Academic literature on the topic 'Référence déictique'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Référence déictique.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Référence déictique"

1

Kleiber, Georges. "Celui-ci/-là ou comment montrer du nouveau avec du déjà connu." Revue québécoise de linguistique 21, no. 1 (2009): 123–69. http://dx.doi.org/10.7202/602727ar.

Full text
Abstract:
RésuméCet article a pour but de montrer que les pronoms démonstratifscelui-ci/celui-làsont des marqueurs référentiels hybrides, à la fois anaphoriques et déictiques. Porteurs d’information déjà donnée, par l’intermédiaire delui, et vecteur de saillance nouvelle par la procédure de saisie démonstrative, ils constituent une expression référentielle originale qui amène du nouveau en s’appuyant sur la saillance préalable d’une classe de référents déjà nommés.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

CORNISH, FRANCIS. "SN démonstratifs et anadeixis: sens ‘spatial’, ou valeurs tributaires d'une stratégie pragmatique potentielle?" Journal of French Language Studies 27, no. 2 (2016): 215–39. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269515000514.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉL'article vise à démontrer que l'emploi des démonstratifs marqués pour la distinction déictique ‘proximal’ vs. ‘distal’ en français et en anglais (ainsi que dans bien d'autres langues encore) ne se laisse pas analyser de manière satisfaisante en fonction du degré de proximité ou de distance du référent visé par rapport au locuteur (ou à l'allocutaire) dans la situation de communication, selon la conception classique. Une analyse plus satisfaisante devrait prendre en compte le projet communicatif du locuteur: implication personnelle forte du locuteur dans le cas du membre proximal de l'opposition, et dissociation subjective ou alignement avec l'allocutaire dans celui du membre distal (non marqué).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

LORENTZEN, LISE RICHTER. "Le fonctionnement du pronom adverbial y et la concurrence entre y, là et là-bas en emploi spatial." Journal of French Language Studies 16, no. 2 (2006): 167–85. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269506002419.

Full text
Abstract:
En dépit de leur nature et de leur fonctionnement syntaxique distincts, le pronom y en emploi spatial se trouve en concurrence, sur les plans sémantique et pragmatique, avec les deux adverbes là et là-bas. En termes d'accessibilité cognitive, il sera montré que les référents de y jouissent d'une plus grande accessibilité que ceux des deux adverbes. Les trois marqueurs ont tous des emplois anaphoriques. Si là et là-bas s'emploient également de manière déictique, tel n'est pas le cas pour y. Là-bas est le seul à pouvoir marquer la distance par rapport au locuteur. Quant à la progression thématique, les trois marqueurs peuvent exprimer le thème, mais y n'est jamais rhématique, contrairement aux deux autres. Enfin, y et là-bas sont plus aptes que là à marquer un processus spatial dynamique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Ngamountsika, Édouard. "Un aspect morphosyntaxique du français parlé au Congo : la question du discours rapporté1." Aspects linguistiques, March 6, 2008, 169–87. http://dx.doi.org/10.7202/017714ar.

Full text
Abstract:
Résumé Le discours rapporté pose dans la syntaxe du français parlé au Congo le problème de l’insertion dans un discours citant contenant un verbe de parole ou un verbe de connaissance d’un second discours, le discours cité sans opérer les modifications requises par le français standard, à savoir celles des embrayeurs, des déictiques, des temps verbaux et de la modalisation. Nous nous proposons d’examiner la question du DR d’un point de vue purement descriptif à partir d’un corpus oral afin de tester l’hypothèse d’une variabilité du FPC du point de vue des mécanismes langagiers et grammaticaux utilisés. Nous nous limiterons à un échantillon de situations et de « genres » de prise de parole. Plus globalement, nous nous interrogerons sur l’existence d’une norme endogène congolaise spécifique, différente à la fois de la norme de référence et de celles des autres variétés du français en Afrique en voie de standardisation.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Référence déictique"

1

Dali, Narjes. "Syntaxe et sémantique de IT référentiel en anglais contemporain." Phd thesis, Université de la Sorbonne nouvelle - Paris III, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01065959.

Full text
Abstract:
Partant du constat que le pronom IT connaît, en anglais contemporain, une grande richesse d'emplois, cette thèse propose une étude de IT référentiel et vise à examiner ses fonctions, son positionnement phrastique et son pouvoir référentiel. Ce pronom occupe toutes les places syntaxiques au sein de la phrase. Il a la spécificité de renvoyer à une entité beaucoup plus complexe qu'un groupe nominal. De plus, le rapport de IT avec ses antécédents est au cœur de cette étude qui examine aussi les différents facteurs jouant un rôle dans l'identification du bon référent où la présence textuelle ou situationnelle d'un antécédent n'est pas une condition nécessaire pour que le pronom soit référentiel. Un traitement global de tous les emplois référentiels de IT est proposé, car quelle que soit la place de l'objet désigné par IT, cet objet appartient à la mémoire commune du locuteur et de l'allocutaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Kao, Chiou-Fen. "Éléments de l’énonciation discursive." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEH022/document.

Full text
Abstract:
En quoi peut consister l’énonciation dans le sens d’un énoncé ? Telle est l’interrogation à laquelle nous tentons de répondre dans cette thèse. Défendant une approche discursive du sens (Carel 2011, Ducrot 1984), nous nous fixons l’objectif de mettre en lumière une conception de l’énonciation dans cette perspective. Notre défi majeur est ainsi de démontrer, de manière concrète, une énonciation qui n’est pas conçue comme une sorte d’événement du monde relatif à la production d’un énoncé. Il s’agit en effet de cette conception de l’énonciation, d’ailleurs prise pour aller de soi, lorsque la plupart des auteurs (Kleiber 2008, Recanati 2008) interprètent un énoncé contenant une expression déictique tel que « Je suis Français » ou « Il fait chaud ici ». Défendant une approche référentielle du sens, ces auteurs sont amenés à repérer le référent correspondant à l’occurrence du mot « je » ou celle du mot « ici », avec la signification de l’un et l’autre mot prise respectivement comme « celui qui produit l’occurrence de je » et « le lieu où l’occurrence d’ici est produite ». Étant donné qu’un tel repérage du référent implique, de manière inévitable, de chercher dans la production de l’énoncé concerné, l’énonciation se présente ainsi comme extralinguistique et comme l’événement constitué par la production de l’énoncé. En nous appuyant, non sans une certaine liberté, sur les travaux respectifs de Benveniste (1966) et de Ducrot (1984), nous nous proposons de dresser le portrait d’une autre conception de l’énonciation qui relève plutôt du système linguistique lui-même, à la différence de celle dépendant ainsi de l’univers extralinguistique. À partir d’un fondement sémantique dégagé des travaux de ces deux auteurs, ainsi que des éléments que nous développons sur cette base, nous faisons des analyses portant essentiellement sur les marques de pronoms, afin d’illustrer la conception de l’énonciation que nous défendons. Qu’il s’agisse de l’analyse comparative entre « Je sais que p » « Tu sais que p » « Elle sait que p », ou celle entre « Je suis beau » « Tu es beau » « Il est beau », nos analyses impliquent donc certaines conséquences. D’une part, elles démontrent que les marques de pronoms peuvent comporter une valeur sémantique qui n’est pas relative à la référence ni à l’énonciation entendue comme un événement extralinguistique. D’autre part, elles permettent de voir que l’on peut rendre compte de ces éléments de sens non référentiels avec le cadre, inspiré de ces deux auteurs, que nous nous efforçons d’établir<br>How to understand “enunciation” in the meaning of an utterance? This is the question we are trying to answer in this thesis. Defending a discursive approach to meaning (Carel 2011, Ducrot 1984), we set ourselves the objective of bringing light to a conception of enunciation in this perspective. Our major challenge, as a result, is to demonstrate with tangible illustrations an enunciation that is not conceived as a kind of “world event” relating to the production of an utterance. As we know, it’s about this conception of enunciation, taken for granted, when most authors (Kleiber 2008, Recanati 2008) interpret an utterance containing a deictic expression such as "I am French" or "It's hot here". Mostly defenders of the referential approach to meaning, these authors pick up the referent corresponding to the occurrence of the word "I" and that of the word "here", with the meaning of these two words taken respectively as "the one that produces the occurrence of I" and "the place where the occurrence of here is produced". Given that such an identification of the referent involves, inevitably, a look at the production of the utterance concerned, the enunciation thus appears extralinguistic and as the event constituted by the production of the utterance. Based on Benveniste (1966) and Ducrot (1984) respectively, though not without certain inspiration of our own, we try to sketch the outline of another conception of enunciation, which is the one that comes rather from the linguistic system itself, unlike the one that is dependent on the extralinguistic context. In order to illustrate this conception of enunciation, we conduct analyses mostly on pronouns, and the semantic foundation is drawn from the works of these two authors, as well as from the elements that we develop on this basis. In fact, whether it’s the comparative analysis between "I know that p" "You know that p" "She knows that p" or the one between "I'm beautiful" "You're beautiful" "He's (It’s) beautiful", our descriptions do entail consequences. On the one hand, they show that pronouns can have a semantic value that is neither relative to the reference nor to the enunciation taken as an extralinguistic event. On the other hand, our analyses show that we can account for the non-referential elements of meaning with the frame, inspired by these two authors, that we strive to develop
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography