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Journal articles on the topic 'Races porcines'

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BIDANEL, J. P., and D. MILAN. "La recherche de QTL àl’aide de marqueurs : résultats chez le porc." INRAE Productions Animales 13, HS (December 22, 2000): 223–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.hs.3842.

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Abstract:
Le programme de détection de QTL dans une population F2 issue du croisement entre les races porcines Meishan (MS) et Large White (LW) réalisé à l’INRA est présenté. Des mesures de croissance, de composition corporelle, de qualité de la viande, de développement sexuel mâle et femelle, de prolificité et de réactivité comportementale et neuroendocrinienne ont été effectuées sur 530 mâles et 573 femelles F2, nés de 6 verrats et 17 truies F1, eux-mêmes issus de 6 verrats LW et 6 truies MS. Le génotype de l’ensemble des animaux a été déterminé à l’aide de séquenceurs automatiques pour un total de 115 marqueurs microsatellites couvrant l’ensemble du génome porcin. Les données ont été analysées par chromosome (analyse multipoint) à l’aide d’une procédure du maximum de vraisemblance prenant en compte la structure familiale des données. Des QTL ont été mis en évidence ou suggérés sur l’ensemble des chromosomes, à l’exception des chromosomes 16 et 18.
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Youssao Abdou Karim, Issaka, Ignace Ogoudanan Dotche, Soumanou Seibou Toleba, Kevin Sagui Kassa, Serge Gbênagnon Ahounou, Chakirath Salifou, Mahamadou Dahouda, Nicolas Antoine-Moussiaux, Jean-Paul Dehoux, and Guy Apollinaire Mensah. "Caractérisation phénotypique des ressources génétiques porcines des départements de l’Ouémé et du Plateau au Bénin." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (July 3, 2018): 59. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31219.

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Abstract:
L’élevage porcin est très pratiqué au Sud-Bénin et implique une diversité de races ou de populations. L’objectif de l’étude était de caractériser les différents porcs sur le plan morphométrique et phénotypique. Ainsi, les données phénotypiques ont été collectées sur 149 porcs, dont 14 améliorés, 91 croisés et 44 locaux. Les porcs de type génétique local ont présenté des mesures morphologiques significativement inférieures (p < 0,05) à celles des porcs améliorés et des animaux issus des croisements entre les porcs améliorés et les porcs locaux. Les poils des porcs locaux étaient significativement plus courts (p < 0,05) que ceux des porcs améliorés et des croisés. La couleur de la robe a varié d’un type génétique à l’autre. La couleur la plus rencontrée a été le blanc uniforme, suivi du noir uniforme chez tous les types génétiques. Le profil de la tête était plus rectiligne chez les porcs locaux, et plus concave chez les porcs améliorés et chez les croisés. Les oreilles dressées étaient moins observées chez les croisés. Elles étaient orientées vers l’avant chez les porcs améliorés et chez les croisés alors qu’elles étaient dressées et orientées vers l’arrière chez les porcs locaux. La queue en tire-bouchon a été significativement (p < 0,05) plus présente chez les porcs améliorés que chez les porcs croisés, et elle a été plus présente chez ces derniers que chez les porcs locaux. La ligne dorsale droite a été davantage observée chez les porcs locaux et chez les croisés que chez les porcs améliorés chez lesquels la ligne était plus creuse. Les porcs croisés ont présenté une grande similarité avec les porcs améliorés.
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Porphyre, Vincent, and Denis Bastianelli. "Editorial - L'élevage porcin dans les pays tropicaux." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (February 9, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31682.

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Abstract:
Les porcins assurent environ 35 % de la production de viande au niveau mondial, à égalité avec la volaille (FAOstat, 2019). En Afrique subsaharienne, cette proportion est largement inférieure en raison d’une forte tradition de production bovine et des interdits religieux autour de la consommation de viande de porc dans de larges parties de la zone. Elle représente cependant 11,9 % de la production de viande de la région et sa croissance a été de 50 % entre 2007 et 2017. Dans les régions où elle est pratiquée, la porciculture joue un rôle social et économique important lorsqu’elle se pratique à petite échelle, souvent combinée à d’autres activités agricoles.La production porcine se heurte cependant à de nombreuses difficultés sanitaires (peste porcine africaine, zoonoses), techniques (génétique, alimentation) et sociales (acceptabilité des élevages autour des lieux d’habitation). Face à ces défis, de nombreuses équipes de recherche sont mobilisées dans les différents pays producteurs. Cependant, les chercheurs sont souvent isolés et peinent à faire connaître leurs travaux à la communauté scientifique et à intégrer les réseaux scientifiques internationaux.Ce numéro thématique rassemble treize articles originaux et synthèses consacrés à la porciculture en région tropicale. Les questions socio-économiques sont abordées à travers des exemples de filières en Afrique mais aussi au Vietnam ou dans les Caraïbes. Les travaux présentés montrent les difficultés de ces filières soumises à des contraintes multiples. Souvent périurbaine, la production porcine doit se faire discrète et notamment minimiser ses nuisances. Ces conditions rendent difficiles une structuration et une professionnalisation qui permettraient un appui accru des autorités et une diminution des risques zoonotiques. Les systèmes d’élevage doivent en outre s’adapter à des contextes changeants où leur industrialisation bouleverse leur fonctionnement technique et économique et remet en question leur rôle dans les systèmes traditionnels basés sur l’intégration agriculture-élevage.Au niveau technique, l’alimentation reste la contrainte majeure pour les producteurs et le principal coût de production dans les contextes étudiés. Des pistes d’utilisation de ressources locales (tourteaux d’hévéa ou d’anacarde, patates douces) sont proposées pour diminuer l’incorporation d’ingrédients plus onéreux. Les pratiques d’alimentation autour du sevrage peuvent également améliorer le démarrage des animaux et leurs performances ultérieures. Enfin, les choix génétiques sont mis en débat, soit pour comparer les performances des porcs locaux ou améliorés, soit pour promouvoir des races locales à valeur patrimoniale.Les questions sanitaires restent une inquiétude majeure. En Afrique, la peste porcine africaine demeure une menace constante ; de plus, les pathologies sont nombreuses et impactent fortement la production. Les caractéristiques des systèmes de production et de commercialisation augmentent les risques de contamination et rendent difficiles les politiques de prévention. Il y a pourtant un défi sanitaire majeur pour les filières porcines car, au-delà de l’impact sur la production, les zoonoses, mais aussi la dispersion de souches microbiennes résistantes aux antibiotiques, sont des enjeux de santé publique prioritaire. Continuer la recherche, partager les résultats, constituer des réseaux nationaux, régionaux et internationaux : voilà autant d’efforts qui doivent être poursuivis. Au travers de ce numéro thématique, la Revue continue son travail de valorisation des résultats les plus marquants obtenus par des chercheurs travaillant dans des conditions matérielles et partenariales parfois difficiles. Nous pouvons d’ores et déjà annoncer que d’autres articles, en complément de ce numéro thématique, seront publiés dans les prochains numéros de la Revue afin de maintenir notre engagement en faveur de la promotion de la recherche porcine dans les Suds.
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J. P, Miassangoumouka, Amona I, and H. Banga-Mboko. "Dépistage sérologique de la brucellose porcine et analyse des facteurs de risques dans les élevages à Brazzaville, République du Congo." Journal of Animal & Plant Sciences 42.1 (October 31, 2019): 7127–38. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v42-1.4.

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Abstract:
1 RESUME La brucellose est une maladie abortive présente au Congo depuis quelques décennies. La présente étude vérifie l’hypothèse selon laquelle la brucellose sévit dans les élevages porcins de Brazzaville. L’étude avait donc pour objectif d’évaluer la prévalence de l’infection brucellique dans 25 élevages porcins de Brazzaville. Un total de 59 sérums sanguins prélevés sur des échantillons d’animaux non immunisés et en âge de reproduction, a été contrôlé par le test de Rose Bengale. A l’issue du test, sept sérums se sont révélés positifs sur 59 soit une prévalence globale de 11,86%. Une variation du taux d’infection entre les arrondissements, les sexes et les races a été observée. Le taux de prévalence le plus élevé a été noté dans l’arrondissement 9 Madibou (10,17 %). Les verrats ont été plus affectés (10,63 %) que les truies (16,66%). Au niveau des races, les animaux les plus atteints étaient issus des croisements (20%) suivi de la race Landrace (13,63%), confirmant ainsi l’hypothèse de ce travail. L’infection se perpétue dans les troupeaux à cause des pratiques traditionnelles d’élevage fonctionnant sans suivi zoo sanitaire avec des nombreux échanges de reproducteurs. Pratiques engendrant aussi des risques importants de santé publique. Cette étude suggère un dépistage systématique et régulier de tout le cheptel porcin existant dans tout le pays, y compris à l’importation, suivi de l’abattage des animaux positifs. Il est également impérieux de mener des campagnes de sensibilisation aux populations sur la brucellose et compléter l’étude par le dépistage de l’infection humaine. Serological testing of porcine brucellosis and analysis of risk factors in pig farming in Brazzaville, Republic of Congo ABSTRACT Brucellosis is an abortive disease most present in Africa and the present study hypothesized the presence of Brucella antibodies in swine in Congo. The aim of the study was to evaluate the prevalence of the brucellosis infection in pig breeding in Brazzaville. Fifty nine 59 blood serums collected from samples of non-immunized animals and at reproduction age, were screened with Rose Bengal Test (RBT). At the end of the test, seven serums were positive with global prevalence of 11.86 %, confirming the hypothesis of the presence of the brucellosis in the Congolese pig population. A variation of the rate of infection between districts, sexes and races was observed. The highest prevalence rate was noted in the district 9 Madibou (10.17 %). Boars are more allocated than sows is 16.66 % against 10.63%. The most affected animals come from crosses (20%) followed by the Landrace breed (13.63%). The infection is dispread in the herds because of the traditional practices of breeding operating without animal health follow-up with many exchanges between breeders. Practices that also generate significant public health risks. Thus, to control swine brucellosis, it is suggested a systematic and regular tracking of all the existing pig herd in all the country, including with the imported pigs, followed by the slaughter of positive animals. It is also imperative to conduct public awareness campaigns on brucellosis and to complete this study by screening for human infection.
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BIDANEL, J. P., P. LE ROY, L. OLLIVIER, M. BONNEAU, P. CHARDON, J. M. ELSEN, J. GELLIN, and D. MILAN. "Etablissement et utilisation de la carte génétique porcine." INRAE Productions Animales 9, no. 4 (August 17, 1996): 299–310. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.4.4063.

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Abstract:
Des programmes de cartographie des génomes des principales espèces animales d’intérêt économique se sont développés depuis quelques années. Cet article fait le point sur l’état d’avancement et les perspectives d’utilisation de la carte génétique porcine. Après une présentation des principes généraux de la cartographie génétique, les résultats des principaux programmes de cartographie du génome porcin sont présentés. Différentes perspectives d’utilisation des cartes génétiques sont ensuite évoquées. Les possibilités et les modalités d’utilisation des marqueurs génétiques pour la détection et la localisation de locus à effets quantitatifs (QTL) sont présentées. L’intérêt de la cartographie comparée pour l’identification des QTL est illustré à partir de l’exemple du système majeur d’histocompatibilité. Quelques perspectives d’utilisation de l’information apportée par les marqueurs dans les programmes d’amélioration génétique (introgression d’un gène, sélection assistée par marqueurs) sont ensuite évoquées. Enfin, les principaux programmes de recherche utilisant la carte génétique porcine actuellement en cours à l’INRA (programmes de localisation de gènes RN et MU, programme de recherche des QTL responsables de la variabilité génétique entre les races Meishan et Large White) sont présentés.
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BIDANEL, J. P., P. LE ROY, L. OLLIVIER, M. BONNEAU, P. CHARDON, J. M. ELSEN, J. GELLIN, and D. MILAN. "Etablissement et utilisation de la carte génétique porcine." INRAE Productions Animales 9, no. 4 (August 20, 1996): 299–310. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.4.4070.

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Abstract:
Des programmes de cartographie des génomes des principales espèces animales d’intérêt économique se sont développés depuis quelques années. Cet article fait le point sur l’état d’avancement et les perspectives d’utilisation de la carte génétique porcine. Après une présentation des principes généraux de la cartographie génétique, les résultats des principaux programmes de cartographie du génome porcin sont présentés. Différentes perspectives d’utilisation des cartes génétiques sont ensuite évoquées. Les possibilités et les modalités d’utilisation des marqueurs génétiques pour la détection et la localisation de locus à effets quantitatifs (QTL) sont présentées. L’intérêt de la cartographie comparée pour l’identification des QTL est illustré à partir de l’exemple du système majeur d’histocompatibilité. Quelques perspectives d’utilisation de l’information apportée par les marqueurs dans les programmes d’amélioration génétique (introgression d’un gène, sélection assistée par marqueurs) sont ensuite évoquées. Enfin, les principaux programmes de recherche utilisant la carte génétique porcine actuellement en cours à l’INRA (programmes de localisation de gènes RN et MU, programme de recherche des QTL responsables de la variabilité génétique entre les races Meishan et Large White) sont présentés.
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Hadzi, Y. N. "LES POPULATIONS DE BETAIL PRESENTES AU TOGO." Animal Genetic Resources Information 17 (April 1996): 35–49. http://dx.doi.org/10.1017/s1014233900000560.

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Abstract:
RESUMELe cheptel togolais se compose de bovins, de petits ruminants, de porcins et de volailles. Les deux régions septentrionales et la région centrale du pays abritent plus de la moitié du cheptel bovin. La population de petits ruminants est composée essentiellement d'ovins et de caprins; ces derniers sont principalement concentrés dans les deux régions méridionales où leur viande est plus appréciée que celle des ovins. Les élevages traditionnels de porcins sont répartis dans tout le pays, mais sont plus concentré s dans la région Maritime. La race locale prédomine car l'introduction des races améliorées a été faite sur une échelle très limitée. L'élevage de volailles de races locales est aussi très répandu, mais la densité rapportée au nombre de ménages agricoles est plus élevée dans le nord que dans le sud du pays.
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Yapi-Gnaore, C. V., B. A. Oya, and Zana Ouattara. "REVUE DE LA SITUATION DES RACES D'ANIMAUX DOMESTIQUES DE COTE D'IVOIRE." Animal Genetic Resources Information 19 (April 1996): 91–108. http://dx.doi.org/10.1017/s101423390000081x.

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Abstract:
RESUMEL'article présente une révision intéressante de l'état actuel des ressources génétiques animales en Cóte d'Ivoire. Les cinq espéces principales (bovins, ovins, caprins, porcins et volailles) sont présentées. I1 existe trois groupe de bovins autochtones: le Baoulé, le N'Dama et le Lagune; les deux derniers sont considérés trypanotolérants. Le Baoulé posséde une population de presque 500 000 animaux et le N'Dama quelques 100 000, tandis que la population de Lagune de petite taille est de moins de 1000. I1 existe également u.ne population transhumante formée de zébus croisés (Baoulé x zébu) ainsi que de N'Dama croisés avec des German Fleckvieh ou des French Abondance. La race d'ovin plus répandue est la fameuse Djallonké (environ 1200 000 animaux) que l'on rencontre aussi bien dans les foréts que dans les savannes. L'Institut des Sciences a initié un programme de sélection en 1980 qui se poursuit actuellement. Dans le cas des chévres la seule race présente est la naine de l'Afrique de l'ouest, appelée aussi Djallonké, avec une population de un peu moins de 1 000 000. Les secteurs porcins et de volailles sont dominés par la présence de races locales et de quelques croisements avec des races importées. L'article présente une description approfondie des systémes de production traditionnels et de leur évolution; il donne également des indications sur les normes de conservations existantes pour les races N'Dama, Baoulé et Djallonké.
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LEBRET, B. "Conséquences de la rationalisation de la production porcine sur les qualités des viandes." INRAE Productions Animales 17, no. 2 (May 20, 2004): 79–91. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.2.3555.

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Abstract:
Le porc est la viande la plus consommée en France actuellement. La production nationale a doublé depuis les années 60, grâce à la mise en place d’un plan de rationalisation de la production. Les performances techniques des élevages (prolificité, vitesse de croissance, proportion de tissus maigres des carcasses) ont fortement progressé, grâce aux importants progrès réalisés en génétique, en nutrition animale et dans la conduite des élevages. Ces gains de productivité ont permis de répondre à la demande croissante pour une viande de plus en plus maigre à un prix compétitif. Cependant, l’élevage porcin rationalisé est maintenant jugé responsable d’une détérioration de la qualité des produits proposés aux consommateurs. Après une présentation des composantes de la qualité des carcasses et des viandes de porc, l’article fait le point sur l’effet de l’accroissement de la productivité sur ces qualités. Les faits majeurs sont l’augmentation de la teneur en muscle des carcasses, ainsi que l’identification de gènes à effet majeur sur la qualité de viande (HAL et RN) et l’éradication des allèles défavorables n (dans les lignées maternelles) et RN-. L’indice de qualité de viande, seul critère de qualité inclus dans les programmes de sélection, est resté globalement stable depuis 20 ans dans les races contrôlées, conformément à l’objectif fixé. Une évaluation du progrès génétique réalisé en race Large White depuis 1977 montre une réduction du pH ultime et du rendement à la cuisson des viandes, alors que le taux de lipides intramusculaires, composante favorable aux propriétés sensorielles, est resté stable. L’aptitude à la transformation en produits secs de la bardière s’est dégradée, toutefois ce défaut peut être corrigé en partie par une alimentation appropriée distribuée aux animaux. En conclusion, la rationalisation de la production porcine a permis d’améliorer les qualités des carcasses, sans entraîner de dégradation majeure des qualités des viandes dans les races utilisées en production standard, voire de les améliorer dans les lignées où la fréquence des allèles n et RN- était élevée.
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COUDURIER, B. "Contraintes et opportunités d’organisation de la sélection dans les filières porcine et avicole." INRAE Productions Animales 24, no. 4 (September 8, 2011): 307–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.4.3263.

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Abstract:
L’organisation des schémas de sélection découle des particularités biologiques (prolificité, intervalle de générations…) propres àchaque espèce ou groupe d’espèces, ainsi que de la nature des caractères d’intérêt (précoces, tardifs…). Dans les filières porcine etavicole, où la diffusion des reproducteurs est largement mondialisée, la concurrence entre opérateurs induit une course au progrèsgénétique impliquant de maximiser l’efficacité de la sélection dans les races ou lignées pures, ainsi que de profiter des différents avantagesdu croisement (hétérosis, complémentarité entre populations, utilisation de gènes majeurs) dans les limites permises par le tauxde reproduction élevé de ces espèces. La mise en oeuvre de ces principes conduit à des modalités d’organisation des schémas de sélectionet de croisement de type pyramidal, caractéristique de ces filières. Elles exercent en retour un effet structurant sur les opérateursgénétiques eux-mêmes, conduisant à une typologie caractéristique, modulée par certaines particularités biologiques des animaux (format...),par la segmentation du marché des produits commerciaux dans la filière avicole (espèces, marchés de niche…), et par l’importancerelative du secteur privé (partielle en filière porcine, totale en filière avicole). L’arrivée de la sélection génomique ne devraitpas bouleverser cette typologie, mais pose des problèmes de faisabilité économique.
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Logténé, Y. Mopaté, M. O. Koussou, and C. Y. Kaboré-Zoungrana. "L'élevage porcin au Tchad: Bilan de l'introduction, de l'amélioration et de la diffusion des races exotiques." Animal Genetic Resources Information 38 (April 2006): 87–98. http://dx.doi.org/10.1017/s101423390000208x.

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Abstract:
RésuméLe porc local d'origine ibérique a été introduit au Tchad en 1918, par des missionnaires en provenance du Cameroun. Ensuite en 1951, le porc limousin originaire de France fut importé par le service de l'élevage afin d'améliorer le format et le rendement du porc local. Après quatre années d'essais, ce programme a été abandonné au Nord, essentiellement pour des raisons religieuses. En revanche, dans la partie sud majoritairement non musulmane, la diffusion a enregistré un succès relatif jusqu'en 1958. Par la suite, des géniteurs de la race Yorkshire et Berkshire furent importés du Moyen Congo. Quelques élevages “semi-industriels”, installés dans les années 1950 et aux mains des expatriés, ont adopté ces races et ont contribué à l'exportation de viande dans la sous-région de l'Afrique Equatoriale française (AEF). Les traditions d'élevage des populations locales, l'appui des services agricoles et des sociétés de développement (Paysannats et Communautés villageoises) de la région ont contribué au succès relatif de cette diffusion. En outre, l'absence des relevés zootechniques précis, n'a pas permis d'apprécier les performances de ces races et des métis. L'alimentation, le gardiennage défectueux et le manque de déboucher pour la production paysanne ont été des obstacles majeurs au développement et à la vulgarisation de l'élevage porcin en milieu paysan.
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Okri Fréjus Hans, OHOUKO, KOUDOUVO Koffi, DOUGNON Tossou Jacques, AGBONON Amegnona, and GBEASSOR Messanvi. "Pratiques d’élevage de porcs au Sud-Bénin : utilisation des plantes dans la gestion alimentaire et sanitaire." Journal of Animal & Plant Sciences 44, no. 3 (June 30, 2020): 7677–94. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v44-3.1.

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Abstract:
L’élevage de porcs au Bénin continue de faire face aux contraintes d’ordres alimentaires et sanitaires, caractéristiques fondamentales de la régression du taux de production porcine. L’objectif de cette étude est de répertorier les pratiques relatives à l’utilisation des plantes pour des fins alimentaires et de santé animales en vue de les améliorer. Ainsi, 70 éleveurs de porcs ont été interviewés sur la base d’un questionnaire prenant en compte les techniques d’élevages, la gestion sanitaire, alimentaire et des infrastructures, mais aussi l’utilisation des plantes dans l’élevage. Il en ressort que la majorité des éleveurs sont de sexe masculin (91,43%) et essentiellement caractérisés par les niveaux d’études primaire (34,29%) et secondaire (40%). Les porcs de races améliorées (94,29%) sont priorisés au Sud-Bénin et ces porcs sont élevés en claustration permanente pour la plupart avec une dominance d’habitats en dur (85,71%). La majorité des éleveurs formulent eux même leurs rations alimentaires avec des suppléments de fourrages. La gale (68,57%) et la peste porcine africaine (38,57%) ont été les pathologies les plus citées par les éleveurs. Au total, 42 espèces végétales appartenant à 23 familles botaniques ont été identifiées au cours de cette étude. Ces plantes sont utilisées aussi bien pour l’alimentation (60%) que pour le traitement de maladies (19%) ou les deux modes (29%). Moringa oleifera (15,14%), Carica papaya (13,3%), Manihot esculenta (12,39%), Ipomea aquatica (9,17%) et Talinum triangulare (8,72%) ont été les plantes les plus citées. Les feuilles (78%) constituent la partie la plus utilisée au niveau des plantes. Au total, 22 recettes ont été recensées, constituées d’une seule plante chacune et administrées le plus par voie orale et sous la forme de crudité. La recette impliquant Carica papaya (17,44%) dans le traitement de la parasitose digestive a été plus citée. De plus, une indication a été enregistrée auprès des éleveurs de porcs du Sud-Bénin pour le traitement de la peste porcine africaine impliquant Cochlospermum planchonii (6,98%). Les résultats obtenus sont la preuve que la flore béninoise dispose de plantes utilisées en alimentation et dans les soins de santé porcine qui peuvent faire objet de la production de provende et de phytomédicament utilisables en médecine vétérinaire.
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Dotché, Ignace Ogoudanan, Serge Gbênagnon Ahounou, Chakirath Folakè Arikè Salifou, Rodrigue Biobou, Pascal Sègbégnon Kiki, Benoit Govoeyi, Nicolas Antoine-Moussiaux, et al. "Critères de choix et de réforme des reproducteurs mâles et femelles dans les élevages de porcs des départements de l’Ouémé et du Plateau au Bénin." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (September 9, 2018): 47. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31224.

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Abstract:
L’objectif de l’étude a été de décrire les critères de choix et de réforme des reproducteurs porcins au Bénin. Une enquête a été réalisée auprès de 65 éleveurs porcins. L’analyse factorielle des correspondances a été utilisée pour identifier des groupes d’éleveurs en fonction de leurs pratiques au niveau de chaque sexe. Le groupe 1 était composé en majorité de personnes non scolarisées élevant principalement des porcs locaux en liberté. Le groupe 2 était composé majoritairement d’éleveurs de niveau du primaire ou du secondaire. Le groupe 3 comprenait des éleveurs non scolarisés et de niveau du secondaire. Les éleveurs des groupes 2 et 3 utilisaient des races améliorées et des animaux croisés, en claustration. Les critères les plus utilisés pour le choix des mâles dans les élevages ont été l’état de santé, la conformation et les testicules très développés, le nombre de tétines, l’absence de défaut génétique, et la croissance. L’absence de défaut génétique a été plus utilisée dans les groupes 2 et 3, puis les testicules développés dans le groupe 1. Les critères les plus utilisés pour le choix des femelles dans les trois groupes ont été l’état de santé, la taille de la portée, les liens de parenté et la croissance des porcelets. La plupart de ces critères ont été moins utilisés dans le groupe 1. Les critères les plus utilisés pour la réforme des verrats ont été l’âge et la perte de libido. Les principaux critères de réforme des femelles âgées dans tous les groupes ont été le rang de portée et la baisse de la taille de la portée. Cette dernière a été plus utilisée dans les groupes 2 et 3. Pour conclure, les éleveurs disposaient de bons critères de choix et de réforme des reproducteurs qu’il faudrait améliorer afin d’augmenter leur productivité.
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GELLIN, J., and H. LEVÉZIEL. "Stratégie d’établissement des cartes géniques des espèces d’élevage." INRAE Productions Animales 5, HS (December 2, 1992): 281–86. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4305.

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Abstract:
Au sein des différents pays impliqués dans les programmes de la CEE (BRIDGE et BIOTECH), la structure de recherche française est sans doute à l’heure actuelle, par le nombre de chercheurs, par l’ensemble des secteurs méthodologiques couverts, et par l’ensemble des soutiens dont elle dispose au niveau du Département de Génétique Animale, le regroupement le plus important travaillant sur la cartographie génique des porcs et des bovins. L’activité essentielle de cartographie chez les porcins et les bovins sera de définir, le long du génome, un certain nombre "d’étiquettes" (des microsatellites) permettant d’établir un premier réseau de marques génétiques espacées de 20 cM dont certains seront localisés précisement sur les chromosomes. Cette connaissance recueillie sur le génome sera intégrée aux analyses quantitatives actuelles grâce la mise en oeuvre de nouveaux concepts d’analyse génétique (programme INRA : PRODIGE-MMM). Elle permettra une évolution précoce des génotypes, une amélioration des méthodes d’identification des animaux et de vérification des filiations, la mise en évidence de régions du génome intervenant dans la variabilité de caractères quantitatifs (QTL), une appréciation de la diversité génétique des races. Les connaissances obtenues seront également utiles à la compréhension de certains aspects du génome humain, notamment le séquençage de eDNAs et la recherche de QTL difficile à étudier directement chez l’homme.
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Garcia-Launay, F., V. Rouillon, J. Faure, and A. Fonseca. "Analyse de Cycle de Vie des systèmes de production de la filière Noir de Bigorre." Archivos de Zootecnia 67, Supplement (January 15, 2018): 21–25. http://dx.doi.org/10.21071/az.v67isupplement.3565.

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Abstract:
Les systèmes de production porc plein air reposant sur des races autochtones doivent répondre à des enjeux environnementaux et socio-économiques. Ils fournissent des produits à haute valeur ajoutée et reposent principalement sur des ressources alimentaires locales. Dans le projet européen TREASURE, nous avons mis en œuvre une Analyse de Cycle de Vie (ACV) des élevages appartenant à la filière Noir de Bigorre (NDB) localisée dans le Sud-Ouest de la France. Les impacts environnementaux ont été calculés en sortie de ferme et exprimés par kg de porc vif et par ha de terres occupé. A partir d’enquêtes dans 25 élevages et des données collectées pas la filière, nous avons estimé les flux et poids vifs moyens des animaux produits ainsi que les quantités moyennes d’aliments distribuées. Les formules des aliments achetés ont été collectées auprès des fabricants d’aliments. Les impacts potentiels sur le Changement Climatique (CC), l’Acidification (AC), l’Eutrophisation (EU), la Demande Cumulée en Energie (CED) et l’Occupation des Terres (LO) par kg de porc étaient dans la gamme des systèmes traditionnels précédemment étudiés. L’impact CC par kg était élevé en raison d’une quantité supérieure d’aliment nécessaire pour atteindre le poids d’abattage. Les impacts AC et EU par ha étaient relativement faibles. Les systèmes NDB ont des impacts typiques des systèmes extensifs et plein air porcins. Des études complémentaires dans le projet européen TREASURE permettront d’éclairer les dimensions économique et sociale de la durabilité de ces systèmes.
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Kiki, Pascal Sègbégnon, Mahamadou Dahouda, Soumanou Seibou Toleba, Serge Gbênagnon Ahounou, Ignace Ogoudanan Dotché, Benoît Govoeyi, Nicolas Antoine-Moussiaux, et al. "Gestion de l’alimentation des porcs et contraintes de l’élevage porcin au Sud-Bénin." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (July 3, 2018): 67. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31223.

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Abstract:
Dans le but de caractériser les pratiques d’alimentation des porcs dans les départements de l’Ouémé et du Plateau au Sud-Bénin, une enquête a été réalisée auprès de 151 éleveurs de porcs. Cette étude a permis d’identifier trois groupes d’éleveurs. Le groupe 1 (32,5 % des personnes enquêtées) était composé en majorité d’éleveurs sans instruction scolaire qui élevaient beaucoup plus la race locale. Dans le groupe 2 (49,6 % des enquêtés), les éleveurs avaient en majorité le niveau d’étude primaire ou secondaire. La quasi-totalité des éleveurs de ce groupe élevait des porcs de race améliorée. Le groupe 3 (17,9 % des enquêtés) était constitué majoritairement d’éleveurs sans instruction scolaire ou d’éleveurs ayant le niveau primaire. Ces éleveurs ont opté généralement pour l’élevage des races améliorées. Les éleveurs du groupe 2 élevaient majoritairement leurs animaux dans des enclos construits en dur (61,3 %) et en semi-dur (38,6 %). Ils les nourrissaient avec une ration formulée par eux-mêmes (86,7 %). Les restes de cuisine et les résidus agricoles, de même que les fourrages étaient davantage valorisés dans les groupes 1 (57,1 %) et 3 (55,6 %), où les éleveurs de porcs étaient principalement des agriculteurs. Cependant, l’utilisation d’aliments complets commerciaux était plus fréquente dans le groupe 3 (37,0 %) que dans le groupe 1. Les contraintes les plus fréquentes pour les trois groupes étaient le manque de disponibilité des aliments, l’augmentation du coût de ces aliments, et le manque de ressources financières. L’alimentation demeure une contrainte importante pour la productivité porcine au Bénin qui mérite d’être améliorée par la mise au point de formules alimentaires équilibrées selon chaque stade physiologique, et élaborée à partir des ressources alimentaires locales et bon marché.
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GELLIN, J., and F. GROSCLAUDE. "Analyse du génome des espèces d’élevage : projet d’établissement de la carte génétique du porc et des bovins." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 2, 1991): 97–105. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4322.

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Abstract:
Comparées à celles de l’homme et de la souris, les cartes génétiques des espèces d’élevage sont encore très rudimentaires. Toutefois, la gamme des techniques actuellement disponibles permet désormais de progresser rapidement dans l’établissement de ces cartes. L’objectif immédiat des équipes de génétique moléculaire et cytogénétique de l’INRA est d’identifier, pour les génomes bovin (à Jouy-en-Josas) et porcin (à Toulouse essentiellement), un premier réseau de marqueurs distants d’environ 20 centimorgans, soit un ensemble d’environ 150 marqueurs. Compte tenu du fait que l’organisation du génome est relativement conservée d’une espèce de mammifères à l’autre, les connaissances acquises chez l’homme et la souris permettront, dans une certaine mesure, de guider les travaux de cartographie des espèces d’élevage. On attend de ces recherches : 1) la mise en évidence des régions du génome intervenant dans la variabilité des caractères quantitatifs ; 2) des bases de départ pour le clonage des gènes d’intérêt zootechnique ; 3) le repérage précoce de gènes majeurs à l’aide de gènes marqueurs proches ; 4) une meilleure appréciation de la diversité génétique des races et 5) une précision accrue dans l’identification des animaux et le contrôle des filiations. Des collaborations internationales se mettent en place, notamment dans le cadre de la CEE.
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GROSCLAUDE, F. "Introduction." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (February 7, 1997): 5. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3972.

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Abstract:
Institut de recherche national, l’INRA s’est très tôt préoccupé de remplir ses missions dans les départements d’outre-mer, situés en milieu tropical. En effet, c’est dès 1949 qu’a été conclue l’acquisition du domaine Duclos, en Guadeloupe, en vue d’y établir un centre de recherches. Les expérimentations zootechniques y ont débuté en 1965, avec la création d’un élevage porcin. La Station de recherches zootechniques du CRAAG, implantée à Duclos et disposant également du domaine de Gardel en Basse-Terre, comprend désormais une soixantaine d’agents, dont 17 scientifiques ou ingénieurs. Au cours des étapes de son évolution, cette unité a apporté des contributions notables dans les domaines de la caractérisation des races et systèmes d’élevage locaux, de l’estimation de la valeur alimentaire des fourrages, de l’utilisation des sous-produits, de la maîtrise de la reproduction, de la mise en place de systèmes d’élevage plus productifs, etc. Aujourd’hui, ses principales thématiques sont la production porcine en milieu tropical, l’alimentation des ruminants et les systèmes de pâturage, incluant le parasitisme interne, ainsi que l’amélioration génétique des races locales. Depuis ses débuts, l’unité s’est efforcée d’accompagner et de soutenir les dynamiques professionnelles, au niveau des contrôles de performances, des schémas d’amélioration génétique, des plans d’alimentation, de la gestion du territoire, et ceci dans une logique d’intensification raisonnée et durable de l’élevage local. Mais de fait, ces travaux intéressent aussi, bien souvent, l’ensemble de la zone caraïbe. Avec des moyens beaucoup plus modestes, l’INRA contribue également à des travaux de recherche appliquée et d’appui aux éleveurs en Martinique ainsi qu’à la Réunion où, dans le cadre de l’équipe " Élevage " du CIRADEMVT, se sont développées des activités remarquées sur la reproduction des bovins, puis sur l’alimentation des vaches laitières. Mais l’investissement de l’INRA dans des recherches en zone tropicale ne se limite pas à ses activités dans les départements d’outremer. On ne peut qu’être frappé par le nombre et la richesse des échanges entretenus avec les pays étrangers de cette zone : collaborations équilibrées sur des sujets d’intérêt commun, accueil de thésards ou de visiteurs qui deviendront souvent, par la suite, les acteurs de nouveaux partenariats, participations à des comités scientifiques, des groupes de travail ou des missions d’évaluation. Nous avons en fait la chance, contrairement aux chercheurs du domaine végétal, que les espèces exploitées dans les milieux tempéré et tropical soient essentiellement les mêmes. Les connaissances biologiques de base sont donc largement communes. Bien sûr, les milieux sont très différents, tout comme les populations animales, mais ces différences permettent précisément d’élargir la dimension des problèmes, donc de fournir des modèles d’étude plus complets et plus riches. La participation des chercheurs de l’INRA à des programmes dans les pays tropicaux, en leur donnant conscience des particularités des contextes locaux, leur permet aussi de hiérarchiser avec plus de pertinence les questions de recherche qui leur sont posées. Il faut bien reconnaître que la motivation de nos collègues tient souvent à la nature et à l’ampleur des défis qu’ils constatent dans certains pays : il ne s’agit plus de gérer une situation d’abondance, mais de pousser au développement d’un d’élevage durable, permettant de nourrir et de maintenir sur place des populations en forte croissance. Bien entendu, l’INRA n’a pas vocation à intervenir seul dans des collaborations sur les productions animales avec les pays étrangers de la zone tropicale. Il le fait en étroite concertation avec d’autres partenaires, et d’abord, naturellement, avec le département EMVT du CIRAD. Ces relations mériteraient d’être encore renforcées pour donner sa pleine efficacité au potentiel de recherche que notre pays peut engager dans des échanges avec ces partenaires. Dans cette optique, la réunion que la Commission spécialisée ovine et caprine de l’INRA, animée par Philippe Chemineau, a consacré aux recherches en zone tropicale présentait un intérêt tout particulier et venait à point nommé. Riche et vivante, elle a permis des échanges fructueux. Il était aussi très utile de publier les exposés présentés à l’occasion de cette journée, pour leur assurer la diffusion méritée. Cette publication a été rendue possible grâce au dévouement de Philippe Chemineau et de Gilles Aumont que je remercie sincèrement.
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Maeda, Denicar Lina Nascimento Fabris, Debin Tian, Hanna Yu, Nakul Dar, Vignesh Rajasekaran, Sarah Meng, Hassan M. Mahsoub, et al. "Killed whole-genome reduced-bacteria surface-expressed coronavirus fusion peptide vaccines protect against disease in a porcine model." Proceedings of the National Academy of Sciences 118, no. 18 (April 15, 2021): e2025622118. http://dx.doi.org/10.1073/pnas.2025622118.

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As the coronavirus disease 2019 (COVID-19) pandemic rages on, it is important to explore new evolution-resistant vaccine antigens and new vaccine platforms that can produce readily scalable, inexpensive vaccines with easier storage and transport. We report here a synthetic biology-based vaccine platform that employs an expression vector with an inducible gram-negative autotransporter to express vaccine antigens on the surface of genome-reduced bacteria to enhance interaction of vaccine antigen with the immune system. As a proof-of-principle, we utilized genome-reduced Escherichia coli to express SARS-CoV-2 and porcine epidemic diarrhea virus (PEDV) fusion peptide (FP) on the cell surface, and evaluated their use as killed whole-cell vaccines. The FP sequence is highly conserved across coronaviruses; the six FP core amino acid residues, along with the four adjacent residues upstream and the three residues downstream from the core, are identical between SARS-CoV-2 and PEDV. We tested the efficacy of PEDV FP and SARS-CoV-2 FP vaccines in a PEDV challenge pig model. We demonstrated that both vaccines induced potent anamnestic responses upon virus challenge, potentiated interferon-γ responses, reduced viral RNA loads in jejunum tissue, and provided significant protection against clinical disease. However, neither vaccines elicited sterilizing immunity. Since SARS-CoV-2 FP and PEDV FP vaccines provided similar clinical protection, the coronavirus FP could be a target for a broadly protective vaccine using any platform. Importantly, the genome-reduced bacterial surface-expressed vaccine platform, when using a vaccine-appropriate bacterial vector, has potential utility as an inexpensive, readily manufactured, and rapid vaccine platform for other pathogens.
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Gharbi, Ismail, Amina Samia Dechicha, Mustapha Ferrouk, Djamila Baazize-Ammi, Seddik Kebbal, and Djamel Guetarni. "Effets de la dose de gonadotrophines sur l’œstrus et la production d’embryons chez les brebis Hamra et Ouled Djellal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 3 (October 23, 2018): 113. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31639.

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Abstract:
L’application des techniques de superovulation et de production d’embryons est incontournable pour la conservation des ressources génétiques ovines. L’objectif de la présente étude a été d’évaluer l’effet de l’administration de deux doses d’hormone folliculostimulante d’origine porcine (pFSH) sur le délai d’apparition et la durée de l’œstrus, la réponse ovarienne, et la production d’embryons chez les brebis des races Ouled Djellal (OD) et Hamra (H). Les brebis OD (n = 15) et H (n = 14) ont été synchronisées par la pose d’éponges vaginales imprégnées avec 40 mg d’acétate de fluorogestone (FGA), et superovulées par l’administration de 16 ou 20 UA de pFSH durant les trois derniers jours du traitement progestagène. Le septième jour après œstrus et saillie naturelle, les embryons ont été collectés par laparotomie. Chez les brebis OD le début de l’œstrus a été plus précoce avec l’utilisation de 20 UA qu’avec celle de 16 UA (22,1 ± 4,5 vs 25,0 ± 3,5, p < 0,05), de même la durée de l’œstrus a été plus longue (34,0 ± 6,6 vs 40,0 ± 7,1, p < 0,05). Chez les brebis H l’augmentation de la dose de pFSH de 16 UA à 20 UA a induit une baisse de production d’embryons : taux de collecte 72,2 vs 47,1, p < 0,001 ; nombre de structures récoltées 5,9 ± 3,4 vs 3,6 ± 2,1, p < 0,05 ; nombre d’embryons récoltés 3,2 ± 1,9 vs 5,1 ± 2,6, p < 0,05 ; embryons de grade 1 et 2, 4,3 ± 2,4 vs 2,1 ± 1,7, p < 0,01. En revanche, chez les brebis OD le taux d’ovulation et la production d’embryons ont été nettement améliorés lors de l’utilisation d’une dose de 20 UA : nombre de corps jaunes 6,9 ± 3,9 vs 10,4 ± 5,4, p < 0,05 ; nombre d’embryons récoltés 3,2 ± 2,0 vs 5,1 ± 2,3, p < 0,05 ; embryons de grade 1 et 2, 2,2 ± 1,6 vs 4,3 ± 1,7, p < 0,05. Les résultats indiquent que la réponse ovulatoire, l’œstrus, et la production d’embryons sont influencés par la dose de la pFSH et par la race.
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Budakva, Yelyzaveta. "HAPLOGROUPE MITOCHONDRIAL DES LIGNÉES MODERNES DE PORCS HYBRIDES." Grail of Science, no. 18-19 (September 1, 2022): 112–19. http://dx.doi.org/10.36074/grail-of-science.26.08.2022.18.

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Abstract:
L’objectif de cette étude était de caractériser la diversité génétique des porcs hybrides de (Large White × Landrace) × Maxgro en Ukraine. Présentation des résultats du typage ADN de porcs hybrides de (Large White × Landrace) × Maxgro de LLC SPE « Globinsky pig complex ». En utilisant l’analyse PCR-RFLP du polymorphisme de la boucle-D de l’ADN mitochondrial, 7 haplotypes mitochondriaux ont été identifiés – C, D, E, G, K, N, O. Dans un échantillon de porcs hybrides (n=37), la concentration déterminée d’haplotypes (%). Il a été établi que les haplotypes mitochondriaux qui ont été identifiés С (23%) – sont caractéristiques des porcs Landrace, Hampshire, Pays de Galles (Wales), cochon sauvage (Ukraine, Pologne); haplotype O (12,8 %) - inhérent au cochon sauvage et à la race Landrace (Suède); haplotype G (12,8 %) - propre à la race du Pays de Galles, cochon sauvage (Italie); haplotype N (28%) - caractéristique de la Large White race de porcs, les représentants sont porteurs de type asiatique. Il convient de noter que l’haplotype asiatique N est caractéristique du cochon sauvage asiatique et de la race Berkshire. Les données sur l’hybridation des génomes mitochondriaux d’origine asiatique et européenne sont présentées - est la base de la création de lignées modernes de porcs hybrides sur la lignée maternelle. Les porcs atteints de l’haplotype N appartiennent à l’haplogroupe A(D) et les porcs avec haplotype C, O, G appartiennent à l’haplogroupe E (E1 et E2). Il est possible que les haplotypes D (10,26%), E (5,13%), K (7,70%) appartiennent à l’haplogroupe A(D). Les porcs sauvages de type asiatique avec l’haplotype N appartiennent à l’haplogroupe A. Yorkshire et Berkshire appartiennent aux subhaplogroups D1a1 et D1b, D1e, D3 - confirmant la contribution maternelle des porcs asiatiques indigènes aux races modernes occidentales. Il s’est avéré que l’haplogroupe E chez les porcs hybrides est dominant, cependant, l’haplogroupe A est le précurseur de l’haplogroupe E. Je suppose que les porcs de grande race blanche avec haplotype N, D, E, K – contiennent des ressources génétiques autochtones. Porcs avec haplotype D, E, K - sont le résultat d’une hybridation avec des sangliers européens. Au fil du temps, cela a conduit à la disparition presque complète des principaux ancêtres du Moyen-Orient dans les génomes nucléaires des porcs européens domestiqués. Hypothèse selon laquelle l’élevage bovin saisonnier traditionnel, migrations annuelles à longue distance qui ont eu lieu dans le passé et le commerce des noyaux, expliquer le régularité observé de flux génétique favorable chez les porcs hybrides. Toutefois, je ne peux exclure la possibilité que les porcs asiatiques ont été directement impliqués dans la création de ou croisement ultérieur avec des races locales de porcs d’Ukraine. Le travail a été fait avec le soutien de l’Académie nationale des sciences agraires de l’Ukraine 31.01.00.07.F. « Étudier l’effet pléiotropique des gènes le SNP utilisés dans Sélection Assistée par Marqueurs de porcin » DR № 0121U109838.
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SCHWOB, Sandrine, Bénédicte LEBRET, and Isabelle LOUVEAU. "Adiposité et génétique chez le porc : état des lieux et nouveaux enjeux pour la qualité des produits." INRAE Productions Animales 33, no. 1 (March 3, 2020). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.1.3112.

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Abstract:
L’adiposité des carcasses des porcs abattus en France s’est réduite en moyenne de 45 % entre 1977 et 2016. La production d’animaux de plus en plus maigres a été initiée dans les années 1950-1960 avec la mise en place des grilles de classement commercial des carcasses et de paiement différencié en fonction de leur teneur en tissus maigres, au détriment des tissus gras. Cette évolution a conduit à une standardisation de la production, entraînant des difficultés pour répondre à la demande qualitative de certains segments de marché. Toutefois, le gras connait actuellement un regain d’intérêt au sein de la filière porcine française. Les tissus gras présentent en effet de nombreux atouts, tant pour l’aptitude à la transformation en produits de charcuterie et salaison que pour les qualités sensorielles et nutritionnelles des produits. Cette synthèse fait le point sur les évolutions de l’amélioration génétique du porc en France en lien avec l’adiposité et la qualité des produits. Après un rappel des caractéristiques des tissus gras et leur intérêt pour les qualités des viandes et produits du porc, les facteurs de variation de l’adiposité et les caractères de quantité de gras pris en compte dans les programmes d’amélioration génétique sont présentés. Un état des lieux de la variabilité génétique de l’adiposité qui demeure au sein des populations porcines françaises (races sélectionnées et races locales) est dressé. Ce bilan permettra de définir les futures stratégies de sélection, afin de mieux répondre aux diverses attentes des industriels et des consommateurs.
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Mills, Brett. "Those Pig-Men Things." M/C Journal 13, no. 5 (October 17, 2010). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.277.

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Abstract:
Since its return in 2005 the science fiction series Doctor Who (BBC1) has featured many alien creatures which bear a striking similarity to non-human Earth species: the Judoon in “Smith and Jones” (2007) have heads like rhinoceroses; the nurses in “New Earth” (2006) are cats in wimples; the Tritovores in “Planet of the Dead” (2009) are giant flies in boilersuits. Yet only one non-human animal has appeared twice in the series, in unrelated stories: the pig. Furthermore, alien races such as the Judoon and the Tritovores simply happen to look like human species, and the series offers no narrative explanation as to why such similarities exist. When the pig has appeared, however, it has instead been as the consequence of experimentation and mutation, and in both cases the appearance of such porcine hybrids is signalled as horrific, unsettling and, in the end, to be pitied. The fact that the pig has appeared in this way twice suggests there is something about the human understanding of this animal which means it can fulfil a role in fiction unavailable to other Earth species. The pig’s appearance has been in two stories, both two-parters. In “Aliens of London”/“World War Three” (2005) a spaceship crashes into London’s Thames river, and the pilot inside, thought to be dead, is sent to be scientifically examined. Alone in the laboratory, the pathologist Doctor Sato is startled to find the creature is alive and, during its attempt to escape, it is shot by the military. When the creature is examined The Doctor reveals it is “an ordinary pig, from Earth.” He goes on to explain that, “someone’s taken a pig, opened up its brain, stuck bits on, then they’ve strapped it in that ship and made it dive-bomb. It must have been terrified. They’ve taken this animal and turned it into a joke.” The Doctor’s concern over the treatment of the pig mirrors his earlier reprimand of the military for shooting it; as he cradles the dying creature he shouts at the soldier responsible, “What did you do that for? It was scared! It was scared.” On the commentary track for the DVD release of this episode Julie Gardner (executive producer) and Will Cohen (visual effects producer) note how so many people told them they had a significant emotional reaction to this scene, with Gardner adding, “Bless the pig.” In that sense, what begins as a moment of horror in the series becomes one of empathy with a non-human being, and the pig moves from being a creature of terror to one whose death is seen to be an immoral act. This movement from horror to empathy can be seen in the pig’s other appearance, in “Daleks in Manhattan”/“Evolution of the Daleks” (2007). Here the alien Daleks experiment on humans in order to develop the ability to meld themselves with Earthlings, in order to repopulate their own dwindling numbers. Humans are captured and then tested; as Laszlo, one of the outcomes of the experimentation, explains, “They’re divided into two groups: high intelligence and low intelligence. The low intelligence are taken to becomes Pig Slaves, like me.” These Pig Slaves look and move like humans except for their faces, which have prolonged ears and the pig signifier of a snout. At no point in the story is it made clear why experimentations on low intelligence humans should result in them looking like pigs, and a non-hybrid pig is not seen throughout the story. The appearance of the experiments’ results is therefore not narratively explained, and it does not draw on the fact that “in digestive apparatus and nutrient requirements pigs resemble humans in more ways than any mammal except monkeys and apes, which is why pigs are much in demand for [human] medical research” (Harris 70); indeed, considering the story is set in the 1930s such a justification would be anachronistic. The use of the pig, therefore, draws solely on its cultural, not its scientific, associations. These associations are complex, and the pig has been used to connote many things in Western culture. Children’s books such as The Sheep-Pig (King-Smith) and Charlotte’s Web (White) suggest the close proximity of humans and pigs can result in an affinity capable of communication. The use of pigs to represent Poles in Maus: A Survivor’s Tale (Spiegelman), on the other hand, has been read as offensive, drawing on the animal’s association with dirt and greed (Weschler). These depictions are informed by debates about pigs in the real world, whereby an animal which, as mentioned above, is similar enough to humans to be useful in medical research can also, for the food industry, go through a slaughtering process described by Bob Torres as “horribly cruel” (47). Such cruelty can only be justified if the boundaries between the pig and the human are maintained, and this is why pig-human representations are capable of being shocking and horrific. The hybrid nature of the human-pig creature draws on the horror trope that Noël Carroll refers to as “fusion” which works because it “unites attributes held to be categorically distinct” such as “inside/outside, living/dead, insect/human, flesh/machine” (43). He explains that this is why characters in horror narratives do not find such creatures simply fearful, but also “repellent, loathsome, disgusting, repulsive and impure” (54); their failure to conform to accepted cultural categories destabilises assumed norms and, perhaps most horrifically, undermines ‘the human’ as a stable, natural and superior category. As Donna Haraway notes, “‘The species’ often means the human race, unless one is attuned to science fiction, where species abound” (18). Science fiction therefore commonly plays with ideas of species because it is often interested in “the image of the scientist ‘playing god’” (Jones 51) and the horrific outcomes of “the total severing of scientific concerns from ethical concerns” (53). That the result of human/non-human experimentation should be regarded as horrific is evidence of the need to maintain the distinctions between humans and other creatures; after all, a pig/human can only be thought of as horrific if it as assumed that there is something unnatural about the destabilisation of the human category. And it is precisely the human which matters in this equation; it is not really as if anyone cares about the pig’s categorical stability in all of this. In both these stories, the appearance of the pig-creature is narratively structured to be surprising and shocking, and is withheld from the audience for as long as possible. The first appearance of a Pig Slave in “Daleks in Manhattan” constitutes that episode’s pre-credits cliff-hanger, with the creature appearing out of the shadows and bearing down upon the camera, directly towards the audience viewing at home. At this point, the audience has no idea why such a creature exists; the meaning of the pig-human hybrid is contained purely in its visual appearance, with the horrific fact of its contradictory appearance perhaps drawing on the pig’s historical association with evil and the Devil (Sillar and Meyler 82). Similarly, in “Aliens of London” we see Sato’s shocked reaction to the pig far earlier than we actually see the creature ourselves, and Sato’s scream is clearly intended to construct what we have yet to encounter as horrific. The Doctor’s search for the creature is similarly signalled, as he roams dimly-lit corridors trying to find it, following the trail of the grunts and noises that it makes. That the pig might constitute a horrific—or at least unsettling—site for humans is unsurprising considering the cultural roles it has often played. There is, after all, an “opposition between civilization and piggishness” (Ashley, Hollows, Jones and Taylor 2) in which (incorrect) assumptions about pigs’ filthy behaviour helps mark out humanity’s cleaner and more civilised way of living. While this is true of all human/non-human interactions, it is argued that the pig occupies a particular role within this system as it is a “familiar beast” (4) because for centuries it has been a domesticated animal which has often lived alongside humans, usually in quite close proximity. In that sense, humans and pigs are very similar. Demarcating the human as a stable and natural “conceptual category ... in which we place all members of our own species and from which we exclude all non-members” (Milton 265-66) has therefore required the denigration of non-humans, at least partly to justify the dominion humans have decided they have the right to hold over other creatures such as pigs. The difficulties in maintaining this demarcation can be seen in the documentary The Private Life of Pigs (BBC2 2010) in which the farmer Jimmy Docherty carries out a number of tests on animals in order to better understand the ‘inner life’ of the pig. Docherty acknowledges the pig’s similarity to humans in his introductory piece to camera; “When you look in their piggy little eyes with their piggy little eyelashes you see something that reflects back to you—I don’t know—it makes you feel there’s a person looking back.” However, this is quickly followed by a statement which works to reassert the human/non-human boundary; “I know we have this close relationship [with pigs], but I’m often reminded that just beneath the surface of their skin, they’re a wild animal.” Perhaps the most telling revelation in the programme is that pigs have been found to make certain grunting noises only when humans are around, which suggests they have developed a language for ‘interacting’ with humans. That Docherty is uncomfortably startled by this piece of information shows how the idea of communication troubles ideas of human superiority, and places pigs within a sphere hitherto maintained as strictly human. Of course, humans often willingly share domestic spaces with other species, but these are usually categorised as pets. The pet exists “somewhere between the wild animal and the human” (Fudge 8), and we often invest them with a range of human characteristics and develop relationships with such animals which are similar, but not identical, to those we have with other humans. The pig, however, like other food animals, cannot occupy the role afforded to the pet because it is culturally unacceptable to eat pets. In order to legitimise the treatment of the pig as a “strictly utilitarian object; a thing for producing meat and bacon” (Serpell 7) it must be distinguished from the human realm as clearly as possible. It is worth noting, though, that this is a culturally-specific process; Dwyer and Minnegal, for example, show how in New Guinea “pigs commonly play a crucial role in ceremonial and spiritual life” (37-8), and the pig is therefore simultaneously a wild animal, a source of food, and a species with which humans have an “attachment” (45-54) akin to the idea of a pet. Western societies commonly (though not completely) have difficulty uniting this range of animal categories, and analogous ideas of “civilization” often rest on assumptions about animals which require them to play specific, non-human roles. That homo sapiens define their humanity in terms of civilization is demonstrated by the ways in which ideas of brutality, violence and savagery are displaced onto other species, often quite at odds with the truth of such species’ behaviour. The assumption that non-human species are violent, and constitute a threat, is shown in Doctor Who; the pig is shot in “Aliens of London” for assumed security reasons (despite it having done nothing to suggest it is a threat), while humans run in fear from the Pig Slaves in “Evolution of the Daleks” purely because of their non-human appearance. Mary Midgley refers to this as “the Beast Myth” (38) by which humans not only reduce other species to nothing other than “incarnations of wickedness, … sets of basic needs, … crude mechanical toys, … [and] idiot children” (38), but also lump all non-human species together thereby ignoring the specificity of any particular species. Midgley also argues that “man shows more savagery to his own kind than most other mammal species” (27, emphasis in original), citing the need for “law or morality to restrain violence” (26) as evidence of the social structures required to uphold a myth of human civilization. In that sense, the use of pigs in Doctor Who can be seen as conforming to centuries-old depictions of non-human species, by which the loss of humanity symbolised by other species can be seen as the ultimate punishment. After all, when the Daleks’ human helper, Mr Diagoras, fears that the aliens are going to experiment on him, he fearfully exclaims, “What do you mean? Like those pig-men things? You’re not going to turn me into one of those? Oh, God, please don’t!” In the next episode, when all the Pig Slaves are killed by the actions of the Doctor’s companion Martha, she regrets her actions, only to be told, “No. The Daleks killed them. Long ago”, for their mutation into a ‘pig-man thing’ is seen to be a more significant loss of humanity than death itself. The scene highlights how societies are often “confused about the status of such interspecies beings” (Savulescu 25). Such confusion is likely to recur considering we are moving into a “posthumanist” age defined by the “decentering of the human” (Wolfe xv), whereby critiques of traditional cultural categories, alongside scientific developments that question the biological certainty of the human, result in difficulties in defining precisely what it is that is supposedly so special about homo sapiens. This means that it is far too easy to write off these depictions in Doctor Who as merely drawing on, and upholding, those simplistic and naturalised human/non-human distinctions which have been criticised, in a manner similar to sexism and racism, as “speciesist” (Singer 148-62). There is, after all, consistent sympathy for the pig in these episodes. The shooting of the pig in “Aliens of London” is outrageous not merely because it gives evidence of the propensity of human violence: the death of the pig itself is presented as worth mourning, in a manner similar to the death of any living being. Throughout the series the Doctor is concerned over the loss of life for any species, always aiming to find a non-violent method for solving conflicts and repeatedly berating other characters who resort to bloodshed for solutions. Indeed, the story’s narrative can be read as one in which the audience is invited to reassess its own response to the pig’s initial appearance, shifting from fear at its alien-ness to sympathy for its demise. This complication of the cultural meanings of pigs is taken even further in the two-part Dalek story. One of the key plots of the story is the relationship between Laszlo, who has been transmuted into a Pig Slave, and his former lover Tallulah. Tallulah spends much of the story thinking Laszlo has disappeared, when he has, in fact, gone into hiding, certain that she will reject him because of his post-experimentation porcine features. When they finally reunite, Laszlo apologises for what has happened to him, while Tallulah asks, “Laszlo? My Laszlo? What have they done to you?” At the end of the story they decide to try re-establishing their relationship, despite Laszlo’s now-complicated genetic make-up. In response to this Martha asks the Doctor, “Do you reckon it’s going to work, those two?” The Doctor responds that while such an odd pairing might be problematic pretty much anywhere else, as they were in New York they might just get away with it. He reflects, “That’s what this city’s good at. Give me your tired, your poor, your huddled masses, and maybe the odd Pig Slave Dalek mutant hybrid too.” While there is an obvious playfulness to this scene, with the programme foregrounding the kinds of narrative available to the science fiction genre, it is also clear that we are invited to find this a good narrative conclusion, a suitable resolution to all that has preceded it. In that sense, the pig and the human come together, dissolving the human/non-human divide at a stroke, and this is offered to the audience as something to be pleased about. In both narratives, then, the pig moves from being understood as alien and threatening to something if not quite identical to human, then certainly akin to it. Certainly, the narratives suggest that the lives, loves and concerns of pigs—even if they have been experimented upon—matter, and can constitute significant emotional moments in primetime mainstream family television. This development is a result of the text’s movement from an interest in the appearance of the pig to its status as a living being. As noted above, the initial appearances of the pigs in both stories is intended to be frightening, but such terror is dependent on understanding non-human species by their appearance alone. What both of these stories manage to do is suggest that the pig—like all non-human living things, whether of Earth or not—is more than its physical appearance, and via acknowledgment of its own consciousness, and its own sense of identity, can become something with which humans are capable of having sympathy; perhaps more than that, that the pig is something with which humans should have sympathy, for to deny the interior life of such a species is to engage in an inhuman act in itself. This could be seen as an interesting—if admittedly marginal—corrective to the centuries of cultural and physical abuse the pig, like all animals, has suffered. Such representations can be seen as evoking “the dreaded comparison” (Spiegel) which aligns maltreatment of animals with slavery, a comparison that is dreaded by societies because to acknowledge such parallels makes justifying humans’ abusive treatment of other species very difficult. These two Doctor Who stories repeatedly make such comparisons, and assume that to morally and emotionally distinguish between living beings based on categories of species is nonsensical, immoral, and fails to acknowledge the significance and majesty of all forms of life. That we might, as Gardner suggests, “Bless the pig”—whether it has had its brain stuffed full of wires or been merged with a human—points towards complex notions of human/non-human interaction which might helpfully destabilise simplistic ideas of the superiority of the human race. References Ashley, Bob, Joanne Hollows, Steve Jones and Ben Taylor. Food and Cultural Studies. London and New York: Routledge, 2004. Carroll, Noël. The Philosophy of Horror, or, Paradoxes of the Heart. New York and London: Routledge, 1990. Dwyer, Peter D. and Monica Minnegal. “Person, Place or Pig: Animal Attachments and Human Transactions in New Guinea.” Animals in Person: Cultural Perspectives on Human-Animal Intimacies. Ed. John Knight. Oxford and New York: Berg, 2005. 37-60. Fudge, Erica. Pets. Stocksfield: Acumen, 2008. Haraway, Donna J. When Species Meet. Minneapolis and London: University of Minnesota Press, 2008. Harris, Marvin. “The Abominable Pig.” Food and Culture: A Reader. Ed. Carole Counihan and Penny Van Esterik. New York and London: Routledge, 1997. 67-79. Jones, Darryl. Horror: A Thematic History in Fiction and Film. London: Arnold, 2002. King-Smith, Dick. The Sheep-Pig. London: Puffin, 1983. Midgley, Mary. Beast and Man. London and New York: Routledge, 1979/2002. Milton, Kay. “Anthropomorphism or Egomorphism? The Perception of Non-Human Persons by Human Ones.” Animals in Person: Cultural Perspectives on Human-Animal Intimacies. Ed. John Knight. Oxford and New York: Berg, 2005. 255-71. Savulescu, Julian. “Human-Animal Transgenesis and Chimeras Might be an Expression of our Humanity.” The American Journal of Bioethics 3.3 (2003): 22-5. Serpell, James. 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