Academic literature on the topic 'Rate – Kystes'

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Journal articles on the topic "Rate – Kystes"

1

Lemhouer, Walid, Ilyasse Yassin, Mohamed Said Chairi, Amine Ratbi, Youness Bakali, Farid Sabbah, Raiss Mohamed, Abdelmalek Hrora, and El Alaoui Mouna. "RESECTION DU DOME SAILLANT DANS LE TRAITEMENT DU KYSTE HYDATIQUE DE LA RATE A PROPOS DUN CAS." International Journal of Advanced Research 9, no. 08 (August 31, 2021): 240–44. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/13257.

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Abstract:
Introduction : La pathologie hydatique primitive de la rate est tres rare et encore plus rare a provoquer (toute complication . . . pancreatite.). Habituellement, les kystes hydatiques spleniques sont secondaires, resultant soit dune propagation spontanee des kystes, soit survenant apres des operations impliquant une hydatidose dans dautres regions. Ici, nous rapportons un cas dun kyste hydatique splenique primaire isole traite avec une approche chirurgicale classique. Ce rapport de cas et cette revue de la litterature decrivent la prise en charge de lenvahissement splenique hydatique. Presentation Du Cas : Il sagit dune patiente de 33 ans, sans antecedent particulier qui nous a ete adresse pour prise en charge dun kyste splenique de decouverte fortuite a lechographie lors dun bilan de routine avec serologie hydatique positive a Eccinochoccus granulosa. Lexamen clinique etait sans particularite. Le scanner abdominal realise objectivait la presence dun volumineux kyste hydatique splenique occupant plus de la moitie de la rate. La patiente a reçu de lAlbendazole pendant 1 mois puis operee par laparotomie avec resection du dome saillant du kyste splenique dont les suites ont ete simples avec 1 mois supplementaire de traitement a lalbendazole Aucune particularite netait notee apres un suivi dun an. Conclusion: Le choix entre chirurgie radicale ou conservatrice reste difficile vu les contraintes de chacune, les complications postoperatoires respectives et la diversite des situations cliniques.
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2

Mohamed Zeine, N., M. Mohamed Lemine, E. Lemrabott, S. Karame, N. Mamouni, S. Errarhay, C. Bouchikhi, and A. Banani. "HYDATIDOSE PELVIENNE : A PROPOS DE DEUX CAS." International Journal of Advanced Research 9, no. 03 (March 31, 2021): 633–36. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/12626.

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Abstract:
Introduction: Lhydatidose sevit a letat endemique au Maroc, sa localisation pelvi genitale est rare et trompeuse. Elle est due au developpement chez lHomme de larves de cestodes du genre Echinococcusgranulosus. Patientes et methodes: Nous rapportons les cas des deuxpatientes operees pour des masses abdominopelvienne avec decouverte per operatoire des kystesperitoneales dont lanapath en faveur dhydatidosepelvien. Discussion : La localisationpelviennedu kyste hydatique est rare. Elle varie entre 0,30 % et 4,27 % des localisations hydatiques selon les auteurs.Le mode de contamination hydatique de la region pelvienne demeure hypothetique la contamination est habituellement secondaire a la rupture intra-abdominale dun kyste hydatique hepatique. La symptomatologie peut etre vague et deroutante, telle que desmetrorragies ou une sterilite. Le diagnostic peut etre pose fortuitement lors de la cesarienne ou lors dune grossesse compliquee, un travail dystocique ou une hemorragie des suites de couche. Le traitement des kystes hydatiques est chirurgical. La voie dabord doit etre large, la sterilisation du kyste et la protection des champs operatoires est assuree par des solutions scolicides leau oxygenee est la plus utilisee. Il est recommande de faire une kystectomie ou une peri-kystectomie des kystes accessibles et sans danger et une kystectomie partielle pour les kystes profonds et au contact avec leselements vasculaires. Le traitement medical est peu efficace il est indique en cas de contre-indication operatoire ou en cas de localisations multiples ou si la resection est incomplete. Conclusion: Bien que rare, le diagnostic de kyste hydatique pelvien doit etre evoque devant toute malade presentant une masseabdominopelvienne. La kystectomie est le traitement de choix. Le traitement medical peut etre utilise en deuxieme intention.
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3

Kechabtia, K., M. Dib, J. Sedat, and P. Chevallier. "RI16 Embolisation de la rate en urgence pour rupture intra capsulaire de faux kystes pancreatiques." Journal de Radiologie 85, no. 9 (September 2004): 1555. http://dx.doi.org/10.1016/s0221-0363(04)77857-9.

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Hamouda, Ouanassa, Mohamed Mouhoub, and Ammar Haouimi. "Peritoneal hydatid disease secondary to the rupture of a liver cyst. A rare case report and literature review." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 3, no. 2 (December 31, 2016): 129–31. http://dx.doi.org/10.48087/bjmscr.2016.3217.

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Abstract:
Le kyste hydatique est une parasitose qui sévit à l’état endémique en Algérie. Nous rapportons un cas rare d’une patiente de 16 ans, admise aux urgences chirurgicales pour des douleurs abdominales suite à un traumatisme. Le diagnostic d’hydatidose à la fois hépatique et péritonéale a été posé par la radiologie et confirmé par la sérologie hydatique et l´examen parasitologique du liquide péritonéal. Le traitement chirurgical a été instauré, avec bonne évolution. Nous essayons à partir de ce cas et à travers une revue de littérature, de préciser les difficultés diagnostiques et thérapeutiques rencontrées dans la prise en charge des kystes hydatiques, surtout compliquées suite à un traumatisme.
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El Harrech, Youness, Najib Abakka, Jihad El Anzaoui, Omar Ghoundale, and Driss Touiti. "Kyste hydatique du rein : Étude monocentrique de 15 cas." Canadian Urological Association Journal 8, no. 7-8 (August 11, 2014): 531. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.1374.

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Abstract:
Objectif : étudier le profil épidémiologique, l’aspect clinique, radiologique, et thérapeutique de kyste hydatique de rein (KHR). Matériels et méthodes : 15 cas de KHR colligés sur entre 2004 et 2010 ont été revus. Les données cliniques, radiologiques (AUSP, échographie, Tomodensitométrie), biologique (éosinophilie et sérologie hydatique) ont été analysées ainsi que les traitements instaurés, l’évolution et les complications. Résultats l’âge moyen de découverte des KHR a été de 56,13 ans, avec une prédominance masculine (12 hommes, 3 femmes). La symptomatologie clinique a été dominée par les lombalgies (60% des cas). La sérologie hydatique a été demandée chez 6 patients et a été positive chez 3. L’Abstention thérapeutique a été l’attitude adoptée chez 2 malades ayant un kyste hydatique type 5. Aucun patient n’a eu un traitement médical seul. 13 patients (86,66%) ont été traités chirurgicalement. Onze ont eu une résection du dôme saillant. 1 patient a eu une néphrectomie partielle et 1 une néphrectomie totale a été réalisée chez un patient chez qui le rein était totalement détruit. Aucune Complication per ou post opératoire n’a été notée notamment pas de fistule urinaire ou d’infection de la cavité résiduelle. Aucune récidive n’a été constatée sur un recul moyen de 2ans. Conclusion : le kyste hydatique du rein est une pathologie rare avec une sémiologie non spécifique. Si la chirurgie occupe une place primordiale dans le traitement de ces kystes, de nouvelles perspectives mini invasives surtout percutanée et laparoscopique sont à développer.
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Gervaise, A., H. Darbois, P. Sockeel, C. Cazeres, N. Robert, and A. Girodeau. "Kyste épidermoïde géant de la rate." Feuillets de Radiologie 47, no. 1 (February 2007): 37–41. http://dx.doi.org/10.1016/s0181-9801(07)88831-2.

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Tazi, N., R. Mahdoufi, I. Barhmi, and M. Mahtar. "Kyste tératoïde de la langue : variante rare de kyste dermoïde." Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale 133, no. 6 (December 2016): 407–8. http://dx.doi.org/10.1016/j.aforl.2016.03.004.

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Bassou, D., A. Darbi, A. Elkharras, A. Elhaddad, H. Boumdin, T. Amil, M. Benameur, and S. Chaouir. "Kystes radiculodentaires, une cause rare de sinus maxillaire opaque." Annales d'Otolaryngologie et de Chirurgie Cervico-faciale 124, no. 6 (December 2007): 318–21. http://dx.doi.org/10.1016/j.aorl.2006.08.002.

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9

Hamzaoui, L., M. Mahmoudi, M. Bouassida, H. Ezzine, M. M. Azouz, and S. Sassi. "Kyste hydatique pelvien : une localisation rare." Acta Endoscopica 44, no. 1-2 (January 2014): 51–53. http://dx.doi.org/10.1007/s10190-014-0370-9.

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jadi, Hamza El, Anas Guerboub, Azzelarab Meftah, Amal Moumen, Sanae Chakdoufi, Yassine Errahali, Jade Issouani, Souad Elmoussaoui, and Ghizlaine Belmejdoub. "Kyste parathyroïdien asymptomatique : une entité rare !" Annales d'Endocrinologie 76, no. 2 (May 2015): 189. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2015.03.036.

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More sources

Dissertations / Theses on the topic "Rate – Kystes"

1

Raherivololona, Rakotomalala Suzie. "Les kystes bénins non parasitaires de la rate : à propos de cinq cas." Saint-Etienne, 1995. http://www.theses.fr/1995STET6221.

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2

Belloy, Frédérique. "Apport de l'imagerie au diagnostic de kyste épidermoïde de la rate : à propos de 2 cas." Caen, 1991. http://www.theses.fr/1991CAEN3046.

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3

Rouard, Christophe. "Lymphangiome kystique de la rate : à propos d'un cas et revue de la littérature." Montpellier 1, 1995. http://www.theses.fr/1995MON11171.

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4

BELGACIMI, ABDELKADER. "Les kystes non parasitaires de la rate : a propos de cinq cas." Reims, 1991. http://www.theses.fr/1991REIMM086.

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5

Giraud, Isabelle Boissel Patrick. "Kyste hydatique splenique rompu à propos d'un cas survenu au S.A.U.d'Epinal /." [S.l] : [s.n], 2003. http://www.scd.uhp-nancy.fr/docnum/SCDMED_T_2003_GIRAUD_ISABELLE.pdf.

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Book chapters on the topic "Rate – Kystes"

1

Reiter, Fabian. "A Remark on the Poll Tax Rate in Kysis." In The Oasis Papers 6, 327–30. Oxbow Books, 2017. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctvh1dstn.31.

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Conference papers on the topic "Rate – Kystes"

1

Sergheraert, J., S. Grenier, C. Mauprivez, B. Lefevre, and S. Laurence. "Cystadénome papillaire d’une glande salivaire accessoire. A propos d’un cas." In 66ème Congrès de la SFCO. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206602011.

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Abstract:
Les tumeurs des glandes salivaires sont rares et représentent 2 à 6.5 % des néoplasies de la tête et du cou. L’atteinte des glandes salivaires accessoires représente moins de 25% de l’ensemble des tumeurs des glandes salivaires [Auclair et al. 1991]. Les localisations les plus fréquentes sont : le palais, la joue et la région linguale postérieure [Tijoe et al., 2015]. La grande variabilité de l’expression clinique de ces tumeurs rend difficile l’établissement d’un diagnostic précis, d’où l’importance de l’analyse histologique. Le cas d’une tumeur bénigne des glandes salivaires accessoires de la joue est rapporté. Il s’agit d’une femme de 68 ans adressée initialement pour l’exérèse d’une lésion kystique maxillaire. Elle ne présente aucun antécédent médico-chirurgical. L’examen endobuccal révèle la découverte fortuite de plusieurs lésions nodulaires indépendantes et de tailles variables (de 0,5 à 1,5 cm de longueur dans leur grand axe) situées sur la face interne des lèvres et des joues, passées inaperçues par la patiente. La muqueuse de recouvrement est d’aspect normal. L’hygiène bucco-dentaire est défectueuse (PI>50%) et les édentements sont compensés par prothèses amovibles. A la palpation, aucune symptomatologie douloureuse n’est mise en évidence, ni d’adhésion avec les plans profonds. Ces nodules sont fermes, et pour le nodule ayant fait l’objet de l’exérèse, une suppuration apparaît. L’examen exobuccal est sans particularité, les aires ganglionnaires sont libres. L’examen radiographique est sans particularité exceptée la lésion motivant la consultation au niveau du site de 12. Les caractéristiques cliniques peuvent faire évoquer une pseudo-tumeur de glandes salivaires accessoires de type mucocèle ou une hyperplasie épithéliale (diapneusie). L’exérèse complète de la lésion de plus grande taille présentant une suppuration a été pratiquée sous anesthésie locale. Les suites opératoires ont été simples et asymptomatiques. L’examen anatomopathologique de la pièce opératoire conclut à un cystadénome papillaire d’une glande salivaire accessoire. Le cystadénome papillaire est une tumeur épithéliale bénigne rare des glandes salivaires [OMS, 2017]. Il intéresse spécialement les glandes salivaires principales, notamment la glande parotide (45%), et dans seulement 0.6 à 4% des cas une glande salivaire accessoire [Tijoe et al., 2015]. L’âge moyen de découverte se situe entre 50 et 70 ans. Le traitement de cette lésion réside dans sa simple exérèse et les récidives sont exceptionnelles. Histologiquement, la lésion est multiloculaire et du tissu conjonctif sépare les kystes, la littérature souligne la possibilité de lésions uniloculaires dans 20% des cas. Une seconde forme muqueuse moins fréquente est décrite. Le diagnostic différentiel du cystadénome papillaire comprend principalement le kyste muqueux de rétention. L’absence d’une composante lymphöde écarte le diagnostic de tumeur de Warthin. Dans ce contexte, le carcinome mucoépidermöde de bas grade doit être écarté [Stojanov et al., 2017].
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