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Journal articles on the topic 'Régulation négative du CD4'

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1

Kahn, A. "Régulation positive et négative des "enhancers"." médecine/sciences 2, no. 7 (1986): 410. http://dx.doi.org/10.4267/10608/3551.

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Ayrault, Olivier, Lætitia Andrique, Christian-Jacques Larsen, and Paule Séité. "La régulation négative de la biogenèse des ribosomes." médecine/sciences 22, no. 5 (May 2006): 519–24. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2006225519.

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3

Meuret, Denis. "La régulation de l’éducation en France et dans les pays anglo-saxons: une comparaison." Swiss Journal of Educational Research 26, no. 1 (June 1, 2004): 33–52. http://dx.doi.org/10.24452/sjer.26.1.4669.

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Abstract:
L’autonomie des établissements s’est accrue dans les vingt dernières années dans la plupart des systèmes éducatifs. Ces derniers ont donc dû mettre en place des politiques de régulation pour orienter l’activité des agents dans les directions souhaitées par la nation. Alors que l’Angleterre et les Etats-Unis ont mis en place une régulation fondée sur les résultats (la distribution d’incitations, positives ou négatives, en fonction des performances des établissements scolaires ou des enseignants), la France joue plutôt d’une régulation par les processus (l’incitation à mettre en place des «formes pédagogiques» jugées pertinentes par les échelons centraux). Ces politiques sont ici décrites, puis confrontées du point de vue de leur cohérence et des tensions qu’elles suscitent, dans l’esprit de savoir si le modèle français est un modèle viable, alternatif au modèle anglo-saxon. La réponse est plutôt négative, en même temps qu’il apparaît que les pays anglo-saxons eux-mêmes mêlent de plus en plus les deux modes de régulation.
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CORRING, T., J. A. CHAYVIALLE, C. SIMOES-NUNES, J. ABELLO, Anne-Marie GUEUGNEAU, Christine BERNARD, Georgette BRACHET, and F. COINTEPAS. "Régulation de la sécrétion pancréatique par rétroaction négative et hormones gastro-intestinales plasmatiques chez le porc." Reproduction Nutrition Développement 25, no. 2 (1985): 439–50. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19850309.

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Apter, G. "Les interactions mère borderline bébé et les patterns d’attachement." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 63. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.165.

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Abstract:
Le trouble de personnalité borderline (TPB) se caractérise notamment par des troubles de régulation des émotions en lien avec des troubles de l’attachement. Ces troubles entravent en eux-mêmes l’établissement de relations nouvelles et entretiennent les difficultés de régulation et d’attachement perpétuant ainsi le développement psychopathologique. Lors de l’avènement de la parentalité, la relation contrainte et le bouleversement inhérent à la venue d’un enfant sont susceptibles d’entraîner des distorsions interactives initiées par les parents atteints de psychopathologie borderline, contraignant ainsi le développement émotionnel du tout-petit. La micro-analyse des interactions lors d’une épreuve dite du Still-Face montre que les mères atteintes de TPB et leur bébé de 3 mois sont engagés dans des comportements qui combinent paradoxalement, une pauvreté de variation dans les interactions ainsi qu’un excès de comportements stimulants et intrusifs. L’effort de régulation et la dysrégulation du bébé sont visibles au travers de comportements de dyscoordination des regards, à la modification négative et dysrythmique des vocalisations et de la prosodie et à l’absence de modulation des temps dits de « réparation » lorsque qu’il existe des moments de rupture de la communication. Les résultats d’une étude longitudinale (n = 60) montrent que les déterminants micro-analytiques à l’âge de trois mois des prémices de l’attachement désorganisé concernent avant tout la dynamique interactive plus que la quantité d’un comportement spécifique. Ce serait la mise en place d’un accordage à « sens unique » qui malgré la motivation maternelle d’interagir avec le bébé induirait des exigences au-delà des capacités développementales de celui-ci. L’attachement désorganisé constaté à l’âge de la marche traduirait la non-mise en place du développement des capacités de régulation du bébé. Reste à évaluer si les potentialités de réorganisation demeurent encore ouvertes à cette période précoce de la vie, invitant à découvrir des potentialités thérapeutiques encore balbutiantes à ce jour.
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Dionne, Hughes, and Juan-Luis Klein. "La question régionale au Québec contemporain." Cahiers de géographie du Québec 37, no. 101 (April 12, 2005): 219–40. http://dx.doi.org/10.7202/022343ar.

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Abstract:
Cet article établit un parallèle entre les politiques gouvernementales en matière régionale et les revendications régionalistes soulevées par les mouvements sociaux au Québec. L'article est structuré de la façon suivante. D'abord, les auteurs analysent les réformes apportées par le gouvernement aux politiques de développement régional, en focalisant sur le concept d'« État accompagnateur », utilisé comme base de la nouvelle approche gouvernementale. Ensuite, ils analysent les principales caractéristiques des régions périphériques et concluent que la spécialisation inspirée du principe des avantages comparatifs a été négative. Troisièmement, ils examinent le cas des mouvements sociaux régionalistes de l'Est du Québec, montrant que la revendication régionaliste conçoit le développement des régions comme global et polyvalent. Et, pour terminer, ils replacent la question régionale dans le contexte d'un choix fondamental de société et dans une perspective géopolitique qui concerne aussi bien les régions que l'État, en se servant de la théorie de la régulation.
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Otero, Marcelo. "Santé mentale, adaptation sociale et individualité contemporaine." Cahiers de recherche sociologique, no. 41-42 (May 3, 2011): 65–89. http://dx.doi.org/10.7202/1002460ar.

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Abstract:
Quels sont les liens entre santé mentale, adaptation sociale et individualité dans les sociétés contemporaines? Une tentative de réponse à cette question gagne à être replacée, me semble-t-il, dans le cadre des profonds changements intervenus sur le plan de la normativité sociale, afin de mieux comprendre les liens nécessaires et complexes entre les formes d’institutionnalisation de ces trois variables sociales (et sociologiques) étroitement dépendantes. Dans un premier temps, je problématise la question de la référence à la norme comme condition sine qua non de toute intervention sociale, y compris dans le domaine de la santé mentale, « négative » (régulation, contrôle, répression) ou « positive » (aide, revendication, lutte, traitement); dans un deuxième temps, je décris, de façon fort schématique, de quelle façon la problématique de la santé mentale s’est posée et se pose dans les sociétés occidentales; enfin, dans un troisième temps, je discute des relations étroites qui existent entre les définitions de l’individualité contemporaine, d’adaptation sociale et de la santé mentale.
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Lenglet, A., F. Balen, S. Charpentier, A. Sourbes, D. Arcuset, V. Delonglée, P. A. Fort, V. Bounes, and B. Charriton Dadone. "Événements indésirables au cours de transfert interhospitalier de patients présentant un syndrome coronaire aigu non ST+." Annales françaises de médecine d’urgence 9, no. 6 (October 21, 2019): 369–74. http://dx.doi.org/10.3166/afmu-2019-0188.

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Abstract:
Introduction : Cette étude a pour objectif de connaître l’incidence et la nature des événements indésirables (EI) se produisant lors des transports interhospitaliers (TIH) des patients souffrant d’un syndrome coronarien aigu sans sus-décalage du segment ST (SCA non ST+). L’objectif secondaire est d’étudier les performances pronostiques des différentes évaluations de risque existantes de ces malades (score de GRACE, score de TIMI, grille de Fiancette et niveau de risque de la Société européenne de cardiologie [ESC]) dans la prédiction de ces EI. Méthode : Il s’agit d’une étude de cohorte multicentrique rétrospective. Du 1er novembre 2016 au 31 octobre 2017, les patients SCA non ST+ et bénéficiant d’un transport secondaire ont été inclus à partir des fiches de régulation de trois Samu du sud-ouest de la France. Les types d’EI ont été recueillis. Les différents scores ont été calculés pour chaque patient ainsi que leur performance pronostique (sensibilité, spécificité, valeurs prédictives positives [VPP] et négatives [VPN]). Résultats : Sur un an, 315 patients ont été inclus, et neuf patients (3 % ; IC 95 % : 1,3–5,3) ont présenté un EI. Soixante-dix-huit pour cent des événements recueillis n’ont pas engagé le pronostic vital des patients, et 40 % n’ont pas nécessité d’intervention thérapeutique nécessitant la présence physique d’un médecin. Aucun score n’est retrouvé statistiquement significatif dans la prédiction des EI. Toutefois, la stratification du risque de la ESC semble être la plus simple d’utilisation tout en assurant une valeur prédictive négative de 98 % (IC 95 % : 94–99). Conclusion : Il y a peu d’EI lors du transport des SCA non ST+. L’utilisation en régulation de l’évaluation du risque ischémique de la ESC pourrait réduire la surmédicalisation de ces malades au bénéfice des TIH.
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Lescalier, L., R. Belzeaux, J. M. Azorin, C. Deruelle, and P. Mazzola-Pomietto. "Biais de mémorisation dans le trouble bipolaire à l’euthymie : l’effet perturbateur de la joie." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S114—S115. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.219.

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Abstract:
L’objectif de cette étude était d’étudier l’effet implicite des émotions faciales à valence positive et négative sur l’encodage de l’identité chez des patients atteints de trouble bipolaire de type 1 en période d’euthymie (EBIP1). Vingt-huit EBIP1 et vingt-huit sujets sains (CRT) ont été inclus dans l’étude. Dans la condition d’encodage, des visages neutres, joyeux et tristes étaient présentés aux participants. Suite à une tâche distractrice, la condition de rappel était proposée avec des identités déjà vues lors de l’encodage et des identités nouvelles toutes présentées avec une expression neutre. Enfin, afin d’écarter des difficultés d’identification des émotions, ces mêmes participants devaient effectuer une tâche de reconnaissance explicite des expressions émotionnelles. Chez les CRT, le rappel est réduit pour les visages encodés avec une expression triste alors que chez les patients EBIP1, le rappel est réduit pour les visages exprimant la joie à l’encodage. En outre, seule la performance de rappel des visages joyeux est réduite chez les EBIP1 par rapport aux CRT. Les patients EBIP1 présentent donc un déficit de mémorisation pour les stimuli positifs, présent en période d’euthymie. Nous pouvons envisager que ces difficultés sont dues à une perturbation de processus cognitifs et émotionnels, en particulier à la mise en place de schémas cognitifs entraînant des troubles de la régulation des émotions positives. Ainsi, ce déficit pourrait constituer un facteur de vulnérabilité émotionnelle en contribuant à l’instauration ou au maintien de la symptomatologie affective. À ce titre, les processus de régulation des émotions dans le trouble bipolaire pourraient être une cible de traitement prometteuse afin d’améliorer la récupération à long terme et la résilience, en plus de promouvoir la diminution des symptômes aigus.
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Touati, E. "Structure de la région de contrôle du gène de la phosphatase acide (pH 2,5) d'Escherichia coli, un cas exemplaire de régulation négative par l'AMP cyclique." Biochimie 69, no. 3 (March 1987): 215–21. http://dx.doi.org/10.1016/0300-9084(87)90045-9.

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CHEMINEAU, P., and J. A. DELGADILLO. "Neuroendocrinologie de la reproduction chez les caprins." INRAE Productions Animales 7, no. 5 (November 27, 1994): 315–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.5.4177.

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Abstract:
L’hypothalamus, par l’intermédiaire de la sécrétion du LH-RH, commande la libération épisodique des hormones gonadotropes LH et FSH dans la circulation générale. La LH n’est pas sécrétée de façon continue par l’hypohyse mais sous forme de "pulses", définis par leur fréquence et leur amplitude, qui stimulent la libération de la testostérone par le testicule chez le mâle et de l’oestradiol et de la progestérone par l’ovaire chez la femelle. La FSH est sécrétée de de façon moins épisodique. Chez la chèvre, la modulation des rétroactions négatives et positives de la progestérone et de l’oestradiol sur l’axe hypothalamo-hypohysaire joue un rôle clé dans la régulation des différents événements du cycle oestrien. Une imprégnation par la progestérone n’est pas nécessaire pour l’induction du comportement d’oestrus par l’oestradiol. Dans les deux sexes, le saisonnement de l’activité neuroendocrinienne est responsable des fortes variations saisonnières d’activité sexuelle. Un accroissement de la rétroaction négative de l’oestradiol sur l’axe hypothalamo-hypohysaire est responsable de la faible activité gonadotrope pendant la saison d’anoestrus. Cet effet est sous la commande des variations photopériodiques qui agissent sur le système nerveux central par l’intermédiaire de la modification de la durée de sécrétion de la mélatonine nocturne. Les changements dans le régime alimentaire provoquent également des variations dans l’activité gonadotrope. La mise en présence des femelles avec le bouc provoque une augmentation immédiate de la fréquence des pulses de LH chez celles-ci.
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Zachariou, Z. "Soigner les Troubles Anxio-dépressifs En Articulant les Trois Vagues de Thérapies Cognitives et Comportementales : Une étude Pilote." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 94–95. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.254.

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Abstract:
La première vague de thérapies comportementales et cognitives (TCC) concerne les techniques comportementales (ex. expositions graduées aux stimulis anxiogènes) et qui s’inspirent du courant théorique du béhaviorisme (conditionnement pavlovien et skinerien). La deuxième vague fait référence au courant théorique de cognitivisme (notamment beckien) et l’utilisation des techniques de la restructuration des pensées et cela à plusieurs niveaux de l’activité mentale normale ou pathologique (ex. discours interne, distorsions cognitives, schémas). La troisième vague TCC considère les techniques des deux premières vagues de gestion active des émotions comme des méthodes d’évitement. Pour dépasser les clivages théoriques (acceptation vs. maîtrise des émotions), nous avons élaboré un protocole psychothérapeutique de 15 séances. Nous proposons une synthèse des techniques cognitives basées sur la méditation en pleine conscience pour la prévention de la rechute dépressive et des exercices d’expositions comportementales dans l’esprit des thérapies transdiagnostiques [1] des troubles anxieux. Nous y intégrons, également, des éléments de thérapie d’acceptation et d’engagement [2] et des exercices de compétences relationnelles basées sur l’affirmation de soi. En effet, nous proposons comme hypothèse que les techniques méditatives puissent être une préparation aux expositions comportementales.MéthodologieUne étude psychométrique a été réalisée à l’aide d’auto-questionnaires. les questionnaires utilisées dans l’étude psychométrique sont les auto-questionnaires suivants : la capacité de pleine conscience est évaluée par La Mindful Attention Awareness Scale (MAAS) de Brown et Ryan (2003), l’état émotionnel par la Positive Affectivity Negative Affectivity Scale (PANAS) Watson et Clark, 1988), l’alexithymie par la Toronto Alexithymia Scale (TAS-20, de Bagby et al., 1994). La dépression est évaluée par la Beck Depression Inventory forme abrégée (BDI-13, Beck et Beamesderfer, 1974) et l’anxiété est évaluée par la State-Trait Anxiety Inventory, forme trait en 20 items (STAI, Spielberger et al., 1970). L’administration des questionnaires a eu lieu une première fois avant le début de séance en groupe et une deuxième fois juste après la dernière séance.RésultatsL’étude psychométrique d’une cohorte de 33 patients montre une amélioration de la symptomatologie anxio-dépressive et de la régulation des émotions dans le déploiement de l’attention. En revanche, les modifications de l’affectivité positive-négative et de l’alexithymie ne sont pas significatives. Ces résultats confirment l’efficacité de notre protocole. Néanmoins, l’élucidation du rôle des processus émotionnels nécessite davantage d’investigations. Nous discutons nos hypothèses cliniques et nos constats psychométriques sous l’angle des dernières découvertes dans la régulation des émotions et leurs applications psychothérapeutiques [3].
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Ballon, N., S. Berthoz, P. Brunault, and N. Rigal. "L’alimentation est-elle soluble dans la psychologie et la psychiatrie ? Cas de l’alimentation émotionnelle et de l’addiction à l’alimentation." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S29. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.087.

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Abstract:
Si l’étude du comportement alimentaire est complexe et nécessite une approche intégrative, des travaux récents ont conforté l’idée que les psychologues et les psychiatres ont un rôle fondamental à jouer dans la prise en charge d’un spectre large de désordres de la prise alimentaire. Trois communications actualisées permettront d’aboutir à une meilleure compréhension et à une meilleure prise en charge des déterminants psychologiques et psychiatriques de la modulation de la prise alimentaire chez l’enfant et l’adulte :– la 1re portera sur le concept d’alimentation émotionnelle, définit comme le fait de moduler la consommation alimentaire en réponse à un ressenti émotionnel plutôt qu’à celui de la faim ou de la satiété . Nous présenterons l’évolution des instruments d’évaluation et la littérature épidémiologique, clinique et expérimentale, établissant que l’affectivité – négative mais aussi positive – fait partie des traits psychologiques qui modulent la consommation alimentaire et le contrôle du poids et quel(s) rôle(s) de médiation peuvent avoir différentes stratégies de régulation émotionnelle ou comportementale ;– la 2e présentera le concept d’addiction à l’alimentation, qui a été récemment proposé en appliquant les critères diagnostiques DSM de dépendance à une substance dans le champ de l’alimentation . Après avoir précisé comment mesurer ce concept, nous présenterons la littérature sur les facteurs biologiques, psychologiques et psychiatriques associés à cette addiction chez les patients obèses. Ceci nous permettra de suggérer de nouvelles pistes thérapeutiques pour ces patients ;– enfin, la 3e communication illustrera la mise en évidence de liens entre tempérament et alimentation dès l’enfance. Après la présentation du modèle de Rothbart et al. , qui définit le tempérament par le niveau de réactivité des enfants ainsi que par leur capacité d’autorégulation, nous testerons la valeur de ce modèle tempéramental dans le domaine alimentaire enfantin au travers de deux études.
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Guimiot, F., L. Chevrier, S. Dreux, D. Chevenne, A. Caraty, Al Delezoide, and N. De Roux. "La régulation négative de la concentration sérique de la LH et de la FSH du fœtus est associée à une perte de l’expression des Kisspeptines et de KISS1R dans l’hypothalamus tubéral en fin de développement." Annales d'Endocrinologie 73, no. 4 (September 2012): 250. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2012.07.064.

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Achari, Yannis, Francesca Ali, Amel Boudache, Philomène Bui-Xuan, Philippine Furgé, Juliana Labatte, and Raluca Stanciu. "L’actualité immunologique sous l’oeil critique des étudiants de Master 2." médecine/sciences 35, no. 4 (April 2019): 381–84. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019070.

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Abstract:
Dans le cadre de leur module « Analyse scientifique », les étudiants du Master 2 « Immunothérapies et Bio-ingénierie » de Sorbonne Université, ont pris la plume pour partager avec les lecteurs de m/s quelques uns des faits marquants de la littérature 2018 dans le domaine de l’immunologie. Les travaux présentés ici nous rappellent l’importance des études mécanistiques portant sur les grandes fonctions des composants du système immunitaire (lymphocytes T CD8+ cytotoxiques, lymphocytes T auxiliaires, lymphocytes T régulateurs, etc.) pour mieux comprendre la pathogenèse de certaines maladies et pour optimiser les stratégies thérapeutiques existantes. Cette année, deux brèves s’intéressent aux immunothérapies fondées sur l’utilisation d’anticorps dirigés contre des points de contrôle immunitaire : comment prédire la réponse clinique des patients à ces traitements grâce à des techniques de bioinformatique et de modélisation ? Comment améliorer leur efficacité en ciblant des facteurs de régulation épigénétique ? Une troisième brève apporte un éclairage sur les raisons expliquant pourquoi certains patients infectés par le virus du VIH et traités avec des anti-viraux ne parviennent pas à récupérer un taux normal de lymphocytes T CD4+. Enfin, une dernière brève s’intéresse, dans un modèle de diabète de type I, à une population particulière de lymphocytes T CD8+ cytotoxiques qui régulent d’autres lymphocytes T autoréactifs et limitent ainsi la réaction inflammatoire dans les organes. Bonne lecture !
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Michaud, Thomas. "#COVID19 – L’imaginaire de la virtualisation contre l’effondrisme ambiant." Management & Data Science, April 2020. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.12782.

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Abstract:
Le Covid 19 pose des questions de régulation des relations sociales et professionnelles. Face à cette situation de crise, des discours effondristes émergent, annonçant la fin prochaine de la civilisation technicienne. Contre cette mentalité négative, on retrouve un imaginaire davantage utopique, faisant notamment la promotion de la technologie, et particulièrement du virtuel, pour permettre à la société de retisser du lien et de continuer à fonctionner malgré le Grand Confinement.
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Vandenberghe, Vincent. "Numéro 2 - mai 2002." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16273.

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Abstract:
Un constat fort se dégage des enquêtes sur les connaissances des élèves en math, en sciences et en lecture opérées depuis 30 ans par l’OCDE : la performance de notre enseignement décroche graduellement par rapport à celle des pays voisins et de la Flandre. Quels sont les déterminants probables d’un tel état de fait ? Peut-on penser que le niveau des ressources joue un rôle décisif ? A vrai dire non. Communautés française et flamande ont dépensé tout au long des années 1990 pratiquement le même montant par élève. Mais les scores des élèves en Flandre sont nettement supérieurs. Nos travaux et ceux de nombreux collègues économistes de l’éducation suggèrent que l’enjeu est avant tout organisationnel. Certes, les ressources budgétaires importent. Il est évident, par exemple, que leur niveau doit garantir la possibilité d’engager du personnel en nombre et qualité suffisants. Mais la majoration des moyens financiers et humains ne constitue nullement une condition suffisante de l’amélioration des performances. Dans l’enseignement plus que dans d’autres secteurs, le mode d’organisation (régulation) semble, en revanche, avoir une forte influence sur la relation ressources/résultats. Que peut-on dire de la situation en Communauté française sur ce plan et quels en sont les enjeux ? En bref, nous pouvons dire que le mode de régulation actuel est très insatisfaisant car très hybride. Il repose sur plusieurs conceptions de la régulation. Chacune comporte des faiblesses. De plus, l’articulation qui s’est opérée au fil des ans a été peu réfléchie, mal mise en oeuvre, et se révèle en définitive coûteuse sur le plan des performances. A l’inverse, la Flandre a accompli depuis 1970 un travail discret mais bien effectif de simplification et de clarification de son mode de régulation. L'organisation de l'enseignement en Communauté française comporte tout d'abord une composante concurrentielle (ou "quasi-marché"). Bien que le financement de l’enseignement soit public, les modalités d’octroi de ce financement font apparaître une logique concurrentielle : les parents, les élèves ou étudiants sont en effet libres de choisir leur établissement. Les établissements sont de surcroît financés en fonction du nombre d’inscrits. La faiblesse de ce modèle est qu’il est source d’iniquité, dans la mesure où le libre-choix tend généralement à accentuer le degré de ségrégation des publics entre écoles proches. Il y a par ailleurs en Communauté française une tradition de contrôle par la voie hiérarchique. Les réglementations administratives sont nombreuses dans l’enseignement : horaires, grilles salariales, taux d’encadrement, priorité d’emploi pour les personnels avec ancienneté, ... Et la tendance récente est à l’amplification. Or, l’évaluation que les économistes font sur ce type d’interventions est très mitigée. Le contrôle administratif réussit certes à générer une certaine conformité (respect formel des horaires, des taux d’encadrement prévus par la loi, …) mais il échoue à influencer les comportements des enseignants qui déterminent réellement le degré d’efficacité et d’équité du système. La présence simultanée de ces deux modes de régulation antagonistes nuit tant à l'efficacité qu'à l'équité de l'enseignement. La concurrence, pour être efficace, requiert la présence de producteurs libres de choisir l’usage des ressources qui leur paraît le plus indiqué pour répondre à la demande. Or, le contrôle administratif limite fortement l'autonomie des écoles en multipliant règles et procédures à respecter. On peut également douter du fait que le contrôle administratif exerce une action correctrice par rapport aux effets néfastes du libre-choix. Ainsi, peu de mesures administratives en vigueur sont de nature à limiter la ségrégation des publics ou ses effets. L’uniformité des salaires et des modes de gestion du personnel empêche, par exemple, l’octroi de primes salariales aux enseignants s’occupant d’élèves en difficulté. Que faire dès lors ? En dépit de toutes les limitations d'un système de libre-choix, et malgré la tendance à la ségrégation des publics qui la caractérise, nous ne croyons pas à son remplacement par un modèle hiérarchique pur, avec, comme en France, une carte scolaire synonyme d’assignation de l’école en fonction du lieu de résidence. Car il y a la question du coût politique de l’abandon du libre-choix de l’école. Mais il y a aussi le risque d’une accentuation de la ségrégation résidentielle. L’option de politique scolaire doit plutôt être celle d'encadrer le système de libre-choix, mais pas via un renforcement du contrôle hiérarchique de type bureaucratique. Il est plus indiqué d’opter, comme en Flandre mais aussi en Finlande ou en Grande-Bretagne, pour un encadrement par voie de contractualisation. Il s’agirait de dissocier plus nettement qu’aujourd’hui les fonctions de contrôle et de production du service éducatif. Aux écoles, il reviendrait de décider plus librement des horaires de présence des professeurs et des élèves, de la durée des cours par matière, du nombre et du type d’enseignants à recruter ou encore de l’opportunité de les envoyer en recyclage. A l’administration, il appartiendrait d’évaluer la performance des écoles. Son rôle principal deviendrait de faire passer aux élèves, à intervalles réguliers, des tests standardisés, à l’image de ceux conçus par l’OCDE. Les résultats à ces tests, pondérés pour tenir compte de l’origine socio-économique des élèves, formeraient la base de l’évaluation des écoles. Et ce n’est qu’en cas d’évaluation négative répétée qu’il y aurait intervention dans la gestion de l’école, par un changement de direction, une mise sous tutelle, …
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Vandenberghe, Vincent. "Numéro 2 - mai 2002." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2002.05.01.

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Abstract:
Un constat fort se dégage des enquêtes sur les connaissances des élèves en math, en sciences et en lecture opérées depuis 30 ans par l’OCDE : la performance de notre enseignement décroche graduellement par rapport à celle des pays voisins et de la Flandre. Quels sont les déterminants probables d’un tel état de fait ? Peut-on penser que le niveau des ressources joue un rôle décisif ? A vrai dire non. Communautés française et flamande ont dépensé tout au long des années 1990 pratiquement le même montant par élève. Mais les scores des élèves en Flandre sont nettement supérieurs. Nos travaux et ceux de nombreux collègues économistes de l’éducation suggèrent que l’enjeu est avant tout organisationnel. Certes, les ressources budgétaires importent. Il est évident, par exemple, que leur niveau doit garantir la possibilité d’engager du personnel en nombre et qualité suffisants. Mais la majoration des moyens financiers et humains ne constitue nullement une condition suffisante de l’amélioration des performances. Dans l’enseignement plus que dans d’autres secteurs, le mode d’organisation (régulation) semble, en revanche, avoir une forte influence sur la relation ressources/résultats. Que peut-on dire de la situation en Communauté française sur ce plan et quels en sont les enjeux ? En bref, nous pouvons dire que le mode de régulation actuel est très insatisfaisant car très hybride. Il repose sur plusieurs conceptions de la régulation. Chacune comporte des faiblesses. De plus, l’articulation qui s’est opérée au fil des ans a été peu réfléchie, mal mise en oeuvre, et se révèle en définitive coûteuse sur le plan des performances. A l’inverse, la Flandre a accompli depuis 1970 un travail discret mais bien effectif de simplification et de clarification de son mode de régulation. L'organisation de l'enseignement en Communauté française comporte tout d'abord une composante concurrentielle (ou "quasi-marché"). Bien que le financement de l’enseignement soit public, les modalités d’octroi de ce financement font apparaître une logique concurrentielle : les parents, les élèves ou étudiants sont en effet libres de choisir leur établissement. Les établissements sont de surcroît financés en fonction du nombre d’inscrits. La faiblesse de ce modèle est qu’il est source d’iniquité, dans la mesure où le libre-choix tend généralement à accentuer le degré de ségrégation des publics entre écoles proches. Il y a par ailleurs en Communauté française une tradition de contrôle par la voie hiérarchique. Les réglementations administratives sont nombreuses dans l’enseignement : horaires, grilles salariales, taux d’encadrement, priorité d’emploi pour les personnels avec ancienneté, ... Et la tendance récente est à l’amplification. Or, l’évaluation que les économistes font sur ce type d’interventions est très mitigée. Le contrôle administratif réussit certes à générer une certaine conformité (respect formel des horaires, des taux d’encadrement prévus par la loi, …) mais il échoue à influencer les comportements des enseignants qui déterminent réellement le degré d’efficacité et d’équité du système. La présence simultanée de ces deux modes de régulation antagonistes nuit tant à l'efficacité qu'à l'équité de l'enseignement. La concurrence, pour être efficace, requiert la présence de producteurs libres de choisir l’usage des ressources qui leur paraît le plus indiqué pour répondre à la demande. Or, le contrôle administratif limite fortement l'autonomie des écoles en multipliant règles et procédures à respecter. On peut également douter du fait que le contrôle administratif exerce une action correctrice par rapport aux effets néfastes du libre-choix. Ainsi, peu de mesures administratives en vigueur sont de nature à limiter la ségrégation des publics ou ses effets. L’uniformité des salaires et des modes de gestion du personnel empêche, par exemple, l’octroi de primes salariales aux enseignants s’occupant d’élèves en difficulté. Que faire dès lors ? En dépit de toutes les limitations d'un système de libre-choix, et malgré la tendance à la ségrégation des publics qui la caractérise, nous ne croyons pas à son remplacement par un modèle hiérarchique pur, avec, comme en France, une carte scolaire synonyme d’assignation de l’école en fonction du lieu de résidence. Car il y a la question du coût politique de l’abandon du libre-choix de l’école. Mais il y a aussi le risque d’une accentuation de la ségrégation résidentielle. L’option de politique scolaire doit plutôt être celle d'encadrer le système de libre-choix, mais pas via un renforcement du contrôle hiérarchique de type bureaucratique. Il est plus indiqué d’opter, comme en Flandre mais aussi en Finlande ou en Grande-Bretagne, pour un encadrement par voie de contractualisation. Il s’agirait de dissocier plus nettement qu’aujourd’hui les fonctions de contrôle et de production du service éducatif. Aux écoles, il reviendrait de décider plus librement des horaires de présence des professeurs et des élèves, de la durée des cours par matière, du nombre et du type d’enseignants à recruter ou encore de l’opportunité de les envoyer en recyclage. A l’administration, il appartiendrait d’évaluer la performance des écoles. Son rôle principal deviendrait de faire passer aux élèves, à intervalles réguliers, des tests standardisés, à l’image de ceux conçus par l’OCDE. Les résultats à ces tests, pondérés pour tenir compte de l’origine socio-économique des élèves, formeraient la base de l’évaluation des écoles. Et ce n’est qu’en cas d’évaluation négative répétée qu’il y aurait intervention dans la gestion de l’école, par un changement de direction, une mise sous tutelle, …
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De Briey, Valérie, Andreia Lemaître, Vincent Lhuillier, Marthe Nyssens, Leïla Oulhaj, and Alexis Platteau. "Numéro 20 - mars 2004." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2004.03.01.

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Abstract:
Si l’on se penche sur le détail des engagements pris lors de la conférence pour l’emploi, des 60.000 emplois nouveaux projetés sur quatre ans, 25.000 devraient être créés grâce à la réforme des titres-services. Ce dossier a fait l’objet de nombreux débats et a donné naissance à une «seconde génération» de titre-service. Malgré les nombreuses discussions sur ce sujet, notamment entre les différents partenaires de la coalition au pouvoir, certaines questions importantes méritent d’être approfondies, questions qui sont cruciales pour le succès des titres-services. Nous argumentons notamment que les titres-services ne sont pas nécessairement suffisamment attractifs pour les travailleurs et les consommateurs. Nous nous interrogeons ensuite sur les champs d’activités couverts par le titre-service. Les titres-services sont-ils suffisamment attractifs pour les travailleurs ? Pas nécessairement pour tous. L’accord qui a été négocié distingue le cas des allocataires sociaux de celui des autres prestataires. Pour ces derniers, ils seront soumis à un régime totalement souple (pas de minimum d’heures à prester, CDD ou CDI) pendant les trois premiers mois et ensuite ils devront passer sous contrat à durée indéterminée sans minimum d’heures à prester. Les allocataires sociaux, s’ils peuvent prester quelques heures pendant les 6 premiers mois, tout en gardant leur statut d’allocataire, devront être engagés après six mois sous contrat à durée indéterminée pour un travail d’au moins un mi-temps. On pense tout spécialement aux personnes actives en ALE qui seront invitées à passer dans le système des titres-services avant la fin de l’année. Dans la mesure où celles-ci sont majoritairement des femmes, le plus souvent cohabitantes ou dans une moindre mesure, chefs d’une famille monoparentale, la question centrale est donc de savoir si les avantages monétaires et non-monétaires - en particulier compte tenu du caractère pénible de la tâche (nettoyage principalement) et de la fragmentation des prestations - seront suffisants pour inciter les demandeurs d’emploi à s’insérer dans le système des titres-services. Pour les chefs de famille monoparentale, la réponse est plus que probablement négative. Pour les cohabitants, les avantages monétaires du titre-service sont plus élevés dans la mesure où l’allocation de chômage est nettement plus basse que celle des chefs de famille. De toute manière, et ce contrairement à la situation actuelle, les travailleurs(ses) ALE devront être disponibles pour entrer sur le marché du travail à partir d’octobre 2004. Ces personnes ne pourront donc pas refuser une offre d’emploi “titre-service” pour autant que cette offre soit jugée “adéquate”. Les titres-services sont-ils suffisamment attractifs pour les consommateurs ? Cela dépendra de la confiance que les opérateurs pourront développer. Pour que les consommateurs soient intéressés par l’utilisation de titres-services, il ne suffit pas que le prix les rende accessibles, il faut également que les ménages soient convaincus de l’opportunité de déléguer un certain nombre de tâches accomplies auparavant dans la sphère domestique ou informelle. Ainsi, le travail au noir dans le secteur du nettoyage à domicile repose sur une logique de réseau : on engage une personne qui est renseignée comme une «personne de confiance» par un autre usager. En ce qui concerne le titre-service, les entreprises doivent être agréées mais il apparaît que les conditions d’agrément sont très souples et ne reposent pas sur des exigences précises notamment en termes d’encadrement des travailleurs. C’est dans ce cadre que l’on peut souligner l’apport de certains opérateurs d’économie sociale qui ont une longue expérience d’encadrement de travailleurs peu qualifiés. De plus, si le secteur de l’aide à domicile était jusqu’alors réservé au non-marchand caractérisé par une finalité de service à la collectivité et non de profit, l’accès du secteur privé à but lucratif est désormais ouvert. Se pose donc également la question de savoir comment le secteur privé à but lucratif peut développer le capital de confiance nécessaire dans ce champ. Faut-il limiter les titres-services au champ de l’aide ménagère ? Oui dans la mesure où il faut réserver ce type d’instrument dans des domaines dans lesquels la mise en concurrence de différents opérateurs ne pose pas de problème sur le plan de la qualité et de l’équité. Avec la mesure de titre-service, un nouveau type de régulation «quasi-marchande» est en effet introduit dans le champ de l’aide à domicile dans laquelle des prestataires de nature différente - publics, privés lucratifs, et d’économie sociale, du secteur marchand et du secteur non-marchand - sont mis en concurrence dans un champ jusqu’alors réservé aux organisations non-marchandes. Cette seconde génération de titre-service est un instrument qui privilégie, de facto, un objectif de politique économique et de création d’emploi dans le secteur de l’aide ménagère par rapport à un objectif de politique sociale d’aide à des personnes dépendantes. Cette régulation concurrentielle ne pose pas de problèmes déontologiques particuliers dans le cas des services ménagers stricto senso. Elle pourrait être étendue dans des activités comme celle du petit jardinage. En revanche, elle peut occulter un enjeu essentiel comme celui de l’équité. En effet, des services dans un champ comme celui de l’aide aux personnes dépendantes doivent être accessibles en termes de prix pour toute personne qui en a le besoin. Elle pose également la question de la régulation de la qualité. En effet, les services aux personnes - comme l’accueil de l’enfance et l’aide à domicile aux personnes dépendantes - sont composés d’une articulation entre des tâches techniques et du temps relationnel. Ainsi, l’exacerbation de la concurrence peut déboucher sur une baisse de la qualité des services, en l’absence de normes attestant de la fiabilité des prestataires. Si la conférence réserve, comme il nous semble souhaitable, le titre-service à certaines activités comme l’aide ménagère, elle laisse, du même coup, ouverte la question des besoins non satisfaits dans le champ de l’aide à domicile aux personnes dépendantes ou dans l’accueil de l’enfance.
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De Briey, Valérie, Andreia Lemaître, Vincent Lhuillier, Marthe Nyssens, Leïla Oulhaj, and Alexis Platteau. "Numéro 20 - mars 2004." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16073.

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Abstract:
Si l’on se penche sur le détail des engagements pris lors de la conférence pour l’emploi, des 60.000 emplois nouveaux projetés sur quatre ans, 25.000 devraient être créés grâce à la réforme des titres-services. Ce dossier a fait l’objet de nombreux débats et a donné naissance à une «seconde génération» de titre-service. Malgré les nombreuses discussions sur ce sujet, notamment entre les différents partenaires de la coalition au pouvoir, certaines questions importantes méritent d’être approfondies, questions qui sont cruciales pour le succès des titres-services. Nous argumentons notamment que les titres-services ne sont pas nécessairement suffisamment attractifs pour les travailleurs et les consommateurs. Nous nous interrogeons ensuite sur les champs d’activités couverts par le titre-service. Les titres-services sont-ils suffisamment attractifs pour les travailleurs ? Pas nécessairement pour tous. L’accord qui a été négocié distingue le cas des allocataires sociaux de celui des autres prestataires. Pour ces derniers, ils seront soumis à un régime totalement souple (pas de minimum d’heures à prester, CDD ou CDI) pendant les trois premiers mois et ensuite ils devront passer sous contrat à durée indéterminée sans minimum d’heures à prester. Les allocataires sociaux, s’ils peuvent prester quelques heures pendant les 6 premiers mois, tout en gardant leur statut d’allocataire, devront être engagés après six mois sous contrat à durée indéterminée pour un travail d’au moins un mi-temps. On pense tout spécialement aux personnes actives en ALE qui seront invitées à passer dans le système des titres-services avant la fin de l’année. Dans la mesure où celles-ci sont majoritairement des femmes, le plus souvent cohabitantes ou dans une moindre mesure, chefs d’une famille monoparentale, la question centrale est donc de savoir si les avantages monétaires et non-monétaires - en particulier compte tenu du caractère pénible de la tâche (nettoyage principalement) et de la fragmentation des prestations - seront suffisants pour inciter les demandeurs d’emploi à s’insérer dans le système des titres-services. Pour les chefs de famille monoparentale, la réponse est plus que probablement négative. Pour les cohabitants, les avantages monétaires du titre-service sont plus élevés dans la mesure où l’allocation de chômage est nettement plus basse que celle des chefs de famille. De toute manière, et ce contrairement à la situation actuelle, les travailleurs(ses) ALE devront être disponibles pour entrer sur le marché du travail à partir d’octobre 2004. Ces personnes ne pourront donc pas refuser une offre d’emploi “titre-service” pour autant que cette offre soit jugée “adéquate”. Les titres-services sont-ils suffisamment attractifs pour les consommateurs ? Cela dépendra de la confiance que les opérateurs pourront développer. Pour que les consommateurs soient intéressés par l’utilisation de titres-services, il ne suffit pas que le prix les rende accessibles, il faut également que les ménages soient convaincus de l’opportunité de déléguer un certain nombre de tâches accomplies auparavant dans la sphère domestique ou informelle. Ainsi, le travail au noir dans le secteur du nettoyage à domicile repose sur une logique de réseau : on engage une personne qui est renseignée comme une «personne de confiance» par un autre usager. En ce qui concerne le titre-service, les entreprises doivent être agréées mais il apparaît que les conditions d’agrément sont très souples et ne reposent pas sur des exigences précises notamment en termes d’encadrement des travailleurs. C’est dans ce cadre que l’on peut souligner l’apport de certains opérateurs d’économie sociale qui ont une longue expérience d’encadrement de travailleurs peu qualifiés. De plus, si le secteur de l’aide à domicile était jusqu’alors réservé au non-marchand caractérisé par une finalité de service à la collectivité et non de profit, l’accès du secteur privé à but lucratif est désormais ouvert. Se pose donc également la question de savoir comment le secteur privé à but lucratif peut développer le capital de confiance nécessaire dans ce champ. Faut-il limiter les titres-services au champ de l’aide ménagère ? Oui dans la mesure où il faut réserver ce type d’instrument dans des domaines dans lesquels la mise en concurrence de différents opérateurs ne pose pas de problème sur le plan de la qualité et de l’équité. Avec la mesure de titre-service, un nouveau type de régulation «quasi-marchande» est en effet introduit dans le champ de l’aide à domicile dans laquelle des prestataires de nature différente - publics, privés lucratifs, et d’économie sociale, du secteur marchand et du secteur non-marchand - sont mis en concurrence dans un champ jusqu’alors réservé aux organisations non-marchandes. Cette seconde génération de titre-service est un instrument qui privilégie, de facto, un objectif de politique économique et de création d’emploi dans le secteur de l’aide ménagère par rapport à un objectif de politique sociale d’aide à des personnes dépendantes. Cette régulation concurrentielle ne pose pas de problèmes déontologiques particuliers dans le cas des services ménagers stricto senso. Elle pourrait être étendue dans des activités comme celle du petit jardinage. En revanche, elle peut occulter un enjeu essentiel comme celui de l’équité. En effet, des services dans un champ comme celui de l’aide aux personnes dépendantes doivent être accessibles en termes de prix pour toute personne qui en a le besoin. Elle pose également la question de la régulation de la qualité. En effet, les services aux personnes - comme l’accueil de l’enfance et l’aide à domicile aux personnes dépendantes - sont composés d’une articulation entre des tâches techniques et du temps relationnel. Ainsi, l’exacerbation de la concurrence peut déboucher sur une baisse de la qualité des services, en l’absence de normes attestant de la fiabilité des prestataires. Si la conférence réserve, comme il nous semble souhaitable, le titre-service à certaines activités comme l’aide ménagère, elle laisse, du même coup, ouverte la question des besoins non satisfaits dans le champ de l’aide à domicile aux personnes dépendantes ou dans l’accueil de l’enfance.
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Henry, Arnaud, Jacques Defourny, Stéphane Nassaut, and Marthe Nyssens. "Numéro 69 - avril 2009." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15533.

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Abstract:
Concernant plus de 100.000 travailleurs, près de 800.000 familles et plus de 2.000 entreprises, le dispositif titre-service est au cœur de l’agenda politique compte tenu de l’importance du budget public mobilisé qui s’élève à plus d’un milliard d’euros pour 2009. Ce dispositif témoigne d’une évolution profonde des modes de régulation publique dans le champ des services aux personnes désormais ouvert à une mise en concurrence de prestataires très diversifiés. Ainsi des organisations aussi diverses que des ASBL, des entreprises d’insertion, des agences d’intérim, des PME ou des CPAS opèrent aujourd’hui au sein de ce dispositif. Ce numéro présente les résultats d’une recherche financée par Service public fédéral de la politique scientifique et réalisée par l’équipe économie sociale du CERISIS/CIRTES (UCL) et du centre d’économie sociale (ULg). Cette recherche porte sur la qualité de l’emploi et de l’organisation du service dans ce champ d’activité et ce de manière comparative entre les différents types d’opérateurs. Une des spécificités centrales du système titre-service est d’imposer une triangulation de la relation de service, en plaçant cette dernière sous l’égide d’une entreprise agréée. L’étude montre que la qualité d’emploi et de l’organisation du service est surtout garantie par une «triangulation» de la relation de service, c’est-à-dire un réel investissement de l’entreprise dans l’accompagnement du travailleur et de l’usager. Si certains prestataires, tels que les organisations d’aide au domicile (ASBL ou organisations publiques agréées par les régions) et les organisations d’économie sociale ou publiques, poursuivant une mission d’insertion, encadrent davantage leurs travailleurs et leurs utilisateurs, d’autres développent dans les faits, un mode de prestation «mandataire», dans lequel l’entreprise est avant tout chargée des formalités administratives mais où elle n’assure que peu d’encadrement de la relation de service tissée entre l’utilisateur et le travailleur. L’enjeu ici est de savoir dans quelles circonstances et dans quelle mesure une telle évolution est acceptable (voire souhaitable ?) pour les différentes parties prenantes, y compris bien sûr pour les travailleurs. Au sein des entreprises à but lucratif, il convient de différencier assez nettement les sociétés de travail intérimaire des autres sociétés commerciales, généralement des PME. Les sociétés d’intérim semblent privilégier leur capacité d’adaptation aux desiderata de leurs utilisateurs et la minimisation des coûts, au détriment de la qualité des emplois qu’elles rendent aussi flexibles que possible. Cette volonté de maximiser productivité et rentabilité semble être moins prégnante dans le chef des autres opérateurs privés à but lucratif hors intérim. Du point de vue financier, il faut souligner que si les prestataires bénéficient tous de la subvention titre-service, une diversité apparaît quant aux sources complémentaires de financement public (aides à l’emploi, subsides régionaux). Une analyse de la viabilité financière des différents types d’opérateurs titre-service s’avère particulièrement complexe compte tenu de cette diversité, des commissions paritaires compétentes et des performances différenciées en matière de qualité d’emploi et d’organisation de service. Il ressort des simulations qu’un travailleur équivalent temps plein (ETP) d’ancienneté nulle et sans aide à l’emploi dégage une marge positive (parfois faiblement) chez la plupart des prestataires. Avec aide à l’emploi (toujours sans ancienneté), un ETP est (très) rentable chez l’ensemble des prestataires, en particulier chez ceux qui cumulent diverses sources de financement. Par contre, après quatre ans d’ancienneté, la marge dégagée par un ETP est négative chez la quasi-totalité des prestataires compte tenu des effets liés à l’accroissement de l’ancienneté des travailleurs et à la dégressivité tant des aides à l’emploi que de certaines subventions régionales. Par conséquent, seuls les prestataires dont le taux d’activité (le rapport entre les heures de ménage prestées au domicile des utilisateurs – et donc subsidiées – et le total des heures payées au travailleur) est (très) élevé parviennent à maintenir une marge positive. Il va de soi que la rentabilité «globale» d’une organisation dépendra du nombre de travailleurs avec et sans aide à l’emploi ainsi que de l’ancienneté de l’ensemble du personnel. Différents enjeux doivent être pointés d’un point de vue de politique économique Même si la régulation du quasi-marché lié au titre-service a considérablement évolué, il est primordial que les pouvoirs publics s’assurent de la conformité des prestataires aux exigences de l’agrément qui leur est octroyé et qu’ils consolident la régulation du système par exemple par l’imposition de formation et d’un contrat à durée indéterminée après 6 mois. En effet, l’importance très considérable du financement public dans ce quasi-marché justifie qu’il soit nettement subordonné à la réalisation des objectifs définis par le dispositif, en particulier la création d’emplois de qualité et durables. Des risques de confusion entre des métiers pourtant distincts : l’étude montre que certaines organisations titre-service permettent la prestation de services qui relèvent des missions propres aux aides familiales. Les pouvoirs publics doivent donc être vigilants quant aux risques de confusion des métiers, d’autant plus que l’information est loin d’être claire pour les usagers. La plupart des aides à l’emploi sont dégressives sur deux à quatre ans alors que les coûts salariaux des entreprises augmentent du simple fait de l’ancienneté croissante du personnel et des sauts d’index. On peut ainsi douter de l’efficacité économique d’aides qui rendent confortable le lancement d’une entreprise titre-service tout en créant des incitants à la rotation des travailleurs; L’augmentation du prix et l’accessibilité du service : il serait utile de procéder à une étude de marché pour voir dans quelle mesure une marge de manœuvre existe encore. Si les augmentations antérieures de prix ne semblent pas avoir affecté le volume total des titres-services échangés, certains utilisateurs plus fragilisés ont sans doute été évincés. Pour maintenir leur accès au service, il faut peut-être réfléchir à des mécanismes complémentaires. En effet, il n’est pas nécessairement efficace d’associer deux objectifs (créer de l’emploi et rendre accessible le service à tous) à un même instrument. D’autres instruments complémentaires pourraient être envisagés telles qu’une intervention des employeurs à l’instar de ce qui se pratique en France pour le «chèque emploi service universel» (Cesu). Comme pour les chèques-repas, il s’agirait alors d’un élément de politique salariale. Des CPAS, par exemple, pourraient acheter des titres-services pour des usagers plus vulnérables.
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Henry, Arnaud, Jacques Defourny, Stéphane Nassaut, and Marthe Nyssens. "Numéro 69 - avril 2009." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2009.04.02.

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Abstract:
Concernant plus de 100.000 travailleurs, près de 800.000 familles et plus de 2.000 entreprises, le dispositif titre-service est au cœur de l’agenda politique compte tenu de l’importance du budget public mobilisé qui s’élève à plus d’un milliard d’euros pour 2009. Ce dispositif témoigne d’une évolution profonde des modes de régulation publique dans le champ des services aux personnes désormais ouvert à une mise en concurrence de prestataires très diversifiés. Ainsi des organisations aussi diverses que des ASBL, des entreprises d’insertion, des agences d’intérim, des PME ou des CPAS opèrent aujourd’hui au sein de ce dispositif. Ce numéro présente les résultats d’une recherche financée par Service public fédéral de la politique scientifique et réalisée par l’équipe économie sociale du CERISIS/CIRTES (UCL) et du centre d’économie sociale (ULg). Cette recherche porte sur la qualité de l’emploi et de l’organisation du service dans ce champ d’activité et ce de manière comparative entre les différents types d’opérateurs. Une des spécificités centrales du système titre-service est d’imposer une triangulation de la relation de service, en plaçant cette dernière sous l’égide d’une entreprise agréée. L’étude montre que la qualité d’emploi et de l’organisation du service est surtout garantie par une «triangulation» de la relation de service, c’est-à-dire un réel investissement de l’entreprise dans l’accompagnement du travailleur et de l’usager. Si certains prestataires, tels que les organisations d’aide au domicile (ASBL ou organisations publiques agréées par les régions) et les organisations d’économie sociale ou publiques, poursuivant une mission d’insertion, encadrent davantage leurs travailleurs et leurs utilisateurs, d’autres développent dans les faits, un mode de prestation «mandataire», dans lequel l’entreprise est avant tout chargée des formalités administratives mais où elle n’assure que peu d’encadrement de la relation de service tissée entre l’utilisateur et le travailleur. L’enjeu ici est de savoir dans quelles circonstances et dans quelle mesure une telle évolution est acceptable (voire souhaitable ?) pour les différentes parties prenantes, y compris bien sûr pour les travailleurs. Au sein des entreprises à but lucratif, il convient de différencier assez nettement les sociétés de travail intérimaire des autres sociétés commerciales, généralement des PME. Les sociétés d’intérim semblent privilégier leur capacité d’adaptation aux desiderata de leurs utilisateurs et la minimisation des coûts, au détriment de la qualité des emplois qu’elles rendent aussi flexibles que possible. Cette volonté de maximiser productivité et rentabilité semble être moins prégnante dans le chef des autres opérateurs privés à but lucratif hors intérim. Du point de vue financier, il faut souligner que si les prestataires bénéficient tous de la subvention titre-service, une diversité apparaît quant aux sources complémentaires de financement public (aides à l’emploi, subsides régionaux). Une analyse de la viabilité financière des différents types d’opérateurs titre-service s’avère particulièrement complexe compte tenu de cette diversité, des commissions paritaires compétentes et des performances différenciées en matière de qualité d’emploi et d’organisation de service. Il ressort des simulations qu’un travailleur équivalent temps plein (ETP) d’ancienneté nulle et sans aide à l’emploi dégage une marge positive (parfois faiblement) chez la plupart des prestataires. Avec aide à l’emploi (toujours sans ancienneté), un ETP est (très) rentable chez l’ensemble des prestataires, en particulier chez ceux qui cumulent diverses sources de financement. Par contre, après quatre ans d’ancienneté, la marge dégagée par un ETP est négative chez la quasi-totalité des prestataires compte tenu des effets liés à l’accroissement de l’ancienneté des travailleurs et à la dégressivité tant des aides à l’emploi que de certaines subventions régionales. Par conséquent, seuls les prestataires dont le taux d’activité (le rapport entre les heures de ménage prestées au domicile des utilisateurs – et donc subsidiées – et le total des heures payées au travailleur) est (très) élevé parviennent à maintenir une marge positive. Il va de soi que la rentabilité «globale» d’une organisation dépendra du nombre de travailleurs avec et sans aide à l’emploi ainsi que de l’ancienneté de l’ensemble du personnel. Différents enjeux doivent être pointés d’un point de vue de politique économique Même si la régulation du quasi-marché lié au titre-service a considérablement évolué, il est primordial que les pouvoirs publics s’assurent de la conformité des prestataires aux exigences de l’agrément qui leur est octroyé et qu’ils consolident la régulation du système par exemple par l’imposition de formation et d’un contrat à durée indéterminée après 6 mois. En effet, l’importance très considérable du financement public dans ce quasi-marché justifie qu’il soit nettement subordonné à la réalisation des objectifs définis par le dispositif, en particulier la création d’emplois de qualité et durables. Des risques de confusion entre des métiers pourtant distincts : l’étude montre que certaines organisations titre-service permettent la prestation de services qui relèvent des missions propres aux aides familiales. Les pouvoirs publics doivent donc être vigilants quant aux risques de confusion des métiers, d’autant plus que l’information est loin d’être claire pour les usagers. La plupart des aides à l’emploi sont dégressives sur deux à quatre ans alors que les coûts salariaux des entreprises augmentent du simple fait de l’ancienneté croissante du personnel et des sauts d’index. On peut ainsi douter de l’efficacité économique d’aides qui rendent confortable le lancement d’une entreprise titre-service tout en créant des incitants à la rotation des travailleurs; L’augmentation du prix et l’accessibilité du service : il serait utile de procéder à une étude de marché pour voir dans quelle mesure une marge de manœuvre existe encore. Si les augmentations antérieures de prix ne semblent pas avoir affecté le volume total des titres-services échangés, certains utilisateurs plus fragilisés ont sans doute été évincés. Pour maintenir leur accès au service, il faut peut-être réfléchir à des mécanismes complémentaires. En effet, il n’est pas nécessairement efficace d’associer deux objectifs (créer de l’emploi et rendre accessible le service à tous) à un même instrument. D’autres instruments complémentaires pourraient être envisagés telles qu’une intervention des employeurs à l’instar de ce qui se pratique en France pour le «chèque emploi service universel» (Cesu). Comme pour les chèques-repas, il s’agirait alors d’un élément de politique salariale. Des CPAS, par exemple, pourraient acheter des titres-services pour des usagers plus vulnérables.
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Keough, Matthew T., Roisin M. O’Connor, Jennifer Swansburg, Sean P. Barrett, David C. Hodgins, and Sherry H. Stewart. "Joint Effects of Impulsive and Self-Regulatory Process on Gambling Frequency." Journal of Gambling Issues, no. 38 (May 28, 2018). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2018.38.8.

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Dual process models propose that behaviour is influenced by the interactive effect of impulsive (i.e., automatic or implicit) and self-regulatory (i.e., controlled or explicit) processes. Recently, evidence from the alcohol literature demonstrates that the impulse to engage in risky behaviour is mitigated by a high capacity to self-regulate. The current study aimed to extend this model to behavioural addictions, namely frequent gambling behaviour. It was hypothesized that impulsive processes favouring gambling (positive implicit gambling cognition) would predict frequent gambling, but only if the capacity to self-regulate was low. A treatment-seeking sample of 57 adults with problem gambling (Mage = 45.20 years, 54% men) completed two Single Category Implicit Association Tests, one reflecting tension-reduction, and the other enhancement, implicit gambling cognition. Participants also completed self-report measures of past week gambling frequency and the Gambling Abstinence Self-Efficacy Scale, which provided a measure of the self-regulatory capacity to abstain from gambling when emotionally aroused. Controlling for age and gender, consistent with hypotheses, implicit tension reduction gambling cognition positively predicted gambling frequency at low (p = .046) but not at high (p =.191) self-efficacy for gambling abstinence when feeling emotionally bad. However, self-efficacy for gambling abstinence when feeling emotionally good was not supported as a moderator of the effect of implicit enhancement gambling cognition on gambling frequency. Results suggest that the cognitions inherent in the impulsive process leading to frequent gambling are tension reduction or escape-related. Furthermore, emotionally relevant nuances to the ability to self-regulate gambling do exist; these nuances may contribute to both risk model specificity and interventions.RésuméLes modèles à doubles processus indiquent que le comportement est influencé par l’effet interactif de processus impulsifs (c’est-à-dire, automatiques ou implicites) et autorégulateurs (c’est-à-dire contrôlés ou explicites). Récemment, des preuves tirées de la littérature sur l’alcool démontrent que l’impulsion à s’engager dans des comportements à risque est contrebalancée par une forte capacité d’autorégulation. La présente étude visait à étendre ce modèle aux dépendances comportementales, à savoir le comportement de jeu fréquent. On a émis l’hypothèse que des processus impulsifs favorisant le jeu (cognition de jeu implicite positive) pourraient laisser présager un jeu fréquent, mais seulement si la capacité d’autorégulation était faible. Un échantillon de 57 adultes aux prises avec problème de jeu compulsif (moyenne = 45,20 ans, 54 % d’hommes) a effectué deux tests d’association implicites à catégorie unique, l’un reflétant la réduction de tension et l’autre, la cognition de jeu implicite. Les participants ont également rempli des une auto-évaluation de la fréquence de jeu de la semaine qui précédait et l’échelle d’auto-évaluation de l’abstinence (Gambling Abstinence Self-Efficacy Scale), qui mesure la capacité de s’abstenir de jouer lorsque l’émotion est forte. En contrôlant l’âge et le sexe, et à la lumière des hypothèses, la cognition de jeu implicite prédit positivement une faible auto-efficacité liée à la fréquence de jeu (p = 0,046) et non pas une haute auto-efficacité (p = 0,191) pour ce qui est de l’abstinence au jeu en situation d’émotion négative. Cependant, l’auto-régulation pour s’abstenir de jouer lorsqu’on se sent émotionnellement bien n’était pas considérée comme un modérateur de l’effet de la cognition de jeu implicite sur la fréquence de jeu. Les résultats suggèrent que les cognitions inhérentes au processus impulsif conduisant à un jeu fréquent sont la réduction de tension ou l’évasion. De plus, il existe des nuances pertinentes sur le plan émotionnel à la capacité d’auto-réglementer le jeu; celles-ci peuvent contribuer à la fois à la spécificité du modèle de risque et aux interventions.
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Hébert, Martin. "Paix." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.088.

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Une préoccupation pour la réalisation empirique de la paix traverse le discours disciplinaire anthropologique. Ses racines sont profondes et multiples, mais convergent en un ensemble de questions situées à l’intersection entre la recherche de terrain, la philosophie politique et l’engagement pratique. A-t-il déjà existé des sociétés humaines vivant en paix? Quelles sont les conditions permettant, ou ayant permis, l’existence de cette paix? Est-il possible d’entrevoir un chemin vers la paix pour les sociétés contemporaines? On comprendra rapidement que ces questions sont indissociables de la définition même donnée au concept de paix. Intuitivement, nous pouvons comprendre la paix comme un « souhaitable » individuel et collectif. Bien entendu, une telle formulation est insatisfaisante pour l’analyse ou pour guider l’action. Mais avant de la préciser davantage il faut prendre la mesure de la puissance de la notion de paix en tant que référent vide, en tant que réceptacle dans lequel ont été versées les aspirations les plus diverses. La quête de la « paix » a été invoquée pour justifier tant les actions nobles que les actions exécrables de l’histoire. Ce constat pourrait facilement mener à penser que le terme est peu utile dans le cadre d’une discussion sérieuse portant sur les finalités humaines. Cependant, c’est justement le caractère polysémique du mot « paix », doublé du fort investissement normatif dont il fait l’objet, qui lui donnent sa prégnance politique. Comme n’importe quelle autre notion, celle de paix est l’enjeu de luttes de sens. Mais définir la « paix », c’est définir le domaine du souhaitable, du possible, du raisonnable; c’est intervenir directement sur l’horizon des aspirations humaines. Il n’est donc guère surprenant que les tentatives visant à fixer le sens de ce mot soient abondantes, souvent contradictoires entre elles et généralement convaincues de leur légitimité. L’ethnographie participe de diverses manières au travail de définition de la paix. Par exemple, l’ethnographie a joué – et semble parfois tentée de continuer de jouer – un rôle important dans la reproduction du paradigme édénique. Dans cette conception, la paix est comprise à la fois comme une absence de violence interpersonnelle et une régulation harmonieuse des conflits dans la société. Les représentations idylliques de telles sociétés dites « en paix » (Howell et Willis 1989) témoignent d’une tentation dans certains écrits ethnographiques d’idéaliser des sociétés traditionnelles, précoloniales, ou en résistance. Elles participent d’un travail de critique très ancien qui s’opère par contraste, procédé par lequel l’ « Autre » ethnographique est posé comme l’antithèse d’un monde (moderne, capitaliste, colonial, écocide, patriarcal, etc.) dénoncé comme aliéné et violent. L’anthropologie a souvent été prise à partie pour avoir employé une telle stratégie discursive opposant les « sociétés en paix » aux sociétés mortifères. Il faut noter, cependant, que ces remontrances participent elles aussi à la lutte de sens dont l’enjeu est la définition de la notion de paix. Les apologues du colonialisme, par exemple, utilisaient leur propre stratégie de critique par contraste : les lumineux principes (euro-centriques, libéraux, entrepreneuriaux) supposément aux fondements de la prospérité universelle viendraient supplanter les « ténèbres » locales dans ce que Victor Hugo (1885) a décrit comme la « grande marche tranquille vers l’harmonie, la fraternité et la paix » que serait pour lui l’entreprise coloniale en Afrique. Nous glissons ici dans une autre définition de la « paix » ayant joué un rôle important dans l’histoire de l’anthropologie, soit la pacification. Ici, la paix n’est pas un état observable dans les sociétés ethnographiées, mais plutôt un résultat à produire par une intervention politique, incluant militaire. La naïveté de la « grande marche tranquille » d’une Histoire par laquelle l’humanité cheminerait inéluctablement vers une convergence dans des valeurs euro-centriques communes se dissipe ici. Elle fait place à des positions qui établissent leur autorité énonciative en se présentant comme « réalistes », c’est-à-dire qu’elles rejettent l’image édénique de la paix et se rangent à l’idée que la violence est le fondement du politique. Dans cette perspective, la définition de la paix serait la prérogative de ceux qui peuvent l’imposer. La « paix » se confond alors avec l’ordre, avec la répression des conflits sociaux et, surtout, avec un acte de prestidigitation sémantique par lequel les violences faisant avancer les ambitions hégémoniques cessent d’être vues comme violences. Elles deviennent des opérations, des interventions, des mesures, voire des politiques entreprises au nom de la « paix sociale ». On le sait, l’anthropologie a fait plus que sa part pour faciliter les pacifications coloniales. Par son rôle dans des politiques nationales telles l’indigénisme assimilationniste, elle a également contribué à des « projets de société » visant l’unification de populations hétérogènes sous l’égide du nationalisme, du capitalisme et de la docilité aux institutions dominantes. Après la seconde guerre mondiale, il n’a pas non plus manqué d’anthropologues prêtes et prêts à s’associer aux entreprises de pacification/stabilisation par le développement et par l’intégration de populations marginales à l’économie de marché. Dans la plupart des cas, l’anthropologie a été instrumentalisée pour réduire le recours à la violence physique directe dans les entreprises de pacification, proposant des approches moins onéreuses et plus « culturellement adaptées » pour atteindre les mêmes objectifs d’imposition d’un ordre exogène à des sociétés subalternes. Un point tournant dans la critique de la pacification a été le dévoilement de l’existence du projet Camelot dans la seconde moitié des années 1960 (Horowitz 1967). Cette vaste opération mise sur pied par le gouvernement américain visait à engager des spécialistes des sciences sociales pour trouver des moyens d’influencer les comportements électoraux en Amérique latine. Cette initiative visait à faire passer à l’ère de la technocratie les stratégies « civiles » de pacification coloniales développées en Afrique dans les années 20-30 et en Indochine dans les années 50. Outre la dénonciation par les anthropologues nord-américains et européens de cette collusion entre les sciences sociales et impérialisme qui s’est encore illustrée dans le sud-est asiatique pendant la guerre du Vietnam (Current Anthropology 1968), la réponse critique face au dévoilement du projet Camelot fut, notamment, de déclencher une réflexion profonde en anthropologie sur la frontière entre la paix et la guerre. Même si le recours à la manipulation psychologique, économique, politique, et diplomatique n’impliquait pas nécessairement, en lui-même, de violence physique directe il devenait impératif de théoriser les effets de violence produits par cette stratégie (Les Temps Modernes 1970-1971). Si l’idée que certaines « paix » imposées peuvent être éminemment violentes fut recodifiée et diffusée par des chercheurs du Nord à la fin des années 1960, elle était déjà bien en circulation au Sud. Frantz Fanon (1952) mobilisait le concept d’aliénation pour désigner les effets des violences symboliques, épistémologiques et culturelles des systèmes coloniaux. Gustavo Guttiérez (1971), impliqué dans le développement de la théologie de la libération en Amérique latine, parlait pour sa part de « violence institutionnalisée » dans les systèmes sociaux inéquitables. Sous leur forme la plus pernicieuse ces violences ne dépendaient plus d’une application constante de force physique directe, mais s’appuyaient sur une « naturalisation » de la domination. Dans ce contexte, il devenait clair que la notion de paix demandait une profonde révision et exigeait des outils permettant de faire la distinction entre la pacification aliénante et une paix fondée sur la justice sociale. Travaillant à cette fin, Johan Galtung (1969) proposa de faire la différence entre la paix « négative » et la paix dite « positive ». La première renvoie à l’absence de violence physique directe. Elle est une condition considérée comme nécessaire mais de toute évidence non suffisante à une paix significative. Déjà, des enjeux définitionnels importants peuvent être soulevés ici. Une société en paix doit-elle éliminer les sports violents? Les rituels violents? Les représentations artistiques de la violence? Qu’en est-il de la violence physique directe envers les non-humains? (Hébert 2006) La paix positive est une notion plus large, pouvant être rapprochée de celle de justice sociale. Les anthropologues ont tenté de la définir de manière inductive en proposant des études empiriques de deux types. Dans un premier temps, il s’est agi de définir diverses formes de violences autres que physique et directe (telles les violences structurelles, symboliques, épistémiques, ontologiques, etc.) et poser la paix positive comme le résultat de leur élimination. Par contre, les limites de cette « sombre anthropologie » (Ortner 2016) ont appelé des recherches complémentaires, plutôt centrées sur la capacité humaine à imaginer et instituer de nouvelles formes sociales dépassant les violences perçues dans les formes passées. L’idée d’une paix stable, définitive et hors de l’histoire – en d’autres mots édénique – disparaît ici. Elle est remplacée par des processus instituants, constamment examinés à l’aune de définitions de la violence qui, elles-mêmes, sont en transformation constante. La définition de la paix demeure l’enjeu de luttes de sens. Ces dernières se résolvent nécessairement dans des rapports politiques concrets, situés historiquement et sujets à changement. Les travaux anthropologiques ne font pas exception et sont pleinement engagés dans la production politique de ces définitions. Mais l’anthropologie de la paix participe également de la réflexivité que nous pouvons avoir tant face aux définitions cristallisées dans nos institutions que face à celles qui se proposent des les remplacer.
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