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Journal articles on the topic 'Ratio de paramètres'

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Abekan, Edoukou, Diaha N’guessan Constance, Amande Monin Justin, N’guessan Yao, Assan N’dri Florentine, Angui Kouamé Jean Paul, and N’da Konan. "Variations Saisonnières Des Paramètres De Reproduction Et Relation Taille-Poids De Auxis thazard (Lacepède, 1800) Capturé Dans Le Golfe De Guinée Par La Flottille Artisanale Ivoirienne." European Scientific Journal, ESJ 13, no. 33 (November 30, 2017): 444. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2017.v13n33p444.

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Abstract:
In this study, the seasonal variation in sex ratio, macroscopic stages of sexual maturity, gonado-somatic ratio, hepatostatic ratio, condition factor, and size-weight relationship in Auxis thazard from Gulf of Guinea were studied from January to December 2016. Sex ratio observed was in favor of males (1: 0,78; X² observed = 20,16 ˃ theoretical X² = 3,84 ; p ˂ 0,05). The variation of maturity stages associated with GSI, HSI, and K during different seasons of the year showed that this specie spawns throughout the year. Length-weight relationship was W = 0,0039 L 3, 4108 (R2 = 0,93 ; N = 291) for males, W = 0,0036 L 3, 4376 (R2 = 0,91 ; N = 227) for females, and W = 0,004 L 3, 4118 (R2 = 0,92 ; N = 519) for the combined sexes. The b value was significantly higher than the theoretical value of 3 for males (t-test, t = 233,218, p ˂ 0,05), for females (t-test, t = 227,776, p ˂ 0,05), and for all individuals (t-test, t = 315,821, p ˂ 0,05). This situation however indicates a faster increase of the fish in weight rather than in length.
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2

Epelbaum, C., and P. Hardy. "Mélancolie délirante: caractéristiques épidémiologiques, cliniques, biologiques et thérapeutiques." Psychiatry and Psychobiology 5, no. 5 (1990): 309–18. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003813.

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Abstract:
RésuméLes spécificités des mélancolies délirantes en regard des autres types de dépression ont fait l’objet de nombreuses recherches dont les résultats apparaissent parfois contradictoires. Sur un plan épidémiologique, les mélancolies délirantes se distinguent peu des autres types de dépression quant au sex-ratio, à l’âge de début, au nombre d’épisodes antérieurs, à l’existence d’antécédents familiaux de troubles thymiques ou quant à la prédominance des formes unipolaires ou bipolaires. Du point de vue clinique, un certain nombre d’éléments paraissent caractériser le tableau des mélancolies délirantes (importance du ralentissement psychomoteur, culpabilité accrue, humeur dépressive et agitation plus intense). D’autres paramètres sont signalés par certains auteurs, mais non par tous, comme plus particuliers à cette entité. Sur un plan biologique, certains marqueurs de la mélancolie délirante ont été isolés (MHPG-HVA plus faible, dosage de β-décarboxylase, etc). Mais aucun de ces indices, en particulier la positivité du test à la dexaméthasone n’est réellement spécifique de cette pathologie. Le traitement des mélancolies délirantes apparaît en revanche bien établi et diffère de celui des autres formes de dépression; supériorité de l’association neuroleptiques-antidépresseurs tricycliques par rapport à la monothérapie antidépressive et surtout l’électro-convulsivo-thérapie qui est fréquemment indiquée d’emblée en raison de la gravité de l’état de ces patients. Il apparaît toutefois que certaines particularités cliniques, évolutives et thérapeutiques confèrent au cadre des mélancolies délirantes une homogénéité et une spécificité suffisantes pour le distinguer du groupe des autres dépressions. Ces caractéristiques, qui sont pour la plupart des variables continues, sont de nature à situer les mélancolies délirantes dans un gradient de sévérité accru en regard des autres dépressions, plutôt que dans une dichotomie. Ces divergences de résultats observés à propos d’autres paramètres pourraient résulter d’insuffisances méthodologiques mais également de l’hétérogénéité du groupe des mélancolies délirantes. Cette dernière hypothèse paraît ouvrir les voies de recherche les plus prometteuses.
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3

Salami, S. A., O. A. Isah, R. Y. Aderinboye, L. O. Ajayi, and S. Ashi. "Impact of caecotrophy on the performance, nutrient digestibility and blood parameters of growing rabbits." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 2 (March 2, 2021): 140–47. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i2.2944.

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Abstract:
A 42-days trial was conducted to investigate the effect of caecotrophy on performance, apparent nutrient digestibility and blood parameters in growing rabbits. Thirty-six cross- bred rabbits with an average initial weight of 875±25 g were divided into 2 groups (collared and uncollared). The collared group was prevented access to their caecotropes (soft faeces) while the uncollared group were allowed access. Each group had 18 animals with 3 growing rabbits per group, replicated 6 times in a completely randomised design (CRD). The result of the study showed that the uncollared group had higher (P<0.05) final live weight, daily weight gain, feed intake which were, 1.76 kg, 17.00 g/day, 50.6 g/day, respectively when compared with the collared group which recorded 1.53 kg, 11.7 g/day and 41.7 g/day respectively. Also, lower (P<0.05) values were recorded for feed conversion ratio and mortality in uncollared rabbits in comparison to their collared counterparts. The ash and crude protein digestibility were higher (P<0.05) in the uncollared group. Serum total protein and albumin were higher in uncollared group while globulin was higher in collared group while Urea and AST was lower in uncollared group. Haematological parameters were not affected by caecotrophy. It can be concluded that prevention of caecotrophy has detrimental effect on the performance, nutrient digestibility and serum biochemical parameters of growing rabbits Un essai de 42 jours a été mené pour étudier l'effet de la caecotrophie sur la performance, la digestibilité apparente des nutriments et les paramètres sanguins chez les lapins en croissance. Trente-six lapins croisés d'un poids initial moyen de 875±25 g ont été divisés en 2 groupes (à collier et non-collier). Le groupe à collier a été empêché d'accéder à leurs caecotropes (excréments mous) tandis que le groupe non collier a été autorisé à y accéder. Chaque groupe avait 18 animaux avec 3 lapins en croissance par groupe, répliqués 6 fois dans un design complètement randomisé (CRD). Le résultat de l'étude a montré que le groupe non collier avait un poids réel final plus élevé (P<0.05), un gain de poids quotidien, une consommation d'aliments qui étaient de 1.76 kg, 17.00 g/jour, 50.6 g/jour, respectivement par rapport au groupe à collier qui enregistrait respectivement 1.53 kg, 11.7 g/jour et 41.7 g/jour. De plus, des valeurs inférieures (P<0.05) ont été enregistrées pour le ratio de conversion des aliments et la mortalité chez les lapins noncollier par rapport à leurs homologues à collier. La digestibilité des cendres et des protéines brutes était plus élevée (P<0.05) dans le groupe noncollared. La protéine totale de sérum et l'albumine étaient plus élevées dans le groupe noncollier tandis que la globulin était plus élevée dans le groupe collier tandis que l'urée et l'AST étaient plus bas dans le groupe noncollier. Les paramètres hématologiques n'ont pas été affectés par la caecotrophie. On peut conclure que la prévention de la caecotrophie a un effet néfaste sur la performance, la digestibilité des nutriments et les paramètres biochimiques sériques des lapins en croissance
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Trigui, Khalil, Rafik Ben Said, Fourat Akrout, and Néji Aloui. "Etude éco-biologique d’Artemia salina (Branchiopoda, Anostraca) de la saline de Sahline (Tunisie)." Crustaceana 89, no. 8 (2016): 949–74. http://dx.doi.org/10.1163/15685403-00003558.

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Abstract:
Dans la présente étude, d’éventuelles corrélations entre les facteurs du milieu et quelques éléments biologiques de l’Artemiade la saline de Sahline ont été étudiées durant une année. Les résultats obtenus ont montré que les paramètres du milieu ont affecté la biologie de l’Artemia. L’abondance maximale a été enregistrée en mai (550 ± 2,16 ind/l). Tous les stades de développement étaient présents mais avec des pourcentages saisonniers variables. Les populations d’Artemiaétudiées sont bisexuées avec une reproduction ovovivipare au début et ovipare à la fin du cycle. La sex-ratio a montré une dominance des mâles au début et des femelles à la fin du cycle. La taille des femelles mâtures est supérieure à celle des mâles. La fécondité obtenue s’est traduite par une production importante des cystes par rapport aux nauplii. Les analyses statistiques ont montré une corrélation négative avec un effet très significatif entre les facteurs du milieu (température et salinité) et la production des nauplii (ovoviviparité) contrairement avec l’oxygène dissous.
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Cova, P., R. A. Masut, J. F. Currie, A. Bensaada, R. Leonelli, and C. Anh Tran. "Effet des paramètres de croissance sur les couches épitaxiales d'InP obtenues par MOCVD (metal-organic chemical vapor deposition) à basse pression." Canadian Journal of Physics 69, no. 3-4 (March 1, 1991): 412–21. http://dx.doi.org/10.1139/p91-067.

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Abstract:
The development of a low pressure, horizontal MOCVD (metal-organic chemical vapour deposition) reactor has allowed us to study the effect of phosphine and trimethylindium molar fluxes on the epitaxial growth of InP. Study of the growth rate in the temperature range 550–620 °C shows that the growth can be limited by the reaction kinetics at the surface. Epitaxial layers of good morphological quality have been obtained by reducing the rate of growth even if the growth is limited by the reaction kinetics at the surface. The variation of the electronic mobility with the PH3 molar flux reveals the existence of an optimum mobility region, even with a constant V: III ratio. Photoluminescence experiments carried out on the samples show the good crystallographic quality of the epitaxial layers. Spectra taken in the energy range 0.8–1.2 eV show the evolution of two structures at 0.91 and 1.08 eV that we associate with an antisite PIn and a VIn defect, respectively.[Journal translation]
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Ranchoux, B., and J. F. Currie. "Étude des corrélations entre paramètres de préparation, caractéristiques électriques et physico-chimiques d'échantillons de a-Si : H dopés ou non." Canadian Journal of Physics 63, no. 1 (January 1, 1985): 54–58. http://dx.doi.org/10.1139/p85-009.

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Abstract:
Using linear and second-degree regression, we have studied correlations between measurements of electrical conductivity, activation energy, concentration of the various elements (hydrogen, carbon, oxygen, argon, and eventually a dopant: indium, thalium, or antimony), thickness, and some preparation parameters: deposition temperature, mass flow ratio between the various gases intervening in the plasma, and deposition time. We have shown that the deposition rate is the only parameter, in the range studied, that plays an important role for the composition of the intrinsic films. The other parameters, viz. flow ratios of the various gases present in the mixture, temperature, have a limited influence on the composition and the electrical characteristics. The chemical composition measurements have been directly correlated with the electrical measurements. The introduction of a doping metal in the material modifies not only its opto-electrical characteristics, but generally its hydrogen content. Our process of doping by evaporation follows the "universal" behaviour of metals from columns II and V, already known in hydrogenated amorphous silicium. For the p and n films, we have observed that the hydrogen concentration and the width of the energy gap increase first with the dopant concentration and decrease afterwards. The presence of a dopant in the amorphous material leads to a disorder restructuring that changes the chemical composition more than the density of states in the energy gap.
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BOUDON, A., H. KHELIL-ARFA, J. L. MÉNARD, P. BRUNSCHWIG, and P. FAVERDIN. "Les besoins en eau d’abreuvement des bovins laitiers : déterminismes physiologiques et quantification." INRAE Productions Animales 26, no. 3 (June 18, 2013): 249–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.3.3153.

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Abstract:
L’eau d’abreuvement est un besoin incompressible des élevages laitiers. Elle représente un coût non négligeable et sa restriction conduit immédiatement à des baisses de performances et à une altération du bien-être des troupeaux. Le bilan hydrique de l’animal est équilibré grâce à la régulation de l’excrétion rénale d’eau et des volumes d’eau bue en réponse à des consignes de pression osmotique plasmatique et de volume sanguin. De nombreuses équations de prédiction des besoins en eau des vaches laitières ont été publiées. La teneur en matière sèche de la ration ressort comme le premier paramètre prédictif des volumes d’eau bue parce qu’elle détermine la part relative de l’eau provenant de l’aliment et bue dans l’eau totale ingérée. La quantité de matière sèche ingérée, les teneurs en sodium, potassium et azote de la ration ainsi que la température ambiante sont les principaux paramètres prédictifs de l’eau totale ingérée. La comparaison des erreurs de prédiction des équations des besoins en eau des vaches laitières sur un jeu de données commun montre des performances très hétérogènes. Les critères de choix des équations doivent être la nature des paramètres prédictifs disponibles mais aussi les conditions dans lesquelles elles ont été établies. Les équations de prédiction des besoins en eau des vaches laitières ont souvent été établies à partir de mesures individuelles et leur application sur un troupeau disposant d’abreuvoirs à niveau constant peut entrainer un biais de prédiction. Quelques pistes sont évoquées pour quantifier les besoins en eau des génisses.
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Diallo, M., D. Kourouma, Y. Sogoba, and D. Kanikomo. "Prise en charge des abcès cérébraux uniques à porte d'entrée non retrouvée (A propos d'une série de 7 cas)." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 15, no. 1 (May 14, 2020): 10–17. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v15i1.1561.

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Abstract:
Introduction : Les abcès cérébraux peuvent devenir graves s'ils sont non ou insuffisamment traités. La prise en charge inclue le traitement correct de la porte d'entrée. Celle-ci n'est pas toujours retrouvée. Nous rapportons notre expérience sur la prise en charge des abcès cérébraux à porte d'entrée non retrouvée à l'issue duquel nous proposerons un algorithme décisionnel de traitement. Patients et méthode : Il s'agit d'une étude retrospective et descriptive allant de novembre 2014 à décembre 2016. Elle a concerné les patients de tous âges traités dans le service de neurochirurgie du CHU Gabriel Touré pour un abcès cérébral chez qui le foyer initial n'a pas été retrouvé. Les paramètres cliniques, radiologiques et thérapeutiques ont été étudiés. Résultats :Durant notre période d'étude, les abcès cérébraux à point de départ non trouvé ont représenté 33,3% de tous les abcès cérébraux et 63,6% des abcès cérébraux opérés. L'âge moyen des patients était de 45 ans avec un sex ratio de 0,7. Tous nos patients étaient immunocompétents. La fièvre et l'hypertension intracranienne étaient les principaux signes. La lésion était de siège frontal et temporal principalement. Tous les patients ont bénéficié d'une ponction chirurgicale avec drainage d'abcès associé à une triantibiothérapie. L'évolution était défavorable dans 28,6% des cas (recollection d'abcès) et satisfaisante dans 71,4% des cas. La mortalité était nulle. Conclusion : La très bonne évolution clinique et radiologique après le traitement n'est une gage de la guérison d'un abcès du cerveau tant que le foyer infectieux initial n'est retrouvé et convenablement traité
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Nzuki Bakwaye, Flavien, Céline Termote, A. O. Kibungu Kembelo, and Patrick Van Damme. "Identification et importance locale des plantes médicinales utilisées dans la région de Mbanza-Ngungu, République démocratique du Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, no. 316 (June 1, 2013): 63. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20531.

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Abstract:
Une enquête ethnobotanique a été menée sur les plantes médicinales dans la région de Mbanza-Ngungu, province du Bas- Congo, en République démocratique du Congo. Des interviews semi-structurées et des observations participatives ont été effectuées entre février 2009 et mai 2012 auprès de 51 tradipraticiens échantillonnés par la méthode " boule de neige ". Un herbier de référence a été constitué et les échantillons ont été identifiés à l'herbarium du Jardin botanique de Kisantu et de l'Université de Kinshasa. Le but était d'identifier les plantes médicinales populaires en médecine traditionnelle, de documenter leur importance relative et de comparer l'usage alimentaire et non alimentaire de ces plantes. Pendant l'interview, 195 plantes médicinales ont été enregistrées, dont 165 espèces botaniques identifiées appartenant à 138 genres et 56 familles. Les feuilles et les racines constituent les parties de plantes les plus utilisées (63 % des citations) et la décoction représente le mode de préparation le plus fréquent (46 %). L'administration des remèdes se fait le plus souvent par voie orale (71 %). L'importance locale des plantes médicinales et le degré de consensus des informateurs ont respectivement été déterminés sur la base des paramètres medicinal Use Value (med.UVs) et Informant Agreement Ratio (med.IARs). Elaeis guineensis (0,71), Brillantaisia patula (0,39), Zingiber officinale (0,35) et Mondia whitei (0,35) présentent les med.UVs les plus élevés. Par ailleurs, Catharanthus roseus, Lannea antiscorbutica, Palisota ambigua, Raphia gentiliana, Sansevieria trifasciata se distinguent par un med.IARs maximal de 1. Parmi les les plantes médicinales aux med.UVs les plus élevés, M. whitei et Dorstenia laurentii sont présentement très menacées dans le milieu d'étude. Quant aux études plus approfondies, Senna occidentalis serait prioritaire. Il faudrait lui associer les plantes médicinales avec un med.IARs de 1.
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Kouassi, Jean-Paul, N’guessan Kouame, Brigitte A. Tonon, Polycarpe Gouthon, Basile K. Nouatin, and Antoine N. Tako. "Effet de la perte rapide volontaire de poids au cours d’un camp d’entraînement de deux semaines sur les paramètres hydro-électrolytiques et les performances des judokas de l’élite en Côte d’Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 12, 2020): 3119–30. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.12.

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Abstract:
Malgré les risques potentiels, des judokas pratiquent la perte rapide volontaire de poids en période de compétition. L’objectif de la présente étude était de mesurer les modifications induites par la perte rapide volontaire de poids (PRVP) sur les paramètres hydro-électrolytiques et les performances lors des tests de terrain, chez les judokas de Côte d’Ivoire pendant un camp d’entraînement (CE) de 15 jours. Pendant le CE, 33 judokas (22,8 ± 3,3 ans) dont 25 hommes et 8 dames ont accepté de participer à cette étude prospective. Le poids, les concentrations des électrolytes urinaires, les performances à trois tests de terrain, la densité urinaire ont été évalués juste avant et à la fin du CE. A la fin du CE, les judokas pratiquants de la PRVP (groupe PP), ont perdu en moyenne 6,0 ± 0,2% de leur poids (p < 0,001) et étaient à un niveau de déshydratation sévère, alors que chez leurs homologues non pratiquants (groupe SP), le poids n’a pas varié (p > 0,05). Dans le groupe PP, la concentration de K+ a augmenté de 32,0% (p = 0,03) tandis que le ratio Na/K, les performances au « special judo fitness test », au saut en squat et le ̇O2 max ont baissé respectivement de 31,4% (p = 0,04), 4,2% (p < 0,001), 6,5% (p < 0,0001) et 1,5% (p < 0,001). Dans le groupe SP, aucune modification significative n’a été observée (p > 0,05). Au regard des risques que la PRVP présente pour la santé et la performance, tous les acteurs devraient comprendre la nécessité en cas de besoin, de procéder par une perte lente et progressive de poids en période de préparation aux compétitions.Mots clés: Judo, test de terrain, électrolytes, perte rapide volontaire de poids, déshydratation, Afrique subsaharienne. English Title: Effect of rapid weight loss during a two-week training camp on hydro electrolytic parameters and performance of elite judokas in Ivory CoastDespite the potential risks, judokas practice rapid weight loss during competitive periods. The objective of this study was to measure the changes induced by rapid weight loss (RWL) on hydro-electrolytic parameters and performance during field tests in judokas from Ivory Coast during a 15-day training camp (TC). During the TC, 33 judokas (22.8 ± 3.3 years old) including 25 men and 8 women agreed to participate in this prospective study. Weight, urinary electrolyte concentrations, performance in three field tests, urinary density were assessed just before and at the end of the TC. At the end of the TC, the judokas practicing RWL (PP group), lost on average 6.0 ± 0.2% of their weight (p < 0.001) and were at a severe level of dehydration, while among their non-practicing counterparts (SP group), the weight did not change (p > 0.05). In the PP group, the concentration of K+ increased by 32.0% (p = 0.03) while the Na/K ratio, performance in the special judo fitness test, squat jump and VO2 max decreased by 31.4% (p = 0.04), 4.2% (p < 0.001), 6.5% (p < 0.0001) and 1.5% (p < 0.001) respectively. In the SP group, no significant changes were observed (p > 0.05). In view of the health and performance risks that the RWL poses, all stakeholders should understand the need, if necessary, to proceed with a slow and gradual weight loss during the preparation period for competitions.Keywords: Judo, field test, electrolytes, rapid weight loss, dehydration, sub-Saharan Africa.
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Gnann, Sebastian J., Nicholas J. K. Howden, and Ross A. Woods. "Hydrological signatures describing the translation of climate seasonality into streamflow seasonality." Hydrology and Earth System Sciences 24, no. 2 (February 6, 2020): 561–80. http://dx.doi.org/10.5194/hess-24-561-2020.

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Abstract:
Abstract. Seasonality is ubiquitous in nature, and it is closely linked to water quality, ecology, hydrological extremes, and water resources management. Hydrological signatures aim at extracting information about certain aspects of hydrological behaviour. Commonly used seasonal hydro-climatological signatures consider climate or streamflow seasonality, but they do not consider how climate seasonality translates into streamflow seasonality. In order to analyse the translation of seasonal climate input (precipitation minus potential evapotranspiration) into seasonal catchment output (streamflow), we represent the two time series by their seasonal (annual) Fourier mode, i.e. by sine waves. A catchment alters the input sine wave by reducing its amplitude and by shifting its phase. We propose to use these quantities, the amplitude ratio and the phase shift, as seasonal hydrological signatures. We present analytical solutions describing the response of linear reservoirs to periodic forcing to interpret the seasonal signatures in terms of configurations of linear reservoirs. Using data from the UK and the US, we show that the seasonal signatures exhibit hydrologically interpretable patterns and that they are a function of both climate and catchment attributes. Wet, rather impermeable catchments hardly attenuate the seasonal climate input. Drier catchments, especially if underlain by a productive aquifer, strongly attenuate the input sine wave leading to phase shifts up to several months. As an example application, we test whether two commonly used hydrological models (Identification of unit Hydrographs and Component flows from Rainfall, Evaporation and Streamflow – IHACRES; modèle du Génie Rural à 4 paramètres Journalier – GR4J) can reproduce the observed ranges of seasonal signatures in the UK. The results show that the seasonal signatures have the potential to be useful for catchment classification, predictions in ungauged catchments, and model building and evaluation. The use of potential evapotranspiration in the input restricts the applicability of the signatures to energy-limited (humid) catchments.
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Egbeyale, L. T., O. Uza, A. A. Ayoola, R. A. Sobayo, O. O. Adeleye, O. Y. Ayo-Ajasa, F. A. Adewole, O. C. Ojetunji, and I. E. Oguntayo. "Effect of neem (Azadirachta indica) leaves infusion on growth performance and carcass quality of broiler chickens." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 142–51. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2906.

Full text
Abstract:
This study was conducted to determine the effect of neem leaf infusion on growth parameters, carcass characteristics and meat quality of broiler chicken. One hundred and sixty, seven days old broiler chicks of cob strain were used for the experiment which was laid out in a completely randomized design (CRD). Each group was sub-divided into four replicates of 10 birds. The chicks in group 1 served as control and antibiotics were administered to them while 0.1, 0.2 and 0.3% concentration of neem leaf infusion were administered to bird on groups 2, 3 and 4, respectively. The period of experiment was six weeks. The birds were fed ad libitum. One bird close to average final weight was selected randomly in each replicate and was slaughtered at 42nd day of the experiment. Meat samples from breast muscle of the bird were subjected to cooking weight loss, refrigeration weight loss and sensory evaluation. The data obtained were subjected to one-way Analysis of Variance. Results revealed that there were no significant (p>0.05) effects of neem leaf infusion on weight gain and feed conversion ratio while water intake was influenced (p<0.05) at the starter phase across the treatment groups. It was only feed intake that was influenced (P<0.05) by the Neem leaf infusion (NLI) at the finisher phase. The heart was the only parameter that was significantly (p<0.05) affected among the carcass parameters. The cooking loss increased (P<0.05) with higher concentration of the infusion while refrigeration weight loss percentages were similar (P>0.05) across the treatments. The result on Sensory evaluation showed that only colour, tenderness and overall flavour were significantly (P<0.05) influenced. The study concluded that administration of aqueous Neem (Azadirachta indica) leaf infusion in drinking water of broiler chicken as alternative to antibiotics did not pose any adverse threat on the performance and meat quality of broiler chicken. Cette étude a été menée pour déterminer l'effet de l'infusion de feuilles de neem sur les paramètres de croissance, les caractéristiques de la carcasse et la qualité de la viande du Effect of neem (Azadirachta indica) leaves infusion on growth performance and carcass quality of broiler chickens poulet de gril. Cent soixante poussins de poulet à griller de sept jours de souche d'épi ont été utilisés pour l'expérience qui a été présenté dans une conception complètement randomisée (le 'CRD'). Chaque groupe a été subdivisé en quatre répliques de 10 oiseaux. Les poussins du groupe 1 ont servi de contrôle et des antibiotiques leur ont été administrés tandis que 0,1, 0,2 et 0,3 % de concentration d'infusion de feuilles de neem ont été administrés à l'oiseau sur les groupes 2, 3 et 4, respectivement. La période d'expérience était de six semaines. Les oiseaux ont été nourris ad libitum. Un oiseau dont le poids final est proche de la moyenne a été sélectionné au hasard dans chaque réplique et a été abattu au 42e jour de l'expérience. Des échantillons de viande prélevés sur le muscle mammaire de l'oiseau ont été soumis à la perte de poids de la cuisson, à la perte de poids de réfrigération et à l'évaluation sensorielle. Les données obtenues ont fait l'objet d'une analyse à sens unique de la variance. Les résultats ont révélé qu'il n'y avait pas d'effets significatifs (p>0,05) de l'infusion de feuilles de neem sur le gain de poids et le rapport de conversion des aliments pour animaux, tandis que la prise d'eau a été influencée (p<0,05) à la phase de démarrage dans tous les groupes de traitement. Ce n'est que la prise d'aliments qui a été influencée (P<0,05) par l'infusion de feuilles neem (NLI) à la phase finale. Le cœur était le seul paramètre qui était significativement (p<0,05) affecté parmi les paramètres de la carcasse. La perte de cuisson a augmenté (P<0,05) avec une concentration plus élevée de l'infusion tandis que les pourcentages de perte de poids de réfrigération étaient similaires (P>0,05) à travers les traitements. Le résultat de l'évaluation sensorielle a montré que seules la couleur, la tendresse et la saveur globale étaient significativement influencées (P<0,05). L'étude a conclu que l'administration de feuilles de neem (Azadirachta indica) dans l'eau potable du poulet de gril comme alternatif aux antibiotiques ne posait aucune menace négative sur la performance et la qualité de la viande du poulet de gril.
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Ogbanya, K. C., C. A. Eze, N. H. Okereke, and C. K. Chukwu. "Assessment of changes in physiological parameters and immune marker levels in cattle presented for slaughter at Ikpa Nsukka slaughter abattoir." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 3 (March 6, 2021): 204–9. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2959.

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Abstract:
There is dearth of information on the use of physiological parameters and immune marker levels as indices of stress in cattle presented for slaughter. The objectives of the study were to determine the changes in physiological parameters such as heart rate, pulse rate, respiratory rate, rectal temperature and to assess the changes in immune marker levels like total leucocyte count, differential leucocyte count and neutrophil/lymphocyte ratio as indices of stress in cattle presented for slaughter at Ikpa slaughter slab. The heart and pulse rates were determined using stethoscope and first and second fingertips count respectively. The rectal temperature (oC) was determined using digital thermometer while the respiratory rate (breaths/minutes) was determined by counting the number of breaths per minute. Blood was collected from 40 cattle at two stages: 1) pre-slaughter and 2) during slaughter. The pre- slaughter and post-slaughter mean values of heart rates in the male cattle were 80.00±7.48a and 112.50±2.87b respectively. The pre-slaughter and post-slaughter mean values of heart rates in the female cattle were 51.33±1.76a and 64.00±2.31a respectively. The pre-slaughter and post-slaughter mean values of respiratory rates in the male cattle were 79.00±6.61a and 33.00±2.52a and 47.00±1.00b respectively. The pre-slaughter and post-slaughter mean values of respiratory rates in the female cattle were 30.67±1.33a and 41.33±3.53b respectively. The pre-slaughter and post-slaughter mean values of rectal temperature in the male cattle were 37.55±0.09a and 38.48±0.13b and 47.00±1.00b respectively. The pre-slaughter and post- slaughter mean values of rectal temperature in the female cattle were 38.63±0.18a and 38.60±0.06a respectively. A slight non-significant increase in the neutrophil/lymphocyte ratio in the different sex groups at pre-slaughter and slaughter were observed. In conclusion, changes in heart rate, pulse rate and respiratory rate are more indicative of acute stress which is associated with slaughter processes in Ikpa abattoir. Il n y a guerre d'information sur l'utilisation des paramètres physiologiques et des niveaux de marqueur immunitaire comme indices de stress chez les bovins présentés pour l'abattage. Les objectifs de l'étude étaient de déterminer les changements dans les paramètres physiologiques tels que la fréquence cardiaque, le pouls, la fréquence respiratoire, la température rectale et d'évaluer les changements dans les niveaux de marqueur immunitaire comme le nombre total de leucocytes, le nombre différentiel de leucocytes et le rapport neutrophile/lymphocyte comme indices de stress chez les bovins présentés pour l'abattage à la dalle d'abattage Ikpa. Les fréquences cardiaques ont été déterminées à l'aide du Assessment of changes in physiological parameters and immune marker levels in cattle stéthoscope et le premier et le deuxième doigts comptent respectivement. La température rectale (le 'OC') a été déterminée à l'aide d'un thermomètre numérique, tandis que la fréquence respiratoire (respirations/minutes) a été déterminée en comptant le nombre d'respirations par minute. Le sang a été prélevé sur 40 bovins à deux étapes : 1) avant l'abattage et 2) pendant l'abattage. Les valeurs moyennes des fréquences cardiaques chez les bovins mâles avant l'abattage et après l'abattage étaient respectivement de 80.00 ±7.48a et 112.50±2.87 milliards. Les valeurs moyennes des fréquences cardiaques chez les bovins femelles avant l'abattage et après l'abattage étaient respectivement de 51.33 ±1.76a et 64.00±2.31a. Les valeurs moyennes des taux respiratoires chez les bovins mâles avant l'abattage et après l'abattage étaient respectivement de 79.00±6.61a et 33.00±2.52a et 47.00±1.00b. Les valeurs moyennes des taux respiratoires chez les bovins femelles avant l'abattage et après l'abattage étaient de 30.67 ±1.33a et 41.33±3.53 milliards respectivement. Les valeurs moyennes de température rectale avant l'abattage et après l'abattage chez les bovins mâles étaient respectivement de 37.55±0.09a et 38.48±0.13b et 47.00±1.00b. Les valeurs moyennes de la température rectale avant l'abattage et après l'abattage chez les bovins femelles étaient respectivement de 38.63±0.18a et 38.60±0.06a. Une légère augmentation non significative du rapport neutrophile/lymphocyte dans les différents groupes sexuels au pré-abattage et à l'abattage a été observée. En conclusion, les changements de la fréquence cardiaque, de la fréquence cardiaque et de la fréquence respiratoire sont plus révélateurs du stress aigu associé aux processus d'abattage à l'abattoir Ikpa.
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Amos, A. T., D. U. Kareem, A. O. Amos, and O. M. O. Idowu,. "Nutritional evaluation of differently processed cassava-soya blends in the diets of broiler chickens." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 2 (March 2, 2021): 111–27. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i2.2929.

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Abstract:
A 56-day study was conducted to evaluate the nutritional value of differently processed cassava-soya blends (CSB) in the diets of broiler chickens. 360 day-old Cobb-500 broiler chicks used for this study were assigned to the 12 dietary treatment groups which were replicated three times with ten birds each. Two differently dried blends of cassava pulp and soybeans (dry and wet heated), mixed at four (4) different ratios were subjected to two types of dehydration methods to obtain 12 types of blends. These blends were subsequently included in the diets of broiler chickens at 15% in a 2x2x3 factorial arrangement to obtain 12 dietary treatments. Eight weeks of feeding trials (starter and finisher phases) were observed. The blends were chemically analysed to determine their proximate, hydrocyanide (HCN) and trypsin inhibition unit (TIU) compositions. Growth parameters (Initial weight, final weight, weight gain, feed intake and feed conversion ratio) of the birds at both phases were also measured. Results showed that fried blend cassava and wet heated soybeans at 50:50 mixing ratio had the highest crude protein (37.72%) and metabolizable energy (3,314 kcal/kg) with low HCN residue of 1.70 mg/kg. At the starter phase, birds fed diets containing 50:50 mixing ratio of CSB had the highest final weights (904.00 g/b) and weight gain (31.08 g/b/day) while those fed diets containing 80:20 mixing ratio of CSB were least (839.00 g/b and 29.62 g/n/day respectively). Highest (p<0.05) body weight gain per bird per day (43.95 g/b/d) and lowest feed conversion ratio (2.56) were recorded with birds fed fried blend of dry heated soybean and cassava pulp at 50:50 mixing ratio at the finisher phase. Lowest feed intake was recorded with birds fed fried blend of dry heated soybean and cassava pulp at 80:20 mixing ratio. It can be concluded that replacing 15% inclusion fried CSB blend of dry heated raw soya beans mixed with cassava at 50:50 of CSB blends in diets of broiler chickens resulted in higher weight gain at both starter and finisher phase, while dehydration by sun drying and 50:50 mixing ratio improved the feed conversion ratio of the birds at finisher phase. Une étude de 56 jours a été menée afin d'évaluer la valeur nutritive des mélanges manioc- soja (CSB) transformés différemment dans les régimes alimentaires des poulets à griller. Les poussins 'cobb-500' de 360 jours utilisés pour cette étude ont été assignés aux 12 groupes de traitement diététique qui ont été reproduits trois fois avec dix oiseaux chacun. Deux mélanges différemment séchés de pulpe de manioc et de soja (chauffés secs et humides), mélangés à quatre (4) rapports différents, ont été soumis à deux types de méthodes de déshydratation pour obtenir 12 types de mélanges. Ces mélanges ont ensuite été inclus dans les régimes des poulets à 15% dans un arrangement factorial 2x2x3 pour obtenir 12 traitements diététiques. Huit semaines d'essais d'alimentation (phases de démarrage et de finition) ont été observées. Les mélanges ont été analysés chimiquement pour déterminer leurs compositions proximate, hydrocyanide (HCN) et unité d'inhibition de trypsine (TIU). Les paramètres de croissance (poids initial, poids final, gain de poids, apport alimentaire et ratio de conversion des aliments pour animaux) des oiseaux aux deux phases ont également été mesurés. Les résultats ont montré que le manioc frit et le soja chauffé humide à 50:50 ratio de mélange avaient la protéine brute la plus élevée (37.72 %) et l'énergie métabolisable (3 314 kcal/kg) avec un faible résidu de HCN de 1.70 mg/kg. Lors de la phase de démarrage, les oiseaux nourris selon un régime alimentaire contenant 50:50 de CSB avaient les poids finaux les plus élevés (904.00 g/b) et le gain de poids (31.08 g/b/jour) tandis que ceux nourris avec un ratio de mélange de 80.20 g/n/jour respectivement étaient les moins nombreux (839.00 g/b et 29.62 g/n/jour respectivement). Le gain de poids corporel le plus élevé (p<0.05) par oiseau et par jour (43.95 g/b/j) et le plus faible ratio de conversion des aliments pour animaux (2.56) ont été enregistrés chez les oiseaux nourris au mélange frit de soja chauffé à sec et de pulpe de manioc à 50:50 rapport de mélange à la phase de finition. La plus faible consommation d'aliments pour animaux a été enregistrée chez les oiseaux nourris au mélange frit de soja chauffé à sec et de pulpe de manioc à 80:20. On peut conclure que le remplacement de 15 % de soja crues chauffées à sec mélangées au manioc à 50:50 des mélanges CSB dans les régimes de poulets a entraîné un gain de poids plus élevé à la fois au démarrage et à la phase finale, tandis que la déshydratation par séchage au soleil et le rapport de mélange de 50:50 ont amélioré le ratio de conversion des aliments pour animaux à la phase de finition
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Akure, C. O., A. A. Sekoni, F. O. Abeke, P. A. Vantsawa, B. Babasanya, O. Olukotun, and J. T. Ayodele. "Growth performance and nutrient digestibility of broiler finishers fed processed Mucuna pruriens seed meal." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 3 (March 6, 2021): 86–92. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2956.

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Abstract:
This study was carried out to evaluate the effect of 45 minutes Boiled Mucuna Seed Meal (BMSM) on the growth performance and nutrient digestibility of broiler finisher chicks. In a four-week feeding trial, three hundred and fifteen (315),4-week old broiler chicks were randomly allocated to five experimental treatment diets in a completely randomized design (CRD). Each treatment was replicated thrice having twenty-one (21) birds per pen. Boiled Mucuna seed meal was prepared and fed in graded levels of 0.0% (control diet), 10.0%, 20.0%, 30.0%, and 40.0%BMSM. Feed and water were given to the birds ad libitum. The parameters measured and calculated include final weight, weight gain, feed intake, feed to gain ratio and feed cost per kilogram gain. Digestibility of dry matter, crude protein; crude fibre, ash, nitrogen free extract and ether extract were also determined. The data collected were subjected to analysis of variance (ANOVA). The results showed that dietary levels of inclusion of BMSM had significant (P<0.05) effect on these parameters. The final weight, the weight gain and feed intake of the birds fed 0.0%, 10.0% and 20.0%BMSM were statistically (P>0.05) similar and significantly (P<0.05) higher than those of other treatments. Cost of feed per birds and feed cost per kilogram gain were lower for all BMSB diets.Digestibility of nutrients was better for the birds fed the control,10.0 and 20.0%BMSM based diets. It was concluded that inclusion of BMSM in the diets of broiler finisher chicks up to20% has no deleterious effect on growth performance and nutrient digestibility of the birds. Cette étude a été réalisée pour évaluer l'effet de 45 minutes de farine de graines de Mucuna (le 'BMSM') bouillie sur la performance de croissance et la digestibilité des éléments nutritifs des poussins finisseurs de poulet à griller. Dans un teste d'alimentation de quatre semaines, trois cent quinze (315), poussins de poulet de griller de 4 semaines ont été aléatoirement attribués à cinq régimes expérimentaux de traitement dans une conception complètement randomisée (le 'CRD'). Chaque traitement a été reproduit trois fois avec vingt et un (21) oiseaux par enclos. Le repas bouilli de graine de Mucuna a été préparé et alimenté dans les niveaux classés de 0.0% (régime de contrôle), 10.0%, 20.0%, 30.0%, et 40.0%BMSM. L'alimentation et l'eau ont été données aux oiseaux ad libitum. Les paramètres mesurés et calculés comprennent le poids final, le gain de poids, la prise d'aliments pour animaux, le rapport alimentation/gain et le coût des aliments pour animaux par gain kilogramme. La digestibilité de la matière sèche, protéines brutes; des fibres brutes, des cendres, de l'extrait sans azote et de l'extrait d'éther ont également été déterminés. Les données recueillies ont fait l'objet d'une analyse de la variance (ANOVA). Les résultats ont montré que les niveaux diététiques d'inclusion de 'BMSM' ont eu un effet significatif (P<0.05) sur ces paramètres. Le poids final, le gain de poids et la prise d'alimentation des oiseaux nourris 0.0%, 10.0% et 20.0%BMSM étaient statistiquement (P>0.05) semblables et significativement (P<0.05) plus élevés que ceux des autres traitements. Le coût de l'alimentation animale par oiseau et le coût de l'alimentation par kilogramme étaient inférieurs pour tous les régimes BMSB. La digestibilité des éléments nutritifs était meilleure pour les oiseaux alimentés le contrôle,10.0 et 20.0% BMSM régimes à base. Il a été conclu que l'inclusion du BMSM dans l'alimentation des poussins finisseurs de poulet de gril jusqu'à 20 % n'a aucun effet délétère sur la performance de croissance et la digestibilité des oiseaux en matière d'éléments nutritifs.
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Akintunde, A. R., I. H. Saidu, M. A. Oguntoye, H. K. Mohammed, A. Mustapha, J. Jibrin, I. Haruna, et al. "Growth performance of starter broiler starter chicks fed soaked and fermented baobab (Adansonia digitata) seed meal based diets." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 69–75. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2892.

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Abstract:
Means of cutting down cost of feed resources in order to bridge the wide gap between demand and supply of animal protein in livestock production is a great concern in the poultry industry. This study was conducted to investigate the effect of feeding diets containing soaked and fermented Baobab seed meal (BSM) on the growth performance of broiler starter chicks. A total of 150, one-day old chicks were randomly distributed into five treatment groups. Treatments were replicated three times with 10 chicks per replicate in a completely randomized design (CRD). The dietary groups were designated as T1 for control (0 % BSM), T2 (7.5 % SBSM), T3 (15.0% SBSM), T4 (22.5% FBSM) and T5 (30 % FBSM). Parameters monitored include final weight, weight gain, feed intake, feed conversion ratio, feed cost per kg gain (N) and mortality (%) The experiment lasted for 4 weeks. The results showed that the dietary treatments had significant (P<0.05) effect on all the parameters measured. Final weight and total weight gain were similar and significantly (P<0.05) higher in birds fed diets T2 and T4 when compared to other dietary treatments. However, birds in T5 group had the least significant (P<0.05) values 366.67 and 217.34 g/bird respectively. Daily weight gain (7.76 g/bird/day), total and daily feed intake (873.33 g and 31.19 g/bird/day) of birds followed similar trend and were significantly (P<0.05) lower in T5 group compared to other treatments. Feed conversion ratio of birds fed diet T5 had significantly (P<0.05) higher value (4.29) when compared to those in other treatment groups. Feed cost per kg gain (N) was significantly (P<0.05) lower and similar in birds fed T2, T3 and T4 when compared to values obtained in the control group (N253.27) and T5 (N 327.52). Mortality (%) only occurred in birds fed T5. It was therefore concluded that inclusion of 22.5% fermented baobab seed meal in broiler diets improved performance and had no negative effect on the health status of birds. Des moyens de réduire le coût des ressources alimentaires afin de combler le defi posé à cause de la demande et l'approvisionnement en protéines animales dans la production animale est une grande préoccupation dans l'industrie avicole. Cette étude a été menée pour étudier l'effet des regimes alimentaires contenant de la farine de graines de baobab trempée et fermentée (le 'BSM') sur les performances de croissance des poussins de départ. Un total de 150 poussins âgés d'un jour ont été répartis au hasard en cinq groupes de traitement. Les traitements ont été répliqués trois fois avec 10 poussins par réplique dans une conception complètement randomisée (le 'CRD'). Les groupes diététiques ont été désignés comme T1 pour le contrôle (0% BSM), T2 (7,5% SBSM), T3 (15,0% SBSM), T4 (22,5% FBSM) et T5 (30% FBSM). Les paramètres surveillés comprennent le poids final, le gain de poids, la prise alimentaire, le taux de conversion alimentaire, le coût de l'alimentation par kg de gain (N) et la mortalité (%). L'expérience a duré 4 semaines. Les résultats ont montré que les traitements diététiques avaient un effet significatif (P <0,05) sur tous les paramètres mesurés. Le poids final et le gain de poids total étaient similaires et significativement (P<0,05) plus élevés chez les oiseaux nourris avec les régimes T2 et T4 par rapport aux autres traitements diététiques. Cependant, les oiseaux du groupe T5 avaient les valeurs les moins significatives (P <0,05) 366,67 et 217,34 g / oiseau respectivement. Le gain de poids quotidien (7,76 g / oiseau / jour), l'apport alimentaire total et quotidien (873,33 g et 31,19 g / oiseau / jour) des oiseaux ont suivi une tendance similaire et étaient significativement (P<0,05) inférieurs dans le groupe T5 par rapport aux autres traitements. Le rapport de conversion alimentaire des oiseaux nourris au régime alimentaire T5 avait une valeur significativement plus élevée (P <0,05) (4,29) par rapport à ceux des autres groupes de traitement. Le coût de l'alimentation par kg de gain (N) était significativement (P <0,05) plus faible et similaire chez les oiseaux nourris T2, T3 et T4 par rapport aux valeurs obtenues dans le groupe témoin (N253,27) et T5 (N 327,52). La mortalité (%) n'est survenue que chez les oiseaux nourris au T5. Il a donc été conclu que l'inclusion de farine de graines de baobab fermentée à 22,5% dans les régimes alimentaires des poulets de chair améliorait les performances et n'avait aucun effet négatif sur l'état de santé des oiseaux.
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M F, Kampemba, Bilolwa B P, Ntemunyi N C, and Mwangomb K D. "Caractérisation de la reproduction des cobayes locaux (Cavia porcellus L.) élevés à Kipushi et Lubumbashi (RDC)." Journal of Animal & Plant Sciences 43.2 (February 29, 2020): 7415–27. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v43-2.2.

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Abstract:
L’objectif de ce travail était d’étudier les caractéristiques de reproduction et de croissance des cobayes locaux. Soixante- six (66) cobayes ont été répartis en 2 lots (Lubumbashi et Kipushi) de 30 femelles subdivisées par lot de dix(10) élevés dans une cage de 1 m2 et 6 mâles avec un sex-ratio de 1 mâle contre 10 femelles et les saillies naturelles. Les résultats obtenus ont montré que le taux fertilité était élevé pour les femelles de Kipushi (86,67%) par rapport à celui enregistré à Lubumbashi (80,00%). Et le poids des femelles à la mise-bas et au sevrage n’était pas influencé par leur origine. Au niveau de la portée à la naissance ; Lubumbashi a présenté un nombre élevé (58%) que Kipushi (53%) pour des nés vivant. Par conséquent, le poids moyen individuel à la naissance (70,4g) le poids moyen individuel au sevrage (167,4g) le poids moyen par portée à la naissance 71,3g et au sevrage 168,03g étaient supérieures pour les animaux de Kipushi (p˂0,05). Alors que la portée au sevrage, le nombre de petits par sevrage était semblable entre sites (P˃ 0,05). En plus, la productivité numérique et pondérale était élevée pour les femelles de Kipushi (1,57) et faible pour celles de Lubumbashi (1,17). L’évolution du poids des cobayes variaient en fonction du site. Ces résultats sur les paramètres de reproduction dévoilent l’existence d’une grande variabilité entre ces deux populations locales, ce qui crée une occasion pour l’amélioration génétique des cobayes locaux. Characterization of the reproduction of local guinea pigs (Cavia porcellus L.) raised in Kipushi and Lubumbashi (DRC) ABSTRACT The objective of this work was to study the reproductive and growth characteristics of local guinea pigs. Sixty-six (66) guinea pigs were divided into 2 lots (Lubumbashi and Kipushi) of 30 females subdivided by lot of ten (10) reared in a 1 m2 cage and 6 males with a sex ratio of 1 male versus 10 females and natural projections. The results obtained showed that the fertility rate was high for Kipushi females (86.67%) compared to that recorded in Lubumbashi (80.00%). Moreover, the weight of the females at birth and at weaning was not influenced by their origin. At the level of the litter at birth, Lubumbashi presented a higher number (58%) than Kipushi (53%) for born babies. Therefore, the average individual weight at birth (70.4g) the average individual weight at weaning (167.4g) the average weight per litter at birth 71.3g and at weaning 168.03g were higher for the Kipushi animals (p˂0,05). While the litter at weaning, the number of pups per weaning was similar between sites (P˃ 0.05). In addition, numerical and weight productivity was high for Kipushi females (1.57) and low for Lubumbashi females (1.17). The evolution of the weight of the guinea pigs varied according to the site. These results on reproductive parameters reveal the existence of great variability between these two local populations, which creates an opportunity for the genetic improvement of local guinea pigs.
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Onunkwo, D. N., G. Daniel-Igwe, V. Odoemelam, C. A. Agida, and B. N. Ezenyilimba. "Growth performance and feed cost benefit of broiler chickens fed Acha grain-based diet supplemented with different plant protein sources." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 6 (February 28, 2021): 113–19. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i6.2916.

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Abstract:
Conventional energy sources for poultry feed are scarce, expensive and highly competed for by man and industry in Nigeria which has resulted to subsequent high cost of feed and at times, poor quality of feed sold to farmers. Therefore, this study was carried out to evaluate the growth performance and feed cost benefit of broiler chickens fed various plant protein sources in acha grain based diet. A total of 120, one day-old Abor acre broiler chicks were procured and assigned in a Completely Randomized Design to four dietary treatments of three replicates and ten chicks per replicate. The four diets comprise soybean meal (full fat), soybean cake, groundnut cake and cashew nut meal at 28% inclusion level each in an acha based diet. Data on growth parameters (Daily feed intake, Final Weight Gain, Total Weight Gain, Feed-to-gain ratio and mortality) were collected daily and weekly. The results showed that the birds fed diet 3 having soyabean meal as the main plant protein source with 2700 Kcal/kg ME gave the best growth performance. It is also important to note that, the growth performance of birds fed diet 4 which had 28% cashew nut (full fat) had the poorest feed-togain ratio. The findings from this study further showed that using cashew nut (T4) as plant protein source in poultry (broiler chicken) ration is rather too expensive and production of cashew nut may have to increase so as to bring down the cost of production of broiler chicken. There was significant difference (P<0.05) in all the variables of feed cost benefit analysis. It is concluded that soyabean, whether used as meal/cake or full-fat confirmed its superiority over groundnut cake and cashew nut meal in this study. It is therefore recommended that farmers or poultry feed producers should use acha based diet with either soyabean meal or full-fat soyabean Les sources d'énergie conventionnelles pour l'alimentation de la volaille sont rares, coûteuses et très concurrencées par l'homme et l'industrie au Nigéria, ce qui a résulté en un coût élevé des aliments et parfois, une mauvaise qualité des aliments vendus aux agriculteurs. Par conséquent, cette étude a été réalisée pour évaluer les performances de croissance et les avantages en termes de coûts d'alimentation des poulets de chair nourris avec diverses sources de protéines végétales dans un régime à base de céréales acha. Un total de 120 poussins de chair Abor acre d'un jour ont été achetés et assignés dans une conception complètement aléatoire à quatre traitements diététiques de trois répétitions et dix poussins par répétition. Les quatre régimes comprennent la farine de soja (pleine matière grasse), le tourteau de soja, le tourteau d'arachide et la farine de noix de cajou à un taux d'inclusion de 28% chacun dans un régime alimentaire classique. Les données sur les paramètres de croissance (ingestion journalière, gain de poids final, gain de poids total, rapport alimentation / gain et mortalité) ont été collectées quotidiennement et hebdomadairement. Les résultats ont montré que les oiseaux nourris avec le régime 3 contenant de la farine de soja comme principale source de protéines végétales avec 2700 Kcal / kg ME ont donné les meilleures performances de croissance. Il est également important de noter que les performances de croissance des oiseaux nourris avec un régime alimentaire 4 contenant 28% de noix de cajou (gras) présentaient le rapport alimentation / gain le plus faible. Les résultats de cette étude ont en outre montré que l'utilisation de la noix de cajou (T4) comme source de protéines végétales dans la ration de volaille (poulet à griller) est plutôt trop coûteuse et que la production de noix de cajou peut devoir augmenter afin de réduire le coût de production du poulet à griller. . Il y avait une différence significative (P <0,05) dans toutes les variables de l'analyse coûts-avantages des aliments. Il est conclu que le soja, qu'il soit utilisé comme farine / tourteau ou gras entier, a confirmé sa supériorité sur le tourteau d'arachide et la farine de noix de cajou dans cette étude. Il est donc recommandé que les agriculteurs ou les producteurs d'aliments pour volaille utilisent un régime à base d'acha avec du tourteau de soja ou du soja entier.
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Asaniyan, E. K., and V. O. Akinduro. "Impact of stocking density on the rearing environment and growth performance of broiler chicken." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 6 (February 28, 2021): 65–81. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i6.2875.

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Abstract:
The consequence of high stocking density in commercial production of broiler chickens under the changing climate could predispose the chickens to adverse conditions. Therefore, this study was conducted to investigate the influence of stocking density on the rearing environment and performance of broiler chicken. Ninety (90) one day-old chicks of Arbor acre breed were used as experimental units in the trial that lasted eight (8) weeks. The bird were randomly assigned to three treatments of stocking densities 5, 10 and 15 birds/m2 with three replicates per treatment. The birds were raised in deep litter system bedded with woodshaving at 1 m2 per replicate. They were fed ad libitum with commercial broiler diets with drinking water supplied without restrictions. The meteorological data (Temperature and Relative Humidity) within the pen were obtained using the Maxims thermocron i-button Temperature and Humidity sensors and a stand-alone automated weather station was deployed outside the pen house which measured Temperature and Relative humidity parameters within the premises (Figure 1c), which were programmed to measure at 10 minutes sampling interval. Data collected were on daily ambient temperature and relative humidity, feed intake, water intake, weight gain and computed feed conversion ratio. The temperature of the broiler pens was found inversely related to its relative humidity across the treatments with relative fluctuations as the birds grow. Temperature within the pens (ambient temperature) increased with the stocking densities; stocking density 15 birds/m2 (25.94±0.125oC -31.79±0.360oC) being the hottest while 5 birds/m2 (25.47±0.136oC - 31.43±0.353oC ) was the least. Birds at stocking density of 5 birds/m2 (90.00g/bird/week – 2197.78g/bird/week) performed better in terms of growth and followed by those of 10 birds/m2 (95.00g/bird/week – 2018.52g/bird/week). Stocking densities of 15 birds/m2 (84.19g/bird/week – 1907.44g/bird/week) recorded the lowest weight gain. The combine influence of weather parameters (temperature and relative humidity) in bringing about growth of the birds diminishes as the stocking density increases. There was virtually no significant influence of the stocking densities on weekly mean temperature and relative humidity in the broiler chicken pens throughout the period of the study. Therefore, for eight weeks rearing period under any of the stocking density levels, fatality of weather modification could be prevented within the rearing environment through provision of adequate ventilation. La conséquence de la forte densité d'élevage dans la production commerciale de poulets de chair dans le climat changeant pourrait prédisposer les poulets à des conditions défavorables. Par conséquent, cette étude a été menée pour étudier l'influence de la densité d'élevage sur l'environnement d'élevage et les performances des poulets de chair. Quatrevingt-dix (90) poussins d'un jour de race 'Arbor acre' ont été utilisés comme unités expérimentales dans l'essai qui a duré huit (8) semaines. Les oiseaux ont été assignés auhasard à trois traitements de densités de peuplement de 5, 10 et 15 oiseaux / m2 avec trois répétitions par traitement. Les oiseaux ont été élevés dans un système de litière profonde recouvert d'un rasage de bois à 1 m2 par répétition. Ils ont été nourris ad libitum avec des régimes commerciaux pour poulets de chair avec de l'eau potable fournie sans restrictions. Les données météorologiques (température et humidité relative) à l'intérieur du stylo ont été obtenues à l'aide des capteurs de température et d'humidité 'Maximsthermocron i-button' et une station météorologique automatisée autonome a été déployée à l'extérieur de l'enclos qui mesurait les paramètres de température et d'humidité relative dans les locaux (Figure 1c), et ils ont été programmés pour mesurer à 10 minutes d'intervalle d'échantillonnage. Les données recueillies concernaient la température ambiante quotidienne et l'humidité relative, la consommation alimentaire, la consommation d'eau, le gain de poids et le taux de conversion alimentaire calculé. La température des enclos a été trouvée inversement proportionnelle à son humidité relative pendant les traitements avec des fluctuations relatives à mesure que les oiseaux grandissent. La température à l'intérieur des enclos (température ambiante) augmentait avec les densités de stockage ; densité de peuplement 15 oiseaux / m2 (25,94 ± 0,125 ° C -31,79 ± 0,360 ° C) étant le plus chaud tandis que 5 oiseaux / m2 (25,47 ± 0,136 ° C -31,43 ± 0,353 ° C) était le moins. Les oiseaux ayant une densité de peuplement de 5 oiseaux / m2 (90,00 g / oiseau / semaine - 2197,78 g / oiseau / semaine) ont obtenu de meilleurs résultats en termes de croissance et suivis par ceux de 10 oiseaux / m2 (95,00 g / oiseau / semaine - 2018,52 g / oiseau / semaine). Des densités de peuplement de 15 oiseaux / m2 (84,19 g / oiseau / semaine - 1907,44 g / oiseau / semaine) ont enregistré le gain de poids le plus faible. L'influence combinée des paramètres météorologiques (température et humidité relative) dans la croissance des oiseaux diminue au fur et à mesure que la densité d'élevage augmente. Il n'y avait pratiquement aucune influence significative des densités de peuplement sur la température moyenne hebdomadaire et l'humidité relative dans les enclos de poulets de chair pendant toute la période de l'étude. Par conséquent, pendant une période d'élevage de huit semaines, quel que soit le niveau de densité de peuplement, la mortalité due aux modifications climatiques pourrait être évitée dans l'environnement d'élevage grâce à une ventilation adéquate.
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SAUVANT, D., and J. L. PEYRAUD. "Calculs de ration et évaluation du risque d’acidose." INRAE Productions Animales 23, no. 4 (September 14, 2010): 333–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.4.3312.

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Abstract:
L’acidose du rumen soulève des problèmes croissants dans les élevages intensifs. Il est donc souhaitable de pouvoir disposer d’indicateurs simple d’emploi et permettant d’évaluer le risque acidogène des rations dès le moment de leur calcul. Pour établir ces critères, différentes bases de données rassemblées sur des bovins ont été interprétées. Ces interprétations statistiques, par méta-analyses, ont permis de dégager des prédictions du pH moyen du rumen à partir de différentes mesures. Certains critères, pertinents mais difficile à mesurer, relèvent plutôt des unités de recherches (indice de mastication, digestion ruminale de l’amidon). D’autres paramètres peuvent être évalués sur le terrain à partir d’une caractérisation de la ration distribuée&nbsp;; c’est par exemple le cas de la proportion d’aliments concentrés, ou mieux, de la teneur en MS dégradable de la ration ou du NDF issus de fourrages longs au sein de la Matière Sèche (MS) de la ration qui sont aujourd’hui des critères facilement calculables à partir des tables de la valeur des aliments. La distinction entre les acidoses ruminale et métabolique a aussi été considérée dans ce travail. Pour chaque critère la valeur du pH de 6,2 a été prise comme seuil en dessous duquel le risque d’acidose du rumen était à considérer. A partir des 9 critères retenus, une grille d’évaluation a été proposée en distinguant de façon simple, pour chaque critère, les seuils et les situations à risque. Cette grille peut être facilement ajoutée aux logiciels de calcul des régimes de manière à pouvoir évaluer objectivement le risque d’acidose d’une ration, compte tenu des critères connus.
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Agbede, J. O., O. D. Aboyewa, A. O. Ayeni, and O. D. Oloruntola. "Evaluation of simple and adaptable feed ingredient mix for broiler chickens Production." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020): 120–26. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1266.

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Abstract:
A 42-day feeding trial was conducted to evaluate the simple and adaptable feed ingredient mix for broiler chickens' production. The four formulated diets were used as a straight diet with the fish meal (FM), groundnut cake (GNC) and soya bean meal (SBM) having the varying ratio of inclusion as in diet 1 (1:4.5:2.5), diet 2 (1:3.5:3.5), diet 3 (1:2.5:4.5) and diet 4 (1:3:4), respectively. These were compared with two primary commercial feeds which were coded as AF and TF and used for starter and finisher phases. Three hundred, one-day old Marshall breed chicks were randomly assigned to six dietary treatments (50 birds/treatment; 5 replicate/treatment) in a Completely Randomized Design. Parameters such as feed intake, weight gain, carcass traits, and relative weight of the internal organs and economic analysis of the chicks' production were measured. The daily weight gain of the broiler chickens fed diet 3 was significantly (P<0.05) higher than those fed other diets, while the least daily feed intake was recorded in chicks fed diet 1. The broiler chickens fed with diet 5, a commercial diet consumed higher (P<0.05) quantity of feed, compared to those fed rest experimental diets; while the bird fed diet 1 recorded the least (P<0.05) quantity of feed consumed. The broiler chickens fed diet 3 had better (P<0.05) feed conversion to weight, when compared to those fed the rest diets. All the carcass traits and relative organs measured varied significantly (P<0.05) with diets except the dressed weight. The test diets 3 and 4 had better cost/weight gain (N239 and N228.9) compared to the two commercial diets 5 (N269.4) and 6 (N296.8). It is therefore concluded that the simple mix ratio with FM:GNC: SBM ratios of 1:2.5:4.5 and 1:3:4 could be measured using local measuring items such as congos, milk tin, and tablespoon by peri-urban and backyard poultry farmers. Un essai d'alimentation de 42 jours a été mené pour évaluer le mélange d'ingrédients alimentaires simple et adaptable pour la production de poulets de chair. Les quatre régimes formulés ont été utilisés comme un simple diététique avec la farine de poisson (le 'FM'), le tourteau d'arachide (le 'GNC') et la farine de soja (le 'SBM') ayant le rapport variable d'inclusion comme 1 : 4.5 : 2.5), régime2 (1: 3.5: 3.5), régime3 (1: 2.5: 4.5) et régime4 (1: 3: 4), respectivement.Ceux-ci ont été comparés aux aliments commerciaux primaires qui ont été codés comme AF et TF et utilisés pour les phases de commencement et de terminaison. Trois cents poussins de race Marshall, âgés d'un jour a été assignés au hasard à six traitements diététiques (50 oiseaux / traitement ; 5 répétitions / traitement) dans une conception complètement aléatoire. Des paramètres tels que la consommation alimentaire, le gain de poids, les caractéristiques de la carcasse et le poids relatif des organes internes et économiques l'analyse de la production des poussins a été mesurée. Le gain de poids quotidien des poulets de chair nourris avec le régime 3 était significativement (P <0.05) plus élevé que ceux nourris avec d'autres régimes, tandis que la moindre prise alimentaire quotidienne a été enregistrée chez les poussins nourris au régime 1. Les poulets de chair nourris avec le régime 5, un régime commercial consommé une quantité d'aliments plus élevée (P <0.05), par rapport aux régimes expérimentaux de repos nourris; tandis que le régime alimentaire pour oiseaux 1 enregistrait la moindre (P <0.05) quantité d'aliments consommée. Les poulets de chair nourris avec le régime 3 avaient une meilleure conversion alimentaire (P <0.05) en poids, par rapport à ceux nourris avec le reste. Tous les traits de carcasse et organes relatifs mesurés variaient significativement (P <0.05) avec les régimes sauf le poids habillé. Les régimes de test 3 et 4 avaient un meilleur gain de coût / poids (₦239 et ₦228.9) par rapport aux deux régimes commerciaux 5 (₦269.4) et 6 (₦296.8). Il a donc conclu que le rapport de mélange simplifié avec FM :GNC : SB 1 :3 : 4 pourrait être mesuré en utilisant des éléments de mesure locaux, comme les 'congos', le 'milkcup' et les cuillères à soupe par les éleveurs de volailles en milieu urbain et de basse-cour.
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Rémond, B., J. Rouel, and A. Ollier. "Effet de l'addition de glycérol à la ration des vaches laitières sur leur production et sur quelques paramètres de leur métabolisme." Annales de Zootechnie 40, no. 2 (1991): 59–66. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19910201.

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RÉMOND, B., and Carole JACQUIER. "Effet de l'addition de sorbitol à la ration des vaches laitières en début de lactation sur leurs performances et sur quelques paramètres sanguins." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 1B (1986): 365–66. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860259.

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Ewuola, E. O., and P. C. Emerue. "Mitigating dietary aflatoxins in Wistar rat using selected phyto-antioxidant sources." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 2 (March 2, 2021): 38–52. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i2.2931.

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Abstract:
This study was conducted to investigate the mitigation of dietary aflatoxin in Wistar rats using extract from selected phyto-antioxidant sources. A total of one hundred and twenty Wistar rats weighing between 180-190g (80 females and 40 males) at six weeks old were allotted to eight treatments with 15 rats per treatment (10 females and 5 males), in a completely randomized design. The treatments were Treatment 1 (Normal diet + no extract and no aflatoxin), Treatment 2 (Aflatoxin contaminated diet + no extract), Treatment 3 (Aflatoxin contaminated diet + 100mg/kg BW Carrot extract), Treatment 4 (Aflatoxin contaminated diet + 200mg/kg BW Carrot extract), Treatment 5 (Aflatoxin contaminated diet + 100mg/kg BW Ginger extract), Treatment 6 (Aflatoxin contaminated diet + 200mg/kg BW Ginger extract), Treatment 7 (Aflatoxin contaminated diet +100mg/kg BW Garlic extract), Treatment 8 (Aflatoxin contaminated diet+ 200mg/kg BW Garlic extract). Body weight gain and feed conversion ratio of Wister rats (T8) administered 200 mg/kg BW was significant (p<0.05), with higher weight gain in male (206.00g) and female (199.70g). However, eviscerated and organs weights of both male and female Wistar rats was similar (p>0.05) across the treatments. Haematological and serum biochemical indices among the treatments was not significant (p>0.05), except for the globulin in male Wistar rats that differed significantly (p<0.05) with the value (5.00g/dL) being higher in T7. In conclusion, 200mg/kg body weight of garlic extract improved growth rate of Wistar rats, without any deleterious effect on haematological and serum biochemical parameters. Therefore, 200mg/kg body weight garlic extract mitigated the adverse effect of aflatoxin contaminated feed in Wistar rats. Cette étude a été menée pour étudier l'atténuation de l'aflatoxine diététique chez les rats de 'Wistar' tout en employant l'extrait des sources phyto-antioxydantes choisies. Un total de cent vingt rats Wistar pesant entre 180 et 190 g (80 femelles et 40 mâles) à l'âge de six semaines ont été attribués à huit traitements avec 15 rats par traitement (10 femelles et 5 mâles), dans une conception complètement randomisée. Les traitements étaient le traitement 1 (régime normal + aucun extrait et aucune aflatoxine), traitement 2 (régime contaminé par l'aflatoxine + aucun extrait), traitement 3 (régime contaminé par l'aflatoxine + extrait de carotte BW de 100mg/kg), traitement 4 (régime contaminé par l'aflatoxine + extrait de carotte BW de 200mg/kg), traitement 5 (Aflatox alimentation contaminée par l'aflatoxine + extrait de gingembre BW 100mg/kg), Traitement 6 (régime contaminé à l'aflatoxine + extrait de gingembre BW 200mg/kg), Traitement 7 (régime contaminé par l'aflatoxine +100mg/kg extrait d'ail BW), Traitement 8 (régime contaminé à l'aflatoxine+ 200mg/kg extrait d'ail BW). Le gain de poids corporel et le rapport de conversion des aliments pour animaux des rats wisters (T8) administrés 200 mg/kg BW étaient significatifs (p<0.05), avec un gain de poids plus élevé chez les rats Wistar mâles (206.00 g) et femelles (199.70 g). Cependant, les poids éviscérés et organes des rats Wistar mâles et femelles étaient similaires (p>0.05) à travers les traitements. Les indices biochimiques hématologiques et sériques parmi les traitements n'étaient pas significatifs (p>0.05), à l'exception de la globuline chez les rats wistar mâles qui différait considérablement (p<0.05) avec la valeur (5.00 g/dL) étant plus élevée dans T7. En conclusion, le poids corporel de 200mg/kg de l'extrait d'ail a amélioré le taux de croissance des rats de Wistar, sans n'importe quel effet délétère sur les paramètres biochimiques hématologiques et sériques. Par conséquent, l'extrait d'ail de poids corporel de 200mg/kg a atténué l'effet défavorable de l'alimentation contaminée d'aflatoxin chez les rats de Wistar.
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Munza, B. M., M. R. Hassan, R. J. Tanko, S. M. Yashim, and D. Y. Salihu. "Effect of feeding regime on growth performance of growing Yankasa rams fed basal diet of sorghum hay or silage supplemented with concentrate." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 3 (March 6, 2021): 162–72. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2963.

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Abstract:
Smallholder farmers in sub-Saharan Africa offer their stocks little or no supplementary feed but depend mostly on native pastures which are in low nutrient quality. The study was aimed at evaluating the effect of feeding regime on growth performance, nutrient metabolism, rumen indices and economics of production of Yankasa rams fed basal diets of grain sorghum hay or silage supplemented with concentrate. Sixteen growing Yankasa rams weighed 17.0±0.2 kg were randomly assigned to four feeding regime treatment: T1 = Sorghum hay + concentrate daily, T2 = Sorghum silage + concentrate daily, T3 = Sorghum silage + concentrate after 1-day and T4 = Sorghum silage + concentrate after 2-days. The parameters measured were hay intake, concentrate intake, total feed intake, daily feed intake, initial weight, final weight, weight gain, daily weight gain, feed conversion ratio (FCR), apparent nutrient digestibility, nitrogen balance and costs-benefit. The result showed that hay intake (25.28 – 29.23 kg), concentrate intake (6.19 – 19.41 kg), total feed intake (35.41 – 48.47 kg), daily weight gain (0.04 – 0.05 kg) and weight gain (2.85 – 3.35 kg) were significantly (P<0.05) affected by the feeding regime with rams fed silage + concentrate daily recording higher values. Better FCR was obtained in rams fed silage + concentrate after 2-days. Dry matter (79.22%), crude protein (85.59%), NDF (75.30%) and ADF (78.02%) digestibility coefficients were higher (P<0.05) for rams fed silage + concentrate after 1-day (every other day). The percentage of nitrogen absorbed and retained were higher (P<0.05) in rams fed silage + concentrate after 1-day (85.62 and 82.72%, respectively). The cost per kg gain of N1046.40 for rams fed hay + concentrate daily was significantly (P <0.05) lower than the cost per kg gain of other feeding regimes. It can be concluded that sorghum silage could be fed alongside concentrate daily for improved feed intake and weight gain, but for better cost-efficiency, it is recommended that farmers should feed hay and supplement concentrate daily to rams. Les petits exploitants agricoles d'Afrique subsaharienne offrent peu ou pas d'aliments supplémentaires à leurs stocks, mais dépendent principalement de pâturages indigènes de faible qualité nutritive. L'étude visait à évaluer l'effet du régime alimentaire sur la performance de croissance, le métabolisme des nutriments, les indices rumen et l'économie de la production de béliers Yankasa nourris à des régimes basaux de foin de sorgho de grain ou d'ensilage complétés par du concentré. Seize béliers Yankasa en croissance pesaient 17,0±0,2 kg ont été assignés au hasard à quatre traitements du régime alimentaire : T1 = foin de Sorgho + concentré tous les jours, T2 = ensilage de Sorgho + concentré tous les jours, T3 de Sorgho + concentré après 1 jour et T4 = ensilage de Sorgho + concentré après 2 jours. Les paramètres mesurés étaient l'apport en foin, l'apport en concentré, la consommation totale d'aliments pour animaux, l'apport quotidien en aliments pour animaux, le poids initial, le poids final, le gain de poids quotidien, le rapport de conversion des aliments pour animaux (FCR), la digestibilité apparente des éléments nutritifs, l'équilibre azoté et les coûts-avantages. Le résultat a montré que l'apport en foin (25.28 à 29.23 kg), l'apport en concentré (6.19 à 19.41 kg), la consommation totale d'aliments (35.41 à 48.47 kg), le gain de poids quotidien (0,04 à 0,05 kg) et le gain de poids (2.85 à 3.35 kg) ont été considérablement (P<0.05) affectés par le régime d'alimentation avec des béliers nourris à l'ensilage + concentré enregistrant quotidiennement des valeurs plus élevées. Un meilleur FCR a été obtenu dans l'ensilage alimenté par bélier + concentré après 2 jours. Matière sèche (79.22 %), protéines brutes (85.59 %), NDF (75.30 %) et ADF (78.02%) les coefficients de digestibilité étaient plus élevés (P<0.05) pour les béliers nourris à l'ensilage après 1 jour (tous les deux jours). Le pourcentage d'azote absorbé et retenu était plus élevé (P<0.05) chez les béliers nourris à l'ensilage + concentré après 1 jour (85.62 et 82.72 %, respectivement). Le gain par kg de N1046.40 pour les béliers nourris quotidiennement au foin + concentré était significativement (P <0.05) inférieur au coût par kg de gain des autres régimes alimentaires. On peut conclure que l'ensilage de sorgho pourrait être alimenté aux côtés du concentré quotidien pour améliorer l'apport alimentaire et le gain de poids, mais pour une meilleure rentabilité, il est recommandé que les agriculteurs nourrissent le foin et complètent le concentré quotidiennement aux béliers
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PHOCAS, F., J. AGABRIEL, M. DUPONT-NIVET, J. GEURDEN, F. MÉDALE, S. MIGNON-GRASTEAU, H. GILBERT, and J. Y. DOURMAD. "Le phénotypage de l’efficacité alimentaire et de ses composantes, une nécessité pour accroître l’efficience des productions animales." INRAE Productions Animales 27, no. 3 (August 28, 2014): 235–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.3.3070.

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Abstract:
Dans un contexte de demande croissante en protéines animales, l’élevage de précision et la sélection animale doivent viser à accroître la compétitivité des systèmes de production et à réduire leur impact environnemental. Les animaux doivent être plus efficaces pour transformer leur ration (réduire l’ingéré tout en maintenant une production stable), en acceptant des ressources alimentaires variées (protéines ou fibres) et en minimisant leurs rejets (totaux ou leurs composantes N et P, GES). Toutefois, l’efficacité alimentaire est un phénotype complexe qui doit être phénotypé finement pour comprendre les processus biologiques sous-jacents avant d’identifier les leviers d’action pour l’améliorer (efficacité digestive vs métabolique ; efficacité énergétique vs protéique). Ce phénotypage doit être réalisé en conditions variées tant sur le plan du génotype, du niveau alimentaire que de la composition de la ration (teneur en fibres, en acides aminés). Il s’agit aussi d’envisager une approche prédictive de l’ingéré et de l’efficacité alimentaire basée sur des paramètres peu coûteux et faciles à mesurer (croissance, bio-marqueurs…) dans le cadre d’un élevage de précision ou de programmes de sélection génétique, car le phénotypage à large échelle de l’ingéré reste coûteux et parfois difficile à mettre en oeuvre. Pour évaluer l’efficience globale des systèmes de productions animales, il s’agit de considérer les réponses des animaux pour des génotypes et des régimes alimentaires contrastés en termes d’efficacité alimentaire et de rejets en quantité et en qualité (GES, N, P), mais aussi de robustesse des animaux (comportement alimentaire, activité générale, santé).
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Otu, B. O., A. A. Banjo, S. P. Kolo, A. M. Balogun, and A. I. Dabban. "Growth performance and nutrient digestibility of broiler chickens fed diets containing varying inclusion levels of dried watermelon rind at the starter phase." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 3 (March 6, 2021): 134–41. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2955.

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Abstract:
Watermelon rind is one of the several unwanted by-products generated by restaurants, fruit juice producers and food industries in Nigeria that can be gotten rid of by using it as an energy source in broiler production. The growth performance and apparent nutrient digestibility of broilers fed diets containing varying inclusion levels of dried watermelon rind (DWMR) in replacement for wheat offal as source of energy and fibre at starter phase was evaluated. The dried watermelon rind was prepared by sun-drying fresh watermelon for three days and oven-dried at 50 ºC for 2 hours. The birds were randomly allocated to five (5) treatments (T1 – T5), each treatment had three replicates with ten (10) birds per replicate. The birds were fed varied levels of DWMR at 0 %, 25 %, 50 %, 75 % and 100 % in replacement of wheat offal to obtain five diets. Feed and water were provided ad-libitum throughout the 28 days study duration. Body weight, Body weight gain, Feed intake, Feed conversion ratio and apparent nutrient digestibility were measured. The results obtained on the growth performance shows no significant (P>0.05) difference of the growth parameters across treatments. However, there was significant (P<0.05) difference in the digestibility of Crude fibre, Ether extract, Ash, Nitrogen free extract and Total digestible nutrient across treatments. There was no obvious variation in dry matter and crude protein digestibility. The result of the total digestible nutrient was significantly (P<0.05) higher in T2 (92.90 %) than the T1 (84.99 %) which was the control diet. The crude fibre digestibility recorded in T2 (63.48%) and T1 (61.09 %) is higher than T5 (43.00 %), the ether extract digestibility of T1 (96.42 %) is higher than the other groups with the lowest in T4 (95.25 %). There was depress ash digestibility in T5 (68.30 %), lower than the other groups with the highest in T1 (82.59 %). The study therefore concluded that farmers can replace wheat offal with 25 % watermelon rind in broiler starter diet without any deleterious effect in the growth performance and nutrient digestibility. La croûte de pastèque est l'un des nombreux sous-produits indésirables produits par les restaurants, les producteurs de jus de fruits et les industries alimentaires au Nigéria qui peuvent être débarrassés en l'utilisant comme source d'énergie dans la production de poulets à griller. La performance de croissance et la digestibilité apparente des éléments nutritifs des poulets de grillage nourris selon des régimes alimentaires contenant différents niveaux d'inclusion de la croûte de pastèque séchée (DWMR) en remplacement des aals de blé comme source d'énergie et de fibres à la phase de démarrage ont été évaluées. La croûte de pastèque séchée a été préparée par pastèque fraîche séchée pendant trois jours et séchée au four à 50ºC pendant 2 heures. Les oiseaux ont été attribués au hasard à cinq (5) traitements (T1 - T5), chaque traitement avait trois répliques avec dix (10) oiseaux par réplique. Les oiseaux ont été nourris à des niveaux variés de DWMR à 0 %, 25 %, 50 %, 75 % et 100 % en remplacement des aals de blé pour obtenir cinq régimes alimentaires. L'alimentation et l'eau ont été fournies ad-libitum tout au long de la durée de l'étude de 28 jours. Le poids corporel, le gain de poids corporel, l'apport alimentaire, le rapport de conversion des aliments pour animaux et la digestibilité apparente des nutriments ont été mesurés. Les résultats obtenus sur la performance de croissance ne montrent aucune différence significative (P>0.05) des paramètres de croissance entre les traitements. Cependant, il y avait une différence significative (P<0.05) dans la digestibilité des fibres brutes, extrait d'éther, cendres, extrait sans azote et nutriment digestible total entre les traitements. Il n'y avait aucune variation évidente dans la matière sèche et la digestibilité brute de protéine. Le résultat du nutriment digestible total a été significativement (P<0.05) plus élevé en T2 (92.90 %) que le T1 (84.99%) qui était le régime de contrôle. La digestibilité des fibres brutes enregistrée en T2 (63.48%) et T1 (61.09 %) est plus élevé que T5 (43.00 %), la digestibilité de l'extrait d'éther de T1 (96.42 %) est plus élevé que les autres groupes ayant le plus faible taux de T4 (95.25 %). Il y avait une digestibilité déprimante des cendres en T5 (68.30 %), inférieure à celle des autres groupes ayant le taux le plus élevé en T1 (82.59 %). L'étude a donc conclu que les agriculteurs peuvent remplacer les aals de blé par 25 % de croûte de pastèque dans le régime de démarrage des poulets à griller sans aucun effet délétère dans la performance de croissance et la digestibilité des nutriments.
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Andries, JI, BG Cottyn, S. De Keersmaecker, and FX Buysse. "Effets de l'addition d'iso-acides à la ration sur la fermentation ruminale, la dégradation in sacco de la matière sèche et la concentration de quelques paramètres sanguins chez la vache." Reproduction Nutrition Développement 30, Suppl. 2 (1990): 181s—182s. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19900821.

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Akourki, Adamou, Abdoul Rachidou Sodo Daka, Djibo Idrissa Sidikou, and Issa Chaïbou. "Effets du tourteau des graines de Balanites aegyptiaca sur la consommation alimentaire et les performances zootechniques des cabris roux de Maradi." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 13, 2020): 3355–63. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.30.

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Abstract:
L’extraction d’huile contenue dans les amandes de Balanites aegyptiaca est un procédé industriel agroalimentaire qui ne cesse de se développer en Afrique sahélien mais qui génère à la fois une importante quantité de sous-produit tourteau, résultant souvent un encombrement pour les industries. Dans le cadre de la valorisation dudit sous-produit, le présent travail visait à évaluer les effets de l’incorporation du tourteau de Balanites aegyptiaca dans la ration sur les performances zootechniques des cabris roux de Maradi. Il a porté sur 12 cabris de race rousse de Maradi, âgés en moyenne de 7,5±0,5 mois, répartis en deux lots de 6 cabris chacun : un lot expérimental comprenant les cabris recevant une ration complémentée en tourteau de Balanites aegyptiaca (E) et un lot témoin constitué des cabris (T) nourris à base de l’alimentation communément distribuée aux chèvres dans la région de Maradi. Les paramètres suivis étaient entre autres : la quantité d’aliments ingérés, le gain de poids et le rendement après abattage. Les moyennes des quantités d’aliments ingérés et les gains moyens quotidiens étaient respectivement de 384,10±44,31 g et 18,90±12,60 g pour le lot E, et de 349,61±89 g et de 10,74±11,99 g pour le lot T. Les p values correspondantes étaient de 0,000 et 0,001, respectivement pour la quantité d’aliment ingérée et le gain de poids. Quant aux rendements carcasse et peau, ils étaient respectivement, de 43,18±0,74% et 8,22±1,57% pour le lot E et de 36,36±4,42% et 7,07±1,09% pour le lot T sans différence significative entre les lots (p>0,05). Cette expérience montre que le tourteau des graines de Balanites aegyptiaca n’a pas permis d’améliorer les rendements des cabris, il peut toutefois être utilisé par les éleveurs sahéliens pour augmenter la qualité de la ration en association avec la paille naturelle distribuée régulièrement aux animaux pendant la période sèche. Par ailleurs, une étude portant sur différentes concentrations de tourteau de Balanites aegyptiaca permettra sans doute d’optimiser le taux dudit tourteau dans la ration alimentaire des petits ruminants.Mots clés : Cabris roux de Maradi, performances zootechniques, tourteau, Balanites aegyptiaca et aliment bétail.
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GILBERT, H., Y. BILLON, L. BROSSARD, J. FAURE, P. GATELLIER, F. GONDRET, E. LABUSSIÈRE, et al. "Sélection pour la consommation alimentaire moyenne journalière résiduelle chez le porc : impacts sur les caractères et défis pour la filière." INRA Productions Animales 30, no. 5 (June 29, 2018): 439–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.5.2274.

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Abstract:
L’amélioration de l’efficacité alimentaire est un enjeu majeur pour la compétitivité de la filière porcine. Elle est classiquement mesurée en élevage par l’indice de consommation, indicateur économique de l’efficacité d’utilisation des aliments pour la croissance. Un critère alternatif indépendant des performances des animaux, la Consommation Moyenne Journalière Résiduelle (CMJR), a été proposé dans les années 1960. Cet article synthétise les résultats obtenus à partir de la sélection divergente de deux lignées à l’INRA, une lignée à CMJR faible, animaux consommant moins que prédit pour leurs besoins de production et d’entretien, et donc plus efficaces, et une lignée à CMJR élevée, animaux consommant plus que prédit pour leurs besoins, moins efficaces. Ces recherches montrent qu’il est possible de sélectionner pour la CMJR chez le porc en croissance avec un impact limité sur les caractères de production et de reproduction femelle, permettant ainsi de diminuer les quantités d’aliments utilisées en élevage. La dégradation des paramètres de qualité technologique de la viande en réponse à l’amélioration génétique de l’efficacité alimentaire est un point de vigilance dans les stratégies de sélection, de même que la composition nutritionnelle de la ration alimentaire. Finalement, la capacité de réponse à des stress ou à des changements de conditions d’élevage ne semble pas affectée par la sélection, contrairement à ce qui est suggéré dans la littérature en réponse à la sélection pour une CMJR réduite. Les défis qui résultent de ces résultats pour poursuivre l’amélioration de ce caractère en production tout en répondant à l’évolution des contraintes de l’élevage sont discutés.
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Nwamo, A. C., D. O. Oshibanjo, N. M. Sati, P. E. Emenaa, J. J. Mbuka, R. L. NJam, E. Bature, et al. "Egg quality and sensory evaluation as affected by temperature and storage days of fertile and non-fertile eggs." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 3 (March 6, 2021): 23–32. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2961.

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Abstract:
Internal and external qualities of eggs deteriorate with time. This process of deterioration cannot be stopped but the rate at which it occurs can be reduced. The aim of this study is to evaluate the main effect of temperature and storage duration on the egg quality characteristics and sensory evaluation of fertile and non-fertile eggs. A total of 600 fertile and non-fertile eggs were obtained from Lohmann Brown hen, at 44 weeks of age. Roosters were removed from the hen that laid non-fertile eggs. Eggs collection started after 30 days of roaster withdrawal. Out of the 300 eggs in each of the storage methods, eggs at storage days 5, 10, 15 and 20, respectively were randomly picked for determination of egg quality characteristics and sensory evaluation in 2 x 2 Factorial arrangement in a completely randomized design. The storage methods were room temperature (ambient) and refrigeration (100C). External and internal quality characteristics of eggs were taken, and sensory evaluations was taken from both fertile and non-fertile eggs. Data were analysed using descriptive statistic and ANOVA at á0.05. There was significant difference (p<0.05) between fertile and non-fertile eggs external and internal characteristics. Both the fertile and non- fertile eggs weight under the refrigerator had the highest values while both the fertile and non-fertile eggs weight under the room temperature had the lower egg weight values. Significant difference (p>0.05) existed among all yolk parameters measured except yolk colour. Yolk weight, height and index were significantly higher in fertile egg stored in the refrigerator while fertile egg stored in the refrigerator has the lowest yolk weight and ratio. There was significant difference (p<0.05) that existed in albumen weight, albumen height, albumen ratio and albumen index for fertile and non-fertile. The albumen height was higher in fertile eggs stored at refrigerator temperature while non- fertile eggs stored at room temperature had the least height. Non-fertile eggs stored at room temperature and refrigerator temperature had the highest albumen length 108.88cm and 100.80 cm respectively with least length in fertile eggs stored at the refrigerator. The Haugh unit of fertile egg stored in refrigerator is significantly higher (p<0.05). There was no significant difference (p>0.05) that existed for odour, aroma, taste, texture and overall acceptability for all the treatments. The egg weight was significantly (p<0.05) higher at storage day 10, than all the storage days. The yolk weight for storage day 10 was significantly (p<0.05) higher than all the storage days. The yolk diameter for storage days 5, 10 and 15 were statistically similar (p>0.05). The yolk colour was significantly (p<0.05) higher on storage day 15 and lower on day 0. The albumen heights decreased significantly (p<0.05) as the days of storage increased. The albumen length at storage day 20 was significantly (p<0.05) higher than all the storage days. The Haugh unit decrease significantly (p<0.05) during the period of storage. In conclusion, fertile eggs can be stored in refrigerator for 10 days without adverse effect on egg qualities. Les qualités internes et externes des œufs se détériorent avec le temps. Ce processus de détérioration ne peut pas être arrêté, mais la vitesse à laquelle il se produit peut être réduite. L'objectif de cette étude est d'évaluer l'effet principal de la température et de la durée de stockage sur les caractéristiques de qualité des œufs et l'évaluation sensorielle des œufs fertiles et non fertiles. Au total, 600 œufs fertiles et non fertiles ont été obtenus auprès de la poule Lohmann Brown, à l'âge de 44 semaines. Les coqs ont été retirés de la poule qui pondait des œufs non fertiles. La collecte des œufs a commencé après 30 jours de retrait de la rôtissoire. Sur les 300 oeufs de chacune des méthodes d'entreposage, les œufs aux jours d'entreposage 5, 10, 15 et 20, respectivement, ont été choisis au hasard pour déterminer les caractéristiques de qualité des œufs et l'évaluation sensorielle dans un arrangement factorial 2 x 2 dans une conception complètement randomisée. Les méthodes de stockage étaient la température ambiante (ambiante) et la réfrigération (100C). Des caractéristiques externes et internes de qualité des oeufs ont été prises, et des évaluations sensorielles ont été prises des oeufs fertiles et non fertiles. Les données ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives et d'ANOVA à á0.05. Il y avait une différence significative (p<0.05) entre les œufs fertiles et non fertiles caractéristiques externes et internes. Le poids des œufs fertiles et non fertiles sous le réfrigérateur avait les valeurs les plus élevées, tandis que le poids des œufs fertiles et non fertiles sous la température ambiante avait les valeurs inférieures du poids des œufs. La différence significative (p>0.05) existait entre tous les paramètres jaunes mesurés à l'exception de la couleur du jaune. Le poids, la taille et l'indice du jaune étaient significativement plus élevés dans les œufs fertiles conservés au réfrigérateur, tandis que les œufs fertiles conservés au réfrigérateur avaient le poids et le rapport jaunes les plus bas. Il y avait une différence significative (p<0.05) qui existait dans le poids de l'albumen, hauteur de l'albumen, rapport albumen et indice albumen pour fertile et non fertile. La hauteur de l'albumen était plus élevée dans les œufs fertiles stockés à la température du réfrigérateur, tandis que les œufs non fertiles stockés à température ambiante avaient le moins de hauteur. Les œufs non fertiles stockés à température ambiante et la température du réfrigérateur avaient la longueur d'albumen la plus élevée 108.88 cm et 100.80 cm respectivement avec moins de longueur dans les œufs fertiles conservés au réfrigérateur. L'unité Haugh d'œufs fertiles entreposés au réfrigérateur est significativement plus élevée (p<0.05). Il n'y avait aucune différence significative (p>0.05) qui existait pour l'odeur, l'arôme, le goût, la texture et l'acceptabilité globale pour tous les traitements. Le poids des œufs était significativement (p<0.05) plus élevé au jour 10 de stockage que tous les jours d'entreposage. Le poids du jaune pour le jour 10 de stockage était significativement (p<0.05) plus élevé que tous les jours d'entreposage. Le diamètre du jaune pour les jours d'entreposage 5, 10 et 15 était statistiquement semblable (p>0.05). La couleur jaune était significativement (p<0.05) plus élevée le jour de stockage 15 et inférieure le jour 0. Les hauteurs des albums ont considérablement diminué (p<0.05) à mesure que les jours de stockage augmentaient. La longueur de l'album au jour de stockage 20 était significativement (p<0,05) plus élevée que tous les jours de stockage. L'unité Haugh diminue considérablement (p<0.05) pendant la période d'entreposage. En conclusion, les œufs fertiles peuvent être conservés au réfrigérateur pendant 10 jours sans effet négatif sur les qualités des œufs.
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SAUVANT, D., P. CHAPOUTOT, and H. ARCHIMEDE. "La digestion des amidons par les ruminants et ses conséquences." INRAE Productions Animales 7, no. 2 (April 24, 1994): 115–24. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.2.4161.

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Abstract:
Il est maintenant acquis que la digestion ruminale de l’amidon varie largement en fonction de la nature de l’aliment et de son traitement technologique. La mesure in sacco de la dégradation théorique de l’amidon (X,%) permet de prédire la digestibilité préintestinale (Y,%) de ce constituant : Y = 0,483 X + 45,62. Les différences sur les paramètres de la digestion de l’amidon peuvent se répercuter sur la protéosynthèse microbienne, le profil fermentaire et la stabilité de l’écosystème ruminal. La digestibilité de l’amidon entrant dans l’intestin grêle n’est que partielle et semble révéler une limite de la capacité amylolytique de ce segment. L’amidon non digéré dans l’intestin grêle est en partie dégradé par les microorganismes du gros intestin. Les résultats de bilans digestifs partiels publiés à ce jour permettent d’effectuer une estimation des quantités d’acides gras volatils et de glucose potentiellement mises à disposition de l’animal par l’amidon d’un régime. Lorsque la ration distribuée aboutit à des valeurs normales du profil fermentaire ruminal et du taux butyreux du lait, il ne semble pas y avoir d’effet important de la vitesse de digestion de l’amidon et de sa répartition entre les différents segments digestifs. Une distinction apparaît par contre pour les régimes plus riches en concentrés qui entraînent des fermentations propioniques marquées et un faible taux butyreux du lait. Dans ce cas, le choix d’amidon lentement dégradable semble apporter une certaine "sécurité fermentaire" dans le rumen et permet de limiter la chute du taux butyreux du lait. D’une façon générale, des recherches doivent encore être poursuivies pour mieux connaître les conséquences nutritionnelles et zootechniques de la vitesse de dégradation de l’amidon des régimes dans le réticulo-rumen et pour élaborer des recommandations fiables.
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MESCHY, F., D. BRAVO, and D. SAUVANT. "Analyse quantitative des réponses des vaches laitières à l’apport de substances tampon." INRAE Productions Animales 17, no. 1 (March 20, 2004): 11–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.1.3549.

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Abstract:
L’acidose du rumen est un désordre digestif et nutritionnel fréquent chez les ruminants à haut niveau de production, principalement chez les vaches laitières alimentées avec des rations trop riches en aliments concentrés. L’incorporation de substances tampon (ST) dans des rations «acidogènes» est envisageable pour en limiter les effets néfastes. L’analyse des données expérimentales sur l’apport de ST, regroupant 40 publications, 86 comparaisons et 178 traitements, permet de dégager des lois générales des réponses ruminales, métaboliques et de production des vaches laitières à l’apport alimentaire de ST. L’incorporation de ST, évaluée par point de pourcentage (par %) de la matière sèche de la ration, se traduit par une augmentation significative de l’ingestion (+ 0,51 kg MS/jour), de la production laitière (+0,52 kg/jour) et du taux butyreux(+1,5 g de taux butyreux/kg de lait). L’addition de ST augmente significativement le pH (0,07 point par % de ST). La concentration totale des acides gras volatils n’est pas affectée par l’ajout de ST, mais la proportion molaire de propionate diminue significativement alors que celles de l’acétate et du butyrate augmentent. En conséquence le rapport acétate/propionate augmente significativement. Il faut souligner que les réponses de tous ces paramètres dépendent fortement de leur valeur initiale : l’apport de ST est nettement plus efficace en situation de subacidose. Le pH sanguin tend à augmenter, la concentration sanguine de bicarbonate et le pH urinaire augmentent significativement avec l’addition de ST. Ces observations incitent à développer des travaux sur les relations entre ces indicateurs métaboliques de l’équilibre acido-basique et le statut acidosique du rumen et à ne plus considérer ce dernier isolément.
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INGRAND, S. "La digestion chez les camélidés ; comparaison avec les ruminants." INRAE Productions Animales 13, no. 3 (June 18, 2000): 165–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.3.3778.

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Abstract:
Les études sur la digestion et le métabolisme des camélidés ont bénéficié au cours des quinze dernières années des progrès techniques et méthodologiques issus des travaux conduits chez les ruminants. On dispose aujourd’hui d’éléments scientifiques fiables qui permettent de comparer les aptitudes digestives et métaboliques respectives de ces deux types d’animaux. L’anatomie des pré-estomacs ainsi que le comportement alimentaire des animaux sont très différents entre camélidés et ruminants. De telles différences ont des conséquences sur la transformation des aliments dans le tube digestif. Bien que la population microbienne soit qualitativement la même, l’activité cellulolytique des bactéries est plus importante dans les pré-estomacs des camélidés et le temps de séjour moyen des particules solides y est plus long. L’évolution de ces deux paramètres est à l’origine d’une meilleure digestion de la matière organique et de la fraction cellulosique des rations. Grâce à un meilleur pouvoir tampon des digesta, l’ajout important d’amidon à une ration à base de fourrage n’a pas les effets négatifs observés sur la cellulolyse chez les ruminants. Par ailleurs, les camélidés excrètent moins d’azote dans l’urine et recyclent efficacement l’urée via la muqueuse des pré-estomacs. Cette épargne de l’azote leur permet de maintenir une production minimum de protéines microbiennes dans le cas de régimes carencés en azote. En revanche, les camélidés sont beaucoup plus sensibles que les ruminants à des risques d’intoxication dus à des excès d’azote soluble dans les rations. Des besoins d’entretien en énergie réduits et un meilleur rendement de transformation de l’énergie métabolisable en énergie nette, vont dans le sens d’une meilleure utilisation de l’énergie ingérée par les camélidés. Une plus grande stabilité des conditions physico-chimiques (pH, NH3) du milieu fermentaire dans le compartiment C1 des camélidés après le repas, ainsi qu’une vitesse de vidange plus élevée de la phase liquide, sont des éléments favorables au développement et à l’activité des microorganismes.
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Abdurrahaman, S. L., H. U. Muhammad, K. Mustaph,, A. I. Danyaya, and I. R. Muhammad. "Nutritional potential and utilization of processed Roselle (Hibiscus sabdariffa L.) seed meal by grazing Red Sokoto bucks in Semi-Arid Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 185–96. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2880.

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Abstract:
Two studies were conducted to explore the utilization of rosolle seed meal (RSM) as a feedstuff in small ruminant feed. In study one, the effect of processing methods on the proximate compositions, mineral contents and anti-nutritional factors of roselle seed were evaluated. Four different processing methods were evaluated as treatments, T1 = was control (untreated roselle seed), T2 = fermented roselle seed, T3 = hot water treated roselle seed, and T4 = lye water treated roselle seed. The prepared samples were subjected to laboratory analysis. In the second study, feeding trial was conducted to assess the performance of grazing red Sokoto bucks supplemented with diets containing processed roselle seed meals. Four experimental diets were formulated using wheat offal, sorghum husk, rice husk, salt, bone meal and processed RSM (T1= Untreated RSM; T2 = Fermented RSM; T3 = Hot water treated RSM and T4 = Lye water treated RSM) as treatments. The bucks were supplemented the diets for 84 days, after six hours grazing in a 50 hectares' rangeland daily. Sixteen red sokoto bucks, four bucks per treatment with average weight of 11.69±0.32kg were used in a completely randomized design, water was provided ad libitum. Data were generated on feed intake, weekly weight changes and feed conversion ratio. Results obtained in study one indicated that processing methods had no significant (P>0.05) effect on the proximate compositions of resolle seed except on ether extract and dry matter contents. The mineral compositions of the roselle seed obtained showed that there were significant (P<0.05) differences in the values of Potassium (K), Sodium (Na) and Copper (Cu). Lye water treated roselle seed (T4) was statistically superior to others in terms of K and Na, while fermented roselle seed (T2) was statistically superior in Cu. The result obtained in the analysis of anti- nutritional factors revealed that all the parameters were significantly (p<0.05) different. The values of tannin, saponin, Pytate, cyanide and oxalate ranged from 0.38-0.87mg/g, 13.21- 22.57mg/g, 33.13-50.79mg/g, 6.51-10.34mg/g and 2.12-4.36mg/g respectively. Results from the second study showed that there was significant (P<0.05) difference in the mean values of total weight gain, average feed intake and total feed intake. In conclusion, processing methods substantially reduced the effect of anti-nutritional factors in roselle seed which can serve as a good source of feedstuff for small ruminant production. Also, supplementation of roselle seed meal can significantly improve the performance of goats without any detrimental effect. Deux études ont été menées pour explorer l'utilisation de la farine de graines de rosolle (le 'RSM') comme aliment dans l'alimentation des petits ruminants. Dans la première étude, l'effet des méthodes de traitement sur les compositions immédiates, les teneurs en minéraux et les facteurs anti-nutritionnels de la graine de roselle ont été évalués. Quatre méthodes de traitement différentes ont été évaluées comme traitements, T1 = était témoin (graine de roselle non traitée), T2 = graine de roselle fermentée, T3 = graine de roselle traitée à l'eau chaude et T4 = graine de roselle traitée à l'eau de lessive. Les échantillons préparés ont été soumis à une analyse en laboratoire. Dans la deuxième étude, un essai d'alimentation a été mené pour évaluer les performances des mâles Sokoto rouges au pâturage complétés par des régimes contenant des farines de graines de roselle transformées. Quatre régimes expérimentaux ont été formulés en utilisant des abats de blé, des balles de sorgho, des balles de riz, du sel, de la farine d'os et du 'RSM' transformé (T1 = le 'RSM' non traité ; T2 = le 'RSM' fermenté ; T3 = le 'RSM' traité à l'eau chaude et T4 = le 'RSM' traité à l'eau de lessive) comme traitements. Les mâles ont été nourris pendant 84 jours, après six heures de pâturage quotidien dans un pâturage de 50 hectares. Seize mâles sokoto rouges, quatre mâles par traitement avec un poids moyen de 11,69 ± 0,32 kg ont été utilisés dans une conception complètement aléatoire, de l'eau a été fournie ad libitum. Des données ont été générées sur la consommation alimentaire, les changements de poids hebdomadaires et le taux de conversion alimentaire. Les résultats obtenus dans la première étude ont indiqué que les méthodes de traitement n'avaient pas d'effet significatif (P> 0,05) sur les compositions proches de graines de résolle, sauf sur l'extrait d'éther et la teneur en matière sèche. Les compositions minérales de la graine de roselle obtenues ont montré qu'il y avait des différences significatives (P <0,05) dans les valeurs de Potassium (K), Sodium (Na) et Cuivre (Cu). La graine de roselle (T4) traitée à l'eau de lessive était statistiquement supérieure aux autres en termes de K et de Na, tandis que la graine de roselle fermentée (T2) était statistiquement supérieure en Cu. Le résultat obtenu dans l'analyse des facteurs anti- nutritionnels a révélé que tous les paramètres étaient significativement différents (p <0,05). Les valeurs de tanin, saponine, pytate, cyanure et oxalate variaient respectivement de 0,38 à 0,87 mg / g, 13,21 à 22,57 mg / g, 33,13 à 50,79 mg / g, 6,51 à 10,34 mg / g et 2,12 à 4,36 mg /g. Les résultats de la deuxième étude ont montré qu'il y avait une différence significative (P<0,05) dans les valeurs moyennes du gain de poids total, de la prise alimentaire moyenne et de la prise alimentaire totale. En conclusion, les méthodes de transformation ont considérablement réduit l'effet des facteurs anti-nutritionnels dans les graines de roselle qui peuvent servir de bonne source d'alimentation pour la production de petits ruminants. En outre, la supplémentation en farine de graines de roselle peut améliorer considérablement les performances des chèvres sans aucun effet néfaste.
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Manseau, Hubert. "La croissance récente des petites agglomérations du Québec (1951-1971)." Cahiers de géographie du Québec 19, no. 46 (April 12, 2005): 39–59. http://dx.doi.org/10.7202/021247ar.

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Abstract:
L'article analyse la croissance de 158 villages, villes ou agglomérations du Québec ayant entre 1 000 et 5 133 habitants en 1961, et non compris dans une agglomération plus vaste, pour les quatre périodes suivantes: 1951-1956, 1956-1961, 1961-1966 et 1966-1971. Celles-ci sont mises en relation avec une sélection de 51 autres variables portant sur la morphologie urbaine, la structure sociale et économique, le comportement de la population locale et enfin un certain nombre de paramètres géographiques. Les principaux résultats obtenus sont les suivants : 1- Les facteurs de croissance varient selon la classe de taille du centre concerné (1000-2 388 habitants ou 2 484-5 000 habitants) ; 2- malgré la différence, un certain nombre de constantes permettent de déceler une structure radio-concentrique dans l'espace québécois qui a une influence certaine sur les types de croissance ; 3— la croissance pour une période, telle que mesurée, constitue rarement une composante en soi, et aucune des périodes n'est systématiquement reliée à une autre ; 4— la croissance ultra-rapide de certains centres apparaît dans tous les cas associée à la création de villes nouvelles, surtout minières, à la périphérie du territoire ; 5- la suburbanisation est un facteur important dans l'évolution des plus petites unités, alors que : 6- la fonction tertiaire sous-régionale constitue un moteur réel de croissance chez le groupe d'unités de taille plus élevée ; 7— la stagnation ou la décroissance est un comportement typique chez les plus petites unités en dehors de la zone centrale définie par le triangle Montréal-Québec et Sherbrooke, et 8- ce même groupe apparaît beaucoup plus affecté par la conjoncture locale que l'autre groupe, malgré le peu d'écart entre eux en termes de population totale : 9- enfin, le principal résultat de l'étude est peut-être de valider l'approche par tranches de taille du phénomène de la croissance urbaine et d'indiquer un certain nombre de directions précises pour la recherche future sur la croissance des petites villes.
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HODEN, A., C. HURTAUD, B. MARQUIS, and L. DELABY. "Utilisation du blé ou des pulpes de betteraves en rations complètes avec de l’ensilage de maïs chez les vaches laitières." INRAE Productions Animales 3, no. 4 (October 10, 1990): 299–304. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.4.4388.

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Abstract:
Deux rations complètes à base d’ensilage de maïs comportant un apport iso-énergétique (0,33 UFL/kg MS) sous forme de blé (28 % du mélange) ou de pulpes sèches de betteraves (33 % du mélange) ont été comparées. Selon un schéma expérimental en inversion comportant 2 périodes de 6 semaines, 2 lots appariés de 13 vaches en phase décroissante de la lactation ont reçu à volonté chacune de ces rations. Les niveaux d’ingestion ont été élevés et comparables pour les 2 régimes (3,20 kg MS p. 100 kg de poids vif en moyenne), le blé et les pulpes représentant respectivement 5,2 et 6,0 kg MS par vache et par jour. Les teneurs en amidon des rations ont été respectivement de 39,6 et 20,2 % et celles en cellulose brute de 14,3 et 18,8 % pour les rations « blé » et « pulpes ». Les apports énergétiques totaux (17 UFL en moyenne) ont été excédentaires (+ 1,6 UFL en moyenne) pour les 2 régimes mais surtout pour celui comportant la céréale (+ 2,3 UFL). Pour les 2 traitements « blé » et « pulpes », les productions de lait, de matières grasses et de protéines ont été comparables et respectivement de 23,6 et 24,0 kg, 943 et 953 g, 730 et 735 g par jour. Le taux butyreux n’a pas été affecté par la nature des aliments complémentaires (40,4 et 40,1 g/kg), mais le taux protéique du lait a été significativement amélioré dans le cas de la ration comportant le blé (31,3 g contre 31,0 g/kg). Au niveau technologique, ceci s’est traduit par un meilleur rendement fromager et une tendance à une amélioration des paramètres de la coagulation. Tous traitements confondus, les animaux ont gagné environ 250 g/j sur l’ensemble de l’essai et les rations ont été correctement valorisées (0,86 UFL/kg MS). Malgré leurs caractéristiques de composition chimique très différentes, ces 2 types de rations n’ont que peu influencé les performances zootechniques. La légère influence positive de l’utilisation du blé par rapport aux pulpes est probablement à attribuer aux apports énergétiques supérieurs avec la céréale.
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SAUVANT, D., F. MESCHY, and D. MERTENS. "Les composantes de l’acidose ruminale et les effets acidogènes des rations." INRAE Productions Animales 12, no. 1 (February 23, 1999): 49–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.1.3854.

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Abstract:
L’état d’acidose ruminale latente constitue une des préoccupations majeures de la nutrition moderne des animaux ruminants. En effet, l’accroissement des potentiels de production a entraîné l’apport de rations plus concentrées en énergie. De ce fait, le rumen de ces animaux doit traiter des quantités accrues de matières organiques fermentescibles et les fermentations plus intenses consécutives entraînent un état d’acidose aux effets zootechniques défavorables : interactions digestives négatives, dégradation du taux butyreux du lait, pathologies digestives et métaboliques... L’état d’acidose est également atteint car la sécrétion salivaire qui recycle les tampons ruminaux est insuffisante par rapport aux acides organiques produits par les fermentations. L’état d’acidose est apprécié à travers la mesure du pH de la panse. On estime que le pH moyen au cours d’une journée ne doit pas être inférieur à une valeur approximative de 6,25. Les recherches ont permis de montrer que de nombreuses caractéristiques des rations présentaient une influence sur le pH ruminal. Si on se réfère à la valeur seuil moyenne minimale de 6,25, il est possible de définir des limites pour les différentes caractéristiques mesurées sur les rations. Certaines limites recommandées se présentent sous forme de minima&nbsp;; ainsi on estime qu’il faut au minimum 35 % de NDF/MS, 25 % de NDF de fourrage/MS, 2,5 mm de taille moyenne des particules de la ration ou 40 % de la MS sous forme de particules de taille supérieure à 2 mm. On sait en outre que l’indice de mastication de la ration doit être supérieur à 40 min/kg MS ingérée. Il existe également des recommandations de seuil maximum à ne pas dépasser. Ainsi la proportion d’aliments concentrés doit rester inférieure à environ 45 %/MS, celle d’amidon à 25 %/MS et celle d’amidon dégradable dans le rumen à 20 %/MS. D’autre part, il est connu que les niveaux élevés d’ingestion vont de pair avec un transit plus rapide et un pH plus faible, ainsi le pH moyen passe en dessous du seuil de 6,25 lorsque la MS ingérée excède environ 2,5 % du poids vif. Enfin les rations peu mastiquées sont ingérées rapidement et sont, de ce fait, acidogènes. On estime ainsi que chez le bovin la vitesse moyenne d’ingestion doit être inférieure à 50 g/min pour que les fermentations ruminales soient normales. En cas de risque avéré d’acidose, il est recommandé d’apporter des substances tampons à la ration, à une dose de l’ordre de 1 à 2 % de la MS ingérée. En conclusion, il est important de chercher à mieux caractériser les rations et aliments offerts aux ruminants en prenant en compte des critères " sécuritaires " en plus des paramètres classiques de valeur nutritive. Un exemple de méthode de prévision du pH à partir de tels critères est présenté.
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SAUVANT, D., C. MARTIN, and J. L. PEYRAUD. "Introduction générale : L’acidose chez les ruminants." INRAE Productions Animales 19, no. 2 (May 12, 2006): 67. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.2.3482.

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Abstract:
Nous avons le plaisir de vous présenter ce dossier sur l’acidose des ruminants, élaboré grâce à la contribution de trois laboratoires de l’INRA qui abordent dans leurs recherches cette question importante de nutrition des ruminants, chacun avec un angle de vue différent. Les trois articles constituant ce dossier sont largement complémentaires et constituent un ensemble original. Ils fournissent des informations particulièrement riches et utiles sur ce problème complexe. L’acidose est devenue une préoccupation importante chez les ruminants à potentiel élevé de production. En pratique, on distingue deux types d’acidose. L’acidose aiguë correspond à une situation accidentelle, liée à une ingestion brutale d’une quantité excessive d’aliments riches en glucides fermentescibles, elle se traduit souvent par la mort des animaux. Ce type d’accident demeure assez rare en élevage. Une autre forme d’acidose, fréquente dans les élevages intensifs, est l’acidose latente ou subclinique. Ce syndrome est moins brutal par contre il se traduit par différents effets défavorables sur la valorisation de la ration et sur la qualité des produits ; en outre, il ouvre la porte à différents problèmes de pathologie digestive et métabolique ainsi que de locomotion. En conséquences, l’impact économique défavorable de l’acidose latente est vraisemblablement élevé même s’il reste très difficile à quantifer en élevage. Le dossier porte essentiellement sur l’acidose latente. Le conseil en élevage est aujourd’hui difficile faute de critères fiables et intégratifs permettant de caractérisier la ration et le statut de l’animal. En effet si les auteurs s’accordent sur le fait que le pH du rumen est l’élément principal de caractérisation de l’acidose latente, ce critère n’est pas accessible en élevage. Pourtant une meilleure connaissance des caractéristiques des régimes offerts et des pratiques alimentaires associées qui sont à risque ainsi que des mécanismes impliqués permettraient de développer des pratiques alimentaires plus sécurisantes et efficaces, tant du point de vue de l’animal en évitant les pertes d’efficacité zootechnique, que du consommateur, tout en limitant le recours aux additifs alimentaires et aux produits médicamenteux. Ce manque de références précises de recommandations fonctionnelles et de connaissances sur les situations où les additifs alimentaires sont efficaces, entretient un flou relatif en terme de conseil et laisse libre cours à la prolifération de propositions dont l’efficacité n’est pas toujours démontrée ni même vérifiable. Concrètement, les facteurs de variation de l’acidose latente sont multiples et de mieux en mieux connus aujourd’hui. Les textes présentés rappellent les critères d’évaluation de l’acidose latente, l’ensemble de ces causes, les facettes de ce syndrome principalement en terme de déviations fermentaires et de modifications de l’écosystème microbien du rumen, les critères actuellement disponibles pour évaluer le caractère acidogène des aliments et des rations et enfin la physiopathologie de l’acidose. Des aspects relativement nouveaux sont abordés. Il s’agit notamment des lois de réponse de la digestion ruminale aux variations des caractéristiques des rations avec des approches monofactorielles sur de larges gammes de variation et l’analyse des interactions entre plusieurs facteurs causaux. Il s’agit aussi des équilibres électrolytiques des aliments et des rations, des relations entre les acidoses digestives et métaboliques, du rôle respectif de la salivation, du flux liquidien ruminal et de la dynamique de la production d’acides dans le rumen. Ces textes montrent qu’il n’existe pas un critère unique de prévision des risques et qu’il convient de pouvoir croiser plusieurs paramètres caractéristiques des aliments offerts et des animaux considérés. Ils ouvrent des pistes nouvelles pour la caractérisation des rations et des réponses animales qui devront être explorées pour mieux cerner les zones nutritionnelles à risque en fonction du type d’animal et faire des propositions en terme d’équilibre général des rations.
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Olosunde, A. O., O. J. Oyedele, and S. M. Odeyinka. "Haematological and biochemical profiles of WAD goats fed graded levels of bitter leaf (Vernonia amygdalina) meal." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020): 254–63. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1333.

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Abstract:
Bitter leaf is an underutilized manageable size shrub in Nigeria despite its numerous nutritional benefits, economic value and potential as a dry season feed source for ruminant animals. This study was carried out to determine the haematological and biochemical profiles of West African Dwarf (WAD) goats fed graded levels of bitter leaf (Vernonia amygdalina) meal (BLM). Twenty-four WAD goats of both sexes and 5-7 months old were randomly allotted to four treatments of graded levels of BLM (0% BLM (Control Diet), 15% BLM, 30% BLM and 45% BLM diets) in a completely randomized design. The diets were used as supplements to a basal ration of Panicum maximum. The feeding trial lasted 20 weeks. The analysis of blood components, red blood cell (RBC), white blood cell (WBC) and parked cell volume (PCV) counts showed that there were no significant (P>0.05) differences in each of these parameters among the goats fed experimental diets. There were no significant differences in the albumin, alkaline phosphatase, cholesterol, creatinine, globulin, total protein and urea levels of the animals fed the different levels of bitter leaf meal (p>0.05). The result of the serum glucose of goats fed 30% BLM and 45% BLM was significantly (p<0.05) lower than that of CD. It is concluded that feeding of bitter leaf meal at the different levels had no adverse effect on the haematological and biochemical profiles of WAD goats except in the reduction of serum glucose in animals fed above 15% bitter leaf meal. La feuille amère est un arbuste de taille gérable sous-utilisé au Nigéria malgré ses nombreux avantages nutritionnels, sa valeur économique et son potentiel en tant que source d'alimentation de saison sèche pour les ruminants. Cette étude a été réalisée pour determiner les profils hématologiques et biochimiques de chèvres naines d'Afrique de l'Ouest (WAD) nourries à des aliments de farine de feuilles amères(le 'BLM') (Vernonia amygdalina). Vingtquatre chèvres WAD des deux sexes et âgées de 5 à 7 mois ont été attribuées au hasard à quatre traitements de niveaux gradués de BLM (0% BLM (régime témoin), 15% BLM, 30% BLM et 45% BLM) dans conception aléatoire. Les régimes ont été utilisés comme suppléments à une ration basale de Panicum maximum. L'essai d'alimentation a duré 20 semaines. L'analyse des comptages des composants sanguins, des globules rouges (le 'RBC'), des globules blancs (le 'WBC') et du volume de cellules en stationnement (le 'PCV') a montré qu'il n'y avait pas de différence significative (P> 0.05) dans chacun de ces paramètres parmi les chèvres nourries avec des régimes expérimentaux. Il n'y avait pas de différences significatives dans les taux d'albumine, de phosphatase alcaline, de cholestérol, de créatinine, de globuline, de protéines totales et d'urée des animaux nourris avec les différents niveaux de farine de feuilles amères (p> 0.05). Le résultat du glucose sérique des chèvres nourries à 30% de BLM et 45% de BLM était significativement (p <0.05) inférieur à celui de CD. Il est conclu que l'alimentation de farine de feuilles amères à différents niveaux n'a eu aucun effet indésirable sur les profils hématologique et biochimique des chèvres WAD, sauf dans la réduction de la glycémie chez les animaux nourris à plus de 15% de farine de feuilles amères.
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SAUVANT, D. "Alimentation des vaches laitières : Que penser des normes étrangères ?" INRAE Productions Animales 5, no. 4 (October 29, 1992): 269–70. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.4.4240.

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Abstract:
Les trois articles qui suivent correspondent aux trois conférences que leurs auteurs ont faites le 27 février dernier à Tours, dans le cadre d’une journée organisée par le CAAA (Cycle Approfondi d’Alimentation Animale) et l’AFTAA (Association Française des Techniciens de l’Alimentation Animale). Le thème de cette journée était "Que penser des normes étrangères pour les VHP ?" Ce sujet avait été retenu parce que, grâce aux progrès des circuits d’information, les différents partenaires des filières animales ont un accès facile aux systèmes alimentaires pratiqués à l’étranger. De ce fait, un certain nombre d’entre eux s’interrogent, en toute logique, sur les qualités respectives des systèmes d’unités proposés dans différents pays et quelques uns d’entre eux ont même décidé "d’adopter" un système étranger, comme on achète un téléviseur japonais ou une voiture allemande. Ce type de comportement, admissible au niveau de l’individu ou au niveau de l’entreprise, pour un matériel par exemple, peut avoir des effets pervers lorsqu’il s’agit des unités d’alimentation. En effet, les règles d’usage et légales appliquées dans un pays ne peuvent s’appuyer que sur un langage clair et commun. En outre, on imagine le désarroi de l’éleveur, déjà sollicité à consommer de multiples intrants aux différents niveaux de son exploitation, qui verrait défiler des partenaires se recommandant chacun de tel ou tel système étranger. De grâce, soyons sérieux et raisonnables, l’élevage laitier français de 1992 n’a pas besoin d’un tel facteur de pertubation supplémentaire. Au cours des dernières décennies les chercheurs de l’INRA ont, sous l’impulsion de R. Jarrige, réalisé un effort coordonné unique au monde pour mettre au point, en 1978, et réviser, en 1988, des systèmes d’unités d’alimentation originaux et intégrant les dernières avancées de la recherche. Les chercheurs étrangers qui se sont penchés sur les systèmes INRA sont unanimes pour en reconnaître la qualité. Voici deux illustrations concrètes récentes, prises parmi d’autres, de leurs avis : D. Mertens, chercheur américain connu pour ses travaux et recommandations sur l’ingestion, s’est déclaré enchanté fin 1991 par "l’intelligence et la richesse" du système des unités d’encombrement. Il réfléchit actuellement sur la manière d’en intégrer les concepts dans des recommandations "made in USA". Les chercheurs des Pays-Bas, en particulier S. Tamminga, qui ont toujours conduit une recherche soutenue et de qualité en nutrition des ruminants, viennent de décider d’adopter le système PDI à quelques modifications mineures près. En cela ils suivent des décisions comparables des collègues espagnols, italiens, suisses, belges,... et il est probable qu’un système commun européen d’unités azotées qui, nous l’espérons, verra le jour avant l’an 2000, sera à forte coloration PDI ! Les articles de P. Faverdin, M. Vermorel et J.B. Coulon, F. Meschy et L. Guéguen, réalisent des études comparées des différents systèmes proposés pour raisonner l’ingestion, les apports énergétiques et en minéraux dans le cas des vaches laitières. Ces approches sont originales et ont été conduites avec une grande rigueur et une parfaite objectivité. Leur lecture permet donc de bien faire le point de la situation internationale vis-à-vis de ces systèmes ; elle permet également de se rendre compte que la situation actuelle n’a rien de figé, que l’effort de recherche se poursuit et que des progrès sont encore à venir d’ici la fin du siècle. Les chercheurs ont d’ailleurs déjà dans leurs cartons d’autres systèmes d’unités d’alimentation. Ainsi, une journée d’information était organisée le 26 février 1992, avec le même public, sur le futur "système acides aminés" qui permettra d’être encore plus précis que les PDI. D’autre part, si le besoin s’en fait sentir, en particulier en raison de la nouvelle PAC, les chercheurs de l’INRA pourraient mettre au point des systèmes permettant de mieux raisonner des problèmes tels que la supplémentation en matières grasses ou la fibrosité des rations. Ces différents aspects montrent clairement que dans le monde des sciences agronomiques appliquées, la France se place en fait en position d’exportateur et non d’importateur de systèmes d’unités d’alimentation. Une force motrice essentielle des progrès futurs sera vraisemblablement la diversité croissante des contraintes et des critères d’évaluation de la production animale. En effet, partant d’une situation où l’efficacité alimentaire était l’objectif dominant, on est amené à intégrer progressivement d’autres paramètres : la composition et la qualité du produit élaboré, le rejet de matières d’origine nutritionnelle susceptible de contribuer à la pollution de zones à forte densité d’élevage, le risque pathologique, le bien-être de l’animal... Tout ceci signifie que l’usage classique des systèmes d’unités consistant à calculer la ration à partir des besoins alimentaires, eux-mêmes étroitement dépendants des niveaux de production, devra être à l’avenir progressivement complété par une meilleure prise en compte des lois de réponse des vaches laitières aux variations de leur régime alimentaire.
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AGABRIEL, J. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 20, no. 2 (June 7, 2007): 107–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.2.3442.

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Abstract:
L’alimentation des ruminants : un problème d’actualitéDans la conduite et la réussite d’un système de production de Ruminants, l’alimentation du troupeau reste un domaine très important qui continue de poser de nombreuses questions à la fois pratiques et théoriques. Pour l’éleveur, les postes récolte des fourrages et des céréales, achats d’aliments et entretien des surfaces fourragères représentent plus de 50 % des charges opérationnelles de son exploitation. Nourrir quotidiennement son troupeau lui impose de faire des choix de types de rations et en amont des choix stratégiques de long terme, sur la conduite de son système fourrager en considérant ses contraintes de milieu naturel, de bâtiments ou de stockage. La gestion de l’alimentation est directement liée à tous les autres choix stratégiques de l’activité d’élevage, le niveau de croissance des jeunes animaux, la reproduction, l’allotement la quantité et la qualité de la production. Pour le chercheur en nutrition animale, les enjeux sont devenus multiples et son positionnement a évolué : la recherche de la production maximale soutenue par l’alimentation a fait place à la volonté d’atteindre un optimum à la fois biologique, technique et économique selon les milieux dans lequel l’élevage est conduit. Il doit faire en sorte que la ration calculée par ses modèles satisfasse les besoins de l’animal selon les objectifs de production de l’éleveur, mais qu’elle participe également au bon état sanitaire et de bien-être du troupeau, qu’elle garantisse la qualité des produits et minimise l’impact défavorable des rejets sur l’environnement. La recherche en nutrition et alimentation des ruminants porte à la fois sur les fourrages, la physiologie digestive et métabolique de l’animal et son comportement alimentaire. En tenant compte de la complexité des mécanismes biologiques, les modèles nutritionnels doivent pouvoir simuler avec le maximum de précisions les flux de matières à travers le tube digestif et les organes sur des pas de temps variables, à la fois de court et de long terme. Cela reste un sujet perpétuellement en évolution qui exige aussi de synthétiser les connaissances sous forme d’outils d’aide à la décision et qui soit capable de présenter la qualité de ces outils et leurs limites d’usage. Une recherche qui se développe avec l’INRALes recherches pour aider à déterminer les choix d’alimentation des animaux en condition de production se sont concrétisées au cours du 20ème siècle. Les systèmes d’alimentation en énergie, azote et minéraux ont été développés en France après 1945. A l’INRA, le département Elevage des Ruminants sous l’impulsion de R. Jarrige avait initié une révision majeure des principes et des unités pratiques de terrain en 1978 en proposant un système énergétique construit sur la base de deux unités fourragères, lait et viande (UFL, UFV), un système des Protéines Digestibles dans l’Intestin (PDI) et des Tables complètes à la fois des besoins des animaux et de la valeur alimentaire des aliments. C’est notamment dans le domaine de la valeur nutritionnelle des fourrages que ces travaux étaient particulièrement riches. Ces «systèmes INRA» avaient alors été complétés par la première ébauche d’un modèle complètement nouveau de prévision de l’ingestion (système des Unités d’Encombrements UE) qui sera fortement remanié et amélioré dix ans plus tard lors de la révision de 1988. Ce nouvel ensemble, prévision de l’ingestion, estimation des besoins nutritionnels, a également permis d’accroître l’offre d’outils pratiques de terrain. En complèment des Tables imprimées, un outil informatique d’accompagnement et de rationnement «INRAtion» a été proposé dès 1992. Celui-ci s’est ensuite enrichi de l’outil de calcul de la prévision de la valeur des aliments «Prevalim;» et tous deux sont devenus des réceptacles appliqués des nouveautés scientifiques concernant les systèmes INRA. Mais, près de vingt ans après le dernier «Livre Rouge de l’Alimentation des bovins, ovins et caprins», une mise à niveau des ouvrages écrits s’imposait également et il est apparu nécessaire de proposer une actualisation des connaissances des principes du rationnement des ruminants. Les travaux des équipes de recherches ont permis de progresser aussi bien sur la caractérisation de la valeur des fourrages et des matières premières, que sur l’estimation des besoins des animaux et des apports nutritionnels recommandés dans des situations très diverses. Au delà des recommandations statiques, focalisées sur l’objectif de satisfaire les besoins, les lois de réponses dynamiques des pratiques alimentaires sont mieux connues et quantifiées. Elles permettent de mieux simuler les conséquences de la diversité des situations. L’objectif de l’ouvrage «Alimentation des bovins, ovins et caprins - Tables INRA 2007», sorti en février aux éditions Quæ, est ainsi de remettre sous la forme connue et largement adoptée par tous les acteurs des filières de l’élevage ruminant ces nouveaux résultats. Des documents complémentairesCependant le niveau scientifique choisi de l’ouvrage récemment paru et sa taille volontairement réduite pour en faire un ouvrage facilement accessible ont contraint les auteurs à aller à l’essentiel, les frustrant sans aucun doute d’une description et d’une discussion de fond de leurs résultats.En reprenant l’exemple de 1987 où le «livre rouge» publié par INRA Editions était complété par un numéro détaillé du Bulletin CRZVde Theix, nous avons donc décidé de publier un dossier dans la Revue INRA Productions Animales qui complète l’ouvrage de février. Ce dossier regroupe majoritairement des présentations et les explications des choix qui ont prévalu au développement des nouveaux modèles sous-tendus dans les recommandations. Il comporte 5 articles qui éclairent des points clés des innovations introduites en 2007, et qui correspondent soit à des nouveaux modèles mécanistes des fonctions de l’animal, soit à des méthodes de prévision de la valeur des fourrages, soit à des remises en cause plus profondes de l’ensemble apports, besoins comme c’est le cas pour la nutrition minérale.Toutefois, ce dossier n’est pas exhaustif des «nouveautés» du livre 2007. Certaines avaient été déjà publiées, soit dans des revues scientifiques, soit dans des sessions des «Rencontres Recherches Ruminants». Sans aucun doute d’autres viendront encore les compléter par la suite.Ainsi sont étudiés successivement des apports scientifiques sur la valeur des aliments et sur les besoins des animaux :1 - La dégradabilité des protéines dans le rumen (DT) et la digestibilité réelle des protéines alimentaires dans l’intestin grêle (dr). La valeur azotée des fourrages repose sur la bonne estimation de ces deux paramètres, qui sont la clé du calcul du système des protéines digestibles dans l’intestin PDI (article de M.-O. Nozières et al).2 - Les nouvelles valeurs minérales et vitaminiques des aliments. La possibilité de raisonner en éléments phosphore et calcium absorbables apporte de nouvelles précisions et modifie considérablement les quantités recommandées. L’article précise et actualise les Apports Journaliers Recommandés (AJR) d’éléments minéraux majeurs. Les autres minéraux, oligo-éléments et vitamines sont également revus de façon systématique et approfondie (article de F. Meschy et al).3 - De nouvelles équations statistiques de prévision de la digestibilité de la Matière Organique (dMO) des fourrages par la méthode pepsine-cellulase établies sur une banque de données couvrant une gamme plus importante de fourrages et de modes de conservation. La valeur énergétique des fourrages dépend en effet étroitement de la digestibilité de leur matière organique. Son estimation sur le terrain peut se faire à partir de méthodes de laboratoire comme la digestibilité pepsine-cellulase, utilisée en France depuis plus de vingt ans. Cette méthode est proposée pour sa bonne précision (article de J. Aufrère et al).4 - La composition du gain de poids chez des femelles adultes en période de finition qui permet de calculer ensuite directement le besoin en énergie et en protéines de l’animal. Ce modèle est suffisamment souple pour proposer un besoin face à un objectif de croissance donné, mais il propose aussi un niveau de croissance pour une ration d’un niveau énergétique donné. Ce nouveau modèle a été spécifiquement développé pour tenir compte de la très grande variabilité des situations pratiques rencontrées : la race, l’âge, le format, l’état d’engraissement initial et la vitesse du gain attendu (article de F. Garcia et J. Agabriel).5 - La capacité d’ingestion d’aliments par les vaches laitières au cours de leur lactation complète. Ce tout nouveau modèle s’adapte à tous types de vaches primipares, multipares et propose le nouveau concept de «lait potentiel» pour mieux décrire cette capacité d’ingestion. Ce concept est nécessaire pour répondre aux diverses stratégies des éleveurs dans la conduite de leurs animaux et qui ne souhaitent pas nécessairement les mener à leur maximum de production. Le modèle tient en effet compte de l’état initial de la vache au vêlage et des modifications d’état corporel qui accompagnent obligatoirement la conduite de la lactation (article de P. Faverdin et al).La Rédaction de la Revue a estimé judicieux de publier dans ce même numéro d’INRA Productions Animales, un travail très récent sur la teneur en matière grasse du lait de vache et sa prévision, qui pourra dans les années à venir se traduire concrètement dans les outils d’accompagnement de nos recommandations (article de Rulquin et al).A l’occasion de la publication de ce dossier, nous voulons plus particulièrement remercier tous les participants des Unités et Installations Expérimentales de l’INRA sans qui ces résultats ne seraient pas, ainsi que tout le personnel des Unités de Recherches qui ont participé dans les laboratoires ou derrière leurs écrans : l’Unité de Recherches sur les Herbivores (URH) de Clermont-Ferrand-Theix, l’Unité Mixte de Recherches sur la Production Laitière (UMR PL) de Rennes, l’Unité Mixte de Recherches Physiologie et Nutrition Animale (UMR PNA) de Paris, l’Unité Mixte de Recherches sur les Ruminants en Région Chaude (UMR ERRC) de Montpellier.
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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Abstract:
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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Tai, Claire, Hilary Wu, Cindy San, and Doson Chua. "Management of Supratherapeutic International Normalized Ratio without Bleeding after Warfarin Use: An Evaluation of Vitamin K Administration (SUPRA-WAR-K Study)." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 70, no. 3 (June 30, 2017). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v70i3.1660.

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Abstract:
<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p><strong>Background:</strong> For patients with supratherapeutic international normalized ratio (INR) and no evidence of bleeding, the 2012 guidelines of the American College of Chest Physicians discourage administration of vitamin K. At the study hospital, it was observed that vitamin K was frequently prescribed for patients with INR of 4.5 or higher and no bleeding.</p><p><strong>Objectives:</strong> To compare efficacy and safety outcomes between holding warfarin alone and holding warfarin with administration of vitamin K and to compare these outcomes among various doses and routes of vitamin K administration in non–critical care inpatients experiencing supratherapeutic INR without evidence of bleeding.</p><p><strong>Methods:</strong> This single-centre retrospective chart review involved non–critical care inpatients with supratherapeutic INR (4.5–8.9) without evidence of bleeding. The primary outcomes were the change in INR 1 day after implementation of supratherapeutic INR management and the time to reach INR less than 3.0. The secondary outcomes were length of stay, frequency of warfarin resistance, incidence and duration of bridging anticoagulation, incidence of thromboembolism and major bleeding, and death.</p><p><strong>Results:</strong> Regardless of vitamin K dose, the administration of vitamin K combined with holding warfarin, relative to holding warfarin alone, was associated with a greater INR decrease 1 day after the intervention (mean ± standard deviation –3.2 ± 1.9 versus –0.9 ± 1.0, p &lt; 0.001) and a shorter time to reach INR below 3.0 (1.9 ± 1.0 days versus 2.6 ± 1.4 days, p = 0.003). No statistically significant differences in any other outcomes were observed.</p><p><strong>Conclusions:</strong> In hospitalized non–critical care patients with INR between 4.5 and 8.9 without evidence of bleeding, the combination of holding warfarin and administering vitamin K was associated with greater and faster decreases in INR than holding warfarin alone. No significant differences were found in clinically important outcomes. The practice of administering vitamin K in this population warrants further study and re-evaluation.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte :</strong> Dans ses lignes directrices de 2012, l’American College of Chest Physicians déconseille l’administration de vitamine K aux patients ayant des résultats de rapport international normalisé (RIN) suprathérapeutiques et ne présentant aucun saignement. À l’hôpital des auteurs, on a remarqué que l’on prescrivait fréquemment de la vitamine K aux patients répondant aux critères ci-dessus.</p><p><strong>Objectifs :</strong> Comparer l’efficacité et l’innocuité entre un simple arrêt de la warfarine et l’arrêt de la warfarine combiné à l’administration de vitamine K, puis comparer ces résultats thérapeutiques selon différentes doses et voies d’administration de la vitamine K chez des patients hospitalisés qui ne sont pas en phase critique, qui ont un RIN suprathérapeutique et qui ne présentent aucun saignement.</p><p><strong>Méthodes :</strong> La présente étude menée dans un seul centre comportait une analyse des dossiers médicaux de patients hospitalisés n’étant pas en phase critique, ayant un RIN suprathérapeutique (4.5–8.9) et ne présentant aucun saignement. Les principaux paramètres d’évaluation étaient le changement du RIN un jour après la mise en oeuvre de mesures pour corriger un RIN suprathérapeutique et le temps nécessaire pour atteindre un RIN de moins de 3,0. Les paramètres d’évaluation secondaires étaient la durée du séjour, la fréquence des cas de résistance à la warfarine, le nombre et la durée des relais anticoagulants, l’incidence des cas de thromboembolie et de saignement important et les cas de décès.</p><p><strong>Résultats :</strong> L’administration de vitamine K, peu importe la dose, combinée à l’arrêt de la warfarine comparativement au simple arrêt de la warfarine était associée à une réduction plus importante du RIN un jour après l’intervention (moyenne ± écart-type –3.2 ± 1,9 contre –0,9 ± 1,0, p &lt; 0,001) et à un plus court délai pour atteindre un RIN de moins de 3,0 (1,9 ± 1,0 jour contre 2,6 ± 1,4 jours, p = 0.003). Aucune différence statistiquement significative n’a été observée pour le reste des paramètres d’évaluation.</p><p><strong>Conclusions :</strong> Chez les patients hospitalisés n’étant pas en phase critique, ayant un RIN entre 4,5 et 8,9 et ne présentant aucun saignement, l’arrêt de la warfarine combiné à l’administration de vitamine K a été associé à une réduction plus rapide et plus importante du RIN que le simple arrêt de la warfarine. On n’a observé aucune différence significative en ce qui touche aux résultats thérapeutiques cliniquement importants. L’administration de vitamine K pour cette population est une pratique qui nécessite de plus amples études et doit être évaluée à nouveau.</p>
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Soro, Pégnonsienrè Lacina, Naka Touré, Fankroma Martial Thierry Koné, Marcellin Konan Kouadio, Kouakou Martin Djè, and Soumaila Dabonné. "Optimisation De La Stabilisation Physique Du Lait De Coco En Utilisant La Gomme De Cajou (Anacardium occidentale L.) Comme Agent Stabilisant." European Scientific Journal ESJ 17, no. 7 (February 28, 2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n7p227.

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Abstract:
Le lait de coco est essentiellement une émulsion huile dans eau, stabilisée par les protéines naturelles et les phospholipides présents dans la pulpe. Cependant, le lait de coco reste physiquement instable et sujet à une séparation de phase. D’où la nécessité d’utiliser des agents stabilisants. Cette étude avait pour objectif de déterminer les conditions optimales de stabilisation du lait de coco en utilisant la gomme de cajou comme agent stabilisant, par la méthodologie des surfaces de réponse utilisant un plan factoriel complet 32. Ainsi, les effets de la concentration en gomme de cajou et du ratio pulpes/eau sur les paramètres physico-chimiques du lait de coco tels que l’indice de crémage, l’indice de taille des gouttelettes, la viscosité et le taux de perte de turbidité ont été évalués. Les résultats de l’analyse ont indiqué que les conditions optimales étaient de 1,50 % pour la concentration en gomme de cajou et de 1/1 (g/mL) pour le ratio pulpes/eau. Les réponses optimales enregistrées ont été de 60,239 % ; 0,716 ; 0,076 mPa.s et de 0,824 Å/jr respectivement pour l’indice de crémage, l’indice de taille des gouttelettes, la viscosité et le taux de perte de turbidité. Par ailleurs, aucune différence significative (p> 0,05) n’a été observé entre les valeurs expérimentales et les valeurs prédites. Les différents modèles développés pour prédire les différentes caractéristiques du lait de coco étaient très significatifs, avec des coefficients de détermination élevés (>0,95) et des manques d’ajustement non significatifs (p> 0,05). La gomme de cajou porterait donc un fort potentiel dans la stabilisation des émulsions.
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Barka Bedrane Zahira, Karima Sifi, Yamina Bouchedjera, Khalida Boudaoud, Zekri Salima, Karima Benembarek, and Abadi Noureddine. "Caractéristiques cliniques et profil évolutif des thromboses veineuses cérébrales au service de neurologie du CHU Tlemcen." Journal de la faculté de médecine d'Oran 3, no. 2 (December 31, 2019). http://dx.doi.org/10.51782/jfmo.v3i2.87.

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Abstract:
Introduction - La thrombose veineuse cérébrale est une affection rare liée à une occlusion isolée des sinus duraux ou à une occlusion des veines corticales. Elle se caractérise par un polymorphisme clinique et radiologique. Notre étude a pour objectifs de décrire les caractéristiques cliniques et radiologiques, d’identifier les différentes étiologies, et d’apprécier le profil évolutif de la thrombose veineuse cérébrale au CHU de Tlemcen. Méthodes - Il s’agit d’une étude descriptive effectuée entre Avril 2016 et avril 2018. Nous avons colligé 96 patients, âgés de plus de 18 ans, pour lesquels nous avons étudié les paramètres épidémiologiques, cliniques, paracliniques et évolutifs. Résultats - L’âge moyen était de 36,65 ± 6,1 ans avec une prédominance féminine (sex-ratio homme/femme = 0,1). La présentation clinique était subaiguë dans 74% des cas. Le syndrome d’hypertension intracrânienne était le plus fréquent (75,6%). Le siège principal du thrombus veineux était le sinus sagittal supérieur (45%). Un infarctus veineux hémorragique était retrouvé dans 74% au scanner cérébral. Les étiologies étaient multiples, dominées par le post-partum (37,5%). L’évolution était favorable dans 75% des cas. Conclusion - la thrombose veineuse cérébrale est une affection relativement fréquente à Tlemcen et constitue un groupe étiologique non négligeable des maladies thrombotiques nécessitant un diagnostic précoce et une prise en charge en urgence.
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Sallet, Gauthier, and A. H. B. Silva Moacyr. "Monotone Dynamical Systems and Some Models of Wolbachia in Aedes aegypti Populations." Revue Africaine de la Recherche en Informatique et Mathématiques Appliquées Volume 20 - 2015 - Special... (November 29, 2015). http://dx.doi.org/10.46298/arima.1992.

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Abstract:
International audience We present a model of infection by Wolbachia of an Aedes aegypti population. This model is designed to take into account both the biology of this infection and any available experimental data obtained in the field. The objective is to use this model for predicting the sustainable introduction of this bacteria. We provide a complete mathematical analysis of the model proposed and give the basic reproduction ratio R0 for Wolbachia. We observe a bistability phenomenon. Two equilibria are asymptotically stable : an equilibrium where all the population is uninfected and an equilibrium where all the population is infected. A third unstable equilibrium exists. We provide an lower bound for the basin of attraction of the desired infected equilibrium. We are in a backward bifurcation situation. The bistable situations occurs with natural biological values for the parameters. Nous proposons un modèle d'infection par Wolbachia d'une population d'Aedes aegypti. Ce modèle est conçu pour prendre en compte à la fois l'histoire naturelle de cette infection et aussi l'introduction de données disponibles obtenues expérimentalement sur le terrain. Nous donnons un analyse complète du modèle ainsi que le taux de reproduction de base R0 pour Wolbachia. On observe un phénomène de bistabilité. Deux équilibres sont stables : un équilibre où toute la population est non infectée et un équilibre où toute la population est infectée. Un troisième équilibre (instable) existe. On donne des bornes inférieures pour l'équilibre recherché de complète infestation. On est dans une situation de bifurcation rétrograde. Cette situation de bistabilité est obtenue avec les valeurs des paramètres biologiquement normales.
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Sanogo, B., B. Diarra, H. Sangho, and A. Ag iknane. "Le niveau de satisfaction des patients hospitalisés dans le district sanitaire de Koutiala au Mali en 2019." Mali Santé Publique, June 30, 2019, 57–65. http://dx.doi.org/10.53318/msp.v9i01.1480.

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Abstract:
Introduction: Le respect des besoins et souhaits des patients est central dans tout système de santé. Présentée comme un paramètre d'évaluation des services publics, la satisfaction des usagers est considérée comme un indicateur de la qualité des soins. C'est dans cette optique et suite à de multiples plaintes de la part des usagers que nous avons jugé utile d'étudier la satisfaction des patients hospitalisés dans le district sanitaire de Koutiala. Méthodes: Une étude transversale mixte portant sur 83 patients a été mené de Juin à Juillet 2019. Le questionnaire comparis.ch adapté et traduit en langue locale (Bambara) pour accessibilité a été administré en face à face. Résultats: Avec un sex- ratio de 0,63 en faveur du sexe féminin, l'âge moyen était 39,3 ± 19,5 ans avec des extrêmes de 11-85 ans. Les non scolarisés représentaient 51,81%. La tranche d'âge 18-34 ans représentaient 41%, 47% provenaient des communes urbaines de Koutiala. Le taux de satisfaction globale était 94%. Les principaux éléments associés à une bonne satisfaction étaient : la confiance aux soignants (p 0,002), le délai d'attente en cas de besoin (p 0,04), la sécurité des soins (p 0,017), l'intention de recommander (p10⁻³), la qualité des prestations (p 10⁻³). Ceux incriminés dans l'insatisfaction étaient: l'exigence d'une caution (p 0,003), la vente de médicament par les soignants. Conclusion: La satisfaction globale des patients hospitalisés était liée à une amélioration de leur état de santé, cependant les points d'insatisfactions énumérés constituent des thèmes privilégiés d'action.
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Li, Sophia, Christopher Reynaert, Annie Ling Su, and Sonja Sawh. "Efficacy and Safety of Infliximab in Pediatric Crohn Disease: A Systematic Review and Meta-Analysis." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 72, no. 3 (June 25, 2019). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v72i3.2903.

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Abstract:
<p><strong>ABSTRACT</strong><br /><strong></strong></p><p><strong>Background:</strong> Crohn disease is an inflammatory bowel disease with intermittent symptoms relating to damage to the gastrointestinal tract. Compared with adult-onset Crohn disease, the childhood-onset form is more likely to be severe. Infliximab has shown efficacy in adult patients. <br /><strong></strong></p><p><strong>Objective:</strong> To examine the efficacy and safety of infliximab in pediatric Crohn disease, by means of a systematic review.<br /><strong></strong></p><p><strong>Data Sources:</strong> Three databases (MEDLINE, Embase, and Cochrane Central Register of Controlled Trials) and regulatory documents were searched from inception to December 2017. Clinical trial registries, conference abstracts, and reference lists were searched to March 2018.<br /><strong></strong></p><p><strong>Study Selection and Data Extraction:</strong> Randomized controlled trials (RCTs) and prospective cohort studies that compared infliximab with active control were included in the analysis. Two reviewers independently performed screening, extracted data, and assessed risk of bias. The primary outcomes were induction and maintenance of endoscopic remission and severe adverse effects. <br /><strong></strong></p><p><strong>Data Synthesis:</strong> Three eligible RCTs comparing different dose regimens, 16 prospective cohort studies comparing infliximab with other therapies (adalimumab, exclusive enteral nutrition, or standard of care), and 3 prospective cohort studies comparing different infliximab regimens were identified. Meta-analysis of the RCTs showed no significant difference between infliximab every 8 weeks compared with longer intervals for maintenance of clinical remission (risk ratio [RR] 1.76, 95% confidence interval [CI] 0.98–3.19). Meta-analyses of the prospective cohort studies showed no significant differences between infliximab and adalimumab for maintenance of endoscopic remission (RR 1.07, 95% CI 0.60–1.92), between infliximab and exclusive enteral nutrition for induction of clinical remission (RR 1.09, 95% CI 0.82–1.45), or between infliximab and standard of care for maintenance of clinical remission at 6 and 12 months (RR 1.12, 95% CI 0.58–2.17, and RR 1.24, 95% CI 0.84–1.84, respectively).<br /><strong></strong></p><p><strong>Conclusions:</strong> Current evidence suggested comparable efficacy for inflix-imab and other therapies; however, the available literature was limited by risk of bias and small sample size. Further prospective studies are needed to confirm the efficacy and safety of this drug in pediatric Crohn disease.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong><br /><strong></strong></p><p><strong>Contexte :</strong> La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire de l’in-testin, dont les symptômes intermittents sont liés à des lésions du tractus gastro-intestinal. Comparativement à la maladie de Crohn se déclarant à l’âge adulte, celle qui se déclare dans l’enfance risque d’être plus grave. L’infliximab s’est avéré efficace chez l’adulte. <br /><strong></strong></p><p><strong>Objectif :</strong> Étudier l’efficacité et l’innocuité de l’infliximab chez l’enfant atteint de la maladie de Crohn à l’aide d’une analyse systématique.<br /><strong></strong></p><p><strong>Sources des données :</strong> Trois bases de données (MEDLINE, Embase, ainsi que le Registre central Cochrane des essais comparatifs) ont été interrogées et des documents réglementaires ont fait l’objet d’une recherche depuis leur création jusqu’en décembre 2017. Une consultation des registres d’es-sais cliniques, des résumés de conférences et des listes de références a eu lieu jusqu’en mars 2018.<br /><strong></strong></p><p><strong>Sélection des études et extraction des données :</strong> L’analyse a porté sur des essais cliniques à répartition aléatoire (ECRA) et des études de cohorte prospectives comparant l’infliximab au traitement actif. Deux examina-teurs indépendants ont procédé à la sélection et à l’extraction des données ainsi qu’à l’évaluation des risques de biais. L’induction et le maintien d’une rémission endoscopique ainsi que les effets indésirables graves étaient les principaux paramètres d’évaluation. <br /><strong></strong></p><p><strong>Synthèse des données :</strong> Trois ECRA admissibles comparant différents schémas posologiques, 16 études de cohorte prospectives comparant l’infliximab à d’autres traitements (l’adalimumab, une alimentation exclusivement entérale et les soins d’usage) et trois études de cohorte prospectives comparant différents schémas posologiques d’infliximab ont été sélectionnées. Une méta-analyse des ECRA ne montrait aucune différence significative entre un traitement à l’infliximab toutes les huit semaines comparativement à des intervalles plus longs pour le maintien d’une rémission clinique (risque relatif [RR] de 1,76, intervalle de confiance [IC] à 95 % de 0,98–3,19). Des méta-analyses des études de cohorte prospectives ne montraient aucune différence significative entre l’inflix-imab et l’adalimumab pour le maintien d’une rémission endoscopique (RR de 1,07, IC à 95 % de 0,60–1,92), aucune différence non plus entre l’infliximab et une alimentation exclusivement entérale pour l’induction d’une rémission clinique (RR de 1,09, IC à 95 % de 0,82–1,45) ni entre l’infliximab et les soins d’usage pour le maintien d’une rémission clinique à six et douze mois (respectivement : RR de 1,12, IC à 95 % de 0,58–2,17 et RR de 1,24, IC à 95 % de 0,84–1,84). </p><p><strong>Conclusions :</strong> Les données probantes actuelles laissaient entendre que l’efficacité de l’infliximab était comparable à celle des autres traitements; cependant, les articles disponibles étaient insuffisants en raison du risque de biais et de la faible taille de l’échantillon. De plus amples études prospectives sont nécessaires pour confirmer l’efficacité et l’innocuité de ce médicament chez l’enfant atteint de la maladie de Crohn.</p>
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