Academic literature on the topic 'Recherche industrielle – Cameroun – Études de cas'

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Journal articles on the topic "Recherche industrielle – Cameroun – Études de cas"

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Senker, Jacqueline. "L'accès des PME à la recherche fondamentale." Revue internationale P.M.E. 7, no. 3-4 (February 16, 2012): 121–46. http://dx.doi.org/10.7202/1008426ar.

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Abstract:
Les projets de nombreux gouvernements pour promouvoir l’innovation industrielle à rintérieur des PME ont pour objectif d’encourager les relations de ces dernières avec la recherche fondamentale. Le manque de chercheurs et d’ingénieurs qualifiés constitue un des freins majeurs aux relations des PME avec la recherche fondamentale. Par contre, des études de cas sectorielles montrent que la plupart des PME souhaitant utiliser cette ressource peuvent habituellement le faire. Les cas étudiés montrent aussi que les besoins de PME en recherche fondamentale et le type de connaissances requises sont variés. Les politiques soutenant les relations des PME avec la recherche du secteur public devraient tenir compte de ces constats. En effet, il se peut que le choix réussi de certains plans spécifiques soit en relation avec des exemples de projets qui coïncident fortuitement avec les besoins d’un secteur donné. L’absence, dans des domaines particuliers, de la recherche scientifique publique est un autre frein significatif aux relations universités- entreprises.
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Biwolé-Fouda, Jean, and Henri Tedongmo Teko. "Pratiques de sorcellerie dans la dynamique concurrentielleLa sorcellerie dans la dynamique concurrentielle." Revue Française de Gestion 46, no. 289 (May 2020): 143–59. http://dx.doi.org/10.3166/rfg.2020.00441.

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Abstract:
Cette recherche met en exergue la réalité des pratiques de sorcellerie dans le management de la petite entreprise au Cameroun. La méthodologie mobilise une enquête qualitative de terrain et trois études de cas concrets d’influence des pratiques de sorcellerie sur les comportements concurrentiels des managers des petites entreprises. Les résultats révèlent trois types d’agir sorcellaire des managers en situation de concurrence et montrent que le savoir sorcellaire est un avantage concurrentiel. Il exerce une influence ambivalente sur la performance de la petite entreprise.
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Clergeau, Cécile, and Philippe Violier. "Le concept de cluster est-il soluble dans le tourisme ?" Téoros 31, no. 2 (December 9, 2013): 60–71. http://dx.doi.org/10.7202/1020772ar.

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Abstract:
Dans les approches scientifiques, le concept de cluster (grappe) met en évidence, d’une part, le rôle des proximités organisationnelles, construites à partir des proximités spatiales dans la dynamique de compétitivité des destinations touristiques. D’autre part, des clusters tourisme se développent partout dans le monde. Or, le concept de cluster, tel que proposé par Porter (1998), émane de l’économie industrielle. L’enjeu de cet article consiste donc à montrer que le simple transfert d’un outil scientifique élaboré dans le contexte industriel au management des destinations touristiques pose problème. Il doit être enrichi pour comprendre les dynamiques de développement touristique local et acquérir plus d’efficacité opérationnelle. Trois axes de réflexion théorique, mais inspirés par des études de cas rencontrées dans différents travaux de recherche, sont proposés pour interroger les analyses des clusters tourisme. Il convient en effet de prendre en compte trois dimensions spécifiques qui seront abordées à partir du processus de coproduction inhérent à l’activité touristique, des dynamiques de proximités singulières dans ce champ du tourisme et des caractéristiques de l’encastrement des activités touristiques dans le territoire. Enfin, les auteurs proposent un modèle de cluster plus adapté aux destinations touristiques.
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Legault, Marie-Josée, and Martine D’Amours. "Représentation collective et citoyenneté au travail en contexte de projet." Articles 66, no. 4 (January 17, 2012): 655–77. http://dx.doi.org/10.7202/1007638ar.

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Abstract:
Cet article contribue au renouvellement de la réflexion sur la citoyenneté au travail en s’appuyant sur la théorie de la citoyenneté sociale de Linda Bosniak pour étudier deux groupes de travailleurs (concepteurs de jeux vidéo et artistes interprètes) incombant à une même figure emblématique du travail contemporain, soit le travail du savoir très qualifié, mobile et organisé sous la forme de projets. À l’heure où le travail du savoir prend de plus en plus d’importance dans les économies développées, il importe de prendre acte de ce qu’il occupe une position très différente de la dépendance économique du citoyen industriel dont la compétence est substituable. À la différence de la division industrielle entre la conception et l’exécution, le travail y mobilise la personne entière du travailleur plutôt que sa seule force de travail, dans un processus créatif d’innovation sur un marché très compétitif où l’apport créateur du travailleur est un atout déterminant. Les auteures y étudient l’état contemporain de la représentation des intérêts chez des travailleurs du savoir et de leur participation à la régulation de leur travail, à la fois localement et à l’échelle sociale, à l’aide de deux études de cas où des travailleurs très qualifiés transitent constamment entre des projets à courte durée déterminée plutôt que de jouir d’une relation d’emploi stable à long terme. Confrontés à des problèmes et à des enjeux collectifs, ces travailleurs déploient des moyens originaux de participer à la régulation de leur travail, hors du syndicalisme. La discussion met finalement en évidence l’émergence non seulement de nouveaux modes de représentation mais d’un nouveau citoyen au travail, à la recherche de droits et d’avantages différents du citoyen industriel de l’ère fordiste et ceci, dans un espace plus large que celui de l’entreprise.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Pensieroso, Luca, and Michel De Vroey. "Focus 25 - juin 2020." Regards économiques, July 16, 2020. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2020.06.04.01.

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Abstract:
En décembre 2019, les membres de Rethinking Economics Belgium (dorénavant REB) ont diffusé un rapport intitulé “Dix ans après la crise, faut-il changer la formation des futurs économistes ?”. Ce rapport présente les résultats d’une enquête statistique réalisée auprès d’un échantillon d’étudiants bacheliers en sciences économiques en Fédération Wallonie-Bruxelles entre 2016 et 2017. Ses auteurs y déplorent que l’enseignement des sciences économiques est presque exclusivement centré sur l'approche néoclassique alors que celle-ci, selon eux, souffre d'un biais en faveur de l'idéologie néolibérale. Stigmatisant cette situation comme un manque de pluralisme, le rapport avance un certain nombre de propositions de réforme de l’enseignement et de la recherche en économie. Nous accueillons ce rapport comme une belle opportunité de disputatio et c'est dans cet esprit que notre note a été écrite. Bien que selon nous le rapport comporte plusieurs défauts méthodologiques, notre intention dans cette note est de nous limiter à l’essentiel en proposant une interprétation différente du phénomène que les auteurs du rapport appellent la «domination de la théorie néoclassique» et en défendant l’idée que la question du pluralisme en économie gagne à être abordée d’une manière différente. Une domination néoclassique ? L’approche néoclassique est un courant de la pensée économique qui vit le jour dans le dernier quart du 19ème siècle. Ses piliers sont la notion d'équilibre et la théorie subjective de la valeur, enracinée dans une perspective d'individualisme méthodologique et fondée sur les concepts d’utilité marginale et de productivité marginale*. Les auteurs du document de REB rattachent sa “domination” dans l’enseignement au fait qu’elle existe “quasiment sans partage” dans la recherche. En d’autres termes, elle y occupe le statut de “mainstream”. La notion de mainstream se rencontre fréquemment dans la littérature économique – ainsi que dans le rapport de REB – mais elle est souvent définie d’une manière vague. Dans un article récent (De Vroey et Pensieroso 2020), nous avançons la thèse que cette notion n’est intéressante que si on lui donne un fondement méthodologique au lieu de se contenter de la rattacher à une simple prépondérance statistique. Dans cette vue, une situation de mainstream n’existe que si un consensus s’établit sur des critères méthodologiques considérés comme des sine qua non pour une bonne pratique scientifique. Dans notre article, nous montrons que trois types de situations se sont succédés au cours du 20ème siècle. La première est un état d’absence de mainstream. Elle a perduré jusque dans les années 1980. Ces dernières ont vu l’émergence d’un mainstream en économie théorique, qu’il s’agisse de travaux de pure théorie ou de travaux combinant théorie et mesure empirique. C’est la seconde situation. Elle a émergé à la croisée de deux évolutions distinctes. La première est l’extension à différents champs de l’économie de trois principes méthodologiques déjà en vigueur en théorie des jeux et en microéconomie: (i) le rôle-pivot donné au concept d’équilibre, (ii) la modélisation mathématique et (iii) le caractère micro-fondé de l’analyse, à savoir l’exigence que les fonctions de demande et offre agrégées soient explicitement dérivées des règles de comportement optimisateur suivies par les agents économiques. Une telle extension s’est produite plus ou moins simultanément et d’une manière non-coordonnée dans différentes disciplines comme par exemple la macroéconomie et l’économe industrielle. A son origine, on trouve une insatisfaction quant aux principes méthodologiques en vigueur antérieurement. La seconde évolution est le phénomène général de certification qui a graduellement imprégné nos sociétés pour prendre son plein essor avec l’émergence de l’internet – l’attribution de brevets de qualité et la construction d’échelles appréciatives permettant de classer des objets ou des expériences diverses en fonction de leur excellence. Dans ce contexte, les revues scientifiques, en plus de leur rôle d’instrument de diffusion de la recherche, ont commencé à fonctionner comme organes de certification, séparant les articles respectant les standards méthodologiques de ceux qui ne les respectent pas et sont dès lors écartés. L’effet de cette double transformation se résume en quelques chiffres ayant trait au contenu des articles publiés dans les quatre principales revues économiques (American Economic Review, Econometrica, Journal of Political Economy et Quarterly Journal of Economics) dans les périodes 1970-1990 et 1990-2010. Alors que les articles respectant les trois choix méthodologiques précités représentaient 38 % du total des articles publiés en 1970, en 1990 ils en représentaient 67 % et en 2010 69 %. Nous interprétons ces chiffres comme offrant une indication claire de l’émergence d’un mainstream dans le champ théorique entre 1970 et 1990. Par contre durant cette période, aucun consensus méthodologique n’existait en ce qui concernait les travaux faisant une contribution exclusivement empirique, l’économie appliquée. Mais ce qui n’était pas vrai en 1990 l’est devenu au cours de la première décennie de ce siècle. La situation actuelle se caractérise par la montée en puissance de l’‘économie expérimentale’, ce terme étant entendu dans un sens large comme le commun dénominateur (i) des expériences comportementales de laboratoire, (ii) des randomized controlled trial et (iii) des ‘expériences naturelles’.** Le premier de ces courants résulte de l’adoption par un groupe d’économistes de protocoles expérimentaux propres aux psychologues cognitifs dans le but de justifier le remplacement de l’hypothèse de comportement optimisateur par des hypothèses plus réalistes. Le succès venant, cette démarche est maintenant connue sous le nom d’‘économie comportementale’. Le second découle de l’adoption par des économistes du développement de techniques expérimentales en usage en épidémiologie et centrées sur une confrontation entre groupe de traitement et de groupe de contrôle (cfr. Parienté 2016). Quant aux études d’expériences naturelles, elles consistent à exploiter «des situations où les forces de la nature ou des politiques étatiques semblent avoir conspiré pour produire un environnement proche de celui sur lequel les randomized trials se penchent» (Angrist and Krueger 2001 : 73). Les méthodes adoptées en économie expérimentale au sens large ont eu un impact majeur sur l’économie appliquée. Une nouvelle manière de la concevoir, marquant une triple rupture par rapport à l’économie appliquée traditionnelle, s’est dégagée. On y observe :i) Une émancipation à l’égard des impératifs méthodologiques imposés par les économètres théoriques. Le recours à des outils économétriques plus simples en est la conséquence (cfr. Angrist et Peschke 2017).ii) Une adhésion à la ‘révolution causale’ avec, comme corolaire, un résultat de rétrécissement de l’objet d’étude. L’explanandum est une question concrète et spécifique ayant souvent une incidence politique immédiate; l’explanans est une cause unique. A titre d’exemple, citons l’étude de Dal et Krueger (2002) visant à répondre la question, le fait d’être diplômé d’une université prestigieuse au minerval élevé plutôt que d’une université moins prestigieuse et moins chère génère-t-il une différence de revenu significative une vingtaine d’année après l’obtention du diplôme ?iii) Le recours à des instruments statistiques - telles que les variables instrumentales, la stratégie de double différence ou les discontinuités de régression - visant à éliminer les biais de sélection ou d’omissions et dont les règles de bon usage font l’objet d’un consensus à l’intérieur de la communauté des économistes appliqués. Le mainstream théorique se voit ainsi complété par un mainstream empirique fondé sur des règles méthodologiques régissant chacune de trois composantes de l’économie expérimentale. De nos jours, il y a donc deux manières d’appartenir au mainstream. La première résulte d’une définition méthodologique de ce qui est considéré être une bonne pratique théorique, la seconde d’une définition méthodologique de ce qui est considéré être une bonne pratique empirique. Notre analyse sur le débat ouvert par le rapport REB a deux retombées. En premier lieu, on peut se demander si mainstream et approche néoclassique coïncident. A strictement parler, cela n’est pas le cas. D’abord, la théorie des jeux est une composante du mainstream qui ne peut être identifiée à l’approche néoclassique. Ensuite, il y a des travaux néoclassiques qui se trouvent être exclus du mainstream - la théorie autrichienne, parce qu’elle n’adopte pas le langage mathématique, et les études néoclassiques qui n’adoptent pas la démarche de micro-fondements. Enfin, en 2010, la part du mainstream empirique dans le total des deux mainstreams représentait 22 %. Or, par définition, aucun des articles qui en font partie n’appartient à l’approche néoclassique. Le tableau contemporain est donc bien plus riche et varié que ce qui est dépeint dans le rapport REB. La seconde question qui se pose du fait de l’existence d’un mainstream en économie porte sur l’interprétation de cette réalité. Il est clair que les tenants des approches écartées se sentent frustrés d’être exclus du mainstream avec toutes les conséquences professionnelles qui en découlent. Ils auront donc tendance à voir cette situation comme une régression par rapport à une situation antérieure plus satisfaisante car marquée du sceau du pluralisme. Par contre, les économistes dont les travaux s’inscrivent à l’intérieur des critères définissant le mainstream peuvent avancer l’idée que l’unification de la discipline autour de critères méthodologiques clairs et nets est un signe de progrès. En conséquence, la question de savoir si l’existence d’un mainstream est une régression ou la marque d’un progrès ne peut recevoir de réponse univoque. Une absence de pluralisme ? Trois stratégies s’offrent aux tenants de choix méthodologiques exclus du mainstream. La première (et la plus intéressante à nos yeux) est de centrer leur énergie sur le développement de leur paradigme préféré, comme si de rien n’était, dans le but d’en démontrer la fécondité explicative. La seconde vise à convaincre les tenants du mainstream que les choix de base sur lesquels ils reposent sont inadéquats. A notre avis, les chances de succès de cette seconde stratégie sont minimes si, comme nous le pensons, les révolutions théoriques trouvent en général leurs origines dans des faiblesses mises en avant par une critique interne. La troisième consiste à affirmer que l’existence même d’un mainstream est condamnable parce qu’il s’agit d’un manque de pluralisme. Comme ce point de vue occupe une place centrale dans le document REB, il mérite d’être passé au crible. A nos yeux, la justification qui en est donnée n’est pas convaincante. Le fait que l’exigence de pluralisme est d’une importance primordiale dans le domaine de la démocratie politique et de l’information n’implique pas que ceci soit aussi le cas pour la connaissance scientifique. Comme nous l’avons déjà évoqué plus haut, une unification paradigmatique peut être interprétée comme une marque de progrès. Il reste qu’en économie, peut-être plus que dans d’autres sciences, la question du pluralisme doit être posée. Mais, à nos yeux, elle doit l’être dans d’autres termes. Depuis Adam Smith jusqu’à nos jours, les économistes ont débattu de la meilleure manière d’organiser la société dans sa dimension économique. L’objet d’étude de la science économique est donc éminemment politique. D’ailleurs, les travaux économiques débouchent souvent, sinon toujours, sur des conclusions de politique économique. L’enjeu sous-jacent porte sur le rôle respectif de l’Etat et des forces de marchés dans le fonctionnement de l’économie. Schématiquement, trois visions du capitalisme sont en présence : une vision pleinement libérale (le laissez faire d’Hayek ou de Friedman), une vision marxiste et une vision que l’on peut qualifier de «libéralisme mitigé» ou de «libéralisme raisonné». Cette dernière, associée notamment au nom de Keynes, consiste en une défense de l’économie de marché allant de pair avec la réalisation qu’elle peut rencontrer des échecs de fonctionnement auxquels seules des interventions étatiques sont à même de remédier. L’accusation de manque de pluralisme serait pertinente s’il s’avérait que le mainstream théorique, tel que nous l’avons cerné dans la section précédente, est intrinsèquement partisan d’une seule vision, le plein libéralisme par exemple. Dans un article, publié dans les Regards Économiques en 2018, nous avons démontré que cela n’est pas le cas en nous centrant sur trois épisodes de l’histoire des théories économiques - une comparaison du cadre conceptuel de Marx et des économistes classiques, l’utilisation de la théorie walrasienne pour justifier le socialisme et les controverses entre keynésiens et monétaristes. Dans cette perspective, tant la théorie classique que la théorie néoclassique sont un langage qui peut être mis au service de visions du capitalisme différentes. L’existence d’un mainstream en économie n’est donc pas synonyme d’un manque de pluralisme en économie. * Cfr. De Vroey et Pensieroso (2018) pour plus de détails.** En témoignent les prix Nobel en économie décernés à D. Kahneman et V. Smith en 2002, à A. Roth en 2012, à R. Shiller en 2013, à R. Thaler en 2017 et à A. Banerjee, E. Duflo and M. Kremer en 2019. Références: Angrist, J. and A. Krueger (2001), “Instrumental Variables and the Search for Identification: From Supply and Demand to Natural Experiments.” Journal of Economic Perspectives. 15, No. 4 : 69-85. Angrist, J. and J-S. Pischke. 2009. Mostly Harmless Econometrics. An Empiricist's Companion. Princeton (N. J.) and Oxford, Princeton University Press. Dale, S. and Al Krueger. 2002. “Estimating the Payoff to Attending a More Selective College: An Application of Selection on Observables and Unobservables.” Quarterly Journal of Economics 117: 1491–1527. De Vroey M. et L. Pensieroso (2020), “Mainstream Economics. Its Rise and Evolution”, mimeo. De Vroey M. et L. Pensieroso (2018), “La question du pluralisme en économie. Une mise en perspective”, Regards Économiques, numéro 137. Parienté W. (2016), “Mesurer l'effet des politiques publiques : l'essor des évaluations aléatoires”, Regards Économiques, numéro 124. Rethinking Economics Belgium (2019), 10 ans après la crise : faut-il changer la formation des futur·e·s économistes ?
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Dissertations / Theses on the topic "Recherche industrielle – Cameroun – Études de cas"

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Affa'a, Félix-Marie. "Les facteurs d'émergence d'une stratégie de gestion de la recherche appliquée : une étude de cas au Cameroun." Doctoral thesis, Université Laval, 2007. http://hdl.handle.net/20.500.11794/19359.

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Teixeira, Bohrer Cariza. "La R&D et l'innovation dans les services : études de cas dans les hôpitaux universitaires du Brésil et de la France." Thesis, Lille 1, 2010. http://www.theses.fr/2010LIL12019/document.

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Abstract:
Les particularités des services influencent différents éléments du processus d’innovation. Ainsi, les caractéristiques du secteur induisent des questions sur la Recherche et Développement (R&D). Dans ce sens, nous cherchons à élucider l’influence de ces particularités sur la caractérisation et la définition de la dynamique des activités de R&D. Basés sur des études de cas provenant d’hôpitaux universitaires brésiliens et français, cette thèse cherche à expliquer quatre points convergents. Premièrement, à partir de la définition du produit des services comme un ensemble de vecteurs, nous avons proposé une association entre la dynamique de compétences et les différentes formes de traitement systématique de connaissances pour résoudre des incertitudes scientifiques et technologiques. Deuxièmement, nous avons associé au vecteur de compétences, les opérations de services liées aux caractéristiques techniques. Troisièmement, la diversité des acteurs qui constituent les forces directrices de cette dynamique ont été analysées. Finalement, quelques caractéristiques liées au processus de R&D et d’innovation ont été identifiées. Les résultats ont démontré que les compétences attachées au processus de génération et d’augmentation du stock de connaissances ont des caractéristiques théoriques et pratiques, mais aussi organisationnelles et relationnelles. Ces compétences, liées à une série d’acteurs, mettent en œuvre différentes opérations de services, qui supportent les connaissances traitées. Ainsi, il a été possible d’identifier quelques caractéristiques des processus de R&D et les différents modèles d’innovation rencontrés
The particularities of services influence different elements on the innovation process. Although, the characteristics of the sector urge some questions related to research and development (R&D) activities. In this sense, we try to clarify the influences of these particularities in the characterization and definition of the dynamics of its R&D activities. Based on study cases from Brazilian and French university hospitals, this thesis tries to explain four convergent points. First, based on the definition of the product of services as a set of vectors, we propose an association between the dynamic of competences and different methods of knowledge processing, in a systematic way and with the purpose of solving scientific and technological uncertainties. Second, we associated service operations to the vector of technical characteristics. Third, the diversity of actors that compose the guiding forces of these dynamics was analyzed. Finally, some characteristics related to the R&D and innovation process were identified. The results demonstrated that the competences involved in the process of creating and increasing the stock of knowledge have theoretical and practical characteristics, but also organizational and relational ones. These competences, linked to a series of actors, trigger different service operations, which will support the knowledge processing. Therefore, it was possible to discuss some characteristics related to the R&D process and the different models of innovation found
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Dergint, Dario Eduardo Amaral. "Apprentissage collectif et milieux innovateurs : études de cas à Grenoble et simulations multi-agents." Compiègne, 1999. http://www.theses.fr/1999COMP1235.

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Abstract:
Aujourd'hui, les PME sont capitales pour les milieux innovateurs. Ainsi, cette étude propose deux travaux complémentaires : l'étude de cas à la ZIRST (région grenobloise) la proposition d'un système logiciel pour la simulation des tissus industriels localisés. La première partie a deux grands objectifs. Le premier vise à vérifier in locus les dynamiques traitées par la littérature. Le second est d'évaluer la méthodologie proposée : l'étude des milieux locaux par l'analyse de la diffusion de connaissance/ technologies. Les résultats trouvés sont : les externalités technologiques entraînent l'effet appelé "connaissance virtuelle" des entreprises, la santé économique des PME est un facteur négatif à l'apprentissage collectif et au développement régional à long terme, la proximité géographique est primordiale pour l'apprentissage collectif, etc. La deuxième partie présente et développe un système multi-agent, fait en JAVA, pour la simulation des milieux innovateurs. Les agents sont dotés d'unités d'apprentissage inductif pour les capacités cognitives» Notre système est appelé LILSS, Local Inductive Leaming Simulations Systems. Les simulations démontrent que les entreprises d'un milieu innovateur sont plus souples et petites en gardant la même performance, qu'elles sont capables de constituer un capital relationnel, qu'elles sont capables de réagir plus rapidement aux changements du milieu, etc. Ce système est utile pour traiter le point d’équilibre entre les entreprises innovatrices et imitatrices, les impacts des externalités sur la dissémination de technologies, les réseaux, etc. En faisant un bilan final, les contributions sont : l'étude de la ZIRST, la proposition et le test d'une méthode pour étudier les milieux technologiques, la proposition et le développement d'une nouvelle machine d'apprentissage inductif, la proposition et le développement d'un système logiciel pour simuler des problèmes complexes où les éléments constituants communiquent et apprennent.
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Tavares, Ferreira Marta. "L'adoption industrielle de résultats de la recherche publique : les enseignements de dix études de cas dans les télécommunications françaises : contribution à l'étude de la dynamique des technologies." Châtenay-Malabry, Ecole centrale de Paris, 1992. http://www.theses.fr/1992ECAP0224.

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Abstract:
Cette thèse se propose d'étudier l'interaction entre la recherche publique et l'industrie au sein du système forme par les acteurs du développement technologique. Un modèle théorique pour l'étude des transferts de technologie est bâti à partir de contributions de différentes disciplines des sciences humaines. Il est structuré en trois niveaux : l'interaction évolution technique/développement socio-économique, les rapports recherche/production à l'intérieur du processus de formation de technologies, le transfert de nouvelles connaissances techniques à travers les frontières organisationnelles. Dix cas de transfert entre la recherche publique française en télécommunications et l'industrie électronique sont alors étudiés afin de détecter les facteurs facilitant ce processus ainsi que la contribution spécifique de la recherche publique au développement de technologie industrielle
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Pascal, Amandine. "Conception d'une solution TIC pour favoriser l'émergence de projets innovants : une approche usage -L'expérience KMP-." Phd thesis, Université de Nice Sophia-Antipolis, 2006. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00374023.

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Abstract:
La question que nous nous posons dans cette thèse est dans quelle mesure les TIC peuvent favoriser l'émergence de projets innovants entre acteurs de la recherche publique et de la recherche privée ? Plus spécifiquement, nous reconnaissons dans cette recherche, à l'instar de nombreux auteurs, que c'est moins la dimension technique que les modalités de mise en œuvre de la solution qui importent [Benghozi, 2001]. Dans le cas où les pratiques sont incertaines et complexes parce que mêlant des acteurs différents, une réflexion sur la notion d'usage nous conduira ainsi à mettre en évidence la nécessité d'une co-conception des solutions TIC et à proposer la mise en œuvre de cette démarche à travers une recherche intervention dans le cadre du projet KMP au sein de Telecom Valley. Cette expérimentation nous permettra alors de mettre en exergue le rôle de la construction d'objets frontières dans la co-évolution de la conception et des usages.
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Younès, Dima. "Créer la coopération ? : les dynamiques de partenariat sur le pôle de compétitivité du plateau de Saclay." Paris, Institut d'études politiques, 2011. http://www.theses.fr/2011IEPP0053.

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Abstract:
Depuis les années 1990, de nombreux travaux ont été consacrés à la question de la performance des nouvelles formes « d’organisation en réseau » dans l’industrie ; cependant, peu d’études examinent les mécanismes d’émergence et de reproduction des réseaux inter-organisationnels (Powell et Smith-Doerr 2005, Provan et Sydow 2008). Dans cette optique, cette thèse propose d'examiner cette question à travers l'étude des dynamiques de partenariat sur les projets de R et D du pôle de compétitivité du plateau de Saclay. En examinant à la fois la stratégie des entreprises et la gouvernance du territoire, la thèse montre que les réseaux inter-organisationnels résultent d’une négociation entre différents métiers au sein des grandes entreprises - organisations capables d’imposer des sujets de recherche à leurs partenaires. La construction de l’intérêt des firmes pour certains types de partenariats résulte des négociations entre de multiples acteurs (chercheurs, juristes, dirigeants…). Dans cette négociation, les ressources du territoire (réseaux professionnels, pôle, établissements de recherche…), les caractéristiques des partenaires potentiels, les frontières sectorielles, ainsi que les opportunités et les contraintes introduites par la politique des pôles de compétitivité sont saisies par les porteurs d’intérêts de la firme, et se traduisent par des configurations d’échange sur les projets de R&D, qui s’agrègent dans une morphologie de la coopération locale. La négociation reflète des enjeux d'emploi et de travail qui dépasse nt le territoire
Since the 1990s, many studies underlined the better performance of network forms of organization; yet, very few examined the mecanisms of emergence and reproduction of inter-organizational networks (Powell et Smith-Doerr 2005, Provan et Sydow 2008). The goal of this dissertation is to explore this question by examining the partenaring dynamics in Saclay's competitiveness cluster. By focusing on both firms' strategies and local governance, the thesis shows that inter-organizational networks are the result of negotiations among different actors inside large firms (researchers, lawyers, executives…). In their negociation, these actors seize local resources (professional networks, research organizations, the cluster), the characteristics of potential partners, the sectorial frontieres, as well as the opportunities and constraints that the policy induces to defend their interests and their prefered topics of collaboration inside the firm. They thereby affect the configuration of exchanges on a collaborative project, and on an aggregate level, the structure of the network. Besides, the negotiation reflects strategies related to employment and work; these are not specific to the studied area
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Dupont, Benoit. "La gestion de projet pour des produits d'innovation : construction et application d'un modèle normatif." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/30214/30214.pdf.

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Abstract:
Cette thèse présente un modèle de projet pour des produits d’innovation. Ce modèle est normatif et universel, car il est construit sur onze axiomes (dont un axiome méthodologique) et il apporte une réponse à la problématique générale d’une gestion de projet efficace (qui atteint les résultats voulus) et efficiente (qui atteint les résultats voulus en dépensant moins d’énergie). Il est constitué d’une structure pour le niveau opérationnel et d’un design pour le niveau managérial. Ensemble, la structure et le design sont constitués de deux équipes, de trois fonctions et de cinq rôles. Ce modèle est le résultat d’une recherche théorique et d’une recherche empirique. La recherche théorique a suivi une filière intellectuelle qui va des théories sur l’organisation du travail jusque la gestion de projet en passant par les travaux du groupe d’Aston, la théorie de la contingence et les travaux sur la forme matricielle. Elle a permis de définir une approche conceptuelle générale du mode et de l’organisation du travail propres aux projets d’innovation La recherche empirique s’est faite chez EXFO, une entreprise innovatrice québécoise, et a suivi la méthode de la recherche-action. Celle-ci a pu mettre en œuvre le modèle de projet dans la R et D de cette entreprise et l’a appliqué à un projet d’innovation du bureau de projet. Il ressort de cette recherche que le modèle est pratique, simple et fiable, mais que la compréhension et l’assimilation de ses fonctions et de ses rôles n’est pas chose aisée et demande du temps.
This thesis presents a prescriptive model for projects that develop innovative products. Its prescriptive character and its universality stem from 11 axioms or axiomatic propositions. It is constructed to find a solution to the general problematic of project management effectiveness (getting results) and efficiency (getting results with less energy). The model is composed of a structure on the operational level and of a design on the managerial level. Two teams, three functions and five roles are the constitutive elements of the model. The construction of the prescriptive model is the result of extensive theoretical and practical research. The study of literature starts with a presentation of classical authors on work organization; it extends into an analysis on the Aston group and the contingency theory and it ends with a study of the matrix structure and the project management concept. This work generates a general conceptual approach on the specificities of project management, its work mode and its work organization. The empirical research uses the action-research methodology and was conducted in EXFO, an innovative company based in Quebec City. Action research implemented the prescriptive model in the company’s R & D and put it into practice on an actual innovative project of the Project Management Office. The research demonstrates that the prescriptive model is simple, practical and reliable. It also makes clear that in-depth assimilation of the model’s concepts, roles and functions is challenging and time-consuming.
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Books on the topic "Recherche industrielle – Cameroun – Études de cas"

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Howells, Jeremy. The globalisation of production and technology. London: Belhaven Press, 1993.

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