bejarano (2010), l’adhésion au terme féminicide plutôt que fémicide, est une posture politique qui reconnaît l’apport du « Sud global », c’est-à-dire l’apport des chercheures et activistes de cette région du monde. Ainsi, la Mexicaine et ex-députée du Parti de la révolution démocratique, Marcela Lagarde, considère que le féminicide est une forme extrême de violence de genre. Trois facteurs sont à l’œuvre et se combinent pour rendre possible le féminicide : premièrement, le manque de respect des droits humains des femmes, notamment en ce qui a trait à leur sécurité; deuxièmement, l’impunité dont bénéficient les meurtriers et, troisièmement, l’irresponsabilité des autorités et surtout de l’État. Elle affirme même que le féminicide est un crime d’État (Lagarde 2010: xxiii). La posture de Lagarde découle dans une large mesure du cas de la ville de Ciudad Juárez au Mexique (voir également Labrecque 2012). Il s’agit d’une ville située à la frontière entre le Mexique et les États-Unis où, entre le milieu des années 1990 et 2006, moment où Lagarde a énoncé sa définition du féminicide, il s’était produit plus de 300 meurtres de femmes, ce qui représentait une proportion plus élevée que dans des villes au profil équivalent. Les meurtres à Ciudad Juárez ont tôt fait de marquer l’imaginaire collectif, surtout parce que les cadavres étaient retrouvés sur les terrains vagues ou dans le désert, que les femmes avaient été violées et torturées, et que leur corps avait été cruellement mutilé. C’est d’ailleurs ce qu’une chercheuse comme Monárrez Fragoso a appelé le « féminicide sexuel systémique », le distinguant du même coup du féminicide intime (évitant ainsi le détournement de sens que produit l’expression « crime passionnel »), et aussi du féminicide en raison d’occupations risquées ou stigmatisées. Ces distinctions entre les divers types de féminicides, et globalement leur différenciation d’avec les assassinats de femmes plus généralement, ont une finalité juridique, soit de faire en sorte que les coupables soient punis de façon spécifique (Monárrez Fragoso 2009: 10). Certes, tous les meurtres de femmes commis dans le monde ne sont pas des féminicides et il importe de tenir compte du contexte dans lequel ces meurtres se produisent. Dans certains pays, il règne une violence structurelle qui se traduit par toutes sortes d’autres types de violence y compris à l’intérieur des foyers. Or la sécurité des citoyens en général et celle des femmes en particulier relève de l’État. Dans la mesure où la violence structurelle est tolérée ou même provoquée et entretenue par l’État, on peut affirmer que ce dernier porte la responsabilité des meurtres de femmes, qu’ils se produisent dans des lieux publics ou au sein de leur foyer. On voit que la ligne de démarcation entre les féminicides et les meurtres de femmes est souvent très ténue ou même inexistante selon le contexte. Si on peut attribuer au déficit d’État le fait que des pays comme le Salvador, la Jamaïque, le Guatemala et l’Afrique du sud présentent les taux les plus élevés de féminicides au monde (Small Arms Survey 2012), comment expliquer qu’il s’en produise dans des pays développés comme, notamment, le Canada? La Gendarmerie royale du Canada, à partir de données d’abord colligées par l’Association des femmes autochtones du Canada (AFAC 2010), a confirmé qu’entre 1980 et 2014, quelque 1049 femmes autochtones avaient été tuées et 174 étaient disparues (GRC 2015). Comparés aux moyennes nationales, ces données révèlent notamment que le taux d’homicides chez les femmes autochtones du Canada est sept fois plus élevé que chez les femmes non-autochtones. L’État canadien est certes un État de droit, il n’en comporte pas moins certaines caractéristiques patriarcales et coloniales héritées des siècles antérieurs. La plupart des Premières nations du Canada sont encore régies par la Loi sur les Indiens émise en 1867. Bien que les articles discriminatoires à l’égard des femmes aient été amendés, l’esprit de la loi continue de planer au-dessus de ces dernières de sorte que leur vie semble valoir moins que celle de leurs consœurs non-autochtones. En d’autres termes, en plus du facteur « genre », les facteurs « classe » et « race » - celle-ci étant entendue comme construction sociale – sont à l’œuvre. En somme, les définitions du féminicide ouvrent sur deux voies convergentes et complémentaires : celle de l’analyse intersectionnelle de la violence qui se base sur la prise en compte simultanée de la classe, du genre et de la race, et celle des revendications sur le plan légal et institutionnel qui confrontent plus directement l’État. Cette dernière voie a ses exigences propres, dont celle de l’urgence : on a certes besoin de la recherche et de l’analyse pour comprendre ce qui se passe, mais on a également besoin d’outils pratiques (tels que des législations) pour dénoncer les crimes et exiger réparation. En ce sens, depuis 2010, le féminicide a été défini comme un crime spécifique dans le code pénal d’un certain nombre de pays en Amérique latine. Il s’agit là d’une avancée remarquable pour les femmes, mais elle est de loin insuffisante sur les plans de l’équité et l’égalité de genre
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Gagné, Natacha. "Anthropologie et histoire." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.060.

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Abstract:
On a longtemps vu l’histoire et l’anthropologie comme deux disciplines très distinctes n’ayant pas grand-chose en partage. Jusqu’au début du XXe siècle, l’histoire fut essentiellement celle des « civilisés », des Européens et donc des colonisateurs. Si les colonisés n’étaient pas complètement absents du tableau, ils étaient, au mieux, des participants mineurs. L’anthropologie, pour sa part, s’est instituée en ayant pour objet la compréhension des populations lointaines, les « petites sociétés », autochtones et colonisées, ces populations vues comme hors du temps et de l’histoire. Cette situation était le produit d’une division traditionnelle (Harkin 2010 : 114) – et coloniale (Naepels 2010 : 878) – du travail entre histoire et anthropologie. Celle-ci se prolongeait dans le choix des méthodes : les historiens travaillaient en archives alors que les anthropologues s’intéressaient aux témoignages oraux et donc, s’adonnaient à l’enquête de terrain. Les deux disciplines divergeaient également quant à la temporalité : « Pour l’histoire, (…) le temps est une sorte de matière première. Les actes s’inscrivent dans le temps, modifient les choses tout autant qu’ils les répètent. (…) Pour l’anthropologue, s’il n’y prend garde, le temps passe en arrière-plan, au profit d’une saisie des phénomènes en synchronie » (Bensa 2010 : 42). Ces distinctions ne sont plus aujourd’hui essentielles, en particulier pour « l’anthropologie historique », champ de recherche dont se revendiquent tant les historiens que les anthropologues, mais il n’en fut pas de tout temps ainsi. Après s’être d’abord intéressés à l’histoire des civilisations dans une perspective évolutionniste et spéculative, au tournant du siècle dernier, les pères de l’anthropologie, tant en France (Émile Durkheim, Marcel Mauss), aux États-Unis (Franz Boas), qu’en Angleterre (Bronislaw Malinowski, Alfred Radcliffe-Brown), prendront fermement leur distance avec cette histoire. Les questions de méthode, comme le développement de l’observation participante, et l’essor de concepts qui devinrent centraux à la discipline tels que « culture » et « fonction » furent déterminants pour sortir de l’idéologie évolutionniste en privilégiant la synchronie plutôt que la diachronie et les généalogies. On se détourna alors des faits uniques pour se concentrer sur ceux qui se répètent (Bensa 2010 : 43). On s’intéressa moins à l’accidentel, à l’individuel pour s’attacher au régulier, au social et au culturel. Sans être nécessairement antihistoriques, ces précepteurs furent largement ahistoriques (Evans-Pritchard 1962 : 172), une exception ayant été Franz Boas – et certains de ses étudiants, tels Robert Lowie ou Melville J. Herskovits – avec son intérêt pour les contacts culturels et les particularismes historiques. Du côté de l’histoire, on priorisait la politique, l’événement et les grands hommes, ce qui donnait lieu à des récits plutôt factuels et athéoriques (Krech 1991 : 349) basés sur les événements « vrais » et uniques qui se démarquaient de la vie « ordinaire ». Les premiers essais pour réformer l’histoire eurent lieu en France, du côté des historiens qui seront associés aux « Annales », un nom qui réfère à la fois à une revue scientifique fondée en 1929 par Marc Bloch et Lucien Febvre et à une École d’historiens français qui renouvela la façon de penser et d’écrire l’histoire, en particulier après la Seconde Guerre mondiale (Krech 1991; Schöttler 2010). L’anthropologie et la sociologie naissantes suscitèrent alors l’intérêt chez ce groupe d’historiens à cause de la variété de leurs domaines d’enquête, mais également par leur capacité à enrichir une histoire qui n’est plus conçue comme un tableau ou un simple inventaire. Les fondateurs de la nouvelle École française des Annales décrivent leur approche comme une « histoire totale », expression qui renvoie à l’idée de totalité développée par les durkheimiens, mais également à l’idée de synthèse du philosophe et historien Henry Berr (Schöttler 2010: 34-37). L’histoire fut dès lors envisagée comme une science sociale à part entière, s’intéressant aux tendances sociales qui orientent les singularités. L’ouvrage fondateur de Marc Bloch, Les rois thaumaturges (1983 [1924]), pose les jalons de ce dépassement du conjoncturel. Il utilise notamment la comparaison avec d’autres formes d’expériences humaines décrites notamment dans Le Rameau d’Or (1998 [1924; 1890 pour l’édition originale en anglais]) de James G. Frazer et explore le folklore européen pour dévoiler les arcanes religieux du pouvoir royal en France et en Angleterre (Bensa 2010; Goody 1997). Il s’agit alors de faire l’histoire des « mentalités », notion qui se rapproche de celle de « représentation collective » chère à Durkheim et Mauss (sur ce rapprochement entre les deux notions et la critique qui en a été faite, voir Lloyd 1994). Les travaux de la deuxième génération des historiens des Annales, marqués par la publication de l’ouvrage de Fernand Braudel La Méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II en 1949 et de son arrivée en 1956 à la direction de la revue, peuvent encore une fois mieux se comprendre dans l’horizon du dialogue avec l’anthropologie, d’une part, et avec les area studiesqui se développèrent aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, de l’autre (Braudel 1958). Le projet est de rapporter « la spécificité des acteurs singuliers, des dates et des événements à des considérations plus vastes sur la transformation lente des mœurs et des représentations. Le travail ne consiste pas seulement à capter au projet de l’histoire des rubriques chères à l’anthropologie, mais aussi à caractériser une époque [et une région] par sa façon de percevoir et de penser le monde » (Bensa 2010 : 46). Il s’agit alors de faire l’histoire des structures, des conjonctures et des mentalités (Schöttler 2010 : 38). Les travaux de cette deuxième génération des Annales s’inscrivent dans un vif débat avec l’anthropologie structuraliste de Claude Lévi-Strauss. Si tant Braudel que Lévi-Strauss voulaient considérer les choses de façon globale, Lévi-Strauss situait la globalité dans un temps des sociétés des origines, comme si tout s’était joué au départ et comme si l’histoire n’en serait qu’un développement insignifiant. Pour sa part, Braudel, qui s’intéressait à l’histoire sérielle et à la longue durée, situait plutôt la globalité dans un passé qui sert à comprendre le présent et, jusqu’à un certain point, à prévoir ce qui peut se passer dans le futur. Ce qui constitue le fond de leur opposition est que l’un s’intéresse à l’histoire immobile alors que l’autre s’intéresse à l’histoire de longue durée, soit l’histoire quasi immobile selon laquelle, derrière les apparences de la reproduction à l’identique, se produisent toujours des changements, même très minimes. Dans les deux cas, l’ « événementiel » ou ce qui se passe à la « surface » sont à l’opposé de leur intérêt pour la structure et la profondeur, même si ces dernières ne sont pas saisies de la même façon. Pour Braudel, la structure est pleinement dans l’histoire ; elle est réalité concrète et observable qui se décèle notamment dans les réseaux de relations, de marchandises et de capitaux qui se déploient dans l’espace et qui commandent les autres faits dans la longue durée (Dosse 1986 : 89). Les travaux de Braudel et son concept d’ « économie-monde » inspireront plusieurs anthropologues dont un Marshall Sahlins et un Jonathan Friedman à partir du tournant des années 1980. Pour Lévi-Strauss, la structure profonde, celle qui correspond aux enceintes mentales humaines, « ne s’assimile pas à la structure empirique, mais aux modèles construits à partir de celle-ci » (Dosse 1986 : 85). Elle est donc hors de l’histoire. Comme le rappelait François Hartog (2014 [2004] : 287), Lévi-Strauss a souvent dit « rien ne m’intéresse plus que l’histoire. Et depuis fort longtemps! » (1988 : 168; voir d’ailleurs notamment Lévi-Strauss 1958, 1983), tout en ajoutant « l’histoire mène à tout, mais à condition d’en sortir » (Lévi-Strauss 1962 : 348) ! Parallèlement à l’entreprise déhistoricisante de Lévi-Strauss, d’autres anthropologues insistent au contraire à la même époque sur l’importance de réinsérer les institutions étudiées dans le mouvement du temps. Ainsi, Edward E. Evans-Pritchard, dans sa célèbre conférence Marett de 1950 qui sera publiée en 1962 sous le titre « Anthropology and history », dénonce le fait que les généralisations en anthropologie autour des structures sociales, de la religion, de la parenté soient devenues tellement généralisées qu’elles perdent toute valeur. Il insiste sur la nécessité de faire ressortir le caractère unique de toute formation sociale. C’est pour cette raison qu’il souligne l’importance de l’histoire pour l’anthropologie, non pas comme succession d’événements, mais comme liens entre eux dans un contexte où on s’intéresse aux mouvements de masse et aux grands changements sociaux. En invitant notamment les anthropologues à faire un usage critique des sources documentaires et à une prise en considération des traditions orales pour comprendre le passé et donc la nature des institutions étudiées, Evans-Pritchard (1962 : 189) en appelle à une combinaison des points de vue historique et fonctionnaliste. Il faut s’intéresser à l’histoire pour éclairer le présent et comment les institutions en sont venues à être ce qu’elles sont. Les deux disciplines auraient donc été pour lui indissociables (Evans-Pritchard 1962 : 191). Au milieu du XXe siècle, d’autres anthropologues s’intéressaient aux changements sociaux et à une conception dynamique des situations sociales étudiées, ce qui entraîna un intérêt pour l’histoire, tels que ceux de l’École de Manchester, Max Gluckman (1940) en tête. En France, inspiré notamment par ce dernier, Georges Balandier (1951) insista sur la nécessité de penser dans une perspective historique les situations sociales rencontrées par les anthropologues, ce qui inaugura l’étude des situations coloniales puis postcoloniales, mais aussi de l’urbanisation et du développement. Cette importance accordée à l’histoire se retrouva chez les anthropologues africanistes de la génération suivante tels que Jean Bazin, Michel Izard et Emmanuel Terray (Naepels 2010 : 876). Le dialogue entre anthropologie et histoire s’est développé vers la même époque aux États-Unis. Après le passage de l’Indian Claims Commission Act en 1946, qui établit une commission chargée d’examiner les revendications à l’encontre de l’État américain en vue de compensations financières pour des territoires perdus par les nations autochtones à la suite de la violation de traités fédéraux, on assista au développement d’un nouveau champ de recherche, l’ethnohistoire, qui se dota d’une revue en 1954, Ethnohistory. Ce nouveau champ fut surtout investi par des anthropologues qui se familiarisèrent avec les techniques de l’historiographie. La recherche, du moins à ses débuts, avait une orientation empirique et pragmatique puisque les chercheurs étaient amenés à témoigner au tribunal pour ou contre les revendications autochtones (Harkin 2010). Les ethnohistoriens apprirent d’ailleurs à ce moment à travailler pour et avec les autochtones. Les recherches visaient une compréhension plus juste et plus holiste de l’histoire des peuples autochtones et des changements dont ils firent l’expérience. Elles ne manquèrent cependant pas de provoquer un certain scepticisme parmi les anthropologues « de terrain » pour qui rien ne valait la réalité du contact et les sources orales et pour qui les archives, parce qu’étant celles du colonisateur, étaient truffées de mensonges et d’incompréhensions (Trigger 1982 : 5). Ce scepticisme s’estompa à mesure que l’on prit conscience de l’importance d’une compréhension du contexte historique et de l’histoire coloniale plus générale pour pouvoir faire sens des données ethnologiques et archéologiques. L’ethnohistoire a particulièrement fleuri en Amérique du Nord, mais très peu en Europe (Harkin 2010; Trigger 1982). On retrouve une tradition importante d’ethnohistoriens au Québec, qu’on pense aux Bruce Trigger, Toby Morantz, Rémi Savard, François Trudel, Sylvie Vincent. L’idée est de combiner des données d’archives et des données archéologiques avec l’abondante ethnographie. Il s’agit également de prendre au sérieux l’histoire ou la tradition orale et de confronter les analyses historiques à l’interprétation qu’ont les acteurs de l’histoire coloniale et de son impact sur leurs vies. La perspective se fit de plus en plus émique au fil du temps, une attention de plus en plus grande étant portée aux sujets. Le champ de recherche attira graduellement plus d’historiens. La fin des années 1960 fut le moment de la grande rencontre entre l’anthropologie et l’histoire avec la naissance, en France, de l’« anthropologie historique » ou « nouvelle histoire » et, aux États-Unis, de la « New Cutural History ». L’attention passa des structures et des processus aux cultures et aux expériences de vie des gens ordinaires. La troisième génération des Annales fut au cœur de ce rapprochement : tout en prenant ses distances avec la « religion structuraliste » (Burguière 1999), la fascination pour l’anthropologie était toujours présente, produisant un déplacement d’une histoire économique et démographique vers une histoire culturelle et ethnographique. Burguière (1999) décrivait cette histoire comme celle des comportements et des habitudes, marquant un retour au concept de « mentalité » de Bloch. Les inspirations pour élargir le champ des problèmes posés furent multiples, en particulier dans les champs de l’anthropologie de l’imaginaire et de l’idéologique, de la parenté et des mythes (pensons aux travaux de Louis Dumont et de Maurice Godelier, de Claude Lévi-Strauss et de Françoise Héritier). Quant à la méthode, la description dense mise en avant par Clifford Geertz (1973), la microhistoire dans les traces de Carlo Ginzburg (1983) et l’histoire comparée des cultures sous l’influence de Jack Goody (1979 [1977]) permirent un retour de l’événement et du sujet, une attention aux détails qui rejoignit celle qu’y accordait l’ethnographie, une conception plus dynamique des rapports sociaux et une réinterrogation des généralisations sur le long terme (Bensa 2010 : 49 ; Schmitt 2008). Aux États-Unis, la « New Culturel History » qui s’inscrit dans les mêmes tendances inclut les travaux d’historiens comme Robert Darnon, Natalie Zemon Davis, Dominick La Capra (Iggers 1997; Krech 1991; Harkin 2010). L’association de l’histoire et de l’anthropologie est souvent vue comme ayant été pratiquée de manière exemplaire par Nathan Wachtel, historien au sens plein du terme, mais également formé à l’anthropologie, ayant suivi les séminaires de Claude Lévi-Strauss et de Maurice Godelier (Poloni-Simard et Bernand 2014 : 7). Son ouvrage La Vision des vaincus : les Indiens du Pérou devant la Conquête espagnole 1530-1570 qui parut en 1971 est le résultat d’un va-et-vient entre passé et présent, la combinaison d’un travail en archives avec des matériaux peu exploités jusque-là, comme les archives des juges de l’Inquisition et les archives administratives coloniales, et de l’enquête de terrain ethnographique. Cet ouvrage met particulièrement en valeur la capacité d’agir des Autochtones dans leur rapport avec les institutions et la culture du colonisateur. Pour se faire, il appliqua la méthode régressive mise en avant par Marc Bloch, laquelle consiste à « lire l’histoire à rebours », c’est-à-dire à « aller du mieux au moins bien connu » (Bloch 1931 : XII). Du côté des anthropologues, l’anthropologie historique est un champ de recherche en effervescence depuis les années 1980 (voir Goody 1997 et Naepels 2010 pour une recension des principaux travaux). Ce renouveau prit son essor notamment en réponse aux critiques à propos de l’essentialisme, du culturalisme, du primitivisme et de l’ahistoricisme (voir Fabian 2006 [1983]; Thomas 1989; Douglas 1998) de la discipline anthropologique aux prises avec une « crise de la représentation » (Said 1989) dans un contexte plus large de décolonisation qui l’engagea dans un « tournant réflexif » (Geertz 1973; Clifford et Marcus 1986; Fisher et Marcus 1986). Certains se tournèrent vers l’histoire en quête de nouvelles avenues de recherche pour renouveler la connaissance acquise par l’ethnographie en s’intéressant, d’un point de vue historique, aux dynamiques sociales internes, aux régimes d’historicité et aux formes sociales de la mémoire propres aux groupes auprès desquels ils travaillaient (Naepels 2010 : 877). Les anthropologues océanistes participèrent grandement à ce renouveau en discutant de la nécessité et des possibilités d’une anthropologie historiquement située (Biersack 1991; Barofsky 2000; Merle et Naepels 2003) et par la publication de plusieurs monographies portant en particulier sur la période des premiers contacts entre sociétés autochtones et Européens et les débuts de la période coloniale (entre autres, Dening 1980; Sahlins 1981, 1985; Valeri 1985; Thomas 1990). L’ouvrage maintenant classique de Marshall Sahlins, Islands of History (1985), suscita des débats vigoureux qui marquèrent l’histoire de la discipline anthropologique à propos du relativisme en anthropologie, de l’anthropologie comme acteur historique, de l’autorité ethnographique, de la critique des sources archivistiques, des conflits d’interprétation et du traitement de la capacité d’agir des populations autochtones au moment des premiers contacts avec les Européens et, plus largement, dans l’histoire (pour une synthèse, voir Kuper 2000). Pour ce qui est de la situation coloniale, le 50e anniversaire de la publication du texte fondateur de Balandier de 1951, au début des années 2000, fut l’occasion de rétablir, approfondir et, dans certains cas, renouveler le dialogue non seulement entre anthropologues et historiens, mais également, entre chercheurs français et américains. Les nouvelles études coloniales qui sont en plein essor invitent à une analyse méticuleuse des situations coloniales d’un point de vue local de façon à en révéler les complexités concrètes. On y insiste aussi sur l’importance de questionner les dichotomies strictes et souvent artificielles entre colonisateur et colonisé, Occident et Orient, Nord et Sud. Une attention est aussi portée aux convergences d’un théâtre colonial à un autre, ce qui donne une nouvelle impulsion aux analyses comparatives des colonisations (Sibeud 2004: 94) ainsi qu’au besoin de varier les échelles d’analyse en établissant des distinctions entre les dimensions coloniale et impériale (Bayart et Bertrand 2006; Cooper et Stoler 1997; Singaravélou 2013; Stoler, McGranahn et Perdue 2007) et en insérant les histoires locales dans les processus de globalisation, notamment économique et financière, comme l’ont par exemple pratiqué les anthropologues Jean et John Comaroff (2010) sur leur terrain sud-africain. Ce « jeu d’échelles », représente un défi important puisqu’il force les analystes à constamment franchir les divisions persistantes entre aires culturelles (Sibeud 2004: 95). Ce renouveau a également stimulé une réflexion déjà amorcée sur l’usage des archives coloniales ainsi que sur le contexte de production et de conservation d’une archive (Naepels 2011; Stoler 2009), mais également sur les legs coloniaux dans les mondes actuels (Bayart et Bertrand 2006; De l’Estoile 2008; Stoler 2016)
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Bond, Sue. "The Secret Adoptee's Cookbook." M/C Journal 16, no. 3 (June 22, 2013). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.665.

Full text
Abstract:
There have been a number of Australian memoirs written by adoptees over the last twenty years—Robert Dessaix’s A Mother’s Disgrace, Suzanne Chick’s Searching for Charmian, Tom Frame’s Binding Ties:An Experience of Adoption and Reunion in Australia, for example—as well as international adoptee narratives by Betty Jean Lifton, Florence Fisher, and A. M. Homes amongst others. These works form a component of the small but growing field of adoption life writing that includes works by “all members of the adoption triad” (Hipchen and Deans 163): adoptive parents, birthparents, and adoptees. As the broad genre of memoir becomes more theorised and mapped, many sub-genres are emerging (Brien). My own adoptee story (which I am currently composing) could be a further sub-categorisation of the adoptee memoir, that of “late discovery adoptees” (Perl and Markham), those who are either told, or find out, about their adoption in adulthood. When this is part of a life story, secrets and silences are prominent, and digging into these requires using whatever resources can be found. These include cookbooks, recipes written by hand, and the scraps of paper shoved between pages. There are two cookbooks from my adoptive mother’s belongings that I have kept. One of them is titled Miss Tuxford’s Modern Cookery for the Middle Classes: Hints on Modern Gas Stove Cooking, and this was published around 1937 in England. It’s difficult to date this book exactly, as there is no date in my copy, but one of the advertisements (for Bird’s Custard, I think; the page is partly obscured by an Orange Nut Loaf recipe from a Willow baking pan that has been glued onto the page) is headed with a date range of 1837 to 1937. It has that smell of long ago that lingers strongly even now, out of the protective custody of my mother’s storage. Or should I say, out of the range of my adoptive father’s garbage dump zeal. He loved throwing things away, but these were often things that I saw as valuable, or at least of sentimental value, worth keeping for the memories they evoked. Maybe my father didn’t want to remember. My mother was brimming with memories, I discovered after her death, but she did not reveal them during her life. At least, not to me, making objects like these cookbooks precious in my reconstruction of the lives I know so little about, as well as in the grieving process (Gibson).Miss Tuxford (“Diplomée Board of Education, Gold Medallist, etc”) produced numerous editions of her book. My mother’s is now fragile, loose at the spine and browned with age. There are occasional stains showing that the bread and cakes section got the most use, with the pages for main meals of meat and vegetables relatively clean. The author divided her recipes into the main chapters of Soups (lentil, kidney, sheep’s head broth), Sauces (white, espagnol, mushroom), Fish (“It is important that all fish is fresh when cooked” (23)), Meats (roasted, boiled, stuffed; roast rabbit, boiled turkey, scotch collop), Vegetables (creamed beetroot, economical salad dressing, potatoes baked in their skins), Puddings and Sweets (suet pastry, Yorkshire pudding, chocolate tarts, ginger cream), Bread and Cakes (household bread, raspberry sandwich cake, sultana scones, peanut fancies), Icings and Fillings, Invalid Cookery (beef tea, nourishing lemonade, Virol pudding), Jams, Sweetmeats and Pickles (red currant jelly, piccalilli) and Miscellaneous Dishes including Meatless Recipes (cheese omelette, mock white fish, mock duck, mock goose, vegetarian mincemeat). At the back, Miss Tuxford includes sections on gas cooking hints, “specimen household dinners” (206), and household hints. There is then a “Table of Foods in Season” (208–10) taking the reader through the months and the various meats and vegetables available at those times. There is a useful index and finally an advertisement for an oven cleaner on the last page (which is glued to the back cover). There are food and cookery advertisements throughout the book, but my favourite is the one inside the front cover, for Hartley’s jam, featuring two photographs of a little boy. The first shows him looking serious, and slightly anxious, the second wide-eyed and smiling, eager for his jam. The text tells mothers that “there’s nothing like plenty of bread and Hartley’s for a growing boy” (inside front cover). I love the simple appeal to making your little boy happy that is contained within this tiny narrative. Did my mother and father eat this jam when they were small? By 1937, my mother was twenty-one, not yet married, living with her mother in Weston-super-Mare. She was learning secretarial skills—I have her certificate of proficiency in Pitman’s shorthand—and I think she and my father had met by then. Perhaps she thought about when she would be giving her own children Hartley’s jam, or something else prepared from Miss Tuxford’s recipes, like the Christmas puddings, shortbread, or chocolate cake. She would not have imagined that no children would arrive, that twenty-five years of marriage would pass before she held her own baby, and this would be one who was born to another woman. In the one other cookbook I have kept, there are several recipes cut out from newspapers, and a few typed or handwritten recipes hidden within the pages. This is The Main Cookery Book, in its August 1944 reprint, which was written and compiled by Marguerite K. Gompertz and the “Staff of the Main Research Kitchen”. My mother wrote her name and the date she obtained the cookbook (31 January 1945) on the first blank page. She had been married just over five years, and my father may, or may not, have still been in the Royal Air Force. I have only a sketchy knowledge of my adoptive parents. My mother was born in Newent, Gloucestershire, and my father in Bromley, Kent; they were both born during the first world war. My father served as a navigator in the Royal Air Force in the second world war in the 1940s, received head and psychological injuries and was invalided out before the war ended. He spent some time in rehabilitation, there being letters from him to my mother detailing his stay in one hospital in the 1950s. Their life seemed to become less and less secure as the years passed, more chaotic, restless, and unsettled. By the time I came into their lives, they were both nearly fifty, and moving from place to place. Perhaps this is one reason why I have no memory of my mother cooking. I cannot picture her consulting these cookbooks, or anything more modern, or even cutting out the recipes from newspapers and magazines, because I do not remember seeing her do it. She did not talk to me about cooking, we didn’t cook together, and I do not remember her teaching me anything about food or its preparation. This is a gap in my memory that is puzzling. There is evidence—the books and additional paper recipes and stains on the pages—that my mother was involved in the world of the kitchen. This suggests she handled meats, vegetables, and flours, kneaded, chopped, mashed, baked, and boiled all manners of foods. But I cannot remember her doing any of it. I think the cooking must have been a part of her life before me, when she lived in England, her home country, which she loved, and when she still had hope that children would come. It must have then been apparent that her husband was going to need support and care after the war, and I can imagine she came to realise that any dreams she had would need rearranging.What I do remember is that our meals were prepared by my father, and contained no spices, onions, or garlic because he suffered frequently from indigestion and said these ingredients made it worse. He was a big-chested man with small hips who worried he was too heavy and so put himself on diets every other week. For my father, dieting meant not eating anything, which tended to lead to binges on chocolate or cheese or whatever he could grab easily from the fridge.Meals at night followed a pattern. On Sundays we ate roast chicken with vegetables as a treat, then finished it over the next days as a cold accompaniment with salad. Other meals would feature fish fingers, mince, ham, or a cold luncheon meat with either salad or boiled vegetables. Sometimes we would have a tin of peaches in juice or ice cream, or both. No cookbooks were consulted to prepare these meals.What was my mother doing while my father cooked? She must have been in the kitchen too, probably contributing, but I don’t see her there. By the time we came back to Australia permanently in 1974, my father’s working life had come to an end, and he took over the household cookery for something to do, as well as sewing his own clothes, and repairing his own car. He once hoisted the engine out of a Morris Minor with the help of a young mechanic, a rope, and the branch of a poinciana tree. I have three rugs that he wove before I was born, and he made furniture as well. My mother also sewed, and made my school uniforms and other clothes as well as her own skirts and blouses, jackets and pants. Unfortunately, she was fond of crimplene, which came in bright primary colours and smelled of petrol, but didn’t require ironing and dried quickly on the washing line. It didn’t exactly hang on your body, but rather took it over, imposing itself with its shapelessness. The handwritten recipe for salad cream shown on the pink paper is not in my mother’s hand but my father’s. Her correction can be seen to the word “gelatine” at the bottom; she has replaced it with “c’flour” which I assume means cornflour. This recipe actually makes me a liar, because it shows my father writing about using pepper, paprika, and tumeric to make a food item, when I have already said he used no spices. When I knew him, and ate his food, he didn’t. But he had another life for forty-seven years before my birth, and these recipes with their stains and scribbles help me to begin making a picture of both his life, and my mother’s. So much of them is a complete mystery to me, but these scraps of belongings help me inch along in my thinking about them, who they were, and what they meant to me (Turkle).The Main Cookery Book has a similar structure to Miss Tuxford’s, with some variations, like the chapter titled Réchauffés, which deals with dishes using already cooked foodstuffs that only then require reheating, and a chapter on home-made wines. There are also notes at the end of the book on topics such as gas ovens and methods of cooking (boiling, steaming, simmering, and so on). What really interests me about this book are the clippings inserted by my mother, although the printed pages themselves seem relatively clean and uncooked upon. There is a recipe for pickles and chutneys torn from a newspaper, and when I look on the other side I find a context: a note about Charlie Chaplin and the House of Representatives’s Un-American Activities Committee starting its investigations into the influence of Communists on Hollywood. I wonder if my parents talked about these events, or if they went to see Charlie Chaplin’s films. My mother’s diaries from the 1940s include her references to movies—Shirley Temple in Kiss and Tell, Bing Crosby in Road to Utopia—as well as day to day activities and visits to, and from, family and friends, her sinus infections and colds, getting “shock[ed] from paraffin lamp”, food rationing. If my father kept diaries during his earlier years, nothing of them survives. I remember his determined shredding of documents after my mother’s death, and his fear of discovery, that his life’s secrets would be revealed. He did not tell me I had been adopted until I was twenty-three, and rarely spoke of it afterwards. My mother never mentioned it. I look at the recipe for lemon curd. Did my mother ever make this? Did she use margarine instead of butter? We used margarine on sandwiches, as butter was too hard to spread. Once again, I turn over this clipping to read the news, and find no date but an announcement of an exhibition of work by Marc Chagall at the Tate Gallery, the funeral of Sir Geoffrey Fison (who I discover from The Peerage website died in 1948, unmarried, a Baronet and decorated soldier), and a memorial service for Dr. Duncan Campbell Scott, the Canadian poet and prose writer, during which the Poet Laureate of the time, John Masefield, gave the address. And there was also a note about the latest wills, including that of a reverend who left an estate valued at over £50 000. My maternal adoptive grandmother, who lived in Weston-super-Mare across the road from the beach, and with whom we stayed for several months in 1974, left most of her worldly belongings to my mother and nothing to her son. He seems to have been cut out from her life after she separated from her husband, and her children’s father, sometime in the 1920s. Apparently, my uncle followed his father out to Australia, and his mother never forgave him, refusing to have anything more to do with her son for the rest of her life, not even to see her grandchildren. When I knew her in that brief period in 1974, she was already approaching eighty and showing signs of dementia. But I do remember dancing the Charleston with her in the kitchen, and her helping me bathe my ragdoll Pollyanna in a tub in the garden. The only food I remember at her stone house was afternoon tea with lots of different, exotic cakes, particularly one called Neopolitan, with swirls of red and brown through the moist sponge. My grandmother had a long narrow garden filled with flowers and a greenhouse with tomatoes; she loved that garden, and spent a lot of time nurturing it.My father and his mother-in-law were not each other’s favourite person, and this coloured my mother’s relationship with her, too. We were poor for many years, and the only reason we were able to go to England was because of the generosity of my grandmother, who paid for our airfares. I think my father searched for work while we were there, but whether he was successful or not I do not know. We returned to Australia and I went into grade four at the end of 1974, an outsider of sorts, and bemused by the syllabus, because I had moved around so much. I went to eight different primary schools and two high schools, eventually obtaining a scholarship to a private girls’ school for the last four years. My father was intent on me becoming a doctor, and so my life was largely study, which is another reason why I took little notice of what went on in the kitchen and what appeared on the dining table. I would come home from school and my parents would start meal preparation almost straight away, so we sat down to dinner at about four o’clock during the week, and I started the night’s study at five. I usually worked through until about ten, and then read a novel for a little while before sleep. Every parcel of time was accounted for, and nothing was wasted. This schedule continued throughout those four years of high school, with my father berating me if I didn’t do well at an exam, but also being proud when I did. In grades eight, nine, and ten, I studied home economics, and remember being offered a zucchini to taste because I had never seen one before. I also remember making Greek biscuits of some sort for an exam, and the sieve giving out while I was sifting a large quantity of flour. We learned to cook simple meals of meats and vegetables, and to prepare a full breakfast. We also baked cakes but, when my sponges remained flat, I realised that my strengths might lay elsewhere. This probably also contributed to my lack of interest in cooking. Domestic pursuits were not encouraged at home, although my mother did teach me to sew and knit, resulting in skewed attempts at a shirt dress and a white blouse, and a wildly coloured knitted shoulder bag that I actually liked but which embarrassed my father. There were no such lessons in cakemaking or biscuit baking or any of the recipes from Miss Tuxford. By this time, my mother bought such treats from the supermarket.This other life, this previous life of my parents, a life far away in time and place, was completely unknown to me before my mother’s death. I saw little of them after the revelation of my adoption, not because of this knowledge I then had, but because of my father’s controlling behaviour. I discovered that the rest of my adoptive family, who I hardly knew apart from my maternal grandmother, had always known. It would have been difficult, after all, for my parents to keep such a secret from them. Because of this life of constant moving, my estrangement from my family, and our lack of friends and connections with other people, there was a gap in my experience. As a child, I only knew one grandmother, and only for a relatively brief period of time. I have no grandfatherly memories, and none either of aunts and uncles, only a few fleeting images of a cousin here and there. It was difficult to form friendships as a child when we were only in a place for a limited time. We were always moving on, and left everything behind, to start again in a new suburb, state, country. Continuity and stability were not our trademarks, for reasons that are only slowly making themselves known to me: my father’s mental health problems, his difficult personality, our lack of money, the need to keep my adoption secret.What was that need? From where did it spring? My father always seemed to be a secretive person, an intensely private man, one who had things to hide, and seemed to suffer many mistakes and mishaps and misfortune. At the end, after my mother’s death, we spent two years with each other as he became frailer and moved into a nursing home. It was a truce formed out of necessity, as there was no one else to care for him, so thoroughly had he alienated his family; he had no friends, certainly not in Australia, and only the doctor and helping professionals to talk to most days. My father’s brother John had died some years before, and the whereabouts of his other sibling Gordon were unknown. I discovered that he had died three years previously. Nieces had not heard from my father for decades. My mother’s niece revealed that my mother and she had never met. There is a letter from my mother’s father in the 1960s, probably just before he died, remarking that he would like a photograph of her as they hadn’t seen each other for forty years. None of this was talked about when my mother was alive. It was as if I was somehow separate from their stories, from their history, that it was not suitable for my ears, or that once I came into their lives they wanted to make a new life altogether. At that time, all of their past was stored away. Even my very origins, my tiny past life, were unspoken, and made into a secret. The trouble with secrets, however, is that they hang around, peek out of boxes, lurk in the corners of sentences, and threaten to be revealed by the questions of puzzled strangers, or mistakenly released by knowledgeable relatives. Adoptee memoirs like mine seek to go into those hidden storage boxes and the corners and pages of sources like these seemingly innocent old cookbooks, in the quest to bring these secrets to light. Like Miss Tuxford’s cookbook, with its stains and smudges, or the Main Cookery Book with its pages full of clippings, the revelation of such secrets threaten to tell stories that contradict the official version. ReferencesBrien, Donna Lee. “Pathways into an ‘Elaborate Ecosystem’: Ways of Categorising the Food Memoir”. TEXT (October 2011). 12 Jun. 2013 ‹http://www.textjournal.com.au/oct11/brien.htm›.Chick, Suzanne. Searching for Charmian. Sydney: Picador, 1995.Dessaix, Robert. A Mother’s Disgrace. Sydney: Angus & Robertson, 1994.Fisher, Florence. The Search for Anna Fisher. New York: Arthur Fields, 1973.Frame, Tom. Binding Ties: An Experience of Adoption and Reunion in Australia. Alexandria: Hale & Iremonger, 1999.Gibson, Margaret. Objects of the Dead: Mourning and Memory in Everyday Life. 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