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Dissertations / Theses on the topic 'Réalisme moral'

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1

Lagrut, Blandine. "Le réalisme moral d'Elizabeth Anscombe : une philosophie de l'intégrité." Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2024. http://www.theses.fr/2024LORR0107.

Full text
Abstract:
Pour Elizabeth Anscombe, tout effort de bonté est indissociablement une quête de vérité. La vigilance morale prend chez elle la forme d’un Daimôn rappelant à chacun la tâche d’examiner sa vie : « Peut-être que d’une manière que je ne vois pas, je me trompe désespérément sur une chose essentielle*. » Cette thèse défend l’idée qu’Anscombe élabore un type original de réalisme moral centré sur la notion d’intégrité et polarisé par une question : comment une personne parvient-elle à saisir, le plus rigoureusement possible, le sens et la gravité de ses actions ? Selon elle, trois conditions sont nécessaires afin d’évaluer correctement le poids de nos actes — elles donnent le plan de notre travail : on a besoin de savoir ce qu’on fait effectivement, on doit avoir une certaine idée des nécessités liées à sa nature d’humain et enfin, on doit reconnaître l’infinie valeur de cette nature.Pour savoir ce qu’elle fait, la personne doit pouvoir identifier les critères de « ce qui compte comme une description pertinente d’une action.» Or c’est précisément ce à quoi s’attèle Anscombe dans son étude de l’intention. Elle montre qu’il est possible d’isoler des types d’actions dont nous savons que, si nous la faisons intentionnellement, nous sommes dans le faux. La catégorie d’« acte intrinsèquement injuste » redevient disponible, offrant ainsi le point de départ d’une épistémologie morale réaliste.Pour être intègre, la personne a, par ailleurs, besoin de justifier ses évaluations en les fondant sur une compréhension approfondie de la forme de vie des humains. Là encore, Anscombe opère un déplacement majeur en donnant une nouvelle consistance au concept de nature humaine. Elle s’appuie sur l’idée que nous apprenons quelque chose sur la sorte d’être que sont les humains en dépliant la forme logique de leurs pratiques linguistiques. Sa méta-éthique gravite autour d’un axe souvent inaperçu, combinant le naturalisme d’Aristote et la grammaire logique de Wittgenstein.Enfin, une action ne sera vraie sur le plan moral qu’à la condition de manifester la valeur « mystique » de la nature humaine. La mise au jour de cet aspect constitue l’apport le plus novateur de cette thèse. L’étude approfondie des textes éthico-religieux permet de dégager le cœur de son anthropologie métaphysique : les humains sont non seulement des animaux rationnels, mais aussi des êtres spirituels, doués d’une dignité que nous pouvons connaître par « connaturalité » ou par « perception mystique ».L’exploration des différentes facettes du réalisme moral anscombéen permet, in fine, de préciser son rôle dans le débat éthique contemporain sur l’absolutisme. Certains actes sont-ils à refuser absolument, quoiqu’il en coûte du bien-être de la personne ou de la situation conséquente ? Pour Anscombe, la réponse est oui. Mais cela ne peut se faire ni au détriment du discernement personnel ni au prix d’une aliénation. Sa manière de concevoir l’humain permet de résoudre la tension en établissant que l’interdit n’a pas besoin d’être décrété par une autorité extérieure pour être absolu. Il peut s’imposer intérieurement à la personne, comme une évidence impérieuse, en raison de sa nature spirituelle.*G.E.M. Anscombe, « La philosophie morale moderne », traduit par G. Ginvert et P. Ducray, Klesis-Revue Philo-sophique. Actualité de la philosophie analytique, 2008, no 9, p. 25.Mots-clés : réalisme moral, intégrité, absolutisme, philosophie de l’action, épistémologie morale, méta-éthique, naturalisme, grammaire logique, perception mystique, connaturalité, anthropologie métaphysique, nature spirituelle
For Elizabeth Anscombe, every effort at goodness is also a quest for truth. Moral vigilance takes the form of a Daimôn reminding each person of the task of examining their life: ‘Perhaps in some way, I can’t see, I may be on a bad path, perhaps I am hopelessly wrong in some essential way*.’ This thesis argues that Anscombe is developing an original type of moral realism centred on the notion of integrity and polarised by one question: how does a person come to grasp, as rigorously as possible, the meaning and gravity of their actions? According to her, three conditions are necessary in order to correctly assess the weight of our actions – they provide the blueprint for our work: we need to know what we are actually doing, we need to have some idea of the necessities of our human nature and, finally, we need to recognise the infinite value of this nature.To know what they are doing, the person must be able to identify the criteria for ‘what counts as a relevant description of an action’. This is precisely what Anscombe sets out to do in her study of intention. She shows that it is possible to isolate types of action which we know that, if we do them intentionally, we are in the wrong. The category of "intrinsically unjust act" becomes available again, providing the starting point for a realist moral epistemology.The person also needs to justify their assessments by basing them on a thorough understanding of the human being. Here again, Anscombe makes a major shift by restoring consistency to the concept of human nature. She relies on the idea that we learn something about the kind of being that humans are by unfolding the logical form of their linguistic practices. Her meta-ethics revolves around an often-unnoticed axis, combining Aristotle’s naturalism and Wittgenstein’s logical grammar.Finally, an action will only be true on a moral level if it manifests the “mystical” value of human nature. Bringing this aspect to light is the most innovative contribution of this thesis. An in-depth study of the ethico-religious texts reveals the core of her metaphysical anthropology: humans are not only rational animals, but also spiritual beings, endowed with a dignity that we can know through “connaturality” or “mystical perception”.By exploring the various facets of Anscombean moral realism, we can ultimately clarify its role in the contemporary ethical debate on absolutism. Are certain acts to be rejected absolutely, whatever the cost to the well-being of the person or the consequent situation? For Anscombe, the answer is yes. But this cannot be done either at the expense of personal discernment or at the cost of alienation. Her way of conceiving the human makes it possible to resolve the tension by establishing that the prohibition does not need to be decreed by an external authority to be absolute. It can be imposed internally on the agent, as compelling evidence, due to their spiritual nature.*G. E. M. Anscombe, ‘Modern Moral Philosophy’ in Ethics, Religion and Politics, Collected Philosophical Pa-pers III, Oxford, Blackwell, 1981, p. 37.Keywords: moral realism, integrity, absolutism, philosophy of action, moral epistemology, meta-ethics, naturalism, logical grammar, mystical perception, connaturality, metaphysical anthropology, spiritual nature
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2

Tremblay, Hugo, and Hugo Tremblay. "Le réalisme phénoménologique subjectiviste : repenser les oppositions métaéthiques." Master's thesis, Université Laval, 2014. http://hdl.handle.net/20.500.11794/25284.

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Abstract:
Les oppositions entre réalisme et antiréalisme puis entre cognitivisme et non-cognitivisme jouent un rôle central dans la typologie des théories métaéthiques. Elles n’arrivent toutefois plus à bien délimiter les positions en jeu. La théorie métaéthique développée dans ce mémoire se heurte à ce problème. Ainsi, l’objectif de ce mémoire est triple. Il tente, d’abord, de remettre en question les oppositions entre réalisme et antiréalisme, puis entre cognitivisme et non-cognitivisme. Il propose ainsi, d’une part, de remplacer la première opposition par une tripartition des familles métaéthiques et, d’autre part, de réconcilier les aspects en apparence contradictoires du cognitivisme et du non-cognitivisme. Il cherche, ensuite, à défendre une théorie métaéthique particulière – le réalisme phénoménologique subjectiviste. Cette théorie impliquant le relativisme moral, il veut, enfin, répondre aux objections communément présentées contre celui-ci.
Les oppositions entre réalisme et antiréalisme puis entre cognitivisme et non-cognitivisme jouent un rôle central dans la typologie des théories métaéthiques. Elles n’arrivent toutefois plus à bien délimiter les positions en jeu. La théorie métaéthique développée dans ce mémoire se heurte à ce problème. Ainsi, l’objectif de ce mémoire est triple. Il tente, d’abord, de remettre en question les oppositions entre réalisme et antiréalisme, puis entre cognitivisme et non-cognitivisme. Il propose ainsi, d’une part, de remplacer la première opposition par une tripartition des familles métaéthiques et, d’autre part, de réconcilier les aspects en apparence contradictoires du cognitivisme et du non-cognitivisme. Il cherche, ensuite, à défendre une théorie métaéthique particulière – le réalisme phénoménologique subjectiviste. Cette théorie impliquant le relativisme moral, il veut, enfin, répondre aux objections communément présentées contre celui-ci.
The oppositions between realism and anti-realism and between cognitivism and non-cognitivism play a central role in the typology of metaethical theories. However, they cannot correctly circumscribe the positions at stake nowadays. The metaethical theory developed in this paper faces this problem. Thus, the objective of this paper is threefold. It attempts, first, to question the opposition between realism and anti-realism, and between cognitivism and non-cognitivism. It thus proposes, in the beginning, to replace the first opposition by a tripartite division of metaethical families and, afterward, to reconcile the apparently contradictory aspects of cognitivism and non-cognitivism. It seeks then to defend a particular metaethical theory – the subjectivist phenomenological realism. This theory involving moral relativism, it wants to finally overcome the objections commonly brought against it.
The oppositions between realism and anti-realism and between cognitivism and non-cognitivism play a central role in the typology of metaethical theories. However, they cannot correctly circumscribe the positions at stake nowadays. The metaethical theory developed in this paper faces this problem. Thus, the objective of this paper is threefold. It attempts, first, to question the opposition between realism and anti-realism, and between cognitivism and non-cognitivism. It thus proposes, in the beginning, to replace the first opposition by a tripartite division of metaethical families and, afterward, to reconcile the apparently contradictory aspects of cognitivism and non-cognitivism. It seeks then to defend a particular metaethical theory – the subjectivist phenomenological realism. This theory involving moral relativism, it wants to finally overcome the objections commonly brought against it.
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Aubé, Beaudoin Félix. "Faits moraux et évolution : un dilemme pour le réalisme moral." Master's thesis, Université Laval, 2014. http://hdl.handle.net/20.500.11794/25203.

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Abstract:
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2014-2015
Plusieurs philosophes estiment que le réalisme moral est incompatible avec la reconnaissance du rôle majeur joué par l'évolution dans le façonnement de la moralité. Sharon Street formule ce problème sous la forme d’un « dilemme darwinien ». Le problème pour les réalistes consiste à expliquer la relation entre les vérités morales indépendantes dont ils supposent l’existence et les pressions évolutionnistes. Deux options s’offrent à eux: nier ou affirmer l'existence d’une telle relation. La première option mène, selon Street, à la conclusion selon laquelle nos jugements moraux sont probablement faux puisqu'ils sont déformés par les pressions évolutionnistes. La seconde option est indéfendable sur le plan scientifique. Deux stratégies argumentatives ont été déployées à ce jour par les réalistes afin de résoudre le dilemme, soit la réponse naturelle et l'explication par un troisième facteur. Nous soutenons dans le mémoire qu'aucune de ces stratégies ne constitue une réponse satisfaisante au dilemme darwinien.
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La, Rochefoucauld Sophie de. "Viser à la vie bonne ou le problème du réalisme moral : Nussbaum, Aristote." Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010585.

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Abstract:
La thèse consiste en une étude de la philosophie morale néo-aristotelicienne du 20eme siecle, à travers la pensée de Martha Nussbaum et en une défense et illustration du perfectionnisme moral d' Aristote parfois contre ses disciples d'aujourd'hui. L'objet de la thèse est de proposer un parcours de réalisme moral non dans son sens usuel de discussion métaéthique, puisqu'il ne s'agit pas du statut des propriétés morales, mais dans celui d'un retour de la théorie vers la vie et l' expérience. Le point de départ de la recherche ouvre sur l'importance dans la visée éthique de l'idée de «vie bonne» (eudémonisme), dans une tentative de repositionner des notions telles que le bien, la vertu, la connaissance pratique et la relation à I' autre. L'argumentation dans cette partie tiendra compte du donné naturel et de l'apport des sentiments comme élément structurant de la vie morale. La discussion de la seconde partie qui veut porter la question plus loin va réintroduire la notion de Fin et par elle ouvrir à une perspective d'achèvement du sujet moral. La prise en compte d'une dimension métaphysique d'un individu considère en tant qu'unité d'être, fait partie de cette démonstration téIéologique. Elle va permettre de poser ce que l' auteur nomme une dimension pleine et complète du perfectionnement moral.
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5

Lévi, Ide. "Réalisme moral ou volontarisme théologique ? : le problème de l’objectivité des valeurs et des normes morales en contexte théiste (perspectives médiévales et contemporaines)." Thesis, Paris, EPHE, 2016. http://www.theses.fr/2016EPHE5078.

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Abstract:
Selon la version courante du « dilemme d’Euthyphron », on considère que lorsque les théistes tentent de décrire la relation entre Dieu et la morale, ils doivent choisir entre volontarisme théologique et objectivisme robuste (le réalisme moral, en particulier). Selon la première option, les statuts moraux fondamentaux dépendent essentiellement des volontés contingentes, ou nécessaires, de Dieu. Selon la deuxième, Dieu agit en conformité avec un ordre moral objectif et nécessaire, en lui-même indépendant de sa volonté, comme il l’est de tout type de volonté ou de pro-attitude, au moins pour ce qui est des statuts moraux fondamentaux (et les propriétés morales sont conséquentielles aux propriétés non morales, sinon réductibles à elles). Ici nous argumentons en faveur de l’existence d’une troisième possibilité pour les théistes, refusant l’externalisme moral assumé par les deux premières options. Selon cette troisième option, on nie qu’objets, états de choses, actions ou personnes puissent posséder une valeur ou générer des obligations morales indépendamment de l’ensemble de nos pro-attitudes et des fins que nous sommes inclinés à poursuivre. Nous proposons, contre les objections réalistes en particulier, la défense d’une version universaliste (ou non relativiste) de cette position métaéthique, et tentons de montrer sa compatibilité avec le théisme classique : la théorie anti-objectiviste de la loi naturelle, selon laquelle les valeurs et les normes pertinentes pour nous dépendent de notre complexe motivationnel, en dépendant de nos inclinations universellement partagées et des fins (ou de la fin) en lesquelles (en laquelle) nous trouvons notre achèvement et notre bonheur
According to the common version of the “Euthyphro dilemma”, it is generally considered that when theists try to describe the relation between God and morality, they must either opt for theological voluntarism or for hard objectivism (moral realism, in particular). According to the first option, fundamental moral statuses depend essentially on God’s contingent, or even necessary, will. According to the second, God acts in conformity to an objective (and necessary) moral order that is in itself independent of His will, as it is of any kind of pro-attitude, will or desire, at least for the most fundamental and prior moral statuses (and moral properties are consequential upon nonmoral ones, if not reducible to them). I argue here for the existence of a third possibility for theists, rejecting the metaethical externalism assumed by the first two options. According to this third option, it is not the case that objects, state of affairs, actions or persons can have value or generate obligations to us independently of all our pro-attitudes and of the ends we are inclined to pursue. I propose a defence, against realist objections in particular, of a universalist (or non relativist) version of that metaethical position and try to show its compatibility with classical theism : the anti-objectivist natural law theory, according to which values and norms relevant for us depend on our motivational set, depending on our – universally shared – natural inclinations or essential dispositions to love and pursue certain ends (or possibly one ultimate end) preferently to others, and to find our completion and happiness in them (in it)
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6

Boldrini, Miranda. "Éthique, imagination et réalité chez Iris Murdoch." Thesis, Amiens, 2019. http://www.theses.fr/2019AMIE0039.

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Abstract:
La thèse porte sur la pensée morale d'Iris Murdoch (1919-1999). Notre recherche vise, tout d'abord, à montrer le rôle hétérogène et novateur de Murdoch au sein de la philosophie morale du Vingtième siècle, en particulier dans la tradition philosophique analytique, un rôle qui reste aujourd'hui encore négligé. Nous examinons la perspective philosophique de Murdoch autour de trois axes principaux : le rapport entre éthique et langage ; la psychologie morale ; la relation entre méthode philosophique et normativité. Ainsi, nous montrons l'apport de la pensée de Murdoch sur des questions qui demeurent au cœur de débats majeurs de l'éthique philosophique contemporaine, en particulier : la critique de la dichotomie fait-valeur ; le perfectionnisme moral ; la critique du "scientisme" et le genre de naturalisme non-scientifique que Murdoch envisage pour l'éthique. Par cette analyse, à la fois théorique et historique, nous soutenons que Murdoch a joué un rôle fondamental dans la constitution de ce qu'on interprète aujourd’hui comme un courant alternatif de l'éthique analytique : une "philosophie de l'ordinaire" dont Wittgenstein représente la figure fondatrice, qui considère la réflexion philosophique comme un travail d'élucidation conceptuelle intéressée à la vie morale ordinaire. Dans cette perspective, nous mettons en relation la pensée de Murdoch avec le prisme actuel de l'éthique du care et d'approches féministes intéressées par l'épistémologie morale, afin de montrer que Murdoch offre une "épistémologie morale différente" pour l'éthique
The thesis focuses on Iris Murdoch's (1919-1999) moral thought. The research aims to show Murdoch's heterogenic and innovator role within contemporary moral philosophy, in particular in the analytic tradition. Murdoch's philosophical perspective is analyzed in three axes : the relationship between ethics and language ; moral psychology ; the relationship between philosophical method and normativity. The thesis shows Murdoch's contribution to some central debates of contemporary philosophical ethics, notably : the critic of the dichotomy between fact and value ; moral perfectionism ; and the critic of "scientism" and the kind of non-scientific naturalism Murdoch conceive for ethics. Through this analysis, both theoretical and historical, the research argues that Murdoch played a crucial role in the constitution of an alternative line of analytic moral philosophy : a "philosophy of the ordinary" inheriting from Wittgenstein, which consider philosophical reflection as conceptual elucidation interested in ordinary moral life. In this perspective, the thesis explores the relationship between Murdoch's moral thought and contemporary ethics of care along with feminist approaches interested in moral epistemology, in order to show that what Murdoch offers for ethics is a "different moral epistemology"
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7

Kabe-Kagne, Sylvain. "Machiavélisme, Politique et Réalisme." Thesis, Lyon 3, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO30041.

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Abstract:
La thèse que je présente s’intitule Machiavélisme : politique et réalisme. Elle est structurée en cinq chapitres. Dès le début, j’ai démontré que la pensée politique de Machiavel est inséparable du contexte socio-politique de l’Italie du XVe et XVIe siècles. Le souhait profond de Machiavel, c’est de voir son pays libéré de tous les barbares. Machiavel a décrit la mécanique du pouvoir, la lutte pour sa conquête, sa confiscation, l’affrontement des ambitions personnelles. Comment gouverner les hommes ? A cette question, il affirme que le prince doit être à la fois renard et lion pour connaître les pièges et effrayer les loups. Le prince est double : homme et bête. Il a une double nature. Sa bestialité elle-même est double. C’est le réalisme politique. Celui qui veut la fin doit aussi vouloir les moyens propres à l’atteindre, même si ces moyens peuvent paraître en contradiction avec l’idéologie du moment. Le prince ne doit pas s’embarrasser de la morale ni des principes quand il s’agit de gouverner les hommes. Paraître sans l’être et paraître en l’étant tout en demeurant capable de paraître son contraire et par là de le devenir. J’ai fait une étude du machiavélisme et ce concept est inséparable de la raison d’État. La raison d’État est ordinairement associée au pouvoir politique dégagé de toute limitation morale et juridique. Enfin j’ai fait un rapprochement entre le machiavélisme et les dictatures du XXe siècle (Hitler, Mussolini, Lénine)
The dissertation we deal with is entitled Machiavelianism: Politics and Realism. Five chapters structure it. Right from the beginning, it has been posited that Machiavelli's political thought is inherent to the Italian social and political context of the XVth and XVIth centuries. Italy was peculiarly in turmoil during this period because some of its provinces were besieged by France and Spain. Machiavelli's deep thought consists in seeing Italy free from the barbarians. Machiavelli has described the mechanism of power, the struggle for its conquest, its confiscation, the confrontation of personal ambitions. How to govern men? To this question, Machiavelli states that the Prince has to behave as a fox and lion in order to unravel traps and threaten the wolves. His bestiality is therefore double-shaped. That is the political realism, thereby. The one who wants the end has to justify the specific means to reach them as well; even though these means supposedly contradict the up-dated ideology. Neither morality nor principles have to embarass the Prince when the question of governing the city is posed. We have analyzed Machavelianism and the concept is inseparable from the state reason. The state reason is ordinarily associated with the political power, all moral and judicial limits cleared off. Finally, a link has been made between Machiavelianism and the XXth century dictatorships
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Ruyant, Quentin. "L'empirisme modal." Thesis, Rennes 1, 2017. http://www.theses.fr/2017REN1S117/document.

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Abstract:
L'objet de cette thèse est de proposer une position originale dans le débat sur le réalisme scientifique, l'empirisme modal, et d'en démontrer la fructuosité quand il s'agit de tirer des enseignements du contenu cognitif des théories scientifiques. L'empirisme modal est une position empiriste, suivant laquelle le but de la science n'est pas de produire des théories vraies, mais des théories empiriquement adéquate. Cependant, il propose d'adopter un cadre plus large que les versions traditionnelles d'empirisme pour penser l'expérience, en incorporant un engagement envers les modalités naturelles, ou l'idée qu'il y a du possible dans la nature, et des contraintes sur les possibles. Nos théories sont empiriquement adéquates si elles délimitent correctement l'étendue des expériences possibles. Cette position s'appuie sur une conception située et pragmatique des modalités naturelles et de la confrontation empirique. Nous prétendons qu'elle est à même de rendre justice au succès empirique des sciences, sans pour autant faire face au problème du changement théorique qui mine le réalisme scientifique. Nous expliquons comment les contraintes de nécessité sur les phénomènes peuvent être connues à l'issue d'une induction, et en quoi cette façon de voir s'accorde avec la pratique scientifique. Enfin, nous affirmons qu'un engagement envers les modalités naturelles offre une richesse interprétative à même de renouveler, dans un cadre pragmatiste, plus ouvert que le réalisme, certaines questions métaphysiques tout en les ramenant à l'expérience
The aim of this thesis dissertation is to propose a novel position in the debate on scientific realism, modal empiricism, and to show its fruitfulness when it comes to interpreting the cognitive content of scientific theories. Modal empiricism is an empiricist position, according to which the aim of science is to produce empirically adequate theories rather than true theories. However, it suggests adopting a broader comprehension of experience than traditional versions of empiricism, through a commitment to natural modalities. Following modal empiricism, there are possibilities in nature, and constraints on what is possible, and a theory is empirically adequate if it correctly delimits the range of possible experiences. The position rests on a situated and pragmatic conception of natural modalities and of empirical confrontation. We claim that it can do justice to the empirical success of science, while not falling prey to the problem of theory change that undermines scientific realism. We explain how constraints of necessity on phenomena can be known by induction, and how this modal epistemology fits with scientific practice. Finally, we claim that a commitment to natural modalities allows for a rich interpretation of the cognitive content of theories. Modal empiricism could renew some metaphysical debates within a pragmatist framework, by tying them to experience and not being constrained by realist prejudices
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Desbiolles, Blondine. "La justice à l'épreuve des points de vue : repenser l'impartialité avec Thomas Nagel." Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSE3064.

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Abstract:
L’impartialité constitue une condition et un élément essentiels du concept de justice ; mais en quoi consiste-t-elle précisément ? Les théories de justice contemporaines tendent à l’aborder en termes strictement politiques, en laissant de côté ou en limitant ses aspects épistémologiques et moraux. Ce travail se propose d’exposer, d’analyser et de discuter de manière critique la manière dont Thomas Nagel aborde à nouveaux frais, à partir de sa thèse du conflit des perspectives, l’idée d’impartialité en termes à la fois épistémologiques, moraux et politiques. L’impartialité est en effet d’abord une affaire de jugement objectif et rationnel ; mais un tel jugement doit aussi tenir compte de la division des points de vue personnels et impersonnels en nous, ainsi que du pluralisme des raisons et des valeurs qu’elle engendre. Le concept d’impartialité requiert alors un examen attentif de cette division des perspectives, et des types ou degrés d’objectivité qui seraient possibles dans les débats tant moraux que politiques. Peut-on dégager des critères, des conditions, une méthode de l’impartialité ? Comment la garantir, au niveau moral mais aussi en termes politiques et distributifs ? Et quels principes, raisons ou valeurs une justice pleinement impartiale peut-elle avancer et promouvoir de manière cohérente et légitime ? À travers notre examen des thèses, originales et hybrides, de Thomas Nagel, nous défendons la nécessité de remonter à ces conditions et questions fondamentales afin d’élaborer une conception satisfaisante et réaliste de la justice impartiale. Une telle conception prend avec Nagel un visage libéral, démocratique, pluraliste et fortement égalitarien, qui est certes proche des théorisations de Rawls ou Scanlon, mais est façonné à partir de thèses originales et hybrides offrant des alternatives novatrices. Ces thèses, affinées et modifiées par Nagel au cours des années et souvent non encore traduites en français, n’avaient encore pas fait l’objet d’une étude francophone et spécialisée dans les débats contemporains autour des théorisations de la justice. Dans notre travail, nous en analysons les facettes épistémologiques, métaéthiques, éthiques, politiques et économiques, en mettant en perspective les conceptions de Nagel par rapport à celles des penseurs modernes et contemporains dont il se démarque, et en dégageant la manière dont ces thèses se combinent, se complètent, se limitent respectivement aussi parfois. À partir de l’analyse de ces différentes thèses, nous avançons des éléments de discussion critique et des prolongements du concept d’impartialité qui en résulte, ainsi que du type de justice sociale – libérale, pluraliste, fortement égalitarienne – qu’il porte. Nous défendons la perspective réaliste et rationaliste de Nagel, son refus de toute forme d’utopie et sa conception plurielle, hybride mais exigeante de l’impartialité, tout en prenant au sérieux les difficultés que ces thèses soulèvent et les points de blocage auxquels Nagel se heurte. Mais nous considérons que ces difficultés peuvent trouver, dans les options envisagées par Nagel et dans les éléments de critique que nous avançons dans notre thèse, des solutions ou du moins des pistes de résolution qui constituent autant de perspectives stimulantes pour prolonger l’effort philosophique au sujet de la justice, de l’impartialité et de l’équité, dans et pour le monde d’aujourd’hui
Impartiality is an essential condition and element of the concept of justice. But what exactly is impartiality in itself? Contemporary theories of justice tend to approach it in strictly political terms, and to leave aside or to limit its epistemological and moral aspects. This work offers to expose, analyse and critically discuss the way Thomas Nagel, from his conception of the conflict of perspectives, renews the approach to the idea of impartiality in epistemological, moral and political terms. Indeed impartiality is first a matter of objective and rational judgment; but such a judgement must also take into account the division of personal and impersonal points of view within us, as well as the pluralism of reasons and values it creates. The concept of impartiality then requires a scrutiny of this division of perspectives, and of the types or degrees of objectivity that could be possible in both moral and political debates. Can we determine impartiality’s criteria, conditions or method? How are we to guarantee it, morally but also politically and distributively? Which principles, reasons or values can a fully impartial justice consistently and legitimately advance or promote? Through our examination of Thomas Nagel’s original and hybrid conceptions, we defend the necessity of going back to these fundamental conditions and questions in order to elaborate a satisfying and realistic conception of impartial justice. Such a conception takes in Nagel’s approach a liberal, democratic, pluralistic and strongly egalitarian shape. It is surely close to Rawls’ or Scanlon’s theorizations of justice, but it is based on original and hybrid theses that offer innovative alternatives. These theses, which Nagel refined and modified over years and which, for most of them, have not yet been translated into French, had not until then been studied in France with a specialized focus on contemporary debates around theories of justice. In our work, we analyse their epistemological, metaethical, ethical, political and economic aspects, while putting into perspective Nagel’s conceptions in relation to those of modern and contemporary thinkers whom he stands out. We also show and explain how his theses combine, complete but also sometimes limit each other. With this analyse, we offer elements of critical discussion and possible extensions of the concept impartiality hence built, as well as of the type of social justice – liberal, pluralist, strongly egalitarian – that it carries. We defend the realist and rationalist perspective of Nagel, his refusal of any form of utopia and his plural, hybrid but demanding conception of impartiality. We also take seriously the difficulties his theses raise and the blockings Nagel faces. But we consider that these difficulties can find, in the options he explores and in the critical elements we suggest in our dissertation, solutions or at least possible resolutions that constitute as many stimulating perspectives to pursue the philosophical effort about justice, impartiality and equity, within and for our actual world
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Cabanes-Duchastelle, Mireille. "Le réalisme interne de Hilary Putnam : épistémologie et éthique." Paris 12, 1998. http://www.theses.fr/1998PA120039.

Full text
Abstract:
Le present travail expose, analyse et critique le realisme interne de putnam. Le realisme interne a ete elabore entre les annees 76 et 94 a partir de critiques du realisme metaphysique et du relativisme. Putnam y a decele la meme erreur fondamentale qui consiste a effectuer une dichotomie tranchee entre sujet et objet, la premiere conception donnant la primaute a l'objet, la seconde au sujet. Nous avons analyse les arguments putnamiens contre la dichotomie qui portent sur les incoherences logiques, epistemologiques et metaphysiques qu'entrainent ces conceptions. A ce moment critique, correspond une periode constructive au cours de laquelle putnam a travaille la liaison sujet-objet en reconstruisant les notions de signification, de reference, de comprehension, de verite et de mental. Nous avons fait ressortir les intrications entre ces notions qui inscrivent putnam dans le pragmatisme : pluralisme, refus d'internaliser la croyance, part active de la croyance dans la decouverte du monde, analyse essentielle de la signification a l'egard des problemes metaphysiques, refus de la dichotomie faits- valeurs. Le role objectif et normatif des valeurs sur lequel repose le realisme interne a ete analyse et nous avons critique, non pas l'objectivite des valeurs ethiques, mais l'identite d'objectivite entre valeurs epistemiques et ethiques. Nous avons suivi la reduction de l'ecart entre le sujet et l'objet jusqu'a son point le plus intime, celui de la perception dont la conception indirecte implicitement soutenue par l'auteur jusqu'en 94, rendait le realisme interne contradictoire. C'est a une nouvelle conception de la perception directe, du mental concu comme un systeme de capacites, a un nouveau realisme (le realisme naturel qui n'est autre que le realisme interne une fois corrigee sa contradiction) et a une metaphysique allegee que putnam nous a conduits
The present work offers a critical analysis of putnam's internal realism. Hilary putnam between 1976 and 1994 presented internal realism as an alternative both to metaphysical realism and relativism. Putnam thinks that these two conceptions are fondamentally mistaken in assuming a sharp subject/object dichotomy, with metaphysical realism giving priority to the object and relativism to the subject. Putnam's main arguments against the dichotomy are analysed, in particular the logical, epistemological and metaphysical difficulties it gives rise to. Putnam proposed a constructive reconsideration of the notions of signification, reference, understanding, truth and the mental. We exhibited the intricate relationships among these notions, showing putnam's pragmatism : pluralism, the refusal to internalize belief, the active part of belief in discovering reality, the relevance of meaning analysis in metaphysics, the rejection of the dichotomy fact/value. We appreciated the objective and normative role played by values in internal realism. We criticized the same objective status given to epistemic and ethical values, rather than the objectivity of ethical values. We followed putnam in trying to bridge the gap between subject and object. In particular, we examined the evolution of his view of perception. Until 1994, putnam was a supporter of indirect perception, wich led to a contradiction within internal realism. Together with a conception of perception as direct and the mental as a system of capacities, the "new" putnam brings out a new form of realism ( natural realism is internal realism cured of its contradictions) and a new and leaner metaphysics
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Mazars, Marlène. "Socialisation et sens moral chez l'enfant abandonnique : étude réalisée en institution sur 10 cas d'enfants et d'adolescents." Amiens, 2008. http://www.theses.fr/2008AMIE0026.

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Dufournet, Hélène. "Gouverner sans choisir : entre contrainte morale et réalisme politique : l'engagement français dans le processus d'interdiction des armes à sousmunitions (2003-2008)." Phd thesis, École normale supérieure de Cachan - ENS Cachan, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00621041.

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Abstract:
En posant la question de l'influence des ONG sur la décision du gouvernement français d'adopter le traité d'interdiction des armes à sous-munitions à Oslo en décembre 2008, cette thèse offre l'occasion de revisiter tout un ensemble de travaux de Relations Internationales sur les conditions de succès des mobilisations transnationales dans la production et l'adoption des normes internationales. Alors que les théoriciens de relations internationales travaillent presque exclusivement sur ce qui se joue à l'échelle internationale, entre les ONG et les Etats, ce travail propose au contraire de resserrer la focale uniquement sur la prise de décision politique française. Il propose ainsi de chercher les raisons du " succès " des mobilisations transnationales non pas dans leurs caractéristiques propres, mais plutôt dans les logiques politiques et institutionnelles qui façonnent les décisions politiques nationales. Cette thèse décrit un processus de décision politique en partie imposée aux pouvoirs publics par une mobilisation transnationale. Elle montre ainsi comment l'espace des choix se restreint au point d'obliger les pouvoirs publics à adopter un traité de désarmement auquel ils auraient largement préféré se soustraire. Mais elle révèle également comment l'Etat n'en reste pas moins doté d'une capacité de gouverner qui lui permet de récupérer subtilement la main. C'est cette tension que signifie l'expression gouverner sans choisir.
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Bwangila, Ibula Cyprien. "Rationalisme critique et éthique de la discussion : autour de la question de la fondation ultime de la raison et de la morale." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040017.

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Abstract:
Cette étude reprend à nouveaux frais la question de la fondation ultime de la raison et de la morale. Elle examine les arguments des rationalistes critiques (Popper, Bartley, Albert) et des partisans de l’éthique de la discussion (Apel, Habermas). Les poppériens défendent une position antifondationnaliste. Ils substituent en effet le principe de la critique permanente au principe classique de la fondation. En revanche, Apel défend une position fondationnaliste forte au sein de la pragmatique transcendantale ; cette dernière admet l’a priori de la communauté idéale de communication comme fondement ultime de toute argumentation rationnelle. La mise en oeuvre de cet a priori évite au principe criticiste le danger de tomber dans une auto-contradiction performative ou pragmatique. Habermas occupe une place étonnante dans ce débat. Il admet l’a priori de la communauté idéale de communication comme fondement d’une pragmatique formelle ou universelle, mais il juge inutile d’en faire une fondation ultime de la raison et de la morale. Sa position est aujourd’hui plus proche de celle des poppériens. Entre l’affirmation maximaliste et dogmatique d’une fondation ultime (Apel) et le rejet, plutôt sceptique et minimaliste (Popper, Bartley, Albert, Habermas), cette étude tente de frayer une voie médiane entre ces deux dernières positions. Cette voie s’inscrit dans le mode kantien de fondation faible. Il s’agit donc d’envisager une fondation qui assume de manière conséquente le principe faillibiliste
This study attempts a critical reappraisal of the issue of the ultimate foundation of reason and morals. Arguments from critical rationalists (Popper, Bartley, Albert) and from the proponent of the discourse ethics (Apel, Habermas) are examined. Popperians defend an anti-foundationalist position. On the other hand, Apel holds a strong foundationalist position within the framework of transcendental pragmatics; the latter builds an a priori ideal community of communication as the ultimate foundation of every rational argumentation. The use of this a priori shelters the criticist principle from the danger of falling into a performative or pragmatic self-contradiction. The position held by Habermas in this debate is peculiar. Although he postulates an a priori ideal community of communication as foundation of a formal or universal pragmatics, he thinks unnecessary to set it in the position of the ultimate foundation of reason and morals. His current position is closer to that of the Popperians. Between a maximalist and dogmatic affirmation of an ultimate foundation and, the rather skeptical and minimalist rejection of it (Popper, Bartley, Albert, Habermas), this study attempts to find a third way. Such a median position follows into the Kantian scheme of a ‘weak’ foundation. And so a quest for a foundation would consistently integrate the faillibilist principle
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Jeangène, Vilmer Jean-Baptiste. "Au nom de l'humanité? : histoire, droit, éthique et politique de l'intervention militaire justifiée par des raisons humanitaires." Thèse, Paris, EHESS, 2009. http://hdl.handle.net/1866/4242.

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Abstract:
L’intervention militaire justifiée par des raisons humanitaires est une constante de l’ordre international, désignée par différentes appellations : intervention d’humanité au XIXe siècle, intervention humanitaire (humanitarian intervention) dans la tradition anglophone, droit ou devoir d’ingérence en France, responsabilité de protéger depuis quelques années. L’objectif de cette thèse interdisciplinaire est de comprendre ce phénomène complexe dans toutes ses dimensions – historique, juridique, éthique et politique – et d’élaborer une théorie réaliste de l’intervention par l’analyse de cinq critères : cause juste, autorité légitime, bonne intention, dernier recours et proportionnalité. Nous montrons que le réalisme n’est pas une conception amorale de la politique étrangère mais une exigence épistémologique d’analyser les relations internationales comme elles sont plutôt que comme l’on voudrait qu’elles soient. Que l’intervention dite humanitaire n’est pas, contrairement à un préjugé répandu, un phénomène récent, ni même hérité du XIXe siècle, mais qu’on peut en retracer la généalogie sur plusieurs millénaires dans plusieurs civilisations. Qu’aucune des terminologies employées n’est satisfaisante. Qu’il faut abandonner le critère de bonne intention car l’Etat intervenant n’est pas, ne peut pas et ne doit pas être désintéressé. Qu’il est possible de défendre un interventionnisme minimal, dans certains cas et à certaines conditions, tout en assumant cette absence de désintéressement, la sélectivité des interventions, le risque d’abus et l’incertitude du résultat.
Military intervention justified on humanitarian grounds is a constant of the international order, designated by different names: “intervention d’humanité” in the nineteenth century, humanitarian intervention in the English-speaking tradition, “droit” or “devoir d’ingérence” in France, responsibility to protect the last few years. The aim of this interdisciplinary dissertation is to understand this complex phenomenon in all its dimensions - historical, legal, ethical and political - and develop a realistic theory of intervention by the analysis of five criteria: just cause, legitimate authority, right intention, last resort and proportionality. We show that realism is not an amoral conception of foreign policy but an epistemological commitment to analyze international relations as they are rather than as we would like them to be. That so-called humanitarian intervention is not, contrary to a widespread prejudice, a recent phenomenon, or even inherited from the nineteenth century. We can trace its genealogy in several millennia in many cultures. That none of the terminology used is satisfactory. That one must abandon the criterion of good intention because the intervening state is not, cannot and should not be disinterested. That it is possible to defend a minimal interventionism, in some cases and under certain conditions, while assuming the lack of disinterestedness, the selectivity of interventions, the risk of abuse and the uncertainty of the result.
Réalisé en cotutelle avec le Centre de recherches politiques Raymond Aron de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) de Paris, pour un doctorat en études politiques.
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Coste-Rooryck, Yolande. "Le réalisme militant dans le "Tableau de Paris" et le "Nouveau Paris" de Louis-Sébastien Mercier : une tentative de révolution esthétique et éthique." Poitiers, 2006. http://www.theses.fr/2006POIT5012.

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Abstract:
Le Tableau de Paris et Le Nouveau Paris, de part et d'autre de la césure révolutionnaire, composent un diptyque unique où miroitent les reflets d'une capitale pittoresque, mais dont Mercier a voulu justement aussi montrer les misères, espérant toucher les milieux dirigeants, surtout pour le premier tableau. Son inspiration est clairement morale et politique. Il met au point une technique d'observation sans précédent, prise entre deux nécessités : celle de convaincre et celle de " faire vrai ". L'invention de ce réalisme militant est aussi l'aboutissement d'un rejet de la littérature académique, et d'un idéal de littérature démocratique qui rejoint le réalisme sous-jacent dans les évolutions du roman et du théâtre à l'époque. Mercier déploie une gamme extrêmement variée qui va du comique au touchant, et joue aussi dans les tonalités du style véhément ou parfois visionnaire. Mais la réalité est bien souvent loin de l'idéal philosophique, ce qui oblige Mercier à un jonglage improbable
The Picture of Paris and The New Paris, before and after the historical cut of French Revolution, compose a unique diptych that reflects a colourful capital ; but Mercier also wanted to show the misery, willing to reach possibly the leaders of the country ( particularly in the first picture) to make them " realize " what was really happening in the everyday life. He had clearly a political and moral aim. He set up a brandnew technic for observing, combining two necessities, convince and " make true ". This militant realism came also as a result of rejecting the academic litterature, and an ideal of democratic litterature that is to be related to the underlying realism in the novels and theater pieces at the time. Mercier provides a large range of styles, from comic to touching, and sometimes uses vehemence and visions. But reality very often is far from the philosophical ideal, so that Mercier always has to juggle with them both, what is not very conclusive
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Landry, Jean-Michel. "Les ingénieurs de l'âme : pouvoir et subjectivation sous Staline." Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25060/25060.pdf.

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Gichkina-Stich, Anna. "Le Roman russe d'Eugène-Melchior de Vogüé dans l'histoire intellectuelle, spirituelle, poltique et culturelle de la France." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040201.

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Abstract:
Le Roman russe d’Eugène-Melchior de Vogüé paraît au bon moment. À la fin du XIXe siècle, l’« horizon d’attente » de la France est plus que favorable à la réception de la littérature russe. Saturée et étouffée non seulement par le pessimisme consécutif à la défaite de 1871 mais aussi par le scientisme et le naturalisme, la société française ressent un besoin de renouveau dans tous les domaines de la vie. L’affaiblissement de la France sur la scène internationale fait de l’alliance avec la Russie un objectif politique prioritaire. Cette problématique nourrit aussi l’ambition de Vogüé de rapprocher les deux pays. « La pauvre vie spirituelle » de la France contemporaine incite le vicomte à accentuer le caractère chrétien de la littérature russe. Redonner à la France ses valeurs chrétiennes d’autrefois – voilà encore une ambition du vicomte exprimée au travers du Roman russe.À sa parution, en 1886, l’ouvrage connaît un succès immédiat non seulement dans le milieu intellectuel mais également auprès du grand public. En important la littérature russe en France, Vogüé veut découvrir à ses compatriotes, en plus de son génie littéraire et culturel, les particularités de l’âme russe. L’alliance franco-russe, le rapprochement culturel et intellectuel entre les deux pays, la russomanie du peuple, la russophilie des intellectuels, la renaissance de l’idéalisme, telles furent en France les nombreuses résonances du Roman russe
The Russian Novel by Eugène-Melchior de Vogüé comes out just at the right time. At the end of the 19-th century «the horizon of expectation» in France is more than favourable to perceive Russian literature. Satiated and suppressed by the postwar (1871) pessimism, exultant scientism and naturalism the French society begins to feel the need for change in all spheres of life. The loss of position on the international scene makes the country seek for alliance with Russia which becomes the main political goal of France in this historic period. Soon it becomes one of the goals of the viscount’s literary works. Seeing spiritual poverty in contemporary France Vogüé gives emphasis to Christian nature of Russian literature. Bringing the country back to its original Christian values – that is the other goal of Vogüé embodied in The Russian Novel.Before the book comes out in 1886, it is a total success both among intellectuals and general public. Introducing Russian literature in France Vogüé wants his compatriots not only to know and appreciate Russian literary and cultural genius, but to discover specific features of the Russian soul. The French-Russian alliance, cultural and intellectual convergence of the two countries, Russomania among the general public, Russophilia among the intellectuals, rebirth of idealism - these were the numerous echos of The Russian Novel in France
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Herrmann-Aktas, Melis. "De la Nature à l'homme : la charnière éthique de la pensée schopenhauerienne." Thesis, Strasbourg, 2019. http://www.theses.fr/2019STRAC025.

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Abstract:
Ce travail essaie de redécouvrir la pensée schopenhauerienne à travers les deux perspectives qu'elle présente : celle se centrant sur la Nature, l'autre sur l'éthique. Des forces cachées derrière les phénomènes naturels à l'intention cachée derrière les actions humaines, nous trouvons l'enjeu majeur de cette pensée comme la problématisation de la réalité par une réflexion sur la chose en soi kantienne. Ainsi, il faut d’abord reconsidérer les questions comme celles de la force, des Idées, de la vie, de la finalité, de l’instinct et de l'animal, pour rendre possible le passage vers une interrogation éthique encadrée par les questions de la liberté et du mal
This work tries to rediscover the Schopenhauerian thought through the two perspectives that it presents: one focusing on Nature, the other on ethics. From the forces hidden behind natural phenomena to the hidden intention behind human actions, we find the major challenge of this thought as the problematization of reality by a reflection on the Kantian thing in itself. Thus, we must first reconsider issues such as strength, ideas, life, purpose, instinct and animal, to make possible the passage to an ethical interrogation framed by the questions of freedom and evil
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Froidevaux, Sandra. "Faits, valeurs et non-cognitivisme : une analyse critique." Thèse, 2006. http://hdl.handle.net/1866/16557.

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Soucy, Guillaume. "Constructivisme moral : la question de l’objectivité des faits moraux." Thèse, 2018. http://hdl.handle.net/1866/20304.

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