Academic literature on the topic 'Pythagore (0580?-0500? av. J.-C.) – Influence'

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Dissertations / Theses on the topic "Pythagore (0580?-0500? av. J.-C.) – Influence"

1

Vinel, Nicolas. "L' "In Nicomachi arithmeticam" de Jamblique." Clermont-Ferrand 2, 2008. http://www.theses.fr/2008CLF20001.

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Abstract:
Cette thèse de doctorat vise à réhabiliter un texte marqué au fer rouge par la philologie du XIXe siècle : l'"In Nicomachi arithmeticam" du philosophe syrien Jamblique de Chalcis (IIIe-IVe s. ), que les néoplatoniciens postérieurs n'hésitaient pas à qualifier de "divin", à l'égal de Platon, mais dont le traité sur l'arithmétique pythagoricienne est injustement connu comme une piètre paraphrase de la fameuse "Introduction arithmétique" de Nicomaque de Gérase (Ie-IIe s. ). En réalité, Jamblique a composé une nouvelle "Introduction à l'arithmétique". Ce projet engageait non seulement le souci de transmettre d'autres sources pythagoriciennes, pour lesquelles il s'avère un témoin précieux, mais aussi la pensée de Jamblique lui-même, dont la "virtuosité conceptuelle" louée par le philosophe Damascius fait de ce texte une oeuvre novatrice à bien des égards, notamment par la première élaboration, avant même la tradition indienne, du concept arithmétique opératoire que nous appelons "zéro". Le legs philologique du XIXe siècle pèse aussi lourdement sur la tradition manuscrite de l'"In Nicomachi arithmeticam", dont l'édition de référence, publiée en 1894, est fondée sur des principes obsolètes et des conclusions erronées. La réhabilitation de cette oeuvre passe donc aussi par une nouvelle édition critique, grâce à un classement de toute la tradition manuscrite et un travail sytématique sur les nombreuses corruptions du texte, ainsi que par une première traduction française
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2

Périllié, Jean-Luc. "Symmetria et commensurabilité : principes pythagoriciens de la rationalité harmonique dans les sciences et dans les arts." Grenoble 2, 2000. http://www.theses.fr/2000GRE29038.

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3

Macris, Constantinos. "Le Pythagore des néoplatoniciens : recherches et commentaires sur le mode de vie pythagoricien de Jamblique." Paris, EPHE, 2004. http://www.theses.fr/2004EPHE5073.

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Abstract:
A la fin du IIIe siècle, le philosophe syrien Jamblique (J. ) écrit en grec un « Décalogue » sur la secte pythagoricienne, qui s’ouvre sur un traité où sont exposés la biographie paradigmatique de Pythagore (P. ) et le mode de vie pratiqué par ses adeptes. Les recherches réunies dans la présente thèse ont pour but de mettre en évidence comment J. « néoplatonise » les matériaux traditionnels au sujet de P. , tout en restant fidèle à ceux-ci. L’analyse critique du contenu du traité montre l’importance accordée par J. Aux « voies de la Paideia » introduites par P. Et aux six vertus constitutives du mode vie pythagoricien. L’essai introductif voudrait situer le traité au sein d’une vaste entreprise de renaissance du pythagorisme destinée à revendiquer pour celui-ci le statut de Hairesis. Le commentaire des chapitres I-VI (1-32) relève la prégnance des thèmes néoplatoniciens, et proprement jambliquéens : rhétorique de l’éloge et discours « hagiographique » ; origine syrienne de P. ; statut apollinien de son âme envoyée par les Dieux ; valorisation de son apprentissage auprès des sages orientaux ; récurrence de la thématique éducative ; assimilation de P. à un être supérieur-bienfaiteur de l’humanité. Le commentaire du chapitre XXXVI, en annexe, propose une série de fiches prosopographiques sur les 253 pythagoriciens du catalogue final de J. En annexe, sont proposées également : A. ) Une étude sur l’utilisation de la littérature pseudo-pythagoricienne par J. Et sur l’appréciation positive qu’il lui réserve. B. ) Un examen de la figure de ce maître charismatique de la fin de l’époque archaïque que fut P. à la lumière des catégories sociologiques wébériennes du « charisme » et du « prophète »
In the late third century A. D. , the Syrian philosopher Iamblachus wrote in Greek a 10-volume work on the Pythagorean sect, which starts with a book exposing Pythagoras’s paradigmatic biography as well as the way of life practiced by his adepts. The studies presented in this dissertation aim to show how Iamblachus “neoplatonizes” the traditional material pertaining to Pythagoras without radically departing from it. The critical analysis of the contents of the “De vita Pythagorica” reveals the emphasis put by Iamblachus on the “ways of Paideia” introduced by Pythagoras and on the “virtues” which constitute the Pythagorean way of life. The introduction essay situates Iamblachus’ book on Pythagoras in the context of a vast enterprise of revival of the Pythagorean tradition, which claimed for the latter the status of Hairesis. The commentary dedicated to the chapters I-VI (1-32) points out the pregnancy of the neoplatonic / imblichean themes : rhetoric of praise and “hagiographic” discourse ; Syrian origin of Pythagoras ; Apollonian status of his soul, which has been sent by the gods ; recurrence of educational themes ; Pythagoras’ assimilation to a superior being and to a benefactor of humanity etc. The commentary on chapter XXXVI proposes a series of prosopographical files on the 235 Pythagoreans appearing in Iamblachus’ final catalogue. To our dissertation we have also appended a study of Iamblachus’ use of pseudo-Pythagorean literature, and of his extremely positive appreciation of it, and a second one dedicated to the figure of Pythagoras viewed as a charismatic master of wisdom of the archaic period, in the light of Max Weber’s sociological categories of “Charisma” and of the “Prophet”
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4

Hedde, d'Entremont Henri. "Principes mathématiques de philosophie politique." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040323.

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Abstract:
Quel rapport intrinsèque existe-t-il entre mathématiques et politique ? Hors des liens de pure logistique, tout semble séparer, sinon même radicalement opposer, a priori, la politique - art suprême de gouverner les sociétés - et les mathématiques, science exacte qui régit l’ordre et la quantité. Ces deux sommets de l’esprit humain semblent aux antipodes l’un de l’autre avec, d’un côté, la volonté politique de l’homme et de l’autre le déterminisme mathématique du nombre. Compte tenu de la distance séparant, a priori, l’homme et le nombre, la volonté et le déterminisme, quel rapport essentiel - quel langage commun - peut-il exister entre la politique et les mathématiques ? Alors que les sources traitant séparément des mathématiques et de la politique sont innombrables, il n’existe aucun traité, aucune thèse, aucune référence notable, mettant systématiquement en face à face direct ces deux piliers de la modernité. Ce silence des sources étonne d’autant plus que la célèbre apostrophe de Galilée aura bientôt quatre siècles : « Le livre de Nature est écrit en langage mathématique sans l’usage duquel nul ne saurait comprendre un seul mot ». Pourquoi n’en serait-il pas de même en politique ? Toute la question est donc de savoir s’il est possible de soutenir la thèse que « Le livre de la science politique est, lui aussi, écrit en langage mathématique sans l’usage duquel nul ne saurait comprendre un seul mot ». Auquel cas - toute théorie politique étant, à la fois, une théorie de l’homme, une théorie du langage et une théorie de l’histoire -, comment imaginer que les enjeux suspendus à cette problématique puissent ne pas être à la mesure de l’universalité des mathématiques ?
Which intrinsic connexion exists between mathematics and policy ? Out of pure logistic bonds, all seems to separate, if not even radically to oppose, a priori, the policy - supreme art to control societies - and mathematics, exact science which governs order and quantity. These two tops of human spirit seem both in total opposition , with, on one hand, the political good-will of man and, on the other hand, mathematical determinism of the number. Taking into account distance separating, a priori, man and number, will and determinism, which essential relation - which common language - can exist between policy and mathematics ? Whereas sources, separately treating of mathematics and policy, are innumerable, it does not exist any treaty, any thesis, any notable reference, systematically putting face to face, in a direct way, these two columns of modernity. This silence of the sources astonishes, particularly because of Galileo’s apostrophe, celebrated it will have soon four centuries : "The book of Nature is written in mathematical language, the use of which is absolutly necessary to understand any word". Why wouldn’t it not be the same with Policy ? All the question is thus to know if it is possible to support the thesis that : « The book of Policy is written in mathematical language, the use of which is absolutly necessary to understand any word ». . In which case - any political theory being, at the same time, a theory of man, a theory of language and a theory of histoty -, how to imagine that the stakes hanging from this problématique could not be in line with mathematics’ universality ?
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5

Figari, Joël. "La philosophie pythagoricienne de la musique." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040168.

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Abstract:
La philosophie de la musique attribuée aux premiers Pythagoriciens est habituellement considérée comme une doctrine des nombres. De nombreux témoignages le confirment en effet. Mais à cette interprétation peut être opposée une antithèse : car la musique apparaît aussi, de Pythagore à Archytas, comme une phénomène sonore. Comment faut-il donc comprendre la relation entre le modèle mathématique de l'harmonie et la réalisation sonore de la musique ? Ce problème philosophique remet en question l'interprétation du pythagorisme présocratique. Il nous révèle une figure inhabituelle des premiers Pythagoriciens, prenant part à la vie musicale de leur temps, et ne restant pas confinés à leur rôle de théoriciens. L'acoustique s'inscrit, avec la physiologie de l'audition, dans une physique où le domaine de la musique est spécifié. L'"harmonie des sphères" n'est qu'une déformation aberrante de l'harmonie musicale par l'astronomie ; elle s'accentue à l'époque de Platon, mais se trouve disqualifiée par la critique d'Aristote. Cependant, l'harmonie des contraires demeure, bien plus que les nombres, le principe fondamental de toutes choses. Ce principe cosmique reçoit une application particulière en musique : le domaine infini du son (diastema) et son expression mathématique finie (logos) sont en effet réunis par l'harmonie des contraires. C'est pourquoi la musique n'est pas seulement une mathématique ou une dialectique, mais aussi une action éthique et une philosophie. Aux yeux des premiers Pythagoriciens, la science harmonique doit ainsi correspondre à la musique de leur temps, pour le bienfait de la cité.
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