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1

MONTAGNE, L., and J. P. LALLES. "Digestion des matières azotées végétales chez le veau préruminant. Quantification des matières azotées endogènes et importance des mucines." INRAE Productions Animales 13, no. 5 (October 22, 2000): 315–24. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.5.3799.

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Abstract:
Améliorer l’utilisation des matières azotées de remplacement par le veau nécessite de mieux comprendre leurs interactions avec le tube digestif. A cet égard, les nouveaux concepts de digestibilité distinguent les pertes azotées endogènes basales des pertes spécifiques, dépendantes de l’aliment. L’objectif de cet article est de caractériser quantitativement et qualitativement les matières azotées basales et celles spécifiques de sources végétales, et de préciser l’importance, dans ces matières azotées endogènes, des mucines, glycoprotéines du mucus qui protège l’épithélium digestif. Le flux des matières azotées endogènes non spécifiques, mesuré avec un aliment dépourvu de protéines, augmente entre le duodénum et le jéjunum. Les matières azotées sont ensuite apparemment réabsorbées à environ 70 % avant l’iléon où le flux est de 20 g/kg de matière sèche ingérée. Les mucines contribuent à 20, 40 et 25 % des pertes iléales d’azote basal, de lysine et de thréonine, respectivement. La digestibilité apparente iléale de l’azote des aliments contenant des matières azotées végétales est inférieure à celle du lait (0,85, 0,73 et 0,81 vs 0,91, respectivement pour un concentrat et un isolat de soja, et un concentrat de protéines de pomme de terre). Les digestibilités réelles des matières azotées de ces aliments sont similaires mais inférieures à celle du lait (0,95 vs 0,99). Ces différences s’expliquent par l’augmentation des flux de matières azotées endogènes spécifiques, et en particulier des mucines. Par ailleurs, la fraction d’azote provenant des bactéries hébergées par l’animal est plus susceptible aux modifications de la nature des protéines alimentaires que la fraction endogène réellement sécrétée. En conclusion, les différences de digestibilité apparente entre les sources de matières azotées végétales étudiées sont principalement déterminées par les pertes iléales de matières azotées spécifiques qu’elles génèrent le long du tube digestif.
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LE BOUCHER, R., M. DUPONT-NIVET, S. LAUREAU, L. LABBÉ, I. GEURDEN, F. MÉDALE, B. CHATAIN, M. VANDEPUTTE, and E. QUILLET. "Amélioration génétique et utilisation des aliments à base de végétaux en pisciculture." INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 317–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3160.

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Abstract:
La production mondiale de poissons d’élevage augmente rapidement alors que les principaux ingrédients des aliments pour poissons (huiles et farines de poisson issues de la pêche) sont en quantité désormais insuffisante pour répondre à la demande. Cette situation, en Europe notamment, a conduit au remplacement progressif des produits marins par des matières premières végétales. Mais les taux de substitution élevés provoquent des réductions importantes des performances (croissance, voire survie) chez les espèces d’élevage de haut niveau trophique, à forts besoins en protéines et lipides. L’étude du potentiel d’adaptation de plusieurs de ces espèces à des aliments fortement ou totalement substitués (sans huiles ni farines de poisson) a révélé qu’il est possible de sélectionner au sein des populations d’élevage des individus à forte capacité de croissance avec des régimes à base de végétaux. Les mécanismes à l’origine de cette adaptation restent à identifier. Les analyses montrent aussi que les groupes les plus performants varient en fonction de l’aliment (marin ou substitué). Ces interactions génotype-aliment peuvent compliquer la gestion d’un programme de sélection si les reproducteurs sont sélectionnés avec un aliment différent de celui utilisé pour élever leurs descendants. Des simulations du progrès génétique attendu dans différents scénarios alimentaires permettent d’identifier quelques pistes pour optimiser la sélection chez la truite arcen- ciel et le bar, espèces majeures de la pisciculture d’eau douce et marine en France. La combinaison judicieuse de programmes d’amélioration génétique et de parcours alimentaires raisonnés pourrait aider la filière piscicole à évoluer vers un mode de production moins dépendant des ressources naturelles marines, tout en continuant à fournir des produits de qualité au consommateur.
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HOCQUETTE, J. F., P. MAINSANT, J. D. DAUDIN, I. CASSAR-MALEK, D. RÉMOND, M. DOREAU, P. SANS, et al. "La viande du futur sera-t-elle produite in vitro ?" INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 363–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3164.

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Abstract:
La production de viande artificielle par culture de cellules est proposée par certains scientifiques comme une des solutions pour répondre aux grands enjeux de l’élevage : i) réduire le mal-être supposé des animaux dans les élevages modernes, voire ne pas tuer les animaux pour les manger, ii) réduire la possible dégradation de l’environnement par l’élevage et iii) réduire la faim dans le monde en augmentant le niveau des ressources protéiques alimentaires. La viande artificielle supprimerait en effet le mal-être supposé des animaux lié à l’élevage et permettrait de ne pas abattre les animaux pour les manger. L’impact environnemental de la viande artificielle est difficile à évaluer en l’absence de données sur le fonctionnement d’une usine de production. La viande artificielle présenterait toutefois un intérêt modéré pour réduire les gaz à effet de serre et la pollution par les nitrates, un intérêt limité quant à l’utilisation des énergies fossiles, voire très limité pour limiter les besoins en eau, mais elle libérerait des terres cultivables. Elle entraînerait probablement dans l’eau des résidus de molécules de synthèse. De nombreux experts estiment que les causes de la malnutrition actuelle de certaines populations sont multiples et ne sont pas directement liées à un manque de ressources alimentaires. Bien que la culture de cellules soit couramment pratiquée en laboratoire, il existe des verrous techniques importants à lever pour une production à grande échelle, tels que le coût rédhibitoire des technologies actuelles et le manque de ressemblance du produit obtenu à de la viande issue d’animaux. Sur le plan nutritionnel, la viande artificielle ne présente pas d’avantage particulier par rapport à un autre aliment élaboré à partir de l’ensemble des nutriments nécessaires à sa production. Les critères d’acceptabilité de la viande artificielle renvoient, d’une part, à des questions d’ordre moral ou éthique concernant la technologie et les inquiétudes qu’elle soulève, et d’autre part, à des considérations classiques relatives aux produits alimentaires (prix, qualité, naturalité…). Par le passé, les expériences de substitution des protéines animales par des produits analogues ont échoué en raison, notamment, de contraintes économiques, du temps nécessaire pour l’éventuelle acceptation des produits par les consommateurs et pour la délivrance des autorisations de mise sur le marché. Face aux questionnements importants concernant l’élevage, la production de viande artificielle ne présente pas aujourd’hui d’avantages majeurs par comparaison à la viande naturelle ou à d’autres alternatives possibles telles que rééquilibrer notre alimentation en diversifiant les sources de protéines végétales et animales, ou encore développer des systèmes d’élevage plus respectueux des animaux et de l’environnement.
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DRONNE, Yves. "Les matières premières agricoles pour l’alimentation humaine et animale : l'UE et la France." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2347.

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Abstract:
L’UE qui produit environ 80 millions de tonnes de protéines végétales (dont la moitié de fourrages) en importe près de 15 millions sous forme de produits en l’état (céréales, graines oléagineuses) ou coproduits des industries agricoles et alimentaires (en particulier tourteaux) non consommables par l’Homme. Environ 87 % de la consommation intérieure de ces protéines est destinée à l’alimentation animale et permet la production de 11 millions de tonnes de protéines animales sous forme de lait, de viandes et d’œufs. L’industrie des aliments composés particulièrement développée apporte 67 % des protéines hors fourrages et fait apparaître une forte diversification dans ses matières premières consommées. Le soja, dont les importations européennes ont sensiblement baissé au cours des 10 dernières années, ne représente plus que 18 % des protéines végétales utilisées par les animaux. La part de l’UE dans les importations mondiales est passée de 60 % au début des années 1970 à moins de 19 % actuellement. La France consomme 12 millions de tonnes de protéines végétales en alimentation animale (dont la moitié de fourrages) et présente de nombreuses similitudes avec l’UE, mais une différence essentielle, celle d’être globalement exportatrice nette de 1,5 million de tonnes de protéines, largement sous forme de céréales. Alors que l’UE est importatrice nette de « surface agricole », la France peut in fine exporter à la fois des protéines animales et des protéines végétales grâce à l’importance de sa surface agricole et à la diversité de ses agricultures (spécialisation animale du Grand Ouest et végétale de certaines autres régions qui permettent d’atteindre des rendements élevés).
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CAHU, C. "Domestication et fonction nutrition chez les poissons." INRAE Productions Animales 17, no. 3 (July 29, 2004): 205–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.3.3593.

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Abstract:
L’objectif de cet article est d’évaluer dans quelle mesure l’étude du régime alimentaire des poissons peut indiquer les possibilités et les contraintes liées à leur domestication. Bien que le régime naturel des poissons semble désavantageux pour la domestication, puisque leur besoin en protéines est élevé, différentes espèces peuvent être considérées comme domestiquées. Ces espèces peuvent être aussi bien herbivores, détritivores et omnivores que carnivores. De la même façon, l’étude des caractéristiques anatomiques digestives -présence ou non d’un estomac, longueur de l’intestin- montre de grandes différences entre espèces, mais ne permet pas d’identifier un groupe d’espèces qui serait plus apte à la domestication. L’étude des besoins nutritionnels montre que quelques espèces peuvent utiliser les protéines d’origine végétale en remplacement de la farine de poisson, mais il s’est avéré que même l’espèce la plus carnivore peut être alimentée en grande partie avec un mélange de protéines végétales. Plusieurs espèces peuvent tolérer des teneurs élevées en lipides alimentaires, d’autres peuvent utiliser des glucides en substitution des protéines. Ces caractéristiques physiologiques doivent être prises en compte dans le processus de domestication qui aura, en retour, des conséquences sur le métabolisme alimentaire et donc sur la composition du poisson domestiqué.
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Onunkwo, D. N., G. Daniel-Igwe, E. Afam-Ibezim, B. N. Ezenyilimba, and I. U. Udokwu. "Carcass characteristics and organ proportions of broiler chickens fed different plant protein sources in an Acha grain-based diet." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 6 (February 28, 2021): 108–12. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i6.2915.

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Abstract:
The stiff competition between man and livestock for maize as energy feedstuff has resulted in the high cost of poultry products. Therefore, a study was conducted to evaluate the effect of feeding acha-based diet varying dietary plant protein to broiler chickens on carcass characteristic and organ proportions. A total of 120, one day-old Abor acre broiler chicks were used for the study in a Complete Randomized Design. Four dietary plant proteins were included in the broiler chicken diet at 28% level with an acha grain as the main energy source. Diet 1 contains 28% groundnut cake, while diets 2, 3 and 4 contain 28% of full fat soyabean, soyabean cake and cashew nut meal, respectively. The birds were randomly allotted to the 4 treatment groups, with each group having 30 birds which was further subdivided into 3 replicates of 10 birds each. This study lasted for 56 days. At the end of the feeding trial, carcass evaluation was carried out. One bird per replicate was randomly selected, starved overnight and slaughtered by severing the jugular vein. The visceral were removed and weighed. The results showed that birds fed dietary soyabean cake (Diet 3) had the highest live weight gain (2155.00g), slaughtered weight (1855.00g), defeathered weight (1838.33g), dressed weight (1455.00g) and shank (112.00g). The organ proportions showed significant differences (p<0.05), though followed no definite trend. In conclusion, birds fed diet 3 gave the best carcass weight, and the organ proportions showed no negative effect as par the diets offered the birds. Thus, inclusion of 28%, soyabean meal in an acha-grain based diets proved to be superior over groundnut cake and cashew nut and it is therefore recommended. La vive concurrence entre l'homme et le bétail pour le maïs comme aliment énergétique a entraîné le coût élevé des produits de volaille. Par conséquent, une étude a été menée pour évaluer l'effet de l'alimentation à base d'acha avec des protéines végétales alimentaires variées sur les poulets de chair ainsi que les caractéristiques de la carcasse et les proportions des organes. Un total de 120 poussins de chair de 'Abor acre' âgés d'un jour a été utilisés pour l'étude dans un plan randomisé complet. Quatre protéines végétales diététiques ont été incluses dans le régime des poulets de chair à un taux de 28%, le grain d'acha étant la principale source d'énergie. Le régime 1 contient 28% de farine d'arachide, tandis que les régimes 2, 3 et 4 contiennent 28% de farine de soja, de gâteau de soja et de noix de cajou, respectivement. Les oiseaux ont été répartis au hasard dans les 4 groupes de traitement, chaque groupe comptant 30 oiseaux qui ont ensuite été subdivisés en 3 répétitions de 10 oiseaux chacun. Cette étude a duré 56 jours. À la fin de test d'alimentation, une évaluation de la carcasse a été effectuée. Un oiseau par réplique a été sélectionné au hasard, affamé pendant la nuit et abattu en sectionnant la veine jugulaire. Les viscéraux ont été prélevés et pesés. Les résultats ont montré que les oiseaux nourris avec du gâteau de soja diététique (régime 3) avaient le gain de poids vif (2155,00 g), le poids abattu (1855,00 g), le poids sans plumes (1838,33 g), le poids habillé (1455,00 g) et le jarret (112,00 g). Les proportions d'organes ont montré des différences significatives (p <0,05), mais n'ont suivi aucune tendance définie. En conclusion, les oiseaux nourris avec le régime 3 ont donné le meilleur poids de carcasse, et les proportions d'organes n'ont montré aucun effet négatif par rapport aux régimes offerts aux oiseaux. Ainsi, l'inclusion de 28% de gâteau de soja dans un régime à base de céréalesacha s'est avérée supérieure aux gâteau d'arachide et de noix de cajou et elle est donc recommandée.
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GAUTIER, F., and E. LABUSSIÈRE. "Origines alimentaires et digestion des nutriments chez le veau préruminant." INRAE Productions Animales 24, no. 3 (July 7, 2011): 245–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.3.3259.

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Abstract:
L’essentiel des nutriments nécessaires pour couvrir les besoins nutritionnels du veau préruminant est apporté par l’aliment d’allaitement formulé à base de diverses matières premières d’origine animale ou végétale. La connaissance de leur digestibilité est primordiale pour rationnaliser leur emploi. Cette synthèse fait le point sur les différentes sources de protéines, de matières grasses et de glucides utilisées dans les aliments d’allaitements des veux de boucherie. A partir de la description des processus digestifs pour les protéines, les lipides et les glucides dans le cas particulier du veau de boucherie, cette synthèse bibliographique montre que les matières premières d’origine laitière (poudre de lait écrémé, poudre de lactosérum, lactose) sont en général très bien digérées par le veau préruminant avec des coefficients d’utilisation digestive apparente supérieurs à 90% pour tous les nutriments. L’utilisation digestive d’autres matières premières, comme les concentrats de soja, les concentrés protéiques de pomme de terre ou le gluten de blé est plus variable, dépendant largement des traitements technologiques qui sont appliqués. Cependant, les valeurs de digestibilités sont élevées et indiquent que les matières premières d’origine végétale sont des alternatives intéressantes en substitution aux produits laitiers, surtout au-delà du premier mois de vie de l’animal.
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CREVIEU-GABRIEL, I. "Digestion des protéines végétales chez les monogastriques. Exemple des protéines de pois." INRAE Productions Animales 12, no. 2 (April 30, 1999): 147–61. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.2.3874.

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Abstract:
Cet article présente les connaissances actuelles sur le déroulement de la digestion des protéines chez les monogastriques, essentiellement les porcs et les volailles. Le pois, qui est un protéagineux important en Europe, a été choisi comme exemple compte tenu des variabilités importantes de digestibilité des protéines qu’il présente. Après un rappel de la composition protéique de cette matière première et des digestibilités chez les monogastriques, les différents composants pouvant intervenir pour expliquer les résultats observés sont présentés. Ainsi plusieurs facteurs antinutritionnels contenus dans ce protéagineux peuvent avoir une influence négative. D’autres consituants du pois ou de l’aliment, tels que les glucides ou les lipides, peuvent aussi être impliqués. De plus, la structure même des protéines entraîne une sensibilité variable à l’hydrolyse. Ainsi certaines caractéristiques telles qu’une hydrophobie importante, une forte glycosylation, une structure secondaire riche en feuillets β, une structure tertiaire compacte et la présence de ponts disulfure semblent avoir une influence négative sur l’hydrolyse des protéines. Les traitements technologiques appliqués aux aliments peuvent aussi avoir dans certains cas un effet sur la digestion des protéines. Ainsi, le broyage peut dans certaines conditions améliorer la digestion. De même des traitements thermiques tels que la granulation ou l’extrusion, dans la mesure où les conditions utilisées ne sont pas extrêmes, peuvent améliorer la digestion des protéines. Les quantités de rejets azotés issus de la digestion dépendent ainsi de nombreux facteurs. Ils sont constitués de protéines mais aussi de fortes proportions de peptides dont l’origine reste à déterminer (alimentaire et/ou endogène) pour proposer des solutions afin de les réduire.
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LAISSE, Sarah, René BAUMONT, Léonie DUSART, Didier GAUDRÉ, Benoit ROUILLÉ, Marc BENOIT, Patrick VEYSSET, Didier RÉMOND, and Jean-Louis PEYRAUD. "L’efficience nette de conversion des aliments par les animaux d’élevage : une nouvelle approche pour évaluer la contribution de l’élevage à l’alimentation humaine." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 269–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2355.

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Abstract:
L’élevage est souvent perçu comme inefficient pour produire des denrées alimentaires pour l’Homme car les animaux consomment davantage de végétaux qu’ils ne produisent de viande, de lait ou d’œufs. Le calcul de l’efficience nette de conversion des aliments en ne considérant dans le calcul que la part potentiellement consommable par l’Homme des aliments utilisés par les animaux permet de relativiser ce constat. En effet, une large part des aliments consommés par les animaux d’élevage (fourrages, coproduits…) n’est pas directement consommable par l’Homme. Appliqués à des systèmes d’élevage français, les calculs d’efficience nette montrent que toutes les productions animales (bovins laitiers et à viande, ovins à viande, porcins, poulets de chair, poules pondeuse) peuvent être producteurs nets de protéines à condition de maximiser la part des végétaux non valorisables en alimentation humaine dans les rations. Le calcul de l’efficience nette est très sensible à l’estimation de la part des aliments utilisés en alimentation animale qui peut être directement valorisée par l’Homme. Celle-ci varie fortement d’une matière première à l’autre selon les habitudes alimentaires et les technologies agroalimentaire qui peuvent évoluer dans le temps. Il est donc nécessaire d’analyser les résultats d’efficience nette à travers plusieurs scénarios de valorisation des matières premières végétales. De même le niveau de valorisation du cinquième quartier de la carcasse des animaux d’élevage pour l’alimentation humaine est très variable et influence sensiblement les résultats d’efficience nette. Enfin, la prise en compte du différentiel de qualité entre les protéines végétales permettrait d’affiner les calculs d’efficience protéique.
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ZIMMER, N., and R. CORDESSE. "Influence des tanins sur la valeur nutritive des aliments des ruminants." INRAE Productions Animales 9, no. 3 (June 17, 1996): 167–79. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.3.4044.

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Abstract:
Les tanins sont des métabolites secondaires importants dans le règne végétal. Ils s’intègrent dans la défense des végétaux contre les herbivores, en particulier pour les plantes se développant dans les zones difficiles. La structure chimique de ces polyphénols leur confère une capacité très développée à se fixer sur toutes sortes de molécules, essentiellement les protéines. Ces interactions faisant intervenir les différents types de liaison possibles sont dépendantes de nombreux facteurs liés au milieu et à la structure des molécules réactantes (importance de la présence de proline chez les protéines). Ces aspects biochimiques permettent de se rendre compte de l’incidence et de la complexité des actions des tanins dans l’alimentation. La principale conséquence chez les ruminants est une diminution de la dégradation des protéines alimentaires dans le rumen, mais aussi une perturbation des activités microbiennes (rumen, caecum), une diminution de l’ingestion et même une toxicité. Les herbivores adaptés à une alimentation riche en tanins ont su développer des mécanismes de protection, en particulier la synthèse de protéines salivaires riches en proline “neutralisant” les tanins ingérés. Le tannage des protéines alimentaires par les tanins naturels est un débouché potentiel en alimentation des ruminants.
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COZANNET, I. P., M. LESSIRE, J. P. METAYER, C. GADY, Y. PRIMOT, P. A. GERAERT, L. LE TUTOUR, F. SKIBA, and J. NOBLET. "Valeur nutritive des drêches de blé et de maïs pour les volailles." INRAE Productions Animales 23, no. 5 (December 19, 2010): 405–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.5.3319.

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Abstract:
Parallèlement à l’accroissement rapide de la production d’éthanol à partir des céréales, la disponibilité des coproduits associés, les drêches, pour l’alimentation des animaux, ruminants mais aussi porcs et volailles, s’est accrue. L’objet de cette synthèse est de considérer l’information disponible pour l’introduction des drêches de bioéthanol de céréales dans les aliments des volailles. Elle dresse le profil moyen de la composition chimique et des valeurs énergétiques et protéiques des drêches de blé et de maïs. Elle indique aussi une forte variabilité de ces critères, en particulier pour la lysine en lien avec les réactions de Maillard lors du séchage et la diminution de la luminance (L). Les échantillons de faible valeur L (< 50 pour les drêches de blé et < 30 pour les drêches de maïs) ont ainsi une teneur en lysine des matières azotées faible et cette lysine est peu digestible. La digestibilité de l’énergie des drêches de blé ou de maïs ou leurs teneurs en EM peuvent également varier avec la couleur mais elles sont surtout dépendantes de leur composition chimique et notamment de leur teneur en matières grasses et en parois végétales. Notre synthèse indique que les drêches de blé ou de maïs sont des sources potentielles d’énergie et de protéines susceptibles d’être utilisées dans les aliments des différentes catégories de volailles sans que les performances soient altérées mais à la condition que les caractéristiques nutritives des drêches soient prises en compte pour la formulation des aliments.
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DRONNE, Yves. "Les matières premières agricoles pour l’alimentation humaine et animale : le monde." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 165–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.0.31.0.2345.

Full text
Abstract:
Les produits agricoles cultivés et utilisés dans le monde servent traditionnellement à nourrir les Hommes et les animaux et aussi à certains usages non-alimentaires. Compte tenu de l’importance du débat sur la complémentarité et/ou la concurrence entre l’Homme et l’animal et de l’importance de celles-ci en nutrition humaine et animale, les tonnages de tous les produits végétaux et animaux qui ont des compositions extrêmement diverses ont été exprimés en protéines brutes. Cet article analyse successivement la production mondiale de protéines végétales, la répartition de leurs utilisations sous forme de produits non transformés et de produits et coproduits issus des industries agricoles et alimentaires, la répartition des consommations par grandes espèces animales, les évolutions structurelles en termes de consommation humaine et animale, le poids croissant du « système maïs/soja », les aspects de concurrence et/ou de complémentarité entre usages humains et animaux et enfin les aspects liés à l’instabilité croissante des prix du soja et du maïs et les systèmes de régulation de ces marchés. La production mondiale de protéines végétales (environ 800 millions de tonnes (mt)) est utilisée pour environ 630 millions par l’alimentation animale (400 de fourrages, 230 de concentrés, produits utilisés en l’état comme les céréales, et surtout coproduits des industries agricoles et alimentaires comme les tourteaux, dont plus de 80 pour le seul soja) et permet la production d’environ 68 millions de tonnes de protéines animales. L’industrie des aliments composés a connu un développement considérable depuis trente ans et apporte actuellement les deux tiers des protéines de concentrés utilisés par l’ensemble des animaux, mais seulement 18 % du total fourrages inclus. Au cours des dernières décennies un modèle d’alimentation animale maïs/soja s’est fortement développé dans le monde, mais à un moindre degré en Europe. Les prix de la graine et du tourteau de soja comme ceux des autres grands produits agricoles tels que les céréales ont fortement augmenté par paliers au cours des dernières décennies et font preuve d’instabilité croissante, mais le rapport de prix soja/maïs est resté sur longue période très stable ce qui tend à contredire l’idée d’une pénurie croissante sur le marché des protéines.
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MÉDALE, F., R. LE BOUCHER, M. DUPONT-NIVET, E. QUILLET, J. AUBIN, and S. PANSERAT. "Des aliments à base de végétaux pour les poissons d’élevage." INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 303–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3159.

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Abstract:
L'aquaculture mondiale se développe (+ 8% par an) pour répondre à une demande croissante des consommateurs que les captures de pêche ne peuvent plus couvrir. Les besoins en aliments piscicoles et donc en matières premières s’accroissent, alors que les volumes de farines et huiles de poisson, ingrédients traditionnels des aliments aquacoles, ne peuvent augmenter. Selon les espèces, 80 à 95% de la farine de poisson peut être substituée par un mélange de sources protéiques végétales apportant les acides aminés indispensables en quantité suffisante pour couvrir les besoins des poissons. Au-delà de ce taux de remplacement, on observe une baisse de la consommation d'aliment, de l'efficience alimentaire et de la croissance, bien que les aliments contiennent les nutriments nécessaires aux poissons. Quant à l'huile de poisson, elle peut être remplacée jusqu’à 80 ou 100% par des huiles végétales sans effet délétère sur la croissanceet la santé des poissons, à condition que le régime apporte en quantité suffisante les acides gras essentiels à la couverture des besoins, qui diffèrent selon l'espèce : contrairement aux poissons marins, les salmonidés disposent en effet d’une relative capacité de synthèse d’acides gras longs polyinsaturés omega 3 à partir de l’acide linoléique. La conséquence majeure est une baisse de la teneur de ces acides gras dans la chair. Les recherches doivent se poursuivre pour affranchir encore davantage l'aquaculture des produits de la pêche, en choisissant des matières premières alternatives qui garantissent une production piscicole efficace, des produits de haute qualité et des impacts environnementaux limités.
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Onunkwo, D. N., G. Daniel-Igwe, V. Odoemelam, C. A. Agida, and B. N. Ezenyilimba. "Growth performance and feed cost benefit of broiler chickens fed Acha grain-based diet supplemented with different plant protein sources." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 6 (February 28, 2021): 113–19. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i6.2916.

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Abstract:
Conventional energy sources for poultry feed are scarce, expensive and highly competed for by man and industry in Nigeria which has resulted to subsequent high cost of feed and at times, poor quality of feed sold to farmers. Therefore, this study was carried out to evaluate the growth performance and feed cost benefit of broiler chickens fed various plant protein sources in acha grain based diet. A total of 120, one day-old Abor acre broiler chicks were procured and assigned in a Completely Randomized Design to four dietary treatments of three replicates and ten chicks per replicate. The four diets comprise soybean meal (full fat), soybean cake, groundnut cake and cashew nut meal at 28% inclusion level each in an acha based diet. Data on growth parameters (Daily feed intake, Final Weight Gain, Total Weight Gain, Feed-to-gain ratio and mortality) were collected daily and weekly. The results showed that the birds fed diet 3 having soyabean meal as the main plant protein source with 2700 Kcal/kg ME gave the best growth performance. It is also important to note that, the growth performance of birds fed diet 4 which had 28% cashew nut (full fat) had the poorest feed-togain ratio. The findings from this study further showed that using cashew nut (T4) as plant protein source in poultry (broiler chicken) ration is rather too expensive and production of cashew nut may have to increase so as to bring down the cost of production of broiler chicken. There was significant difference (P<0.05) in all the variables of feed cost benefit analysis. It is concluded that soyabean, whether used as meal/cake or full-fat confirmed its superiority over groundnut cake and cashew nut meal in this study. It is therefore recommended that farmers or poultry feed producers should use acha based diet with either soyabean meal or full-fat soyabean Les sources d'énergie conventionnelles pour l'alimentation de la volaille sont rares, coûteuses et très concurrencées par l'homme et l'industrie au Nigéria, ce qui a résulté en un coût élevé des aliments et parfois, une mauvaise qualité des aliments vendus aux agriculteurs. Par conséquent, cette étude a été réalisée pour évaluer les performances de croissance et les avantages en termes de coûts d'alimentation des poulets de chair nourris avec diverses sources de protéines végétales dans un régime à base de céréales acha. Un total de 120 poussins de chair Abor acre d'un jour ont été achetés et assignés dans une conception complètement aléatoire à quatre traitements diététiques de trois répétitions et dix poussins par répétition. Les quatre régimes comprennent la farine de soja (pleine matière grasse), le tourteau de soja, le tourteau d'arachide et la farine de noix de cajou à un taux d'inclusion de 28% chacun dans un régime alimentaire classique. Les données sur les paramètres de croissance (ingestion journalière, gain de poids final, gain de poids total, rapport alimentation / gain et mortalité) ont été collectées quotidiennement et hebdomadairement. Les résultats ont montré que les oiseaux nourris avec le régime 3 contenant de la farine de soja comme principale source de protéines végétales avec 2700 Kcal / kg ME ont donné les meilleures performances de croissance. Il est également important de noter que les performances de croissance des oiseaux nourris avec un régime alimentaire 4 contenant 28% de noix de cajou (gras) présentaient le rapport alimentation / gain le plus faible. Les résultats de cette étude ont en outre montré que l'utilisation de la noix de cajou (T4) comme source de protéines végétales dans la ration de volaille (poulet à griller) est plutôt trop coûteuse et que la production de noix de cajou peut devoir augmenter afin de réduire le coût de production du poulet à griller. . Il y avait une différence significative (P <0,05) dans toutes les variables de l'analyse coûts-avantages des aliments. Il est conclu que le soja, qu'il soit utilisé comme farine / tourteau ou gras entier, a confirmé sa supériorité sur le tourteau d'arachide et la farine de noix de cajou dans cette étude. Il est donc recommandé que les agriculteurs ou les producteurs d'aliments pour volaille utilisent un régime à base d'acha avec du tourteau de soja ou du soja entier.
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CHATEIGNER-BOUTIN, Anne-Laure, Luc SAULNIER, Michel LESSIRE, Nathaële WACRENIER, and Fabien ALLEMAN. "Les polymères de mannose en production animale. 1. focus sur les structures chimiques rencontrées dans les aliments et les propriétés biologiques." INRAE Productions Animales 33, no. 4 (April 6, 2021): 283–94. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.4.4633.

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Abstract:
Les polysaccharides à base de mannose sont très largement répandus dans le monde vivant. D’un organisme à un autre, la longueur du squelette de mannose, le type de liaison entre les sucres, la composition et la longueur des ramifications sont extrêmement variables et confèrent à ces polymères des propriétés fonctionnelles et biologiques différentes. Au-delà de leur rôle structural ou encore de capteur de molécules d’eau dans les plantes, ils participent en particulier à la glycosylation des protéines et sont clairement impliqués dans les phénomènes d’interaction ligand-récepteur. Certains polymères de mannose viraux ou bactériens hautement conservés sont ainsi, chez les animaux supérieurs, reconnus très rapidement par l’hôte qui se défend en initiant une réponse non spécifique, dite « réaction immunitaire innée ». Plutôt reliées par les liaisons α chez les virus, les bactéries et les levures, les unités de mannose sont reliées par des liaisons β chez les végétaux supérieurs. Les β-mannanes sont présents dans tous les produits d’origine végétale, et à des teneurs particulièrement élevées dans certaines familles (palme, guar, coprah) et certains tourteaux utilisés en alimentation animale. Leurs propriétés anti-nutritionnelles observées chez les porcs et les volailles s’expliqueraient principalement par l’apparition d’inflammation intestinale induisant des baisses de performances, des baisses d’efficacité alimentaire et une augmentation des dépenses énergétiques associées à la mise en œuvre du système immunitaire.
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SAUVANT, D. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 283. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3752.

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Abstract:
Différentes raisons nous ont amenés à consacrer ce numéro spécial de la revue Productions Animales aux matières grasses dans l’alimentation animale. L’équilibre lipides/protéines des produits animaux représente, depuis des décennies, un critère essentiel de leur qualité. L’objectif général des actions de sélection et des pratiques alimentaires a été de réduire le niveau d’engraissement des carcasses. Ces actions étaient confortées par le fait que des animaux plus maigres sont de meilleurs transformateurs des aliments. Dans le cas du lait, les objectifs étaient et sont différents dans la mesure où le mode de paiement à la qualité tend à favoriser la teneur en matières grasses du lait. Cependant, dans le cas des vaches laitières, compte tenu de l’excès relatif global des matières grasses par rapport aux protéines laitières, il a été nécessaire de mettre en place des quotas de production de matière grasse. L’intérêt des filières pour la qualité des lipides animaux n’est pas récent. Ainsi, des publications de près de 50 ans d’âge évoquent déjà l’usage de critères subjectifs d’évaluation de la "tenue" du gras des carcasses ainsi que de la "tartinabilité" du beurre. Les premières méthodes objectives d’évaluation de la qualité des lipides animaux (indices d’iode et d’estérification …) ont permis des approches plus rationnelles. Une accélération marquée du progrès est survenue dans les années 60 grâce à l’apparition des techniques de chromatographie en phase gazeuse qui ont permis de quantifier individuellement les proportions des différents acides gras au sein d’une même matière grasse. Les matières grasses animales sont ainsi apparues plus riches en acides gras saturés que les matières grasses végétales (graisses de coprah et de palmiste exclues) et plus pauvres en acides gras essentiels. Les études de nutrition et de physiopathologie humaine ont abouti à une critique de la teneur excessive des aliments en acides gras saturés. De ce fait, les lipides animaux ont eu mauvaise presse dans les milieux de la diététique. Les recherches ont permis de mieux connaître les causes de variation de la composition en acides gras des produits animaux. Il est ainsi apparu que les matières grasses des différentes espèces animales ne présentaient pas la même composition ni le même degré de saturation, celui-ci étant en particulier plus faible chez les monogastriques que chez les ruminants. Les investigations plus récentes ont permis de mieux connaître des acides gras restés longtemps moins connus car plus difficiles à mesurer dans les lipides animaux et qualifiés de mineurs. Il s’agit en particulier d’acides gras à molécules ramifiées ou bien de certains isomères désaturés de type trans alors que la plupart des aliments contiennent des acides gras désaturés de type cis. Certains de ces acides sont l’objet d’un intérêt récent et important en raison de leur probable impact favorable sur la physiologie humaine. C’est par exemple le cas des acides gras désaturés trans conjugués de l’acide linoléique, en particulier le CLA (conjugated linoleic acid) ou acide ruménique. Ce dernier nom vient du fait que cet acide est élaboré dans le rumen des ruminants et se retrouve essentiellement dans les lipides corporels ou laitiers de ces animaux. L’alimentation en matières grasses des animaux présente également un regain d’intérêt en raison des modifications des sources alimentaires disponibles. En effet, les événements récents, liés à l’ESB, qui ont perturbé les filières animales ont eu pour conséquence l’interdiction des farines et des matières grasses d’origine animale dans l’alimentation des animaux d’élevage terrestres. Celles-ci étaient utilisées depuis au moins un siècle dans certains régimes, des porcs et volailles en particulier, dans le but d’améliorer la valeur énergétique des rations et d’obtenir des matières grasses animales présentant une couleur plus appréciée (blanche), une meilleure tenue et surtout une moindre sensibilité à l’oxydation (charcuterie sèche …). La substitution des matières grasses animales par des matières grasses d’origine végétale soulève un certain nombre de problèmes, zootechniques et technologiques, qui sont évoqués dans ce document. Nous tenons à remercier très sincèrement tous nos collègues qui ont accepté de contribuer à la réalisation de ce document qui fait suite à une journée CAAA (Cycle Approfondi de l’Alimentation Animale) organisé le 4 mai 2000 sur le même thème à l’INAPG.
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MORAND-FEHR, P., and G. TRAN. "La fraction lipidique des aliments et les corps gras utilisés en alimentation animale." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 285–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3753.

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Abstract:
La fraction lipidique des fourrages et des aliments concentrés est généralement moins bien connue que leurs fractions glucidiques, protéiques et minérales. La teneur lipidique de ces aliments se mesure par le dosage de l’extrait éthéré selon deux procédés suivant qu’une hydrolyse à chaud est nécessaire ou non pour obtenir l’extraction la plus complète possible des lipides de l’aliment. Les fourrages ont une teneur en extrait éthéré de 2 à 12 % et un taux d’acide linolénique le plus souvent supérieur à 50 % des acides gras totaux. A mesure que la plante fourragère passe du stade jeune pousse au stade de maturité, les proportions des acides palmitique, stéarique et oléique augmentent alors que celle de l’acide linolénique diminue. L’article présente la composition en acides gras d’une vingtaine d’aliments concentrés parmi les plus utilisés en alimentation animale. Ces valeurs sont issues de quatre bases de données (AFZ, CVB, MAFF et Souci) et d’une synthèse bibliographique récente de Givens pour les huiles végétales. Les céréales et les graines protéagineuses ont des teneurs en extrait éthéré souvent assez faibles (1,2 à 2,2 %) sauf le maïs et les co-produits de meunerie, une proportion très élevée d’acide linoléique (plus de 50 % des acides gras totaux) et des proportions faibles d’acides gras saturés, dominé par l’acide palmitique. La composition en acides gras des graines oléagineuses est variable selon l’espèce. Les huiles et farines de poisson sont caractérisées par une proportion importante d’acides gras polyinsaturés contenant plus de 18 atomes de carbone. Les compositions lipidiques des graisses et farines issues d’animaux terrestres sont remarquables par leur richesse en acides saturés et leur très faible proportion d’acides polyinsaturés. Il existe une bonne concordance entre les valeurs des banques AFZ et CVB pour les céréales et les graines oléagineuses, et entre les valeurs AFZ, SOUCI et celles de Givens pour les huiles et les graisses animales. En revanche, la table MAFF présente quelques divergences avec les tables AFZ et CVB. Même si l’apparition des bases de données a permis d’accéder à une connaissance plus objective dans ce domaine, des progrès restent à faire sur les facteurs de variation des teneurs en extrait éthéré et de la composition en acides gras des aliments, ainsi que sur les proportions des acides gras mineurs et isomères des familles n-6 et n-3.
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CHAPOUTOT, Patrick, Benoît ROUILLÉ, Daniel SAUVANT, and Bénédicte RENAUD. "Les coproduits de l’industrie agro-alimentaire : des ressources alimentaires de qualité à ne pas négliger." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 201–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2353.

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Abstract:
Depuis des décennies, les filières agroalimentaires génèrent des coproduits de première ou de deuxième transformation qui représentent en France un gisement important (12 millions de tonnes de matière sèche), dont plus de la moitié est issue des filières de la trituration (29 %), de la sucrerie (14 %) et de l'amidonnerie-féculerie (13 %). Les trois-quarts de ces ressources sont valorisés en alimentation animale, pour 80 % environ via les aliments composés et 20 % directement en élevage. De ce fait, les coproduits, que les réglementations européenne et française distinguent clairement de la catégorie « déchets », sont des matières premières de l'alimentation animale à part entière et doivent en respecter la réglementation. La disponibilité de ces coproduits peut fortement varier dans le temps avec une saisonnalité marquée pour certaines filières, ou dans l'espace selon la répartition des usines agroalimentaires sur le territoire et la superposition avec les zones d'élevage. Les procédés technologiques générateurs de ces coproduits peuvent différer d'une filière à l'autre. La nature et la composition chimique des coproduits dépendent du procédé mis œuvre qui peut évoluer dans le temps, mais également d'une usine à l'autre au sein d'une même agro-industrie. Leur bonne valorisation en alimentation animale est largement conditionnée par une connaissance précise de la qualité des différentes fractions organiques (parois végétales et protéines, notamment) ou minérales accumulées dans les coproduits, et de l'efficacité de leur utilisation qui peut varier fortement selon l'espèce animale destinataire (ruminants ou monogastriques) et selon les types de process appliqués. Un certain nombre de recommandations alimentaires et sanitaires doivent être appliquées pour garantir une utilisation optimale des coproduits par les animaux sans pénaliser leurs performances zootechniques. Ces coproduits présentent de ce fait une réelle valeur économique qu'il est possible de déterminer, même pour les ruminants, au moyen des outils de formulation à moindre coût par programmation linéaire couramment utilisés chez les monogastriques.
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BESLE, J. M., and J. P. JOUANY. "La biomasse pariétale des fourrages et sa valorisation par les herbivores." INRAE Productions Animales 3, no. 1 (February 3, 1990): 39–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.1.4359.

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Abstract:
Au sein de la biomasse végétale, les composés à teneur élevée en parois constituent une source d’aliments que seuls les herbivores peuvent utiliser. Parmi les herbivores, le Ruminant a été de loin le plus étudié. Les processus de dégradation anaérobie des composés lignocellulosiques dans le rumen mettent en jeu le rôle spécifique des micro-organismes (bactéries, protozoaires, champignons). Les produits du métabolisme microbien sont directement utilisés par l’animal hôte comme source d’énergie (acides gras volatils) ou comme principal fournisseur d’acides aminés (protéines microbiennes synthétisées dans le rumen) ou de vitamines (vitamines B). La teneur en lignine élevée de certains fourrages est cause d’une médiocre dégradation par les micro-organismes du tube digestif. Il est possible d’améliorer leur utilisation par trois moyens. Les traitements technologiques sont très nombreux mais seuls ceux aux alcalis, surtout à l’ammoniac, et, dans certains cas le broyage et les traitements hydrothermiques sont économiquement rentables et se développent dans la pratique. Les procédés aux moisissures blanches doivent encore être développés. Les autres traitements chimiques (oxydants, SO2), physiques (irradiation) et biologiques (enzymes, bactéries apportant des nutriments), ne sont pas suffisamment rentables. Les améliorations apportées par les meilleurs traitements ne permettent pas cependant de dépasser une digestibilité de 0,5 - 0,6 pour les résidus très lignifiés. Les recherches futures doivent développer d’autres voies tout en perfectionnant (efficacité, économie) les procédés actuels. L’optimisation de l’activité microbienne dans le rumen peut être atteinte en fournissant aux microbes les nutriments dont ils ont besoin. En outre, l’emploi du génie génétique ouvre des perspectives dans l’amélioration de la production d’enzymes microbiennes particulièrement efficaces à l’égard des parois ou en permettant le développement de certaines activités microbiennes dans des conditions de milieu peu favorables (cellulolyse en milieu de pH faible). L’optimisation des fermentations peut être atteinte en choisissant le type d’herbivore dont les caractéristiques morphologiques et physiologiques des réservoirs de fermentation sont optimisées, en premier lieu par leur position (rumen ou gros intestin) puis en sélectionnant divers critères (capacité, temps de séjour des aliments, répartition des phases liquides et solides, ...). Cette approche est d’un intérêt considérable pour les pays qui s’orientent vers un système d’utilisation des résidus très lignifiés de l’agriculture.
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