To see the other types of publications on this topic, follow the link: Relations extérieures – Afrique – 1960-1990.

Dissertations / Theses on the topic 'Relations extérieures – Afrique – 1960-1990'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 45 dissertations / theses for your research on the topic 'Relations extérieures – Afrique – 1960-1990.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse dissertations / theses on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

MEZIDI, BELKACEM. "Le maghreb dans les relations interafricaines." Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010258.

Full text
Abstract:
Depuis, le debut des annees 1980, la scene internationale subit des changements economiques et politiques de plus en plus importants. En afrique, conscients des enjeux politiques et strategiques de l'heure, les etats africains preconisent, a travers le plan d'action de lagos, la promotion des rapports interafricains par la cooperation et l'integration. Ainsi, a l'instar du reste du continent, les etats maghrebins forment a leur tour l'union du maghreb arabe : l'u. M. A. Mais, que peut elle apporter a l'afrique? les conditions sont elles reellement favorables a la reussite de la strategie d'integration regionale? avant d'y repondre, nous retracons, en premiere partie, l'evolution des relations bilaterales et multilaterales des etats maghrebins avec le reste du continent depuis les independances jusqu'a la naissance de l'u. M. A. En deuxieme partie, nous traitons l'apparition de l'u. M. A : motifs, structures et objectifs internes et externes. Parmi ses priorites, nous citons l'europe, la mediterrannee, mais aussi et surtout l'afrique<br>Since the early eighties, the international scene is confronted to more and more important economical and political changes. Conscious of the actual political and strategie states, the african states, in the frame of the lagos action plan (lap), foresee the promotion of inter-african relations, through cooperation and integration. Like the rest of the continent, the maghreb states constitue the a. M. U (arab maghreb union). But how can it help africa? are the conditions really favorable for the success of regional integration strategy. Before answering, we relate, in a first part, the evolution of the bilateral and multilateral relations of the maghreb states with the rest of the continent since independances until the birth of a. M. U. In the second part, we deal with appearance of a. M. U : reasons, structures and internal, external purposes. Among these priorities, we mention europ, mediterranee countries, but also and specially africa
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Sabeur, Cherif Khaled. "Le Maghreb dans les relations extérieures du Sénégal (1960-1980)." Paris, INALCO, 1988. http://www.theses.fr/1988INALA001.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Tshiyembe, Mwayila. "La problématique de la sécurité africaine dans la dialectique du conflit Est-OuestT." Nice, 1985. http://www.theses.fr/1985NICE0036.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Ebondza, Fidele William. "La politique soviétique en Afrique centrale : 1960-1992 : contibution à l'étude de l'action extérieure des grands puissances." Lyon 3, 1999. http://www.theses.fr/1999LYO33036.

Full text
Abstract:
La réflexion scientifique sur la place du Tiers-Monde dans l'espace international a beaucoup souffert des modes et de l'étanchéité des réseaux d'analyse qu'ils soient géopolitiques (Est/Ouest contre Nord/Sud) ou sociologique (champ "interne" versus champ "international"). En cherchant à dégager l'entrecroisement des dimensions Est/Ouest et Nord/Sud, notre problématique aspire à s'émanciper de ces cloisonnements. En explorant les différentes polarités dy sytème international et l'espace qu'elles balisent, elle se propose de réfléchir sur l'articulation entre les rapports de forces internationaux, partiellement déterminés par le système interétatique, et les dynamiques endogènes dans les sociétés périphériques. Dans cette perspective, elle s'attache à analyser les différents sites dans lesquels se produit cette articulation et à mesurer l'érosion que les normes centrales (libéralisme, marxisme) subissent à la périphérie. Comprendre comment l'ordre international impose au Tiers-Monde ses contraintes tout en alimentant les déconstructions et les recompositions résume notre problématique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Aba, Jean Daniel. "Les modalités d'élaboration de la politique africaine des États-Unis depuis la fin de la guerre froide." Paris 1, 2002. http://www.theses.fr/2002PA010276.

Full text
Abstract:
Avec la fin de la bipolarité, le moment est venu pour les États-Unis, à l'aube du troisième millénaire, de dépasser, non seulement les tensions de la guerre froide, l'exploitation de l'Afrique par les superpuissances et le clientélisme, mais aussi d'en finir avec les politiques d'influence française, anglaise ou portugaise portant confusément l'empreinte du Congrès de Berlin, version XIXème siècle, et de leur substituer une politique d'influence directe façon Congrès de Washington, aux fins d'établir avec le continent un partenariat fondé sur des intérêts et le respect mutuels. Mutuels. C'est bien là, en effet, la grande mutation constituant la toile de fond de cette nouvelle politique africaine de l'Administration Bush, et surtout de l' Administration Clinton consécutive à l'effondrement du monde bipolaire et au développement d'une guerre économique mondiale de moins en moins larvée, de plus en plus avouée. Dans cette perspective, face à cette nouvelle donne de la politique africaine des États-Unis , quelle est donc en premier lieu, à l'avenir la place de l' Afrique dans la politique étrangère américaine ? Et quelles sont ipso facto les orientations de la politique africaine américaines ? Telle est la problématique de cette thèse. En effet, la stratégie américaine en Afrique s'articule autour de deux grands objectifs: premièrement, intégrer l'Afrique à l'économie mondiale par le biais de la promotion de la croissance économique, du développement et du règlement des conflits; deuxièmement, lutter contre les menaces transnationales pesant sur la sécurité, à savoir le terrorisme, la criminalité, le trafic des stupéfiants, la prolifération des armes, la dégradation de l'environnement et les pandémies. Afin de mettre en oeuvre cette nouvelle stratégie et d'approfondir leur engagement envers l'Afrique, les Etats-Unis ont réorienté et donné un nouvel élan à leur offensive en Afrique. En 1993, seuls les bureaux des Affaires africaines du Département d'État et l'USAID se penchaient sur les dossiers africains. Sous l' Administration Clinton, presque tous les organes du gouvernement fédéral y compris la société civile et les milieux d'Affaires américains ont pris des initiatives novatrices en faveur de l'Afrique. Les États-Unis s'intéressent à l' Afrique noire. Il incombe aux pays africains d'aider les États-Unis à mieux les aider.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Oyono, Dieudonné. "La politique africaine du Cameroun, 1960-1985." Paris, Institut d'études politiques, 1988. http://www.theses.fr/1988IEPP0015.

Full text
Abstract:
Il s'agit essentiellement de savoir, compte tenu de son passé commun avec la France, principale puissance extérieure du continent africain, s'il a été possible pour le Cameroun depuis 1960 de mener une politique africaine distincte des lignes maîtresses de la politique africaine de la France. Ce travail comprend deux parties. La première étudie la politique africaine du Cameroun, membre du Groupe africain francophone de 1960 à 1973, groupe que la presse nigériane qualifia de "véhicule des intérêts néocolonisalistes français". La deuxième partie étudie cette politique africaine du Cameroun hors des pays africains regroupés autour de la France dans le cadre des sommets franco-africains, comme une manifestation de sa volonté d'indépendance par rapport à la France de 1973 à 1985. Il ressort de cette étude que la politique africaine de la France a été de 1960 à 1985 la toile de fond de la politique africaine du Cameroun. Cependant, l'argument d'une France qui aurait fait "main basse" sur le Cameroun ne résiste pas à l'analyse, le poids de la politique africaine de la France sur la politique africaine du Cameroun ayant été dans une large mesure déterminé par les autorités politiques camerounaises. De même que l'image d'un Cameroun qui, entre 1973 et 1985, aurait fait de Yaoundé l'unique centre d'impulsion de sa politique africaine se trouve également démentie par les faits, le Cameroun ayant choisi comme pôle de modernité le monde occidental et la France y apparaissant comme la "filière".
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Malonga, Ferdinand. "Les premières conférences franco-africaines (1973-1976)." Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010619.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Lecko-Lochet, Jean-Claude. "La politique de coopération soviétique dans les PVD africains à orientation socialiste : de l'aide à la stratégie générale : le cas de la République populaire du Congo, 1964-1982." Paris, Institut d'études politiques, 1991. http://www.theses.fr/1991IEPP0021.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Noah, Henri-Marcel. "L'action internationale stratégique de la Libye en Afrique noire, 1969-1990." Bordeaux 1, 1990. http://www.theses.fr/1990BOR1D021.

Full text
Abstract:
La libye est percue comme une puissance dont le symbole trouve son fondement dans sa capacite d'amenager ses structures internes, et d'agir grace a une structure duale argent armement tiree des echanges avec l'occident. Le systeme libyen recele un paradoxe mu par des ressources financieres hors proportion avec ses ressources humaines. La libye se comporte comme un micro-etat en quete de ressources, dans le but d'engager un processus de croissance correspondant au developpement de la puissance souhaitee. Kadhafi definit des principes et des conduites strategiques, percus comme un ensemble d'efforts entrepris face aux acteurs du systeme international, sous forme d'autorite conquerante, envers les africains qu'il essaie de dominer ou de vaincre, par l'affaiblissement ou par la destruction. Il tentera de manipuler les africains ; ceux-ci montreront leur flexibilite face aux offres libyennes. Kadhafi, par son agitation, cree un spectacle, en s'opposant a l'occident : defiance envers les etat-unis, irritation envers la france; il montre sa capacite de nuissance. Cepandant, les occidentaux se servent de lui, pour reveler aux africains, qu'ils sont capables de reduire la capacite libyenne de projection de puissance a l'exterieur ; les africains se servent de kadhafi pour faire pression sur les occidentaux, et vice versa. Kadhafi devient un manipulateur manipule. Il parait libre de structure son systeme interne ; cette liberte interne ne suit pas a l'exterieur. D'ou ses echecs a l'exterieur. La libye dispose d'une puissance qui ne lui confere pas la capacite d'amener d'auitres acteurs a faire ce qu'autrement ils n'auraient pas fait. L<br>Libyan is considerated as a power whose strength is symbolised by a capacity to control its internal structures, and to act through a dual structure: oney and arms acquired through exchange with the west. The libyan system reveals a paradox powered by financial resources out of proportion to its human resources. Libyan behaves as a micro-etat prospecting for resources to develop in correspondence with its "wishedfor" strength. Gaddafi therefore defines the principles of his strategic conduct as a set of actions, towards the international system as a conquiering authority, vis-a vis the africans he tries to dominate or defeat through weakening or destroying them. He tries to manipulate africans who, in turn, show their flexibility towards the libyan offers. Gaddafi, by his agitations, creates a spectable in opposing the west, from france to united states: by defying the usa and by irritating france, he demonstrates his capacity for nuissance. Meanwhile, western powers are usinghim to show africans that they can help reduce libya's capacity to project its power externally; and africans use gaddafi to pressurise western powers, and vice versa. Gaddafi thus becomes a manipulator manipulated. He appears capable of structuring his internal system but, this internal liberty is not reflected externally. Hence his external failures. Li bya possesses a form of power that does not permit it to compel other actors to do what they wouldnot otherweise have done
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Bugwabari, Nicodème. "La politique subsaharienne du Maroc de 1956 à 1984." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010584.

Full text
Abstract:
De 1956 à 1984, la politique sudsaharienne du Maroc a été soumise aux vicissitudes de ses revendications territoriales. Les gouvernements marocains successifs ont cherché, au sud du Sahara, de simples soutiens à ces revendications. Nous menons notre étude en trois temps. Dans la première partie, nous montrons que l'histoire des almoravides et des Saadiens a constitué, pour les élites politiques marocaines, un réfèrent historique dont elles se sont surtout servi pour légitimer leurs revendications territoriales, notamment au sujet de la Mauritanie et du Sahara occidental. Dans la seconde partie, nous analysons comment la question mauritanienne a participé au renforcement des clivages interafricains entre modérés et progressistes, à travers les groupes dits de Brazzaville, De Monrovia et de Casablanca. Nous étudions l'intervention marocaine dans la crise katangaise en 1960. La question mauritanienne a influence l'élaboration de la charte de l'OUA en 1963, au niveau du principe de l'intangibilité des frontières héritées de la colonisation. La troisième partie examine, notamment, la politique marocaine de séduction à l'égard des pays sudsahariens modérés pour gagner leur soutien dans la crise du Sahara occidental. Le Maroc veut apparaitre comme le leader des pays africains modérés, capable d'assumer leur sécurité contre "la menace communiste". C'est le sens de ses deux interventions militaires au Zaïre en 1977-78. Cependant, le Maroc échoua au niveau du dossier saharien pour trois raisons : la volonte sudsaharienne de preserver l'existence de l'oua; la déception des modérés face au traite d'Oudja ; enfin à cause des limites de son implantation diplomatique et de sa coopération au sud du Sahara<br>Moroccan southern Saharan policy from 1956 to 1984. From 1956 to 1984, Moroccan southern saharan policy was facing tribulations related to territorial claims. The Moroccan successive governments tried to find simple ways to withstand these demands from the southern saharan region ; our study covers three periods : in the first part, we show that history of the almoravides and the saadians constitued a historical reference for the Moroccan political elite who used it to legitimate their territorial claims, particularly in Mauritania and the western Sahara. In the second part, we analyse how the Mauritanian question contributed in the reinforcement of interafrican divisions between the moderates and the progressists through the groups known as groups from Brazzaville, Monrovia and Casablanca. We study the Moroccan intervention in the 1960's Katangese crisis. The Mauritanian question influenced the elaboration of the OAU charter 1963, as far as the principle of the inviolability of inherited colonial borders is concerned. The third part examines, among other things, the Moroccan seducing policy towards southern saharan moderate countries in order to gain their support in the western saharan crisis. Morocco wants to appear as the leader of moderate African countries, capable to assure their security against "the danger of communism". That is the reason of its two military interventions in Zaïre in 1977-1978. However, Morocco failed in the saharan affair for three reasons : - the southern saharan countries wish to preserve the existence of the oau. - the disappointment of the moderates in regard to the oujda treaty. - and lastly because of the limits of its diplomatic implantation and its cooperation in the southern sahara
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Elhajidb, Mohamed. "Les rapports arabo-africains : de la solidarité politique à la coopération institutionnelle (un exemple de coopération Sud-Sud) 1960-1984." Montpellier 1, 1985. http://www.theses.fr/1985MON10030.

Full text
Abstract:
Les relations arabo-africaines sont profondément enracinées dans l'histoire des deux communautés. Elles ont pris une nouvelle forme et une nouvelle orientation après l'ère des indépendances où de nouveaux pays ont vu le jour, créant ainsi une nouvelle conception des relations internationales. La solidarité arabo-africaine se justifie non seulement par rapport aux questions d'indépendance politique et de lutte contre le colonialime, le racisme, l'apartheid et le sionisme, mais également et surtout par rapport à l'indépendance économique du Tiers-Monde qui doit s'unir pour la réalisation d'un nouvel ordre économique international plus juste et plus équitable, et à cet égard, la coopération arabo-africaine qui constitue une nouvelle forme de coopération internationale (Sud-Sud) peut avoir un effet d'entraînement sur les autres nations du Tiers-Monde qui pourraient désormais opter pour une nouvelle conception du développement, atténuant ainsi la dépendance par rapport au Nord, et contribuant par là même au développement réel du Sud.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

CAMARA, SALOUM MOHAM. "La mauritanie et le maghreb : evolution des relations de 1970 a 1989." Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010283.

Full text
Abstract:
La mauritanie, etat charniere entre l'afrique noire et l'afrique blanche, fut acceptee dans les annees soixante dix comme membre du maghreb arabe. Dans cet ensemble dont l'unite releve plus du domaine de l'illusoire, la la mauritanie, pour reussir son integration doit donner la priorite a la construction d'un etat moderne et a la valorisation des relations bilaterales. Cependant, la mauritanie, par ses atermoiements accentues par la guerre du sahara occidental, n'a pas eu de politique etrangere autonome par rapport a l'algerie et au maroc<br>Mauritania, turning point state between black africa and white africa, had been admitted in the 70s as full member in the arabian maghreb. In this entirety, where unity comes under the field of illusion, mauritania to have a successful integration has to privilege the construction of a modern state and the valorization of bilateral relations. However, mauritania, because of its procnastication reinforced by the western sahara war, never had managed a self-governing foreign policy in relation to algeria an marocco
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Makambo, Mafelly. "La rivalité sino-soviétique en Afrique : 1955-1988." Paris 1, 1990. http://www.theses.fr/1990PA010266.

Full text
Abstract:
La rivalité sino-soviétique en Afrique fut une réalité (1960-1980). Liées par le traite de 1950, l’URSS et la R. P. C. Avaient la même attitude vis-à-vis de l'occident et de l’Afrique : dénoncer l'impérialisme, la colonisation et l'exploitation ; puis soutenir les mouvements de libération nationale en vue de "libérer" le continent du joug colonial, enfin y mener une politique anti-occidentale pour instaurer l'idéologie marxiste-léniniste. Ainsi en 1956-1960 période des indépendances africaines, Pékin et Moscou nouèrent des relations diplomatiques avec les nouvels états. En revanche, dès 1955, la rivalité URSS-RPC commença. Le kremlin fut absent à la conférence afro-asiatique (Bandoug), cependant que Pékin joua le rôle de leader du tiers monde, qui, dénonçait l'impérialisme capitaliste et le social-impérialisme. En 1956, dégradation des rapports sino-soviétiques à cause de la déstalinisation faite par le P. C. U. S. ; 1960-1963 schisme entre URSS et R. P. C ; 1963-1969 aggravation du conflit sino-soviétique, isolement de Pékin et encerclement de la R. P. C par l'URSS. Les années 1970, ouverture de la Chine à l'occident, son adhésion à l'ONU, sa normalisation avec les E. U. A enfin, elle "constitua" avec les états membres de l’OTAN un front antisoviétique notamment en Afrique, où en 1975, soviétiques et cubains pénétrèrent militairement en Angola, au Mozambique et en Éthiopie. Les années 1980, l'URSS et la R. P. C renonçaient à leur rivalité. Ainsi intervenait la détente entre R. P. C-URSS, grâce à l'entente URSS-E. U. A, entrainant ainsi la réduction de tensions régionales : en Afrique du nord, dans la corne de l’Afrique et en Afrique australe.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Durpaire, François. "Les Etats-Unis et la décolonisation de l'Afrique noire francophone : 1945-1962." Paris 1, 2004. https://eu02.alma.exlibrisgroup.com/view/uresolver/33PUDB_IEP/openurl?u.ignore_date_coverage=true&portfolio_pid=5364073170004675&Force_direct=true.

Full text
Abstract:
Dans le contexte de la guerre froide, les Etats-Unis ont eu un rôle dans la décolonisation de l' Afrique noire francophone. Pour ne pas perdre de terrain par rapport à I 'URSS, ils ont dû adapter leur politique. Les acteurs non- gouvernementaux ont maintenu en Afrique la tradition anticolonialiste des États-Unis au moment où le gouvernement américain était soucieux de ne pas gêner ses alliés européens. Cette continuité assurée par des missionnaires, des syndicalistes ou des leaders afro-américains permet au gouvernement américain de reprendre le thème de l'anticolonialisme lorsqu'il s'agit de conquérir l'amitié des nouveaux États africains. Trois périodes se dégagent dans les relations entre les États-Unis et l' Afrique francophone : " L'indépendance prématurée " (1945-1957), " L'indépendance graduelle " (1957-1960) et le thème de l'indépendance africaine prend une importance croissante dans le débat public américain de 1960, date de la campagne présidentielle américaine et des indépendances en Afrique française, à 1962, moment clef de la crise congolaise.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Omballa, Magelan. "La politique africaine de la France a l'épreuve de l'alternance : mai 1981 - mai 1995." Paris 10, 2001. http://www.theses.fr/2001PA100012.

Full text
Abstract:
Arrives au pouvoir a la faveur de l'alternance intervenue en mai 1981, munis d'un projet de reforme en matiere de politique africaine, la gauche en general et les socialistes en particulier ont inscrit leur politique africaine dans la continuite des politiques precedentes en la matiere. En effet, malgre la volonte de reforme initialement affichee par jean-pierre cot, alors ministre de la cooperation du premier gouvernement mauroy, sous les gouvernements de droite (pendant les deux cohabitations : 1986-1988 et 1993-1995) comme de gauche, incontestablement la continuite l'emporte sur le changement. Toutefois, le bilan des quatorze annees de politique africaine sous francois mitterrand montre qu'il n'y a pas identite entre la politique africaine menee sous la gauche et celles de ses predecesseurs bien qu'elle emprunte beaucoup a ses devancieres. Domaine reserve du president de la republique ou partage en periode de cohabitation, l'examen de la politique africaine de francois mitterrand montre que celle-ci a oscille entre continuite et changement. Cette ambivalence de la politique africaine de la france s'est illustree aussi bien par la transition de jean-pierre cot a son successeur christian nucci (marquant l'inflechissement du projet initial, donc la continuite), pendant les deux cohabitations et surtout avec la politique francaise consecutive au sommet de la baule. De maniere plus fondamentale, la politique africaine de la france sous la gauche a ete confrontee a deux types de contraintes : d'une part, les contraintes endogenes a l'ensemble franco-africain et, d'autre part,les contraintes exogenes par rapport a cet ensemble. Parmi les premieres, nous en avons releve deux qui nous paraissent determinantes. Il s'agit d'abord de la structuration du champ des relations franco-africaines. Celles-ci peuvent en effet etre etudiees selon le paradigme clienteliste. Il s'agit ensuite du propre contexte organisationnel francais en matiere de cooperation avec l'afrique marque par la complexite institutionnelle et la confusion des objectifs assignes a la politique africaine de la france.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Kouyate, Abdoulaye. "Les pratiques interventionnistes africaines ou la banalisation du principe de non-intervention." Thesis, Nancy 2, 2010. http://www.theses.fr/2010NAN20001.

Full text
Abstract:
Le droit international public s’articulant autour de la coopération interétatique et l’interdiction formelle faite aux Etats de ne pas violer la souveraineté de leurs pairs, le principe de non-intervention occupe une place centrale dans l’architecture judiciaire des relations internationales. Cette articulation est à la fois tranchée sur le plan normatif mais elle est compliquée sur le plan pratique. Une telle complexité donne aux Etats une marge de manœuvre subtile qui leur permettrait de violer le principe de non-intervention. Les Etats africains ayant combattu et dénoncé les violations portées à leur souveraineté, ne font pas l’exception à la mauvaise foi des Etats dans la violation du principe de non-intervention. Ainsi, la recrudescence de l’interventionnisme entre les Etats africains discrédite le discours officiel de ceux qui dénoncent les interventions des pays occidentaux dans leurs affaires internes. Cette contradiction est la preuve de la banalisation des pratiques interventionnistes sur le continent africain. En effet, depuis les indépendances des années soixante, les nouveaux Etats africains ont conjugué la lutte de l’affirmation de leurs souverainetés face aux anciens colonisateurs avec les interventions dans leurs propres rapports dans le cadre africain. La guerre froide a donné une excuse aux intervenants africains sous prétexte qu’ils ne maîtrisaient pas le jeu, et que chaque Etat était obligé de se prêter à la politique du bloc auquel il appartenait. Avec la fin de l’antagonisme Nord-Sud, on s’attendait à voir diminuer considérablement les interventions sur le continent africain. Paradoxalement, l’on assiste à une forte augmentation des interventions entre les pays africains, des interventions de plus en plus violentes dans leurs formes. Ainsi, la recrudescence des rébellions en Afrique témoigne de la banalisation du principe de non-intervention dans les rapports interafricains. La sécurité collective prend une force mafieuse en Afrique sous couvert des organisations régionales (CEDEAO, SADC et UA). La banalité a même atteint son paroxysme, à telle enseigne qu’on assiste à de véritables guerres d’agression dans certaines régions du continent africain. Les exemples illustratifs de cet esprit de guerre africaine sont entre autres, la guerre rwando-ougandaise contre la République Démocratique du Congo (RDC) et l’invasion éthiopienne en Somalie. Des interventions qui passent sous silence, comme si l’on assistait à quelque chose de normal, laissant entendre par-là, qu’on assiste à l’émergence de nouvelles pratiques africaines consacrant une coutume locale. Pourtant, ces pratiques dans leurs formes et dans leurs esprits ne sauront devenir une coutume locale. Au demeurant, on assiste à la multiplication des pratiques interventionnistes confortant la thèse selon laquelle, le continent africain serait imperméable au juridisme du monde civilisé. La coutume étant une acceptation générale des pratiques comme consécration du droit, les pratiques interventionnistes contestées par certains Etats africains, non seulement dans le cadre africain mais aussi dans le cadre universel. En tout état de cause, ces pratiques versent dans la violation, étant en contradiction avec la norme supérieure des Nations Unies, notamment l’art. 2, § 4 et 7 de la Charte de l’ONU. Et la supériorité juridique de la Charte des Nations Unies ne fait pas de doute de règles régionales contradictoires, conformément à l’art. 103 de la Charte de l’ONU et de l’art. 53 de la Convention de Vienne sur le droit des traités<br>International public law being based on the cooperation of states and the formal requirement that states respect the sovereignty of their peers, the principle of non-intervention occupies a central place in the legal architecture of international relations. This statement simultaneously stands in contrast with normative plans and complicates practical ones. Such complexity gives nation states a small amount of maneuvering room that may permit them to violate the principle of non-intervention. African nation states having fought and denounced violations of their sovereignty are no exception from the bad faith that countries show in violating the principle of non-intervention. As such, the new wave of interventionism between African states discredits the official discourse of those who denounce the interventions of Western countries in their own internal affairs. This contradiction is proof of the trivialization of interventionist practices on the African continent. In effect, since their independence in the 1960s, the new African states have linked the fight for the affirmation of their sovereignty against their former colonial powers with interventions conducted in their own interest in the African framework. The Cold War gave the African interveners an excuse, under the pretext that they were still at risk, and that each country was obliged to help the other countries in the political block to which it belonged. With the end of the fighting between the north and the south, a considerable diminution in the number of interventions on the African continent was expected. Paradoxically, one saw a strong increase in the number of military operations between African countries, which were more and more violent in their nature. Thus, the increase in rebellions in Africa speaks to the trivialization of the principle of nonintervention in interafrican relations. The unionization of collective security under the cover of regional organizations is in line with the logic of the more common resort to force (ECOWAS, SADC and AU). The commonplace nature has even reached its own paroxysm, so such so that one sees true wars of aggression in certain regions of the African continent. Illustrative examples of this African mindset toward war are, among others, the Rwanda-Uganda war against the Democratic Republic of Congo (DRC), and the Ethiopian invasion of Somalia. Interventions that pass in silence, as though we were watching something normal, let it be understood that we are witnessing the emergence of new practices giving rise to local custom. However, these practices in their spirit and form will not in fact become local custom. All things considered, one expects the rapid increase of interventionist practices supporting the thesis according to which, the African continent would be impermeable to the laws of the civilized world. That thesis being a general acceptance of practices such as the recognition of law, the interventionist practices of certain African States have been contested not only in Africa but also throughout the world. In all disputed cases, these practices result in a violation of the law, being in contraction with the higher standards of the United Nations, notably Article 2, Sections 4 and 7 of the Chart of the United Nations. A judicial superiority conforming to Article 103 of the Charter of the United Nations and to Article 53 of the Convention of Vienna on the Law of Treaties
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Konieczna, Anna. "L'histoire d'une relation spéciale : les relations entre la France et l'Afrique du Sud dans les années 1958-1974." Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2013. http://www.theses.fr/2013IEPP0055.

Full text
Abstract:
Basée sur des archives françaises et sud-africaines inédites, cette thèse offre une analyse approfondie des relations franco-sud-africaines sous la présidence de Charles de Gaulle et de Georges Pompidou (1958-1974). La relation est qualifié de « spéciale » pour plusieurs raisons : le fait qu’il s’agit de liens avec un pays non-francophone qui n’appartient pas à la zone d’influence traditionnelle de la France, le contexte dans lequel elle se noue (le processus de décolonisation simultané à la condamnation internationale du régime d’apartheid), la spécificité de ses éléments constitutifs (une coopération particulièrement intensive dans les domaines « sensibles » du militaire et du nucléaire), et enfin le cadre officiel asymétrique et déséquilibré de cette relation. Divisée en quatre parties, organisées selon une logique chronologique, l’étude présente l’évolution de cette « relation spéciale » et ses différentes dimensions : bilatérale (relations militaires, nucléaires et économiques), régionale (relations en Afrique méridionale, dans la zone de l’océan Indien et en Afrique) et multilatérale (débats à l’ONU, au FMI, et dans le cadre de la CEE). A travers l’analyse des discussions au sein des institutions françaises et des prises de position dans les enceintes internationales, cette analyse reconstitue l’attitude ambiguë de la France envers la question de l’apartheid, les contradictions de la politique d’indépendance française de même que de la politique africaine de la France. Tout en privilégiant le cadre officiel, elle propose aussi une analyse du rôle des « intermédiaires » – parlementaires, entreprises et « marchands de canons » – dans la conduite et la réalisation des objectifs de la politique française vis-à-vis de l’Afrique du Sud<br>Based on the original French and South African archives, this dissertation examines the relationship between France and South Africa under the administration of Charles de Gaulle et Georges Pomidou. Several elements explain why this relation may be qualified as « special »: the fact that South Africa didn’t belong to the traditional zone of French influence, the context in which this relation emerges (the process of decolonization along with the international condemnation of the regime of apartheid), its specialization (the close cooperation in the military and nuclear field) and its official atypical frame. Divided into four chronological parts, the dissertation presents the evolution of this « special relationship » and its different dimensions: bilateral (relations in military, nuclear and economic field), regional (relations in Southern Africa, in zone of the Indian Ocean and in Africa) and multilateral (debats at UN, IMF and EEC). By analyzing the discussions within the French institutions and the statements in international arena, this study reconstructs the ambiguous attitude of France towards the question of apartheid, the contradictions of the French policy of national independence as well of the French African policy. While the dissertation emphasizes the official framework, it also tempts to analyses the role of intermediates (parliamentarians, enterprises and military industry) in the conduct of French policy towards South Africa
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

DesRoches, Christian. "The burdens of a world power : the Eisenhower administration and decolonisation in Sub-Saharan Africa, 1955-1960." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 2001. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp04/MQ57857.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Zoungni, Fiacre, and Fiacre Zoungni. "Comprendre les (non) interventions militaires de la France en Afrique subsaharienne à l'aide de la théorie cohabitationniste." Doctoral thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/37735.

Full text
Abstract:
Malgré la fin de la colonisation dans les années 1960 en Afrique, la France est demeurée présente sur le continent par le biais de plusieurs accords et conventions signés avec ses anciennes colonies afin d’établir des coopérations dans plusieurs domaines (économique, monétaire, politique, culturel, défense). Grâce à une politique militaire particulière, la France intervient militairement dans plusieurs conflits civils en Afrique subsaharienne. Dans le même temps, elle se refuse parfois à intervenir dans d’autres. La problématique de cette recherche est d’expliquer les raisons pour lesquelles la France intervient militairement dans certains conflits civils en Afrique subsaharienne et pourquoi elle se refuse à intervenir dans d’autres. Pour résoudre cette énigme, cette thèse développe la théorie de la cohabitation ou la théorie cohabitationniste basée sur le principe transactionnel de la délégation du pouvoir développé par les néo-institutionnalistes du choix rationnel qui vise à évaluer la performance démocratique des régimes politiques. Cette théorie, composée de deux modèles, affirme qu’à cause des contraintes institutionnelles et politiques qui naissent durant les périodes de cohabitation, il est difficile pour un gouvernement français d’initier une intervention militaire en Afrique subsaharienne. Cette situation, propre aux régimes semi-présidentiels, explique certains refus de la France à intervenir militairement dans certains conflits civils. Par contre, en période de gouvernement unifié, il est plus aisé de déclencher une intervention militaire puisqu’il y a une cohérence et une concordance des politiques gouvernementale et présidentielle. De façon empirique, nous avons démontré que le refus de la France à intervenir en Côte d’Ivoire en 1999 après le coup d’État militaire, en République Centrafricaine après les mutineries de 1998 et 2001, était en substance lié au conflit institutionnel engendré par la troisième cohabitation (1997 – 2002). Durant cette période, nous avons noté qu’en dépit du fait que plusieurs questions écrites aient été envoyées au gouvernement par des parlementaires français pour connaitre l’attitude de la France par rapport à ces instabilités politiques, l’option d’une intervention militaire n’a pas été retenue. En revanche, après les élections présidentielles des 21 avril et 5 mai 2002 et les élections législatives des 9 et 16 juin 2002, la France a amorcé une nouvelle ère de gouvernement unifié. C’est durant cette période que le gouvernement français a pu initier l’Opération Licorne en envoyant des troupes armées en Côte d’Ivoire en 2002 et l’Opération Boali en 2003 en République Centrafricaine.<br>Malgré la fin de la colonisation dans les années 1960 en Afrique, la France est demeurée présente sur le continent par le biais de plusieurs accords et conventions signés avec ses anciennes colonies afin d’établir des coopérations dans plusieurs domaines (économique, monétaire, politique, culturel, défense). Grâce à une politique militaire particulière, la France intervient militairement dans plusieurs conflits civils en Afrique subsaharienne. Dans le même temps, elle se refuse parfois à intervenir dans d’autres. La problématique de cette recherche est d’expliquer les raisons pour lesquelles la France intervient militairement dans certains conflits civils en Afrique subsaharienne et pourquoi elle se refuse à intervenir dans d’autres. Pour résoudre cette énigme, cette thèse développe la théorie de la cohabitation ou la théorie cohabitationniste basée sur le principe transactionnel de la délégation du pouvoir développé par les néo-institutionnalistes du choix rationnel qui vise à évaluer la performance démocratique des régimes politiques. Cette théorie, composée de deux modèles, affirme qu’à cause des contraintes institutionnelles et politiques qui naissent durant les périodes de cohabitation, il est difficile pour un gouvernement français d’initier une intervention militaire en Afrique subsaharienne. Cette situation, propre aux régimes semi-présidentiels, explique certains refus de la France à intervenir militairement dans certains conflits civils. Par contre, en période de gouvernement unifié, il est plus aisé de déclencher une intervention militaire puisqu’il y a une cohérence et une concordance des politiques gouvernementale et présidentielle. De façon empirique, nous avons démontré que le refus de la France à intervenir en Côte d’Ivoire en 1999 après le coup d’État militaire, en République Centrafricaine après les mutineries de 1998 et 2001, était en substance lié au conflit institutionnel engendré par la troisième cohabitation (1997 – 2002). Durant cette période, nous avons noté qu’en dépit du fait que plusieurs questions écrites aient été envoyées au gouvernement par des parlementaires français pour connaitre l’attitude de la France par rapport à ces instabilités politiques, l’option d’une intervention militaire n’a pas été retenue. En revanche, après les élections présidentielles des 21 avril et 5 mai 2002 et les élections législatives des 9 et 16 juin 2002, la France a amorcé une nouvelle ère de gouvernement unifié. C’est durant cette période que le gouvernement français a pu initier l’Opération Licorne en envoyant des troupes armées en Côte d’Ivoire en 2002 et l’Opération Boali en 2003 en République Centrafricaine.<br>Despite the end of colonization in the 1960s in Africa, France remained present on the continent through several agreements and conventions signed with its former colonies in order to establish cooperation in several fields (economic, monetary, political, cultural, defense). Thanks to a particular military policy, France intervenes militarily in several civil conflicts in sub-Saharan Africa. At the same time, it sometimes refuses to intervene in others. The problematic of this research is to explain the reasons why France intervenes militarily in certain civil conflicts in sub-Saharan Africa and why it refuses to intervene in others. To solve this enigma, this thesis develops the theory of cohabitation or cohabitationist theory based on the transactional principle of the delegation of power developed by the neoinstitutionalist rational choice that aims to assess the democratic performance of political regimes. This theory, composed of two models, states that because of the institutional and political constraints that arise during periods of cohabitation, it is difficult for a French government to initiate a military intervention in sub-Saharan Africa. This situation, peculiar to the semi-presidential regimes, explains France's refusal to intervene militarily in certain civil conflicts. On the other hand, in times of unified government, it is easier to trigger a military intervention since there is a coherence and a concordance of government and presidential policies. Empirically, we have shown that the refusal of France to intervene in Côte d'Ivoire in 1999 after the military coup and in the Central African Republic after the mutinies of 1998 and 2001, was in essence linked to the institutional conflict engendered by the third cohabitation (1997 - 2002). During this period, we noted that despite the fact that several written questions were sent to the government by French parliamentarians to know the attitude of France with regard to these political instabilities, the option of a military intervention was not selected. On the other hand, after the presidential elections of 21 April and 5 May 2002 and the legislative elections of 9 and 16 June 2002, France has entered a new era of unified government. It was during this period that the French government was able to initiate Operation Licorne by sending armed troops to Côte d'Ivoire in 2002 and Operation Boali in 2003 to the Central African Republic.<br>Despite the end of colonization in the 1960s in Africa, France remained present on the continent through several agreements and conventions signed with its former colonies in order to establish cooperation in several fields (economic, monetary, political, cultural, defense). Thanks to a particular military policy, France intervenes militarily in several civil conflicts in sub-Saharan Africa. At the same time, it sometimes refuses to intervene in others. The problematic of this research is to explain the reasons why France intervenes militarily in certain civil conflicts in sub-Saharan Africa and why it refuses to intervene in others. To solve this enigma, this thesis develops the theory of cohabitation or cohabitationist theory based on the transactional principle of the delegation of power developed by the neoinstitutionalist rational choice that aims to assess the democratic performance of political regimes. This theory, composed of two models, states that because of the institutional and political constraints that arise during periods of cohabitation, it is difficult for a French government to initiate a military intervention in sub-Saharan Africa. This situation, peculiar to the semi-presidential regimes, explains France's refusal to intervene militarily in certain civil conflicts. On the other hand, in times of unified government, it is easier to trigger a military intervention since there is a coherence and a concordance of government and presidential policies. Empirically, we have shown that the refusal of France to intervene in Côte d'Ivoire in 1999 after the military coup and in the Central African Republic after the mutinies of 1998 and 2001, was in essence linked to the institutional conflict engendered by the third cohabitation (1997 - 2002). During this period, we noted that despite the fact that several written questions were sent to the government by French parliamentarians to know the attitude of France with regard to these political instabilities, the option of a military intervention was not selected. On the other hand, after the presidential elections of 21 April and 5 May 2002 and the legislative elections of 9 and 16 June 2002, France has entered a new era of unified government. It was during this period that the French government was able to initiate Operation Licorne by sending armed troops to Côte d'Ivoire in 2002 and Operation Boali in 2003 to the Central African Republic.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Omeonga-Onakudu, Jean. "Contribution à l'étude de la géopolitique du Zaïre dans sa diplomatie en Afrique centrale de 1965 à 1989 sous le parti-Etat." Paris 1, 1998. http://www.theses.fr/1998PA01A004.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Vittot, Aurélie. "La politique française d'intervention extérieure de 2007 à 2017 : sociologie d'un overachievement." Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2018. http://www.theses.fr/2018IEPP0041.

Full text
Abstract:
Cette thèse s’articule en trois parties. La première vise à comprendre les facteurs contribuant à la continuité de la politique française d’intervention extérieure. Elle met l’accent sur la notion de puissance moyenne, la culture française des droits de l’homme et le lien particulier qui unit Paris à l’Afrique. La seconde partie détaille l’évolution des normes internationales et de la pratique onusienne et cherche à apprécier le rôle joué par le Conseil de sécurité des Nations unies dans la mise en place de la politique étrangère française. Cette partie intègre une dimension comparative puisqu’elle évoque successivement les politiques américaine, européenne, russe et celles des pays émergents en matière d’intervention extérieure. Ceci permet d’appréhender les spécificités françaises, tant en termes institutionnels qu’en termes de capacités de projection des forces. La dernière partie s’intéresse aux différents terrains d’intervention de l’armée française et permet de qualifier l’action de l’Hexagone de politique d’intervention à géographie variable. Sur le continent africain, les opérations sont généralement conduites unilatéralement, les troupes africaines prenant ensuite progressivement le relai. Au Moyen-Orient, les interventions militaires françaises s’inscrivent au sein de coalitions internationales menées par les Etats-Unis. L’opération Harmattan en Libye fait l’objet d’un chapitre à part. Elle a été initiée par la France et le Royaume-Uni mais conduite dans le cadre de l’OTAN. Cette thèse de doctorat analyse donc une décennie d’engagement de l’armée française à l’étranger et permet de décrypter l’actualité en matière de gestion de crise et de conflictualité<br>This thesis is divided into three main parts. The first one underlines the different factors which contribute to the continuity of French politics of military intervention, stressing the notion of middle power, French culture of human rights and the very special link which still unites nowadays Paris to the African continent. The second part examines the evolution of international norms and UN practice and tries to appreciate the part of the Security Council in the establishment of the French foreign policy. This section includes a comparative dimension as it deals with American, European, Russian and emerging countries politics in terms of military interventions. That focus enables to grasp French specific features, both institutional and in terms of military capacities. The last part of this work aims at analyzing the different military fields of the French army during the last decade. In Africa, military operations are often led unilaterally, African troops then taking over gradually. In the Middle East, French military interventions are mostly part of international coalitions led by the United States. "Opération Harmattan" in Libya is addressed in a proper section as it is in between the classical military interventions in Africa and the one we use to observe in the Middle East. Initiated by France and the UK but conducted under NATO leadership, this intervention constitutes a paradigm shift in French, European and Transatlantic security. This thesis thus analyzes a decade of French military engagement and enables to interpret the current events regarding crisis management and conflicts
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Triaud, Jean-Louis. "Les relations entre la France et la Sanûsiyya (1840-1930) : histoire d'une mythologie coloniale, découverte d'une confrérie saharienne." Paris 7, 1991. http://www.theses.fr/1991PA070031.

Full text
Abstract:
Cette étude se place au confluent de l'histoire islamique, de l'histoire africaine et de l'histoire de la colonisation. Elle emprunte délibérément aux trois registres et c'est la combinaison de ces trois approches qui a paru la plus féconde. Au centre de cette recherche se trouve une confrérie musulmane, apparue à la Mecque vers 1837, dénommée sanusiyya d'après le nom de son fondateur, Muhammad al-Sanûsi, un algérien né près de Mostaganem en 1787. D'abord organisation missionnaire, prêchant l'islam aux plus déshérités des nomades, plantant des zâwiya-s dans les terres souvent peu hospitalières, ce mouvement devient, après 1900, le fer de lance d'une résistance opiniâtre contre les puissances coloniales : français et italiens principalement. Par le recours à des sources arabes originales, et avec le souci d'une approche méthodologique, nous avons cherché à comprendre, dans leur cohérence interne, les stratégies successives et les différentes fonctions sociales de cette véritable "multinationale" islamique que fut la Sanûsiyya, où se côtoyaient originaires du grand Maghreb, arabes du Hijaz ou natifs de régions plus périphériques. Aucune autre confrérie musulmane n'a fait l'objet d'une surveillance et d'une hostilité aussi durables de la part de l'administration et des publicistes français. La hantise de la Sanûsiyya, la dénonciation de cette confrérie, puis la lutte ouverte contre elle, tiennent dans la geste coloniale une place à part. Nous nous sommes donc interrogés sur les raisons de ce traitement particulier. Enfin, bien qu'elle soit née à la Mecque, la Sanûsiyya est, par son développement historique. .<br>This study draws from three different spheres : islamic history, african history, and colonial history. At the center is the muslim brotherhood which appeared in mecca about 1837 and which bears the name Sanûsiyya, after its founder Muhammad Al-Sanusi, an algerian born near Mostaganem in 1787. The brotherhood, at first, was a missionary organization which preached islam to the most impoverished nomads and created zawiya-s (lodges) in inhospitable lands. After 1900, the movement organized a determined resistance against the colonial powers, France and Italy in particular. By a careful use of arabic sources and attention to the internal coherence, changing strategies and different social functions, the author seeks to explain this veritable "multinational" islamic society in which indigenous people of the Maghreb, the Hijaz, and some Sudanic countries, worked side by side. No other brotherhood was ever the object of such intense and enduring hostility from the french administration and popularizers. The fear of Sanûsiyya, the denunciation and finally the open struggle against this brotherhood have created a special chapter of colonial history. The author has looked for the reasons behind such a treatment. Finally, the sanusiyya, although launched in mecca, belongs to african history. In the period of the greatest expansion, it involved all of the central and eastern Sahara, from the Nile to the Ajjer, from southern Tunisia to lake Chad. The author has consistently featured the subsaharan
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Anafak, Lemofak Antoine Japhet. "La Belgique et l'Afrique centrale, diversification ou néocolonialisme? dynamique de la politique de coopération belge au Cameroun et dans ses anciennes colonies, 1960-1990." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2010. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210145.

Full text
Abstract:
Le travail de recherche intitulé :«La Belgique et l’Afrique centrale, diversification ou néocolonialisme ?Dynamique de la coopération belge au Cameroun et dans ses anciennes colonies (1960-1990) » s’interroge sur la mise en œuvre et le déploiement de la coopération belge en Afrique centrale principalement au Cameroun. Il développe cette politique au Cameroun sous un regard global des intérêts belges dans son pré carré c'est-à- dire dans ses anciennes colonies dans le contexte de guerre froide et de construction européenne. C’est également le contexte de la mise en place du marché commun, de la signature des accords de Yaoundé entre la CEE et EAMA (Etats Africains et Malgaches Associés). Les aspects analysés prennent aussi en compte la France autre ancienne métropole de la région.<p>Cette thèse insiste sur les éléments de mise en place et les fondements de la politique étrangère de la Belgique en Afrique centrale. Elle analyse sa présence depuis la colonisation du Congo, du Ruanda-Urundi et développe le processus de mutation de la Belgique dans la sous-région à la faveur des indépendances. Cette accession à la souveraineté des territoires leur attribuait le statut d’acteur de la communauté internationale. L’adaptation de la Belgique à cette nouvelle donne l’oblige à étendre son espace de captation d’intérêts par l’établissement des relations diplomatiques avec de nombreux pays de la région parmi lesquels le Cameroun. Le choix du Cameroun comme pays d'appui à la politique belge dans la région en dehors de ses colonies est le fait de nombreuses justifications que cette thèse démontre. <p>Ce travail insiste sur les rapports politiques entre le Cameroun et la Belgique notamment les éléments expliquant la coopération diplomatique et politique entre le Cameroun et la Belgique. Celle-ci était basée sur un soutien mutuel dans la lutte contre les mouvements rebelles procommunistes au Cameroun et au Congo dans les années 60. Cet ouvrage développe l'organisation de l’action conjointe de la Belgique et du Cameroun dans la lutte contre le communisme en Afrique centrale principalement au Congo en période de guerre froide, les éléments prouvant le soutien de la Belgique au Cameroun dans sa lutte contre les activistes nationalistes de l’UPC et réciproquement, les actions montrant la collaboration et la compréhension du Cameroun envers la Belgique dans la gestion des conflits d’après indépendance au Congo, au Rwanda et au Burundi. <p>De plus, cette thèse évoque la dynamique de la politique étrangère de la Belgique à partir de 1965 dans la région. Dans cette section marquée par l’arrivée de Mobutu au pouvoir et le coup d’Etat de Micombero au Burundi, ce travail détaille les éléments qui justifient le renforcement des relations politiques entre le Cameroun et la Belgique après 1965 par l’analyse du contexte national et international de mise en place de cette politique après 1967. Un contexte marqué par la réélection d’Ahmadou Ahidjo et le renforcement de son pouvoir et le départ du socialiste Paul-Henri Spaak, remplacé par le démocrate-chrétien Pierre Harmel. Ce dernier instaure une nouvelle politique dite de diversification et de distanciation envers le régime de Mobutu. Le constat est que cette diversification a profité au Cameroun, devenu progressivement un partenaire privilégié de la Belgique dans la région après la visite officielle d’Ahidjo de 1967 à Bruxelles. <p>Ce travail analyse les rapports qu’entretenaient la Belgique et le Cameroun dans les organisations internationales en rapport avec la situation interne de son pré-carré d’Afrique centrale, notamment les circonstances du soutien de la candidature du Zaïre à l’entrée dans l’Union Douanière et Economique d’Afrique Centrale (UDEAC) et plus tard dans la création de l’Union Economique d’Afrique Centrale (UEAC) en 1969. Le soutien mutuel des candidatures belges et camerounaises dans les instances internationales à partir des années septante, les incidences de l’entrée du Royaume-Uni de Grande Bretagne et l’Irlande du Nord au sein de la Communauté Economique Européenne (la convention de Lomé I) sur la politique étrangère belge menée par Renaat Van Elslande, les implications de la zaïrianisation sur les relations belgo-zaïroises, l’arrivée au pouvoir de Juvénal Habyarimana au Rwanda et la renégociation des accords d’indépendance entre le Cameroun et la France. La Belgique et ces pays souhaitaient une approche plus consensuelle des grandes questions internationales, notamment le nouvel ordre économique international, le conflit du proche orient, la question de la décolonisation des territoires portugais d’Afrique centrale, la généralisation des conflits armés et des assassinats politiques.<p>La présence militaire belge en Afrique centrale est un fait colonial. Un rappel nécessaire de cette présence militaire depuis la période coloniale nous a permis de nous interroger sur la gestion difficile du devenir de ces soldats après les indépendances du Congo, du Rwanda et du Burundi, notamment pendant la crise Katangaise. Ces difficultés rencontrées au Congo poussent la Belgique à trouver des dérivatifs pour se désengager militairement au Ruanda-Urundi après l’indépendance en 1962. La visite officielle de juin 1967 d’Ahmadou Ahidjo en Belgique marque le début d’une intense coopération militaire entre la Belgique et le Cameroun. Les deux pays coopèrent pour la livraison du matériel de guerre par la Fabrique d’Herstal à Liège, et dans la formation les officiers camerounais en Belgique. Plusieurs facteurs justifiant cette coopération avec le Cameroun sont énumérés dans cette thèse. De plus, ce travail retrace l’implication de la Belgique dans les guerres du Shaba et ses initiatives en faveur d’une paix globale dans la région autour les années 80. <p>Le troisième grand axe de cette thèse développe la présence de la Belgique en Afrique centrale dans le cadre de la Communauté Economique Européenne. Après avoir expliqué l'historique et l'évolution du FED, nous avons exploré le poids de la présence belge au sein du Fond Européen de Développement par rapport à la France et les autres Etats de la CEE pour constater sa faiblesse dans cette institution contrôlée par la France l’Allemagne. Ce qui justifie son choix de renforcer la coopération bilatérale dans la région. Enfin, ce thèse insiste sur ces relations économiques bilatérales de la Belgique en Afrique centrale, principalement au Cameroun en comparaison avec les anciennes colonies pour voir l'influence de la Belgique au Cameroun, au Congo, au Rwanda et au Burundi depuis les indépendances jusqu'aux années nonante. <p><p><br>Doctorat en Histoire, art et archéologie<br>info:eu-repo/semantics/nonPublished
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Ajavon, Lawoetey-Pierre. "Le problème de l'indépendance de la Namibie (Sud-Ouest africain)." Bordeaux 1, 1986. http://www.theses.fr/1986BOR1D317.

Full text
Abstract:
Le probleme de l'independance de la namibie constitue de nos jours un des aspects les plus complexes de la colonisation sur le continent africain. Parmi les traits les plus caracteristiques de la situation actuelle en namibie, il faut noter d'un cote l'extension des activites repressives du regime raciste de la rsa, et de l'autre, l'intensification de la lutte liberatrice que mene la swapo et ses forces armees contre les racistes. Au mepris des decisions de l'assemblee generale de l'onu, de la cour internationale de justice et du conseil des nations unies pour la namibie, l'afrique du sud repond par des repressions et des inegalites sociales. Ne pouvant ni par negociation, ni par procedure judiciaire persuader l'afrique du sud d'agir conformement a ses obligations de mandataire, l'assemblee generale prit alors une decision historique : elle resilia le mandat et se declara seule responsable de l'administration du territoire jusqu'a son independance (resolution la politique de l'afrique du sud, malgre des negociations prolongees et contradictoires avec les cinq pays occidentaux (etats-unis), france, grande-bretagne canada, allemagne federale) entre 1976 et 1978 a ete d'une extreme fermete: elle a consiste, tout en admettant que tout etait negociable, a refuser de traiter avec la swapo, alliee de l'union sovietique, pourtant consideree par les nations unies comme le seul representant du peuple namibien. Le probleme de l'independance namibien est devenue alors une lutte d'influence entre l'occident, les etats-unis et l'union sovietique. Selon cette perspective, la namibie devient l'un des pions dans la partie que jouent sur ce continent africain les grandes puissances<br>The question of the independence of namibia constitutes one of the most complexes problems of colonialism on the african continent today. Amoung the most significant features of the current situation in namibia, it is necessary to noite on the one hand an extension of the repressive activities of the racist regime of south africa and the other hand, the intensification of the liberation war carried out by swapo against the racists occupation forces. In response to the decisions of the united nations, general assembly, the international court of justice and the united nations council for namibia, south africa has answered by further repressions and social inegualities. Incapable of persuading south africa either by negociations or by judicial process line up to its obligations of a mandate power, the assembly general took a historic decision: it revoqued the mandate and declared itself. The sole authority responsible for the administration of the teritory until its independence (resolution inspite of prolonged and contradictory negociations between south africa and the five western powers of the contact group (united states, france, great britain, canada and west germany) beetween 1976 and 1978, south africa policy has remained extremely hand: this policy has consisted of refusing to deal directly with swapo while admitting that all was negotiable. This refusal is inspite of the fact that swapo has been recognised by the united nations as the only true representative of the namibian people. The question of namibian independence has therefore become a struggle for influence between the west united states and soviet union. In this perspective namibia has been one of the cards in the strategique game of the great powers on the african continent
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Katsakioris, Constantin. "Leçons soviétiques : la formation des étudiants africains et arabes en URSS pendant la guerre froide." Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0006.

Full text
Abstract:
La thèse examine l'aide éducative que l'Union soviétique accorda aux pays africains et arabes depuis la seconde moitié des années 1950 et jusqu'à la fin de la guerre froide (1989). Cette aide répondait au besoin des pays postcoloniaux et des mouvements de libération nationale de former les cadres qui mettraient ensuite leurs compétences au service de la lutte pour l'indépendance, de la construction étatique et du développement économique. Elle constituait en même temps un moyen pour que l'URSS influe sur l'orientation politique et économique de ces pays. Malgré la méfiance envers l'URSS, l'aide prit notamment la forme de l'accueil d'étudiants dans un grand nombre d'établissements d'enseignement soviétiques, le plus souvent prestigieux, et ne cessa pas d'augmenter. Sur les plans académique, socioculturel et politique, la vie des étudiants étrangers en URSS fut extrêmement riche. Un certain nombre d'incidents violents provoquèrent néanmoins les réactions et la désillusion d'une partie des étudiants africains. Vues dans le contexte de la rivalité entre l'Est communiste et l'Ouest capitaliste, la formation de milliers de cadres et la réalisation d'objectifs économiques et sociaux concrets permettent de conclure que l'aide de l'URSS fut pour les États nouvellement indépendants d'une importance majeure<br>The thesis explores the Soviet educational aid towards African and Arab countries from the mid-1950s to the end of the Cold War (1989). Soviet aid responded to the need of postcolonial countries and national liberation movements to train students who would then put their qualifications in the service of national independence. State-building and economic development. At the same time it constituted a means for the USSR to influence the political and economic orientation of postcolonial countries. Despite wariness vis-à-vis the USSR, the reception of students in many Soviet higher educational institutions, most often prestigious ones, continued unabated. Third world students' academic, social, cultural and political life in the USSR was extremely rich. Yet a number of violent incidents provoked disillusionment and the reactions of part of the Black African students. Nevertheless, seen in the context of the rivalry between the communist East and the capitalist West, the training of thousands of students and the implementation of concrete social and economic goals, allow arguing that Soviet aid for the newly independent countries of major importance
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Durand, Stéphanie. "La Chine, nouvel acteur du développement en Afrique ?" Thesis, Paris 5, 2012. http://www.theses.fr/2012PA05D018.

Full text
Abstract:
Ces dernières décennies, les relations internationales ont été le théâtre d’importantes évolutions. Le retour en force de la Chine est l’une d’elles. La Chine communiste, deuxième puissance économique du monde est devenue incontournable sur la scène internationale.Parallèlement à cette montée en puissance, la République populaire de Chine a renforcé son influence sur le continent africain. Dans sa conquête de l’Afrique, elle a mis en place une politique africaine qui prône un échange égalitaire entre les partenaires, axé sur le développement mutuel et sur le partage entre les peuples chinois et africains. L’intensification des échanges politiques et économiques, participe également au soft power chinois. Avec cette stratégie, Pékin est en passe de conquérir le continent africain en réduisant peu à peu l’influence de ses concurrents, et notamment de Taiwan. Grace à ses principes d’émergence pacifique, la Chine instaure un partenariat apprécié par la majorité des dirigeants africains, et crée une nouvelle voie vers le développement. C’est que la Chine, au-delà de sa quête d’influence sur la scène internationale, a d’importants besoins pour soutenir son développement économique. Il s’agit donc de satisfaire sa demande grandissante, par l’approvisionnement de matières premières, tout en offrant de nouveaux débouchés à ses produits.En échange, elle promet des aides et des infrastructures aux pays du continent en mal de développement. Ainsi, les entreprises chinoises sont incitées à investir et à s’expatrier en Afrique, avec l’aide du gouvernement chinois. Dans ces conditions, la présence chinoise sur le continent, semble apporter un nouveau souffle, donner une réponse nouvelle aux enjeux du développement africain. L’Afrique, caractérisée par un sous-développement chronique, accueille ses promesses chinoises avec beaucoup d’enthousiasme, y voyant une alternative aux échecs des politiques occidentales.En effet, les échanges commerciaux avec la Chine stimulent les économies africaines tout en offrant des produits bons marchés aux populations pauvres. Ils participent à l’amélioration des infrastructures du continent. La diplomatie chinoise permet également aux pays africains d’avoir une meilleure reconnaissance internationale et de revendiquer leur place au sein des institutions.Cependant, ces facteurs de l’émancipation africaine jouent un effet négatif. La société civile africaine dénonce les excès de l’action chinoise, ses atteintes au bon développement, ses entraves à la bonne gouvernance. Cette thèse se propose ainsi d’étudier les incidences que la politique africaine de la Chine, a sur les perspectives de développement du continent. Il s’agira, d’analyser les multiples axes d’interventions chinoises à l’aune des besoins africains en matière de développement<br>Pas de résumé en anglais
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

Soulé-Kohndou, Folashadé Ayodélé. "Les "clubs" de puissances "émergentes", fonctions objectives et usages stratégiques : le cas du forum de dialogue IBAS (Inde-Brésil-Afrique du Sud)." Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2014. http://www.theses.fr/2014IEPP0026.

Full text
Abstract:
A partir de l’étude de cas du forum Inde-Brésil-Afrique du Sud (IBAS), cette thèse aborde la construction sociale de l’émergence en relations internationales, et la dynamique de prolifération de clubs sélectifs entre puissances émergentes comme expression de l’émergence internationale. A travers une approche pluridisciplinaire, mobilisant la sociologie de l’action collective au service des relations internationales, cette thèse démontre que les fonctions des clubs d’émergents, s’élèvent au nombre de trois: la consultation et la coordination politique sur des sujets internationaux d’intérêt mutuel; l’intensification des relations sud-sud multidimensionnelles; et la mise en place de mécanismes financiers communs. A travers ces trois fonctions, les puissances émergentes, se servent de ces clubs, à trois usages stratégiques transversaux, notamment la légitimation, l’autonomisation et la socialisation afin de renforcer leur intégration internationale. L’action des clubs d’émergents aboutit cependant davantage à l’inclusion, sous forme de cooptation de ces puissances, dans les processus décisionnels de gouvernance globale, qu’à leur intégration. Favorisant des stratégies de différenciation, à travers une action séparée des autres Etats du Sud, le défaut d’association des voisins régionaux et sociétés provoque des stratégies de contestation et d’obstruction de la part de ces derniers. Cette action collective des clubs d’émergents apporte enfin des changements institutionnels systémiques amenant les organisations internationales à se réadapter stratégiquement aux pratiques réformistes apportées par ces puissances, et à profiter à leur tour de l’émergence internationale<br>What are the incentives of cooperation in rising powers groupings ? What are the underpinnings of club diplomacy by rising powers ? Through the case study of the India-Brazil-South Africa(IBSA) forum, this thesis explores the concept of ‘emergence’ in international relations – described here as a social construction – and the proliferation of selective clubs between emerging/rising powers as an expression of the rise of these powers. Following a pluri-disciplinary approach and mobilizing the sociology of collective action, this thesis defends that IBSA’s objective functions (political coordination, promotion and increase of south-south cooperation) obey to strategic aims (legitimization, autonomization, socialization) in order to further their international integration. The growing tendency of collective action through selective clubs in the South acts as a means for social differentiation between rising powers groupings and traditional developing countries groupings like the Non-Aligned Movement and the G77 although they often defend similar positons. However rising powers clubs ‘collective action does not necessarily result in sustainable integration of these emerging powers by established powers in global governance decision-making process ; but they cast light on the evolving institutional dynamics and institutional adaptation on the global level
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Dina, Lagnona. "La relation franco-malgache face aux nouveaux enjeux géopolitiques dans le sud-ouest de l'océan indien. La relation d'une présidence à un État (1990-2009)." Thesis, Lyon, 2020. http://www.theses.fr/2020LYSE3012.

Full text
Abstract:
Le sud-ouest de l’océan Indien se présente comme une des zones d’influences traditionnelles françaises. Le maintien du leadership régional français passe par l’établissement de relations stables et amicales avec les États francophones riverains. L’ambition de la France est, de demeurer le principal partenaire de tous les États insulaires de l’océan Indien occidental. Considérée comme la porte de l’océan Indien, Madagascar figure parmi ces derniers. L’instabilité politique malgache fragilise la relation franco-malgache. Opérant des calculs coûts/avantages qui répondent aux impératifs nationaux, les officiels malgaches réorientent la politique étrangère à chaque nouvelle présidence .A ce titre, l’instabilité est l’une des spécificités de la relation franco-malgache. Remettant en cause la pérennisation de l’influence française à Madagascar, elle peut par conséquent, irradier la zone dite du « lac francophone ». Pour l’Etat français, il est impératif de maintenir Madagascar sous influence française. Cette ambition française répond aux objectifs en matière de politique étrangère post-bipolaire : à savoir la pérennisation de la puissance (moyenne) française dans certaines régions dans un monde oligopolaire. Endiguer, l’influence des nouvelles puissances telles que la Chine ou l’Afrique du sud à Madagascar et dans la région est impossible. Il s’agit pour la France de consolider les relations établies en vue de maintenir le statu quo post-guerre froide<br>The south western region of the Indian Ocean appears as one of the traditional French influence zones. Upholding the leadership of France in the area requires a solid and amicable relationship with the countries bordering the Indian Ocean. France’s goal is to remain the first main partner of all the French speaking countries in the area. Often described as “the gate to the Indian Ocean”, Madagascar is one of them. The Malagasy political instability jeopardizes the island’s relationship with France. With national imperatives in mind, Malagasy government officials try for a shift in foreign policy with each new presidency. In this regard, instability is one of the main features of French- Malagasy relationship. Putting at risk the perpetuation of the French influence in Madagascar, its consequences can spread all over the “French speaking Lake”. For France, keeping Madagascar under French influence is critical as it meets with France’s post-cold war foreign policy’s objectives such as: the perpetuation of French power (average) over several regions in an oligopolar world. Preventing the influence of other powers like China or South Africa in Madagascar is impossible. Therefore, for France, the challenge consists of strengthening existing relationships for the purpose of upholding post-cold-war status quo
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Ali, Farah Omar. "La France, la Communauté économique européenne et l’Afrique subsaharienne, de la Convention de Yaoundé (juillet 1963) à la Convention de Lomé 1 (février 1975)." Thesis, Rennes 2, 2014. http://www.theses.fr/2014REN20011/document.

Full text
Abstract:
La France a obtenu de ses partenaires l’inclusion des territoires d’outre-mer dans le traité de Rome instituant la CEE. L’objectif était, en période de décolonisation, de maintenir des liens entre les métropoles et les anciennes colonies dans un contexte nouveau. Entre 1958 et 1963, les Six expérimentent un système d’association avec les pays tiers, en particulier les états africains et malgache associés (EAMA) qui permet de maintenir des liens économiques particuliers avec ces états souverains, sous couvert d’une aide au développement. La Convention de Yaoundé de juillet 1963 marque la volonté des Six d’institutionnaliser et de coordonner leurs relations avec les pays tiers africains et malgache et jette les bases d’une politique de coopération, consolidée par des renouvellements de cette Convention. Celles-ci furent basées au niveau commercial, sur des préférences tarifaires et contingentaires réciproques et une assistance financière et technique. Aux termes d’une décennie d’association, le bilan du soutien au développement fut très maigre. Excepté la coopération dans le domaine de l’enseignement et de la formation où il y a eu une hausse de la scolarisation dans la plupart des EAMA, les résultats au niveau économique furent dérisoires : les préférences dont ils bénéficièrent se réduisirent progressivement à peu de chose, ils restèrent encore très dépendants et fortement endettés. Leur économie était toujours basée sur l’exportation des produits tropicaux et l’extraction des minerais et les termes de l’échange très déséquilibrés<br>France has obtained from its partners the inclusion of the overseas territories in the Treaty of Rome which established the EEC. The goal was to maintain relations between the mainlands and the former colonies in a new context during the decolonisation.Between 1958 and 1963, the Six experienced a partnership system with third countries, particularly the African and Malgach Associated States (AMAS) which allowed to maintain particular economic ties with these sovereign states on behalf of development aid. The July 1963 Convention of Yaounde marked the will of the Six to institutionalise and coordinate their relations with African and Malgache third countries and laying the foundations of cooperation policy, consolidated by the renewal of this convention. On the commercial level, These agreements were based on mutual preferencial tariffs and quotas and financial and technical assistance.At the end of a decade of association, the development aid assessement was very poor, except for the field of education and training where an increase in schooling was witnessed in most of the AMAS, but in terms of economy, results were insignificant: the preferences they benefited from gradually decreased into little, They still remained very dependent and heavily indebted. Their economy was still based on the export of tropical products and mining and the very unbalanced terms of trade
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Wysocki, Oswald. "La politique africaine de l'administration Clinton à l'épreuve de la gouvernance." Thesis, Reims, 2011. http://www.theses.fr/2011REIML017/document.

Full text
Abstract:
Pour la première fois dans l'histoire américaine, une politique africaine ambitieuse et raisonnée, s'adressant à l'ensemble du continent, a été mise en place lors de la présidence Clinton (1993-2001). Cette politique fut développée et appliquée à la faveur des évolutions du contexte international, et particulièrement de la mondialisation. Celle-ci rendit nécessaire une politique américaine globale du fait de l'interdépendance croissante des enjeux, et posa entre autres la question des relations américano-africaines du point de vue d'une recomposition géostratégique et économique globale. Les évolutions constatées sur le continent africain dans le domaine politique et économique, en rencontrant la volonté de l'administration Clinton, permirent à une politique de rapprochement de voir le jour. Celle-ci fut basée sur l'objectif principal du développement des relations économiques et commerciales entre les deux espaces. Cet objectif fut conditionné par la recherche de nouveaux débouchés pour les productions américaines, et fut relié dans la rhétorique américaine aux opportunités de développement qu'il offrait aux pays africains. La politique américaine de partenariat avec la région se développa autour de cet axe. Divers domaines d'actions vinrent élargir le champ de cette politique, articulant les opportunités et les nécessités américaines avec les perspectives de développement, de réforme et de pacification du continent.La gouvernance de la politique africaine de l'administration Clinton donna l'image d'un processus cohérent et maîtrisé, aboutissant à l'implantation d'une politique importante aux thématiques variées, qui marqua de son empreinte l'histoire des relations américano-africaines. Cette gouvernance parvint de même à atteindre son objectif principal, qui était de faire adopter la loi sur le commerce entre les Etats-Unis et l'Afrique. Au titre de ces deux éléments, cette gouvernance fut une réussite. Afin d'atteindre cette forme d'accomplissement, la gouvernance de cette politique dut s'appliquer à de multiples niveaux et dans nombre de domaines recouvert par son processus, avec la nécessité de prendre en compte un nombre important et disparate de paramètres pour aboutir à son harmonisation d'ensemble et à sa réussite finale. Pour cela, elle s'est appliquée sous diverses formes, afin de gérer au mieux chacun des aspects entrant en ligne de compte dans le développement de son objet principal. A l'épreuve de la gouvernance, la politique africaine de l'administration Clinton a démontré la complexité qui a procédé de son édification, et le rôle essentiel de la communication dans le processus de sa gouvernance. Si certains aspects de la politique fondée ont pu démontrer leurs lacunes ou leur décalage d'avec le discours officiel, la politique africaine a néanmoins su atteindre ses objectifs, laisser une image positive de son action et mettre en place un lien pérenne entre les Etats-Unis et l'Afrique, dont elle restera l'étape initiale et historique d'édification<br>For the first time in American history, an ambitious, comprehensive African policy was set up during the Clinton's presidency (1993-2001). This politic was developed and applied, according to the evolutions of the international context, and particularly on account of the globalisation's paradigm. The growing interdependency of the issues made necessary a global American policy, asking among other things the question of the American-African relations, from a global, strategic and economical point of view. The political and economical evolutions on Africa, meeting the will of the Clinton's administration, gave to an African policy chances to can be done. The objective of this politic was first and foremost to strengthen economics and trades relations between the two areas. It was motivated by the search of new outlets for American products and investments, and linked to development opportunities this way gave to the African countries. The American partnership with Africa was developed around this thematic axis. Afterwards, others initiatives extended the area of this policy, articulating the US opportunities and necessities with the continent's perspectives of development, reform and pacification.The governance of the Clinton administration's African policy gave it the appearances of a coherent and controlled process, leading to the implement of an important, varied-topics policy, which marked the American-African relations history. This governance also succeeded to reach his leading goal, which was the proclamation of an American-African trade bill. According to these two elements, this governance was a success. In order to get this fulfil, the governance of this African policy had to be applied to many levels and areas which were parts of his process, with the necessity to take care about many and different parameters to carry out his harmonisation and to success. For that, the governance was applied on many ways, in order to manage for the best the characteristics they took part in his construction. Putting to the test by his governance, the Clinton's administration African policy has showed the complexity of his building, and the essential function of the institutional communication in the governance process. If some aspects of this policy could showed their gap or their discrepancy with the US official speak, the African policy has nevertheless reached his objectives, set up a positive impress of his action, and implemented the ties between the United States and the Africa they has been continuing to be growth, making this policy the first and historical step of building to topical, and probably future, American-African relations
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Koumba, Rolph Roderick. "L’Afrique dans le monde, le monde depuis l’Afrique : études croisées des œuvres d’Alain Mabanckou, d'Achille Mbembe, de Léonora Miano, de Célestin Monga et de Fatou Diome." Thesis, Lille 3, 2019. http://www.theses.fr/2019LIL3H008.

Full text
Abstract:
Comment se penser Africain au XXIe siècle, tout en étant à la fois héritier d’une histoire travestie, et désireux de dépasser les imaginaires stéréotypés générés par ladite histoire ? Cette question suggère que l’héritage colonial, précisément « la raison nègre » – laquelle est composée de deux approches distinctes, à savoir « la conscience occidentale du Nègre » et « la conscience nègre du Nègre » –, fait l’objet d’une critique. Cette critique qui se veut « objective », prône un humanisme de « l’en-commun » qui transcende l’« universalisme abstrait » occidental qui avait fait de l’Europe le centre du monde. Plusieurs discours, qui convergent vers un but commun, dévoilent une écriture qui s’investit dans la déconstruction des représentations et des imaginaires culturels forgés par l’Occident : ils interrogent le rapport Afrique-Monde et la perception identitaire en tenant compte de l’évolution historique des sociétés de ce continent. La plupart des essais et des fictions littéraires d’Achille Mbembe, d'Alain Mabanckou, de Léonora Miano, de Célestin Monga et de Fatou Diome révèlent que la race, le Nègre et le mot « Afrique » sont des fabriques, lesquelles ont été mobilisées en faveur de la traite atlantique. Ce processus de mise en fiction de l’altérité africaine semble encore d’actualité démontrant à cet effet que la condition des Africains à notre époque serait étroitement liée au passé colonial. Une analyse à la fois poétique et sociocritique des textes, mettant en avant des études croisées de ces œuvres, lesquelles confrontent les différentes perspectives, s’avérait indispensable. Dans la mesure où l’avortement des indépendances africaines occasionné par les anciennes puissances coloniales en complicité avec leurs alliés africains, les « plaies sociales » sévissant quotidiennement en Afrique et l’immigration africaine sans cesse croissante en direction des pays occidentaux indiquent que les rapports Afrique-Occident, en particulier, ne paraissent pas encore sereins ni « équitables ». D’après ces écrivains, l’identité africaine – à laquelle ils s’intéressent et qu’ils conçoivent comme une donnée flexible – s’est nourrie des multiples rencontres de l’Afrique avec principalement l’Occident, donnant ainsi naissance à une africanité inclusive : favorable à l’ouverture de l’Afrique au monde et à l’intégration du monde en Afrique<br>How can we consider ourselves African in the twenty-first century when we are both the heirs of a disguised history and willing to go beyond the stereotyped imaginaries inherited from it? This question suggests that the colonial inheritance, precisely the "Negro reason", which is composed of two distinct approaches, namely "the Negro's Western consciousness" and "the Negro's negro consciousness", is submitted to criticism. That criticism – allegedly "objective'' – advocates an "in-common" humanism that transcends the "Western abstract universalism" which had placed Europe at the centre of the world. Several discourses that converge on a common purpose reveal a writing that is based on the deconstruction of the Western representations and stereotyped cultural imaginaries. They investigate the Africa-World relationship and the concept of identity taking into account the historical evolution of societies from this continent. Most of the literary essays and fictions by Achille Mbembe, Alain Mabanckou, Leonora Miano, Celestin Monga and Fatou Diome show that the race, the Negro and the word "Africa" are factories that were mobilized for the Atlantic trade. This process of putting the African otherness in fiction is still current. Indeed, it demonstrates that Africans' conditions today would be closely linked to the colonial past. A poetic and socio critical analysis of these texts, by highlighting cross-studies of these works which compare different angles, appeared necessary. In so far as the interruption of African independences caused by the former colonial powers in complicity with their African allies named the "social plagues" operating daily in Africa and the ever-increasing African immigration towards Western countries, indicate that the relationships between Africa and the Westerners in particular seem neither serene nor "equitable" yet. According to these writers, the African identity – in which they are interested in and which they consider as flexible data – has been nourished by the multiple encounters of Africa with the West mainly; thus giving birth to an inclusive Africanity: suitable to the opening of Africa to the world and the integration of the world into Africa
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Amegavi-Attissou, Jean-Baptiste Ayité. "25 ans de relations germano-togolaises : 27 avril 1960 - 27 avril 1985." Metz, 1990. http://docnum.univ-lorraine.fr/public/UPV-M/Theses/1990/Amegavi_Attissou.Jean_Baptiste_Ayite.LMZ902.pdf.

Full text
Abstract:
Notre travail est une tentative de présenter un quart de siècle de relations germano-togolaises (du 27 avril 1960 au 27 avril 1985). Nous avons étudié 25 ans de coopération politique, économique et culturelle entre un pays développé, la République Fédérale d'Allemagne, et un pays sous-développé le Togo. Depuis l'indépendance du Togo jusqu'au 27 avril 1985, l'état allemand a accordé au Togo un crédit de 326 millions de deutsche mark pour la coopération financière et 170 millions de DM de subvention dans le cadre de la coopération technique (assistance technique et matérielle)<br>Our study is an effort to submit a quarter of a century of german-togolese relationships (from 27 th april 1960 to 27th april 1985). We have studied 25 years of political, economic and cultural cooperation between a developed country, the federal republic of Germany, and an underdeveloped country, Togo. From the independance of Togo to the 27th april 1985, the german state has allowed Togo 326 million deutsche marks for the financial cooperation and 170 million DM for the aid within the scope of the technical cooperation (technical assistance and equipement)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Fané, Zoumana. "La politique étrangère du Mali : 1960-2008 : permanences, ajustements et perspectives : action extérieure d'un Etat sahélien enclavé." Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100036.

Full text
Abstract:
Cette thèse de doctorat porte sur la politique étrangère du Mali de 1960 à 2. 008. Elle retrace les grandes lignes (prises de positions) de la diplomatie malienne sur les grandes questions africaines, sous-régionales, africaines et internationales. Elle se subdivise en trois parties. La 1e" traite des rapports qu'entretient le Mali avec les Mondes ouest-africain et arabo-musulman. Dans l'espace ouest-africain, deux pays ont retenu 1"attention : le Sénégal et la Côte d"Ivoire. Au Maghreb, les relations du Mali avec le Maroc, l'Algérie, la Libye et la Tunisie sont analysées. Dans le Monde Proche et Moyen-Oriental, les grandes questions - Palestine, par exemple - sont abordées avec une mise en exergue des prises de positions du Mali et leurs motivations. La 2`' partie traite des rapports qu'entretient le Mali avec des puissances étrangères France, Chine et États-Unis tout en cherchant à mettre en relief les mécanismes utilisés par Bamako pour réduire la portée de la domination de ces pays sur sa politique étrangère. La 3`' partie cherche à analyser les mécanismes de l'interférence de l'émigration immigration malienne sur la politique étrangère du Mali : recettes de l'immigration, protection diplomatique renforcée des Maliens de la diaspora, refus de signature des accords de réadmission proposés par des pays européens (France, Espagne)<br>This thesis is relative to the Malian Foreign Policy from 1960 to 2008. It' s divided in three parties. The first is on the relationships of Mali with two west african countries: Sénégal and Côte d'Ivoire in one hand. In the other band, the relationships with North African States - Morocco, Algeria, Libya and Tunisia are analysed and the position of Mali in the Middle and Near-East majors Problems. The 2nd Party emphasizes the nature of relations beteween Malian State and external powerfull countries such as France, China and USA. As to the 3rd Party, it puts an accent on the the rote of Malian immigration on the national development Strategy and the mecanism of protection the Malian State offered to its Migrants
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Rabier, Yves. "Politique internationale du conflit tchadien, 1960-1990 : guerre civile et système mondial." Paris, Institut d'études politique, 1993. http://www.theses.fr/1993IEPPA001.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Adjati, Toussaint. "La papauté face à l'independance de l'Afrique : cas du Benin et du Senegal 1955-1965." Paris, EHESS, 2013. http://www.theses.fr/2013EHES0046.

Full text
Abstract:
La papauté n'est pas restée en marge de la décolonisation africaine. En effet en estimant que les peuples d'Outre-Mer sont suffisamment mûrs pour l'indépendance, elle a su trouver, en dépit du fait qu'elle ne fait pas la politique, le courage de contribuer à l'avènement de l'indépendance africaine qu'elle a soutenues également par ses nombreuses actions indirectes et directes pratiquement dans tous les secteurs politique, économique, sociale, et culturel. Mais aujourd'hui, 50 ans plus tard, quel regard porte-t-elle sur cette indépendance africaine ?<br>The papacy did not remain on the sidelines of the African decolonization. Indeed, considering that people overseas are mature enough for independence, she has found, despite the fact that it is not politics, the courage to contribute to the advent of independence African it also supported by numerous direct and indirect actions of years virtually all economic and social policy areas and cultural. But today, 50 years later, look how she deals with this African independence
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Bouhou, Kassim. "La politique étrangère américaine au Maghreb après la guerre froide [1989-2001]." Thesis, Paris 3, 2011. http://www.theses.fr/2011PA030034.

Full text
Abstract:
Historiquement, les États-Unis ont, dans l’ensemble, accordé assez peu d’importance au Maghreb, les dirigeants américains considérant que celui-ci faisait partie de la zone d’influence de l’Europe, notamment de la France. La Seconde Guerre mondiale, la décolonisation dans les années 1950 et 1960 et, enfin, le conflit du Sahara occidental jusqu’aux années 1980 sont les périodes au cours desquelles la présence américaine dans cette région a été la plus active. Le Maghreb n’a pas été tenu à l’écart des enjeux et défis du monde dans les années 1990. Comment les Administrations Bush et Clinton se sont-elles comportées face à des régimes autoritaires, socialement fragilisés par un endettement endémique et incapables de construire un projet alternatif au plébiscite populaire dont jouissent les partis islamistes ? Parmi les déterminants internes de la politique étrangère américaine, quels sont les principaux acteurs liés au Maghreb ? Quels ont été les rôles du Congrès, des partis politiques, des diplomates, de la presse dans les positionnements américains face à la montée en puissance de l’islam en tant que force dans la région ? Existe-t-il des intérêts liés à des camps politiques et économiques américains au Maghreb ? Existe-t-il des courants antagonistes au sein du Congrès et de l’exécutif américains au sujet de la politique à mener dans cette région ?<br>In history, United States did not focus on North African issues. American leaders consider that this part of the world is under European influence, especially under French influence. The Second World War, decolonization in the 1950s and 1960s and the Western Sahara dispute in the 1980s are the periods during which American presence has been the most active. Yet, the Maghreb was not kept out the stakes and challenges facing the world in the 1990s. How did the Bush and Clinton Administrations consider the North African authoritarian regimes, socially weakened by endemic debts and unable to provide an alternative response to the popular call for Islamist parties ? In the making of American foreign policy, which actors are bound to the Maghreb region ? Which roles played the Congress, the media, the political parties as the Maghreb faced the booming of Islam as a political force ? Are there any interests of American parties or American political and economic clans in the Maghreb ? Are there any antagonist positions inside the Congress and the executive branch about the policy to conduct in the region ?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Mavoungou, Jean-François. "La Diplomatie congolaise : 1960 - 1986." Paris 1, 1990. http://www.theses.fr/1990PA010257.

Full text
Abstract:
Ce travail fixe le schéma de l'organisation et du fonctionnement, mesure l'influence de chacun des instruments qui participent où gèrent les relations extérieures du Congo, d'une part, explique les enjeux du Congo sur la scène internationale, évalue leur mise en œuvre dans ses rapports avec l'extérieur et éclaire les principales difficultés de celle-ci, d'autre part. Certains acteurs, de par la nature et l'importance de leurs prérogatives, participent, plus que d'autres, aux relations extérieures du Congo ; il en résulte que ceux-là sont plus influents que ceux-ci, et qu'au sein de l'ensemble, il existe, entre les acteurs, une hiérarchie de poids dans les relations extérieures de l'état. L'action diplomatique est un mélange original d'impuissance, d'adresse, de ruse, de dogmatisme et parfois de simple bon sens, les objectifs poursuivis par le Congo et les principes d'actions n'ont jamais reçu une application effective et adéquate. Un renouvellement des modalités de fonctionnement et d'organisation des instruments, d'une part, et une volonté politique, mettant en œuvre les stratégies, notamment au niveau des rapports bilatéraux, en fonction de leur utilité et primauté du point de vue des populations, d'autre part, rendraient, nulle doute, la diplomatie congolaise efficace, rentable et fiable<br>This work gives an outline of the organization and functionning of congolese diplomacy. It assesses the respective influences of each of the instruments which make up the congo's foreign affairs, explains the country's stakes on the international scene evaluating their implementation in foreign affairs, and highlights the main diplomatic difficulties. Certain actors, according to their nature and importance, participate more than others in the foreign affairs of the congo. Consequently, some of these elements are more influential than others, and on the whole a hierarchy exists between them in the foreign affairs of the stae. The diplomatic action is therefore a curious mixture of powerlessness, shrewdness, tactics, dogmatism ans soletimes just pure common sense. Viewed globally, the objectives and therefore the principles of action followed by the congo have never seen an adequate and effective application. A renewal of the modes of functionning and organization of the instruments and a political will implementing strategies (for instance with population in bilateral affairs, according to their usefulness and primacy) would certainly render congolese diplomacy more efficient, reliable and profitable
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Obiang, Jean-François. "Les Rapports de dépendance réciproque entre la France et le Gabon, 1967-1990 : pratiques clientélaires et logiques d'État." Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA01A003.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Mputu, Mulenda. "Les relations économiques entre l'Union européenne et la République Démocratique du Congo de 1960 à 1990 : quel impact sur le développement ?" Paris 1, 2002. http://www.theses.fr/2002PA010518.

Full text
Abstract:
Associer, s'associer et coopérer pour le développement économique et social des pays d' Afrique, des Carai͏̈bes et du Pacifique par l'accroissement des échanges commerciaux ( grâce à l'aménagement des préférences tarifaires) et la mise en oeuvre d'une aide financière et technique (FED, BEl) : tels sont l'objectif et les moyens des relations économiques contractuelles établies entre l'UE et les PTOM puis les pays ACP depuis le Traité de Rome de 1957. L'objet de cette étude n'a pas consisté à dresser un bilan global du fonctionnement de ces relations particulières pour l'ensemble des États ACP. Il s'est agi d'étudier, à partir d'une analyse globale d'un cadre institutionnel évolutif, l'application concrète de celui-ci au cas de la RDC dont les conditions d'association unilatérale à la CEE, ancienne colonie belge, tiennent à l'histoire coloniale. Son accession à l'indépendance en 1960 n'a cependant pas remis en cause l'association octroyée existante, la RDC a opté, au même titre que la quasi- totalité des anciennes colonies africaines de l'Europe communautaire pour la poursuite dans un cadre contractuel des liens étroits et privilégiés avec la CEE. Au-delà des liens historiques qu'il ne fallait pas rompre, la décision de demeurer partenaire de l'institution communautaire obéissait à une logique de complémentarité d'intérêts et de " solidarité " entre pays d'inégal niveau de développement. D'aucuns ont cependant craint que derrière cette logique de complémentarité se profile le maintien du statu quo en figeant les positions acquises. Tel n'est pas en tout cas l'esprit des textes qui régissent les Conventions de Yaoundé et de Lomé qui ont fait l'objet d'adaptation et d'amélioration à chaque renouvellement. C'est l'impact de ces évolutions sur le développement économique et social de la RDC qui constitue le substrat de cette étude.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Kokkinos, Savvas. "La nouvelle tendance de l'O. N. U. Et la question chypriote (quelques idées nouvelles)." Paris 4, 1996. http://www.theses.fr/1995PA040291.

Full text
Abstract:
Basée sur les documents de l'O. N. U. , la démarche en question consiste à démontrer comment l'Organisation, qui après la division du monde -dépendante des intérêts politico-idéologiques et stratégiques des deux superpuissances, permit la transformation du différend anglo-chypriote (un simple problème de décolonisation) en un conflit aigu et insoluble. Conflit qui se manifesta à la fin par une agression et un crime international contre le peuple chypriote. Transformée, dès sa naissance, en instrument au service des deux superpuissances, l'O. N. U. Resta, en effet, passive face à la genèse et l'évolution du problème chypriote, déviant ainsi à plusieurs reprises la Charte. Bloquée par sa nouvelle tendance et de ce fait ne pouvant donc pas résoudre, dès le départ, le différend anglo-chypriote, l'Organisation se trouva tout d'abord devant un conflit grave, sans être capable de donner une situation, ensuite à une agression, face à laquelle elle resta passive et enfin, assista au triomphe de la force sur la justice, qui est, en réalité, sa propre défaite et dont la victime est le peuple chypriote dans son ensemble<br>Based on the information contained in UN documents, the present research approach consists in demonstrating how the UNited Nations Organisation in the aftermath of world division - dependent upon politico-ideological and strategic interests of the two superpowers, allowed the transformation of the Anglo-Cypriot difference (a simple problem of decolonisation) to an acute and insoluble conflict : a conflict which finally manifested itself through an aggression and an international crime against the Cypriot people. .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Kafando, Michel. "Les états du Conseil de l'Entente, Bénin, Burkina Faso, Cote d'Ivoire, Niger, Togo et les pays de l'Est : de l'hostilité idéologique à l'ouverture diplomatique : 1960 - 1990." Paris 1, 1990. http://www.theses.fr/1990PA010296.

Full text
Abstract:
L'accession à l'indépendance des pays africains est intervenue en pleine guerre froide, c'est-à-dire dans une situation caractérisée par l'antagonisme entre l'est et l'ouest. Dans cette logique, qui laissait peu de place à la neutralité (même si certains dirigeants africains -tels que N'Krumah, Ben Bella, Nasser-ont prêché par le verbe le neutralisme positif), les nouveaux états devaient donc choisir leur camp. C'est dans ces conditions que cinq états ouest-africains -Côte d'Ivoire, Dahomey (actuel Bénin), Haute-Volta (actuel Burkina Faso), Niger, Togo, qui forment le conseil de l'entente, -se déclarent solidaires de l'occident contre les pays du bloc socialiste. Les dirigeants fondateurs de cette organisation (Félix Houphouet-Boigny, Hubert Maga, Maurice Yameogo, Diori Hamani et leurs successeurs) expliquent leur anticommunisme par l'athéisme, les méthodes subversives et la négation de la liberté de la doctrine marxiste. Il en résulte que ces pays optent franchement pour le libéralisme. Mais par la force des choses, ceux-ci en viendront à se rapprocher des pays de l'est. Toutefois, cette ouverture se soldera par des désillusions, notamment dans le domaine de la coopération économique, y compris pour le Bénin, devenu marxiste-léniniste en 1974 et le Burkina Faso devenu également pays à option socialiste en 1983. La conséquence est que le bloc de l'est n'arrivera jamais à disqualifier les états occidentaux dans ces cinq pays ou leur suprématie demeure incontestable<br>The attainment of independence of the African countries, occured right in the cold war, distinguished by the antagonism between East and West. For that reasib, which gave no way to neutralism (even some africain leaders like n'krumah, ben bella, nasser - have verbally enjoin the positive neutra- lism), the new african states had then to choose their camp. Under these circumstances, five west African states -Ivory Coast, Dehomey (presently Benin), Niger, Togo, upper volta (became Burkina Faso), which form the "conseil de l'entente", -declare for solidarity with occident against the socialist block. The promoters of this organisation -felix houphouet-boigny, hubert maga, maurice yameogo, diori hamani and their successors -explain their anticommunism by the atheims, the subsersive ways and the rejection of the liberty of that doctrine. It follows that these states opt frankly for the liberalism. But, by the force of circumstances, they will come to pull up to the Eastern countries. However, this overture result in desillu- sions, especially in the matter of economic cooperation, including Benin, became marxist-leninist (1974) and Burkina Faso, placed itself in the socia- list camp (1983). As a consequence, the soviet block will never achieve to disqualify the western countries in the five states where their supremacy remains indisputable
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Yewawa, Gbiamango. ""Les conflits tchadiens"." Paris 10, 1988. http://www.theses.fr/1988PA100110.

Full text
Abstract:
La leçon que l'on peut tirer de la question tchadienne est le moins que l'on puisse dire que le conflit tchadien constitue, pour moi, un bel exemple d'un conflit interne aux données complexes au départ et dont l'évolution échappe aux facteurs internes qui lui ont donné naissance pour s'inscrire dans un contexte international. Au stade actuel, le conflit tchadien correspond à la lutte hégémonique régionale sur laquelle vient se greffer la lutte d'influence des puissances étrangères. Toute tentative de solution à l'imbroglio tchadien devra tenir compte à la fois des éléments internes et externes. En clair, l'approche globale de la solution définitive du problème tchadien devra prendre en compte le règlement du conflit intérieur qui passe par la réconciliation nationale de toutes les factions tchadiennes quelles qu'elles soient, concilier les ambitions territoriales libyennes a l'intégrité territoriale du Tchad, aménager les susceptibilités des puissances étrangères au continent.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Ndoumbaye, André. "Les institutions internationales de cooperation et leur contribution au developpement des etats membres depuis les independances de 1960 a 1990." Paris 12, 1992. http://www.theses.fr/1992PA122003.

Full text
Abstract:
Au xixeme siecle, les etats africains actuels etaient des territoires domines par les nations d'europe. Mais pour etre politiquement eriges en des etats independants et souverains a la faveur de la decolinisation des annees 60, ces etats se doivent d'assumer leur propre developpement economique et social. Cependant, etant faibles du fait de leurs trop grandes ou trop petites dimensions territoriales respectives d'une part, et a cause de leurs maigres ressources d'autre part, la cooperation interetatique a travers des institutions communes s'impose aujourd'hui a eux comme un imperatif. Ainsi,on assiste, en ce qui concerne l'afrique centrale a : - une tentative de creation de l'union des republiques de l'afrique centrale en 1960 - la creation de l'union douaniere et economique de l'afrique centrale en 1964 - la mise sur pied de l'union des etats de l'afrique centrale en 1968 - la constitution de la communaute economique des pays des grands lacs en 1976 - la communaute economique des etats de l'afrique centrale en 1983 declaration faite du nombre important de ces institutions internationales situees dans la seule sous-region de l'afrique centrale, la question se pose de connaitre le bilan des realisations concretes necessaires au developpement economique et social des etats membres. Autrement dit, a quel niveau de developpement economique ces etats sont-ils aujourd'hui parvenus par le biais de la cooperation a travers les institutions internationales communes |<br>During the 19th central, the african states we know now were territories dominated by european countries. To become politically sovereign independent states must ensure their own economic and social development. However, beling weak because ofg their too important or too small territorial dimensions on one hand, because of their limited resources on the other hanb, they have no other alternative but interstate cooperation through common institutions. So, we can see, in central africa : - the attempts to create the central africa republics union in 1960 - the creation of the custom and econolic union in central africa in 1964 - the creation of the central africa states union in 1968 - the creation of the economic community of the great lakes countries in 1976 - the creation of the economic community of the central africa states in 1983 after deduction of the important number of the international institutions situated in the aera of central africa, the question wich comes to one's mind is to know the assment of the concreate realizations necessary to the economic and social development of the states members. In other words, what is the level of economic development those states are today upstart through common institutions ?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

N'Zelomona, Berthin. "Le Congo et le non-alignement (1963-1983)." Paris 1, 1992. http://www.theses.fr/1992PA010637.

Full text
Abstract:
La présente thèse étudie les doctrines et la pratique de nonalignement des régimes congolais successifs de 1963 à 1983. C'est en effet en 1963 que la deuxième république adopte un nonalignement "radical" dont l'object essentiel était de pratiquer une politique étrangère d'ouverture et anti-bloc destinée non seulement à procurer à l'économie une aide massive et diversifiée, mais aussi à renforcer la cohésion du mouvement des non-alignés en vue de la démocratisation des relations internationales. Mais le coup d'état marxiste de 1968 place le Congo sous la tutelle politique soviétique. Il défend désormais "l'alliance naturelle" des non-alignés avec les pays socialistes et devient le pivot de l'expansion soviéto-cubaine en Afrique (prise de l'Angola). Cependant l'impérialisme économique soviétique s'est avéré aussi viscéral que celui de l'occident. Le troisième congrès du parti marxiste de 1979 décida alors de corriger cette politique. Si la libéralisation du système économique a été un succès provisoire, la poursuite d'un alignement anachronique sur Moscou accentué par le traité de 1981 rendait par contre ambigüe l'harmonisation des objectifs avec les non-alignés proclamee officiellement à la sixième conférence de La Havane en 1979<br>This thesis studies the doctrines and the policy of non-alignment of the Congo's regimes from 1963 to 1983. It was indeed in 1963 that the second republic adopted a "radical" non-alignment whose principal aim was to enforce on open and antibloc foreign policy. This was designed not only to provide the economy with massive and diversified aid but also to strengthen the cohesion of the non-aligned countries so as to bring about the democratisation of the international relations. However, the 1968's marxist coup d'etat brought Congo under the soviet political wing. Henceforth, Congo defended the "natural alliance" between non-aligned and socialist countries and became the axis of the sovieto-cuban expansionism in africa (the seizure of angola). Though, the soviet imperialism proved to be as ruinous as the western one. The third marxist party conference of 1979 decided therefore to change this policy. The liberalisation of the economy was a temporary success. While the alignment on moscou was maintained contradicting the true non-alignment officially undertaken by Congo at the sixth Havana's conference of 1979
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

Compaore, Delphine. "Le sport, analyseur de la place de l'Afrique dans la coopération internationale : l'exemple de la politique sportive de la France en Afrique-Burkina faso (1960- 2010)." Phd thesis, Université Paris Sud - Paris XI, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00787630.

Full text
Abstract:
La coopération internationale est inscrite sur l'acte constitutif de l'Organisation des Nations Unies du 26 juin 1945. Moyen d'échange et de dialogue entre acteurs internationaux, son objectif a été de trouver des solutions aux difficultés économiques, sociales, culturelles et sécuritaires de l'après-guerre pour sauvegarder la paix du monde. Elle s'est considérablement développée, allant de la forme bilatérale à celle multilatérale, dans tous les domaines et sur tous les continents. Parmi ses nombreux cadres d'échanges, le dispositif français de coopération, avec son assistance technique spécialisée dans tous les domaines, demeure une référence certaine. Il s'est déployé à travers une stratégie de géopolitique internationale où domaines militaire en plus grand et sportif en plus petit en constituent un des traits caractéristiques. La coopération française et internationale ont été un accompagnement décisif pour le continent africain après les indépendances, mais aussi un important moyen stratégique d'influence pendant la Guerre Froide. Le sport et la coopération sportive y joueront leur partition. Pour les Américains, Français, Anglais, Soviétiques et leurs partenaires respectifs, la coopération a été très efficace et a permis de sauvegarder leurs intérêts sur le continent africain. Elle demeure encore aujourd'hui un important moyen de pression sur la scène africaine, influant souvent sur les résultats des échanges et l'efficacité des actions de coopération. Finalement, c'est une coopération internationale de 1960 à 2010, avec ses réussites et ses échecs, d'une taille parfois limitée mais qui reste un moyen de dialogue pour le monde et surtout pour le continent africain engagé sur le difficile chemin de la démocratie. C'est par une approche théorique libérale et une méthode qualitative que cette recherche a été réalisée, sur le principal terrain du Burkina Faso avec ses particularités sociales et son histoire, qui constituent une grille de lecture idéale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography