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Dissertations / Theses on the topic 'Rawls, John, 1921-2002 – Et la justice sociale'

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Dumitru, Speranta. "Le concept de "voile d'ignorance" dans la philosophie de John Rawls." Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0085.

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Abstract:
John Rawls (1921-2002) a soutenu que les principes de la justice doivent être choisis derrière un "voile d'ignorance", c'est-à-dire sans que personne ne connaisse ni sa place dans la société, ni ses talents ni sa conception du bien. Cette thèse montre que fonder la justice sur l'idée du voile d'ignorance est une entreprise tant vaine que problématique. Premièrement, son inutilité tient à l'impossibilité de dériver les deux principes de Rawls et, plus généralement, de soutenir une position égalitaire. Aux démonstrations des économistes, cette thèse ajoute une observation épistemologique : pour que l'ignorance puisse constituer une prémisse pour la dérivation des principes, elle doit toujours être traduite en une forme de savoir. Comme les arguments fondés sur l'ignorance sont indirects, la justification des principes serait plus solide si elle procédait à partir de ce savoir même. En second lieu, on montre que le voile d'ignorance rawlsien a un caractère problématique si l'on juge selon les intuitions qu'il engage. Cette dissertation montre, par exemple, que l'idée selon laquelle la répartition des talents serait le fruit du "hasard naturel", malgré son apparence intuitive, est difficilement défendable. De même, il n'est pas suffisant, selon les arguments présentés ici, de choisir les principes de la justice derrière un voile d'ignorance pour garantir leur équité
John Rawls (1921-2002) has argued that principles of justice are to be chosen behind a veil of ignorance, that is, without any knowledge of one's place in society, including one's talents and one's conception of good. The present dissertation shows that grounding justice on the veil of ignorance is not only useless but problematic. Firstly, the uselessness is evidenced by the impossibility of deducing the two rawlsian principles and, more generally, of an egalitarian principle. Building on the economists' proofs, we observe that for ignorance be the premise of an argument, it is always necessary to translate the absence of belief into ab existing form of belief. Since arguments based on ignorance are indirect and useless it seems clear that one is better off working from the more solid foundation of the existing belief. Secondly, the dissertation argues that underlying intuitions of the veil of ignorance are problematic. It is shown, for instance, that viewing talents as a result of "natural lottery", is an idea barely defensible despite its intuitive appeal. It is also argued that a veil of ignorance is not sufficient to insure the fairness of the principles thus chosen
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Bankovsky, Miriam Ann. "La Justice sociale après Kant : entre constructivisme et déconstruction (Rawls, Habermas, Lévinas, Derrida)." Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100117.

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Abstract:
Le but de cette thèse est d’examiner le rapport entre deux approches de la justice : d’une part, le projet constructiviste et reconstructiviste de Rawls et Habermas et d’autre part, le projet déconstructionniste de Lévinas et Derrida. Nous cherchons d’abord à identifier la différence centrale entre les approches, reconstruisant chaque théorie de la justice telle qu’elle se construit en rapport avec la philosophie pratique de Kant. Nous montrons ensuite que ces deux projets sont complémentaires. Rawls et Habermas défendent la possibilité de déterminer le contenu de l’impartialité kantienne au moyen de « la position originelle » ou du « principe de discussion ». Au contraire, Lévinas et Derrida soutiennent l’impossibilité de cerner le contenu de la justice. A partir d’une lecture non-kantienne du principe moral, Lévinas défend un concept non-formel de responsabilité pour autrui. Certes, Derrida affirme la possibilité de la justice, mais il soutient aussi que sa forme déterminée ne saurait réconcilier la responsabilité devant autrui avec l’idée d’impartialité. Nous défendons ensuite la complémentarité de ces deux projets. « La foi raisonnable » dans la possibilité de la justice doit être complétée par l’affirmation de son impossibilité. En revanche, la défense de l’impossibilité est insatisfaisante sans affirmer la possibilité de construire une société équitable. En nous éloignant de la critique libérale selon laquelle la déconstruction se retire de la politique (Fraser, McCarthy, Benhabib), nous apportons notre appui à des voix dissidentes (Cornell, Mouffe, Honig, Young, Honneth, Patton, Thomassen) qui font valoir que la déconstruction est utile à la tradition constructiviste
This thesis examines the relation between two contrasting approaches to justice: the constructive and reconstructive projects of Rawls and Habermas on the one hand, and the deconstructive projects of Levinas and Derrida on the other. First, I identify the central difference between the two projects, reconstructing each account of justice as it develops in relation to Kant’s practical philosophy. I then argue that the two projects are complementary. Whilst Rawls and Habermas defend the possibility of objectively realising Kant’s impartial standpoint by means of the “original position” or the “procedures of discourse ethics”, Levinas and Derrida affirm the impossibility of determining the content of justice. In Kant’s moral law, Levinas discovers a non-Kantian principle of responsibility for the particular other which conflicts with impartiality. Distinguishing himself still further, Derrida defends the “undecidability” of justice’s function. Justice must be pursued but no local determination can reconcile responsibility for the other with impartiality among all. I then defend the complementarity of the two projects. “Reasonable faith” in the possibility of justice must be supplemented by the acknowledgment of its impossibility. Conversely, attesting to justice’s failure is unsatisfactory without commitment to the possibility of constructing just social forms. Distancing myself from the liberal critique whereby deconstruction withdraws from the political (Fraser, McCarthy, Benhabib), I instead add my voice to a dissenting group (Young, Cornell, Mouffe, Honig, Honneth, Patton, Thomassen) which affirms that deconstruction can productively engage with the constructive tradition
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Noumbissie, Tchamo Daniel Blaise. "La théorie rawlsienne de la justice et les relations internationales." Thesis, Metz, 2009. http://www.theses.fr/2009METZ029L.

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Abstract:
Nous soutenons, contre Rawls, l'établissement de la justice distributive à l'échelle globale à partir de la thèse de la justice sociale développée par Rawls dans la "Théorie de la justice et rejetée dans le "Droit des gens". Rawls limite l'application de sa théorie de justice sociale aux société libérales bien ordonnées alors même qu'une structure sociale globale est envisageable. Nous analyserons la justice économique et sociale mondiale. le principe de différence exige que les inégalités produites par les institutions sociales soient conçues de manière à optimiser la position des plus défavorisés de la société. Ainsi recouvre-t-il une grande importance dans l'universalisme moral de la théorie de la justice comme équité à partir d'une position originelle sans voile d'ignorance. Du point de vue cosmopolitique, nous nous alignons sur la position de Thomas Pogge, auteur de "Realizing Rawls" pour montrer comment cette substance ambitieuse de la théorie sociale peut, dans le domaine du droit des gens, faire de la position sociale des moins avantagés de l'ordre économique global une pierre de touche pour l'établissement des institutions de bases globales justes et équitables. Ce faisant, nous avons l'intention de mener la globalisation des valeurs sociales et environnementales pour combler l'écart entre la "Théorie de la justice" et le "Droit des gens". Nous comptons lutter contre les abréviations des principes de "biens sociaux premiers" dans la recherche de la réalisation du second principe rawlsien de la justice. Enfin le développement glocal devient pour tous la nouvelle donne pour l'ensemble de projets à cause de multiples interconnections et interférences dans le jeu dual entre le global et le glocal
Against John Rawls we support the etablishment of distributive justice on a global scale from the theory of social justice shaped by rawls in "Theory of justice" and released to the "Law of peoples. Rawls limits domestically enforcement ot theory of social justice to well-ordered societies although a global basic structure can warrant principles of distributive justice as we claim here. This global distributive justice will explore the same conditions that are already settled at the domestic level in order to respond to the requirements of global economic and social justice. The difference principle requires that social institutions, insofar as they produce inequalities, be structured so as to optimize the index position of the least advantaged. So it takes a great importance in the moral universalism of the theory of justice as fairness from the original position without Rawls's veil of ignorance. In the cosmopolitan view, we join Thomas Pogge, author of Realizing Rawls, to show how this substance ambitious Rawls's theory of social justice might imply in space of law of peoples, to the social position of the least advantaged the current global economie order a touchstone for establisment of the global institutions of the institutions of global bases just anf fair. In doing so, we intend to glocalization social values to bridge gap between Rawl's A theory of justice and Law of peoples and cope with abridgments of first-principle goods for the sake of raising second principle scores. At the end glocal development becomes the new deal for all because of various interconnexions and interferences in the dual game between global and local
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Boucher, François. "Cosmopolitisme et justice distributive globale." Thesis, Université Laval, 2007. http://www.theses.ulaval.ca/2007/24678/24678.pdf.

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Bayoumi, Soha. "Entre libéralisme et social-démocratie : une analyse critique des théories contemporaines de la justice." Paris, Institut d'études politiques, 2012. http://spire.sciences-po.fr/hdl:/2441/7o52iohb7k6srk09miss415r4.

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Abstract:
Cette thèse prétend aller au-delà du fameux débat entre libéraux et communautariens, pour divulguer un autre débat potentiel dissimulé, celui entre libéralisme et social-démocratie. Il s’agit de contribuer à une nouvelle lecture du débat suscité par la publication par John Rawls de son ouvrage important, Théorie de la justice, en tentant d’étudier les points de rapprochement et d’éloignement entre le libéralisme et la social- démocratie, et de voir si le libéralisme du welfare ou la social-démocratie a pu créer un modèle différent de justice distributive et d’égalité et d’étudier ses approches vis-à-vis des questions de la neutralité, de la liberté et de l’Etat de droit. L’hypothèse adoptée par cette recherche est donc que la social-démocratie, surtout dans la philosophie analytique anglo-saxonne, n’est qu’une forme du libéralisme, un libéralisme qui croit en l’importance pour l’état de manifester à tous les citoyens un respect égal, un libéralisme qui épouse l’égalitarisme (où le cœur, la signification et les critères de l’égalité sont définis de manières variées), un libéralisme qui, tout en respectant le marché et croyant en son importance, se trouve obligé de remédier aux injustices qui s’en suivent. Une méthode de lecture analytique, comparative et critique a été adoptée pour comprendre les origines des idées défendues par les auteurs qui font l’objet de cette étude et pour examiner les points de rapprochement et d’éloignement entre le libéralisme et la social- démocratie autour des divers axes constituant ce qu’on peut qualifier de principales théories de la justice dans la pensée politique libérale contemporaine
This thesis aims to go beyond the famous liberal-communitarian debate in order to explore another potential debate, which is that between liberals (notably classical liberals) and social democrats (welfare liberals). The goal is to contribute to a new reading of the debate which was launched by the publication of John Rawls’s a Theory of justice in 1971 and to attempt to study the points of convergence and divergence between classical liberalism and welfare liberalism, focusing on what welfare liberalism has to offer in matters of equality and distributive justice and if it can be seen as proffering a viable and coherent model of its own. This research relies on the hypothesis that social-democracy (or welfare liberalism), notably in anglo-saxon analytic philosophy, is a variant of liberalism, a liberalism that takes seriously the idea that the state should show equal concern toward its citizens, a liberalism that espouses egalitarianism (even though it provides significantly different meanings and criteria of equality), a liberalism that, while upholding free-market economy and highlighting its importance, strives to remedy the injustices created by this economy. The research adopts an analytical, comparative and critical method in its attempt to understand the ideas defended by the authors that it studies and to examine the points of convergence and divergence between welfare liberalism and classical liberalism around several axes that constitute what can be referred to as the main theories of justice in contemporary liberal philosophy
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Ponce, Fernando. "La pauvreté dans une conception de la société juste : d'Amartya Sen à John Rawls." Paris 10, 2004. http://www.theses.fr/2003PA100018.

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Abstract:
Ce travail est une tentative pour étudier la manière dont le problème de la pauvreté peut influencer la formation d'une conception de la société juste. Nous voudrions soutenir que la pauvreté, dans la mesure où elle est perçue comme une injustice, constitue une perspective valable, intéressante et novatrice dans la discussion contemporaine sur la société juste. Cette affirmation signifie (niveau général) que la pauvreté, consodérée comme le manque de ce qui est fondamental pour vivre dignement, peut être un problème à priori au moment de penser la société juste. Elle veut dire aussi (niveau particulier concernant Amartya Sen et John Rawls) que si la pauvreté est un manque radical de liberté d'agir, comme Sen le suggère, elle devrait être abordée dans la position originelle de la théorie de la justice que Rawls propose, là où sa conception de la justice prend naissance. Comment allons-nous procéder ? En nous inspirant de Karl Jaspers, nous dirons que le phénomène de la pauvreté peut être un point de départ et offrir un certain contenu pour le débat sur la société juste et nous expliquerons alors ce que nous entendons par point de départ (première partie). Ensuite, nous aborderons la signification philosophique de la pauvreté ; autrement dit, nous proposerons une "perspective de la pauvreté" pour la société juste à partir des contributions de Sen, Aristote, Spinoza et Locke. Cette élaboration progressive nous permettra ainsi de présenter les enjeux de la pauvreté pour la constitution d'une communauté politique (deuxième partie). Enfin, en faisant converger notre perspective et la conception de la justice de Rawls nous montrerons comment la pauvreté interpelle celle-ci, tant au niveau des présupposés de la position originelle qu'au niveau des principes qui pourraient être éventuellement adoptés, (troisième partie)
This thesis is an attempt to study the way in which the problem of poverty affects the development of an idea of the just society. We want to affirm that poverty, to the extent that it is construed as an injustice, can yield a perspective which is valid, interesting and innovative for the contemporary discussion on the just society. In general, this proposal means that poverty, understood as the lack of the fundamentals for a decent life, can be an "a priori" problem when it comes to thinking about the just society. More specifically, and in a way which concerns Amartya Sen and John Rawls, it also means that if poverty is a radical lack of "agency freedom", as Sen suggests, it should be addressed in the original position of Rawls' theory of justice, in the very place where his conception of justice is born. How are we to proceed ? Taking our inspiration from Karl Jaspers, we shall argue that the phenomenom of poverty can be a point of departure, and can provide a certain content for the debate about the just society and then we shall explain what we mean by "point of departure" (Part 1). Next, we address the philosophical meaning of poverty ; in other words, we shall propose "a poverty perspective" for the just society drawing on the contributions of Sen, Aristote, Spinoza and Locke. This on-going process will thus allow us to set out what is at stake for the constitution of a political community when it comes to the question of poverty (Part 2). Finally, conflating our perspective with Rawls' theory of justice, we show how poverty challenges this theory, as much in connection with what it assumes in the original position, as with the principles of justice which might be adopted (Part 3)
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Langis, Georges. "Une critique normative de l'éducation scolaire québécoise au regard de la théorie politique de John Rawls." Thesis, Université Laval, 2004. http://www.theses.ulaval.ca/2004/22291/22291.pdf.

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Abstract:
Cette étude est une critique normative de l'éducation scolaire québécoise selon une conception de la justice sociale, celle de la théorie de la justice de J. Rawls. L'analyse emprunte la porte d'entrée de la légitimité morale de ses pratiques. Un important rappel historique, traduit dans une perspective politique, puis interprété dans les termes de la philosophie politique, compose son volet empirique et révèle notre objet d'analyse, une “philosophie publique” de l'éducation québécoise. L'analyse normative de cette dernière, prise pour représentation conceptuelle de l'éducation québécoise, scolaire et publique, et conduite en rapport avec la conception libérale égalitaire de Rawls, révèle une conception utilitariste dominante politiquement et inadéquate au regard du caractère moral des personnes. Une conception non seulement inadéquate mais injuste selon Rawls, vu la primauté kantienne des personnes qu'il défend.
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Hauchecorne, Mathieu. "La fabrication transnationale des idées politiques : Sociologie de la réception de John Rawls et des "théories de la justice" en France (1971-2011)." Thesis, Lille 2, 2011. http://www.theses.fr/2011LIL20013.

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Abstract:
Au carrefour de la sociologie des élites, de l’histoire intellectuelle et des études de réception, cette recherche explore les mécanismes par lesquels les discours théoriques et les idées politiques circulent entre pays, entre disciplines, et entre mondes savants et politiques. Elle prend pour objet la réception, dans les champs intellectuel et politique français, de la théorie de la justice sociale de John Rawls et du vaste débat ouvert par celle-ci dans le monde anglophone à partir de 1971. Contribution à une histoire sociale des idées politiques contemporaines, elle combinel’observation in situ de séminaires d’experts, de colloques universitaires, l’ethnographie de discussions en ligne, avecune enquête statistique, et l’étude d’archives administratives, universitaires et éditoriales. La description desréférences à Rawls, Sen ou Walzer dans les publications académiques, la presse, les programmes politiques, l’actionpublique ou les programmes scolaires fonctionne ainsi comme un analyseur de reconfigurations plus globales, comme la domination accrue de l’anglais sur les échanges culturels transnationaux, le déclin des référentiels marxistes et keynésiens au sein de la gauche française, ou la remise en cause du paradigme structuraliste au sein des sciences humaines et sociales françaises. On montre comment les appropriations des « théories de la justice » et leurs circulations se rapportent à la position occupée par leurs médiateurs et la structure du milieu d’interconnaissance qu’ils constituent. Alors que la sociologie de la réception a souvent négligé l’analyse du contenu des appropriations, on montre en outre comment une lecture sociologique de celles-ci permet d’expliquer des affinités ressenties par ces médiateurs pour la pensée de Rawls, par delà les frontières nationales, disciplinaires et sectorielles
Spanning the sociology of elites, intellectual history, and reception studies, this research explores how theories and political ideas are circulated across countries and disciplines, as well as between the academic and political worlds. Starting in 1971, it studies the French intellectual and political reception of John Rawls’s theory of social justice, and more broadly of the debates it sparked in the English-speaking world. Contributing to a historical sociology of political ideas, this dissertation combines ethnography in think-tanks and academic conferences, as well as in online discussions, with a statistical survey, and the study of archives of publishers, academics and administrations. Through the exploration of references to Rawls, Sen or Walzer in academia, the press, political platforms or curricula, we show how this reception is an analyzer of broader changes, such as the growing dominance of English in transnational cultural exchanges, the declining recourse to Marxist and Keynesian paradigms in the French Left, and the questioning of centrality of structuralism in social sciences and the humanities in France. It shows that the very diverse ways in which “theories of justice” have been appropriated and circulated in France depend on the social location of their mediators, and on how their networks are structured. Whereas the sociology of reception has often overlooked the internal analysis of appropriations, this research shows how analyzing them sociologically helps explain why these mediators felt elective affinities with Rawls’s thought, despite national, disciplinary and sectoral boundaries
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Mbonda, Ernest-Marie. "Justice et droits de l'homme chez John Rawls." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040079.

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Abstract:
Cette étude est une exploration analytique et critique de la théorie de John Rawls à partir du problème de la fonction des droits de l'homme dans cette théorie. Son premier objectif est de montrer qu'une théorie du droit ou de la justice ne peut être éthiquement valide que si elle prend pour critère l'idée régulatrice de l'inviolabilité des droits humains. Cette hypothèse s'appuie sur une confrontation entre le rawlsisme et les théories dominantes de la justice telles l'utilitarisme, le libéralisme, l'égalitarisme et le communautarisme, où il apparait que la supériorité de la théorie de Rawls tient à une compréhension plus complète et plus équilibrée de la notion des droits de l'homme. Le second objectif du travail prolonge le premier en soutenant, contre Rawls, que si la force de sa théorie réside dans la fonction qu'y exerce l'idée des droits de l'homme, la démarche procédurale/contractualiste/constructiviste mise en place pour les légitimer ne constitue pas la poutre maitresse de son argumentation. Cette démarche est présupposée par une fondation éthique. Transcendantale implicite. De cette inversion de l'ordre des raisons dans la construction rawlsienne, on déduit que sa théorie, à moins de renoncer totalement à ce qui en constitue la force, ne peut revendiquer un statut de neutralité. Le pluralisme axiologique qui fonde cette revendication n'est pas aussi radical que semble le supposer Rawls, car une fondation objective et universaliste s'inscrit dans l'ordre non seulement du souhaitable, mais aussi du possible.
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Bakali, Hassani Abdellatif. "La Justice sociale dans la société contemporaine : à propos de la théorie rawlsienne de la justice." Paris 8, 2001. http://www.bibliotheque-numerique-paris8.fr/fre/ref/167943/180260413/.

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Abstract:
La réflexion sur la justice sociale suscite un grand intérêt dans la société contemporaine, que ce soit dans les débats sur les principes d'égalité, de liberté, dans les réflexions sur les institutions de l'Etat-Providence et sur la démocratie, ou encore dans les controverses sur le pluralisme et la tolérance. L'actualité de nos sociétés modernes marquées non seulement par l'inégalité et l'injustice, mais aussi par le pluralisme des conceptions du bien et des visions du monde, pousse de plus en plus l'exigence de justice sociale comme une préoccupation majeur des hommes. Mais comment mettre en oeuvre une telle requête quand l'économique domine le politique et impose ses lois, et que les grandes institutions politiques ou autres sont en crise de signification? Quels sont les principes qui permettent d'organiser une juste coexistence stable entre des citoyens qui peuvent affirmer publiquement leur différences tout en. . .
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Matar, Sayed. "Les fondements de la justice politique : théorie rawlsienne et communautarisme." Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040075.

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Abstract:
Si l’étude de la mouvance dite « communautarienne » semble si digne d’attention, c’est précisément parce que ses arguments ne sont pas avancés au nom de communautés closes et régressives mais au nom de la démocratie elle-même. Le « communautarisme philosophique » qui nous intéresse ici se distingue radicalement d’une vision ethnique ou holistique du lien politique. De façon synthétique, l’argument communautarien soutient la priorité du bien sur le juste (right), priorité au double sens d’un primat politique et d’une antériorité morale et culturelle, c’est-à-dire du contenu du bien sur les procédures garantissant l’équité. Inversement, pour les « libéraux », la priorité du juste sur le bien signifie que les droits individuels ne peuvent pas être sacrifiés au nom d’un bien commun, et que les principes de justice (les droits fondamentaux) ne peuvent être dérivés d’une conception du bien et doivent au contraire être établis indépendamment de toute conception du bien. Libéral, John Rawls, situe le malaise de la tradition démocratique par l’incapacité de cette dernière à articuler de manière équitable les notions de liberté et de l’égalité. S’amorce ainsi un débat, pour les communautariens, autour de la définition de l’identité démocratique : le politique et le culturel précèdent-t-ils le droit ou les droits subjectifs libéraux l’emportent toujours par leur priorité ?
If the study of the movement known as ‘‘communitarianism’’ seams worthy of attention, this is precisely because its arguments are not advanced on behalf of regressed and closed communities but in the name of democracy itself. The ‘‘philosophical communitarianism’’ that interests us here is radically different vision of holistic ethnic or political link. In brief, the communitarian argument supports the priority of the good on the right, priority in the double meaning of a primate politic and has a prior moral and cultural anteriority, that is to say, the content of the course procedures guaranteeing fairness. Conversely, for the liberals, priority of the right over the good means that individuals rights can’t be sacrified in the name of a common good, and that the principles of justice (human rights) cannot be derived from a conception of the good and instead must be established independently of any conception of the good. Liberal, John Rawls, situates the discomfort of the democratic tradition by the inability of the latter was handed manner to articulate the concepts of liberty and equality. Begins as a debate, for communitarians, around the definition of democratic identity : do the political and the cultural define the right or are the liberal subjective rights won by their priority?
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Ridel, Serge. "Essai sur la destination du droit." Paris 10, 2001. http://www.theses.fr/2001PA100017.

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Abstract:
L'esprit de justice implique de faire ce qu'on doit, en donnant a chacun ce a quoi il a droit. Il y a primaute du juste dans le droit et par le droit. Mais c'est aussi pratiquer l'equitable en tant que correctif de la justice legale. La relation justice-droit est fondamentale, car la justice est la finalite du droit. L'idee, "suum quique tribuere" reliee a ce que perelman appelle la justice formelle, que signifie l'exigence de justice ?. . . Cette justice dite encore abstraite se definit comme un principe d'action, selon lequel les etres d'une meme categorie essentielle doivent etre traites de la meme facon. Si le pouvoir refuse d'appliquer une regle posee par lui, la justice formelle impose au souverain le principe : "pacta sunt servanda". L'avantage concede se mesure a l'aune de la regle "prorata temporis", perseverence de la regle que l'on ne peut changer sans reste du jour au lendemain. La justice concrete decouvre le caractere mutant des normes pour connaitre ce que du. Des lors, la raison ne peut predire le resultat de leur contenu ; alveoles vides, leur remplissement reclame un choix ethique. C'est la regle "procedurale" qui verifie que la norme est acceptable parce que juste. Verifier ce que du, c'est constater l'existence de difficultes. Quelle est la nature du merite ? rawls a tente de formuler une conception de la justice detachee de cette idee. Depuis la reforme protestante dans les societes liberales, il n'existe plus de conception du bien pour rallier la totalite de la population. Il propose un systeme politique liberal, qu'il appelle : "overlapping consensus",compromis tres particulier, satisfaction artificielle d'un calcul strategique, chacun de penser : "je l'accepte parce qu'il m'arrange". Les principes de justice sont decouverts hors des conceptions particulieres du bien. Solution elitiste critiquee par habermas qui fait confiance a la confrontation la plus large des conceptions du bien, ce que rawls ecarte. La vieille loi morale n'a pas change, impregnee d'ideal, elle corrige les inegalites entre les hommes.
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Mestiri, Soumaya. "La conception de la personne dans la philosophie de John Rawls : essai de reconstruction de la théorie de justice comme équité." Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010567.

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Abstract:
Le but de ce travail est de s'interroger sur la conception de la personne à l'intérieur de la philosophie de John Rawls et, à partir des résultats de cette investigation, de tenter de formuler un certain nombre de principes directeurs à l'aune desquels nous pourrions reconstruire la théorie de la justice comme équité. L'intuition fondamentale qui sous-tend notre propos est que le système de Rawls repose sur une conception de la personne qui n'est pas exclusivement politique (présence d'un hétéronomie qui court à travers toute la théorie, inscription dans une tradition libérale calviniste, entre autres choses) et qu'il est informé par un certain nombre d'éléments qui sonnent comme autant de composantes d'une anthropologie philosophique (prémices d'une théorie des sentiments moraux, présence d'une méta-conception du bien). Nous montrerons dans quelle mesure cette intuition est avérée, c'est-à- dire que nous mettrons en évidence les acrobaties et autres nuances conceptuelles que Rawls est obligé de faire pour préserver une cohérence que son système ne peut avoir qu'à ce prix. Le dernier moment de ce travail tirera les enseignements de ces ambigui͏̈tés conceptuelles en essayant d'arracher la théorie de la justice comme équité à un arrière-plan kantien qui n'a plus grand-chose de tel pour la fonder sur une anthropologie philosophique qui montre que l'idéal de justice est réalisable pour peu que l'on prenne I 'homme au sérieux et que l'on satisfasse de manière adéquate à une condition de partialité raisonnable tout aussi constitutive de la justice que l'impartialité.
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Hawi, Rima. "La théorie de la justice de John Rawls à l'aune de l'économie : une reconstruction." Thesis, Paris 10, 2011. http://www.theses.fr/2011PA100068.

Full text
Abstract:
L’ambition initiale de Rawls est de présenter une analyse de la justice distributive supérieure à la conception utilitariste, incapable, selon lui, de fournir une base satisfaisante de la justice dans le cadre d’une démocratie. Pour ce faire, Rawls mobilisera, dans son principal ouvrage Théorie de la Justice [1971], des idées empreintes de la philosophie politique et morale anglosaxonne mais également de très nombreux concepts forgés par les économistes. Cet ouvrage devient ainsi une référence incontournable pour la philosophie politique contemporaine mais aussi pour les théories économiques de la justice sociale. Notre thèse se propose de reconstruire la théorie de Rawls dont les études, nombreuses mais morcelées, ont donné lieu à des interprétations très contradictoires. Etudier la pensée de l’auteur à l’aune de l’économie sert à donner une cohérence d’ensemble à la justice comme équité, depuis sa genèse jusqu’à ses derniers développements. Cette méthodologie, en effet, nous permet de montrer qu’au-delà de l’indétermination du principe de différence – qui peut justifier tant une politique ultralibérale qu’une politique inspirée des idéaux socialistes – l’amélioration de la situation des plus défavorisés passe par le dépassement du système capitaliste. Ce système n’est pas à même de répondre aux exigences des principes de justice défendus par Rawls
Rawls’ first ambition is to present an analysis of social justice superior to utilitarian conception, enable, according to him, to provide a satisfactory account of justice in the context of democracy. In order to do that, Rawls took, in his main book A Theory of Justice [1971], ideas imprinted of moral and political philosophy but also many concepts built by the economists. This work became consequently the reference to contemporary political philosophy and also to economic theory of social justice. Our thesis proposes to reconstruct the theory of Rawls. Indeed many but fragmented researches gave rise to conflicting interpretations of this theory. So studying Rawls’ thought regarding economics allows us tobring an overall consistency to the justice as fairness, from its genesis to its last developments. Our methodology aims to show, that beyond the indetermination of the Difference principle – which can either supply an ultraliberal policy or a policy inspired by socialist ideals – the improvement of the situation of the least advantaged required to go beyond capitalism. This system is enable to answer to the requirements of the principles of justice defended by Rawls
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Fouquet, Etienne. "Morale et économie : une recherche de principes de limitation de la pensée économique : applications particulières aux cas de Adam Smith, John Rawls et Amartya Sen." Poitiers, 2010. http://www.theses.fr/2010POIT5003.

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Abstract:
La question de savoir s'il est possible de trouver un ou des principes permettant de limiter l'influence que peuvent exercer sur la société la pensée économique, et les comportements qui lui sont associés, a souvent été évoquée par la philosophie. L'influence de cette dernière semble aujourd'hui affaiblie par le développement d'une science économique moderne d'inspiration libérale, tout particulièrement dans le monde anglophone. L'œuvre de trois penseurs qui en sont issus est analysée de manière détaillée : celles d'Adam Smith, de John Rawls, et d'Amartya Sen, économiste de renom ouvert aux questions philosophiques soulevées par les deux premiers. Sans recourir à un système de pensée préétabli à partir de considérations philosophiques, morales, ou religieuses, cet examen approfondi est stimulé par la question initiale. L'évolution de la pensée économique est étudiée en parallèle, avec un accent mis sur le monde anglo-américain où l'influence de la doctrine utilitariste a été particulièrement marquée. Ce n'est qu'au terme de ces recherches que peut se préciser l'axe principal d'une critique de la pensée économique : ses bases anthropologiques apparaissent comme des plus limitées, ce que les développements mathématiques impressionnants qui l'ont accompagnée finissent par occulter
The issue of knowing whether it is possible to find one or several principles able to limit the influence on society of economic thought, and associated behaviour, has often been raised by philosophy. To-day, the latter’s influence appears weakened by the development of modern liberal economic science, particularly in the English speaking world. The work of three of its representative thinkers, namely Adam Smith, John Rawls, and Amartya Sen, a prominent economist opened to philosophical issues raised by the first two, is scrutinized. Without any preconceived thought based on philosophical moral or religious considerations, this scrutiny is stimulated by the opening question. The progress of economic thought is reviewed in parallel, mainly in the English and American world where the influence of utilitarianism has been particularly strong. It is only when these inquiries have been completed that can be specified the main axis of a critique of economic thought: the limits of its anthropological basis tends to be occulted by its impressive mathematical developments
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Kudada, Banza Damien. "Logiques et contraintes de l'intégration politique en Afrique centrale: la théorie de la justice de John Rawls à l'épreuve de la réalité africaine." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2012. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/209696.

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Abstract:
Nous partons d’un constat :plusieurs Etats d’Afrique, en général, et d’Afrique centrale, en particulier, connaissent un déficit très aigu de justice et de démocratie dans la répartition de biens sociaux premiers. En outre, ces Etats ne sont pas bien organisés politiquement, économiquement et socialement. Par conséquent, ils ne respectent pas les principes de justice politique à l’échelle domestique, ni les principes du droit des peuples au niveau international ou supranational.

Devant ce constat amer, nous nous sommes proposé de réfléchir en profondeur sur la théorie de la justice politique de Rawls en vue de nous imprégner de principes susceptibles de garantir les droits et devoirs fondamentaux des citoyens et des peuples bien ordonnés.

Nous avons ainsi examiné les conditions de possibilité de l’application de la théorie de la justice politique de Rawls pour une intégration politique réussie à l’échelle interne, en République Démocratique du Congo, et au niveau international ou supranational des Etats de l’Afrique centrale. Il ressort que la mise en place des institutions politiques, économiques, socioculturelles viables, de l’Etat de droit et du modèle de la démocratie représentativo-délibérative constituent, à notre sens, des préalables indispensables en vue de postuler, à un second niveau, une intégration politique supranationale dans la sous-région de l’Afrique des Grands Lacs caractérisée par des guerres récurrentes interétatiques. Les principes rawlsiens du droit des peuples peuvent aider à repenser la politique étrangère des pays de la sous-région de l’Afrique centrale et celle des organisations supranationales existantes.

Néanmoins, nous avons soutenu que l’application de certains principes rawlsiens du droit des peuples, comme celui du respect des traités et des engagements, nécessite que ceux-ci soient signés au sein d’une « fédération pacifique » des Etats. En effet, dans l’entendement d’Emmanuel Kant, des traités signés dans une « fédération pacifique » mettent fin à la fois aux guerres présentes et futures.

Dans cet ordre d’idées, nous avons souligné qu’une « fédération pacifique » des Etats pourra créer un cadre important pour l’émergence d’une « communauté de sécurité » au sens deutschien du terme, nécessaire pour la paix durable dans la sous-région de l’Afrique des Grands Lacs. La « communauté de sécurité » préconise que les Etats entretenant des relations réciproques ne recourent pas à la violence physique et règlent leurs problèmes par des « mécanismes de changement pacifique ». Dans cette logique, la guerre n’est plus facilement envisageable. De plus, nous avons estimé, en nous inspirant d’Habermas, qu’il est pertinent que les pays de l’Afrique centrale s’engagent sur la voie de l’« afrofédération », assurant la transformation des traités interétatiques conclus en une Constitution politique que chaque Etat de la fédération devra respecter.


Doctorat en Philosophie
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Cervera-Marzal, Manuel. "Ni paix ni guerre : philosophie de la désobéissance civile et politique de la non violence." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2014. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/241296.

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Tshilumba, Kalombo Muadiamvita Gilbert. "Les idéologies politiques africaines: mythe du pouvoir ou instance du développement ?réflexion épistémologique sur le nationalisme congolais à la lumière de la théorie rawlsienne de la justice." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2008. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210475.

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Abstract:
Les idéologies politiques africaines :mythe du pouvoir ou instance du développement ?

Réflexion épistémologique sur le nationalisme congolais à la lumière de la théorie rawlsienne de la justice.

Panafricanisme, négritude, consciencisme, socialisme et nationalisme ont eu en gros sur le sol africain, une double mission :-délivrer les pays du joug colonial

sortir ces pays du sous-développement par un travail d’une

-\
Doctorat en Philosophie
info:eu-repo/semantics/nonPublished

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Roy-Thouin, Mikael. "Rawls et l'utilitarisme : une analyse de l'utilisation de la théorie du choix rationnel dans les théories de John Rawls et de John Harsanyi." Mémoire, 2008. http://www.archipel.uqam.ca/1815/1/M10668.pdf.

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Abstract:
Depuis la parution de A Theory of Justice en 1971, la théorie de la justice comme équité de l'auteur américain John Rawls occupe une place importante dans le domaine de la justice économique et sociale. Les deux principes de justice qu'elle énonce, celui de la plus grande liberté égale pour tous ainsi que le principe de différence associé à une juste égalité des chances, ont été et continuent d'être largement discutés, analysés et critiqués aujourd'hui. Ces principes, applicables dans le cadre d'une démocratie constitutionnelle contemporaine caractérisé par le fait du pluralisme raisonnable, sont présentés par Rawls comme étant ceux que choisirait rationnellement une personne placée derrière un voile d'ignorance l'empêchant de savoir quelle position elle occupe dans la société. Cette situation initiale hypothétique dans laquelle s'effectue le choix des principes de justice par un individu représentatif constitue ce que Rawls décrit comment étant la position originelle. Dans des circonstances similaires à celles de cette position originelle, John Harsanyi estime quant à lui que le choix d'un individu rationnel n'aboutirait pas aux deux principes proposés par Rawls mais plutôt au principe de la maximisation de l'utilité. Pour en arriver à cette conclusion, Harsanyi utilise la théorie bayésienne de la décision rationnelle. Or, alors que la théorie bayésienne implique un recours abondant à des raisonnements probabilistes, Rawls rejette ce type de raisonnement probabiliste au sein de la position originelle. Il appert ainsi que Rawls et Harsanyi utilisent différemment la théorie du choix rationnel en situation d'incertitude, ce qui les amène à défendre des théories de la justice différentes: d'un côté, Rawls élabore une théorie déontologique; de l'autre, Harsanyi développe une version particulièrement sophistiquée de la théorie conséquentialiste qu'est l'utilitarisme. À mes yeux, l'utilisation faite par Harsanyi est en meilleure symbiose avec une application conventionnelle de la théorie de la décision rationnelle. Par ailleurs, bien que Rawls présente ses deux principes comme le résultat du choix rationnel d'un seul individu représentatif, l'idée principale derrière sa théorie de la justice est celle d'un accord volontaire portant sur les termes d'une coopération sociale mutuellement avantageuse entre personnes libres, égales et rationnelles. Je soutiens que cette idée contractualiste est mal servie par l'argumentation à partir de la position originelle et que les véritables arguments de Rawls en faveur de ses deux principes de justice et contre le principe utilitariste sont plus efficaces lorsqu'ils sont présentés indépendamment de la construction de la position originelle. En outre, alors que Rawls présentait initialement sa théorie comme un concurrent direct de l'utilitarisme, la relation entre les deux théories mérite d'être nuancée et précisée à la lumière des écrits subséquents de l'auteur de Théorie de la Justice. Ainsi, lorsque l'on examine leurs applications dans un contexte réaliste, l'utilitarisme et la théorie de la justice comme équité apparaissent en bout de ligne davantage comme des alliés que comme des adversaires sur l'échiquier politique des démocraties libérales contemporaines. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Rawls, Harsanyi, Principes de justice, Utilitarisme, Théorie du choix rationnel.
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Bérubé, Fanchon Sophie. "Le principe responsabilité de Hans Jonas et la responsabilité sociale." Mémoire, 2007. http://www.archipel.uqam.ca/3268/1/M9722.pdf.

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Abstract:
Dans ce mémoire, nous chercherons à développer le concept de responsabilité sociale. Nous tenterons, par le fait même, de faire la lumière sur les raisons qui font que les citoyens des sociétés modernes ne semblent plus avoir beaucoup d'intérêt pour la responsabilité sociale. Pour développer plus facilement notre pensée, nous nous appuierons tout d'abord sur une conception précise de la responsabilité; celle de Hans Jonas. Cet auteur utilise son « principe responsabilité », en particulier pour défendre l'idée que le monde court à sa fin si nous nous obstinons à vivre sans égard pour notre environnement. Pour cette raison, il faut absolument prendre nos responsabilités et agir. Nous verrons aussi que la responsabilité chez Jonas est engendrée par un sentiment et qu'elle est donc, selon l'auteur, universelle, puisque nous pouvons tous éprouver ce sentiment de responsabilité. Nous adhérerons à sa conception de la responsabilité sur certains aspects: en premier lieu dans la mesure où cette dernière est, dira-t-il, unilatérale et non-réciproque, même si nous pouvons tous être sujet ou objet de la responsabilité; en deuxième lieu, nous conviendrons aussi que la responsabilité puisse être engendrée par un sentiment et qu'elle puisse être à la base de notre action, mais avant tout, dans la mesure où nous sommes confrontés à une situation familiale ou amicale. Mais nous rejetterons, par ailleurs, l'idée que le sentiment soit le meilleur conducteur de l'action responsable surtout au niveau social. Car en effet, la responsabilité sociale conduite par le sentiment, supposerait l'impossibilité de l'exiger par des lois, légales comme morales. Par contre, nous verrons en quoi la notion de responsabilité de Jonas nous semble fortement individuelle et peu portée, malgré son aspect universaliste, sur des déterminants sociaux ou collectifs: ce avec quoi nous sommes en désaccord. Ensuite, nous examinerons la théorie de Bruckner, selon laquelle les sociétés occidentales actuelles favorisent, par l'individualisme, une infantilisation et/ou une victimisation du citoyen, qui fait obstacle à son sens de la responsabilité sociale. Nous verrons ensuite en quoi le système de pensée de Jonas valorise ce genre de sociétés individualistes. Et nous verrons ce que propose Bruckner pour revaloriser, de nouveau, l'autonomie, l'indépendance et le dialogue politique. Et finalement, nous défendrons un système politique démocratique permettant enfin l'autonomie des citoyens: celui de John Rawls. Nous le soutiendrons dans son élaboration d'une institution permettant l'adhésion des citoyens, le plein pouvoir au peuple et d'où peut enfin émerger la responsabilité sociale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Responsabilité sociale, Hans Jonas, Pascal Bruckner, John Rawls, Démocratie.
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