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Journal articles on the topic 'Raisonnement moral'

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1

Gardies, Jean-Louis. "Le raisonnement moral et juridique peut-il être vérifonctionnel ?" Philosophia Scientae, no. 10-1 (April 1, 2006): 9–21. http://dx.doi.org/10.4000/philosophiascientiae.486.

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Lenoble, Jacques. "Droit, raison pratique et analogie: l'enjeu actuel d'une relecture de Kant." Dialogue 31, no. 2 (1992): 213–42. http://dx.doi.org/10.1017/s001221730003852x.

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Abstract:
Dès son origine, la réflexion philosophique sur le droit a été confrontée questions du raisonnement juridique et du rapport du juge à la règle. Ces questions engagent celle du rôle de la Raison dans l'agir humain (moral, politique et juridique) et done ultimement celle du statut de la Raison.Le renouveau actuel de la philosophie du droit et de la réflexion sur le jugement juridique s'inscrit dans le cadre du nouvel essor du débat philosophique sur la Raison.
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3

Crowe, Jonathan. "Levinasian Ethics and Animal Rights." Windsor Yearbook of Access to Justice 26, no. 2 (October 1, 2008): 314. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v26i2.4548.

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Abstract:
What can we say, in good faith, about the moral status of animals? This article explores the above question through the prism of Emmanuel Levinas’ theory of ethics. I begin by examining the ambiguous position of non-human animals in Levinas’ writings. I argue that Levinas’ theory is best read as suggesting that nonhumans present claims for recognition as ethical beings, but that these demands have a different character to those presented by humans. I then explore the implications of Levinas’ view of ethics for the structure of moral reasoning. I contend that Levinas’ theory yields a conception of moral reasoning as reflective, good faith engagement with primordial social judgements of ethical significance. In the final part of the article, I suggest that it is both possible and constructive to thematise the ethical claims of non-human animals in the language of rights. Indeed, from a Levinasian perspective, animal rights might properly be viewed as a model for the notion of human rights, since they capture the essential asymmetry of the ethical encounter.Que peut-on dire, de bonne foi, au sujet du statut moral des animaux? Cet article examine cette question à travers le prisme de la théorie d’éthique d’Emmanuel Levinas. J’examine d’abord la position ambiguë des animaux non humains dans les écrits de Levinas. Je soutiens que la meilleure façon d’interpréter la théorie de Levinas, c’est qu’elle suggère qu’il y a des raisons de reconnaître un caractère éthique aux êtres non humains, mais que ces raisons diffèrent de celles relatives aux êtres humains. J’examine ensuite les implications de la façon dont Levinas voit l’éthique pour la structure du raisonnement moral. Je prétends que la théorie de Levinas présente une conception du raisonnement moral comme étant un engagement réflectif, de bonne foi, avec des jugements sociaux primordiaux ayant une portée éthique. Dans la dernière partie de l’article, je suggère qu’il est possible et qu’il est constructif de faire une thématique des prétentions éthiques d’animaux non humains en utilisant le langage des droits. En fait, dans la perspective de Levinas, on peut correctement voir les droits des animaux comme modèle pour la notion des droits de la personne, car ils saisissent l’asymétrie essentielle de la rencontre éthique.
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4

Bailey, Christiane. "Le double sens de la communauté morale : la considérabilité morale et l’agentivité morale des autres animaux." Les ateliers de l'éthique 9, no. 3 (March 12, 2015): 31–67. http://dx.doi.org/10.7202/1029059ar.

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Abstract:
Distinguant deux sens de « communauté morale », cet article soutient que certains animaux appartiennent à la communauté morale dans les deux sens : (1) ils sont des patients moraux dignes de considération morale directe et équivalente, mais également (2) des agents moraux au sens où ils sont capables de reconnaître, d’assumer et d’adresser aux autres des exigences minimales de bonne conduite et de savoir-vivre. Au moyen de la notion d’« attitudes réactives » développée par Peter F. Strawson, je soutiens que les animaux sociaux qui sont à la fois objets et sujets d’attitudes réactives forment des communautés morales au second sens, dans la mesure où ils se traitent mutuellement comme des individus ayant des obligations et tenus à des exigences de bonne volonté minimale dans leurs interactions interpersonnelles. Distinguant l’agentivité morale du raisonnement moral, je soutiens que la capacité de raisonner abstraitement sur les principes et les conséquences de nos actions nous imposent plus de responsabilités que n’en ont d’autres animaux, mais que cela ne fait pas nécessairement de nous des agents moraux plus compétents que d’autres animaux sociaux. Je termine en donnant un aperçu de quelques implications de ce changement de perspective en éthique animale.
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5

PONEMON, LAWRENCE A. "La sous-évaluation du temps de travail et le raisonnement moral chez les vérificateurs: laboratoire expérimental." Contemporary Accounting Research 9, no. 1 (September 1992): 190–211. http://dx.doi.org/10.1111/j.1911-3846.1992.tb00876.x.

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6

Nootens, Geneviève. "La nature de la complémentarité entre le raisonnable et le rationnel chez Rawls." Articles 24, no. 1 (August 7, 2007): 25–41. http://dx.doi.org/10.7202/027422ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Rawls symbolise les niveaux de raisonnement moral public et non public par l'utilisation des notions de raisonnable et de rationnel. Dans le contexte du pluralisme raisonnable qui caractérise les sociétés démocratiques libérales, il propose une articulation de ces notions qui doit permettre aux citoyens d'adhérer à leurs propres conceptions générales du bien sans pour autant compromettre l'existence d'une conception commune de la justice. R vise à articuler doctrines particulières et conception commune de façon à laisser la place à l'expression des convictions personnelles des individus sans par ailleurs donner une signification égoïste à l'association politique. Cependant, lorsque Rawls précise le contenu de cette conception commune de la justice et la motivation des individus à y adhérer, il menace dangereusement la spécificité morale qu'il accorde en principe à la notion de raisonnable, symbole de cette raison publique, commune, partagée par les citoyens. Après avoir démontré cette difficulté, je souligne en conclusion deux raisons qui y contribuent, soit d'une part la prétention de Rawls de définir un libéralisme strictement politique et d'autre part la difficulté (présente chez la plupart des théoriciens du libéralisme contemporain) d'articuler une conception cohérente et acceptable de la motivation morale.
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Pierron, Jean-Philippe. "Imaginer plus pour agir mieux. L’imagination en morale chez Carol Gilligan, Martha Nussbaum et Paul Ricoeur." Dossier : Éthiques et philosophies politiques du care, du soin et de la sollicitude. Perspectives ricoeuriennes et féministes 10, no. 3 (October 17, 2016): 101–21. http://dx.doi.org/10.7202/1037653ar.

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Abstract:
Dans leur réflexion sur le raisonnement moral, critique d’une approche rationaliste stricte, les théories du care et les philosophies travaillant à une compréhension enrichie de la raison pratique se sont attachées à mettre en valeur l’importance éthique qu’il y a à envisager la perspective de l’autre. Elles se sont concentrées à cette fin sur le travail de l’imagination. On montre ici que l’éthique du care de Gilligan, l’éthique de la narration de Nussbaum et l’éthique de la sollicitude ricoeurienne, quoique différentes, se renforcent mutuellement à partir d’une compréhension renouvelée du rôle de l’imagination dans la morale. Si l’enquête psychologique de Gilligan, la philosophie de la littérature chez Nussbaum et l’herméneutique du texte chez Ricoeur diffèrent, ces trois auteur.es ont en commun de ne pas se satisfaire des méfaits d’une rationalité instrumentale qui bride la créativité pratique des actrices morales et acteurs moraux. Il appartiendrait à l’imagination éthique de prendre la mesure de la complexité des situations morales et d’en suivre les variations subtiles, afin de prendre soin de formes de vies rendues invisibles ou d’existences vulnérables.
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Meudec, Marie. "Éthique pragmatique de la recherche anthropologique : le cas d’une étude de l’obeah à Sainte-Lucie." L’éthique dans la recherche, no. 48 (May 19, 2010): 155–74. http://dx.doi.org/10.7202/039771ar.

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Abstract:
Résumé La constitution des comités d’éthique est assez récente dans le domaine de l’anthropologie et ils soumettent la recherche dans ce domaine à bien des obligations — avant, pendant et après le terrain. Une recherche à Ste-Lucie en 2006, basée sur une compréhension des discours et des rumeurs de sorcellerie et des processus de construction du raisonnement moral associés à l’obeah, servira ici à montrer comment le respect des règlements ou des principes éthiques, tels que définis au sein des comités mais aussi plus largement dans la discipline anthropologique, non seulement est quasiment impossible, mais en plus limite considérablement une recherche qui porte sur des pratiques « secrètes » ou moralement dévalorisées. Cette communication montrera la nécessité de se départir de cette éthique institutionnalisée, au profit d’une éthique personnelle.
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Macdonald, Liane, Shelley Deeks, and Carolyn Doyle. "A Public Health Perspective on HPV Vaccination: Response to The HPV Vaccination Campaign: A Project of Moral Regulation in an Era of Biopolitics." Canadian Journal of Sociology 35, no. 4 (September 28, 2010): 627–32. http://dx.doi.org/10.29173/cjs8977.

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Abstract:
Abstract Connell and Hunt’s critique (2010) raises important questions and concerns about human papillomavirus (HPV) vaccination in Canada. We offer a public health perspective on several key issues, including the merits of implementing population-based HPV vaccination programs in Canada; the time-sensitivity of HPV vaccination; and, the non-judgmental approach to sexual health promotion for youth championed by Canadian public health organizations. Résumé La critique de Connell et Hunt (2010) soulève d'importantes questions et préoccupations concernant la vaccination contre le virus du papillome humain (VPH) au Canada. Nous offrons une perspective de santé publique sur quelques questions clés, y compris la raisonnement pour des programmes systématiques de vaccination contre le VPH au Canada, la sensibilité au temps de la vaccination HPV, et l'approche non moralisateur àla promotion de la santé sexuelle pour les jeunes adoptés par les agences de santé publique canadiennes.
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Racine, Éric. "Pourquoi et comment doit-on tenir compte des neurosciences en éthique ?" Articles spéciaux 61, no. 1 (October 26, 2005): 77–105. http://dx.doi.org/10.7202/011510ar.

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Abstract:
Un débat est présentement en cours sur l’opportunité ou non d’établir des liens entre l’éthique et les neurosciences. À première vue, cette proposition remet en question une conception traditionnelle de l’éthique qui se distingue des sciences empiriques. Elle semble, entre autres, suggérer une façon déterministe et réductionniste de voir l’éthique. Nous soutenons dans cet article que, contrairement à ce que laissent entendre certaines critiques, les neurosciences peuvent être pertinentes pour l’éthique. Cinq arguments contre l’apport des neurosciences en éthique sont présentés et discutés (déterminisme, paralogisme naturaliste, dualisme, réductionnisme et hégémonie de l’objectivité). Nous soutenons que ces arguments n’impliquent pas l’impossibilité d’intégrer les neurosciences en éthique, sinon qu’ils suggèrent des façons plus nuancées de le faire. Suivant cette discussion, nous présentons une approche neurophilosophique émergentiste et interdisciplinaire qui se distingue de la « neurophilosophie de l’éthique » proposée par Patricia Churchland. Nous enchaînons ensuite avec la présentation d’un secteur de recherche en neurosciences (neurosciences du raisonnement moral et des émotions morales) qui illustrent l’intérêt de l’approche proposée. L’article conclut en présentant quelques commentaires critiques.
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Prévost, Jean-Guy. "Mettre Léviathan aux fers : le libéralisme méthodologique de James Buchanan." Politique, no. 22 (December 11, 2008): 25–54. http://dx.doi.org/10.7202/040728ar.

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Abstract:
Résumé Cet article porte sur la pensée politique de l’économiste américain James M. Buchanan, chef de file de l’école du Public Choice et figure de premier plan du courant néo-libéral. Le coeur de cette pensée réside dans sa prétention à déduire la primauté de la liberté individuelle d’une position méthodologique plutôt que d’un raisonnement utilitariste ou d’un a priori métaphysique. D’un côté, en effet, Buchanan insiste fortement sur l’indépendance logique entre l’individualisme entendu comme méthode d’analyse et l’individualisme entendu comme norme régissant les arrangements politiques. De l’autre, il s’efforce d’édifier une sorte de déontologie, dont les traits et les composantes procéderaient de l’individualisme méthodologique, mais dont la validité ne reposerait aucunement sur une préférence pour l’individualisme normatif. Nous entendons démontrer ici que Buchanan n’arrive pas à tenir son pari d’un libéralisme purement méthodologique : la défense du statu quo à laquelle il se livre ne s’explique pas uniquement par le scepticisme moral, mais aussi par la crainte que la mise en oeuvre de changements ne faisant pas consensus ne mine la stabilité du gouvernement et ne conduise à un état d’anarchie encore plus indésirable.
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Railton, Peter. "Kant rencontre Aristote là où la raison rencontre l'appétit." Philosophiques 28, no. 1 (October 2, 2002): 47–67. http://dx.doi.org/10.7202/004972ar.

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Abstract:
Nous pouvons tous, je crois, reconnaître la justesse de la thèse d'Aristote à l'effet que le véritable raisonnement pratique a pour résultat non pas une simple croyance à propos du caractère désirable, ou même du caractère obligatoire, d'un acte, mais plutôt l'initiation effective d'une action. Cette thèse donne lieu à une énigme : comment la délibération, archétypiquement une inférence propositionnelle rationnelle ( logon ), peut-elle logiquement aboutir à un acte ? L'action présuppose la motivation, mais la motivation est une force appétitive active, et non pas une proposition concernant le désir ou le caractère désirable d'un acte (elle est donc alogon ). La raison pratique n'est pas similaire aux substances qui peuvent manifestement être mélangées les unes aux autres, mais elle est censée constituer une fusion normative régie par des principes — le choix est un appétit délibéré , comme le dit Aristote. Comment ceci est-il possible ? Les premiers pas vers une réponse peuvent être trouvés à un endroit surprenant : chez Kant. Dans la Métaphysique des Moeurs , Kant présente une théorie du désir comme appétit pour un objet par le biais d'une idée non-sensorielle de cet objet, et ce, par opposition à une inclination , un appétit direct basé sur la sensation. Kant emploie cette notion du désir pour expliquer à la fois la volonté et la possibilité d'une action accomplie par devoir : la volonté appartient à la faculté de désirer, et le devoir est l'action motivée par un désir pour un acte par le biais d'une idée appropriée de cet acte. Kant nomme notre susceptibilité à ce type de désir laquelle constitue une condition nécessaire à la moralité le sentiment moral . Ce sentiment rend compte du caractère pratique de la délibération morale et de son rapport au plaisir et à la douleur pratiques d'une façon qui aurait, je crois, plu à Aristote. Le devoir est donc un exemple d'un appétit délibératif . Ce schème kantien n'est pas simplement intéressant d'un point de vue historique : il s'accorde remarquablement bien avec certains travaux récents en psychologie motivationnelle et hédonique.
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Mohr, Richard. "Some Conditions for Culturally Diverse Deliberation." Canadian journal of law and society 20, no. 1 (April 2005): 87–102. http://dx.doi.org/10.1353/jls.2006.0014.

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Abstract:
RésuméCet article analyse les façons dont le raisonnement s'attache aux contextes culturels et pondère les fondements de la prise de décision dans une sorte de terrain commun ou dans une reconnaissance de la diversité. Il considère la critique féministe de l'éthique du discours selon Habermas et les efforts de Benhabib de réviser cette approche pour répondre à la diversité culturelle. Alors que la bonne volonté et de bonnes procédures peuvent certes créer les conditions de lacommunicationtransculturelle, le défi est autre de créer les conditions pour arriver à desdécisionsconsensuelles ou qui lient les parties. L'auteur rejette la possibilité de standards universels de décisions raisonnées sur trois points. Les raisons conformes aux standards d'un public multiculturel ne peuvent s'appuyer sur une mesure unique. Le raisonnement ne peut être détaché, de manière cartésienne, de l'être incorporé qui raisonne. L'acte de raisonner n'est pas un exercice mental privé et privilégié qui se conforme à un ensemble unique de règles. S'appuyant particulièrement sur les traditions de la rhétorique, d'Aristote à Perelman, l'article conclut que les raisons doivent s'adresser à diverses audiences, que la spécificité affective et corporelle de ceux qui délibèrent est d'une importance cruciale (il importequisont les juges) et que nous devons tous poursuivre notre «éducation morale» en dialoguant avec divers groupes et manières de penser.
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Gleizes, Delphine. "Et s’il n’en reste qu’un… Le mépris comme arme de combat chez Victor Hugo." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 15 (December 30, 2020): 163–80. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.15.12.

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Abstract:
Victor Hugo, homme de combat, a adopté à de nombreuses reprises la posture du « seul contre tous » dans sa vie politique comme dans sa vie littéraire. Le mépris, assorti de l’ironie et d’un sens féroce de la polémique, apparaît alors comme une arme de choix pour disqualifier l’adversaire et se construire simultanément une stature morale. Ce sont ces mécanismes que l’on tentera de cerner à travers les discours publics de Victor Hugo, son œuvre littéraire et ses dessins. On s’attachera à mettre en évidence les stratégies à l’œuvre dans ces combats : l’attaque ad hominem et l’atteinte physique ; les procédés de monstration et d’exhibition par lesquels le poète soumet ces cibles à l’opprobre public ; les procédés de reductio ad absurdum des raisonnements de l’adversaire, vidés de sens et ridiculisés.
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Lemogne, C. "L’imagerie cérébrale fonctionnelle : un outil au service de la psychopathologie ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S3—S4. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.021.

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Abstract:
La psychopathologie est précieuse pour guider l’application de l’imagerie cérébrale fonctionnelle à l’étude des troubles mentaux. En permettant une approche basée sur les processus mentaux plutôt que sur des catégories diagnostiques (par ex. rumination plutôt que dépression), elle offre l’opportunité d’identifier des biomarqueurs susceptibles d’enrichir la nosographie psychiatrique et de renseigner les stratégies diagnostiques et thérapeutiques. En revanche, savoir si l’imagerie cérébrale fonctionnelle peut être un outil au service de la psychopathologie, c’est-à-dire de la compréhension des processus mentaux sous-jacents aux troubles psychiatriques, reste une question controversée. Un intérêt potentiel de l’imagerie cérébrale fonctionnelle pourrait être l’identification de processus mentaux non conscients et inaccessibles à une mesure comportementale. C’est ainsi que la constatation de bases cérébrales communes entre douleur morale et douleur physique a pu donner lieu à des spéculations fascinantes sur l’origine de leur parenté lexicale. Ou encore que certains envisagent de pouvoir distinguer conversion et simulation sur la base de l’activité cérébrale. Mais interpréter cette activité comme témoignant d’un processus mental, raisonnement appelé inférence inverse, pose plusieurs problèmes, que le processus mental soit rapportable ou non. Par exemple, l’activité cérébrale observée peut ne pas être pas spécifique du processus mental en question. Ou alors cette activité cérébrale peut ne pas être définie avec assez de précision. L’ensemble de ces problèmes peut être formalisé dans une perspective bayésienne. En dépit de ces limites, l’inférence inverse est néanmoins un outil heuristique puissant pour susciter des hypothèses secondairement réfutables concernant la nature des processus mentaux et leurs relations (par ex. évocation de l’objet perdu et renforcement lors d’un deuil compliqué). Combinée à des paradigmes expérimentaux de qualité, l’imagerie cérébrale fonctionnelle est donc susceptible d’apporter des connaissances nouvelles à la psychopathologie.
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Nuévalos, Carmen. "Prácticas para el desarrollo moral en universitarios." Teoría de la Educación. Revista Interuniversitaria 15 (November 13, 2009). http://dx.doi.org/10.14201/3031.

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Abstract:
RESUMEN: Este artículo presenta una investigación que ha consistido en la elaboración y puesta en práctica de un programa de educación moral. La intervención se ha orientado al desarrollo del razonamiento moral en un grupo de jóvenes universitarios, y su diseño se inspira principalmente en la teoría de Kohlberg. Prestamos una especial atención a la práctica de la educación moral.Nuestros objetivos han sido, por un lado, entrenar a los alumnos en técnicas de desarrollo moral de cara al desempeño de su futura profesión docente. Por otro, incrementar su nivel personal de reflexión y desarrollo moral. Para la evaluación del programa hemos utilizado un método cuantitativo completado con información de tipo cualitativo.ABSTRACT: This report presents an investigation that elaborates and puts a moral education programme into practice. The intervention has been directed to develop the moral reasoning in a group of university students. Its design is founded principally in Kohlberg's theory.Our goals have been, on one hand, training the students in moral development techniques for their future teaching tasks. In the other, improving their personal reflection level and their moral development. The evaluation of the programme has been made using quantitative and qualitative methods.SOMMAIRE: Cet article présente une recherche qui a consisté en l'élaboration et la mise en pratique d'un programme d'éducation morale. Le travail est orienté vers le développement du raisonnement moral chez un groupe de jeunes universitaires en s'inspirant surtout de la théorie de Kohlberg. On vise surtout la pratique de l'éducation morale.Nos buts sont, d'un côté, l'entrainement des élèves aux techniques de développement moral en vue de leur prochain métier d'enseignants, de l'autre côté, il s'agit d'accroitre leur niveau de reflexion et de développement moral. Pour l'évaluation du programme nous avons utilisé une méthode quantitative complétée d'une information qualitative.
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Massé, Raymond. "Morale." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.019.

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Abstract:
Dans toutes les sociétés, à toutes les époques, l’homme porte des jugements de valeurs sur des pratiques individuelles ou collectives qu’il estimera bonnes ou mauvaises, justes ou injustes, honorables ou déshonorantes, vertueuses ou vicieuses, honnêtes ou malhonnêtes. Il pourra s’agir de ses propres comportements, de ceux d’autres membres de sa société ou ceux d’autres sociétés. La morale réfère alors aux conceptions du bien et du mal, du juste et de l’injuste, de l’acceptable et du répréhensible, à ce qui est noble ou infâme, louable ou blâmable dans ces comportements humains. Elle réfère en fait à l’ensemble des normes et des règles qui serviront de balises permettant à l’individu de transposer ces conceptions idéalisées dans des pratiques morales (Massé 2015). Ces jugements seront construits à partir de la perception du non respect de normes relevant tantôt de lois divines et de prescriptions ou d’interdits religieux, tantôt de conventions proprement sociales ou de principes séculiers liés à la conception de la nature humaine. Toutes les normes sociales ne sont pas des normes morales (même si l’inverse est vrai). Certaines normes sociales régissant les interactions au sein d’une société se mueront en normes morales dès lors que des valeurs fondamentales (ex. : justice, honnêteté, sincérité, responsabilité, respect de la vie) seront en cause. La morale n’est donc pas confinée au champ du religieux. Si les pères de l’anthropologie de la fin du XIXe siècle tel Edward Taylor et James Frazer niaient toute aptitude à la pensée morale chez les peuples «primitifs» animistes, réservant la morale aux cultures reposant sur le monothéisme (seules jugées aptes à développer de véritables systèmes moraux), Émile Durkheim et Lucien Lévy-Bruhl resitueront la morale dans le champ du social. Les moralités sont dès lors considérées comme des produits des interactions sociales telles qu’elles sont incarnées dans la culture. Ainsi, pour Durkheim, les faits moraux sont parties intégrantes de tous les autres domaines sociaux (ex. religion, parenté, économie). Pour agir moralement, il faut agir d'après les fins de la société et au nom de la cohésion sociale. Après avoir documenté la pluralité des morales, soulevé la question du relativisme et redéfini les faits moraux comme faits sociaux, l’anthropologie défendra l’idée qu’ «il n’y a pas de peuple qui n’ait sa morale» (Durkheim, 2005[1903]), voire que l’homme, dans toutes les sociétés, est fondamentalement un philosophe apte au jugement et au raisonnement moral (Radin, 1957[1927]). Dans la foulée de la « science des mœurs » à laquelle Lucien Lévy-Bruhl (1903) convie la discipline, il est suggéré (Edel et Edel, 1968) que la morale étudiée par l’anthropologie recouvre l’étude « des règles choisies pour enjoindre et interdire (c'est-à-dire un ensemble de commandements), des traits de caractères valorisés ou à éviter (vertus et vices); des buts et de moyens (idéaux et valeurs instrumentales); un concept englobant de communauté morale et un ensemble de qualifications définissant une personne responsable; une sélection plus ou moins précise de termes et de règles linguistiques du discours moral; […] et, impliqués dans tous ces éléments, certaines perspectives existentielles et visions de l’homme, de ses outils, de sa place dans la nature, de la condition humaine » (Edel 1962 : 69). L’analyse descriptive comparative devrait alors cohabiter avec un souci pour la recherche de possibles universaux moraux (Linton 1952 ; Hatch 1983), alors que d’autres souligneront les limites et les dangers d’un relativisme moral radical (Macklin 1999). Si la morale se décline en autant de variantes qu’il existe de cultures, l’anthropologie n’en reconnaît pas moins divers types de morales à l’intérieur de chaque société. En particulier, l’individu évolue au carrefour de morales institutionnelles et d'une morale de sens commun. Les morales institutionnelles sont celles qui offrent des systèmes explicites de normes morales. Celles des grandes religions en sont les prototypes avec des règles et des normes à respecter et des vertus à promouvoir. Celles proposées, ailleurs, par les autorités religieuses et politiques, ou indirectement à travers les vertus des héros traditionnels ou de certaines divinités, en sont d’autres exemples. Tout comme, d’ailleurs, les morales véhiculées par les institutions publiques nationales ou internationales ou les corporations professionnelles, généralement sous la forme de codes de déontologie ou de codes d’éthique. Toutefois, l’intérêt de l’anthropologie se porte tout autant sur la morale vécue au quotidien, ce que Mikael Lambek désigne comme l’« éthique ordinaire » soit une éthique « relativement tacite, plus ancrée dans les accords communs que dans la règle, dans la pratique plutôt que dans la connaissance ou les croyances, et survenant sans attirer l’attention sur elle » (Lambek, 2010 : 2). Cette morale ordinaire n’est pas qu’une question de règles et des normes à suivre, d’analyse rationnelle de ce qui est bien ou mal. Elle s’exprime aussi sous forme d’une morale de sens commun, soit un habitus qui permet à l’individu d’agir la plupart du temps de façon moralement appropriée sans analyse éthique préalable de leurs pratiques ou décisions. Elle constitue une forme de morale incorporée que Jarret Zigon définit comme un ensemble de «dispositions incorporées [déterminant] un mode quotidien d’être au monde pour l’individu» (Zigon, 2008 : 164). L’anthropologie contemporaine de la morale a pris ses distances avec plusieurs des postulats classiques de l’anthropologie culturaliste (Massé 2015). Notons d’abord un premier postulat empiriste qui faisait de la morale un ensemble fini, stable, saisissable empiriquement à travers ses principaux fondements (normes, valeurs, vertus). Ensuite, un postulat rationaliste qui la ramenait à un système cohérent de normes à travers lequel évolue l’individu doté d’une capacité de raisonnement moral. L’anthropologie de l’éthique (voir entrée « éthique »), analysera tout particulièrement la place de la liberté, de l’agentivité et de l’esprit critique dans la définition des postures morales. Le postulat, encore, voulant que la morale ait une influence directe sur l’individu sans interférences avec les facteurs sociaux et politiques (la morale n’est pas qu’un fait de culture). Et surtout, le postulat essentialiste voulant que tous les membres d’une société adhèrent, indifféremment, à ce système de normes morales. Rejetant ces postulats, la morale est aujourd'hui considérée comme un ensemble de normes et de règles en évolution constante au travers desquelles l'individu navigue et négocie une position morale adaptée aux divers contextes et circonstances. Surtout, la morale est abordée comme lieu de pouvoir. Dans toute société, elle est promue par certains groupes d’intérêt (par exemple religieux, sexuels, de classe, ethniques). L’anthropologie de la morale s’intéressera ainsi aux usages sociaux et politiques de la morale. Bref, une anthropologie des moralités devra s’intéresser tout autant à l’identification de ceux qui la définissent et s’assurent de l’application, qu’à l’analyse de la distribution sociale (inégalitaire) des interdits, des responsabilités et de l’application des règles morales aux diverses catégories sociales (Howel 1997).
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Arnaud, Sarah. "Trouble du spectre de l’autisme : une agentivité morale objective, rigoriste et émotionnelle." Article 5 (March 27, 2018). http://dx.doi.org/10.7202/1044270ar.

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Le trouble du spectre de l’autisme (TSA) désigne un ensemble de troubles neurodéveloppementaux caractérisé par des difficultés de communication et d’interactions sociales, ainsi que des comportements, intérêts et activités restreints et répétitifs (1). Concernant les interactions sociales, les personnes autistes auraient notamment des difficultés d’empathie, souvent considérées comme altérant leurs capacités morales. Ainsi, plusieurs études en psychologie et en neuroscience tentent de détecter des processus empathiques défaillants à l’origine d’altérations de leur compréhension de la moralité (2-4). Les problèmes sociaux des personnes autistes se manifestent aussi par des difficultés dans leur vie affective qui concernent leurs propres états émotionnels (5-9). Je suggère que les particularités morales des personnes autistes sont issues de leurs particularités d’accès émotionnel, soit la façon dont elles se rapportent à leurs propres émotions, et non pas de déficits d’empathie. Je montrerai que ces particularités ne les empêchent en aucun cas de faire partie de la communauté morale. Les personnes autistes peuvent être de rigoureux agents moraux, c’est-à-dire qu’elles présentent une certaine intransigeance et inflexibilité morale. Ces particularités seront expliquées. À la lumière des théories sur les processus duaux, je montrerai comment leurs particularités socio-émotionnelles et morales sont toutes deux sous-tendues par une surutilisation de processus de type 2, soit une surutilisation de raisonnements cognitifs délibérés et basés sur des règles, plutôt que des processus automatiques, de type 1. L’objectif principal de cette étude sera donc de mettre en évidence les particularités qui permettent aux personnes autistes d’être des agents moraux certes inflexibles, mais néanmoins émotionnellement investis dans les situations à caractère moral.
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Massé, Raymond. "Éthique." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.009.

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En l’absence d’un consensus élargi, tant chez les philosophes que chez les anthropologues, sur des définitions normatives de l’éthique et de la morale, l’important pour l’anthropologie est de proposer un découpage cohérent et complémentaire des dimensions que recouvrent ces deux concepts. Si l’on définit la morale comme un système de normes et de valeurs auxquels les membres d’une société donnée doivent adhérer pour rendre les comportements compatibles avec les conceptions locales du Bien et du Mal (voire la rubrique Morale), l’éthique constitue plutôt le lieu et le moment d’une réflexion critique sur la moralité de nos gestes individuels et collectifs (Massé 2015). Alors que la morale est concernée par les injonctions «doit» et « ne doit pas» faire, l’éthique se demande «qui suis-je pour dire aux autres ce qu’ils doivent ou ne doivent pas faire » ? Et quels seront les impacts de ces conseils sur ma relation à l’autre ? L’éthique devient le lieu d’un questionnement sur le bien fondé de ces normes, voire d’un arbitrage effectué par les individus et les collectivités entre les normes proposées par la multiplicité de morales (religieuses, institutionnelles, de sens commun) auxquelles ils sont exposés. L’éthique oriente les conduites, certes, mais non pas par l’imposition d’obligations morales données à l’avance dans des textes religieux ou des normes inscrites dans un sens commun extérieur à l’individu. L’Éthique est ouverte, elle résiste aux enfermements. Elle suppose chez l’individu, une conscience des alternatives, une mise à distance critique pouvant conduire à la dissidence ou à l’acceptation éclairée. En ce sens, elle repose sur la liberté d’analyse et de jugement. Pour une institution publique, elle suppose une discussion ouverte entre les divers groupes d’intérêt concernés. Les résultats de cette délibération seront des valeurs élevées au niveau de principes éthiques à respecter. Ils seront généralement inscrits dans des «codes d’éthique» qui rendent visibles, tant aux personnels, aux clients qu’au public en général, les règles et normes qui en garantissent la moralité. Ces institutions proclament ainsi la vérité et la rectitude d’une moralité donnée (Zigon 2008). L’éthique devient ainsi une théorie raisonnée des jugements moraux portant sur le bien et le mal. L’éthique réfère donc à la fois au processus d’analyse raisonnée et aux résultats, toujours fragiles et provisoires, de cette réflexion issue de l’expérience et des situations critiques rencontrées à divers moments de la vie (Zigon 2008). L’importance centrale accordée au raisonnement est toutefois contestée par certains (Pandian et Ali 2010) anthropologues et historiens qui voient, par exemple, l’éthique et les vertus en Asie du Sud comme étant influencées autant par des forces psychiques et affectives que par des dispositions réflectives, délibératives ou rationnelles envers la conduite morale. Il n’en reste pas moins que l’éthique est cet espace de liberté qui amène l’individu à se questionner sur le bien-fondé de ses choix de vie lorsqu’il se demande «comment dois-je vivre»? L’éthique est donc, le lieu de la liberté, de l’arbitrage et de la pondération des obligations morales. Aucun système de normes et de valeurs morales n’étant en mesure d’éviter que ne surgissent des contradictions et des dilemmes dans les choix moraux, l’éthique suppose un ajustement des choix moraux selon les contextes, les circonstances. Si les morales, en tant que systèmes de normes, constituent des référents relativement stables, le positionnement éthique du sujet, pour sa part, est flexible. Il est susceptible d’ajustements selon les contextes, les étapes de la trajectoire de vie, les pressions de l’entourage ou des divers pouvoirs. Un individu peut perdre temporairement son statut éthique dans la communauté, mais il dispose tout autant de multiples outils pour reconstruire sa légitimité éthique. Une anthropologie de l’éthique sera donc axée sur l’analyse des modalités d’expression de la liberté du sujet (Laidlaw 2002). Elle s’intéressera aux subjectivités qui se construisent et se reconstruisent tout au long de l’expérience vécue. Elle mettra l’accent sur une analyse des possibilités ouvertes par cette liberté en décrivant de quelle façon elle est exercée dans différents contextes sociaux et différentes traditions culturelles. Bien sûr, cette liberté est limitée et largement influencée par les modèles imposés par sa société et sa culture. Il faudra toutefois éviter d’opposer éthique et morale sur la base de cette seule liberté, la routinisation de la morale pouvant parfois découler d’un exercice réflexif (Faubion 2011). L’enjeu est moins de déterminer si l’individu, dans telle ou telle société, est libre ou non d’adopter une position morale qui lui est propre (en choisissant parmi les normes morales, dominantes ou subalternes), que d’analyser les multiples modalités d’une incorporation des valeurs morales d’un contexte sociétal à l’autre sans oublier l’influence de l’expérience personnelle. Le champ de l’éthique est donc concerné par les mécanismes individuels et collectifs d’arbitrage et de règlement des conflits moraux. Or, dans toute société, ces processus d’arbitrage s’inscrivent dans les rapports de pouvoir existant entre les divers groupes d’intérêt qui participent à la discussion. L’éthique est donc le lieu d’une analyse comparée des modèles de résolution de conflit moraux de même que des rapports de pouvoirs économiques, politiques ou religieux qui influent sur la reproduction (ou la marginalisation) de certaines des valeurs morales. Elle reconnaît que le consentement et le consensus moral sont souvent forcés et qu'ils découlent d'usages sociopolitiques de normes morales. L’éthique enfin, concerne la recherche de potentielles valeurs morales universelles et d’une éthique partagée. Raymond Firth (1963) suggérait il y longtemps déjà que l’anthropologie devait s’intéresser aux principes généraux qui découleraient de l’étude comparative des diverses morales, bref à ce qui est commun aux conduites morales à travers les cultures. Arthur Kleinman (2006) voit pour sa part dans l’éthique un ensemble de principes moraux qui aspirent à l’application universelle. L’éthique est donc tout autant la recherche de ces dénominateurs communs moraux humanistes que l’étude des multiples façons dont les individus et les collectivités négocient les modalités d’un respect circonstancié et situé de ces principes.
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