To see the other types of publications on this topic, follow the link: Raison – Philosophie.

Dissertations / Theses on the topic 'Raison – Philosophie'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 dissertations / theses for your research on the topic 'Raison – Philosophie.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse dissertations / theses on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

MILOVIC, MIROSLAV. "Raison theorique et raison pratique dans leur rapport a la communaute ethique et politique." Paris 4, 1990. http://www.theses.fr/1989PA040083.

Full text
Abstract:
Ce travail represente une tentative de reconstruction et de fondation de la philisophie pratique. Dans le contexte aristotelicien traditionel de la discussion, le pratique est separe du theorique, et dans le cadre du pratique, l'approche traditionelle essaye d'etablir l'unite de l'ethique et de la politique. Une telle structure des rapports ne problematise pas ses propres presupositions metaphysiques. Dans la perspective des temps modernes, les questions de la metaphisique sur la fondation deviennent des questions sur la reflexion, i. E. Une thematisation de la pensee elle-meme. Les questions du theorique et du pratique presupposent une sujectivite moderne, constitutine. Le rapport entre l'ethique et la politique traverse differentes phases - partant de la position de machiavel sur la primaute de la politique, il passe par la these de kant sur la primaute de l'ethique, pour atteindre la these de hegel sur leur unite speculative. La troisieme partie de ce travail part de la conviction que la philosophie moderne n'est pas consequente et qu'elle n'est donc pas immunisee face aux objections sceptiques. Un en arrive donc a la fin de ce travail a une discussion sur la prazgmatique du langage consideree comme offrant une solution plus radicale pour le statut de la raison theorique et pratique<br>This work represents an attent in reconstruction and grounding pratical philosophy. In the traditional, aristotelian context of the discussion, the practical is separated from theorical, and, within the framework of the practical, the traditional approach tried to reach the unity of ethis and politics. This structure of relationsmip does not problematize its own metaphysical assumptions any further. In the perspective of the modern era, the questions of the metaphysics of "grounding" become the questions on reflections, i. E. ,the thematization of the thinking itself. Both the questions of the theoretical and the questions of the pratical presuppose constituting, modern subjectivity. The relation. Smip between ethics and politics goes through different stages : it starts out with machiavellian attitude on the primacy of the political ; than goes through the kantian stage featured by the thesis of the primacy of the ethics; finaly, it gets to the hegelian thesis about their speculative unity. The third fart of this woru starts out with the belief that modern philosophy is not radical enough and that it is not immune from sceptical objections. Related to this, the language prapquatics, as a more radical solution to the statuts of the theoretical and practical, is being discused at the very end of this work
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Salce, Jacques. "Raison contradictoire et psychologie générale." Dijon, 1999. http://www.theses.fr/1999DIJOL021.

Full text
Abstract:
L'objet de notre thèse est le suivant : nous nous efforçons de réintégrer dans la philosophie ce que nous pensons être le problème central et fondamental de la psychologie : celui de la psyché. Nous formulons une hypothèse sur la nature et l'origine de la psyché. Pour cela nous utilisons la "logique des antagonismes". Alias " raison contradictoire" de Stéphane Lupasco. Ainsi que la physique quanti- que. En insistant sur les travaux de Roger Penrose. C'est le thème de notre volume 1, intitulé : "la psyché, des quanta au cosmos. " En deuxième lieu, nous nous interrogeons sur la production majeure de la psyché qu'est le moi, source de la rationalité. De la souveraineté. Et de la liberté de l'individu. Nous privilégions ici les travaux de Freud, Mélanie Klein. Jung. Winnicot. Et autres auteurs qui ont examiné le problème. C'est le thème du volume 2 de notre thèse. Intitulé : prolégomènes à une ontologie du moi. Normal et pathologique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Tranchant, Thibault. "Raison et création : le constructivisme et l’institutionnalisme postmétaphysiques de Cornelius Castoriadis." Thesis, Rennes 1, 2019. http://www.theses.fr/2019REN1S040/document.

Full text
Abstract:
L'objet de cette thèse doctorale est la réponse poïétique et institutionnaliste offerte par Castoriadis au problème de la constitution d'une universalité pratique dans un contexte post-métaphysique. La thèse s'ouvre sur une définition de la philosophie politique comme projet d'objectivation institutionnelle de la raison et sur l'exposition du problème, pour cette discipline, engendré par la critique de la métaphysique et l'émergence d'une conception procédurale de la raison lors de la modernité. La thèse est ensuite divisée en deux parties. La première porte sur la philosophie de Castoriadis, c'est-à-dire sur sa critique de la pensée métaphysique, son ontologie et sa théorie de la connaissance. Nous y défendons la thèse interprétative que sa philosophie est un « pluralisme ontopoïétique constructiviste ». La seconde porte sur sa conception de la raison pratique, que nous interprétons comme « institutionnalisme post-métaphysique ». Nous concluons en explicitant les nouvelles médiations établies par Castoriadis entre philosophie et politique, sa conception de l'universalité pratique, et, par conséquent, la place qu'il occupe dans le temps long de l'histoire de la philosophie politique. Une perspective comparative a été privilégiée tout au long de notre argumentaire. Nous apprécions la singularité castoriadienne en la comparant avec des philosophies ayant partagé des problèmes communs et certains horizons thétiques, notamment l'héritage hégéliano-marxien et les philosophies de la différence<br>The purpose of this doctoral thesis is to expose Castoriadis’ poïetical and institutional answer to the following question: how can we constitute a practical universality in a postmetaphysical context. Starting with a definition of political philosophy as the progressive and institutional objectification of reason, I first show how the modern radical critic of metaphysical thoughts and the modern emergence of a procedural conception of reason were both problematic for political philosophy. The thesis is then divided into two parts. The first part is devoted to Castoriadis’ philosophy and presents his own critics of metaphysical thinking, his ontology and his theory of knowledge. I then follow the interpretative thesis according to which Castoriadis’ philosophy can be characterized as an ''ontopoïetical pluralistic constructivism'' The second part is about his conception of practical reason, which I interpret as a “postmetaphysical institutionalism”. I conclude by showing that Castoriadis offers not only new mediations between politics and philosophy but also an original conception of practical universality in the history of political philosophy. Using a comparative method, I put forward Castoriadis’ thoughts through a comparison with other philosophies that share common problems and thesis, e.g. the Hegelian-Marxian tradition and the philosophies of difference
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Lacour, Philippe. "Logique de la raison pratique : réflexivité, herméneutique, clinique." Aix-Marseille 1, 2006. http://www.theses.fr/2006AIX10071.

Full text
Abstract:
Dans un cadre sémiotique, cette praxéologie transcendantale souligne les propriétés linguistiques (réflexive, herméneutique, clinique) de toute conceptualisation de l'action dans les sciences de la culture. L'introduction d'un principe critique au sein de la diversité symbolique met en évidence la capacité réflexive du langage naturel, et la centralité du phénomène de reprise. L'analyse du sens de l'action symboliquement médiatisée requiert la considération de toutes les dimensions du langage, notamment pragmatique et discursive, et dégage la dimension irréductiblement interprétative de la rationalité de l'action. La saisie clinique de l'individuel symbolique, inadéquatement opérée par une médiation formelle prolongée en technique, ou par une modélisation "naturelle" à la norme théorique trop rigide, relève d'une approche casuistique, où la contextualisation contraint à la comparaison. La logique du jugement d'explication causale de l'action est réflexive, interprétative et clinique
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Lecerf, Eric. "La raison au risque du chômage." Paris 8, 1999. http://www.theses.fr/1999PA081623.

Full text
Abstract:
Le chomage, "tout le monde le sait", est un facteur d'incapacite politique pour la classe des serviteurs : tout autant pour les salaries qui sont encore pourvus d'un emploi que pour ceux qui en ont ete exclus. La lecon de ce bien-connu, des pourfendeurs de "l'horreur economique" jusqu'aux plus cyniques adeptes du principe de realite, tient ainsi dans cet axiome : l'incapacite a laquelle est aujourd'hui reduit le sujet d'emancipation est un effet du chomage. Dans quelle mesure cet effacement du sujet peut-il lui-meme produire du chomage ? c'est par une telle inversion des termes, dans lesquels est recomposee de facon retrospective la realite sociale, que le chomage peut fournir au sujet l'occasion de redefinir les conditions dans lesquelles s'execute le travail humain. Sans ce jugement, qui induit la responsabilite d'un sujet, il n'y aurait pas de chomage, mais simplement de la misere. Encore faut-il qualifier ce sujet qui, comme le montre l'histoire du mouvement ouvrier est toujours contraint d'effectuer un choix entre l'affirmation d'un sujet de resistance et l'institution d'un sujet d'exclusion. Ce jugement qui a contribue, a la fin du siecle dernier, a distinguer le chomeur de la foule des sans-travail, s'inscrit dans un processus d'integration selective de la classe ouvriere : tout ouvrier connaissait une periode reguliere de chomage ; desormais on sera chomeur ou salarie a plein temps. L'invention du chomeur est ainsi intervenue dans l'histoire sociale lorsque le salarie cessait de louer ses services pour vendre sa force de travail. Autrement dit lorsque cette relation de sujetion reprenait comme modele exclusif une permanence des engagements qui n'en demeurera pas moins susceptible d'etre rompue sous l'effet de la contingence economique. Avec le chomage qui adopte ici la valeur hegelienne d'un negatif, le sujet est tout a la fois rendu a sa premiere necessite et confie au regne de ta contingence. Il est, plus que jamais, necessaire et, dans un meme temps precaire. Il est ce que la realite ne saurait imposer du simple fait d'une immanence qui nous depasserait, mais, a l'inverse, il est un projet de la raison qui permet d'inscrire la fin du chomage dans un renouvellement de la capacite des classes salariees a s'inventer un avenir, ou, a defaut, dans une simple reactualisation des modes d'oppression.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Razafindehibe, Amette Etienne Hilaire. "Corps et raison chez Nietzsche." Bordeaux 3, 1995. http://www.theses.fr/1995BOR30046.

Full text
Abstract:
La tradition metaphysique occidentale a detourne la raison de sa destination originelle en separant et en opposant de facon systematique la vie et la connaissance, le sensible et l'intelligible, l'illusion et la realite, et ce au seul profit de l'intellect. Dans le present travail. Cette irreductibilite des termes rendus antinomiques par l'idealisme se trouve synthetisee par le dualisme absolu instaure entre le corps et la raison, dualisme qui debouche sur la destruction de l'unite duelle et de l'harmonie naturelle entre le physiologique et le spirituel. Pour cette oeuvre de demolition, la religion et la morale furent pour l'idealisme de precieux auxiliaires. Le projet nietzscheen de la rehabilitation du corps entend reparer ce tort commis a l'endroit de la vie et du monde. C'est ainsi que nietzsche oppose sa "revolution irrationnelle" a la "revolution rationnelle" de socrate, entendant demontrer par cette voie l'eminente dignite du corps humain face a l'esprit. Cette attitude critique de nietzsche a l'egard de la philosophie classique l'amene souvent a emettre des reflexions pejoratives a l'endroit de l'etre". Ce qui parait de prime abord annoncer la mort de la metaphysique. En fait, il n'en est rien. En prenant le corps comme fil conducteur pour l'exploration des phenomenes humains les plus divers, l'intempestif entend tout simplement ramener le sens du monde dans le monde au lieu de renvoyer ce sens dans un "ailleurs" ou dans l'"au-dela": que cet "ailleurs" s'appelle "monde intelligible" ou "cite celeste", et ce a l'instar du platonisme ou du judeochristianisme. Le corps est, en effet, pour cet antechrist le lieu originaire du flux ontologique. Il n'en demeure pas moins que cette prise de position a valu a la pensee, nietzscheenne d'etre accusee de pur biologisme et d'avoir ete la source de genodice, perpetre par le national-socialisme allemand. . .<br>The western tradition in metaphysics has misdirected the reason from its original route in separating and opposing in a systematic way life andknowledge, the sensible and intelligible, illusion and reality, and his for the only sake of intellect. In the following work this irreducibility of terms made into opponents by idealism found itself synthetised by the absolute dualism created by the body and the reason, dualism which ends in the destruction of the dual unity and the natural harmony between the physiological and the spiritual. For this work of destruction, religion and morale became precious auxilaries to the idealism. The nietzschean project of rehabilitating the body wants remedy to this fault committed toward life and the world. That is how nietzsche opposes his "irrational revolution" to socrate's" rational revolution", meaning to demonstrate in this way the eminent dignity of human body compared to the spirit. This critical behaviour from nietzsche towards the classical philosophy often leads him to give out perojative remarks towards the "human being". Which seems at first sight to bring about the death of the metaphysics. In fact, it is not so. In choosing the body as the vital lead to explore the most diverse human phenomenons, the zealot wants only to bring back the meaning of the world into the world instead of sending this meaning in a "somewhere else is called" intelligible world "or" celestical. .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Grivaux, Agnès. "Raison, délire et critique : psychanalyse et critique de la raison chez Adorno et Horkheimer." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEE011.

Full text
Abstract:
Nous proposons dans ce travail une interprétation de la référence à la psychanalyse chez Adorno et Horkheimer, en partant de son usage dans un champ inattendu, quoique central : la critique de la rationalité. Adorno et Horkheimer affirment, notamment dans la Dialectique de la raison, que la raison, concept à la fois central et structurant pour la société moderne capitaliste, entre en conflit avec elle-même jusqu'à son autodestruction, qui doit être comprise comme passage dans la folie. Nous entendons soutenir que cette affirmation peut être comprise de manière non-métaphorique par le recours à la psychanalyse, à partir d’une double lecture de leurs écrits, à la fois génétique et micrologique. Nous situons la genèse du croisement entre psychanalyse et critique de la rationalité dans leurs premiers travaux, au moment de traiter du rapport entre psychologie et théorie de la connaissance, d’abord dans une perspective philosophique néokantienne, puis dans le cadre du programme de recherches interdisciplinaires des années trente. Ce croisement précoce conduit Adorno et Horkheimer à s’intéresser tant à la part inconsciente qui travaille les processus de connaissance, qu’à la logique des phénomènes apparemment les plus irrationnels. Nous réinterprétons ainsi les travaux des années trente et quarante comme la mise au jour d’une conjonction de formes spécifiques de rationalisation sociale avec la montée de phénomènes sociaux particulièrement irrationnels, notamment liés à l’émergence du fascisme. Cette conjonction mène alors à la thématisation psychanalytique de l’autodestruction de la raison. Notre thèse est que la mise au jour de ce paradigme critique singulier – qui associe approche psychanalytique, critique de la raison et théorie de la connaissance – révèle de façon cohérente et globale la fonction attribuée à la psychanalyse par ces auteurs : rendre compte de la déraison comme effet de la logique contradictoire que la société moderne capitaliste établit entre nature et histoire. Nous pouvons ainsi conclure notre travail en analysant à quelle condition une théorie de la connaissance dialectique et critique est susceptible de ne pas reconduire l’écueil que la psychanalyse a permis d’identifier au niveau social, à savoir la réduction du rapport entre histoire et nature à un rapport de domination. Nous entendons ainsi montrer les potentialités critiques de ce paradigme dans le cadre des débats contemporains sur les pathologies de la raison<br>In this study, we will propose an interpretation of the psychoanalytic references in the works of Adorno and Horkheimer, by starting from the way they are used in an unexpected, and yet central, field: the critique of rationality. Especially in Dialectics of Enlightenment, Adorno and Horkheimer affirm that reason, a concept that is both central and structuring to the modern capitalist society, comes into conflit with itself to the point of its self-destruction, which should be understood as a passage to madness. We intend to defend that this affirmation can be understood, by having recourse to psychoanalysis, in a non-metaphorical manner, starting from a double reading, both genetic and micrologic, of their writings. We situate the genesis of the intersection between psychoanalysis and the critique of rationality in their early works, when they were dealing with the relationship between psychology and the theory of knowledge, at first in a neo-Kantian perspective, then within the framework of the program of interdisciplinary research in the thirties. This precocious intersection led them to become interested as much in the unconscious part which works through the process of knowledge, as in the logic of phenomena which are apparently the most irrational. We therefore interpret their works from the thirties and forties as the unveiling of a conjunction of specific forms of social rationalization with the rising of particularly irrational phenomena, especially related to the emergence of fascism. This conjunction then leads to the psychoanalytical thematisation of reason’s self destruction. Our thesis is that by disclosing this singular critical paradigm – which links together the psychoanalytical approach, the critique of reason, and the theory of knowledge – the function attributed to psychoanalysis by these authors can be revealed in a global and coherent fashion: accounting for unreason as an effect of the contradictory logic that the modern capitalist society establishes between nature and history. We can therefore conclude our work by analyzing on what condition a dialectical and critical theory of knowledge is likely to avoid the pitfall that psychoanalysis has allowed to identify at the social level, i.e. the reduction of the relation between history and nature to a relation of domination. In this way, the critical potentials of this paradigm within the framework of contemporary debates on the pathologies of reason can be brought to light
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Bonet, Pierrette. "De la raison à l'ordre : genèse de la philosophie de Malebranche /." Paris ; Budapest ; Torino : l'Harmattan, 2004. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb391638797.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Bonet, Pierrette. "De la raison à l'ordre : genèse de la philosophie de Malebranche." Paris 4, 1996. http://www.theses.fr/1996PA040059.

Full text
Abstract:
Malebranche élabore une philosophie nouvelle à partir de son admiration et de sa déception à la lecture de la philosophie de Descartes. Il considère d'abord que la philosophie cartésienne est la vraie philosophie. Mais sur certains points, Malebranche critique la philosophie de Descartes. Ainsi, après avoir considéré la philosophie de Descartes comme la vraie philosophie, Malebranche découvre que la vraie philosophie est la philosophie chrétienne. Mais c'est surtout l'idée d'ordre qui est essentielle à la philosophie de Malebranche. Il régnait dans la création avant le péché. Mais le péché n'est qu'un moment négatif. Cependant l'homme ne peut résister à la corruption sans le secours de la grâce. Et la grâce est inséparable du principe de la simplicité des lois. Ces lois sont celles de l'occasionalisme, par lequel Malebranche pense résoudre les problèmes poses par la philosophie de Descartes<br>Owing to both his admiration and disappointment at reading Descartes’s philosophy, Malebranche develops a new philosophy. In the first place he considers the cartesian philosophy as being the true philosophy. But on some respects Malebranche criticizes Descartes’s philosophy. Thus Malebranche, after considering Descartes’s philosophy as the true philosophy, discerns that the true philosophy is the christian philosophy. But above all what is essential in Malebranche’s philosophy is the idea of order. It reigned over the creation before sin. But sin is only a negative moment. However man cannot resist depravity without god's help. God's blessing can't be parted from the principle of the simplicity of laws. Those are the laws of occasionalism by which Malebranche thinks he can solve the problems set by Descartes’s philosophy
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Ghils, Paul. "La raison métalinguistique : contribution au retournement de la philosophie du langage." Dijon, 1999. http://www.theses.fr/1999DIJOL028.

Full text
Abstract:
Ce travail est la reprise critique des questions philosophiques posées implicitement ou explicitement par les principales théories linguistiques du XXème siècle. Sa justification réside dans l'épuisement ou l'abandon du projet de fondation d'une science unifiée du langage, et l'échec d'une philosophie du langage qui ignorerait la dette contractée à l'égard des sciences du langage. Il contribue à la relance du dialogue entre les deux disciplines par le dessein d'un trajet langagier qui traverse les régions internes et externes du langagier au départ d'enquêtes et de questionnements qui, au-delà de méthodes et de normes qui restent propres aux disciplines considérées, sont analogues. Entre les paradigmes universalisants de la référence au monde objectif ou de la communauté universelle et le relativisme d'une reterritorialisation du philosophique, l'objectif se définit comme reconstruction d'une configuration philosophique du langage apte à répondre aux sollicitations d'une modernité paradoxale dans sa genèse et indéterminée dans son devenir. La démarche dialectique qu'elle suppose se fonde, plus que sur la synthèse d'un métaparadigme, sur la rationalité plurielle et paradoxale qui conjoint les représentations portées par le langage dans un mouvement de translation qui transforme les sujets de parole autant que les espaces instables de la communication, d'où ne sont exclues ni la mise en scène politique ni la question éthique. La pensée du langage se veut, à ce titre, pensée d'un modernité dont les acteurs assument l'évaluation de ses énonciations.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Markhoff, Pascal. "Le droit entre raison et déraison : contribution à l'étude du rôle de la raison dans la pratique judiciaire." Toulouse 1, 2006. http://www.theses.fr/2006TOU10028.

Full text
Abstract:
" Si Dieu est mort, tout est permis ", disait Dostoïevski. Or, la connaissance révélée est exclue du système juridique : pas d'arbitrage divin, pas de preuves surnaturelles. La dévolution du pouvoir de juger à la seule raison s'avère toutefois chaotique et problématique : aux ordalies succède la torture, et l'incertitude demeure. Pire, un usage juridique raisonnable des jugements de Dieu s'avère possible et leur disparition ne constitue dès lors une condition ni suffisante, ni nécessaire au triomphe de la vérité, de la raison. C'est pourtant à la raison qu'il incombe dorénavant de juger. Or, le droit n'est ni rationnel, ni conçu comme un système rationnel. Il demeure essentiellement raisonnable, sans que raisonnable de vraisemblance et raisonnable contextuel ne puissent toutefois permettre de le définir positivement, le juge devant parfois exclure une solution raisonnable. Seule une définition négative du droit demeure par conséquent envisageable : le droit rejette la contradiction et, partant, l'irrationnel. Mais ce rejet ne se conçoit que d'un point de vue synchronique : dans une perspective diachronique, seul le déraisonnable permet de définir le non droit. Mieux, l'irrationnel n'étant rejeté que parce qu'il est jugé déraisonnable, ce dernier constitue le véritable critère du non droit. Et si le signifiant est connu – le déraisonnable –, le signifié (son contenu) varie. L'existentialisme juridique qui en résulte nous rend alors collectivement et individuellement responsables de notre droit, de son actualité et de son devenir : la reconnaissance de cette angoissante liberté devient ainsi la condition nécessaire pour affronter la question du sens et de la fin du Droit<br>" If god is dead, everything is allowed ", as Dostoïevski once put it. Now, divine knowledge does not exist in law system : no godlike arbitration, no supernatural proofs. Giving the power of judging to reason alone proves chaotic and does not solve any problem : after ordeals came torture, and yet these remain uncertainty. Even worse, a reasonable use of legal ordeals is quite possible and their disappearing is but a condiiton which is neither sufficient nor necessary to the triumph of truth and reason. However judging has been devolved upon reason. Now, the law is neither rational, nor conceived as a rational system. At the root it remains reasonable, even if reasonable probability and reasonable grounds are unable to allow a positive definition. It may happen that the judge has to discard a reasonable solution. Consequently only a negative definition of the law can be thought of : the law rejects contradiction and, therefore, the irrational. But this rejection can only be conceived from a synchronic point of view : from a diachronic point of view only the unreasonable permits to define which is outside the law. Moreover, the irrational being rejected only because it is deemed as unreasonable, this latter is the basis of the true criterium of the absence of law. Supposing the signifiant is known - i. E. The unreasonable - the signified (the contents) can vary. The judiciary existentialism that results of it makes us collectively and individually responsible for our law, concerning its present reality and its future : acknowledging this distressing freedom thus becomes the necessary condition to face the problem of the meaning and the aims of the law
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Peytavin, Sophie. "Montaigne, Les Essais : critique de la raison rhétorique." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040254.

Full text
Abstract:
Montaigne, dans les Essais lus à la lumière de leur contexte particulier plutôt qu’à l’aune du cartésianisme et des démarches de l’esprit classique, identifie les cadres rhétoriques propres à la pensée de la Renaissance et s’en distancie. Cette critique n’est cependant que l’un des deux versants de son oeuvre philosophique. Il développe en effet une méthode originale d’inquisition, qui procède essentiellement par conférence et différence, de manière immanente, parvenant à certains philosophèmes qui irrigueront ponctuellement la pensée classique et notamment cartésienne. Sa démarche peut néanmoins également être lue comme modèle possible pour la pensée, faisant étonnamment écho aux postures épistémologiques contemporaines<br>Montaigne, in his Essays as read in light of their particular context rather than in a classically Cartesian way, identifies the rhetorical frameworks peculiar to Renaissance thought and distances himself from them. This criticism, however, is only one of both sides of his philosophical work. Indeed, he develops an original method of inquisition in an immanent way, arriving at concepts which will occasionally irrigate classical and Cartesian philosophy. His approach can nevertheless also be read as a proper model for thought, surprisingly echoing contemporary epistemological posture
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Acri, Soares Mariana D'. "Les premiers pas de la raison chez Hegel." Thesis, Paris 1, 2018. http://www.theses.fr/2018PA01H201.

Full text
Abstract:
L'objectif de la présente recherche est de suivre le chemin parcours par Hegel dans l'élaboration de sa conception de la raison dans certains de ses premiers écrits. Dans le premier moment, nous analyserons les textes de l'époque de Stuttgart (1785 - 1788) jusqu'à l'année 1800. Nous montrerons que Hegel a toujours conçu la raison différemment de l'entendement et que sa conception de la raison correspond à son idéal de l'unité, l'unité de l'universel et de l'individualité, son idéal de jeunesse. Notre étude va conduire à une compréhension de cet idéal comme un idéal esthético­politique. Ensuite, nous étudierons deux textes écrits pendant le début de son séjour à Iéna - La différence des systèmes philosophiques de Fichte et Schelling et Foi et savoir. Le but est maintenant de montrer comment Hegel commence l'élaboration de sa philosophie spéculative en tant que l'autoproduction et l'auto-reconnaissance de la raison. Et nous montrerons aussi qu'en même temps que Hegel critique la philosophie kantienne il lui est très reconnaissant. Dans le dernier moment, la recherche présente la conception de la raison dans la Phénoménologie de l'esprit. Nous suivrons donc le parcours de la « raison active » dans sa quête du bonheur, du juste en tant que réalisation effective de l'unité de l'universel et de l'individualité et voyons apparaître son caractère intersubjectif. Notre but central est de montrer que, malgré l'ultérieur développement de sa pensée, la conception de la raison se maintient en tant qu'un idéal de l'unification<br>The purpose of this research is to follow Hegel's path in the construction of his conception of reason in some of his first writings. We start analyzing the texts from Stuttgart (1785 - 1788) to 1800. We will show that Hegel has always intended to conceive reason differently from understanding and that his conception of reason corresponds to his ideal of unity, the unity of the universal and the individuality, his ideal of youth. Our study will guide to a comprehension of this ideal as an aesthetical-political ideal. Next, we will study two texts from the beginning of his stay at Iena – “The Difference Between Fichte's and Schelling's Systems of Philosophy and Faith and Knowledge”. The aim at this point is to show how Hegel starts elaborating his speculative philosophy as the auto production and autorecognition of reason. We also show that at the same time Hegel critics Kant's philosophy, he recognizes its value. Finally, the research presents the conception of reason at the Phenomenology of the Spirit. We follow the path of the "active reason" in its quest for the happy state, of fairness as the actualization of the unity of the universal and the individuality and we see the appearance of his intersubjective character. Our main objective is to show, despite the future development of his thoughts, the conception of reason remains as an ideal of unification
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Bonnet, Stéphane. "Ordre juridique et raison d'état : de Guichardin à Grotius (1525-1625)." Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010643.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Périn, Nathalie. "François Châtelet. Le philosophe enseignant : raison et scène publique." Thesis, Paris 8, 2015. http://www.theses.fr/2015PA080018.

Full text
Abstract:
Sans doute la première thèse de doctorat sur le philosophe François Châtelet (1925-1985), cette recherche interroge centralement la part collective de l'oeuvre qu'il a laissée. F. Châtelet a en effet défait une posture traditionnelle du geste créateur en philosophie visant la reconnaissance d'un seul nom propre, porteur unitaire de sens, et propriétaire d'idées, pour rendre manifeste une philosophie de la transmission des connaissances véritablement critique et ouverte car débarrassée d'une manière tout originale de la volonté de faire système. Parce que cette dimension collective a été étroitement liée chez F. Châtelet à une mise en question de la philosophie institutionnalisée, une place particulière a été faite à l'ouvrage-pivot La philosophie des professeurs (1970) dans lequel il a dévoilé l'idéologisation qui s'effectue de la philosophie à travers les programmes qui lui donnent forme enseignante. Pour F. Châtelet, la défense de la philosophie vivante s'accompagne à l'inverse d'une critique constante des images qui lui proposent de tenir un rôle à la fois supérieur et impuissant, et d'une réflexion politique sur les réalités de l'École et de la culture. Dans cette voie, il appartient à la philosophie d'entrer en résistance et de se séparer des fins voulues par le pragmatisme social, par les collusions entre pouvoirs et savoirs gestionnaires aussi bien que par ses identifications à des formes d' « Etat-Savant ». Cette recherche établit que l'oeuvre à la fois personnelle et collective de F. Châtelet aura eu pour l'un de ses fils directeurs, sous cet aspect, la dénonciation de la modélisation de la pensée, et qu'elle se sera employée à faire remonter concrètement cette modélisation à la naissance de la philosophie comme genre spécifique<br>This doctoral dissertation, probably the first on the philosopher François Châtelet (1925-1985), focuses mainly on the collective aspect of the body of work he left behind. Châtelet did much to undermine the traditional attitude of the philosophical act of creation whose aim is the acknowledgment of a single proper name – seen as the lone bearer of sense and sole owner of ideas – in order to bring to light a philosophy of the transmission of knowledge, one that is truly critical and open as a result of being stripped, in a highly original way, of the will to systematize. Since this collective dimension was for Châtelet closely tied to a reassessment of institutionalized philosophy, particular attention has been paid here to the key work La philosophie des professeurs (1970) in which he exposed the ideologizing taking place within philosophy through the curricula giving it a teachable form. For Châtelet, the defense of philosophy as a living discipline is accompanied, conversely, by a relentless critique of the images encouraging it to maintain at once a superior yet powerless role, and by a political reflection on the realities of schooling and culture. In line with these positions, philosophy's role is to become a force of resistance, to distance itself from the ends intended both by social pragmatism as well as by the collusions between administrative authorities and those who manage their systems of knowledge, and to avoid association with any form of "knowledgeable State." The present study shows that Châtelet's work – an undertaking that was simultaneously personal and collective – consequently had as one of its guiding principles the denunciation of the standardization of thought, and that it applied itself in concrete terms to tracing that standardization back to the birth of philosophy as a specific genre
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Lévesque, Dan. "La question de Dieu : une philosophie de la raison et de l'action." Master's thesis, Université Laval, 2004. http://hdl.handle.net/20.500.11794/43329.

Full text
Abstract:
Ce mémoire veut en premier lieu présenter des pistes pour un discours moderne et intelligent sur le sujet. II a pour but de mettre en évidence la portée de sens de ce concept et placer le discours religieux en perspective ainsi que les discours scientifiques et philosophiques. Un mémoire sur le thème de Dieu ne pourrait être complet sans traiter des arguments de preuve de son existence. Après avoir soulevé les arguments pour, il faut également soulever les arguments contre. Ainsi, ce mémoire présente le but premier de l'athéisme qui est selon moi, le retour de la responsabilité des actes à l'homme se tenant debout seul. Par conséquent, je soulève les critiques du concept de Dieu avec le regard de philosophes de l'antiquité, des marxistes, des Nietzschéens et des existentialistes. Dans un dernier temps, je présente une réflexion sur l'agnosticisme ainsi qu'une définition de ce concept qui me semble être pertinent dans la démarche de ce mémoire. En conclusion, il est important de regarder les traces d'agnosticisme chez les Grecs pour enfin aborder ce concept sous le regard de Kant. Dans notre monde moderne, il peut paraître étrange de consacrer un mémoire de maîtrise en philosophie à ce concept qui semble prendre de plus en plus de recul. Mais les buts de ce mémoire sont de tenir un discours intelligent sur le sujet. De montrer qu'avec la théorie agnostique, l'affirmation ou la négation du divin se butent à la limite de la raison humaine. Dans tous les cas, l'homme doit prendre ses responsabilités et entreprendre les actions qui s'ensuivent. D'où le titre du mémoire : Dieu une philosophie de la raison et de l'action.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Antoine, Walter. "Le concept de proximité philosophique ou La raison en quête d'elle-même : sous-titre." Nice, 2003. http://www.theses.fr/2003NICE2028.

Full text
Abstract:
Qu'est-ce que la " proximité " ou se tenir proche, à la fois de soi-même, des autres humains ou de la Nature ? Faut-il l'entendre à la manière dont chaque époque ou chaque société l'imprime en nous au travers des représentations communes ? Nous ne ferions alors là que rationaliser le discours ambiant, le rassemblant, le structurant afin de rendre plus cohérent ou structuré l'état de chose, et sa relative stabilité. Notre étude, sous forme de méditation (entendons par là le tracé d'un chemin, : le mot allemand erfahren suggère ainsi l'idée d'un voyage), bref d'une expérience métaphysique, s'attellera à déconstruire cette attitude, et à lui substituer une approche philosophique. Qu'est-ce à dire ? Il s'agira en effet d'envisager la philosophie en son essence, comme l'essai de penser et de vivre une proximité à soi, à l'autre, et à la Nature, laquelle problématise cette relation. Le tout en l'extirpant du cadre sujet-objet dans lequel elle est d'abord et le plus souvent emprisonnée. Un premier pas nous conduira ainsi à voir que la pensée du Tout de l'être s'avère être le geste initial et primordial du philosophe : la remontée à l'initial. Mais qu'est-ce que ce Tout ? Le monde (kosmos) ? Le tout organique (holon) ? Ou le tout-somme (to pan) ? Les perspectives divergent, mais ne font que refléter l'infinité des regards possibles jetés sur la Nature. Aussi la deuxième partie, après avoir mis en évidence la fracture du nihilisme telle qu'elle parcourt l'histoire, tentera de montrer que ce questionnement inlassable est mû par la question des questions qui est et demeure celle que la mort nous lance. L'humain ne serait-il pas accompagné, dans quelque interrogation que ce soit, par ce fait incontournable qu'il s'agit là d'une pensée d'un mortel, et qu'il a donc à perdre l'être qu'il est (la mort), qu'il se perd même à lui-même (le mourir) durant toute son existence ? Le vécu de ce destin travaille l'humain dans son rapport à soi, aux autres, à la Nature<br>What is proximity, or what is to stand near (of) yourself, (of) others, or (of) Nature ? Do we have to understand it the way every time or society do, through common motions ? We would then only rationalize every days talking, taking them together, structurating them, to bring together state of things and its relative stability. Our study, in a meditative way (we hear it as tracing a road : the German word erfahren suggest the idea of a journey) in one word as an metaphysical experience, will try to deconstruct this attitude, and will substitute a philosophical one. What does that mean ? We will look forward to see philosophy in its " essence ", as the essay of thinking and living a problematical proximity to ourselves, to others, and to Nature. All together we'll be take a look outside of the classical subject/object relationship, which is the first step that will lead us to see philosophy, and its first movement, as thought of the whole (totality) : philosophy as the way back to initial. But what is that " whole " or " totality " ? The " world " (as we say the whole world) as cosmos ? Is it the organic All ? Or do we have to see it as a sum ? There are different perspectives (just like the regard of the thinkers), and these are reflects of the infinite regards sent on Nature. So, in the second part of this work, after having taken a look to break of nihilism, we'll try to show how this endless questioning, that is philosophy, is moved by that question of questions : death. Isn't death a part of all of our human acts (that's working inside us), just as they are human ?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Kotroyannos, Dimitris. "La raison d'état chez Hobbès et Spinoza." Université Robert Schuman (Strasbourg) (1971-2008), 1988. http://www.theses.fr/1988STR30004.

Full text
Abstract:
L'objet de la raison d'etat est chez Hobbès et Spinoza de garantir, par la raison rationnelle, la diversité naturelle c'est-à-dire l'individualité dont la raison est le signe. On peut alors distinguer deux niveaux expressifs de la politique : celui ou l'on peut jouer et combiner artificiellement ou réellement certains affects contre d'autres dans le but de construire une situation stable et d'éviter les catastrophes destructrices pour tous; celui qui rend par la conduite de la raison infaillible du souverain l'action intersubjective de l'homme plus efficace et productive car le souverain protège l'individu. Sur ces deux niveaux Spinoza est proche de Hobbès pour concevoir la constitution anhistorique de l'état mais en même temps renverse son contenu puisqu'il se base sur des fondements épistemologiques différents. Ainsi l'action politique de l'individu chez Hobbès, se détermine dans la finitude et l'obéissance tandis que cette action chez Spinoza se réalise dans et pour la liberté<br>The matter of the state's reason by Hobbes and Spinoza is to warrant through the rational reason, the natural variety, that means the individuality of which the reason is the sign. Two expressive levels of the politics can be distinguished : the one where some passions may be played and combined artificially or really against others in the purpose to built a steady position and to avoid the catastrophes which may be destroying for everybody. The other which senders the intersubjective action of man more efficient and productive by the leading of the infallible reason of the sovereign because the sovereign protects the individual. On both levels Spinoza is near Hobbès to conceivethe anhistorical building of the state but in the some time he reverses its contents when he is grounded of epistemologiques bases. Thus the political action of the fellow is delimite by Hobbès by the "ending" and the submissiveness while it's resolved by Spinoza in and for freedom
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Karamouzi, Seyed Morteza. "Rapports entre philosophie, théologie et mystique." Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010708.

Full text
Abstract:
Partie 1. La problématique de la philosophie, surtout la philosophie islamique, vis-à-vis de la sagesse, de la théologie et de la mystique et son analyse est abordée. Une grande place est réservée au sens et au rôle de la raison surtout dans la culture islamique. La réalité historique de ces domaines et le tracé étymologique de leur appellation, surtout dans le monde islamique, font partie intégrante de la recherche. Partie 2. La présentation de Dinâni, un philosophe contemporain iranien. La pensée de Dinâni concernant la problématique en question est rapportée et analysée.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Savasçin, Zeynep. "De la publicité kantienne a l'éthicité hégélienne. Raison et vie des normes." Thesis, Paris, EHESS, 2017. http://www.theses.fr/2017EHES0079.

Full text
Abstract:
Cette recherche se donne la tâche de s’interroger sur une certaine continuité entre la philosophie morale de Kant et la philosophie politique de Hegel qu’on peut découvrir au delà de la rupture indéniable qui oppose le dualisme kantien et le savoir absolu hégélien. Cette interrogation qui revient sur l’évolution qu’ont connue leurs pensées jusqu’à ce qu’elles culminent toutes les deux dans une philosophie du droit, s’élabore autour d’une tentative de lire chacun des deux philosophes à la lumière du principe qui dirige en effet la pensée de l’autre. La première partie examine le devenir de la philosophie kantienne, traversé par le problème d’unité du mécanisme de la nature et de la liberté humaine. Dans cette partie, il s’agit de découvrir la réponse ultime de Kant à ce problème dans le déploiement du droit dans sa normativité et d’examiner en quel sens le dualisme du départ est dépassé dans le principe de la « publicité » médiatisant le droit et la politique. Dans la seconde partie, le devenir de la pensée hégélienne se trouve examiné à travers une étude du développement de la critique hégélienne de Kant. Il s’agit de montrer comment une réévaluation progressive du moment kantien et une évolution dans la conception de l’éthicité s’entrecroisent dans ce devenir. L’interrogation centrale de cette partie se porte sur les différentes étapes de l’Aufhebung du moment kantien, et, parallèlement, sur la possibilité de découvrir chez Hegel la prise en compte d’une distance entre le rationnel et le réel, qui révèle la normativité à l’œuvre dans le mouvement du concept. Cette recherche s’emploie enfin à reposer la question d’une continuité entre ces deux philosophes, se limitant à une confrontation entre la publicité kantienne et l’éthicité hégélienne, et s’attachant à examiner l’aptitude de ces deux manières de penser la réalisation de la liberté, à répondre au défi que chacune représente pour l’autre<br>This research aims to carry out an interrogation on a certain kind of continuity between Kant’s moral philosophy and Hegel’s political philosophy, which can be discovered by going beyond the undeniable rupture caused by the opposition between Kantian dualism and Hegelian absolute knowledge. This interrogation revisits the two philosophers’ evolutions, both culminating in a philosophy of right. It develops through an attempt of reading each one of these philosophers under the light shed by the principle directing the thought of the other one. The first part examines the evolution of Kantian philosophy that is marked by the problem on the unity of the mechanism of nature and the human freedom. In this part, Kant’s ultimate answer to this problem is discovered in the unfolding of right in its normativity. It is also shown in this part how the initial dualism is surpassed by the principle of “publicity” that mediates law and politics. In the second part, the evolution of the Hegel’s thought is examined through a study of the development of the Hegelian critique of Kant’s thought. It is shown how the progressive reevaluation of the Kantian moment and the development of the concept of “Sittlichkeit” correspond in this evolution. The central interrogation of this part relates to the different stages of the Aufhebung of the Kantian moment and to the possibility of discovering in Hegel’s thought a particular way of considering a distance between the rational and the real, which reveals the normativity at work in the movement of the concept. This research aims to ask in a particular manner the question of the continuity between these two philosophers by limiting its content to a confrontation between the Kantian publicity and the Hegelian Sittlichkeit. With a particular attention on two ways of thinking on the realization of freedom, this research intents to answer the challenge that these two philosophers represent for each other
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Bertrand, Olivier. "La raison pratique chez Paul Ricœur : entre Kant et Hegel." Paris, EHESS, 2006. http://www.theses.fr/2006EHES0018.

Full text
Abstract:
La thèse étudie la fondation morale de la justice politique, et plus particulièrement l'opposition entre universalisme et contextualisme. S'opposent une position de droit (déontologique) qui fait de l'individu un être rationnel porteur de droits indépendamment de son contexte de vie, et une position plus historique (téléologique), qui étudie les parcours des communautés humaines afin de comprendre les évaluations morales de chacune et les projets qui s'y attachent. Après avoir dégagé le noyau théorique de cette opposition à l'aide des pensées de Kant et de Hegel, la pensée de Ricœur est étudiée comme une tentative d'imbrication de ces deux perspectives normatives. Ricœur, sur la base d'un sujet qu'il montre brisé mais néanmoins capable, développe un concept de raison pratique, selon un double versant moral et politique. L'imbrication des revendications kantiennes et hégéliennes est rendue possible grâce aux deux «concepts mixtes» d'autonomie et de conscience historique<br>The thesis studies the moral foundation of political justice, and more particularly the opposition between universalism and contextualism. Are opposed a legal (deontological) approach conceiving the individual as a bearer of rights independently of his living environment, and a more historical (teleological) approach wich looks at the development of human communities to understand each one's moral claims and projects. After having analysed the underlying conceptual background of this opposition through the thoughts of Kant and Hegel, the thought of Paul Ricœur is studied as an attempt to interweave both moral perspectives. Ricœur, on the basis a subject that is shown to be broken but yet capable, develops a concept of practical reason wich includes both a moral and a political perspective. The interweaving of Kantian and Hegelian claims is then made possible on the basis of the "two-sided concepts" of autonomy and historical conscience
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Paschalidi, Ariadne. "Finitude et créativité : poésie et philosophie entre romantisme et critique." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010590.

Full text
Abstract:
L'étude des rapports entre poésie et philosophie, deux lieux ou l'homme vit la tension entre finitude et créativité, est un choix herméneutique pour une interrogation sur les enjeux de la pensée humaine. Romantisme et critique désignent deux tendances marquant notre modernité. La tension entre finitude humaine et créativité ne mène à des orientations humainement possibilisatrices que si elle échappe autant à l'obsession romantique de l'origine et de la nostalgie du passé qu'à celle critique de la finalité et d'une volonté incontrôlée de progrès. Nous préfigurons une herméneutique de la réserve et de l'initiative pratiquant la philosophie et son histoire au sein de l'expérience humaine. Il s'agit d'un scepticisme en action qui vise l'unité de l'action humaine engagée dans le multiple, en tentant de réaliser et de toujours actualiser une fermeté de la raison qui ne soit pThe study of the relationship between poetry and philosophy - two scenes where the human being lives the tension between finitude and creativity - is un hermeneutic choice for a questioning concerning human thought. Romanticism and criticis m are considered as two main tendancies in our modernity. The tension between human finitude and creativity cannot lead to orientations carrying human possibilities unless it escapes from the romantic obsession of origin and the nostalgy of the past, and from the critical one of finality and incontrolled will of progress. We prefigure an hermeneutic method of the reserve and initiative, practicing philosophy and its history in the field of human experience. It is a scepticism in action looking forward to the unity of human action engaged in the multiple, attempting to realize and always actual ize a firmnesse of reason which is not a rationalist assurance. Critical doubt is the theoretical exercise assisting a poetics of measure on the practical plan.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Joumier, Laurent. "L'Idée de raison dans la philosophie de Husserl : La fondation phénoménologique de la rationalité." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040033.

Full text
Abstract:
L'ensemble du développement de la philosophie de Husserl peut être compris en fonction d'une tâche, d'une finalité qui en devient explicite, dans toute son étendue, que dans sa dernière philosophie, mais qui permet de donner sens et cohérence aux différents moments de sa recherche. Cette tâche est celle de la philosophie comprise comme rationalisme, selon la formule de la Krisis. Le thème de la raison, presque absent des premiers écrits husserliens, occupe déjà une place centrale en 1906 lorsque Husserl définit son projet philosophique global comme celui d'une "critique de la raison". Le développement de ce projet guidera l'évolution ultérieure de sa recherche, en y incluant des perspectives nouvelles mais exigées par le rationalisme : passage de l'analyse statique à l'analyse génétique, développement d'une éthique formelle et d'une éthique matérielle, interprétation téléologique de l'histoire de la philosophie et de l'humanité, enfin esquisse d'une monadologie transcendantale<br>The complete development of Husserl's philosophy can be understood through a task, a finality that only becomes fully explicit in his last philosophy, but which gives meaning and coherence to the different moments of his research. .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Paltrinieri, Luca. "Naissance de la population : nature, raison, pouvoir chez Michel Foucault." Lyon, Ecole normale supérieure, 2009. http://www.theses.fr/2009ENSF0083.

Full text
Abstract:
Travailler sur les pistes frayées par Foucault signifie d'abord concevoir son oeuvre comme relevant d'une pratique spécifique de la philosophie, consistant à ouvrir celle-ci constamment à ses "dehors", pour mettre en relation la formation des concepts scientifiques et politiques avec les cadres historiques d'une certaine expérience de la "pensée". Le noyau de l'archéo-généalogie foucaldienne réside dans le rapport de cette pratique philosophique à un certain usage de la construction historique, afin de connaître et déstabiliser notre propre présent. Reprendre la tâche interrompue d'une telle "ontologie historique de nous-même" nous engage à penser les constructions généalogiques comme des machines qui doivent être "testées" sur le terrain historique tout en imposant à l'histoire elle-même une forme particulière. Ainsi la généalogie de l'objet "population", permet à la fois d'éclaircir la spécificité de la lecture foucaldienne de la "biopolitique", et de remettre en discussion certains de ses résultats, hypothèses ou interprétations. D'un côté, il s'agit de combattre la thèse de l'"invention" de la population par un inexistant appareillage scientifique-politique tout puissant, de l'autre, de mettre à jour les rapports de force à l'oeuvre dans la construction et l'émergence de nos concepts politiques et scientifiques, en révélant les événements invisibles et les expériences de pensée qui les sous-tendent. L'émergence du concept de population est ainsi restituée dans une histoire de la gouvernementalité qui culmine au milieu du XVIIIe siècle au moment de la diffusion du mot "population" et de l'affirmation d'un art de gouverner "libéral"<br>This research explores the possibility to work in the wake of Foucault's work, conceived it as a certain philosophical practice consisting in constantly opening the field of philosophy to its 'outsides' and connecting the history of a concept with the historical framework of an experience of thought. The core of this archaeological and genealogical method is the relation between philosophical and historical practices and the use of the historical constructions to complete a philosophical task : to reveal and destabilize our present. Thus, to resume the interrupted task of the "historical ontology of ourselves" means considering Foucaldian genealogies as "machines" to be tested on the historical ground, which also involve a specific practice of practice of history. The genealogy of the scientific and political concept of "population" is here considered in an historical-critical perspective : this history can both clarify the specificity of the Foucaldian reading of "biopolitics" and question its results, assumptions and interpretations. Through the historical genealogy of the object "population" I want , on the one hand, to fight the idea that the concept was "invented" by a dominant scientific and political complex and on the other hand to reveal the multiple power relations, events and struggles that underlie its appearence. The emergence of "population" is thus placed within a history of governmentality which culminated in the middle of the eighteenth century, when a liberal governing art became dominant and the word "population" widely used
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Konin, Alla Marcellin Vieillard-Baron Jean-Louis. "Les modalités spécifiques de la raison politique critique religieuse et engagement politique chez Spinoza /." [S.l.] : [s.n.], 2008. http://theses.edel.univ-poitiers.fr/theses/2008/Konin-Alla/2008-Konin-Alla-These.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Rovere, Maxime. "Le passage à l'action, connaissance et affects dans la philosophie de Spinoza." Lyon, École normale supérieure lettres et sciences humaines, 2006. http://www.theses.fr/2006ENSF0042.

Full text
Abstract:
Cette thèse étudie comment B. De Spinoza (1632-1677) conçoit la manière dont la connaissance opère sur les affects. En effet, selon la Proposition 3 de la Cinquième Partie de l'"Ethique", "un affect qui est une passion cesse d'être une passion sitôt que nous en formons une idée claire et distincte". Comprendre comment s'effectue cette transformation d'un objet par la pensée exige d'étudier ce dispositif dans le cadre d'une théorie de la connaissance, mais aussi dans celui d'une théorie des affects. Ce mélange des genres, propre à Spinoza, invite à la fois à interroger la nature des forces engagées dans les événements que l'esprit décrit et transforme, et à mettre en question le sens de ce que, sous le nom de Raison, le philosophe met en oeuvre. Ainsi, la question éthique du passage à l'action permet de définir une certaine manière de penser, et de donner à l'histoire de la philosophie la tâche de mettre à jour la nature, toujours singulière, de cet acte<br>This work studies the way B. De Spinoza (1632-1677) conceives how knowledge operates on affects. According to the "Ethics", Fifth Part, Third Proposition, "on affect which is a passion ceases to be a passion as soon as we form a clear and distinct idea of it. "To understand how this transforming of an object by the thought can happen, impliesto examine this very mechanism in the frame of a theory of knowledge, as well as in that of a theory of affects. This mixing of genres, peculiar to Spinoza, implies at the same time the determination of the nature of the forces engaged into the events described and transformed by the mind, and the questioning of the actual meaning of what the philosopher uses under the name of Reason. Therefore, the ethical question of the going into action allows to define a certain way of thinking, and gives to history of philosophy the task of clearing the nature, always singular, of this act
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

Dimitriou, Stéphanos. "Le conflit de la modernité : formes et limites de la critique post-moderne de la raison." Paris 8, 1998. http://octaviana.fr/document/184742641#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

Full text
Abstract:
Afin de faire face aux exigences modernes et de prouver qu'elles sont des illusions, la pensee post-moderne se refugic obligatoirement dans l'usage des criteres moraux qu'en realite elle dedaigne et n'insere pas dans son arsenal conceptuel. L'argument' a propos du piege conservateur sense etre' a la base de l'idee du progres devoile simplement le noyau essentialiste de la pensee post-moderne, car, pour que la transformation puisse etre caracterisee comme illusion, il faut bien que celui qui la caracterise ainsi dispose egalement la cle de l'authenticite, a savoir de connaitre l'essence de la transformation vraie et de former l'image normative d'un monde capable de contenir une existence authentique qui soit conciliee avec son essence<br>Postmodernism -in order to prove that modern demands are self - delusions- is obliged to resort to the use and selective projection of moral criteria. However, according to its declarations, postmodernism rejects moral criteria and does not include them in this ideological and conceptional armament of its arguments. The assertion that modernity is incircled in the idea of progress reveals essensialist core of post-modernism. Because, only the one who knows the concept of authenticity, that is, who knows the meaning of real change and have formed the image of a world able to include an authentic existence reconceled to its essence, can characterize a change as self-delusion
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Cloitre, Gaël. "Dualisme et énigme de la raison : de Platon à Schiller." Dijon, 2003. http://www.theses.fr/2003DIJOL003.

Full text
Abstract:
Ce travail de recherche s'interroge sur la fonction et la signification du dualisme dans la philosophie occidentale, en centrant la réflexion sur le dualisme platonicien de l'intelligible et du sensible et sur la césure esthétique opposant, aux yeux de Schiller, la forme et la matière. La pluralité du concept de dualisme nous invite à comprendre de quelle manière l'opposition des irréductibles communique avec notre identité comme avec notre conscience. Le dualisme, loin de nous imposer une extériorité radicale ou des divisions étrangères à notre nature, nous permet d'interroger le composé humain comme un présent vivant, capable de cultiver la complémentarité de ses forces. La pensée du dualisme est une pensée duelle : en affirmant une séparation irréductible entre deux instances fondamentales pour l'homme, elle est toujours tournée à la fois vers ce qui dépasse la mesure de l'homme et vers ce qui lui permet d'affirmer l'identité de son être<br>This research work tries to question the function and the significance of dualism in Western philosophy, by centering the reflection on Platonic dualism of "intelligible" and "sensible" and on the aesthetic caesura opposing, according to Schiller, the form and the matter. The plurality of the concept of dualism invites us to understand how opposition of the irreducible can communicate with our identity as with our conscience. Dualism, far from imposing a radical exteriority or foreign divisions to our human nature, allows us to question the human compound like a living present, able to cultivate the complementarity of its forces. The thought of dualism is a dual thought : while affirming an irreducible separation between two fundamental authorities for Man, she is always turned at the same time towards what exceeds the measure of Man and towards what allows him to affirm identity of his being
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Heitz, Jean-Michel. "L'éthique entre raison et sentiment pour une éthique scientifique et une logique des valeurs." Reims, 2006. http://www.theses.fr/2006REIML001.

Full text
Abstract:
II s'agit dans un premier temps d'interroger la sphère de l'éthique et les fondements sur lesquels elle repose et en particulier la pratique et l'axiologie formelles comme analogon de la logique formelle ou logique analytique héritée d'Aristote. On peut en effet questionner l'action, la volition et la valorisation pour savoir quelles relations elles pourraient entretenir avec la logique pure. Y a-t-il une mathesis universalis des valeurs et de la volition et celles-ci se laissent-elles comprendre dans une démarche logico-déductive ? Comment définir et cerner la part irréductible qui serait celle de l'affectivité. De telles questions restent sans tentatives de réponses tant qu'elles n'ont pas été réintroduites dans le vaste domaine d'une théorie de la connaissance. Plusieurs auteurs seront étudiés en particulier Hume, Kant et Husserl et leur pensée sera élargie à une visée éthique contemporaine, celle de Paul Ricoeur<br>This work attempts firstly to question the sphere of ethics and the foundations which support it, particularly formai practice and axiology as the analogon of the formal logic, or analytic logic, bequeathed by Aristotle. Indeed, action, volition and valorisation can be questioned to learn what relationship they might have with pure logic. Is there a mathesis universalis of values and volition, and can these be understood through a logicaldeductive process? How can the irreducible part belonging to affectivity be defined and delimited? One can not attempt to answer such questions as long as they have not been reintroduced within the vast field of a theory of knowledge. Many authors will be studied, in particular Hume, Kant and Husserl, and their thinking will be broadened towards a contemporary ethical design, that of Paul Ricoeur
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Pacteau, Joëlle B. A. "Désordre entre langage et raison la genèse de la philosophie politique de Jean-Jacques Rousseau." Lille 3 : ANRT, 1986. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37595044w.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Challiol-Gillet, Marie-Christine. "Schelling, une philosophie de l'extase : de l'intuition intellectuelle à l'extase de la raison, une tentative de compréhension de l'Absolu par la philosophie." Paris 10, 1993. http://www.theses.fr/1993PA100139.

Full text
Abstract:
L'extase, puissance de sortie de soi et confrontation au tout-autre, est un terme récurrent de la dernière philosophie de Schelling. Elle apparaît en deux emplois principaux: extase de la raison, elle donne à cette dernière, par le renoncement initial qu'elle suppose, la possibilité de comprendre le Dieu créateur qui ne peut jamais être déduit a priori. Extase en Dieu, elle est la manifestation de la toute-puissance et de la liberté divines: Dieu est assez sûr de soi pour poser ce qui le nie. Ces deux emplois sont étroitement liés, l'extase en Dieu est la condition de l'extase de la raison. L'extase est par ailleurs le résultat de la transformation de l'intuition intellectuelle, mode de saisie de l'absolu qui régnait dans la philosophie de l'identité, et le passage de l'un à l'autre concept résume la transformation de l'absolu lui-même dans la philosophie de Schelling. La thèse soutenue est celle de la continuité de l'ensemble de la dernière philosophie. La transformation de la philosophie négative en science rationnelle, première partie du diptyque dont la philosophie positive constitue le second volet, est compatible avec la prééminence toujours conservée à la philosophie positive. L'hypothèse continuiste doit toutefois avouer ses limites face à la dernière oeuvre de Schelling, l'exposé de la philosophie purement rationnelle, malheureusement inachevée. Le sens général de la dernière philosophie semble cependant être celui d'un maintien de la philosophie positive, alors même que l'idéalisme retrouve ses droits<br>Ecstasy - The power to transcend oneself and confront absolute difference, is a recurrent phrase in Schelling's latter philosophy. It is used mainly in two different ways: as the ecstasy of reason, it endows the latter, through the initial renunciation it implies, with the possibility of comprehending God the Maker, who can never be deduced a priori. As the ecstasy in God, it demonstrates God's almighty power and his liberty: God is self-assured enough to suppose what denies him. Those two different uses are closely linked, the ecstasy in God being the condition for the ecstasy of reason. Besides, ecstasy is the resulty of the transformation of intellectual intuition, a way of comprehending the absolute that used to prevail in the philosophy of the self, and the transition from one to the other therefore summarizes the evolution of the absolute itself in Schelling's philosophy. The argument here is states the continuity of the latter philosophy as a whole. The transformation of negative philosophy into rational science, the first part of the twofold work of which positive philosophy constitutes the second section. Is compatible with the persisting pre-eminence given to positive philosophy. The hypothesis of continuity must however akcnowledge its difficulties to account for Schelling's last work, which was unfortunately never completed
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Milivojevic, Tatiana. "La philosophie religieuse de Léon Chestov." Nice, 1997. http://www.theses.fr/1997NICE2023.

Full text
Abstract:
Né à Kiev en 1866 et mort à Paris en 1938, Léon Chestov, de son vrai nom Lev Isaakovitch Schwarzmann, demeure l'une des figures les plus originales et les plus énigmatiques de la renaissance philosophique russe du début du siècle. Il reprend et approfondit un thème qu'avaient traité les slavophiles, celui de la fausseté et du poison du rationalisme, mais avec une audace, une rigueur et une intransigeance qui surpassent toutes les revendications irrationalistes que connaît l'histoire de la philosophie. Chestov repense la connaissance ainsi que l'éthique dans le contexte du mystère du péché originel, tel qu'il est révélé dans la Bible. Une substitution désastreuse s'est produite : l'homme a pris l'arbre de la science pour l'arbre de la vie. De créature libre et souveraine il est devenu l'esclave des évidences, des lois et des contraintes rationnelles. Il n'y a que la foi, conçue sur le mode du saut dans l'absurde kierkegaardien, du par-delà le bien et le mal nietzschéen ou des tenebrae fidei clamees par Luther, qui peut délivrer l'âme vivante de "l'enchantement et de l'assoupissement surnaturels" et de la tyrannie exercée par la raison autonome, donc, indifférente aux aspirations les plus profondes de l'existence. En effet, "la raison conduit à la nécessité et la foi à la liberté". Toutefois, le divorce entre la raison d'un côté et l'existence et la foi de l'autre, condamne la pensée de Chestov à l'immobilité d'un dualisme sans issue et d'un questionnement perpétuellement négatif. Rivée à son adversaire, dans un combat sans merci, la pensée de Chestov s'exténue et brise le ressort de l'élan métaphysique qui la suscite
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Teramoto, Takahiro. "Intrigues de la philosophie aujourd'hui : les aventures de la raison, les aventures du sens, les aventures du soi." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2003. http://www.theses.fr/2003STR20033.

Full text
Abstract:
Centrales pour toute réflexion philosophique, la question du statut de la raison, la question du sens, la question du soi, sont actuellement soumises à une révision radicale, qui va bien au-delà d'une simple opposition entre modernité et postmodernité à nombre de défis, liés à la théorie de l'action, au retour du sujet (responsable), à l'idée d'espace public, ainsi qu'à la transformation de nos sociétés démocratiques. La prise en compte de la raison pratique est en effet une réorientation de la pensée vers l'agir, lequel revêt une dimension de plus en plus politique et se prolonge en termes de justice sociale. On le voit, la pensée anglo-américaine constitue ici l'arrière-plan des confrontations productives dans la polémique franco-allemande. Se donnant pour objectif d'effectuer un examen approfondi d'un certain nombre de questions soulevées dans ces débats triangulaires, notre enquête est menée par une approche plus vaste susceptible d'explorer les contrées diverses que traverse le sens, les niveaux de l'expérience où se déploie progressivement l'identité d'un soi. Combinant analyses conceptuelles, élaborations théoriques, reconstructions critiques et études d'innovation en cours, la thèse restitue l'état des recherches et des discussions qui témoignent d'une remise en chantier du dialogue entre la tradition " analytique " et la tradition " continentale "<br>Beyond a simple opposition between modernity and postmodernity, the question of the status of the reason, the question of the sense, the question of the self, are currently submitted to a radical revision with a number of challenges, which may be linked to the theory of the action, to the return of the (responsible) subject, to the idea of public space, as well as to the transformation of our democratic societies. The taking into account of the practical reason is indeed an orientation of the thought toward the acting, which takes on an increasingly political dimension and is prolonged in terms of social justice. It is seen that the Anglo-American thought constitutes here the background of productive confrontations in the Franco-German polemic. The purpose of our investigation is to carry out a through examination of a certain number of questions raised in these triangular debates and to explore the various regions of the sense, the levels of the experience where the identity of a self is spread gradually. By combining conceptual analyses, theoretical elaborations, critical rebuildings and studies of innovation in progress, the thesis restores a state of researchs and discussions which testify to the start of the dialogue between the "analytical" tradition and the "continental" tradition
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Konin, Alla Marcellin. "Les modalités spécifiques de la raison politique : critique religieuse et engagement politique chez Spinoza." Poitiers, 2008. http://theses.edel.univ-poitiers.fr/theses/2008/Konin-Alla/2008-Konin-Alla-These.pdf.

Full text
Abstract:
Notre travail interroge la religion et la politique à la lumière de la critique du spinozisme. Il s'en dégage que : dans la forme, la raison discursive, et critique s'oppose à la foi comme révélation et certitude non-réfléchie mais leur contenu (l'Absolu) les unit. Dès lors, la raison élève le sentiment religieux (le fini accède à l'Infini par la réflexion), inversement, la foi fonde la rationalité. Cependant, nous nous demandons si cette rationalité de la foi ne nie pas sa spécificité. Envisager avec Spinoza la séparation de la philosophie et de la théologie afin de permettre la liberté de pensée et d'expression. En effet, l'analyse de la connaissance rationnelle dans son rapport avec la connaissance théologique nous conduit à sceller la distinction entre le théologien et le philosophe d'une part et de l'autre entre le théologien et le politique. Le conatus spinoziste doit pouvoir permettre de vaincre l'asservissement et les préjugés, et conduire les individus à la liberté et au salut de la société<br>The thesis examines the relationship between religion and politics from the Spinozist critical perspective. In terms of form, discursive and critical reasoning is opposed to faith which can be characterised as a non-analytical certainty taking the form of revelations. In terms of content however, reason and faith are united by their shared content a sense of the Absolute. In these circumstances reason is able to promote religious feeling, the finite becoming infinite thanks to meditative thought ;conversely, faith can provide a basis for rationality. Nonetheless, is it not possible to see this rationality of faith as a denial of that which specifically defines faith ? Spinoza's aim was to separate philosophy from theology so as to liberate thought and freedom of expression. As a matter of fact, the analysis of rational understanding and its relations with theological knowledge gives us a better grasp of what differentiates the theologian and philosopher on the one hand, and the theologian and politician on the other. Spinoza's 'conatus' should allow us to overcome subordination and prejudice, taking us toward liberation and the salvation of society
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Al-Kayyali, Abdul-Hameed. "La doctrine de la prophétie chez Maïmonide (m. 601/1204) entre pensée juive et pensée musulmane." Thesis, Aix-Marseille, 2012. http://www.theses.fr/2012AIXM3111/document.

Full text
Abstract:
Maïmonide (m. 601/1204) est resté sans doute une figure majeure du judaïsme rabbinique. Mais, sa connaissance de la philosophie fit de lui une référence indispensable dans la pensée philosophico-religieuse juive, chrétienne et musulmane. Son œuvre, riche et variée, témoigne de la jonction harmonieuse, dans un même esprit, d'une religiosité profonde, telle qu'elle s'exprime dans ses traités juridiques et théologiques, et d'une curiosité philosophique et métaphysique qui se révèle dans son œuvre Le Guide des égarés. La présente étude consiste à analyser les origines de la doctrine de la prophétie chez Maïmonide en puisant dans un premier temps, dans ses propres sources, pour les comparer dans un second temps aux références textuelles des philosophes musulmans tels que Fārābī, Ibn Sīnā et Ibn Bāğğa. Le chapitre I a pour objet la définition de la prophétie chez Maïmonide. Le chapitre II porte sur le rôle de l'imagination dans la prophétie. Le chapitre III est consacrée aux significations politiques de la prophétie<br>Maimonides (d. 601/1204) is universally recognized as a leading rabbinic authority in Judaism. His eminence as a philosopher made him an indispensable source in Jewish, Christian and Islamic philosophical and religious thought. The present study aims to analyze the origins of the doctrine of prophecy in Maimonides' philosophy by studying, first, the original sources and then to compare them with the works completed by Muslim philosophers, most notably, Fārābī, Ibn Sīnā and Ibn Bāğğa. Chapter I addresses Maimonides' definition of prophecy. Chapter II examines the role of imagination in the prophecy. Chapter III is devoted to the political implications of prophecy
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

David-Ménard, Monique. "Raison et délire, Kant lecteur de Swedenborg." Paris 4, 1990. http://www.theses.fr/1989PA040121.

Full text
Abstract:
Dans quelle mesure la réflexion kantienne sur la folie fut-elle déterminante pour la formation de la philosophie critique, -science des limites de la raison humaine-, et de la philosophie transcendantale dans ses aspects théorique (théorie de l'objet de connaissance) et pratique ? Cette recherche tente de relire la critique de la raison pure en examinant le rapport de l'anthropologique au philosophique depuis l'essai sur les maladies de la tête (1764) et les rêves d'un visionnaire expliques par des rêves de la métaphysique (1766) jusqu'à l'anthropologie, considérée d'un point de vue dogmatique (1798)<br>How important have been Kant’s thoughts on madness in determining the formation of his philosophy, both critical and transcendental, in his theoretical aspect, eg. In his theory of the object, as well in the practical aspect ? The research, here, developed intends to re-read the critique of pure reason in examining the relationship between anthropology and philosophy from the essay on the sickness of the mind (1764), to the dreams of a spirit-seer in the light of dreams of metaphysics (1766) and, later on, to the anthropology (1798)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Noël, Annie-Françoise. "Pour une théorie du soin." Paris 10, 2010. http://www.theses.fr/2010PA100013.

Full text
Abstract:
Le modèle théorique qui sert de référence commune aux pratiques (in)dividuelles et institutionnelles du soin, oppose contradictoirement Bien et Mal, santé et maladie, bons et méchants, forts et faibles, savants et ignorants, etc, dans un concept rationnel qui fabrique, subsume, assume et surmonte l’unité paradoxale de deux types de forces a priori tenues pour antinomiques : forces physiques « dangereuses » pour la pensée et forces transcendantales (« le bien ») « condamnées » à lutter contre ce « mal » qui les menacerait, et/ou inversement. A « l’application », ce modèle dialectique qui rend conflictuelles des forces qui ne le sont pas, place chacun en manque de pensée et de sensibilité. Ce qui conduit à obtenir le contraire du « bien » attendu : nature défigurée, vie menacée, rapports humains souvent cruels, mensongers ou cyniques. La structure paradoxale du modèle détermine des situations de double contrainte, certes surmontées en « théorie », mais insurmontables « en pratique », là où le concept prévoit de traiter par le mal ce qui résiste à son « bien ». De là, les croyances en l’onirisme de toute théorie, en la malignité de « l’homme », en une impossibilité ultime du soin et/ou en une contingence globale de ce dernier. Or, ce soin ironique, établi par un sujet identifié au Réel et de là asservi à la machinerie rationnelle qui lui sert de pensée, est symptomatique du soin authentique, lequel n’est pas placé sous l’autorité transcendante de ce sujet aliéné, mais tient nécessairement unies les forces physiques et transcendantales selon l’immanence radicale (du) Réel-Un (dont) elles sont chacune fonction dans leur ordre de réalité. Unies en-Dernière-Identité seulement, selon la structure de la dualité-unilatérale (non-philosophie), ces fonctions incommensurables agissent ensemble sans Dieu ni maître ni paradoxe. De là, ni « Bien » ni « Mal », seulement de la pensée, de la sensibilité, de la douceur, de la dignité, de la solidarité et de la coopération. En deux mots : de la Force (de) Soin<br>The theoretical model that makes common reference for (in)dividual and institutional practices of care and cure, sets up contradictory oppositions between Good and Evil, health and illness, the good and the bad, the strong and the weak, the learned and the ignorant, etc, in a rational concept that makes, subsumes, assumes and surmounts the paradoxical unity of two kinds of forces a priori deemed to be antinomical : natural forces “dangerous” to thought (“Evil”), and transcendental forces (“Good”), “sentenced” to struggle against the threat they are representing, and/or vice versa. In practice, this dialectical model forges conflicting forces, determines lacks of thought and sensibility and ends up achieving the opposite of the “good” expected : defaced nature, life threatened and human relations more often cruel, deceitful or cynical. The paradoxical structure of the model, actually traps everybody in double bind situations witch are surmounted “in theory”, but impossible to overcome “in practice”, where the concept compels one to be hard with everything that resists the “Good” it pretends to achieve. Hence, the faiths in theory’s unrealistic nature, in humans’ badness, in final impossibility of cure, and in care’s contingency. In fact, this ironical concept, settled by a subject identified with Real and thus enslaved to the rational machinery that serves to him as thought, is symptomatic of authentic Care, witch is not given under transcendent authority of this alienated subject, but keeps necessarily united, each one in its order of reality, physical and transcendental forces, according to the radical immanence (of) Real-One. United in-the-last-Identity only, these incommensurable functions (of) Real-One work together according to the Unilateral-duality’s structure (non-philosophy), without God nor Master, nor paradox. Hence : no “Good”, no “Evil”, only thought, sensibility, gentleness, dignity, solidarity and cooperation. In two words : Force (of) Care
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Makaya, Makaya Rodrigue. "Liberté et universalité dans la philosophie de Kant." Thesis, Montpellier 3, 2014. http://www.theses.fr/2014MON30084/document.

Full text
Abstract:
La liberté et l'universalité sont des critères de la moralité fondés en raison et qui n'admettentrien de relatif. Dans cette étude, nous soupçonnons le relativisme d’être à l’origine de la crisemorale d’aujourd’hui. Ensuite, parce ce que ce courant de pensée soulève un doute sur l’unitéde la raison, et donc de la liberté et de l’universalité pour le genre humain. Pour cela, nousvoulons opposer au relativisme la philosophie kantienne, laquelle pose la liberté etl’universalité comme étant deux concepts fondamentaux dans la conception kantienne de lamoralité, atemporels et dépassant le champ de toute expérience. De fait, nous comprenonsmieux l’effort de Kant qui consiste à poser l’autonomie de la volonté comme le principeunique et universel de la morale (pour le genre humain) et à désapprouver toutes les doctrinesmorales qui sont fondées par exemple sur la culture, la religion ou le bonheur personnel. AvecKant, on ne peut donc dériver la morale de tout cela<br>Liberty and universality are criteria of morality ; they are grounded in reason and admitnothing relative. In this study, relativism is put into question as being at the origin of today’smoral crisis. More to the point, this school of thought raises a doubt about the unity ofreason, and therefore the liberty and universality for mankind. In this perspective, the thesisconfronts relativism to the Kantian philosophy, which puts forward the concepts of ‘freedom’and ‘universality’ as fundamental in understanding morality that is timeless and goes beyondthe scope of any experience. In fact, we understand better Kant's premise which consists inputting forward the principle of party autonomy as the unique and universal criteria ofmorality (to mankind) and in disapproving all moral doctrines which are based, for example,on culture, religion or personal happiness. From a Kantian point of view, one cannot derivemorality from the latters
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Proulx, Alexandre. "Critiques de la raison instrumentale : Horkheimer, Adorno, Habermas." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/26567/26567.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Mandoul, Thierry. "L' «Histoire de l'architecture » d'Auguste Choisy : entre raison et utopie." Paris 8, 2004. http://www.theses.fr/2004PA083577.

Full text
Abstract:
L'objet et le sujet d'étude de ce travail est l'ouvrage de l'ingénieur Auguste Choisy, « Histoire de l'architecture », publié en 1899. La thèse interroge sa conception de l'histoire et démontre la construction scientifique du récit historique. Elle établit dans quelle mesure l' « Histoire » a été soumise à l'épistémè de son siècle, portée par les sciences naturelles et celles de l'ingénieur, traversée par des utopies sociales et politiques. Le statut et l'usage de la représentation graphique constituent un autre point d'étude. La thèse y explore une pensée au travail, démontrant que rationalité et imaginaire sont indissociablement associés. Elle s'attache à définir les éléments exemplaires qui forment à la fois la trame de l'interprétation historique et les règles de la production architecturale. Enfin, la thèse inscrit l' « Histoire de l'architecture » dans une histoire du travail en général et analyse dans quelle mesure l'œuvre de l'ingénieur peut s'interpréter comme une utopie technicienne et saint-simonienne<br>The study of this work is the engineer Auguste Choisy's book, "Histoire de l'architecture", published in 1899. The dissertation examines the book's conception of history, revealing the scientific construction underlying the historical narrative. It discusses the manner in which the "Histoire" was subject to the episteme of its time, influenced by engineering and natural sciences as well as social and political utopias. The study also focuses on the status and the use of graphic representation, exploring a working thought process in which the rational and the imaginary prove to be inseparably associated. It aims to define the significant elements that form both the rules of architectural production and the structure of the historical interpretation itself. Finally, it situates "Histoire de l'architecture" within a general history of labour and considers to what extent the book may be qualified as a technical and Saint-Simonian utopia
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Kasraoui, Naceur. "Raison herméneutique et raison critique : introduction générale de l'herméneutique de H. G. Gadamer suivi de la controverse habermassienne : thèse." Nice, 2003. http://www.theses.fr/2003NICE2010.

Full text
Abstract:
Gadamer et Habermas deux grands philosophes ouvrent un débat entre deux théories : critique et herméneutiques. Cette thèse a montré qu'il y a deux manières de comprendre le projet constitutif de la raison. Notre analyse vient éclairer les enjeux de la raison tout en situant le contexte, c'est d'abord élaborer l'histoire de l'herméneutique ; ensuite tracer le parcours philosophique de Gadamer et son concept de l'universalité de l'herméneutique puis encore la question de l'Aufklârung ; le rapport de la Théorie et de la Praxis pour enfin arriver a fixer l'alternative ontologique de l'herméneutique et de la théorie critique, en particulier entre Gadamer et Habermas. Il y a là bel et bien une controverse entre les deux. Certes, notre thèse ne cherche pas à proposer une interprétation de l'un ou de l'autre mais à souligner que chacun a défendu sa théorie e ses résultats<br>Gadamer and Habermas, two great philosophers open a famous debate about two critical and hermeneutical thories. This dissertation aims at showing that there are two ways of understanding the fondamental constituents of reason. Our analysis brings to light what is at stake in the diversity of reason while setting the context ; first, we developed the history of hermeneutics, then we drew the philosophical course of Gadamer and his concept of the universality of hermeneutics and the Aufklärung issue ; the relation ship between Theory and Parxis and, at last, we tried to set the ontological alternative of hermeneutics and of critical thery, especially the one by Habermas. There is actually a controversy between Gadamer and Habermas. Our dissertation does not aim at giving an interpretation of one on the other but it intends to emphasize the conviction of both philosophers for their theories and results
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Monteils-Laeng, Laetitia. "L'akrasia dans la philosophie ancienne : une étude de la boulèsis et de l'hexis de platon aux stoïciens." Caen, 2010. http://www.theses.fr/2010CAEN1604.

Full text
Abstract:
Cette étude, « L'akrasia dans la philosophie ancienne. Une étude de la boulèsis et de l'hexis de Platon aux Stoïciens », se propose de mesurer l'ampleur des bouleversements induits en matière de psychologie morale par le questionnement du conflit de l'âme et de l'incontinence (akrasia) dans la philosophie antique, au travers de deux notions spécifiques, la boulèsis (souhait/désir rationnel/aspiration) et l'hexis (disposition/habitus). Il s'agit plus précisément de montrer que de Platon aux Stoïciens, en passant par Aristote, se produit un affaiblissement progressif de l'intellectualisme moral qui conduit certes non pas à une conceptualisation de la volonté comprise comme faculté de détermination de l'agir indépendante de la raison mais à une compréhension des composants de l'agir où notre état cognitif est solidaire d'une tension de notre vouloir<br>This work, « Akrasia in Ancient Philosophy. A Study on boulèsis and hexis from Plato to Stoics », means to assess the extent of the modifications induced in moral psychology by the examination of mental conflict and incontinence (akrasia) in ancient philosophy through two specific notions, boulèsis (wish/rational desire/aspiration) and hexis (disposition/habitus). We want precisely to show that, from Plato to the Stoics via Aristotle, a progressive weakening of moral intellectualism takes place which doesn’t lead to a conceptualization of will defined like a faculty of determination of the action independent of reason, but to an understanding of the elements of the action where our cognitive state is bound up with a tension of our willing
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Furukawa, Masaki. "Philosophie et religion chez Maine de Biran." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040093.

Full text
Abstract:
La philosophie de Maine de Biran, partant du problème de l'intelligence humaine, en arriva à fonder la religion proprement dite. Notre étude a essayé d'éclairer comment la réflexion biranienne, après avoir découvert le principe de la pensée dans l'activité consciente, s'étendit jusqu'à la connaissance religieuse tout en restant fidèle à ce principe saisi comme base de toute connaissance. Et nous avons conclu au moins que pour cet élargissement, sa réflexion dut accepter en elle-même la sensibilité passive, une fois exclue comme étrangère à l'intelligence, de telle manière que ces deux éléments constitutifs de l'homme tout entier, élément actif et élément passif, s'influencent l'un l'autre pour le préparer afin de pouvoir recevoir la grâce, aide divine, qui seule l'achève comme âme ; et que la fondation possible de la religion par la philosophie consiste dans une telle participation de ces éléments naturels au surnaturel<br>The philosophy by Maine de Biran, starting from the problem of human intelligence, founded finally religion properly so called. Our study tried to throw light on how the biranian thought, after having discovered the mainspring of the thought in the conscious activity, extended to the religious knowing while remaining exact to this principle apprehended as the base for all knowing. And we have concluded at least that for this extending, his thought must have accepted in itself the passive sensibility after being excluded as having no part with intelligence, in such a way that these two factors that constitute the entire man, active factor and passive factor, have an effect upon each other in order to prepare him to be able to receive grace, divine help, who one and only completes him as a soul ; and that the possible foundation of religion by philosophy consists in such a participation of these natural elements to supernatural
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

Corsius, Xavier. "Temps et quantité dans la Critique de la raison pure : une approche à l’algèbre dans la philosophie critique de Kant." Thesis, Université d'Ottawa / University of Ottawa, 2019. http://hdl.handle.net/10393/39659.

Full text
Abstract:
Dans ce travail nous élaborons une interprétation de la philosophie critique d’Immanuel Kant qui montre qu’elle donne les fondements à l’algèbre. Nous affirmons que les constructions algébriques se distinguent des constructions géométriques et qu’elles forment une théorie de la quantité pure. Dans la première Critique, l’algèbre est une méta-arithmétique qui donne les conditions de la quantification de la grandeur en général. Par conséquent, la théorie mathématique de l’épistémologie critique s’inscrit dans le projet d’algébrisation des sciences pendant l’époque moderne. Nous avons divisé notre travail en cinq chapitres. Avec le chapitre 1, nous montrons le rôle de l’algèbre dans la pensée moderne. L’algèbre, fondée dans l’arithmétique, est la théorie de la quantification des grandeurs non-déterminées. Dans le chapitre 2, nous critiquons les a priori historiques sur lesquels se basent les commentateurs de la philosophie critique pour affirmer que la construction de la quantité, chez Kant, doit nécessairement se ramener à des constructions spatiales. Dans le chapitre 3, nous montrons que le nombre est un schème pur temporel. La théorie kantienne du Schématisme transcendantal des concepts purs de la quantité suppose des relations temporelles a priori sur lesquelles se fondent la numérisation des relations spatio-temporelles. Dans le chapitre 4, en analysant les rapports entre l’Esthétique transcendantale et la Phoronomie des Premiers principes métaphysiques des sciences de la nature (1786), nous affirmons que la quantification des grandeurs spatio-temporelles est fondée sur une conception du temps absolu qui contient une métrique intrinsèque. Dans le chapitre 5, nous nous sommes concentrés sur le rôle de la synthèse pure qui génère la représentation symbolique de la quantité variable. En analysant la relation entre la temporalité et la science de la quantification, nous sommes en mesure d’expliquer et de défendre la possibilité de la construction de la variable x dans l’épistémologie critique. Nos recherchent sur les rapports entre le temps et la quantification dans l’épistémologie critique, nous permettent d’affirmer que la construction de la variable algébrique repose sur une synthèse pure temporelle qui a préséance sur la quantification spatiale. L’algèbre précède la géométrie, la chronométrie et la Phoronomie. Ce qui nous laisse dire que l’algèbre est la mathématique la plus fondamentale dans le système critique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

Fornasiero, Lidia. "Folie et raison dans la philosophie d'E. Kant : l'apport heuristique du concept de folie dans la subjectivité tanscendantale." Nantes, 2002. http://www.theses.fr/2002NANT3024.

Full text
Abstract:
Ce travail est finalisé par la définition de la subjectivité transcendantale dans la philosophie d'Emmanuel Kant , selon l'équation entre subjectivité et personnalité. Pour ce faire nous utilisons la conception kantienne de la folie comme instrument heuristique dans l'interrogation de la structure de la subjectivité. La thèse est composée de deux parties : dans la première, la subjectivité est définie selon une perspective fondée sur la reconnaissance de la structure temporelle de la conscience transcendantale. La structure des facultés de l'âme saine et celle de l'âme malade sont homologues. La raison a en elle-même les germes de la déraison. Une genèse des facultés de l'esprit est alors nécessaire afin d'établir un critère normatif dans le sens commun transcendantal permet une redéfinition de la subjectivité transcendantale selon trois aspects : spéculatif, moral, intersubjectif. La deuxième partie établit la racine de toute folie dans la constitution dogmatique de la raison pure, par le biais de l'analogie entre exaltation fanatique et dogmatisme spéculatif et moral. La subjectivité comme personnalité spéculative, morale et intersubjective est confrontée à la subjectivité irrationnelle afin de vérifier l'impossibilité d'attribuer, dans la perspective kantienne, le statue de personne au malade mental. En conclusion, nous évaluons la possibilité de repérer, chez Kant, un projet d'anthropologie transcendantale comme science de la subjectivité.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Lemaire, Stéphane. "Raisonnement pratique et délibération dans la philosophie contemporaine de l'action." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2003PA040120.

Full text
Abstract:
La thèse vise à comprendre le rôle de la réflexion pratique consciente. Je soutiens dans la première partie de la thèse que cette réflexion manipule exclusivement des croyances. C'est la thèse double qui consiste d'une part à distinguer les désirs des croyances à propos de nos désirs et d'autre part à défendre un cognitivisme externaliste à propos de nos jugements normatifs. Ces derniers jugements n'expriment en effet ni des motivations ni des états qui sont intrinsèquement motivants. De là, il ressort que la réflexion pratique manipule deux sortes de croyances : des considérations factuelles à propos de nos désirs et du monde mais aussi des considérations normatives. Cela soulève deux problèmes : premièrement, quelle peut être la fonction de la réflexion morale si nous pouvons au mieux agir rationnellement pour satisfaire nos désirs. Deuxièmement et de façon plus générale, comment une réflexion pratique en terme de croyances peut-elle avoir un effet sur nos actions. La réponse au premier problème est en deux étapes. Tout d'abord, je défends une contrainte internaliste sur les raisons : les demandes de la morale ne devraient pas excéder ce que nous pourrions désirer. Ensuite, je soutiens qu'il est souvent rationnel et possible de changer ses désirs pour les mettre plus en accord avec nos croyances morales. La réponse au second problème consiste à accepter que nos jugements réfléchis et nos choix conscients ne motivent pas nos actions. Néanmoins, ils peuvent actualiser nos désirs ou aider à ce qu'ils soient plus présents à notre esprit, ce qui peut changer la forme de nos motivations, et, de là, influer sur nos actions de façon indirecte. Dans le prolongement de cette idée, je soutiens que les intentions préalables ne sont rien d'autre que des ensembles de croyances<br>This thesis deals with the function of our conscious pratical thinking. I argue in the first part of the thesis that this thinking is based on beliefs. This is a twofold thesis. The first part of it is to distinguish desires from beliefs about our desires. In order to enforce this distinction, I defend that we know our desires by inferences through our emotions. The second part is to defend cognitivism and externalism about our normative judgments. These judgments express beliefs and not motivations and they are not intrinsically linked to motivations. Hence practical thinking relies on two heterogeneous type of beliefs : factual considerations about our desires and the world as well as normative considerations. Moreover, these beliefs are not motivating according to the so-called human theory of motivation. This raises two difficulties : first, what is the function of moral thinking if we can at best act rationally in accordance with our desires. Second and more generally, how practical thinking in temr of beliefs is going to have some effect on our actions. The response to the first problem is in two steps. First, I defend an internalist contraint on our reasons : the demands of morality should not exceed what we may possibly desire. Second, I contend that is often rational and possible to try to change our motivations in order to bring them more in line with our moral beliefs. The response to the second problem implies that our reflective judgments and choices do not motivate our actions. Nevertheless, they may awaken our motivations or help to focus on them, thereby changing the configuration of our motivations, hence indirectly our actions. In accordance with this view, I argue that our intentions directed toward the future are but sets of connected beliefs
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Kerlan, Alain. "Les sciences et l'idée éducative : le moment positiviste : matériaux pour une critique de la raison éducative." Besançon, 1994. http://www.theses.fr/1994BESA1024.

Full text
Abstract:
C'est aux sciences qu'il appartient désormais pleinement d'éduquer : telle est la conviction positiviste en matière d'éducation. Le positivisme a revendiqué l'entière vocation éducative et culturelle des sciences : éducation logique et intellectuelle, mais aussi et fondamentalement éducation morale, éducation sociale et politique, éducation esthétique. Le but de cette thèse est d'abord de comprendre la nature, les fondements et le destin d'une ambition éducative liée aux sciences et aux valeurs de la pensée scientifique. La première partie étudie dans l'œuvre de Durkheim la construction de ce modelé éducatif conforme aux temps modernes. Elle montre comment l'assurance positiviste du sociologue est hantée par le doute et l'incertitude : pourquoi les sciences sont-elles tant de peine à imposer leur modèle ? N'ont-elles pas produit dans la culture et son histoire une rupture insurmontable ? La seconde partie trouve dans l'œuvre de Comte une philosophie systématiquement élaborée pour conjurer cette évolution : une philosophie de la culture nécessaire au temps des sciences, une philosophie de l'éducation préoccupée de la maitrise culturelle d'un développement des sciences dont elle avait pressenti et mesure les forces de rupture. La troisième partie pose, par-delà l'héritage et les impasses du positivisme, la question qui demeure aujourd'hui l'horizon de toute pensée éducative : que faire des sciences dans l'éducation ? Elle invite à une révision critique de l'idée éducative et de son ambition totalisante. Le sens même d'une émancipation par la connaissance est à ce prix.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Lampe, Sören Nicolas [Verfasser], and Michael [Akademischer Betreuer] Brüggen. "Entfremdung, Befreiung und Freiheit als Singularität: eine Untersuchung der dreifachen Entfremdung in Sartres "Critique de la Raison Dialectique" / Sören Nicolas Lampe ; Betreuer: Michael Brüggen." München : Universitätsbibliothek der Ludwig-Maximilians-Universität, 2019. http://d-nb.info/1230754695/34.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

Descendre, Romain. "L'Etat du monde : raison d'état et géopolitique chez Giovanni Botero ( 1544-1617)." Tours, 2002. http://www.theses.fr/2002TOUR2024.

Full text
Abstract:
Cette thèse est une monographie consacrée à l'oeuvre politique de Botero. L'exégèse ne se limite pas au texte le plus célèbre de l'auteur, De la raison d'Etat, et met aussi en évidence les liens qui unissent cette oeuvre aux autres productions botériennes de la même période, les Causes de la grandeur des villes et les Relations universelles. C'est plus particulièrement l'apport original de Botero qui est étudié : à partir de la réflexion sur la raison d'État, se met en place une pensée politique des territoires, une géopolitique. Les deux fers de lance de la raison d'Etat sont la conservation politique et la puissance étatique. D'où une vaste enquête sur les conditions d'augmentation de la richesse, de la population et des forces armées, au cours de laquelle la pensée politiques'enrichit de nouveaux savoirs qui lui étaient auparavant étrangers. Est ainsi mise en place une vaste entreprise de "territorialisation" de la politique, sur trois échelles : la ville, l'Etat et le monde.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Le, Mauff Julien. "Une généalogie de la raison d'État : les racines médiévales de la pensée politique moderne." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040082.

Full text
Abstract:
La raison d’État, concept clé de la modernité politique et de la pensée étatique du XVIIe siècle, est approchée à rebours dans cette étude, afin de mieux en saisir les origines, et de comprendre les conditions qui en permettent l’émergence. Par l’adoption d’une méthode généalogique, ce travail vise aussi à concilier l’école historique française des Annales et la tradition anglo-américaine de l’histoire des idées, et à traiter les théories politiques comme un objet historique à part entière. Chaque texte et chaque auteur est donc intégré dans un enchaînement d’influences et de relations sans dénier à chacun son individualité intellectuelle. Parmi les notions principales qui structurent toutes les définitions de la raison d’État, la nécessité, l’utilité publique, l’exception à la loi connaissent des évolutions profondes dès le XIIe siècle, sous l’effet de la redécouverte des Anciens par Jean de Salisbury et plus encore Thomas d’Aquin, du travail des juristes, tant en droit canonique que romain, ainsi que dans la pratique fiscale des XIIIe et XIVe siècles. Les progrès de l’idéologie royale, l’affirmation d’une nécessité spécifique à l’action politique chez Guillaume d’Ockham, et l’essor du concept d’État souverain sous l’influence particulière de Marsile de Padoue, participent aussi de cette élaboration à l’œuvre, notamment dans l’Italie des cités-États. Le parcours s’achève par l’exposition de trois différentes définitions de la raison d’État qui, d’abord chez Machiavel et Guichardin, puis chez Botero, puis enfin chez les juristes dont Ammirato et Canonhiero, ouvrent la voie au triomphe de l’étatisme et au renouvellement des questionnements politiques, à l’aube des Lumières<br>This survey attempts to draw a new understanding of reason of State, as a key concept in modern politics and in 17th century State-centered thought. It is therefore studied backwards, in order to better describe its origins, and to understand what conditions enabled its formulation. The genealogic method is chosen as a way to conciliate the French school of the Annales and the anglo-american tradition of history of ideas, and to handle political ideas as historical artefacts. Every text and author is therefore apprehended as a part of a chain of influences and relationships, while intellectual singularities are preserved. Among the main concepts that participate in defining reason of State, necessity, public utility and legal exception evolve deeply from the 12th century, as a result of the rediscovery of ancient authors by John of Salisbury and still more by Thomas Aquinas, of recent developments in canon and roman law, and of new fiscal policies during the 13th and 14th centuries. The improvements of royal ideology, the new necessity specifically applied to political action in William of Ockham’s thought, and the rise of the concept of a sovereign State under the primary influence of Marsilius of Padua, also participate in this preparation, now centered on Italian city-states. The account ends with a view on three different definitions of reason of State, that correspond first to Machiavelli and Guicciardini, then to Botero, and finally to the legal thought of Ammirato and Canonhiero. This outcome paves the way to the triumph of Statism, and to the new developments of political theory during the Enlightenment
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!