Academic literature on the topic 'Protozoaires pathogènes'

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Journal articles on the topic "Protozoaires pathogènes"

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Bouhoum, K., O. Amahmid, Kh Habbari, and J. Schwartzbrod. "Devenir des oeufs d'helminthes et des kystes de protozoaires dans un canal a ciel ouvert alimenté par les eaux usées de Marrakech." Revue des sciences de l'eau 10, no. 2 (April 12, 2005): 217–32. http://dx.doi.org/10.7202/705278ar.

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Abstract:
Dans la région de Marrakech, les eaux usées sont utilisées pour l'irrigation sans aucun traitement. Par ailleurs ces eaux usées ruissellent dans des canaux à ciel ouvert sur des distances supérieures à 2 km. Nous avons étudié le devenir des kystes de protozoaires et des oeufs d'helminthes sur le parcours d'un canal alimenté par un émissaire d'eau usée (E2). L'analyse parasitologique des eaux usées a montré que ces eaux contiennent plusieurs types de parasites. En effet, nous avons observé la présence des kystes de protozoaires (Entamoeba histolytica, Entamoebacoli, Giardiasp.) et des oeufs d'helminthes pathogènes (Ascaris,Trichuris, Enterobius, Hymenolepis...). L'étude de la charge parasitaire le long du cours d'eau usée montre une diminution du nombre de parasites dans l'eau usée en allant de l'embouchure S0 vers l'aval de l'émissaire E2. Avec des concentrations moyennes de 1,6.105 kystes/L et 145 oeufs/L à S0, alors qu'à 2 km de S0 (SV) il n'est plus retrouvé que 2,7.104 kystes/L et 33,4 oeufs/L. La charge parasitaire dans le sédiment du cours d'eau, contrairement à l'eau, augmente en s'éloignant de l'embouchure S0. Ainsi, les concentrations moyennes de kystes de protozoaires et les oeufs d'helminthes sont respectivement de 1,7.104 kystes/g et de 9,6 oeufs/g à 80 m de S0 et atteignent, 1,4.105 kystes/g et 78,1 oeufs/g à 2 km de S0. Le ruissellement des eaux usées sur un parcours de 2 Km, à ciel ouvert, montre des taux d'abattement importants des parasites. En effet, plus de 83 % des kystes de protozoaires et plus de 77 % des oeufs d'helminthes sont éliminés de l'effluent. Mais ces abattements restent insuffisants pour satisfaire les directives de l'OMS (1989) en matière de réutilisation des eaux usées en agriculture.
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HOSTE, H., N. EHRHARDT, C. PARAUD, A. RIEUX, P. MERCIER, S. VALAS, O. ANDREOLETTI, et al. "Recherche en pathologie caprine : applications et perspectives." INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 245–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3213.

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Abstract:
Les enjeux économiques liés à l’espèce caprine en Europe paraissent mineurs par rapport à ceux des filières ovines et bovines et pourraient limiter l’intérêt de recherches spécifiques en pathologie caprine. C’est pourquoi, en se fondant sur des exemples de pathologies dues aux principales classes d’agents pathogènes (prions, virus, bactéries, parasites protozoaires et helminthes) affectant les caprins et leur filière de production, cet article présente les principales recherches menées en France, les données actuelles disponibles sur la compréhension des mécanismes pathogéniques et des processus physiopathologiques, ainsi que sur le développement de gestions innovantes de ces pathologies. Il a aussi pour objectif d’illustrer l’intérêt d’études spécifiques sur les chèvres non seulement en termes de pathologie comparée chez les petits ruminants, mais aussi pour prendre en considération les contraintes d’une filière économique dynamique.
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Lango-Yaya, Ernest, Donatien Clotaire Rafai, Tatiana Ngalema, Freddy Marcelin Agboko, Romaric Lebon Bondom, and Marcellin Namzeka. "Prevalence Des Infections Parasitaires Dues Aux Protozoaires Identifies Au Laboratoire National De Biologie Clinique Et De Sante Publique, Bangui Republique Centrafricaine." European Scientific Journal, ESJ 17, no. 21 (June 30, 2021): 115. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n21p115.

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Abstract:
Les Protozoaires sont des parasites de petite taille, de forme diverses parmi lesquels on distingue les Protozoaires intestinaux (Amibes, Flagellés, Coccidies, Ciliés et Microsporidies) qui sont les plus répandus. Selon l’OMS, les parasitoses intestinales constituent un problème de santé publique dans le monde en général et en Afrique en particulier. Les formes graves sont généralement provoquées par certains protozoaires intestinaux à savoir Entamoeba histolytica, Giardia intestinalis et Trichomonas intestinalis qui jouent un rôle dans la survenue du syndrome dysentérique. C’est dans ce contexte que cette étude est menée dans l’objectif est d’évaluer la prévalence des Protozoaires digestifs selon leur degré de pathogénicité chez les patients. La mise en évidence des parasites a été effectuée par la technique de Formolether et de l’examen à l’état frais. Cette étude a montré que sur 11500 patients, 3922 soit 34,1% étaient parasités. Parmi les patients parasités le sexe féminin était prédominant avec un pourcentage de 57,51%. La tranche d’âge la plus touchée est celle comprises entre 20 à 29 ans (39,4%), les enfants de moins de 1 an étaient moins touchés (1,2%). Le parasite le plus représentatif est le kyste d’Entamoeba histolytica 30,40% suivi de Trichomonas intestinalis 1,4%. L’amibiase, la giardiose et la trichomonose restent les protozooses les plus pathogènes associées à l’hygiène défectueuse et du péril fécal. Protozoa are parasites of small size, of various shapes, among which we distinguish the intestinal Protozoa (Amoeba, Flagellates, Coccidia, Ciliates and Microsporidia) which are the most widespread. According to WHO, intestinal parasitosis is a public health problem in the world in general and in Africa in particular. The severe forms are generally caused by certain intestinal protozoa namely Entamoeba histolytica, Giardia intestinalis and Trichomonas intestinalis which play a role in the occurrence of dysenteric syndrome. It is in this context that this study is being carried out with the objective of assessing the prevalence of digestive protozoa according to their degree of pathogenicity in patients. The detection of the parasites was carried out by the formalin-ether technique and the examination in the fresh state. This study showed that out of 11,500 patients, 3,922 or 34.1% were parasitized. Among the parasitized patients the female sex was predominant with a percentage of 57.51%. The most affected age group is between 20 to 29 years old (39.4%), children under 1 year old were less affected (1.2%). The most representative parasite is the Entamoeba histolytica cyst 30.40% followed by Trichomonas intestinalis 1.4%. Amebiasis, giardiasis and trichomoniasis remain the most pathogenic protozoa associated with poor hygiene and faecal hazard.
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Tombi, J., and Charles F. Bilong Bilong. "Répartition des parasites branchiaux du poisson d’eau douce Barbus martorelli Roman, 1971 (Teleostei : Cyprinidae) et tendance à une évolution d’intensité contraire des myxosporidies et des monogènes en fonction de l’âge de l’hôte." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 1-2 (January 1, 2004): 71. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9909.

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Abstract:
L’étude de la parasitofaune branchiale de 558 Barbus martorelli a été menée dans un cours d’eau douce aux alentours de Yaoundé (Cameroun) en milieu tropical, afin d’obtenir des informations sur la répartition des agents pathogènes dans une population d’hôtes sauvages ; ces données sont indispensables dans la recherche de moyens pour éviter les pertes énormes souvent observées en pisciculture intensive. Cette analyse a révélé la présence de deux espèces de myxosporidies (Myxobolus barbi et M. njinei) et de huit espèces de monogènes (Dactylogyrus bopeleti, D. insolitus, D. simplex, D. maillardi, Dogielius martorellii, Dogielius sp., une espèce de Gyrodactylidae et une larve de Polystomatidae). Quatre poissons n’ont pas présenté de parasites, 24 ont présenté une infection monospécifique et 530 une infection plurispécifique. Chaque individu infesté a hébergé en moyenne quatre espèces de parasites. Alors que la prévalence et l’intensité moyenne parasitaire diminuaient avec la taille de l’hôte pour les protozoaires, le phénomène inverse a été observé pour les helminthes. L’effet sexe a été noté dans l’infestation de B. martorelli par la myxosporidie M. njinei et par la plupart des espèces de monogènes. Les femelles ont ainsi été plus infestées que les mâles en raison de leur biologie en période de frai. Enfin, la richesse des espèces parasitaires a semblé affecter négativement le poids des hôtes.
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Epstein, Alberto L. "Maladie d’Alzheimer, neuro-inflammation et virus herpétiques." médecine/sciences 36, no. 5 (May 2020): 479–86. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020090.

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Abstract:
L’infection du cerveau par divers types d’agents pathogènes, et les réponses inflammatoires qui s’en suivent, occupent une place grandissante dans notre compréhension de l’étiologie de la maladie d’Alzheimer (MA). Le fait que, parmi la vingtaine de gènes identifiés comme étant des facteurs à risque, plusieurs soient impliqués dans la modulation de la réponse immunitaire, ainsi que la diversité même des agents infectieux identifiés comme étant des acteurs possibles dans l’évolution de cette maladie, plaident en faveur de l’hypothèse neuro-inflammatoire, tout comme la prise de conscience que la protéine Aβ, l’un des marqueurs les plus importants de la MA, peut agir comme un système de défense antimicrobienne, capable de neutraliser des bactéries et des virus. Différent types de pathogènes, incluant des bactéries, des champignons, des protozoaires et des virus, ont été identifiés dans le cerveau malade, souvent près des lésions caractéristiques de la MA. Parmi eux, les virus herpétiques (surtout, mais pas seulement, HSV-1), qui se caractérisent par l’établissement d’infections latentes dans les neurones, ponctuées par des épisodes de réactivation suite à des stress ou des immunodépressions, apparaissent comme des candidats très solides à un rôle étiologique, ne serait-ce qu’en tant que cofacteurs, de la MA. La présence de génomes HSV-1 latents dans le cerveau, et donc le risque de réactivation, augmentent significativement avec l’âge. Des résultats récents montrent que, dans des neurones humains et de rat, l’infection par HSV-1 augmente l’expression de la β-sécrétase et de la nicastrine, deux enzymes impliquées dans la formation des Aβ selon la voie amyloïdogénique, ainsi que de celle de GSK3β et PKA, deux kinases impliquées dans la phosphorylation des protéines Tau, un autre marqueur essentiel de la MA. Les preuves croissantes obtenues, selon lesquelles les infections chroniques et les mécanismes de défense suscités, y compris les processus inflammatoires, sont au cœur de la MA, justifient de revoir les médicaments antiviraux tels que l’acyclovir, et peut-être aussi la vaccination, comme des voies potentielles de lutte contre la MA.
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Ratnadass, Alain, and Péninna Deberdt. "Pratiques de protection des cultures en agroécosystèmes tropicaux et risques de maladies humaines et animales d’origine bactérienne." Cahiers Agricultures 30 (2021): 42. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021028.

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Abstract:
Une revue bibliographique récente montre que les pratiques de protection agroécologique des cultures (PAEC) contre les ravageurs, pathogènes et adventices, réduisent généralement les risques zoonotiques viraux en santé publique et vétérinaire, alors que les pratiques conventionnelles (à base agrochimique) tendent à les augmenter. Nous avons analysé la littérature scientifique pour déterminer si ces conclusions pouvaient être élargies aux infections bactériennes, avec focus sur les agroécosystèmes tropicaux. En santé publique et vétérinaire, les principales infections bactériennes impactées par des pratiques de protection des cultures sont celles ayant pour réservoirs des rongeurs (avec arthropodes vecteurs, comme la peste, ou pas, comme la leptospirose), et les maladies à entérobactéries (e.g., Salmonella) et autres bactéries opportunistes (e.g., Pseudomonas). La problématique d’antibiorésistance en santé publique est peu affectée par les pratiques de protection des cultures conventionnelles. Des pratiques relevant de la substitution aux intrants de synthèse (variétés résistantes aux attaques de rongeurs ou à la colonisation par des entérobactéries ; pesticides minéraux; solarisation) peuvent se traduire par une réduction plus importante du risque sanitaire que certaines pratiques relevant de la reconception des agroécosystèmes (push-pull ; intégration agriculture-élevage). Toutefois, vu ses effets vertueux en termes de réduction des pollutions, conservation de la biodiversité et résilience climatique, la PAEC, basée sur la reconception, contribue, à des échelles spatiotemporelles supérieures, à la réduction du risque sanitaire lié aux infections bactériennes. Les impacts des pratiques de protection des cultures, basées sur l’amélioration de l’efficience des pratiques conventionnelles, sur la substitution ou sur la reconception, sur les risques d’infection bactérienne en santé publique et vétérinaire, sont sensiblement différents de ceux observés avec les risques zoonotiques viraux. Des recherches sont encore nécessaires pour concilier, dans une perspective « Une seule santé », les trois types de pratiques, afin de réduire les risques sanitaires liés aux maladies infectieuses autant à bactéries qu’à virus, parasites (protozoaires et vers) ou champignons.
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BAYOURTHE, C., and D. ALI-HAIMOUD-LEKHAL. "Les extraits de plantes chez le ruminant : effets sur les fermentations dans le rumen et la qualité lipidique des produits animaux." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 23, 2014): 317–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3079.

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Abstract:
Les extraits de plantes représentent un groupe complexe de substances dont les propriétés peuvent être utilisées pour manipuler le fonctionnement du rumen. Parmi eux, les tannins condensés, les huiles essentielles et les saponines ont été largement évalués pour leurs effets bactéricides/bactériostatiques. La variété de structure chimique des tannins condensés est, sans doute, à l’origine de leur différence de réactivité mais aussi d’une activité différente vis-à-vis des microorganismes du rumen. De façon générale, la croissance bactérienne est d’autant plus inhibée que la concentration en tannins condensés dans le milieu est élevée. Si les tannins condensés inhibent l'activité des archées méthanogènes, ils seraient sans effet sur les protozoaires. Généralement, les tannins condensés conduisent à une diminution de la concentration en azote ammoniacal dans le milieu ruminal mais n’affectent pas la concentration en acides gras volatils totaux. Si à dose élevée, l’effet est plus marqué in vitro qu’in vivo, à dose identique, l’amplitude de la réponse est différente selon la source de tannins condensés. En ce qui concerne l’action des tannins condensés sur la méthanogenèse, l’effet généralement observé, tant in vitro qu'in vivo, est une diminution de la production de CH4 bien que l’amplitude de la réponse soit variable et dépende de plusieurs facteurs que les études in vitro permettent de mieux cerner. Les effets principaux des huiles essentielles dans le rumen consistent en une réduction de la dégradation des protéines et de l'amidon et une inhibition de la dégradation des acides aminés, en raison de l'action sélective sur certains micro-organismes du rumen. Le pouvoir bactéricide des huiles essentielles vis-à-vis des bactéries (pathogènes ou ruminales) est lié à la structure chimique des molécules aromatiques qui les composent. Elles inhibent la croissance de la plupart des cultures pures bactériennes du rumen à des concentrations inférieures à 100 ppm ; certaines espèces pouvant s'adapter, ce qui explique la diminution voire l’absence d’effet souvent observé in vivo. Certains composés aromatiques ont la capacité de réduire la production de méthane dans le rumen. En revanche, les effets des saponines dans le rumen sont moins nets, en raison probablement du développement de populations microbiennes capables de les dégrader et/ou de l'adaptation des microorganismes à ces extraits de plante. Par ailleurs, en l’état actuel des connaissances, il est impossible de conclure quant à l’effet des extraits végétaux sur la qualité lipidique des produits animaux. Des essais complémentaires conduits in vivo et à long terme restent indispensables pour vérifier les effets observés, dans des conditions d'utilisation plus variées, mais aussi pour s'assurer de l'absence de résidus dans les produits animaux et de leur innocuité pour le consommateur.
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AVI, Rahul, Jean-Michel REPERANT, Françoise BUSSIÈRE, Anne SILVESTRE, Jean-François LE ROUX, David MOREAUD, and Javier GONZALEZ. "La coccidiose chez les poulets domestiques : revue sur les stratégies de prévention et de contrôle." INRAE Productions Animales 36, no. 4 (December 20, 2023): 7558. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2023.36.4.7558.

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Abstract:
La coccidiose aviaire est l'un des défis les plus importants et les plus persistants auxquels est confrontée l'industrie avicole mondiale, entraînant une baisse de productivité due aux dommages intestinaux causés par le protozoaire apicomplexe intracellulaire Eimeria. Le cycle de vie d'Eimeria est complexe, caractérisé par des stades intra- et extracellulaires. Le stade intracellulaire induit une réponse inflammatoire en partie responsable de la formation de lésions tissulaires, des hémorragies diarrhéiques, une mauvaise croissance, une sensibilité accrue à d'autres agents pathogènes et, dans certains cas sévères (E. tenella et E. necatrix), une forte mortalité. Une bonne gestion sanitaire est indispensable pour prévenir la coccidiose chez les poulets. L'administration d'anticoccidiens dans les aliments peut également réduire efficacement l’intensité de l’infection par Eimeria. Cependant, leur utilisation à grande échelle et sur une longue durée a entraîné le développement de résistances à ces additifs dans le monde entier. Des vaccins vivants non atténués et atténués ont été développés mais ils présentent certaines limites. En plus des méthodes conventionnelles de prévention et de contrôle, les produits phytogéniques émergent comme alternative pour contrôler la coccidiose aviaire. Les recherches en cours sur la sélection génétique et des vaccins recombinants et sous-unitaires sont prometteuses pour la prévention, mais leur efficacité et leur adoption dans l'industrie avicole restent à démontrer. De plus, comme alternatives aux coccidiostatiques, des stratégies utilisant des extraits naturels sont plus acceptées par les consommateurs et sont de plus en plus étudiées. Cet article présente donc une vue d'ensemble de l'impact économique de la coccidiose chez les poulets sur la production et aborde les stratégies intégrées de la santé pour contrôler la coccidiose chez les poulets.
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HOSTE, Hervé, Nadine RAVINET, Christophe CHARTIER, Carine MARIE-MAGDELEINE, Jean-Christophe BAMBOU, Mathieu BONNEAU, Nathalie MANDONNET, Philippe JACQUIET, and Marc DESQUESNES. "Réduction d’usage et alternatives aux antiparasitaires en élevage des ruminants." INRAE Productions Animales, February 14, 2023, 327–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2022.35.4.7333.

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Abstract:
Les parasites (Helminthes, Protozoaires, Acariens, Insectes) restent responsables de pathologie majeures impactant l’élevage des ruminants. Pendant des décennies, la maitrise de ces divers groupes de parasites a reposé pour l’essentiel sur des molécules de synthèse développées par l’industrie pharmaceutique. Cependant, cette gestion quasi exclusive par des traitements chimiques se trouve désormais confrontée à plusieurs limites : d’une part, une demande sociétale croissante pour réduire les intrants chimiques en élevage dans le cadre d’une agriculture évoluant vers des critères agroécologiques ; d’autre part, le phénomène général de résistances aux antiparasitaires dans les différents groupes mentionnés. Dans ce contexte, le concept de gestion intégrée du parasitisme fondée sur une combinaison de solutions alternatives aux molécules de synthèse devient le nouveau paradigme de lutte applicable aux divers groupes de pathogènes. L’objectif de cette revue est de présenter quelques exemples de solutions complémentaires aux substances de synthèse en se fondant sur deux modèles principaux : les nématodes gastro intestinaux et les insectes chez des petits ruminants ou les bovins.
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Dissertations / Theses on the topic "Protozoaires pathogènes"

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Vinckier, Daniel. "Différentiation cellulaire chez les microsporidies : étude ultrastructurale du développement de Nosemoides vivieri V.D. et P. et Nosema apis Zander et mise en évidence de l'évolution des systèmes membranaires par la technique de cryofracture." Lille 1, 1990. http://www.theses.fr/1990LIL10050.

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Abstract:
Les microsporidies Nosemoides vivieri et nosema apis sont des protozoaires parasites intracellulaires obligatoires, dont tous les stades du cycle sont en contact direct avec le cytoplasme de la cellule-hôte. Ce cycle est caracterisé par l'alternance de deux phases: une phase végétative (ou mérogonie) à structure cellulaire non specialisée pendant laquelle le parasite croît et se multiplie activement, et une phase sporogonique (ou sporogonie) aboutissant a la formation de la spore qui montre une structure complexe hautement différenciée. En effet celle-ci contient le germe infectieux ou sporoplasme, mais aussi tout l'appareil nécessaire à son inoculation dans la cellule-hôte. L'étude ultrastructurale des différents stades du cycle : mérontes, sporontes, sporoblastes et spores montre le rôle primordial des vésicules golgiennes et du réticulum endoplasmique dans la genèse des différents organites de la spore : sac polaire, filament polaire, polaroplaste, vacuole postérieure. La cryofracture confirme, chez Nosema apis, les résultats obtenus en ultrastructure classique et met en evidence l'évolution des systèmes membranaires tout au long du cycle du parasite, en particulier les modifications intervenant au niveau de la membrane plasmique au cours de la transformation sporoblastique
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Soete, Martine. "Étude expérimentale de l'interconversion tachyzoïte-bradyzoïte chez Toxoplasma gondii." Lille 1, 1995. http://www.theses.fr/1995LIL10069.

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Abstract:
L'interconversion tachyzoïte-bradyzoïte est une étape importante dans le cycle de Toxoplasma gondii chez l'hôte intermédiaire. La forme proliférative tachyzoïte responsable de l'infection aiguë, laisse place à la forme bradyzoïte (kyste) caractérisant la forme chronique de la toxoplasmose. Le phénomène d'interconversion entre stade est à l'origine de la réactivation de la maladie chez les immunodéprimés. Les facteurs influençant son déclenchement sont mal connus. Le développement de sondes monoclonales spécifiques de stade a permis d'étudier le phénomène d'interconversion in vitro. L'étude descriptive des événements survenant lors de la conversion du stade tachyzoïte vers le stade bradyzoïte a montré l'existence de stades intermédiaires. L'engagement dans cette voie de différenciation est progressif : l'expression des protéines spécifiques du bradyzoïte est séquentielle et les changements morphologiques résultant sont graduels. Ceci génère toute une gamme de stades intermédiaires pour aboutir à des structures kystiques matures renfermant des parasites dont les caractéristiques sont proches du bradyzoïte obtenu in vivo. Nous avons mis au point diverses méthodes permettant d'induire la différenciation des tachyzoïtes en bradyzoïtes in vitro. Ces travaux suggèrent que des altérations métaboliques du couple parasite/cellule hôte sont impliquées dans le déclenchement de la conversion. Récemment, la chaîne respiratoire mitochondriale du parasite a été désignée comme cible probable des facteurs de différenciation. Grâce aux techniques d'induction de la différenciation développées in vitro, une protéine spécifique du stade bradyzoïte a pu être purifiée. Le gène correspondant a été cloné et est en cours de séquençage. La caractérisation de gènes dont l'expression est dépendante du stade parasitaire ouvre comme perspective l'étude de la régulation de la différenciation à l'échelle moléculaire, et pourrait aider à la compréhension du déterminisme de l'interconversion, évènement clé dans la pathogenèse de la toxoplasmose.
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Rauscher, Béatrice. "Contribution à l'étude de la fonction et du trafic des protéines de granules denses, GRA5 et GRA6 de Toxoplasma gondii." Lille 1, 1999. http://www.theses.fr/1999LIL10123.

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Abstract:
Le parasite protozoaire Toxoplasma gondii assure son développement intracellulaire dans une vacuole dite parasitophore. La vacuole parasitophore (VP) est un compartiment spécialisé qui d'une part résiste à la fusion avec les endosomes de la cellule-hôte et d'autre part constitue une interface d'échanges métaboliques entre le parasite et la cellule parasitée. Les protéines GRA, contenues dans les granules denses du parasite, sont sécrétées sous forme soluble dans la VP où elles acquièrent une topologie membranaire. Constituants majeurs de la VP, les protéines GRA joueraient un rôle déterminant dans le développement intracellulaire du toxoplasme, cependant à ce jour la fonction de ces protéines n'est pas connue. Les protéines GRA5 et GRA6 ont été choisies comme modèles d'étude car bien que présentant des similitudes structurales (deux domaines hydrophobes encadrés de régions hydrophiles), elles présentent un tropisme membranaire différentiel au sein de la vacuole parasitophore. La protéine GRA5 traverse la bicouche lipidique de membrane délimitante de la vacuole parasitophore alors que la protéine GRA6, s'intègre dans les membranes du réseau intravacuolaire
Au cours de la première partie de ce travail, nous avons mis en évidence l'existence d'un polymorphisme de taille des protéines GRA5 et GRA6 chez différentes souches de toxoplasmes. Ce polymorphisme permet de répertorier les souches parasitaires dans les trois groupes génotypiques de Toxoplasma gondii. Dans un second temps, le développement de la manipulation génétique du toxoplasme, nous a permis d'aborder la fonction de la protéine GRA5 par l'invalidation de son gène. La mise en place d'un système de double sélection positive-négative a permis l'obtention d'un mutant nul GRA5 dans la souche RH. L'analyse du phénotype du mutant nul a mis en évidence que la protéine GRA5 est une protéine non essentielle pour les toxoplasmes de la souche RH. De plus, l'absence de son expression ne perturbe ni l'ultrastructure de la vacuole parasitophore, ni la virulence chez la souris, ni la multiplication intracellulaire du toxoplasme
Enfin, dans le cadre des études sur les mécanismes d'insertion membranaire post-sécrétoire des protéines GRA, la troisième partie de ce travail visait à appréhender l'étude du tropisme différentiel de GRA5 et GRA6 pour les membranes vacuolaires, par l'expression de protéines chimériques (GRA5-GRA6). Des lignées stables de toxoplasmes exprimant les protéines hybrides (échange des domaines N- et C- terminaux) fusionnées à leur extrémité C-terminale avec l'épitope du virus de l'influenza ont été obtenues. Les protéines chimériques N5T5C6-HA9, N6T5C5-HA9 et N6T5C6-HA9 se comportent comme des protéines membranaires dans la VP. L'analyse de leur trafic intravacuolaire, 10 minutes après l'invasion cellulaire, a révélé que seule, la protéine N6T5C6-HA9 se comporte comme GRA6 en transitant par la partie postérieure du parasite. Les protéines N5T5C6-HA9, N6T5C5-HA9 semblent se comporter comme la protéine RGA5. Ces résultats suggèrent l'intervention des domaines N-et C-terminaux de GRA6 lors de son accumulation postérieure dans la VP
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Besnard-Cochennec, Nathalie. "Bonamia ostreae, parasite de l'huître plate, Ostrea edulis : sa position taxonomique parmi les parasites du groupe "microcell" : analyses des interactions hôte-parasite chez plusieurs populations d'huître plates." La Rochelle, 2001. http://www.theses.fr/2001LAROS073.

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Abstract:
La Bonamiose, maladie due au protozaire Bonamia ostreae a été détectée en 1979 pour la première fois en Bretagne au cours d'épisodes de mortalité. Depuis, cette maladie s'est propagée à tous les centres ostréicoles français, puis européens. Une autre espèce, B. Sp. A été décrite en Nouvelle Zélande et en Australie. En outre, deux autres parasites ont été rapprochés du genre Bonamia. Il s'agit de Mikrocytos mackini qui affecte les huîtres creuses, Crassostrea gigas au Canada et M. Roughleyi qui affecte les huîtres sauvages en Australie, Saccostrea commercialis. Ces quatre parasites sont regroupés sous le nom " microcell ". Les caractérisations ultrastructurales et moléculaires de ces parasites ont été réalisées. Elles ont permis d'inclure les parasites B. Ostreae, B. Sp et M. Roughleyi dans le phylum des Haplosporidia. Une nouvelle espèce a été créée pour B. Sp. , B. Exitiosus. Des outils moléculaires de détection des genres B. Spp. Et M. Spp et d'identification d'espèces ont été mis au point (PCR, PCR-RFLP, Hybridation in situ). L'analyse en cytométrie en flux nous a permis de caractériser morphologiquement et fonctionnellement les effecteurs cellulaires des mécanismes de défense des huîtres plates, les hémocytes circulants. Trois types hémocytaires ont été décrits sur la base de leur taille et de leur granularité. La répartition hémocytaire indique que la population des cellules agranuleuses est majoritaire dans l'hémolymphe. Quatre lectines hétérologues ont permis de discriminer les populations granuleuses et agranuleuses. La mise au point de dosage d'activités cellulaires a permis d'évaluer pour chaque type cellulaire l'expression de six activités déterminantes dans les mécanismes post-phagocytaires. Ces activités sont majoritaires dans les granulocytes. Les grandes cellules agranuleuses et les petits hyalinocytes présentent les mêmes activités mais les taux d'expression sont plus faibles. Les résultats de phagocytose, in vitro, suggèrent que le parasite B. Ostreae intervient de manière active dans la phagocytose. Les résidus glycosylés présents sur la membrane cytoplasmique du parasite sont identiques à ceux présents à la surface des granulocytes suggérant un rôle important des lectines dans les phénomènes de reconnaissance et d'internalisation. Afin de rechercher d'éventuelles relations entre ces paramètres et la résistance à la Bonamiose, différentes populations d'huîtres sensibles et sélectionnées ont été comparées. L'étude a permis de mettre en évidence une corrélation entre l'expression des estérases des grandes cellules agranuleuses et la résistance à la Bonamiose. Ces paramètres pourront servir de critère de sélection dans les programmes d'amélioration génétique.
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Rousseau, Angélique. "Méthodes de caractérisation de la viabilité et l'infectiosité des protozoaires Toxoplasma gondii, Cryptosporidium spp et Giardia duodenalis et applications aux matrices alimentaires." Thesis, Reims, 2018. http://www.theses.fr/2018REIMS038/document.

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Abstract:
Selon le dernier rapport de l’EFSA-ECDC (EFSA Journal 2014), les parasites se classent en 8ème position des agents étiologiques impliqués dans les épidémies d’origine alimentaire reportées en 2012 en Europe. Par ailleurs, un récent rapport de l’OMS et la FAO (2014) classe Toxoplasma gondii en première position des parasites protozoaires à considérer dans le domaine alimentaire, suivi de Cryptosporidium spp et Giardia duodenalis. Les oocystes de T. gondii et Cryptosporidium spp et les kystes de G. duodenalis sont des formes très résistantes excrétées en très grande quantité dans les selles des individus malades. Lorsqu’ils se retrouvent dans l’environnement, ils peuvent y persister longtemps et contaminer certaines matrices alimentaires (végétaux et mollusques) lors de leur production primaire. A l’heure actuelle, en l’absence de méthodes d’analyse standardisées dans les aliments pour ces 3 parasites, peu de données de prévalence sont disponibles dans la littérature et les épidémies d’origine alimentaire restent négligées. Pour combler ce manque, une norme pour la détection/quantification des kystes de G. duodenalis et des oocystes de Cryptosporidium spp. dans les végétaux à feuilles vertes et fruits rouges à baies par microscopie à fluorescence est en cours de rédaction (ISO 18744). Des approches moléculaires, plus compatibles avec l’analyse de routine ont été développées par ACTALIA et l’équipe PROTAL pour détecter les 3 parasites simultanément sur des matrices végétales (Protofood, ANR-09-ALIA-009). Cependant, quelque soit la méthode de détection utilisée, elle met en évidence les parasites vivants et morts. Or, seul un parasite viable pourra être infectieux et donc potentiellement provoquer une maladie. A l’heure actuelle, les modèles in vivo constituent la méthode de choix pour évaluer l’infectiosité de manière précise, sensible et quantitative. Ils sont en revanche coûteux, lourds à mettre en œuvre et présentent un délai de réponse de plusieurs jours voire semaines qui n’est pas compatible avec les attentes des professionnels de l’agroalimentaire. L’objectif de la thèse est de développer des méthodes moléculaires pour caractériser la viabilité des 3 protozoaires dans des matrices alimentaires et disposer d’un outil permettant l’évaluation du risque lié à la détection de ces dangers dans les aliments. Ces méthodes seront comparées à celles qui permettent de mesurer l’infectiosité. Elles seront ensuite mises en œuvre pour évaluer leur potentiel pour déterminer l’efficacité d’inactivation de traitements technologiques sur des matrices alimentaires
In the latest report from EFSA-ECDC (EFSA Journal 2014), parasites are ranked in the 8th position of the etiological agents involved in foodborne outbreaks reported in Europe in 2012. Moreover, in a recent report from the WHO and FAO (2014), Toxoplasma gondii is designated as the first protozoan parasite to be considered in the food domain, followed by Cryptosporidium spp. and Giardia duodenalis. Oocysts of T. gondii and Cryptosporidium spp., and cysts of G. duodenalis are excreted in big quantity by infected hosts and are particularly resistant. Consequently they can be found in the environment during long period and contaminate food matrices (vegetables and molluscs) during primary production. For now, since there are no standard methods to detect these 3 parasites in food samples, only few occurrence data are available and foodborne outbreaks remain neglected. To fill this gap, an ISO standard which describes a method for the detection and quantification of Cryptosporidium and Giardia in green leafy vegetables and red berries fruit by fluorescence microscopy is being draft (ISO 18744). Molecular approaches which are more suitable for routine analyses were developed by ACTALIA and PROTAL to simultaneously detect the 3 parasites in vegetable matrices (Protofood, ANR-09-ALIA-009). Nevertheless, whatever the used detection method, it highlights alive and dead parasites. But solely a living parasite can be infectious and induce pathology. For the moment, animal models are the favorite method to quantitatively evaluate infectivity with accuracy and sensitivity. However they are costly, heavy to implement and display a long time-to-result (from days to weeks) which does not fit with the agro-industrial needs. The objective of the thesis is to develop molecular methods to characterize the viability of the three protozoa in food matrices in order to have a tool allowing risk assessment in food safety. These methods will be compared to infectivity measurement methods. Then they will be implemented to evaluate their potential to determine the efficiency of technological treatments to inactivate protozoa in food matrices
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Gay, Andrieu Françoise. "Apport de la cytométrie en flux à l'étude des interactions hôtes-protozoaires." Lyon 1, 2001. http://www.theses.fr/2001LYO1T097.

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Leriche, Marie-Anne. "Caractérisation du contenu protéique des rhoptries et des granulés denses du tachyzoi͏̈te de Toxoplasma gondii." Montpellier 2, 1989. http://www.theses.fr/1989MON20207.

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Abstract:
Toxoplasma goondi est un protozoaire parasite intracelulaire responsable de la toxoplasmose. L'invasion de la cellule hote semble impliquer des organites particuliers localises a la partie apicale des organismes infectieux (tachyzoites). Le fractionnement subcellulaire de tachyzoites de toxoplasma gondii et l'ultracentrifugation en gradient de densite ont permis d'obtenir une fraction fortement enrichie en rhoptries et legerement contaminee par les granules denses. Cette fraction d'organites a ete utilisee pour produire un immunserum de lapin et des anticorps monoclonaux de souris. Les principaux composants proteiques des rhoptries et des granules denses du toxoplasme ont ete analyses par electrophorese mono et bidimensionnelle et immunoempreinte. Les immunodetections ultrastructurales suggerent l'existence de deux types distincts de phenomenes: 1#o) secretion du contenu de rhoptries dans la membrane de la vacuole parasitophore, intervenant precocement lors de l'invasion de la cellule hote par le parasite. 2#o) exocytose du contenu des granules denses dans le reseau tubulaire intravacuolaire, se produisant plus tardivement, apres installation du toxoplasme a l'interieur de la cellule hote. Des experiences preliminaires ont ete realisees pour rechercher des activites enzymatiques dans la fraction rhoptries granules denses: des phosphatases acide et alcaline et des proteases ont ainsi ete identifiees
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Roques, Magali. "Caracterisation moléculaire et fonctionnelle de la jonction mobile contrôlant l'invasion de la cellule hôte par Toxoplasma gondii." Thesis, Montpellier 2, 2012. http://www.theses.fr/2012MON20250/document.

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Abstract:
Caractérisation moléculaire et fonctionnelle de la jonction mobile contrôlant l'invasion de la cellule hôte par Toxoplasma gondii. Les apicomplexes sont des parasites eucaryotes responsables d'infections humaines et animales, dont le paludisme et la toxoplasmose. La plupart sont des parasites intracellulaires obligatoires ; l'entrée dans la cellule hôte est donc un évènement crucial dans leur cycle de développement. Ce processus, conservé au sein du phylum, implique la sécrétion séquentielle du contenu de deux organites : les micronèmes et les rhoptries. Lors de l'invasion, le parasite établit un contact étroit entre son extrêmité apicale et la membrane plasmique de la cellule hôte, appelé la jonction mobile (JM). La JM est un point d'ancrage à la cellule hôte qui est initié chez Toxoplasma par la sécrétion de protéines du col des rhoptries appelées TgRON2/RON4/RON5/RON8 (complexe de RONs). Ces protéines sont sécrétées dans la cellule hôte et TgRON2 est insérée dans la membrane de la cellule hôte. TgRON2 peut servir de récepteur à la protéine TgAMA1 (Apical Membrane Antigen 1) qui est une protéine de micronèmes sécrétée à la surface du parasite durant l'invasion. L'interaction AMA1-RON2 est également conservée chez Plasmodium, mais il n'existe pas de réactivité croisée entre espèces d'apicomplexes. La résolution de la structure de la protéine recombinante TgAMA1 en complexe avec un peptide TgRON2 nous a permis de déterminer des résidus critiques à l'interaction entre ces deux protéines in vitro et à l'invasion du parasite in vivo, et de définir les bases structurales de la spécificité intra-espèce de l'interaction AMA1-RON2. Par l'obtention d'une souche dépourvue de TgAMA1, nous montrons qu'AMA1 n'est pas essentielle à la survie du toxoplasme, comme il avait été supposé depuis longtemps. Nous confirmons le rôle clé de cette protéine dans l'invasion et la formation de la JM. Les mutants dépourvus d'AMA1 sont capables d'insérer le complexe de RONs dans la cellule hôte mais se détachent plus fréquemment, entrainant des invasions abortives. L'invasion résiduelle observée en absence d'AMA1 pourrait impliquer des protéines homologues à TgAMA1, TgRON2 et TgRON4, dont nous avons entamé la caractérisation moléculaire et fonctionnelle.Mot-clés : Apicomplexes, Toxoplasma gondii, invasion, jonction mobile, micronèmes, rhoptries
Molecular and functional characterisation of the moving junction controlling host cell invasion by Toxoplasma gondiiAbstract:Apicomplexa are eukaryotic parasites responsible for a variety of human and animal diseases, including malaria or toxoplasmosis. Most of them have an obligatory intracellular stage; thus, the invasive process is a crucial step in their developmental cycle. It implies the sequential secretion of two organelles: micronemes and rhoptries. During invasion, the parasite establishes a structure called the moving junction (MJ), which is a close apposition between the apical end and the plasma membrane of host cell. The MJ is an anchoring point for invasion that is initiated in Toxoplasma by the secretion of rhoptry neck proteins named TgRON2/RON4/RON5/RON8 (the RONs complex). These proteins are exported to the host cell cytoplasm and TgRON2 spans the host cell membrane. There, TgRON2 will function as a receptor to Apical Membrane antigen 1 (TgAMA1), which is a micronemal protein displayed on the surface of the parasite during the invasion process. The AMA1-RON2 interaction is conserved in Plasmodium but there is no interspecies cross-binding.We have determined the structure of a TgAMA1 recombinant protein in complex with a TgRON2 peptide, which allowed us to determine which residues are critical for the interaction between both proteins in vitro and for parasite invasion in vivo. Moreover, the co-structure explains at the structural level the evolutionary constraint of the AMA1-RON2 interaction. By generating an AMA1 null strain in T. gondii, we demonstrate that TgAMA1 is not an essential gene, as claimed before. We confirm the importance of AMA1 in invasion and its key role in MJ formation. AMA1 null parasites insert the RON complex into the host cell but are more frequently detached from it, causing abortive invasions. The residual invasion might involve proteins homologous to TgAMA1, TgRON2 and TgRON4, for which the molecular and functional characterization is undertaken.Keywords: Apicomplexes, Toxoplasma gondii, invasion, moving junction, micronemes, rhoptries
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Michelin, Adeline. "Caractérisation moléculaire et fonctionnelle de la jonction mobile contrôlant l'invasion de la cellule hôte par Toxoplasma gondii." Montpellier 2, 2008. http://www.theses.fr/2008MON20171.

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Abstract:
Les Apicomplexa sont des parasites eucaryotes intracellulaires obligatoires responsables d'infections humaines et animales, dont le paludisme et la toxoplasmose. Leur entrée dans la cellule hôte (CH) est un événement crucial et conservé. Elle implique la sécrétion séquentielle du contenu de deux organites: les micronèmes et les rhoptries. Les protéines de micronèmes interviennent dans la motilité parasitaire et l'attachement à la CH, celles des rhoptries dans la formation de la vacuole parasitophore dans laquelle le parasite se développe. Lors de l'invasion, celui-ci établit une jonction étroite entre son extrémité apicale et la membrane plasmique de la CH, appelée la jonction mobile (JM). Cette structure en forme d'anneau migre le long du parasite pendant l'invasion et assure l'ancrage du mécanisme. Nous avons caractérisé pour la première fois chez Toxoplasma gondii, une protéine (RON4) sécrétée à partir du col des rhoptries, localisée à la JM, appartenant à un complexe protéique
Apicomplexan are obligatory intracellular eukaryotic parasites responsibles for human and animal infections, including malaria and toxoplasmosis. Their host cell (HC) entry is a crucial and conserved event. It involves sequential secretion of the content of two organelles: micronèmes and rhoptries. Micronemes proteins are involved in gliding motility and HC attachment, whereas rhoptries proteins contribute to the formation of the parasitophorous vacuole (PV) in which the parasite multiply. During invasion, a close apposition between the parasite and the HC membrane is formed, that is called moving junction (MJ). It is a ring-like structure which moves backward along the parasite during invasion and which ensures the anchoring of the mechanism. We have characterized for the first time in Toxoplasma gondii, a protein (RON4) secreted from the rhoptry neck, localized at the MJ, belonging to a protein complex
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Bekhti-Erraziqi, Khadija. "Interactions entre les phagocytes murins et les sporozoi͏̈tes d'Eimeria falciformis var. Pragensis ; étude in vitro." Montpellier 2, 1990. http://www.theses.fr/1990MON20180.

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Abstract:
L'interaction in vitro des sporozoites d'eimeria falciformis var. Pragensis et des cellules phagocytaires, macrophages et neutrophiles prelevees du peritoine des souris indemnes ou infectees, est etudiee. Une activite anticoccidienne, lyse intracellulaire des sporozoites par les macrophages, ou extracellulaire par les polymorphonucleaires neutrophiles, est demontree. Dans le systeme des macrophages, cette activite n'est observee, ni en presence du serum immun decomplemente, ni avec des macrophages appartenant a des souris vierges. Cependant, elle est obtenue avec des macrophages immuns d'une part ou normaux mais pretraites par du milieu conditionne ou certaines cytokines (rifn , gm-csf, rifn , tnf) d'autre part. Un pretraitement de ces macrophages par la chloroquine inhibe la digestion des parasites et conduit a leur accumulation dans les cellules. Des experiences d'immunoadsorption montrent que les anticorps actifs dans ce systeme sont des igg2a. Dans le systeme des neutrophiles (e/t>2/1), la lyse est observee apres 6 heures d'incubation. Elle depend de la presence des cations mg#2#+ et ca#2#+ dans le milieu. Des experiences d'inhibition de la fonction de ces cellules par la dexamethasone ou l'inhibition des mecanismes de la lyse par differents agents ont montre que l'activite anticoccidienne des pmn est reelle et qu'elle fait intervenir des anions peroxides et des secretions enzymatiques. Deux acmo c20-3 (igg2a), d14-5 (igg1) sont actifs dans les deux systemes. Ces acmo reconnaissent les memes proteines de 27-30 kda. Celles-ci seront purifiees, injectees a des animaux hotes afin de determiner leur capacite de protection contre les infections ulterieures
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Despommier, Dickson D. Parasite life cycles. New York: Springer-Verlag, 1987.

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2

R, Baker John, ed. Parasitic protozoa. Boston: Allen & Unwin, 1987.

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3

1926-, Kreier Julius P., ed. Parasitic protozoa. 2nd ed. San Diego: Academic Press, 1993.

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4

Ahmed, Khan Naveed, ed. Emerging protozoan pathogens. New York: Taylor & Francis Group, 2008.

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Despommier, Dickson D., and John W. Karapelou. Parasite Life Cycles. Springer London, Limited, 2012.

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6

Parasite Life Cycles. Springer, 2011.

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7

Parasite Life Cycles. Springer, 2011.

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Kreier, Julius P. Parasitic Protozoa (Parasitic Protozoa 2nd Edition). 2nd ed. Academic Press, 1993.

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9

Parasitic Protozoa, Volume 5. 2nd ed. Academic Press, 1993.

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10

Khan, Naveed Ahmed. Emerging Protozoan Pathogens. Taylor & Francis Group, 2008.

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